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Archive mensuelle de novembre 2014

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Afrique- Burkina : encore un coup d’Etat en préparation

Burkina : encore un coup d’Etat en préparation

 

Cette fois encore c’set encore un coup d’Etat qui semble se préparer au Burkina Faso avec la désignation du lieutenant colonel Isaac Zida come président de transition et la suspension de la constitution. D’une certaine manière les manifestants se sont fait voler  leur révolution. L’enjeu pour la clique militaire c’est évidemment de constituer une nouvelle oligarchie qui se partagera le gâteau du pouvoir. En bref changer la corruption par une autre et maintenir le pays dans un sous-développement économique, social et démocratique.  L’armée a  donc désigné samedi le lieutenant-colonel Isaac Zida pour conduire le régime de transition au Burkina Faso, après la chute du président Blaise Compaoré. A peine nommé, le chef du régime de transition a pris la décision de rouvrir des frontières aériennes du Burkina Faso. L’opposition et la société civile burkinabè ont appelé samedi la population à un grand meeting sur la place de la Nation à Ouagadougou, dimanche à 8 heures du matin.  Les partis de l’opposition et les organisations de la société civile burkinabè, réunis samedi à Ouagadougou, ont exigé une transition « démocratique et civile », refusant la confiscation du pouvoir par l’armée après la chute du président Blaise Compaoré. « La victoire issue de l’insurrection populaire appartient au peuple, et par conséquent la gestion de la transition lui appartient légitimement et ne saurait être en aucun cas confisquée par l’armée », selon un communiqué. L’opposition et la société civile burkinabè ont donc appelé samedi la population à un grand meeting sur la place de la Nation à Ouagadougou, dimanche à 8 heures du matin. La Place de la Nation, située dans le centre de Ouagadougou, a été le lieu de rassemblement privilégié cette semaine des manifestations populaires qui ont chassé du pouvoir le président Blaise Compaoré. Même son de cloche du côté de l’Union africaine (UA) a appelé samedi à une transition « civile et consensuelle » au Burkina Faso, après la chute du président Blaise Compaoré, désormais réfugié en Côte d’Ivoire. La présidente de la Commission de l’UA, Nkosazana Dlamini-Zuma, « appelle les acteurs politiques et la société civile du Burkina Faso à travailler ensemble dans un esprit de consensus et de responsabilité pour convenir d’une transition civile et inclusive devant déboucher sur la tenue, aussi rapidement que possible, d’élections libres, régulières et transparentes », indique l’UA dans un communiqué. L’organisation tiendra un conseil de paix et de sécurité lundi pour examiner la situation dans le pays.

 

Boko Haram :l’horreur et retour à l’esclavagisme pour les lycéennes

Boko  Haram :l’horreur  et retour à l’esclavagisme pour les lycéennes

 

 

Hollande s‘est beaucoup avancé en annonçant la libération prochaine des lycéennes détenues par le mouvement des fous de BOKO-Haram. Non seulement les jeunes files ne seront pas libérées mais elles  ont été mariés de force aux rebelles et converties de force.  L’horreur la plus totale et une insulte à la civilisation. Dans une vidéo de propagande de Boko Haram, au centre d’une troupe, un homme qui se présente comme le chef du groupe islamiste : pendant douze minutes, il scande son discours entouré de combattants. Avec un rire puissant, il annonce que les lycéennes enlevées ont toutes été mariées et converties à l’islam. Ces 200 lycéennes seraient donc aujourd’hui livrées aux combattants de la secte. « Ce qui est important, vis-à-vis des combattants, pour recruter, c’est d’offrir ces lycéennes aux combattants qui très souvent n’ont pas la dot suffisante pour les épouser », analyse Antoine Glaser.  Les familles des jeunes filles se sont déclarées choquées, mais pas surprises. Il y a quinze jours, le gouvernement nigérian leur avait donné espoir d’une libération prochaine et d’un cessez-le feu avec le groupe islamiste. Aujourd’hui, Boko Haram affirme que c’est un mensonge. Le groupe n’aurait négocié avec personne selon lui. Les violences continuent. Dix adolescents ont encore été enlevés. Selon une organisation de droits de l’homme, plus de 500 femmes seraient actuellement retenues par la secte Boko Haram.

 

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Dépenses publiques : trop de bureaucratie, trop de gaspillages

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Coalition internationale contre l’Etat islamique

 

 

 

 

 

 

 

Sondage Sarkozy : retour raté pour 75%

Sondage Sarkozy : retour raté pour 75%

 

C’est   »raté » pour 75% des Français et 48% des sympathisants de l’UMP tandis que 77% des personnes interrogées jugent que l’ex-chef de l’Etat n’a fait aucune proposition intéressante pour la France, selon un sondage Odoxa pour le Parisien publié samedi. A la question, « Diriez-vous que le retour de Nicolas Sarkozy en politique est plutôt raté ou réussi », 75% des Français répondent « raté » contre 23% qui le jugent « réussi ». « Mais surtout plus fâcheux », commente l’organisme de sondages, 57% des sympathisants de droite (contre 41%) jugent également que ce retour est un échec. « Résultat plus sévère encore », analyse l’institut de sondage, 77% des Français estiment que depuis son retour, Nicolas Sarkozy, « n’a pas fait de propositions intéressantes pour répondre aux problèmes qui se posent à la France. » « Signe inquiétant pour l’ancien président: les sympathisants de droite sont une majorité à le penser (58% contre 41), les sympathisants UDI et FN se montrant particulièrement critiques à l’égard du fond du projet. Quant aux sympathisants UMP – la « base électorale » de Nicolas Sarkozy – ils considèrent certes majoritairement qu’il fait des propositions intéressantes pour le pays, mais cette majorité est étriquée (54%). » Conséquence de la « défiance » à son égard, Nicolas Sarkozy voit son avance sur Alain Juppé se rétrécir dans sa course à la présidence de l’UMP. Auprès de l’ensemble des Français, Juppé l’emporte haut la main (45% soit +2 points par rapport à il y a un mois) contre 24%, soit -4 points.

 

France : 8 millions de chômeurs réels

France :   8 millions de chômeurs réels

Officiellement la France un peu plus de 3 millions de chômeurs si on en croit les déclarations  officielles ;  pourtant il ne s’agit là que des chômeurs de catégories A, ceux n’ayant aucune activité ; on fait donc notamment l’impasse sur les petits boulots. En fait si on intègre la totalité des chômeurs toutes catégories confondue on parvient à plus de 6 millions de chômeurs d’après  les données  publiées chaque mois par le ministère du Travail et Pôle emploi. Mais il faudrait encore ajouter à ce chiffre les bénéficiaires du RSA qui ont renoncé à la recherche d’un emploi. Or le nombre de bénéficiaires du RSA est supérieur à 2 millions. Sur ce nombre sans doute la moitié : un   millions au moins de chômeurs. Autre élément rarement pris en compte le fait que certains anciens salariés sont mis au placard médical  pour bénéficier d’allocation adulte handicapés (1 million de bénéficiaires). Certes nombre d’entre eux sont réellement handicapés et justifient de la solidarité nationale mais de plus en plus trouvent ce moyen pour trouver une solution à l’absence d’emploi (aidés auusi par les employeurs !). Du coup pas loin de la moitié qui seraient en capacité de travailler  sont en fait des chômeurs exclus des chiffres. On parvient donc à 7,5 millions de chômeurs. Dernier élément ceux qui sont exclus de tout, de l’emploi mais aussi des aides sociales, non inscrits évidemment  les marginaux qui ne croient plus en rien. Vraisemblablement auusi environ 500 000. Le total de chômeurs serait donc en faiat plus proche des 8 millions que des 3 millions cités par les gouvernements.. Un nombre de chômeurs à mettre en relation avec le nombre de postes non couverts temporairement à savoir de l’ordre de 300 000 !

Retour de Sarkozy : «un flop» (Le Maire)

Retour de  Sarkozy : «un flop» (Le Maire)

 

Le retour de Sarkozy est un flop pour Bruno Le Maire, ce n’est pas faux. Certes Sarkozy conserve de grandes  chances de récupérer le poste de président de l’UMP mais pour autant celui qui devait tout balayer sur son passage avec son retour ne rencontre pas dans l’opinion le succès escompté, loin sen faut puisque Juppé est préféré dans l’ensemble des français ; En cause le fait que Sarkozy n’apporte pas grand-chose sur le plan programmatique. Quelques slogans mais à peu prés les mêmes qu’en 2007 et 2012. Surtout Sarkozy ne donne pas du tout l’impression d’avoir changé, toujours auusi excité, théâtral, bref le même guignol. Sarkozy demeure  une bête de scène électorale mais qui surjoue et finalement fatigue avec ses mimiques de comédien. En outre sa crédibilité est largement entamée avec le nombre affaires financières qui le poursuivent. Autant d’affaires pour un seul homme c’est beaucoup. C’est pourquoi Bruno Le Maire affiche un enthousiasme débordant et voudrait qu’il soit contagieux. Il répète inlassablement qu’il a une chance de l’emporter face à Nicolas Sarkozy et Hervé Mariton dans le scrutin interne à l’UMP qui les oppose. Dans Valeurs actuelles, il n’hésite pas à citer Churchill pour appuyer sur son volontarisme: «Je n’avais aucune chance, mais je l’ai saisie». «Je vais gagner», martèle-t-il en séparant bien les syllabes pour se faire comprendre.  Face à lui, un favori incontestable: Nicolas Sarkozy. Depuis son retour fin septembre, l’ancien président de la République devance largement ses rivaux dans les sondages. Mais Bruno Le Maire ne juge pas réussie le come back de l’ancien chef de l’État. «Tout ça est un flop», tranche-t-il même dans les colonnes de l’hebdomadaire. Selon lui, lorsqu’il va sur le terrain, «Sarkozy n’est pas un sujet», témoigne-t-il.  Le député fixe même un niveau à partir duquel sa candidature sera un événement. «Si je fais un bon score, si lui est en dessous des 80%, alors qu’il avait été élu à 85% en 2004, il y aura un sujet», considère-t-il. Mi-octobre, dans les colonnes du Monde, il affichait déjà une grande confiance en lui. Quitte à en rajouter. «Ma PME est devenue une vraie machine politique», se félicitait-il.  Et ne lui parlez pas du 29 novembre, date du premier tour de l’élection pour la présidence de l’UMP. Il en est convaincu, il y aura un second tour, le 6 décembre. «Ce n’est pas le 29 novembre que l’on connaîtra le prochain président de l’UMP, mais le 6 décembre». «Car je ne pense pas être élu dès le premier tour!», lâche-t-il.

 

SNCF et RATP : grève mardi

SNCF et RATP : grève mardi

La CGT a déposé un préavis de grève à la SNCF et à la RATP pour mardi prochain dans le cadre d’une mobilisation nationale pour la défense du service public dans les transports et l’énergie. Le préavis de grève national à la SNCF court du lundi 3 novembre à 19 heures jusqu’au mercredi 5 à 8h00. « Placer le service public et l’intérêt général au cœur de notre projet constitue notre boussole », écrivent les fédérations des transports et de l’énergie dans un communiqué commun.   »Force est de constater que le projet de loi sur la transition énergétique et les décisions prises sont à l’opposé de la réponse aux enjeux posés », ajoutent-elles.  La CGT des transports entend également dénoncer la réforme du rail, votée cet été malgré deux semaines de grève des cheminots, qui « fragilise encore plus l’entreprise nationale SNCF ». La RATP prévoit toutefois un trafic « normal ou quasi normal sur l’ensemble de ses réseaux métro, RER, tramway et bus avec quelques perturbations possibles, très ponctuellement, sur le réseau bus », dit la régie parisienne dans un communiqué.

Électricité : encore une augmentation

Électricité : encore une augmentation

 

INSEE voudrait faire croire que inflation est de l’ordre de 0.5%, pourtant chaque jour ou presque on annonce une augmentation. Après le gaz, les impôts, c’est maintenant l’ électricité. En francs constants c’est une augmentation très importante compte tenu de l’inflation. Avec 0.5% de hausse officielle des prix de la consommation des ménages salaires et pensions sont bloqués par contre les dépenses contraintes progressent (à noter que les impôts ne sont pas pris en compte dans l’indice INSEE concernant l’inflation !). .   Les tarifs réglementés de l’électricité en France augmenteront donc de 2,5% pour les particuliers le 1er novembre, comme attendu, selon un arrêté publié vendredi au Journal officiel. Il s’agit de la première hausse basée sur une nouvelle formule de calcul qui prend en compte les prix du marché de gros et pas seulement l’évolution des coûts de l’électricien historique EDF. La hausse des tarifs du gaz, déjà été annoncée, atteindra pour sa part 2,3% en moyenne le 1er novembre après une augmentation de 3,9% survenue le 1er octobre. En juin, la ministre de l’Energie Ségolène Royal avait annoncé la suppression de l’augmentation de 5% des tarifs de l’électricité prévue au 1er août. L’annonce avait fait perdre 8% au titre EDF à la Bourse de Paris, dans de gros volumes d’échanges. Le Premier ministre Manuel Valls avait par la suite indiqué que le gel serait suivi à l’automne d’une augmentation moins importante que prévu, qui restait à préciser. Ces dernières années, les interventions des pouvoirs publics pour tenter de bloquer les hausses de tarifs de l’énergie se sont multipliées, de même que les recours juridiques des concurrents d’EDF.  Afin de clarifier et assainir la situation, Ségolène Royal a entrepris une réforme des tarifs réglementés modifiant leur méthode de calcul, censée mieux protéger le pouvoir d’achat des consommateurs.  Ce mode de calcul prend notamment en compte les prix de l’électricité sur le marché de gros français, qui sont actuellement historiquement bas. La nouvelle méthode devrait peser sur les marges d’EDF si les prix du marché de gros continuent de baisser.  

 

Valls –Hollande : je t’aime, moi non plus

Valls –Hollande : je t’aime, moi non plus

C’est un secret pour personne que Valls considère Hollande beaucoup trop mou et ambigu tandis que que Hollande estime que Valls fait surtout de la com. et finalement peu de réformes. Pour autant le ticket marche, simplement parce que Valls pense que c’est cuit pour 2017 et qui faut laisser le champ libre à Hollande. Il espère que Hollande prendra une belle fessée et que le candidat de la droite sera à son tour disqualifié au bout de 5 ans d’exercice de pouvoir. En 2022, ce sera son heure. Malgré ce deal entre les deux hommes les critiques réciproques entre les protagonistes se font jour. Hollande n’apprécie pas particulièrement la provocation et les coups de mentons de Valls. De son coté, Comme son prédécesseur à Matignon Jean-Marc Ayrault, Manuel Valls a dit regretter que l’exécutif n’ait « pas dit immédiatement que l’état de la France (en 2012) était bien pire que celui que nous avions imaginé ». « Cette explication honnête a fait défaut au début » mais « nous devons assumer cette impopularité et ce scepticisme », a-t-il dit. Une critique voilée sur l’arrivée de François Hollande au pouvoir. Une interview en forme de clarification alors que les tensions au sein du couple exécutif étaient palpables ces derniers jours. En décorant Manuel Valls des insignes de Grand-Croix de l’ordre national du mérite, François Hollande avait adressé un discours lourd de sous-entendu. A propos de Georges Clémenceau, que Manuel Valls admire, François Hollande avait lancé : Il « n’est pas devenu président de la République, mais on peut aussi réussir son existence sans être président de la République ». Le Premier ministre avait alors affiché un sourire sans faire de commentaire. Quelques heures plus tard, dans une interview choc publiée par Le Nouvel Obs, le chef du gouvernement dessinait les contours d’un nouveau Parti socialiste, disant vouloir en finir avec « la gauche passéiste ». Cet affrontement très feutré à la tête de l’Etat a été ponctué cette semaine par une saillie acerbe de François Hollande à l’endroit de son Premier ministre, rapportée par Le Canard enchaîné. En plus d’estimer que l’interview de Manuel Valls au Nouvel Obs n’était « pas utile », il aurait confié à des proches : « J’en ai un peu marre qu’il fasse provoc sur provoc. Il tire un peu trop sur la corde ». Et d’ajouter : « Valls fait de la communication, encore de la communication et les réformes n’avancent guère. »

 

Montebourg à l’école…pour apprendre l’économie !

Montebourg  à l’école…pour apprendre l’économie !

Curieux le parcours de Montebourg, il est sans doute incompétent en management d’entreprise puisqu’il retourne à l’école précisément pour apprendre la gestion ; ce qui ne l’a pas empêché d’être ministre de l’économie ! Incompétent donc pour diriger une entreprise mais qualifié pour diriger l’économie d’un pays ! A sa décharge, il n’est pas plus incompétent que les autres dans ce domaine puisque la plupart n’ont jamais mis les pieds dans une entreprise et encore moins dirigé l’une d’entre elles. Il faut dire que la plupart mettraient en faillite une petiite épicerie en moins de 6 mois  si on leur en confiait la gestion. Nos responsables sont surtout experts en bureaucratie, fiscalité et en pitrerie médiatique. Arnaud Montebourg va donc  reprendre les études. L’ex-ministre de l’Economie, évincé du gouvernement le 25 août, s’est inscrit à l’Insead, une prestigieuse école de commerce de Fontainebleau, pour y suivre le temps d’un mois une formation en management. « J’ai décidé de reprendre des cours parce que diriger une boîte est un vrai métier, je m’en suis rendu compte ces deux dernières années », explique-t-il dans les colonnes du Monde. Une formation qui a obligé Arnaud Montebourg à bousculer un peu ses habitudes, rapporte le quotidien du soir. Pour pouvoir suivre les cours, dispensés exclusivement en anglais, il révise ses langues étrangères deux heures par jour avec un prof particulier. Il a également dû accepter de dormir sur place, car la formation impose aux élèves de nombreux travaux de groupe, à préparer à la fin de la journée de classe. Pour assurer le financement de l’école, de l’ordre de 34.500 euros, il aurait sollicité une bourse. L’intéressé a toutefois tenu à préciser qu’il ne s’agissait pas de fonds publics : « C’est une école qui est financée par les entreprises. Il n’y a pas de demande de fonds publics. Par ailleurs je finance une partie (de la formation) sur mes économies personnelles », a-t-il déclaré au Journal de Saône-et-Loire. Sorti du gouvernement le 25 août, Arnaud Montebourg n’avait pas caché son intention de se retirer de la politique et de reprendre une vie de Français « ordinaire » : « Je vais prendre exemple sur Cincinnatus, qui préféra quitter le pouvoir pour retourner à ses champs et à ses charrues », avait-il expliqué lors d’une conférence de presse, se comparant à l’homme d’Etat romain du Ve siècle avant J.C. Son objectif? Créer sa propre entreprise, spécialisée dans le domaine médical, comme il le révélait début octobre. Un projet en bonne marche, comme le confie l’un de ses proches : « Il a déjà trouvé des associés et réuni l’argent, il devrait se lancer en janvier prochain ».

 

Sivens : Valls auusi responsable (Duflot)

Sivens : Valls aussi responsable (Duflot)

Cécile Duflot estime à juste titre que Valls a une part de responsabilités dans les événements de Sivens du fau faiat de son autoritarisme et de ses coups de mentons médiatiques ; Dans une interview au Monde publiée vendredi, après la mort d’un manifestant à Sivens, l’ancienne ministre du Logement estime qu’il a « dégradé la situation » sur place. « En septembre, le Premier ministre s’est rendu dans le Tarn pour dire ‘nous avons tenu bon à Sivens’, avec le ton martial et cette capacité à surjouer l’autorité qui le caractérisent. Je pense que cette déclaration de Manuel Valls, alors que le rapport des experts était en cours, a dégradé la situation », explique-t-elle.  La députée écolo, estime également que le chef du gouvernement propose « une synthèse libérale autoritaire alors que la modernité est démocratique et écologiste ». « Plus profondément, c’est la question de la façon de faire qui est posée à la politique. Ce ne peut pas être des sachants, fussent-ils élus, qui imposent tout avec autorité. Cette soi-disant autorité étant d’ailleurs toujours affirmée contre les plus faibles : les Roms ou des pacifistes. Le pays a besoin de réconciliation, de concorde, de dialogue et d’écoute. Nous pouvons faire émerger une démocratie participative qui élabore collectivement. Il n’y a pas besoin de confrontation ni d’agitation médiatique pour faire avancer mieux les choses », ajoute-t-elle dans une allusion transparente à l’omniprésence médiatique du Premier ministre. Elle ne veut pas dire si elle fait encore partie de la majorité. L’ancienne ministre estime qu’il s’agit « d’une question désuète ». « Une majorité ne se décrète pas par principe, mais parce qu’elle répond à des valeurs et à un projet commun. Aujourd’hui, le gouvernement nous a quittés lorsqu’il défend un projet contraire à ce pourquoi nous avons été élus. Au-delà de ces aspects politiciens, c’est le devoir d’une génération que de redonner du sens à la politique », assure-t-elle

 

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