Archive pour le Tag 'Le Maire'

Déficits publics et dettes: « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal , élus locaux etc)

Déficits publics et dettes: « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal , élus locaux etc)

Élisabeth Borne ancienne première ministre, a été particulièrement secouée lors de son audition au Sénat sur la responsabilité relative à la dérive du déficit du budget. Comme Bruno Le Maire, Attal et d’autres, elle a affirmé qu’elle n’était pas responsable et que la question des recettes ne relevait pas de la responsabilité du gouvernement ! Le même raisonnement que Bruno Le Maire ou une drôle de conception de la gestion ! Un peu comme si dans une entreprise ou un ménage on décidait d’ignorer les ressources pour décider des dépenses. La vérité sans doute c’est que plus personne ne contrôle vraiment la dérive suicidaire des déficits et de la dette. En cause un nombre incalculable de superstructures qui s’auto-développent d’autant plus facilement que les élus n’y comprennent pas grand-chose. Et le plus souvent, c’est la technostructure- (et les cabinets de conseil) qui décide de tout aussi bien au plan national qu’ au plan local. Résultat alors qu’on affirme partout être à l’euro près ( dixit Bruno Le Maire et autres élus y compris locaux), on a perdu de l’ordre de 50 milliards de recettes fiscales ! En clair on a dépensé 50 milliards supplémentaires sans les ressources correspondantes.

« Je n’ai pas eu d’alerte avant décembre 2023. Il est inhabituel de piloter des incertitudes sur les recettes. Cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement d’anticiper d’hypothétiques risques sur les recettes calculées par les services », a-t-elle déclaré devant les sénateurs.

Interrogée sur les notes d’alerte envoyées par Bercy, la désormais députée à l’Assemblée nationale a balayé d’un revers de main les arguments du duo de choc du palais du Luxembourg. « Les alertes de la mi-décembre ont porté sur les objectifs de recettes. Ce n’est pas habituel d’avoir des écarts de cet ordre là. Jusqu’à mi-décembre, je n’ai pas eu d’alerte pour mesurer l’ampleur du montant », a déclaré Elisabeth Borne.

S’agissant des prévisions de croissance du projet de loi de finances 2024 (1,4%) jugées optimistes par beaucoup d’économistes à l’époque, elle a estimé que « ce n’est pas le rôle du Premier ministre de challenger les hypothèses de croissance de son ministre de l’Economie. Il n’y a pas de services auprès du Premier ministre en mesure de challenger le ministre de l’Economie. Si le budget avait été construit sur des hypothèses erronées, le Haut conseil des finances publiques (HCFP) l’aurait signalé ».

Là encore, la défense de l’élue semble bien fragile. Le HCFP présidé par Pierre Moscovici, dans son avis remis au moment de la présentation du budget 2024 montre que, « les recettes semblent un peu surestimées. Elles sont tirées vers le haut par la prévision de croissance élevée de l’activité et, au-delà, par des hypothèses favorables sur le rendement de certains impôt».

Politique: Crise financière : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal , élus locaux etc)

Politique:  Crise financière   : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal , élus locaux etc)

Élisabeth Borne ancienne première ministre, a été particulièrement secouée lors de son audition au Sénat sur la responsabilité relative à la dérive du déficit du budget. Comme Bruno Le Maire, Attal et d’autres, elle a affirmé qu’elle n’était pas responsable et que la question des recettes ne relevait pas de la responsabilité du gouvernement ! Le même raisonnement que Bruno Le Maire ou une drôle de conception de la gestion ! Un peu comme si dans une entreprise ou un ménage on décidait d’ignorer les ressources pour décider des dépenses. La vérité sans doute c’est que plus personne ne contrôle vraiment la dérive suicidaire des déficits et de la dette. En cause un nombre incalculable de superstructures qui s’auto-développent  d’autant plus facilement que les élus n’y comprennent pas grand-chose. Et le plus souvent, c’est la technostructure- (et les cabinets de conseil) qui décide de tout aussi bien au plan national qu’  au plan local.  Résultat alors qu’on affirme partout être à l’euro près ( dixit Bruno Le Maire et autres élus y compris locaux), on a perdu de l’ordre de 50 milliards de recettes fiscales !En clair on a dépensé 50 milliards supplémentaires sans les ressources correspondantes.

« Je n’ai pas eu d’alerte avant décembre 2023. Il est inhabituel de piloter des incertitudes sur les recettes. Cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement d’anticiper d’hypothétiques risques sur les recettes calculées par les services », a-t-elle déclaré devant les sénateurs.

Interrogée sur les notes d’alerte envoyées par Bercy, la désormais députée à l’Assemblée nationale a balayé d’un revers de main les arguments du duo de choc du palais du Luxembourg. « Les alertes de la mi-décembre ont porté sur les objectifs de recettes. Ce n’est pas habituel d’avoir des écarts de cet ordre là. Jusqu’à mi-décembre, je n’ai pas eu d’alerte pour mesurer l’ampleur du montant », a déclaré Elisabeth Borne.

S’agissant des prévisions de croissance du projet de loi de finances 2024 (1,4%) jugées optimistes par beaucoup d’économistes à l’époque, elle a estimé que « ce n’est pas le rôle du Premier ministre de challenger les hypothèses de croissance de son ministre de l’Economie. Il n’y a pas de services auprès du Premier ministre en mesure de challenger le ministre de l’Economie. Si le budget avait été construit sur des hypothèses erronées, le Haut conseil des finances publiques (HCFP) l’aurait signalé ».

Là encore, la défense de l’élue semble bien fragile. Le HCFP présidé par Pierre Moscovici, dans son avis remis au moment de la présentation du budget 2024 montre que, « les recettes semblent un peu surestimées. Elles sont tirées vers le haut par la prévision de croissance élevée de l’activité et, au-delà, par des hypothèses favorables sur le rendement de certains impôt».

Crise financière : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)

Crise financière   : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)

Élisabeth Borne ancienne première ministre, a été particulièrement secouée lors de son audition au Sénat sur la responsabilité relative à la dérive du déficit du budget. Comme Bruno Le Maire, Attal et d’autres, elle a affirmé qu’elle n’était pas responsable et que la question des recettes ne relevait pas de la responsabilité du gouvernement ! Le même raisonnement que Bruno Le Maire ou une drôle de conception de la gestion ! Un peu comme si dans une entreprise ou un ménage on décidait d’ignorer les ressources pour décider des dépenses. La vérité sans doute c’est que plus personne ne contrôle vraiment la dérive suicidaire des déficits et de la dette. En cause un nombre incalculable de superstructures qui s’auto-développent  d’autant plus facilement que les élus n’y comprennent pas grand-chose.Et le plus souvent c’est la technostructure qui décide de tout aussi bien au plan national au plan local .

« . Je n’ai pas eu d’alerte avant décembre 2023. Il est inhabituel de piloter des incertitudes sur les recettes. Cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement d’anticiper d’hypothétiques risques sur les recettes calculées par les services », a-t-elle déclaré devant les sénateurs.

Interrogée sur les notes d’alerte envoyées par Bercy, la désormais députée à l’Assemblée nationale a balayé d’un revers de main les arguments du duo de choc du palais du Luxembourg. « Les alertes de la mi-décembre ont porté sur les objectifs de recettes. Ce n’est pas habituel d’avoir des écarts de cet ordre là. Jusqu’à mi-décembre, je n’ai pas eu d’alerte pour mesurer l’ampleur du montant », a déclaré Elisabeth Borne.

S’agissant des prévisions de croissance du projet de loi de finances 2024 (1,4%) jugées optimistes par beaucoup d’économistes à l’époque, elle a estimé que « ce n’est pas le rôle du Premier ministre de challenger les hypothèses de croissance de son ministre de l’Economie. Il n’y a pas de services auprès du Premier ministre en mesure de challenger le ministre de l’Economie. Si le budget avait été construit sur des hypothèses erronées, le Haut conseil des finances publiques (HCFP) l’aurait signalé ».

Là encore, la défense de l’élue semble bien fragile. Le HCFP présidé par Pierre Moscovici, dans son avis remis au moment de la présentation du budget 2024 montre que, « les recettes semblent un peu surestimées. Elles sont tirées vers le haut par la prévision de croissance élevée de l’activité et, au-delà, par des hypothèses favorables sur le rendement de certains impôt».

Dérapage déficit public : : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)

Dérapage déficit public :  : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)

Élisabeth Borne ancienne première ministre, a été particulièrement secouée lors de son audition au Sénat sur la responsabilité relative à la dérive du déficit du budget. Comme Bruno Le Maire, Attal et d’autres, elle a affirmé qu’elle n’était pas responsable et que la question des recettes ne relevait pas de la responsabilité du gouvernement ! Le même raisonnement que Bruno Le Maire ou une drôle de conception de la gestion ! Un peu comme si dans une entreprise ou un ménage on décidait d’ignorer les ressources pour décider des dépenses.

« . Je n’ai pas eu d’alerte avant décembre 2023. Il est inhabituel de piloter des incertitudes sur les recettes. Cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement d’anticiper d’hypothétiques risques sur les recettes calculées par les services », a-t-elle déclaré devant les sénateurs.

Interrogée sur les notes d’alerte envoyées par Bercy, la désormais députée à l’Assemblée nationale a balayé d’un revers de main les arguments du duo de choc du palais du Luxembourg. « Les alertes de la mi-décembre ont porté sur les objectifs de recettes. Ce n’est pas habituel d’avoir des écarts de cet ordre là. Jusqu’à mi-décembre, je n’ai pas eu d’alerte pour mesurer l’ampleur du montant », a déclaré Elisabeth Borne.

S’agissant des prévisions de croissance du projet de loi de finances 2024 (1,4%) jugées optimistes par beaucoup d’économistes à l’époque, elle a estimé que « ce n’est pas le rôle du Premier ministre de challenger les hypothèses de croissance de son ministre de l’Economie. Il n’y a pas de services auprès du Premier ministre en mesure de challenger le ministre de l’Economie. Si le budget avait été construit sur des hypothèses erronées, le Haut conseil des finances publiques (HCFP) l’aurait signalé ».

Là encore, la défense de l’élue semble bien fragile. Le HCFP présidé par Pierre Moscovici, dans son avis remis au moment de la présentation du budget 2024 montre que, « les recettes semblent un peu surestimées. Elles sont tirées vers le haut par la prévision de croissance élevée de l’activité et, au-delà, par des hypothèses favorables sur le rendement de certains impôt».

Finances publiques-Dérapage du déficit : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)

Finances publiques-Dérapage du déficit : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)

Élisabeth Borne ancienne première ministre, a été particulièrement secouée lors de son audition au Sénat sur la responsabilité relative à la dérive du déficit du budget. Comme Bruno Le Maire, Attal et d’autres, elle a affirmé qu’elle n’était pas responsable et que la question des recettes ne relevait pas de la responsabilité du gouvernement ! Le même raisonnement que Bruno Le Maire ou une drôle de conception de la gestion ! Un peu comme si dans une entreprise ou un ménage on décidait d’ignorer les ressources  pour décider des dépenses.

 

« . Je n’ai pas eu d’alerte avant décembre 2023. Il est inhabituel de piloter des incertitudes sur les recettes. Cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement d’anticiper d’hypothétiques risques sur les recettes calculées par les services », a-t-elle déclaré devant les sénateurs.

Interrogée sur les notes d’alerte envoyées par Bercy, la désormais députée à l’Assemblée nationale a balayé d’un revers de main les arguments du duo de choc du palais du Luxembourg. « Les alertes de la mi-décembre ont porté sur les objectifs de recettes. Ce n’est pas habituel d’avoir des écarts de cet ordre là. Jusqu’à mi-décembre, je n’ai pas eu d’alerte pour mesurer l’ampleur du montant », a déclaré Elisabeth Borne.

S’agissant des prévisions de croissance du projet de loi de finances 2024 (1,4%) jugées optimistes par beaucoup d’économistes à l’époque, elle a estimé que « ce n’est pas le rôle du Premier ministre de challenger les hypothèses de croissance de son ministre de l’Economie. Il n’y a pas de services auprès du Premier ministre en mesure de challenger le ministre de l’Economie. Si le budget avait été construit sur des hypothèses erronées, le Haut conseil des finances publiques (HCFP) l’aurait signalé ».

Là encore, la défense de l’élue semble bien fragile. Le HCFP présidé par Pierre Moscovici, dans son avis remis au moment de la présentation du budget 2024 montre que, « les recettes semblent un peu surestimées. Elles sont tirées vers le haut par la prévision de croissance élevée de l’activité et, au-delà, par des hypothèses favorables sur le rendement de certains impôt».

Dérapage du déficit : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)

Dérapage du déficit : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)

Élisabeth Borne ancienne première ministre, a été particulièrement secouée lors de son audition au Sénat sur la responsabilité relative à la dérive du déficit du budget. Comme Bruno Le Maire, Attal et d’autres, elle a affirmé qu’elle n’était pas responsable et que la question des recettes ne relevait pas de la responsabilité du gouvernement ! Le même raisonnement que Bruno Le Maire ou une drôle de conception de la gestion ! Un peu comme si dans une entreprise ou un ménage on décidait d’ignorer les ressources  pour décider des dépenses.

 

« . Je n’ai pas eu d’alerte avant décembre 2023. Il est inhabituel de piloter des incertitudes sur les recettes. Cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement d’anticiper d’hypothétiques risques sur les recettes calculées par les services », a-t-elle déclaré devant les sénateurs.

Interrogée sur les notes d’alerte envoyées par Bercy, la désormais députée à l’Assemblée nationale a balayé d’un revers de main les arguments du duo de choc du palais du Luxembourg. « Les alertes de la mi-décembre ont porté sur les objectifs de recettes. Ce n’est pas habituel d’avoir des écarts de cet ordre là. Jusqu’à mi-décembre, je n’ai pas eu d’alerte pour mesurer l’ampleur du montant », a déclaré Elisabeth Borne.

S’agissant des prévisions de croissance du projet de loi de finances 2024 (1,4%) jugées optimistes par beaucoup d’économistes à l’époque, elle a estimé que « ce n’est pas le rôle du Premier ministre de challenger les hypothèses de croissance de son ministre de l’Economie. Il n’y a pas de services auprès du Premier ministre en mesure de challenger le ministre de l’Economie. Si le budget avait été construit sur des hypothèses erronées, le Haut conseil des finances publiques (HCFP) l’aurait signalé ».

Là encore, la défense de l’élue semble bien fragile. Le HCFP présidé par Pierre Moscovici, dans son avis remis au moment de la présentation du budget 2024 montre que, « les recettes semblent un peu surestimées. Elles sont tirées vers le haut par la prévision de croissance élevée de l’activité et, au-delà, par des hypothèses favorables sur le rendement de certains impôt».

 

Budget : Le Maire propose tardivement des économies bien vagues

Budget : Le Maire propose tardivement des économies bien vagues

Sans doute pour répondre au très sévère critique des institutions financières françaises ou internationales le ministre des finances propose bien tardivement de très vague économie.

 « La France doit passer d’un État Providence à un État protecteur. L’État doit protéger les plus faibles, mais il ne doit pas continuer de verser des chèques et des aides de manière aussi large. L’Etat doit se concentrer sur l’éducation, la décarbonation, la Défense et la sécurité, et la réduction de la dette. Ce sont les priorités pour le XXIème siècle », confie-t-il à La Tribune.

Concernant le salaire le ministre des finances estime que. « Le débat politique est hors-sol aujourd’hui »l. « Le débat fait fi de toute réalité économique et financière. Par exemple sur le Smic, il y a des TPE, des PME, des indépendants et des artisans qui doivent payer leurs salariés. Si on leur demande de payer ces salariés 1.600 euros alors que la productivité baisse, ces entreprises licencieront », prévient l’ancien ministre de l’Agriculture sous Nicolas Sarkozy.

Pour le quinquagénaire, « la bonne solution pour augmenter le salaire net des salariés est de revoir complètement la pente des allègements de charges, redonner de la dynamique salariale, et continuer de créer de l’emploi ».

Bref, des pistes qui semblent très radicales mais qui n’ont pas été beaucoup mis en œuvre sans parler du flou qui les caractérise

Bruno Le Maire, déjà candidat en 2027

Bruno Le Maire, déjà candidat en 2027

Alors que le camp des Républicains peine à trouver un responsable actuellement pour un parti en régression, on risque de voir émerger nombre de candidatures pour 2027. Récemment c’était le ministre de l’intérieur qui annonçait de se préparer pour des échéances ultérieures et maintenant c’est Bruno Lemaire. On peut penser qu’il y en aura d’autres du même camp sans parler évidemment d’Édouard Philippe qui, lui aussi, vient  des républicains. 

« Dans la vie, il ne faut pas exclure, il faut inclure. » Bruno Le Maire pourrait-il être candidat à l’élection présidentielle de 2027 ? Le ministre de l’Économie a accordé un entretien à BFMTV dans la soirée de ce mercredi 26 juin. Interrogé sur une possible candidature en 2027, il n’a pas écarté cette possibilité, tout en restant très vague. À l’approche du premier tour des élections législatives, prévu dimanche 30 juin, et du second tour le 7 juillet prochain, Bruno Le Maire a promis de donner sa consigne de vote le 1er juillet. Il n’a néanmoins pas indiqué ce qu’il ferait à l’issue du scrutin mais a assuré : « Avant la fin de l’été, je vous promets, vous saurez ce que je deviens. » 

Et de s’en  prendre au Rassemblement national (RN) et au Nouveau Front populaire en pointant les « points communs » de leurs programmes. « Les points communs des programmes des deux extrêmes c’est travailler moins pour gagner plus, c’est renoncer au travail et à la force du travail, c’est détruire la nation de production que nous étions en train de recréer avec la majorité », a-t-il enfin jugé sur le plateau de la chaîne d’informations.

Des « cloportes » à l’Élysée d’après Bruno Le Maire

Des « cloportes » à l’Élysée d’après Bruno Le Maire

Invité de TV5 Monde jeudi, Bruno Le Maire a qualifié certains conseillers de l’ombre de «cloportes», ces petits crustacés terrestres d’une dizaine de millimètres,( nuisibles au figuré) dont regorgeraient les «parquets des ministères» et les «palais de la République». «Il y en a toujours eu, ça fait partie de la vie politique française, et il est très difficile de s’en débarrasser»,  a Lâché le ministre de l’économie très en colère contre la décision de dissolution de l’Assemblée nationale.

 

 

Le ministre de l’économie est très remonté contre la décision de Macron de dissoudre l’assemblée nationale d’autant qu’il n’a jamais été consulté et pas davantage le premier ministre. Il met en cause l’entourage de l’Élysée notamment. Ces conseillers qui en fait  sont souvent des courtisans qui ne font que renvoyer l’image que le monarque souhaite de lui-même. Ce monde que l’on rencontre à l’Élysée mais aussi à Matignon et dans les ministères. Des conseillers plus préoccupés de leur carrière professionnelle que de l’intérêt général le plus souvent. Le passage discret dans des ministères constituant un accélérateur de carrière

Trop de conseillers « cloportes » à l’Élysée d’après Bruno Le Maire

Trop de conseillers « cloportes » à l’Élysée d’après Bruno Le Maire

Invité de TV5 Monde jeudi, Bruno Le Maire a qualifié certains conseillers de l’ombre de «cloportes», ces petits crustacés terrestres d’une dizaine de millimètres, dont regorgeraient les «parquets des ministères» et les «palais de la République». «Il y en a toujours eu, ça fait partie de la vie politique française, et il est très difficile de s’en débarrasser»,  a Lâché le ministre de l’économie très en colère contre la décision de dissolution de l’Assemblée nationale.

 

 

Le ministre de l’économie est très remonté contre la décision de Macron de dissoudre l’assemblée nationale d’autant qu’il n’a jamais été consulté et pas davantage le premier ministre. Il met en cause l’entourage de l’Élysée notamment. Ces conseillers qui en fait  sont souvent des courtisans qui ne font que renvoyer l’image que le monarque souhaite de lui-même. Ce monde que l’on rencontre à l’Élysée mais aussi à Matignon et dans les ministères. Des conseillers plus préoccupés de leur carrière professionnelle que de l’intérêt général le plus souvent. Le passage discret dans des ministères constituant un accélérateur de carrière

Réformes : « L’écrivain Bruno Le Maire devrait en parler au ministre de l’économie » ( Macron)

Réformes : « L’écrivain  Bruno Le Maire devrait en parler au ministre de l’économie » ( Macron)

Emmanuel Macon n’a pas spécialement apprécié les leçons de rigueur que donne Bruno Lemaire dans son dernier livre.  Cela d’autant plus que c’est son sixième livre depuis qu’il est ministre. Selon des propos rapportés mardi soir par Le Canard enchaîné, Emmanuel Macron aurait été cinglant Macron considère que le patron de Bercy «a raison sur la relance économique et les réformes à faire.» Mais d’ajouter : «Il devrait en parler à celui qui est ministre de l’Économie et des Finances depuis sept ans.» 

 

D’autant plus qu’Emmanuel Macron a décoché une autre flèche contre son ministre. «Il y a un temps pour l’écriture et un temps pour l’action, et ils sont rarement conciliables». «Quand des ministres écrivent des bouquins, ça donne toujours le sentiment qu’ils n’ont rien d’autre à faire», a-t-il encore cinglé. Des piques qui ne font visiblement pas changer Bruno Le Maire d’un iota.

 

Le Maire veut réduire le financement du développement de la fibre

Le Maire veut réduire le financement du développement de la fibre

Le gouvernement a décidé de réduire de 150 millions le plan de développement de la fibre. Un non-sens économique évidemment car il s’agit d’une technologie support fondamentale pour le développement économique, aussi pour l’aménagement du territoire

Le ministre de l’économie a décidé de tailler dans le financement du plan France Très haut débit (PTHD), qui ambitionne d’apporter la fibre à tous les Français à l’horizon 2025. D’après le décret, Bercy compte annuler près de 38 millions d’euros d’autorisations d’engagement, et près de 117 millions d’euros de crédits de paiement. Un coup de rabot, qui, au total, atteint plus de 154 millions d’euros.

 

Les collectivités, elles, sont très remontées. Interrogée par La Tribune, l’Avicca, l’influente association regroupant les collectivités impliquées dans le numérique, ne mâche pas ses mots. Elle se dit « stupéfaite ». L’association considère, notamment, que ces annulations de financement « mettent en péril le financement des RIP ». C’est-à-dire les Réseaux d’initiative publique déployés dans les campagnes grâce, en partie, aux deniers de l’Etat. L’Association des maires de France (AMF) y est aussi allée de son coup de gueule. « Le plan France Très haut débit perd 40% de ses crédits », déplore-t-elle dans un communiqué, soulignant que l’ensemble des réductions budgétaires présentées ce jeudi vont « lourdement impacter le quotidien des Français ».

 

Bruno Le Maire en « écolo »

Bruno Le Maire en « écolo »

Le ministre de l’économie a clairement fermé la porte à toute mesure financière concernant le changement climatique:
« la porte du ministère des Finances, elle est fermée », a averti Bruno Le Maire, ce jeudi . Pour compenser il fait semblant d’inciter les grandes entreprises à donner un coup de peinture verte sur leur politique. On voit mal ce que pourrait faire en supplément des entreprises comme EDF ou la SNCF d’autant que leur avenir dépend largement des questions de financement des investissements et des conditions d’exploitation décidées par le gouvernement.

Ce jeudi, les ministres Bruno Le Maire et l’inutile Christophe Béchu ont tenu une conférence de presse au terme d’une réunion avec « les représentants des filières économiques ainsi que des organisations syndicales pour lancer les travaux sur l’adaptation des entreprises au changement climatique ».

Bref Bruno le maire repeint aussi un peu en vert son discours avec sans doute la préoccupation d’un bilan un peu plus présentable pour sa candidature aux présidentielles de 2027. Un discours d’ailleurs assez pathétique histoire discrètement de contrer le discours du Premier ministre.

« Le changement climatique est déjà là, a acté le locataire de Bercy. (…) [Les catastrophes climatiques] créent des souffrances pour nos compatriotes. (…) Nous ne pouvons pas attendre, et il ne suffit pas de fixer des grands plans : il faut prendre des décisions immédiates (…) afin d’anticiper pour protéger et faciliter la vie de nos compatriotes. »

Bruno Le Maire a mis l’accent sur trois mesures. Il a notamment mis en exergue la nécessité pour les transports publics et les entreprises énergétiques « d’être résistants au changement climatique ». « Je demande donc que toutes les grandes entreprises publiques, je pense à la SNCF, EDF, RTE, nous fournissent d’ici fin 2024 un plan détaillé d’adaptation au changement climatique », a-t-il exigé.
Bref la nullité, la démagogie qui le dispute à l’impuissance. Et la manifestation très nette que le ministre de l’économie se prend en fait pour le premier ministre.

Environnement- Bruno Le Maire se met au vert » bidon »

Environnement- Bruno Le Maire se met au vert » bidon »

Le ministre de l’économie a clairement fermé la porte à toute mesure financière concernant le changement climatique:
« la porte du ministère des Finances, elle est fermée », a averti Bruno Le Maire, ce jeudi . Pour compenser il fait semblant d’inciter les grandes entreprises à donner un coup de peinture verte sur leur politique. On voit mal ce que pourrait faire en supplément des entreprises comme EDF ou la SNCF d’autant que leur avenir dépend largement des questions de financement des investissements et des conditions d’exploitation décidées par le gouvernement.

Ce jeudi, les ministres Bruno Le Maire et l’inutile Christophe Béchu ont tenu une conférence de presse au terme d’une réunion avec « les représentants des filières économiques ainsi que des organisations syndicales pour lancer les travaux sur l’adaptation des entreprises au changement climatique ».

Bref Bruno le maire repeint aussi en vert son discours avec sans doute la préoccupation d’un bilan un peu plus présentable pour sa candidature aux présidentielles de 2027. Un discours d’ailleurs assez pathétique histoire discrètement de contrer le discours du Premier ministre.

« Le changement climatique est déjà là, a acté le locataire de Bercy. (…) [Les catastrophes climatiques] créent des souffrances pour nos compatriotes. (…) Nous ne pouvons pas attendre, et il ne suffit pas de fixer des grands plans : il faut prendre des décisions immédiates (…) afin d’anticiper pour protéger et faciliter la vie de nos compatriotes. »

Bruno Le Maire a mis l’accent sur trois mesures. Il a notamment mis en exergue la nécessité pour les transports publics et les entreprises énergétiques « d’être résistants au changement climatique ». « Je demande donc que toutes les grandes entreprises publiques, je pense à la SNCF, EDF, RTE, nous fournissent d’ici fin 2024 un plan détaillé d’adaptation au changement climatique », a-t-il exigé.
Bref la nullité, la démagogie qui le dispute à l’impuissance. Et la manifestation très nette que le ministre de l’économie se prend en fait pour le premier ministre.

Changement climatique Bruno Le Maire se met au vert « bidon »

Changement climatique Bruno Le Maire se met au vert » bidon »

Le ministre de l’économie a clairement fermé la porte à toute mesure financière concernant le changement climatique:
« la porte du ministère des Finances, elle est fermée », a averti Bruno Le Maire, ce jeudi . Pour compenser il fait semblant d’inciter les grandes entreprises à donner un coup de peinture verte sur leur politique. On voit mal ce que pourrait faire en supplément des entreprises comme EDF ou la SNCF d’autant que leur avenir dépend largement des questions de financement des investissements et des conditions d’exploitation décidées par le gouvernement.

Ce jeudi, les ministres Bruno Le Maire et l’inutile Christophe Béchu ont tenu une conférence de presse au terme d’une réunion avec « les représentants des filières économiques ainsi que des organisations syndicales pour lancer les travaux sur l’adaptation des entreprises au changement climatique ».

Bref Bruno le maire repeint aussi en vert son discours avec sans doute la préoccupation d’un bilan un peu plus présentable pour sa candidature aux présidentielles de 2027. Un discours d’ailleurs assez pathétique histoire discrètement de contrer le discours du Premier ministre.

« Le changement climatique est déjà là, a acté le locataire de Bercy. (…) [Les catastrophes climatiques] créent des souffrances pour nos compatriotes. (…) Nous ne pouvons pas attendre, et il ne suffit pas de fixer des grands plans : il faut prendre des décisions immédiates (…) afin d’anticiper pour protéger et faciliter la vie de nos compatriotes. »

Bruno Le Maire a mis l’accent sur trois mesures. Il a notamment mis en exergue la nécessité pour les transports publics et les entreprises énergétiques « d’être résistants au changement climatique ». « Je demande donc que toutes les grandes entreprises publiques, je pense à la SNCF, EDF, RTE, nous fournissent d’ici fin 2024 un plan détaillé d’adaptation au changement climatique », a-t-il exigé.
Bref la nullité, la démagogie qui le dispute à l’impuissance. Et la manifestation très nette que le ministre de l’économie se prend en fait pour le premier ministre.

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