Archive pour le Tag 'France'

Agriculture : la France importe de plus en plus

Agriculture : la France importe de plus en plus

« les chiffres de l’importation depuis cinq ans nous alarment : nous importons une part de plus en plus importante de notre alimentation : 40% de nos légumes, 60% de nos fruits, 50% de nos poulets, 25% de nos viandes bovines, 50% de nos viandes ovines », a ainsi interpellé Arnaud Rousseau.. Au-delà de « la capacité qu’a la France à pouvoir assurer, demain, la fourniture d’une alimentation de qualité et en quantité pour l’ensemble de ses compatriotes, [la souveraineté] c’est aussi la place que la France occupe en Europe et dans son environnement immédiat », a rappelé celui qui a été élu mi-avril à la tête de l’organisation, succédant à Christiane Lambert.

Malgré ses atouts indéniables, la France fait état d’une « balance commerciale des produits agricoles en chute libre », a regretté Arnaud Rousseau. « Il nous reste encore un peu les vins et les spiritueux, les produits laitiers et un peu les céréales, mais nous avons largement perdu des parts de marché », a-t-il signalé, regrettant que « depuis une vingtaine d’année sur bien des plans, nous sommes en recul : sur celui de la production, de la création de valeur ajoutée, des échanges ».

Or, la souveraineté alimentaire mondiale a été largement fragilisée à la suite de l’éclatement du conflit en Ukraine qui a provoqué une flambée des prix de certaines matières premières. Et ce, particulièrement sur le continent africain où « une bataille s’opère pour l’approvisionnement en céréales », explique Arnaud Rousseau. Mais si « seuls une dizaine de pays [dont la France, ndlr] sont capables de fournir durablement des produits laitiers, des céréales, des viandes, des huiles », « on voit bien que les grands blocs mondiaux, notamment les Etats-Unis et la Chine, regardent la question alimentaire comme une arme de soft power ».

« Il faut recréer un dialogue avec l’ensemble de la société », a en outre affirmé Arnaud Rousseau. Et d’expliquer qu’« il y a encore 10 ou 20 ans, la plupart de nos compatriotes avaient un lien avec l’agriculture plus ou moins direct, un cousin, un oncle, un grand-père. Aujourd’hui, un certain nombre de Français ne savent plus rien sur l’agriculture. Il faut réexpliquer l’intérêt de préserver une agriculture de production ».

Lors de son audition, le président de la FNSEA a également abordé la concurrence avec l’Europe quant à l’utilisation de produits phytosanitaires, évoquant la décision de la France « de retirer certaines molécules qui ne le sont pas ailleurs, ce qui nous questionne en matière de compétitivité ». Et d’estimer que « nos concurrents les plus féroces sont nos voisins immédiats, à l’intérieur de l’Europe ».

Le 21 avril, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a, en effet annoncé, l’interdiction des principaux usages du S-métolachlore, un puissant herbicide polluant les eaux souterraines en France. Une décision à laquelle s’est opposée la FNSEA, mais aussi le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau. Ce dernier avait demandé fin mars à l’Anses « une réévaluation de sa décision » qui priverait les agriculteurs français de ce désherbant avant que l’interdiction ne soit généralisée dans l’ensemble de l’Union européenne.

« Je ne serai pas le ministre qui abandonnera des décisions stratégiques pour notre souveraineté alimentaire à la seule appréciation d’une agence », avait-il assuré devant les agriculteurs et représentants de la FNSEA réunis en congrès.

Le syndicat a également obtenu le soutien du Sénat qui a adopté le 23 mai dernier en première lecture une proposition de loi sur la compétitivité de l’agriculture, dont la mesure la plus controversée vise à autoriser le ministre à suspendre des décisions de l’Anses sur les pesticides, après évaluation du risque économique pour l’agriculture française. Une mesure qui revient sur l’indépendance même de l’agence pourtant consacrée par une loi datant de 2014. Et si le texte a peu de chances de prospérer en l’état, Marc Fesneau a néanmoins estimé qu’il constituait une « bonne initiative », dans le sens où il permet de replacer la notion de compétitivité agricole au coeur du débat.

Agriculture : la concurrence vient surtout des pays proches et la France importe de plus en plus

Agriculture : la concurrence vient surtout des pays proches et la France importe de plus en plus

« les chiffres de l’importation depuis cinq ans nous alarment : nous importons une part de plus en plus importante de notre alimentation : 40% de nos légumes, 60% de nos fruits, 50% de nos poulets, 25% de nos viandes bovines, 50% de nos viandes ovines », a ainsi interpellé Arnaud Rousseau.. Au-delà de « la capacité qu’a la France à pouvoir assurer, demain, la fourniture d’une alimentation de qualité et en quantité pour l’ensemble de ses compatriotes, [la souveraineté] c’est aussi la place que la France occupe en Europe et dans son environnement immédiat », a rappelé celui qui a été élu mi-avril à la tête de l’organisation, succédant à Christiane Lambert.

Malgré ses atouts indéniables, la France fait état d’une « balance commerciale des produits agricoles en chute libre », a regretté Arnaud Rousseau. « Il nous reste encore un peu les vins et les spiritueux, les produits laitiers et un peu les céréales, mais nous avons largement perdu des parts de marché », a-t-il signalé, regrettant que « depuis une vingtaine d’année sur bien des plans, nous sommes en recul : sur celui de la production, de la création de valeur ajoutée, des échanges ».

Or, la souveraineté alimentaire mondiale a été largement fragilisée à la suite de l’éclatement du conflit en Ukraine qui a provoqué une flambée des prix de certaines matières premières. Et ce, particulièrement sur le continent africain où « une bataille s’opère pour l’approvisionnement en céréales », explique Arnaud Rousseau. Mais si « seuls une dizaine de pays [dont la France, ndlr] sont capables de fournir durablement des produits laitiers, des céréales, des viandes, des huiles », « on voit bien que les grands blocs mondiaux, notamment les Etats-Unis et la Chine, regardent la question alimentaire comme une arme de soft power ».

« Il faut recréer un dialogue avec l’ensemble de la société », a en outre affirmé Arnaud Rousseau. Et d’expliquer qu’« il y a encore 10 ou 20 ans, la plupart de nos compatriotes avaient un lien avec l’agriculture plus ou moins direct, un cousin, un oncle, un grand-père. Aujourd’hui, un certain nombre de Français ne savent plus rien sur l’agriculture. Il faut réexpliquer l’intérêt de préserver une agriculture de production ».

Lors de son audition, le président de la FNSEA a également abordé la concurrence avec l’Europe quant à l’utilisation de produits phytosanitaires, évoquant la décision de la France « de retirer certaines molécules qui ne le sont pas ailleurs, ce qui nous questionne en matière de compétitivité ». Et d’estimer que « nos concurrents les plus féroces sont nos voisins immédiats, à l’intérieur de l’Europe ».

Le 21 avril, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) a, en effet annoncé, l’interdiction des principaux usages du S-métolachlore, un puissant herbicide polluant les eaux souterraines en France. Une décision à laquelle s’est opposée la FNSEA, mais aussi le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau. Ce dernier avait demandé fin mars à l’Anses « une réévaluation de sa décision » qui priverait les agriculteurs français de ce désherbant avant que l’interdiction ne soit généralisée dans l’ensemble de l’Union européenne.

« Je ne serai pas le ministre qui abandonnera des décisions stratégiques pour notre souveraineté alimentaire à la seule appréciation d’une agence », avait-il assuré devant les agriculteurs et représentants de la FNSEA réunis en congrès.

Le syndicat a également obtenu le soutien du Sénat qui a adopté le 23 mai dernier en première lecture une proposition de loi sur la compétitivité de l’agriculture, dont la mesure la plus controversée vise à autoriser le ministre à suspendre des décisions de l’Anses sur les pesticides, après évaluation du risque économique pour l’agriculture française. Une mesure qui revient sur l’indépendance même de l’agence pourtant consacrée par une loi datant de 2014. Et si le texte a peu de chances de prospérer en l’état, Marc Fesneau a néanmoins estimé qu’il constituait une « bonne initiative », dans le sens où il permet de replacer la notion de compétitivité agricole au coeur du débat.

Covid France le 1er juin 2023 : 5210 cas supplémentaires en 24 heures et zéro mort

Covid France le 1er juin 2023 : 5210 cas supplémentaires en 24 heures et zéro mort


On enregistre mercredi 31 mai 2023 : 5210 cas supplémentaires en 24 heures et zéro mort soit au total depuis le début de la pandémie 167.311 morts au total.

Le taux de reproductivité R est de 1,07 le taux d’incidence à 36,28 et la tension hospitalière à 12,2 %.

La France compte actuellement 10.469 (-64) personnes hospitalisées et 615 (-3) malades en réanimation.

Bilan des régions:

Ile-de-France : 4.390 (+2) hospitalisées, 286 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
Grand Est : 386 (-9) hospitalisés, 18 (-2) en réanimation et +6 décès en 24h
Hauts de France : 758 (+3) hospitalisés, 32 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 701 (-23) hospitalisés, 50 (0) en réanimation et +5 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 628 (-11) hospitalisé, 36 (0) en réanimation et +5 décès en 24h
Bretagne: 381 (-9) hospitalisés, 12 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h
Normandie : 461 (-4) hospitalisés, 9 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.068 (0) hospitalisés, 75 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
Pays de la Loire : 105 (-5) hospitalisés, 4 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 670 (0) hospitalisés, , 38 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 518 (-10) hospitalisés, 26 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 186 (-5) hospitalisés, 12 (0) en réanimation et +2 décès en 24h

Immobilier: la baisse des prix se répand en France

Immobilier: la baisse des prix se répand en France

Comme c’était visible, l’immobilier risque de connaître une crise particulièrement grave à la fois dans le domaine du neuf comme de l’occasion. Les candidats à l’accession à la propriété sont coincés entre des prix complètement excessifs, des taux d’intérêt qui manque est une solvabilité atteinte par la baisse de leur pouvoir d’achat. Dans la location la situation et neutraliser du faîte des coûts exorbitants nécessaires pour la mise aux normes des appartements et autres logements. Conséquence la baisse des prix se répand un peu partout en France mais ce n’est qu’un début.

Pour la première fois depuis 2015, les prix immobiliers ont reculé pour les ventes dans le logement ancien. Après Paris, les régions sont désormais touchées par le phénomène.

«L’immobilier est entré dans une nouvelle ère.» Fini les crédits qui se décrochent aisément et les logements qui se vendent en quelques jours. Sauf pour ceux qui sont exceptionnels. Mais tout le monde n’a pas les moyens de s’en offrir un. En effet, la plupart des ménages n’arrivent plus à acquérir un logement: à cause de la hausse des taux, leur capacité d’emprunt moyenne est passée, en dix-huit mois, de 200.000 euros sur 20 ans à 150.000 euros, selon le courtier Meilleurtaux.

Conséquence: les ventes immobilières ont chuté de plus de 10% en un an et demi. À cette allure-là, la barre symbolique du million de transactions, dépassée ces 4 dernières années, sera franchie à la baisse. «On a l’habitude de dire que l’année (immobilière) se fait au printemps. Ce principe est à reconsidérer», analyse Me Élodie Frémont, présidente de la commission statistique des notaires du Grand Paris.

Covid France 31 mai 2023 :902 cas supplémentaires en 24 heures et 34 morts

Covid France 31 mai 2023 :902 cas supplémentaires en 24 heures et 34 morts

On enregistre mardi 30 mai 2023 :902 cas supplémentaires en 24 heures et 34 morts soit depuis le début de la pandémie 167.311 morts au total, +34 morts supplémentaires.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.692 (0) et celui de décès en milieu hospitalier est de 137.619 (+34 depuis le dernier bilan).

Covid France 31 mai 2023 :902 car supplémentaire en 24 heures et 34Le taux de reproductivité R est de 1,07 le taux d’incidence à 36,19 et la tension hospitalière à 12,2 %.

La France compte actuellement 10.469 (-64) personnes hospitalisées et 615 (-3) malades en réanimation.

Bilan des régions:

Ile-de-France : 4.390 (+2) hospitalisées, 286 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
Grand Est : 386 (-9) hospitalisés, 18 (-2) en réanimation et +6 décès en 24h
Hauts de France : 758 (+3) hospitalisés, 32 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 701 (-23) hospitalisés, 50 (0) en réanimation et +5 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 628 (-11) hospitalisé, 36 (0) en réanimation et +5 décès en 24h
Bretagne: 381 (-9) hospitalisés, 12 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h
Normandie : 461 (-4) hospitalisés, 9 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.068 (0) hospitalisés, 75 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
Pays de la Loire : 105 (-5) hospitalisés, 4 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 670 (0) hospitalisés, , 38 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 518 (-10) hospitalisés, 26 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 186 (-5) hospitalisés, 12 (0) en réanimation et +2 décès en 24h

Notation de la France : la première ministre conteste les agences de notation!

Notation de la France : la première ministre conteste les agences de notation!

Le gouvernement s’attend comme la plupart des experts d’ailleurs à un abaissement de la note financière de la France. Les faits qui justifient la diminution de la note sont pourtant objectifs avec un déficit budgétaire de l’ordre de 5 %’ (au lieu de 3% prévus par l’Europe), un envol de l’endettement à 113 % du PIB ( au lieu de 60% et alors que les Allemands sont à 70 %) et des charges financières qui annuellement représentent 50 milliards. Bref une véritable explosion des équilibres financiers.

En dépit de cela la première ministre veut discuter avec les agences de notation pour évaluer la capacité financière de la France et le gouvernement a déjà contesté l’abaissement de la note par l’agence Fitch.

Certes les Etats sont fondés à fournir des informations aux agences de notation et forcément tentent de justifier leur bilan financier. Pour autant, il n’appartient pas aux Etats de définir en commun avec les agences de notation la note à attribuer. De ce point de vue, le gouvernement français confond sans doute ce qui relève de l’autorité française et ce qui relève de l’autorité d’organismes internationaux indépendants .

Le gouvernement fait valoir ses réformes et eu des «discussions très étroites» avec l’agence financière Standard and Poor’s, avant sa notation attendue de la dette française début juin, a indiqué Élisabeth Borne dans un entretien diffusé dimanche par Radio J. Ces échanges ont eu lieu avec le ministre des Finances Bruno Le Maire, a précisé la première ministre, qui était interrogée sur le risque d’une dégradation de la note de crédit du pays, après celle infligée fin avril par l’agence Fitch.

Température:La France glisse doucement vers un climat tropical

Température:La France glisse doucement vers un climat tropical

La France glisse doucement vers un climat tropical et devrait s’adapter au réchauffement qui pourrait atteindre les 4 degrés, voilà l’objet de la consultation lancée ce 23 mai par l’exécutif, pour définir à quel scénario la France doit se préparer en matière de réchauffement climatique à la fin du siècle. Certaines zones particulièrement exposées (arc méditerranéen, couloir rhodanien, vallée de la Garonne) pourraient connaître jusqu’à 90 nuits tropicales par an.

Le dernier rapport du Giec a lui estimé en mars que le réchauffement climatique atteindrait la barre des 1,5°C au niveau mondial dès 2030-2035.

L’année 2022, la plus chaude jamais enregistrée en France depuis 1900, avec l’été le plus chaud jamais enregistré en Europe.

Ce qui se passe dans les Pyrénées-Orientales présage de ce qui va se passer dans d’autres départements donc, non seulement c’est un sujet pour les producteurs de ce territoire, mais c’est évidemment un enjeu pour toute l’agriculture française

Des bouleversements climatiques, aux conséquences graves. Souvenez-vous des témoignages, recueillis par les équipes de France 3, des habitants des quatre communes privées d’eau potable au mois dans les Pyrénées-Orientales.

Notation de la France : la Première ministre veut discuter avec Standard and Poor’s !

Notation de la France : la première ministre veut discuter avec Standard and Poor’s !

Le gouvernement s’attend comme la plupart des experts d’ailleurs à un abaissement de la note financière de la France. Les faits qui justifient la diminution de la note sont pourtant objectifs avec un déficit budgétaire de l’ordre de 5 %’ (au lieu de 3% prévus par l’Europe), un envol de l’endettement à 113 % du PIB ( au lieu de 60% et alors que les Allemands sont à 70 %) et des charges financières qui annuellement représentent 50 milliards. Bref une véritable explosion des équilibres financiers.

En dépit de cela la première ministre veut discuter avec les agences de notation pour évaluer la capacité financière de la France.

Certes les Etats sont fondés à fournir des informations aux agences de notation et forcément tentent de justifier leur bilan financier. Pour autant, il n’appartient pas aux Etats de définir en commun avec les agences de notation la note à attribuer. De ce point de vue, le gouvernement français confond sans doute ce qui relève de l’autorité française et ce qui relève de l’autorité d’organismes internationaux indépendants .

Le gouvernement fait valoir ses réformes et eu des «discussions très étroites» avec l’agence financière Standard and Poor’s, avant sa notation attendue de la dette française début juin, a indiqué Élisabeth Borne dans un entretien diffusé dimanche par Radio J. Ces échanges ont eu lieu avec le ministre des Finances Bruno Le Maire, a précisé la première ministre, qui était interrogée sur le risque d’une dégradation de la note de crédit du pays, après celle infligée fin avril par l’agence Fitch.

«Je pense qu’on mène des réformes, on a présenté récemment une trajectoire de nos finances jusqu’en 2027 dans laquelle on veut, comme le président de la République s’y était engagé, réduire notre déficit à 2,7 % (du PIB) en 2027», a-t-elle fait valoir. «On a aussi l’engagement dans cette trajectoire de baisser notre dette, et c’est ce que le ministre de l’Economie a eu l’occasion d’expliquer à Standard and Poor’s», a poursuivi la cheffe du gouvernement.

À lire aussiDette, déficit: pourquoi la France risque, encore une fois, de ne pas tenir ses engagements

Les grandes agences de notation évaluent régulièrement la capacité des États à rembourser leur dette. Fin avril, l’agence Fitch avait abaissé la note de la France, invoquant les fortes tensions sociales à l’œuvre autour de la réforme des retraites.

Interrogée sur un éventuel risque de récession en France, la première ministre a estimé que le gouvernement «agit pour que ce ne soit pas le cas». «On n’est pas simplement spectacteurs en train de se demander ce que va être la conjoncture», a-t-elle dit.

«On agit pour soutenir nos entreprises, la croissance économique, pour soutenir l’activité, et pouvoir avoir de la croissance y compris au service de la transition écologique et de la croissance au service de notre modèle social», a poursuivi Borne.

La France glisse doucement vers un climat tropical

La France glisse doucement vers un climat tropical

La France glisse doucement vers un climat tropical et devrait s’adapter au réchauffement qui pourrait atteindre les 4 degrés, voilà l’objet de la consultation lancée ce 23 mai par l’exécutif, pour définir à quel scénario la France doit se préparer en matière de réchauffement climatique à la fin du siècle. Certaines zones particulièrement exposées (arc méditerranéen, couloir rhodanien, vallée de la Garonne) pourraient connaître jusqu’à 90 nuits tropicales par an.

Le dernier rapport du Giec a lui estimé en mars que le réchauffement climatique atteindrait la barre des 1,5°C au niveau mondial dès 2030-2035.

L’année 2022, la plus chaude jamais enregistrée en France depuis 1900, avec l’été le plus chaud jamais enregistré en Europe.

Ce qui se passe dans les Pyrénées-Orientales présage de ce qui va se passer dans d’autres départements donc, non seulement c’est un sujet pour les producteurs de ce territoire, mais c’est évidemment un enjeu pour toute l’agriculture française

Des bouleversements climatiques, aux conséquences graves. Souvenez-vous des témoignages, recueillis par les équipes de France 3, des habitants des quatre communes privées d’eau potable au mois dans les Pyrénées-Orientales.

L’objectif du gouvernement est d’harmoniser les politiques d’adaptation à ce changement. Cela concerne notamment les infrastructures publiques, les réseaux d’eau qui vont devoir drainer des quantités plus importantes. Mais aussi les routes qu’il faut protéger à tout prix pour laisser passer les secours.

Face à cela, le gouvernement français, propose trois chantiers. Le premier visera à mettre à jour les différents référentiels sur lesquels s’appuient les autorités pour anticiper les effets du réchauffement. Le deuxième sera un plan d’accompagnement des collectivités locales tandis que le troisième lancera des études de vulnérabilité pour adapter l’activité économique.

La transition écologique pourrait-être financée, en partie, par les plus aisés ? Le gouvernement ne semble pas s’accorder sur la question. Bruno Lemaire excluait totalement cette hypothèse sur RTL le 23 mai, lorsque Christophe Béchu semblait ouvrir cette porte au micro de Franceinfo :

La suppression des vols intérieurs en France augmente les émissions de CO2 de l’aérien !

La suppression des vols intérieurs en France augmente les émissions de CO2 de l’aérien !

Un curieux plaidoyer en faveur du maintien des lignes intérieures dans le journal la Tribune qui affirme même que la suppression des vols intérieurs augmenterait les émissions de CO2 ! Bref un débat parfois sous influence de certains corporatismes. Surtout avec des arguments très spécieux.

« Ces maigres résultats n’ont rien de surprenant. Ce sont les seules liaisons sur lesquelles existe une alternative ferroviaire en moins de 2h30 comme l’exige la loi, dans la mesure où tous les vols vers Roissy-Charles-de-Gaulle en sont exemptés pour ne pas fragiliser le hub d’Air France.

Si cette loi ne sert donc pas à grand-chose pour lutter contre le réchauffement climatique, « aller plus loin » dans l’interdiction ne contribuera pas davantage à faire baisser les émissions de CO2. Au contraire, elle risque même de les… augmenter. Car, au regard de la valeur stratégique des créneaux de décollage dans les aéroports, du prix des avions qu’il faut rentabiliser et des personnels qu’il faut bien faire travailler, il est évident que les compagnies réaffecteront leur flotte positionnée sur le réseau domestique vers d’autres destinations étrangères moyen-courriers. Avec à la clé non seulement une durée des vols plus importante et par conséquent plus émettrice en CO2, mais aussi une réglementation plus favorable sur la compensation carbone !!! Celle-ci est en effet inexistante sur les vols vers les pays étrangers alors qu’elle est obligatoire sur les vols intérieurs.

Sans réduire dans le même temps le nombre de créneaux de décollage dans les aéroports, comme l’a fait par exemple Amsterdam, supprimer des vols intérieurs n’aura aucun impact sur la baisse des émissions, laquelle, dans tous les cas, ne peut être que très limitée. Le transport aérien intérieur représente 4% des émissions de CO2 en France. Et près de deux fois moins si l’on exclut les vols vers l’Outre-mer. »

« Cette loi n’est donc qu’un leurre pour contenter les opposants à l’aviation sans trop pénaliser un secteur d’activité indispensable à l’activité économique et à l’aménagement du territoire. Pas tant pour relier Paris aux régions françaises, où il va de soi que le train est la meilleure solution, que pour connecter les métropoles régionales entre elles, des axes très mal desservis par la SNCF. »….comme par le transport aérien !

Covid France 28 mai 2023: 3724 cas supplémentaires en 24 heures et 19 morts

Covid France 28 mai 2023: 3724 cas supplémentaires en 24 heures et 19 morts

On enregistre ce vendredi 26 mai 2023 : 3724 cas supplémentaires en 24 heures et 19 morts soit depuis le début de la pandémie 167.263 morts au total.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.692 (0) et celui de décès en milieu hospitalier est de 137.571 (+19 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 0,81 le taux d’incidence à 33,02 et la tension hospitalière à 12,3 %.

La France compte actuellement 10.560 (-54) personnes hospitalisées et 621 (+5) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.407 (-22) hospitalisées, 285 (+3) en réanimation et +1 décès en 24h
Grand Est : 399 (-11) hospitalisés, 20 (-2) en réanimation et +4 décès en 24h
Hauts de France : 760 (0) hospitalisés, 33 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 728 (-8) hospitalisés, 50 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 637 (-3) hospitalisé, 38 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Bretagne: 391 (-1) hospitalisés, 15 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 467 (-10) hospitalisés, 10 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.070 (+13) hospitalisés, 75 (+7) en réanimation et +1 décès en 24h
Pays de la Loire : 106 (-6) hospitalisés, 5 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
Occitanie: 670 (+1) hospitalisés, , 36 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 528 (-2) hospitalisés, 26 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 193 (-8) hospitalisés, 12 (-2) en réanimation et 0 décès en 24h

Nouvelles technologies–ChatGPT : disponible en France

Nouvelles technologies–ChatGPT : disponible en France

Téléchargeable sur les appareils Apple, la nouvelle application n’est pourtant pas facile à trouver sur les différents magasins (Voici le lien pour celui d’Apple). En effet, la recherche donne d’abord lieu à plusieurs répliques du vrai ChatGPT, qui ne sont pas du même acabit que la version originale. Et dont l’utilisation est payante. L’application gratuite, elle, de Sam Altman, président de l’OpenAI, n’arrive même pas en première position lorsque les mots-clés «ChatGPT» et «OpenAI» sont associés. Pour bénéficier de plus de fonctionnalités, les utilisateurs peuvent toutefois s’abonner à l’offre premium Plus.

L’app officielle de ChatGPT est simple : après s’être connecté avec un compte Apple, Google ou OpenAI, on arrive directement sur l’interface du robot conversationnel. On a la possibilité de dicter ses commandes grâce au moteur de reconnaissance vocale intégré, Whisper, qui se montre très efficace.

Alcool au volant : vers la tolérance zéro en France

Alcool au volant : vers la tolérance zéro en France


La présidente de l’Assemblée nationale s’est dite favorable au « zéro alcool » au volant, citant l’exemple du Japon. Ces propos interviennent après la mort de trois policiers dans un accident de voiture sous l’emprise de l’alcool et de la drogue.
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La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet rprône des mesures drastiques. Interrogée jeudi sur Sud Radio, la présidente de l’Assemblée nationale s’est dite favorable à une interdiction totale de l’alcool au volant.

Pour appuyer son propos, la députée Renaissance des Yvelines s’est appuyée sur l’exemple du Japon, qui applique une tolérance zéro à l’égard de l’alcool pour les conducteurs.

« J’ai vécu dans un pays, c’était le Japon, où c’était zéro alcool au volant. C’était pas 0,1 gramme, 0,2 gramme, mais zéro. Vous buvez un verre, vous ne conduisez pas. Je pense que quand on est au volant d’une voiture et qu’on est soit alcoolisé, soit sous l’emprise de stupéfiants, on est dangereux parce que la voiture devient une arme », a-t-elle expliqué.

Covid France 27 mai 2023: 3724 cas supplémentaires en 24 heures et 19 morts

Covid France 27 mai 2023: 3724 cas supplémentaires en 24 heures et 19 morts

On enregistre ce vendredi 26 mai 2023 : 3724 cas supplémentaires en 24 heures et 19 morts soit depuis le début de la pandémie 167.263 morts au total.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.692 (0) et celui de décès en milieu hospitalier est de 137.571 (+19 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 0,81 le taux d’incidence à 33,02 et la tension hospitalière à 12,3 %.

La France compte actuellement 10.560 (-54) personnes hospitalisées et 621 (+5) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.407 (-22) hospitalisées, 285 (+3) en réanimation et +1 décès en 24h
Grand Est : 399 (-11) hospitalisés, 20 (-2) en réanimation et +4 décès en 24h
Hauts de France : 760 (0) hospitalisés, 33 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 728 (-8) hospitalisés, 50 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 637 (-3) hospitalisé, 38 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Bretagne: 391 (-1) hospitalisés, 15 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 467 (-10) hospitalisés, 10 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.070 (+13) hospitalisés, 75 (+7) en réanimation et +1 décès en 24h
Pays de la Loire : 106 (-6) hospitalisés, 5 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
Occitanie: 670 (+1) hospitalisés, , 36 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 528 (-2) hospitalisés, 26 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 193 (-8) hospitalisés, 12 (-2) en réanimation et 0 décès en 24h

ChatGPT : disponible en France

ChatGPT : disponible en France

Téléchargeable sur les appareils Apple, la nouvelle application n’est pourtant pas facile à trouver sur les différents magasins (Voici le lien pour celui d’Apple). En effet, la recherche donne d’abord lieu à plusieurs répliques du vrai ChatGPT, qui ne sont pas du même acabit que la version originale. Et dont l’utilisation est payante. L’application gratuite, elle, de Sam Altman, président de l’OpenAI, n’arrive même pas en première position lorsque les mots-clés «ChatGPT» et «OpenAI» sont associés. Pour bénéficier de plus de fonctionnalités, les utilisateurs peuvent toutefois s’abonner à l’offre premium Plus.

L’app officielle de ChatGPT est simple : après s’être connecté avec un compte Apple, Google ou OpenAI, on arrive directement sur l’interface du robot conversationnel. On a la possibilité de dicter ses commandes grâce au moteur de reconnaissance vocale intégré, Whisper, qui se montre très efficace.

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