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Macron: Une insulte à la CFDT qu’il va payer cher

Macron: Une insulte à la CFDT qu’il va payer cher

complètement acculé, le président lors de son interview hier n’a pas hésité à mettre en question la responsabilité particulière de la CFDT concernant l’absence de consensus sur la réforme des retraites. Un mensonge indigne dans la mesure où le premier syndicat de France a toujours été à la pointe justement pour faire des propositions crédibles en matière de progrès économique et social. Même l’idée de la réforme universelle des retraites reprise par Macron vient de la CFDT. Macon l’a promise en 2017 pour finalement décider d’une réforme ratatinée injuste et inefficace non pas universelle mais seulement paramétrique.

Macron est coupable d’une injure envers la CFDT et en particulier son secrétaire général Laurent Berger, un leader autrement plus responsable que l’aventurier au service de la grande finance et qui n’hésite même pas à prendre le risque du chaos pour satisfaire aussi son ego.

Ce n’est pas par hasard si la CFDT, 50 ans après sa création, est devenue majoritaire. C’est grâce à un travail de cohérence, un travail déterminé, un travail efficace que la CFDT a pu persuader de plus en plus de couches sociales. L’évolution sociologique a aussi favorisé la croissance de la CFDT avec l’élévation générale du niveau d’éducation et de formation.

Macron, avec cette accusation de la CFD,T pratique la politique de la terre brûlée car désormais le dialogue avec les syndicats réformistes aujourd’hui majoritaires en France va devenir hypothétique voire impossible. Qui par exemple va être en capacité de gérer la chienlit actuelle qui risque de se transformer en chaos. Sûrement pas Macron et sa clique de courtisans et de petits marquis transparents et incompétents.

Qui pour négocier les réformes nécessaires à la transformation économique et sociale? L’affaire n’est pas nouvelle, Macron éprouve un mépris à l’égard de toutes les institutions intermédiaires et particulièrement pour les syndicats. Fondamentalement, c’est un petit-bourgeois de droite inculte politiquement et immature psychologiquement.

Avant d’être président de la république Macon n’a jamais connu le moindre engagement. Il est complètement hors sol et n’a qu’une vue ésotérique des réalités. Un président, aussi chef des armées, qui a évité de faire son service militaire pour cause d’études ! Ce qui en dit long sur ses convictions républicaines et démocratiques.

Pendant ce temps-là, depuis parfois des dizaines d’années, des responsable CFDT à tous les niveaux géographiques ont inlassablement servis le progrès social et participé à la modernisation économique. Beaucoup ont sacrifié leur carrière professionnelle personnelle pour se mettre au service du progrès social , économique et sociétal. Au service de la justice et de l’efficacité.

La proposition de réforme universelle proposée par la CFDT en 2012

La proposition de réforme universelle proposée par la CFDT en 2012 revue de la CFDT, Jean-Louis Malys , secrétaire national de la CFDT, responsable de la politique des retraites.

Le système des retraites a été construit pour des des profils de carrière issus des Trente Glorieuses. Ces schémas de carrière étaient principalement linéaires et ascendants, avec une prédominance de l’emploi masculin. Ils sont aujourd’hui de moins en moins représentatifs de la réalité. Une réforme globale des retraites est indispensable pour éviter le creusement des inégalités entre ceux dont le parcours se caractérise toujours par la stabilité et ceux qui ont connu des mobilités, le chômage et la précarité. Si rien n’est fait, cette deuxième catégorie de salariés serait la grande perdante de la poursuite de réformes paramétriques au fil de l’eau. Un débat national sur une réforme systémique constitue donc aujourd’hui une étape incontournable.

Résumer la question des retraites à une simple équation financière est l’attitude la plus courante mais aussi la plus dangereuse. Elle aboutit soit à durcir indistinctement les conditions d’accès à la retraite, donc à creuser les inégalités, soit à revendiquer un statu quo intenable financé par une ponction grandissante sur la richesse produite sans souci des autres dépenses nécessaires comme l’éducation, la recherche, la santé ou la dépendance.

Au-delà de ses enjeux collectifs, la question des retraites renvoie chacun à sa situation : son âge, son 39 Jean-Louis Malys est secrétaire national de la CFDT, responsable de la politique des retraites. Jean-Louis Malys La position de la CFDT sur les retraites Pour une réforme systémique Cadres-cfdt, n°453. avril 2013 40 parcours professionnel et personnel, sa situation familiale, son patrimoine, ses aspirations, sa conception des temps de vie. L’écart entre la vision personnelle, pour ne pas dire individuelle, et la réponse économique, pour ne pas dire arithmétique, montre le défi que nous devons relever pour imaginer des solutions adaptées à notre temps, à ses réelles opportunités et à ses nombreuses contraintes. Depuis longtemps, avant 2010, avant même 2003 et 1995, la CFDT a choisi la voie de la lucidité et de l’ambition tout en assumant le prix de l’inconfort.

Le livre blanc de Michel Rocard en 1991 disait déjà l’essentiel : « Même avec des hypothèses économiques favorables au plein emploi, les régimes de retraite connaîtront des problèmes de financement, avec, à partir de 2005, l’arrivée massive à l’âge de la retraite des générations nombreuses de l’aprèsguerre. Là où on avait trois cotisants pour un retraité en 1970, on n’en compte plus que 1,9 en 2010 et 1,7 en 2040 dans les circonstances les plus favorables, 1,3 dans le cas contraire. » La réforme Balladur de 1993, en ne s’attaquant qu’aux retraites du privé et en éludant tout débat démocratique, a été un premier acte dont le caractère complexe et insidieusement douloureux n’a ni permis ni souhaité éclairer les vrais enjeux.

Une orientation confédérale de longue date En 2003, le mouvement social et les choix portés par la CFDT, au-delà des polémiques et incompréhensions suscitées, a porté les véritables enjeux qui n’ont cessé de s’imposer depuis lors : le choix entre la question de l’âge de départ et la durée de cotisation, la situation profondément injuste des carrières longues, celle des petites retraites, en particulier des femmes, l’enjeu de la pénibilité, et la situation des poly-pensionnés mise au grand jour par notre organisation. Entre ceux qui vantaient le « courage » de la CFDT et ceux qui hurlaient à la trahison, le temps a aujourd’hui fait son œuvre. Ceux qui n’ont cessé de prôner l’immobilisme ou la seule solution financière (« les riches peuvent 41 payer ») ont continué à avaler quelques couleuvres : abandon un peu honteux de la revendication des 37 ans et demi puis compromis (acceptable ?) pour la réforme des régimes spéciaux en 2008.

Le gouvernement Fillon prétendait quant à lui avoir résolu la question de l’équilibre des retraites par la réforme de 2010, tout en annonçant par avance qu’une nouvelle réforme paramétrique est d’ores et déjà programmée en 2018, voire avant, si la récession devait s’installer. Même si le gouvernement Ayrault prévoit une concertation sur les retraites à partir du printemps 2013, le temps du débat de fond sur ce thème n’est pas encore advenu et celui du consensus apparaît bien aléatoire. Débat et consensus sont-ils nécessaires ? Sont-ils possibles ? Nous continuons à le penser, sans pour autant imaginer qu’ils soient aisés l’un et l’autre. L’idée d’une réforme des retraites de grande ampleur fait partie des orientations confédérales depuis plus d’une décennie sous des appellations diverses, qu’il s’agisse d’une « refondation de la répartition » (congrès de Lille), d’une « réforme globale des retraites » (congrès de Nantes) ou d’une « harmonisation et consolidation de tous les régimes de retraites par répartition » (congrès de Grenoble). La réflexion s’est développée lors du Conseil national confédéral en mai 2008, où l’idée d’une réforme systémique des retraites a été formulée. Elle s’est également traduite en 2009 par la demande publique d’un « Grenelle des retraites ». Les enjeux politiques définis ainsi prennent en compte le triple défi de la démographie, de l’emploi et des inégalités.

Ils impliquent un débat de société pour préparer une réforme générale du système de retraite, afin de le rendre plus juste et pérenne financièrement, en tenant mieux compte des parcours professionnels, des parcours de vie et des aspirations des salariés. En 2010, les trois débats qui se sont tenus lors du congrès confédéral de Tours sur le thème des retraites précisent les contours d’une réforme globale et apportent L’idée d’une réforme des retraites de grande ampleur fait partie des orientations confédérales depuis plus d’une décennie. 42 des réponses à des questions majeures. D’une part, la durée de cotisation est confirmée comme le paramètre le plus juste.

Elle peut être augmentée pour tenir compte de l’allongement de la vie, à condition d’un renforcement des solidarités et des possibilités de choix des salariés. D’autre part, le financement du volet contributif des retraites doit s’appuyer sur les seuls revenus du travail tandis que les solidarités ont vocation à être financées par l’ensemble des revenus, y compris les revenus du capital. Enfin, une réflexion doit s’engager sur les conditions d’unification, à terme, des régimes de retraite pour répondre à des carrières de plus en plus sinueuses. À partir de ces décisions, nous souhaitons faire émerger un nouveau système de retraite, qui réponde aux enjeux de contributivité et de solidarité, tout en assurant la solvabilité financière à long terme, seule capable de rassurer les salariés, en particulier les plus jeunes générations. Le rendez-vous de 2013 et la nécessaire recherche d’un consensus Une demande de la CFDT La mobilisation de 2010 sur la réforme des retraites à laquelle la CFDT a activement participé a permis d’obtenir l’ouverture en 2013 d’un débat sur une réforme globale.

Il s’agissait d’une demande portée par la CFDT. L’article 16 de la loi de 2010 prévoit ainsi l’organisation d’une réflexion nationale sur « les objectifs et les caractéristiques d’une réforme systémique » des retraites à partir du premier semestre 2013. La tenue de ce débat a été confirmée lors de la grande conférence sociale qui s’est tenue en juillet 2012. La feuille de route qui en est issue prévoit un calendrier en trois temps. Un état des lieux a tout d’abord été réalisé à travers deux rapports successifs du Conseil d’orientation des retraites parus respectivement en décembre 2012 et janvier 2013 : l’un concernant les projections financières 43 à moyen et long terme, l’autre centré sur les questions de justice sociale et de lisibilité.

Cet état des lieux confirme la nécessité d’une réforme globale des retraites. Sur la base de ces travaux, une Commission sur l’avenir des retraites a été chargée par les pouvoirs publics d’identifier d’ici juin 2013 différentes pistes de réforme permettant « d’assurer l’équilibre des régimes (…) à court, moyen et long terme » et « d’en renforcer la justice, l’équité et la lisibilité »1. Une concertation se tiendra par la suite entre l’Etat et les partenaires sociaux sur « les évolutions souhaitables de notre système de retraite »2, préalablement à la décision de mesures par les pouvoirs publics à l’horizon fin 2013 – début 2014. Les positions des autres organisations syndicales Au sein des organisations syndicales, les oppositions à une réforme systémique restent nombreuses. La plupart d’entre elles s’opposent à l’idée d’un changement de système de retraite car, selon elles, la question du financement ne serait pas réglée par une telle réforme globale, qui ne permettrait pas de garantir le niveau des pensions.

Leur approche consiste implicitement à réduire la question des retraites aux ajustements paramétriques, en négligeant les dimensions sociétales et de redistribution et en privilégiant une approche exclusivement financière. Les logiques institutionnelles autour des organismes de retraite et les enjeux de pouvoir influent aussi sur ces positionnements. Les arguments utilisés sont souvent caricaturaux en affirmant contre l’évidence que le caractère systémique d’une réforme inclurait l’abandon automatique de la répartition ou que tout recul d’un système par annuités aboutirait à moins de solidarité.

Réduit à ces postures, le débat est clos avant d’avoir été engagé. Nous voulons faire ici la démonstration qu’une Une concertation se tiendra par la suite entre l’Etat et les partenaires sociaux sur « les évolutions souhaitables de notre système de retraite », préalablement à la décision de mesures par les pouvoirs publics à l’horizon fin 2013 – début 2014. 44 réforme systémique aboutit au contraire à consolider la répartition en la rendant solvable à long terme, et que la remise à plat des mécanismes de solidarité n’a d’autre but que de les rendre plus efficaces en les « fléchant » davantage vers ceux qui en ont besoin et en évitant certaines redistributions qui, par des mécanismes à la limite du compréhensible, aboutissent à servir ceux qui sont déjà bien lotis. Le positionnement des employeurs Les organisations d’employeurs se déclarent souvent favorables à un système par points voire revendiquent une réforme systémique. Ces positionnements sont motivés par une volonté d’individualiser la prise en charge des risques sociaux, de réduire les logiques solidaires quitte à favoriser les logiques de promotion de la capitalisation. Les objectifs de la CFDT ne sont évidemment pas ceux-là.

L’indispensable débat national La préparation du débat national sur une réforme systémique s’avère aujourd’hui indispensable. Sans réforme systémique, l’érosion des droits constitue une quasi-fatalité : pour le privé, par la baisse du taux de remplacement, pour le public, notamment dans l’hypothèse d’une remise en cause unilatérale de la règle des six derniers mois. La loi de 2010 portait en germes une nouvelle réforme paramétrique en 2018, voire même avant cette date en fonction de l’état des comptes. Or, la crise que nous subissons accélère leur dégradation et la CFDT se félicite que la feuille de route de la conférence sociale ait maintenu le rendez-vous de 2013. Revenons sur les dangers inclus dans le maintien en l’état des différents systèmes de retraite.

Empiler les mesures qui durcissent les conditions d’accès à une retraite pleine aboutit immanquablement à réduire le niveau de pension de ceux qui n’ont pas pu effectuer une carrière complète. Sans réforme systémique, l’érosion des droits constitue une quasi-fatalité. 45 Cela concerne les nouvelles générations et les femmes qui, pour une part croissante, sont des travailleurs pauvres et précaires. Les autres perdants sont les salariés ayant commencé leur carrière jeunes et ceux dont le métier pénible devient intenable ou dont la santé a été gravement affectée par de mauvaises conditions de travail.

De fait, l’écart va se creuser entre ceux-là et les salariés mieux lotis qui ont la chance d’avoir une carrière linéaire et complète. Nos systèmes de retraite actuels sont parfaitement adaptés aux profils des Trente Glorieuses. Ces derniers sont construits sur un schéma de carrière sans rupture ni mobilité. Ils récompensent les itinéraires ascendants et les promotions fulgurantes de fin de carrière. Ils favorisent les parcours conjugaux et les familles patriarcales stables.

Il faut être aveugle pour ne pas constater que cela ne concernera dans quelques années plus grand-monde. Les mécanismes actuels de solidarité existent bel et bien, ils représentent même 28 % du total des retraites directes et indirectes versées2. Qui en sont les contributeurs ? Qui en sont les bénéficiaires ? Diverses études le démontrent : les carrières plates et longues subventionnent les carrières dynamiques. Les dispositifs d’aide aux retraités parents sont très favorables aux salariés aisés et aux hommes, pas aux femmes, ni aux familles modestes. La prise en compte des périodes de chômage n’est que partielle et peut s’avérer dérisoire quand les temps de précarité se multiplient.

Et que dire des salariés poly-pensionnés (bientôt un retraité sur deux), dont le sort constitue par des mécanismes aveugles et incohérents une sorte de loterie où les perdants se consolent mal que d’autres bénéficient d’effets d’aubaine ? Des choix et des arbitrages complexes à assumer Les choix à opérer dans le cadre d’une réforme globale pour refonder l’esprit de justice sociale du système de retraite sont multiples. Ils engagent la société dans son ensemble sur le long terme, à l’horizon 2050. Une réforme rendrait compréhensible un partage des efforts entre générations, au sein de chaque génération, ainsi qu’en fonction 46 des autres besoins sociaux. Ces besoins recouvrent non seulement la problématique du vieillissement mais aussi les questions d’éducation, de formation et d’innovation.

La CFDT, en refusant de s’enfermer dans un discours uniquement contestataire, tente d’élaborer des solutions novatrices qu’elle verse ici au débat. Nous ne souhaitons pas copier tel ou tel modèle appliqué dans un autre pays. La réforme que nous voulons sera le fruit de débats et de compromis. Elle devra tenir compte du modèle social dont nous avons hérité et qui montre encore aujourd’hui pour l’essentiel son efficacité. Quelle est la part des richesses que notre société doit consacrer aux diverses conséquences du vieillissement de la population : dépenses de santé, dépendance et évidemment retraite ? Sans les réformes passées, justes ou injustes, nous frôlerions une dépense de 20 % du PIB rien que pour les retraites. En cette période où une croissance soutenue semble inatteignable, au moins à moyen terme, ne faut-il pas expliciter les arbitrages nécessaires avec les autres besoins en investissements matériels et immatériels pour préparer l’avenir ? Les cotisations patronales et salariales versées pour les seules caisses de retraite représentent 25 % du salaire brut d’un travailleur du privé.

Est-il possible d’aller au-delà alors même que les réformes paramétriques qui se cumulent indiquent aux générations qui payent ces cotisations que leur taux de remplacement ne va cesser de se dégrader ? Ce déséquilibre de la solidarité intergénérationnelle aggravé par le papy-boom est mortifère pour l’avenir de la répartition. Qui peut éluder cette question ? N’est-il pas nécessaire dans cette situation de mieux comprendre les mécanismes contributifs (comment une cotisation versée génère un droit imprescriptible à prestation) et ceux qui régissent les mécanismes de solidarité (périodes contraintes voire volontaires d’inactivité, prestations liées à la maternité) ? La CFDT pense qu’il faut distinguer les sources de financement de ces deux pans du système de retraites pour les rendre plus lisibles.

47 Des pistes à explorer Pour construire une réforme ambitieuse et source de confiance, nous devons nous interroger sur les mécanismes d’acquisition des droits. Les systèmes notionnels ou à points permettent davantage de maîtriser les périodes comptabilisées, les droits générés et l’origine du financement. Hors effets de déséquilibre démographique, les systèmes de retraite à points et notionnels, à partir des arbitrages des générations concernées, permettent davantage d’assurer l’équilibre financier dans une situation de croissance, et donc d’emploi, satisfaisante.

En même temps, le système par annuités, s’il est complexe et confus en termes de financements comme de droits acquis, permet à partir du paramètre de durée de cotisation de fixer des garanties de pensions qui sont aujourd’hui absentes (hors minimum contributif du régime général). Peut-on imaginer dans un dispositif simplifié et transparent, une combinaison associant un système d’acquisition contributif et solidaire utilisant une logique par points ou notionnelle avec des garanties actionnées au moment de la liquidation de la retraite s’inspirant du système par annuités ? Voilà une piste à explorer. Un système de retraite ainsi proposé doit pouvoir s’adresser d’une façon attractive à tous les salariés, quels que soient leurs statuts, afin d’absorber les mobilités au lieu de les sanctionner.

En même temps qu’une réponse aux difficultés liées aux situations des salariés polypensionnés, un système davantage unifié de retraite serait source d’égalité. Nous savons que cette perspective peut soulever des inquiétudes légitimes chez les fonctionnaires et les salariés bénéficiaires des régimes spéciaux. Mais l’histoire récente prouve que les mécanismes d’alignement vers le bas, presque honteux, sont à l’œuvre et qu’à refuser d’aborder ces questions franchement, on se retrouve dans des situations défensives inconfortables et à Peut-on imaginer dans un dispositif simplifié et transparent, une combinaison associant un système d’acquisition contributif et solidaire utilisant une logique par points ou notionnelle avec des garanties actionnées au moment de la liquidation de la retraite s’inspirant du système par annuités ? 48 l’efficacité discutable. Une telle réforme est évidemment ambitieuse et suppose un débat large permettant d’aboutir à une forme de consensus.

Nous n’ignorons pas le scepticisme ambiant car l’histoire sociale de notre pays a souvent jugé l’ampleur d’une réforme au degré d’affrontement atteint. Nous soupçonnons même qu’une forme de « scénarisation » de ces situations soit intégrée par les acteurs les moins enclins au dialogue social. Et si l’ampleur de la prochaine réforme des retraites se jugeait à l’aune de notre capacité collective à affronter les questions et à passer un compromis juste et compréhensible par le plus grand nombre ? Dans cette perspective, il faudrait évidemment rassurer les salariés les plus proches de la retraite en leur garantissant les avantages acquis dans les systèmes passés. Le nouveau système de retraite s’appliquerait progressivement aux générations plus éloignées de leur retraite.

Plusieurs hypothèses de mise en œuvre « en sifflet » ou de comptabilisation en parallèle des droits acquis à l’un ou l’autre de ces systèmes sont possibles. Cet aspect de la transition serait au cœur de la négociation pour offrir un système rénové aux jeunes générations sans sanctionner ou désespérer les plus anciens. De la même façon, l’architecture du futur système de retraite ainsi progressivement mise en place exclut dans un délai assez long un chambardement des diverses institutions qui collectent les cotisations, calculent les droits et versent les retraites. La perspective d’une unification progressive encouragerait évidemment les synergies et regroupements utiles en toute transparence, mais sans traumatisme. Depuis le début de l’année 2011, la CFDT a organisé en interne plus de trente débats qui ont réuni près de 1500 militants autour de ce thème.

La réflexion a été menée conjointement avec d’autres acteurs de la société : chercheurs, associations, intellectuels, représentants synLa perspective d’une unification progressive encouragerait les synergies et regroupements utiles en toute transparence, mais sans traumatisme. 49 dicaux. Réformer le système de retraite est un enjeu majeur pour maintenir une protection sociale de haut niveau fondée sur la solidarité. Il est de notre responsabilité d’éclairer ce débat et de tracer des perspectives, afin que tous les choix collectifs soient posés et que toutes les générations puissent légitimement garder confiance dans la répartition. 1 Cf. Lettre de mission du Premier ministre adressée à Yannick Moreau, Présidente de la Commission. 2 Cf. Feuille de route de la conférence sociale, juillet 2012. 3 20% si on exclut les pensions de réversion.

Incroyable : Macron découvre les superprofits des multinationales

Incroyable : Macon découvre les superprofits des multinationales


Incroyable, Macron acculé reconnaît que beaucoup de multinationales ont fait des super profits qui méritent d’être taxés et de contribuer ainsi à financer les retraites. Une découverte tardive. Pourtant en 2023 il s’agit d’une somme tournant autour de 80 milliards dont 25 milliards pour le rachat d’actions. Une paille ou plutôt un record !

Grâce à la politique monétaires accommodantes qui a déversé des milliards gratuits sans condition, nombre d’entreprises ont profité de la situation pour augmenter sans raison leur prix. C’est la véritable origine de l’inflation avec la question de l’énergie.

En réponse à la « colère » des opposants à la réforme des retraites. Le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé mercredi 22 mars avoir demandé à son gouvernement de travailler « à une contribution exceptionnelle des entreprises » ayant enregistré des bénéfices records .

Les grandes entreprises ayant réalisé des bénéfices tels qu’elles peuvent racheter leurs actions et ainsi rémunérer les actionnaires doivent « distribue[r] davantage à leurs salariés », a assuré Emmanuel Macron, lors de son interview à France 2 et TF1, pointant le « cynisme » de certaines d’entre elles. Quelle forme prendra cette contribution ? « Il faut trouver la bonne technique » !!!, a-t-il répondu.

Les députés Renaissance et l’exécutif « réfléchissent » aussi depuis plusieurs mois à un « dividende salarié », une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. « Quand il y a une augmentation du dividende chez les actionnaires, il doit y avoir la même chose pour les salariés », avait résumé le président de la République, fin octobre, lors de sa participation à l’émission « L’Evènement » sur France 2.

Risques de violences dramatiques après le discours provocateur de Macron

Risques de violences dramatiques après le discours provocateur de Macron

Il est pourtant évident que la parole présidentielle débridée et irresponsable risque de provoquer des violences dont certaines pourraient être dramatiques. De ce point de vue Macron sera rendu grandement responsable du chaos voire des drames. Les services de renseignement s’inquiètent d’ailleurs d’une flambée de violence.

Les huit dernières journées de mobilisation à l’appel des syndicats se sont déroulées dans le calme mais cela pourrait changer après le discours provocateur de Macon qui a osé comparer la foule des manifestants à celle de l’invasion du capital aux États-Unis par les extrémistes

Le renseignement s’attend aussi à la présence d’individus contestataires, principalement issus de l’ultra-gauche, à Rennes, Lille, Dijon, Grenoble, Caen, Angers et Nancy. A Paris, 150 militants d’ultra-gauche et une cinquantaine de gilets jaunes radicalisés sont attendus. A Toulouse, une centaine d’entre eux devrait se positionner en tête de cortège devant le service d’ordre de la CGT.

Les organisations syndicales craignent la présence de ces personnes, certains venant en découdre avec les forces de l’ordre. En raison de la diversité des profils parmi ces manifestants, les services d’ordre des syndicats s’attendent à rencontrer des difficultés dans l’encadrement des manifestations.

Ils redoutent aussi en interne d’être dépassés par leurs fédérations locales les plus radicales et de voir leur mouvement leur échapper au profit d’individus radicaux et violents.

Cette radicalisation du mouvement, déjà redoutée avant l’usage de l’article 49.3 et illustrée ces derniers jours par les tensions dans plusieurs villes de France lors de rassemblements spontanés, fait également craindre que certaines personnes mobilisées, comme les retraités, les familles, boudent les manifestations par crainte de potentielles violences.

Macron à la télé: le roi nu mais toujours arrogant

Macron à la télé: le roi nu mais toujours arrogant

Pour résumer, le bla-bla habituel. D’abord une petite leçon juridique (inutile) sur le processus d’élaboration de la loi. Ensuite une explication très vaseuse à propos de la foule populace qu’il compare aux factieux du Capitole aux États-Unis. La rengaine de l’équilibre démographique (on fait quoi pour encourager la natalité ?). Quand même un tout petit mot pour les entreprises qui font trop de profits et qui rachètent leurs actions (ses amis). L’argument de l’opposition dont le conglomérat signifierait déficit. La fausse affirmation que des syndicats n’ont pas proposé de compromis. La reconnaissance de la colère et l’engagement de travaux sur le sens du travail, la reconversion et l’avancement. Bref les éboueurs pourront peut-être à partir de 55 ans pour passer le concours de l’ENA !. L’engagement gratuit vis-à-vis des branches dont les minima conventionnels sont en dessous du SMIC (la patate chaude renvoyée au Medef).

Pas de changement au gouvernement, Borne reste en place et va engager des travaux beaucoup plus réduits il y aura moins de lois, des textes plus courts et pour cause il a du mal à trouver une majorité. Autre affirmation fallacieuse » on a tout dépensé avant » comme si Macron en 6 ans n’avait pas fait sauter le plafond de la dette. « Bref oui il y a des problèmes mais tout va bien et les problèmes viennent surtout du covid, de la guerre et de l’inflation. Une manière de renvoyer en touche sa responsabilité.

Encore une intervention pour rien pour rabâcher toujours les mêmes fallacieux arguments concernant les risques financiers, les risques d’insurrection, les risques populistes. Le cri » le roi nu » résume le mieux l’imposture permanente de Macon, le cri qui dégonfle la baudruche, fait tomber le masque d’un président élu après avoir infiltré la gauche pour mieux se mettre au service des plus riches qui ont financé ses campagne

À la mauvaise foi, s’ajoute aussi pour Macron l’incompétence crasse. Certes il aura réussi à octroyer de nombreux cadeaux aux plus riches mais il aura sans doute plongé le pays dans une crise dont les conséquences se feront sentir pendant des dizaines d’années. Il a largement contribué à brader l’économie et en particulier l’industrie mais aussi l’agriculture.
Il va laisser les finances de la France dans un état lamentable puisque la dette aura augmenté d’environ 25 % durant son mandat (3000 milliards de dettes un record et 50 milliards de charges financières par an).

Le déficit de la balance du commerce, témoigne du déclin économique.(Un déficit supérieur à 150 milliards en 2022). La situation est dramatique dans nombre de champs régaliens ou le rôle de l’État est en jeu comme la santé, l’école, la sécurité, la justice. Jamais la drogue ne s’est répandue à une telle vitesse dans le pays du fait du laxisme de l’État et de l’abandon de nombre de banlieues véritables comptoirs ouverts aux stupéfiants.

Macron a aussi complètement échoué en politique internationale. Il se voyait déjà président de l’Europe et même du monde. En réalité, il est aussi rejeté par nombre de pays. Parmi ces erreurs fondamentales, il faut par exemple citer ses relations douteuses avec Poutine, puis sa tentative de ce rabibocher avec l’Ukraine. Résultat la France est mal vue dans les deux pays ! Même incompétence et même lâcheté en Afrique où la France a dû opérer des reculs honteux notamment au Mali au Burkina faso.
Un président, chef des armées qui n’a même pas fait son service militaire au motif qu’il poursuivaient des étude ce qui en dit long sur ses convictions.

Sur le plan démocratique, Macron se comporte comme un monarque dédaigneux ignorant volontairement les institutions et organisations représentatives y compris le Parlement.

L’histoire retiendra que ce président a plongé le pays de façon durable dans un déclin affectant les champs démocratiques, économiques, sociaux et même sociétaux.

Un président qui n’a plus de légitimité politique , de plus en plus seul comme dans un bunker à l’Élysée qui n’entend rien, n’écoute rien. Un autocrate incompétent et méprisant, dont la France devra se débarrasser rapidement pour ne pas tomber encore plus bas.

Réforme des retraites : vers une crise politique ingérable ?

Réforme des retraites : vers une crise politique ingérable ?

par
Alessio Motta
Enseignant chercheur en sciences sociales, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne (the Conversation)

Nous vivons certainement en ce début 2023 l’une des plus importantes crises politiques des dernières décennies. On retrouve en tout cas la plupart des éléments habituellement observés par les approches scientifiques contemporaines de la construction de ces crises.

Comme l’explique le politiste français Michel Dobry dans son ouvrage fondateur « Sociologie des crises politiques », un des principaux facteurs de construction d’une situation critique est l’émergence nationale de mobilisations multisectorielles, c’est-à-dire d’actions collectives étendues à de nombreux espaces sociaux.

Manifestations, grèves, blocages, émeutes, actions de lobbying, chantage, prises de position publiques… ces mobilisations peuvent prendre des aspects divers. Et sans que ce ne soit forcément le but recherché, elles convergent vers un phénomène important pour comprendre ce qu’est une crise politique : elles affectent les routines des relations entre les secteurs de la société.

Ainsi, des élus font appel au soutien de la rue, des députés viennent contrôler le travail des forces de l’ordre, des responsables policiers interpellent le gouvernement, des maires soutiennent la grève des éboueurs en refusant d’intervenir pour le ramassage, des ministres peuvent être « grillés » pour des tentatives d’influence qui passent inaperçues en temps normal, des organisations très ancrées à droite appellent à cesser les violences policières…

Les événements qui conduisent des mobilisations à former un important mouvement multisectoriel sont très variés et peuvent être le fruit de stratégies décidées par quelques individus ou organisations. Il est donc impossible d’en lister exhaustivement les ressorts. Mais on peut s’arrêter sur quelques phénomènes typiques qui jouent souvent un rôle important.

L’un des principaux points d’appui à l’extension des mobilisations est l’existence, dans plusieurs secteurs de la société, d’entrepreneurs de cause potentiels, de réseaux ou structures « dormantes » composées de personnes prêtes à s’engager. Ces structures ou réseaux peuvent être issus de mobilisations passées ou de groupes de sociabilités constitués dans des lieux aussi divers que le monde du travail, les clubs de sports, la fac ou les réseaux sociaux. Ces liens jouent clairement un rôle déterminant dans la situation actuelle, où la réforme des retraites est présente dans les discussions d’un grand nombre de Français, qui organisent notamment entre collègues leur participation aux journées d’actions prévues.

Un autre élément qui vient renforcer les chances d’extension des mobilisations est la présence sensible des petites actions subversives du quotidien que le sociologue James Scott nomme « arts de la résistance » contre les dominants : ouvriers qui ralentissent la cadence, plaisanteries sur les chefs, caricatures, rumeurs…

Longtemps considérés comme une « soupape » allégeant les envies de révolte, ces arts de la résistance contribuent plutôt à accélérer sa diffusion dans les différents secteurs d’une société, puisqu’ils permettent d’observer que les envies de résister sont partagées.

Dans la situation actuelle, la présence indiscutable de ces microrésistances a un effet d’autant plus fort que des indices plus formels comme les sondages d’opinion permettent à un grand nombre de personnes de mesurer combien leur rejet de la réforme des retraites et des décisions du gouvernement est partagé. Les chiffres montrant que toutes les catégories sociales sont opposées à la réforme et que seuls 7 % des actifs y sont favorables font ainsi partie des plus partagés dans les mobilisations et sur les réseaux sociaux.

Une autre figure typique qui stimule l’extension multisectorielle des mobilisations, parmi les plus documentées dans la recherche, est celle du « surgissement de l’imprévisible ». Celle-ci a été notamment étudiée par Michel Dobry dans le cas des mouvements étudiants : quelques sites universitaires sont bloqués par des étudiants quand soudain, on apprend qu’un nouveau site, une fac de droit réputée « de droite » et donc difficile à mobiliser, rejoint le mouvement.

Les acteurs de la mobilisation et ceux qui aspirent à la rejoindre occupent une large part de leur temps à évaluer, lors d’assemblées générales et réunions, l’avancée du mouvement et les différentes étapes franchies par les lieux de mobilisation. Un tel événement prend donc un retentissement particulier et peut convaincre des groupes encore hésitants que la mobilisation est en train de « prendre » plus que prévu, qu’il est temps de la rejoindre.

Le surgissement de l’imprévisible n’a cependant pas de définition objective. Il n’y a pas de thermomètre ou de mesure officielle permettant de s’accorder sur le fait que les événements viennent de prendre un tournant exceptionnel.

L’un des enjeux pour les acteurs d’une crise est d’imposer leur définition de la situation. Sur l’importance des manifestations, par exemple.

Une partie significative de l’activité des acteurs d’une crise consiste justement à lutter pour imposer des définitions de la situation conformes à leurs lignes stratégiques. Ainsi, les confédérations syndicales assurent, chiffres surévalués en poche, qu’ils ont encore une fois été capables d’emmener 3 millions de personnes dans la rue, pendant que des sources « off » du cabinet de l’Élysée ou des membres du gouvernement relativisent. Sans y parvenir totalement, ces interventions gouvernementales visent à effacer le fait que, d’après les chiffres de la police, les journées de manifestation des 31 janvier et 7 mars 2023 étaient les plus peuplées de toute l’histoire de France.

Luttes de définition et construction de la crise
De façon générale, les escalades d’une crise politique ne peuvent pas être attestées par des indicateurs objectifs consensuels. Elles sont toutes l’objet de luttes de définition. Les uns soulignent l’exceptionnalité de la situation et les autres banalisent les mouvements de rue, affirment que les choses suivent leur « cheminement démocratique » ordinaire ou qu’une motion de censure passée à neuf voix de faire chuter le gouvernement n’est autre qu’une victoire pour ce gouvernement.

« Explosions », « escalades » et « montées aux extrêmes » sont des étiquettes que l’on tente de poser ou d’arracher. Il en va de même pour l’existence même de la crise, que les uns présentent comme allant de soi quand d’autres la nient.

Car quand un politicien ou une politicienne évoque l’escalade, l’émergence ou la non-émergence d’une crise, son objectif n’est pas de fournir une définition juste et technique de ce qui se passe. L’enjeu est plutôt de faire date, de marquer des points dans la compétition pour la définition de la réalité. De souligner, comme ça, en passant, qu’il ou elle est la personne « responsable », « lucide » et que ce sont les membres des autres camps qui sont « irresponsables ».

Avant d’être éventuellement acceptée par tous les acteurs, l’idée d’une crise est surtout un objet de menaces, d’avertissements, d’invectives, de stigmatisations réciproques, de marchandages : « si le gouvernement continue à ignorer les Français, nous entrerons dans une crise politique sans précédent » ; « si la France Insoumise continue ses outrances, nous allons quitter le jeu démocratique et ils en porteront la responsabilité » ; « si la Première ministre recourt au 49.3, elle nous dirige tout droit vers la crise » ; « si les députés LR renient leurs convictions et votent la motion de censure… ».

Enfin, les issues de la crise sont aussi des objets de marchandages. Passage en force et répression, recul sur la loi, changement de gouvernement, dissolution… aucune de ces solutions n’est la bonne par essence. Ce qui contribue le plus au succès d’une stratégie institutionnelle lancée par les dirigeants en place est généralement sa faculté à offrir à différents camps une chance d’y gagner quelque chose et, donc, des raisons de la présenter comme une solution négociée ou « fair-play ». Difficile de dire, au moment où l’on écrit ces lignes, si le camp présidentiel se résoudra à lancer des propositions susceptibles de satisfaire à ces critères, ou s’il continuera à miser sur l’essoufflement des protestations…

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La problématique de l’endettement au sein de l’union européenne
Arctique et antarctique : Accélération de la fonte des banquises
Ferrari et Montblanc: Un stylo silo à 30 000 € ou la folie des m’as-tu-vu
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Covid France 15 mars 2023 : forte hausse avec 9937 cas supplémentaire en 24 heures
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15 jours de service national universel
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éforme des retraites : le gouvernement risque de se dégonfler en utilisant le 49–3
Démocratie : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

Pourquoi L’inflation persiste
Coûts cachés de l’éolien et du solaire : 100 milliards
Nucléaire : suppression du plafond de production à 50% et condamnation la politique de Hollande et Macron
Des milliers d’enfants ukrainiens déporté en Russie
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Russie: Evguéni Prigojine (Wagner) , candidat à l’élection présidentielle en Ukraine !
Démocratie: Macron, l’imposture
Société-Le président du Sénat Gérard Larcher touchera une retraite de plus de 10 000 €
Un referendum pour demander le départ de Macron
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Krach financier: pas de risque en France
Influenceurs: Le Maire et Booba même combat
Bruno Le Maire: « Booba a raison » de dénoncer les « influenceurs «
Krach Silicon Valley Bank (SVB): Incident isolé ou risque d’explosion du système financier
Pauvreté : Un appel pour la revalorisation des minima sociaux au-dessus de l’inflation
Il y a autre chose à faire que la réforme des retraites (Jacques Attali)

Politique-Macron doit partir !
Politique Rencontre syndicats- Macron: Le nouveau coup du mépris
Le président du Sénat Gérard Larcher touchera une retraite de plus de 10 000 €
Supprimer le sénat
Politique-France: de plus en plus une république bananière
« Les Républicains »: le maire d’Orléans Serge Grouard quitte le parti
Réforme des retraites : les syndicats veulent un référendum
Cryptomonnaie : Nouveau plongeon et menaces sur la tech
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Politique: Macron, l’imposture permanente
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Le flou du devoir de vigilance des entreprises
LAURENT BERGER VEUT CONTINUER LA MOBILISATION
Ressources: Un changement de paradigme
La redécouverte du nucléaire
SNCF: Le retour douteux de l’aérotrain
Christophe Galtier (PSG): La nullité crasse intergalactique » (Riolo)

Société-IVG dans la constitution : encore une grossière manœuvre de Macron
Economie-Le déficit commercial français diminue en raison de la baisse de croissance en France
France: de plus en plus une république bananière
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Politique- Macron: un président catastrophique qui doit partir
Réforme des retraites :Le Sénat également cadenassé par le gouvernement
rencontre avec Macron: Le nouveau coup du mépris
Le déficit commercial français diminue en raison de la baisse de croissance en France
Macron répond par le mépris à la demande d’audience des syndicats
Macron et la politique : l’imposture permanente
Redistribution des richesses : après « gilets jaunes » , les gilets rouges
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Rugby: la revanche de Waterloo !
Cryptomonnaie : Nouveau plongeon
Réforme des retraites : les syndicats demandent de consulter les Français
Economie, politique, société: les plus lus (12 mars 2023-5h28)
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Economie: Une crise financière systémique
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Politique-IVG dans la constitution : encore une manœuvre de Macron
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Le déficit commercial français diminue en raison de la baisse de croissance en France
Macron répond par le mépris à la demande d’audience des syndicats
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Réforme des retraites :Le Sénat également cadenassé par le gouvernement
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L’INFLUENCEUR CRUDIVORISME THIERRY CASASNOVAS EN GARDE À VUE
« PSG: la honte de l’Europe » (Riolo)
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Pour la suppression du sénat
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CAC 40: 142 milliards d’euros de bénéfices en 2022
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Covid vendredi 10 mars 2023 : Encore 6308 cas supplémentaires en 24 heures et 10 morts

Croissance France: hausse insignifiante de 0.1% au premier trimestre
Quels effets du bruit des éoliennes
Quels effets du bruit des éoliennes
La redistribution des richesses en cause
IVG dans la constitution : une manœuvre de diversion de Macon
Retraites et régimes spéciaux : le Sénat pris au piège de se contradictions
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Covid France 9 mars 2023 : 5987 cas supplémentaires en 24 heures et 27 morts.
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Réforme des retraites : Prendre surtout en compte les facteurs d’usure professionnelle
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Retraite–Borne Refuse de recevoir les syndicats
Réforme des retraites : un recours devant le Conseil constitutionnel
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Foot-PSG:l’équipe de mercenaires paresseux encore battue

Politique- Réforme des Retraites: illégitime et anticonstitutionnelle ?
Comment sont comptés les manifestants ?
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Interdire l’IA à l’école ?
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Bras d’honneur de Dupont Moretti: des ministres indignes de leur fonctio
Participation manif 7 mars Retraites : la police justifie ses fausse prédictions
réforme des retraites :Un retour à 60 ans illusoire
Réforme des retraites : « Un rejet massif dans toutes les catégories d’actifs
Climat social: une addition de colères partout
Réforme des retraites : nouvelles mobilisations le 11 mars, et le 15 mars
Retraites: une loi scandaleusement antidémocratique
Covid France 8 mars 2023 : 7063 cas supplémentaires en 24 heures et 24 morts

Groupe Wagner : guerre, business et crimes
Social : vers une semaine noire à partir du 7 mars
Féforme des Retraites: Le Sénat pour la suppression des régimes spéciaux…. mais pas pour le sien
Pouvoir d’achat : La prochaine explosion sociale
Politique-Crise sociale: « Un risque de mai 68″ ?
Réforme des Retraites: illégitime et anticonstitutionnelle ?
Retraite à 1200 € : Borne reconnaît que c’est du bidon
953 cas supplémentaires en 24 heures
Retraites: une réforme illégitime et anticonstitutionnelle ?
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Retraites: Les jeunes surtout victimes
Une commission d’enquête parlementaire révèle les incroyable erreurs du pouvoir en matière de politique énergétique
Immobilier : tendance baissière des prix et des volumes
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RETRAITES,: DUSSOPT, « PREND ,LES ,GENS, POUR ,DES, CONS »
Retraites-Une réforme qui va coûter beaucoup plus cher François Hommeril (CFE-CGC)
Retraites : quelle suite au 7 mars (Frédéric Souillot, FO)

Pouvoir d’achat et inflation : La prochaine bombe sociale
La chasse aux religieuses à Nantes !
Automobiles- Moteurs thermiques: l’interdiction de 2035 reportée !
Réforme des Retraites: le Sénat vote la fin des régimes spéciaux…. pour les futurs embauchés
Retraites: Le Sénat pour la suppression des régimes spéciaux…. sauf pour le sien
Economie- L’inflation va continuer de progresser
Retraites-Olivier Véran : l’archétype du pitre politique
Enterrement du panier anti-inflation « bidon »
Réforme Retraites-Le report de l’âge légal fait augmenter le chômage des seniors(Unedic)
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Protection de la haute mer: Accord à l’ONU
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Crise sociale: « Un risque de mai 68″ ?
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Politique-Olivier Véran : l’archétype du pitre politique
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Chômage : stable dans la zone euro, pour l’instant
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Bitcoin: Un crypto actif surtout spéculatif
>Opposition entre Édouard Philippe et Macron sur la peine minimale d’un an de prison
Russie : Centre mondial des cybercriminels

Un report de l’âge légal fait augmenter le chômage
Papillomavirus : l’infection sexuellement transmissible massive
Défense : rétablir le service militaire obligatoire
Super-profits: 1600 milliards distribués aux actionnaires
Pouvoir d’achat et inflation : l’énorme conflit social qui se prépare
Vers une agriculture sans agriculteur
SNU : Intégré au temps scolaire !!!
Co-dévelppement et Afrique : aider ou partir
La retraite à 1200 € : une escroquerie du gouvernement
Covid France 2 mars 2023 : 4525 cas supplémentaires en 24 heures et 25 morts
Réseaux sociaux : pour la responsabilisation et la fin de l’anonymat
Afrique : Pour une autonomie alimentaire ?
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Un pic d’inflation toujours repoussé !

Autoentrepreneurs, la grande confusion
L’intelligence artificielle :le bâton et la carotte
Une une agriculture sans agriculteurs ?
Afrique et sentiment anti-français
Une bonne croissance en 2022 qui s’est écroulée en fin d’année
L’inflation toujours en hausse en février
Profits boursiers : 1600 milliards distribués aux actionnaires
Co-dévelppement et Afrique : Macron pour un réveil économique de la France
Pouvoir d’achat : l’énorme conflit social qui se prépare
Covid France 1er mars 2023 : 5.651 cas supplémentaires en 24h et 34 morts
retraites:suppression de l’âge légal pour sortir le gouvernement du pétrin
La retraite à 1200 € : une escroquerie
Energie: Alliance internationale pro-nucléaire
Immobilier: coup de frein
Eric Ciotti fossoyeur ou rassembleur des Républicains ?
Castex candidat aux présidentielles : de Charybde en Sylla !

Afrique : Macron enfin pour un réveil économique de la France !
Retraites–SNCF : grève reconductible décidée par tous les syndicats
Besançon : Grosse opération antidrogue avec 200 policiers
Sécheresse : nouvelles crises et nouvelles restrictions en 2023
L’inflation zone euro : Jusqu’à quel niveau et jusqu’à quand ?
Les enjeux des terres agricoles
Agriculture :quelle transition environnementale ?
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Energies- Fusion nucléaire : principe et avenir ?
Politique de défense : rétablir le service militaire obligatoire
Immobilier: Un coup d’arrêt des ventes
Sécheresse : déjà 32 départements au niveau rouge
ChatGPT : une nouvelle « révolution anthropologique » ?

Amazon en France pour étouffer un peu plus l’agriculture ?
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Coopératives agricoles :quel avenir ?
Le groupe criminel russe Wagner enfin dénoncé en Afrique
Conflit Ukraine: La Chine véritable arbitre ?
Nouvelles restrictions au démarchage téléphonique
Grande-Bretagne : en pleine crise des salaires une petite prime de 13 millions d’euros le directeur de BP
Sondage- Institutions :La réforme n’est pas d’actualité pour les Français
Nouvelle crise de sécheresse en 2023
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Covid France 27 février 2023 : +3.917 nouveaux cas en 24h et 29 morts
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Fusion nucléaire : principe et avenir ?
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Zones rurales : une reconquête illusoire des commerces
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SÉCHERESSE: nouvelle crise en 2023!
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Marchés financiers-CAC 40 : grosse prise de bénéfices
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Marchés financiers–après les records CAC 40 …..la chute ?
Social- Une loi sur le « emploi »!!!
Epargne-Livret A :Contradiction entre pouvoir d’achat en baisse et collecte en hausse record
Finances CAC 40 : grosse prise de bénéfices
Inflation Etats-Unis: à nouveau en hausse
Quelle éthique face à l’intelligence artificielle

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Macron dit Jean Edouard 1er

Réchauffement climat France : une hausse de 4 °C !
La banque centrale européenne dans le rouge !
La ruée vers l’or ?
Social-Une baisse du chômage à relativiser
Ukraine : deux coups de massue pour Poutine
Onu et Ukraine: Une majorité massive pour le retrait immédiat des troupes russes
GUERRE EN UKRAINE: L’ONU pour le retrait « IMMÉDIAT » DES TROUPES RUSSES
Guerre Ukraine: La Chine véritable arbitre ?
Ukraine plan chinois: cessez-le-feu et négociations
Covid France 24 février 2023: 4 489 cas en plus en 24h et 19 morts

Encore un enseignant tué ou la décomposition de l’école
La réforme des retraites anticonstitutionnelle
Agriculture : écroulement du nombre d’exploitations
Finance : la ruée vers l’or ?
Ruralité : une reconquête illusoire des commerces
Sécheresse : déjà des mesures dès le mois de mars
Un curieux plafond du prix du carburant à 1,99 euros
Conflit Ukraine: La Chine véritable arbitre
Poutine acculé ressort la menace nucléaire
Covid France 23 février 2023 : 38 morts supplémentaires et 4.584 nouveaux cas confirmés en 24h
Climat France : 4 °C » de réchauffement climatique
Une baisse du chômage à relativiser
Sébastien Lecornu, ministre d’une micro armée s’explique laborieusement
ChatGPT : Donner du temps au temps

Ukraine : ne plus se soumettre au diktat de Poutine
Face à l’abime du commerce extérieur , la réindustrialisation seule solution
Fin de vie et euthanasie: un débat bâclé
ASSEDIC : désormais dans le vert !
Livret A :Contradiction entre pouvoir d’achat en baisse et collecte en hausse record
Politique: La France chassée d’Afrique par la Russie qui vient conforter les dictatures
La bienveillance criminelle du pouvoir vis-à-vis de la drogue
Drogue : ce cancer qui ronge toute la société française
Nucléaire : les mensonges de Macron et Hollande
Covid France 22 février 2023 : 5774 cas supplémentaires en 24 heures et 32 morts
L’intelligence artificielle va-t-elle remplacer l’être humain ?
Cancer: les cellules et leur environnement
Le nucléaire, dernière solution pour sauver Poutine ?
Drogue: Interdire totalement
Société- La sécurité alimentaire mondiale en danger
SÉCHERESSE: ça continue

Intelligence artificielle : l’humain toujours nécessaire
Armées : des crédits d’investissement pas à la hauteur des enjeux ?
La réponse européenne au protectionnisme américain: très insuffisante
La sécurité alimentaire mondiale en danger
Affaire Palmade: un électrochoc sur la route mais pas dans la société
Une une loi sur le plein emploi !!!
Société-Drogue et alcool au volant : un délit d’ »homicide routier » et la suppression du permis ( Darmanin)
Sondage Retraites : Encore davantage de français contre les 64 ans et contre le gouvernement
Drogue et stupéfiants : un business criminel qui s’étend partout en France
Covid France 21 février 2023: 898 cas supplémentaires en 24 heures et 30 morts
Réforme des retraites et assemblée : un « spectacle honteux » (Laurent Berger , CFDT))
Nucléaire : les mensonges de Hollande
L’entreprise: encore une valeur ( sondage)
Comme aux États-Unis, l’obésité menace les jeunes en France
La France chassée d’Afrique par la Russie

Inflation : Le Medef pour l’augmentation des salaires
Guerre Ukraine : Macron pour le plan de paix de Zelensky
Réforme des retraites : Philippe Martinez critique l’attitude des « Insoumis »
Société-stupéfiants : Pour une interdiction totale
Social -Retraite par capitalisation: la solution miracle
Drogue et alcool au volant : un délit d’ »homicide routier » et la suppression du permis
Société-Affaire Palmade et drogue: Un conducteur sur trois concerné
Drogue: Un business mortel qui ne cesse de se développer
Pollution, climat et permafrost ( pergélisol)
Prospectives-Automobiles : L’illusion de la fin des moteurs thermiques en 2035
Intelligence artificielle : menace pour les droits humains
Société-Drogue : 564 000 Américains sont morts en 20 ans
Société-Drogue et stupéfiants : Pour une interdiction totale
Société-Affaire Palmade et drogue: Un conducteur sur trois concerné
Drogue: un business criminel qui s’étend partout en France
Sondage popularité : Macron s’écroule
Réchauffement climatique et permafrost ( pergélisol)
Retraite par capitalisation: la solution miracle !!!

Inflation: ça continue avec 7% sur un an en janvier
Inflation: Le retour rapide de la BCE à 2 % est une illusion
Projet retraites : quelle légitimité démocratique ?
Marchés financiers–Nouveau record du CAC 40 …..Avant chute ?
Politique-Face à la Russie : Préparer une « économie de guerre »(OTAN)
Achats alimentaires: hausse des prix de 25% sur deux ans
Appel pour le projet de fédération de la gauche républicaine
Drogue : Darmanin pour le retrait du permis de conduire
Cannabis : un risque accru de cancer du poumon
Société-Drogue : 564 000 Américains sont morts en 20 ans
Retraite par capitalisation: la solution miracle !
Réchauffement climatique et permafrost
Sondage popularité : Macron s’écroule
Drogue: un business criminel qui s’étend partout en France
Société-Affaire Palmade et drogue: Un conducteur sur trois concerné
Société-Drogue et stupéfiants : Pour une interdiction totale
Société-Drogue : 564 000 Américains sont morts en 20 ans

Quel rapport entre âge de la retraite et santé
Climat et Montée des eaux : 10% de la population concernée
Automobiles : L’illusion de la fin des moteurs thermiques en 2035
Politique-LFI et Mélenchon : une guerre de succession ?
Nouveau record du CAC 40 …..Avant la chute ?
Le business de la drogue s’étend partout en France
Mécontentement social et retraite : surtout un ras-le-bol contre le gouvernement
Projet de réforme des retraites : quelle légitimité démocratique ?
Retraites: Pas de vote de l’Assemblée nationale sur les 64 ans
Sondage réforme retraite : toujours 68 % des Français opposés
Consommation-Produits alimentaires: hausse des prix 25% sur deux ans
Face à la Russie : Préparer une « économie de guerre »(OTAN)
Taux d’intérêt: Poursuite de la hausse par les Banques centrales
Retraite par capitalisation: la solution miracle !!!
« Cap sur l’éolien » ou l’escroquerie énergétique
Covid France 18 février 2023 : 3589 cas supplémentaires en 24 heures et 28 morts

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Quelle décarbonation du transport de marchandises
L’audience du média radio au plus bas
France: Le business de la drogue s’étend partout
Zéro artificialisation nette » des sols (ZAN): Un objectif ésotérique
BCE: Pour ou contre les 2 % d’inflation ?
La, FNSEA ,contre, le, panier, anti-inflation
Nouveau record du CAC 40 …..Avant prises de bénéfices?
LFI et Mélenchon : une guerre de succession ?
Grogne sociale et retraite : surtout un ras-le-bol contre le gouvernement
Covid France 7 février 2023 : 4021 cas supplémentaires en 24 heures et 27 morts
Réforme des retraites : quelle légitimité démocratique
Cerveau: on peut apprendre à tout âge
Les neurones et les souvenirs
BCE: Poursuite de la hausse des taux d’intérêt
Retraite par capitalisation: la solution !!!

Social et retraite : surtout un ras-le-bol contre le gouvernement
Sondage RETRAITES: PRÈS DE 6 FRANÇAIS SUR 10 pour un blocage total le 7 MARS
Automobiles thermiques neuves en 2035 : l’Italie veut un report
L’illusion de la fin des voitures thermiques en 2035
Grèves : Quel durcissement des syndicats?
ChatGPT: Un moyen pour remonter le QI moyen en France ou le contraire ?
Revoir totalement la gouvernance du football français
L’inflation pourrait baisser rapidement ?
Retraites :Un hymne à la capitalisation !
Covid France 16 février 2023 : 3972 cas supplémentaires en 24 h et 35 morts.
Age de la retraite et santé
Montée des eaux : 10% de la population concernée
la Poste: Le timbre rouge déjà obsolète !
Interdiction de l’herbicide S-métolachlore
Réforme des retraites : avancées sur les « carrières longues »
UNE MOTION DE CENSURE CONTRE LA RÉFORME DES RETRAITES

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Activité humaine et biodiversité: quelle compatibilité ?
La question des déserts médicaux et l’accès aux soins
Eboueurs: grève reconductible à partir du 7 mars
Réforme des retraites : rejet par l’assemblée de l’index seniors Bidon
Préparer une « économie de guerre
Consommation de Cannabis : risque accru de cancer du poumon
France: Le fléau de la drogue partout en France et dans toutes les couches sociales
Société et Drogue: Pour une interdiction totale
Affaire Palmade et drogue: Un conducteur sur trois concerné
Covid France 15 février 2023 : +4.986 Cas supplémentaires en 24 h et 35 morts
Le danger de la médecine technoscientifique
Retraites: Le nouveau mensonge des 1200 € minimum pour tous
Site de rencontre : attention à l’amour escroquerie
Voiture autonome: retour d’un concept fumeux
États-Unis : Retour de l’inflation ?
Sans croissance, moins de chômeurs ?
Economie, politique, société: les plus lus (15 février 2023-6h02)
Activité humaine et biodiversité: quelle compatibilité ?
La question des déserts médicaux et l’accès aux soins
Eboueurs: grève reconductible à partir du 7 mars

Liens
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Drogue : 564 000 Américains sont morts en 20 ans
Drogue et stupéfiants : Pour une interdiction totale
NANTERRE: Un immeuble passe sous réglementation des dealers
Des vélos européens pour contrer la Chine
Pétrole : profits records comment et pour qui ?
France : résignation et impatience démocratique
Croissance européenne 2023 : plus 0,8 % ?
35 000 morts en TURQUIE ET SYRIE: LA FAUTE AUSSI AU NON-RESPECT DES NORMES DE CONSTRUCTION
Covid France 14 février 2023 : 38 morts supplémentaires en 24h et +706 nouveaux cas confirmés en 24h l
CATASTROPHE TURQUIE ET SYRIE: LA FAUTE AUSSI AU NON-RESPECT DES NORMES DE CONSTRUCTION
L’indemnité carburant réclamée par moins de 50% des bénéficiaires prolongée
Réforme des retraites: Critique d’une étude du Crédit Agricole
France: De moins en moins de couples
Qualité de l’air : pic de pollution aux particules fines dans 23 villes
Réforme des retraites: Le mensonge des 1200 € minimum pour tous
Produits alimentaires: hause de 25% sur deux ans
Inflation : Les fruits et légumes délaissés par les Français

Santé- Cancers: Une carte d’identité génétique ?
Envolée des prix: la faute à « L’inflation importée » ?
Politique: Réforme des retraites et légitimité démocratique
Energie: Un scénario entièrement renouvelable ridicule ( ancien patron de RTE)
Cirque à Assemblée nationale: aussi « con » que l’émission d’Hanouna ( Laurent Berger, CFDT)
Achats alimentaires: : hausse de 25% sur deux ans
Salaires : baisse moyenne de 10%
Inflation : nouvelle envolée en 2023 (Banque de France)
« Sciences » »: la retraite à 80 ans à l’horizon 2070 ?
Réforme des retraites et légitimité démocratique
CATASTROPHE TURQUIE ET SYRIE: LA FAUTE AUSSI AU NON-RESPECT DES NORMES DE CONSTRUCTION
Drogue: Pour une interdiction totale
Santé-Drogue Cannabis : risque accru de cancer du poumon
Drogue Etats-Unis: 82 000 morts sur un an
Social- Manifestation réforme retraites de samedi : encore une énorme participation
La technologie pour aider le développement durable
Société- «Funérailles vertes» : le Modem pour le «compostage humain»
Cirque au Parlement : une assemblée de crétins

Prix- le gouverneur de la Banque de France prévoit une nouvelle envolée de l’inflation en 2023
Hause des prix: la faute à « l’inflation importée »
Mobilisation retraites-Réforme des retraites
Pouvoir d’achat: Explosion du prix des denrées alimentaires à partir de mars
Evolution des Salaires : baisse moyenne de 10%
Réforme des retraites et légitimité démocratique
Réforme des retraites-l’escroquerie des 1200 € de retraite minimum pour tous
Guerre en Ukraine : Macron se contredit encore
Carburant: l’escroquerie la ristourne de Total
Economie: Les bénéfices scandaleux de Total Energies
>Energies renouvelables : des risques financiers
Science « approximative »: la retraite à 70 ou 80 ans à l’horizon 2070 ?
Cancers: Une carte d’identité génétique ?<
Politique: Macron et ses impôts: le flou douteux !
La « macronie » : Quelques grandes gueules, des technos et….. des minets
Réforme des Retraites : le ministre du travail piégé par ses propres déclarations de 2010
Politique et Corruption: Macron apporte son soutien au délit de favoritisme d’ Olivier Dussopt !
VOTE REFORME DES RETRAITES : VOTRE DÉPUTÉ VA-T-IL VOTER POUR ?
Economie, politique, société: les plus lus (12 février 2023-6h54)
Prix- le gouverneur de la Banque de France prévoit une nouvelle envolée de l’inflation en 2023

Prix du carburant: la ristourne de Total est une escroquerie
ChatGPT: Une révolution pour Bill Gates
Retraites- L’escroquerie des 1200 € de retraite minimum pour tous
Les bénéfices scandaleux de Total Energies
Enseignement: Des excuses à la baisse du niveau scolaire ?
Denrées alimentaires: 25 % d’augmentation à partir de mars ?
Aide à l’Ukraine : Macron se contredit encore
Economie-Balance commerciale : déficit record et déclin confirmé de la France
Social-Réforme des retraites : blocage du pays à partir du 7 mars ?
Covid France 11 février 2023 :3366 cas supplémentaires en 24 heures et 20 morts
ChatGPT : Perspectives et limites
Microsoft : l’échec de Métavers
Economie Grande-Bretagne: Croissance zéro
Le paysan Paul François, vainqueur contre Monsanto, agressé chez lui
«Funérailles vertes» : le Modem pour le «compostage humain»
Manif retraites de samedi : encore une énorme participation

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Macron dit Jean Edouard 1er

Balance commerciale : déficit record et déclin confirmé de la France
Salaires : baisse moyenne de 10%
EDF : l’Assemblée nationale vote contre le démantèlement contre l’avis du gouvernement
Affaire Hanouna- C8 condamné à amende record de 3,5 millions d’euros
Crise et prix alimentaires: la Chine également responsable
Explosion du prix des denrées alimentaires à partir de mars
Envolée prix: la faute à « L’inflation importée »
Santé-Une épidémie de grippe en France
Nouvelle envolée de l’inflation en 2023 selon le gouverneur de la Banque de France
Retraite L’escroquerie des 1200 € de retraite minimum pour tous
Réforme des retraites et politique familiale
Réforme des retraites : blocage du pays à partir du 7 mars ?
Entreprises: L’enjeu du deep learning pour les données
La surpêche continue !

Le mensonge des 1200 € de retraite minimum pour tous
Sondage-réforme des retraites: 41 % souhaitent un durcissement de la mobilisation
Sondage réforme RETRAITES: Toujours 72 % des Français contre !
Corruption: Macron apporte son soutien au délit de favoritisme d’ Olivier Dussopt !
Economie France : une croissance limitée à 0.2% par trimestre
Société Générale : un bon résultat financier aussi malgré la Russie
Politique: Poutine veut imposer la dictature et la misère sociale à l’Afrique
Ristourne carburant de Total : une escroquerie
Une épidémie de grippe en France
Covid France 9 février 2023: 3.991 nouveaux cas en 24h et 31 morts en 24 heures
Des excuses à la baisse du niveau scolaire ?
Bénéfice Total: record stratosphérique et indécent de 36 milliards
Mobilisation retraites : une nouvelle journée le 7 févrie
REFORME DES RETRAITES : VOTRE DÉPUTÉ VA-T-IL VOTER POUR

Hausse des prix: la faute à « L’inflation importée »
Contre l’inflation, la hausse des taux d’intérêt pourrait durer (FED)
États-Unis : une nouvelle taxe sur les milliardaires (Biden
TECH CHATGPT: INTÉGRÉE AU MOTEUR DE RECHERCHE CHEZ GOOGLE
Société-« Territoires perdus de la République » : vingt ans après
DRAME EN TURQUIE ET SYRIE: LA FAUTE AUSSI AU NON-RESPECT DES NORMES DE CONSTRUCTION
Drame TURQUIE ET SYRIE: Le résultat de normes de construction et des tricheries sur la qualité des bâtiments
Les transports en commun bénéficie surtout aux moins défavorisés ?
GRÈVE DU 7 FÉVRIER: TASSEMENT EN ATTENDANT LA GRANDE MANIFESTATION DE DIMANCHE
BNP: 10 milliards, nouveau résultat record ……mais 1000 licenciements
Poutine veut imposer la dictature et la misère sociale à l’Afrique
Crise de l’énergie pour les usagers et résultats supersoniques pour Total
Microsoft va aussi intégrer l’IA dans le moteur de recherche et le navigateur
France : une croissance limitée à 0.2% par trimestre
Retraites : le ministre du travail piégé par ses propres déclarations de 2010 !
Covid France 8 février 2023 : 4.999 nouveaux cas confirmés en 24h.

CHATGPT: UNE VERSION GOOGLE INTÉGRÉE AU MOTEUR DE RECHERCHE
Retraites- Ruffin au gouvernement: Au service de qui êtes-vous ?
Contre l’hydrogène… les énergies fossiles !!!
Politique – Une réforme des retraites finalement coûteuse
Réforme des retraites : l’opposition des Français ne faiblit pas
Pouvoir d’achat : les Français réduisent de 10% les dépenses d’alimentation
Social: Salaires : baisse moyenne de 3 à 4 %
Politique-Retraites: Dussopt en danger
Politique: Ballon espion chinois dans le ciel américain : l’incroyable cynisme de la Chine !
Covid France 7 février 2023 : 40 morts supplémentaires en 24 heures et 718 nouveaux cas
Intelligence artificielle (IA): s’ouvrir au meilleur pour éviter le pire
Territoires perdus de la République » : vingt ans après<
Réforme des retraites : forte critique aussi du Medef
La croissance hypothéquée par la hausse de l’énergie pour les entreprises t moral au plus bas chez les patrons
SNCF : les syndicats décident de ne pas faire grève samedi
Royaume-Uni : le système de santé enregistre la plus grande grève

Inflation– des taux d’intérêts élevés pour longtemps (FMI)
Retraites: C’est la durée de cotisation qui doit être au cœur de la réforme pour la CFDT
Les Français disent non aux une voiture électriques trop chères
Plan de soutien à l’industrie américaine: La réplique de l’Union européenne pas à la hauteur
Prix de l’énergie : La scandaleuse décision du Conseil d’Etat
Politique: Macron et ses impôts, une relation douteuse
Retraites: le ministre Dussopt en danger…la réforme aussi
Politique et justice: A. BUZYN innocentée aussi dans l’affaire du Covid
Grève 7 février 2023 : fortes perturbations dans les transports
Salaires : une baisse moyenne de 3 à 4 %
Politique-macronie : Quelques grandes gueules, des technos et….. des minets
Bassines en Charente-Maritime : Le Conseil d’État confirme l’interdiction
Environnement: le honteux sabordage du « Foch » dans l’Atlantique
Ballon espion chinois dans le ciel américain : l’incroyable cynisme de la Chine !
RETRAITES: XAVIER BERTRAND CONDAMNE LA FAUSSE AVANCEE D’E. BORNE

Finances et Inflation– des taux d’intérêts élevés pour longtemps (FMI)
Sciences et avenir- L’Intelligence artificielle (IA) présentes les activités économiques
« Soutien Politique » : Édouard Philippe défend la réforme des retraites …..en enfonçant le gouvernement
Affaire Covid: A. BUZYN innocentée aussi
La démission de Dussopt et la fin de la réforme de la retraite ?
Dussopt « envisage » des sanctions financières, pas pour lui … pour les entreprises
Macron et les impôts: une relation personnelle douteuse
L e favoritisme aussi de Macron dans l’affaire Alstom- General Electric
Politique: Olivier Dussopt, favoritisme ou corruption
Covid France 5 février 2023 : 3618 cas supplémentaires en 24 h et 28 morts
Gouvernement Macron : Quelques sgrandes gueules, des technos et……des minets
Vers une crise démocratique et politique avec la réforme des retraites ?
Inflation et pouvoir d’achat : les Français réduisent les dépenses d’alimentation de 10%
Sciences- évolutions cognitives et taille du cerveau
Hausses des violences en 2022, la manifestation de l’impuissance de Darmanin
Prix de l’énergie pour les entreprises, une hausse mortifère de plus de 80 % en 2023

États-Unis : taux de chômage au plus bas depuis 50 ans
Pouvoir d’achat : les Français diminuent les dépenses d’alimentation de 10%
Réforme des Retraites :Insignifiante et inefficace pour l’économiste Patrick Artus
Électricité : Un bouclier inefficace sollicité seulement par 30 % des entreprises
Politique- Retraites–Élisabeth Borne à la télé : « encore une intervention pour les nuls » ( CFDT)
Politique: Pour Olivier Dussopt, un cadeau, ce n’est pas de la corruption
Taille du cerveau humain et évolutions cognitives
Politique-Vers une crise démocratique avec la réforme des retraites
EELV-Sondage Lyon: le maire contesté par 67 % dans l ‘Opinion
Covid France 4 février 2023 : 3618 cas supplémentaires en 24 h et 28 morts
Sciences et prospective- L’Intelligence artificielle (IA) au centre de toutes les activités économiques
Politique- Sondage mobilisation: la retraite mais aussi le pouvoir d’achat
Sécurité- Explosion des violences en 2022: la manifestation de l’impuissance de Darmanin
Politique : Édouard Philippe défend la réforme des retraites …..en enfonçant le gouvernement
Sciences-Taille du cerveau et évolutions cognitives
Manif d’agriculteurs mercredi à Paris
Inflation– des taux d’intérêts élevés pour longtemps
Economie: Coût de l’énergie pour les entreprises : une hausse mortifère de plus de 80 % en 2023

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Soupçons de corruption à BFMTV
Retraites–Élisabeth Borne à la télé : « encore une intervention pour les nuls
Retraites : Édouard Philippe défend la réforme …..en enfonçant le gouvernement
Sondage mobilisation: la retraite mais aussi le pouvoir d’achat
Sondage réforme retraites: opposition de plus en plus massive des Français, 71% contre
Politique-Vers une crise démocratique avec la réforme des retraites ?
Nouvelles technologies- L’Intelligence artificielle (IA) au centre de toutes les activités économiques
Covid France 3 février 2023 :4021 cas supplémentaires en 24 heures et 52 morts
Sondage Lyon: le maire contesté par 67 % dans l ‘Opinion
Vers une crise démocratique avec la réforme des retraites ?
Lire dans l’ADN le potentiel intellectuel et de santé ?
Inflation : les Français diminuent les dépenses d’alimentation de 10%
Inflation : les Français diminuent les dépenses d’alimentation de 5%
ETRAITES: Pour la suppression du régime spécial des parlementaires
Coût de l’énergie pour les entreprises : une hausse de plus de 80 % en 2023
Forte envolée des prix de l’énergie et des matières premières dans les entreprises
Signe de la baisse du pouvoir d’achat, les ventes d’Amazon baissent
Zone euro-BCE : Un relèvement des taux taux d’intérêt de 0,50 point… À contre-courant

Prospective- L’Intelligence artificielle (IA) au centre de toutes les activités économiques
Inflation : les Français freinent de plus en plus les dépenses d’alimentation
Explosion des violences en 2022: la manifestation de l’impuissance de Darmanin
Drogue Cannabis : risque accru de cancer du poumon
Pour l’interdiction totale de la la consommation de drogue
Zone euro: l’inflation toujours à un très haut niveau sur un an, 8,5 %
Sondage -réforme retraites : injuste pour 74 %, inefficace pour 60 %
Retraites-sondage mobilisation : les Français pour le blocage du pays
Sondage Réforme des retraites : l’opposition des Français ne faiblit pas
Covid France 2 février 2023: 4.506 nouveaux cas en 24h et 53 morts.
Sondage Lyon: le maire contesté par 67 % dans l ‘Opinion
Vers une crise démocratique avec la réforme des retraites ?
Le Sénat a très largement condamné le projet de réforme de la police judiciaire voulu par le ministre de l’intérieur Darmanin
Vers la fin du permis de conduire à vie ?
«L’hydrogène vert, secteur d’avenir pour les entreprises françaises»

Grève CGT dans l’énergie les 6, 7 et 8 février
Quelle justification de la Retraites à 64 ans ?
Politique et démocratie: Macron conduit le pays vers le chaos
S’attendre encore à des supers profits des énergéticiens
Manif réforme des retraites 31 janvier 2023 : participation encore plus forte
Retour des clients chez EDF, victime de l’arnaque des pseudos énergéticiens
«Les baby-boomers, c’est une génération de veinards » ! François Lenglet déraille
Assistants d’eurodéputés: Nouveau procès en sorcellerie cette fois pour le MoDem
Nouvelles journées d’action les 7 et 11 février
Covid France 1er février 2023 :57 morts et 6860 nouveaux cas en 24 heures

Retraites: Laurent Berger , CFDT, déjà pour une troisième phase d’action
Emploi des séniors : quel emplois ?
La justification de la Retraites à 64 ans
Le stress du numérique qui monte
Social-La réforme des retraites « va coûter beaucoup plus cher qu’elle ne rapporte », François Hommeril (CFE-CGC)
éforme des retraites : les critiques des économistes
Réforme des Retraites : La petite musique des assureurs de la réforme par capitalisation
Réforme des retraites- Fébrilité du gouvernement : calinerie de Borne et insulte de Darmanin
Manif retraites 31 janvier : une mobilisation exceptionnelle
Diplomatie République tchèque : Macron s’est encore trompé de cheval !
Macron conduit le pays dans le mur
SONDAGE réforme retraites : 68 % toujours contre
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Finances publiques-Dette et déficit : report des efforts en 2024…ou 2027
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Inflation-Carburants : le litre à deux euros
Croissance Mondiale: recul mais un peu moins que prévu (FMI)

ChatGPT: une IA pour quoi faire ?
Pour un nouveau marché de l’électricité
Pour un nouveau de marché de l’électricité
Transition écologique : Une lettre « verte » du gouvernement aux maires
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Social et économie- Sondage moral des Français: plombé par l’inflation
Darmanin est un agitateur pour le député LR Aurélien Pradié
Réforme des Retraites : le projet capitalisation repointe son nez chez les assureurs
>Réforme des retraites : la jeunesse acteur incontournable ?
SONDAGE réforme des retraites : toujours autour de 70% contre
Régulation de l’ électricité: face à la spéculation, renationaliser toute la filière
Commerce extérieur : déficit record de la balance commerciale
Election République tchèque : Macon s’est encore trompé de cheval !
MÉDECINS LIBÉRAUX: GRÈVE LE 14 FÉVRIER
Economie, politique, soc

Politique- Macron conduit le pays dans le mur
Société-Le déferlement des drogues douces et dures en Europe menace la démocratie
Business et Société : Mettre fin à l’arnaque des influenceurs
31 janvier : s’attendre à une exceptionnelle mobilisation
Le Parlement devra plier devant l’opinion
Fébrilité du gouvernement : Retraites : Darmanin insulte les opposants à la retraite
Retraites : la tentative de capitalisation pointe son nez chez les assureurs
Société-Une surconsommation qui tue les efforts de sobriété
Parti socialiste: Raccommodage de façade avant disparition totale
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Politique- Une réforme des retraites finalement coûteuse !
Aménagement du territoire – Pour la démétropolisation de nos sociétés
Economie- Sondage moral des Français: plombé par l’inflation
Société- Le déclin de la valeur travail en France
Economie et Compétitivité–un déficit record de la balance commerciale

Le déferlement des drogues douces et dures en Europe menace la démocratie
Services publics : Le scandale de l’indigence des relations téléphoniques
Société-Aménagement du territoire : la folie de la métropolisation
Pour la démétropolisation du territoire
Drogue- Cannabis : Légalisation et banalisation ?
Macron conduit le pays dans le mur
Une surconsommation qui tue les efforts de sobriété
Sondage moral des Français: plombé par l’inflation
Le déclin de la valeur travail en France
Covid France 28 janvier 2023 : 4681 cas supplémentaires en 24 heures et 44 morts
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  • Macron -télé: Déni, mensonge et mépris

    Macron -télé: Déni, mensonge et mépris

    Déni, mensonge et mépris, les trois qualificatifs les plus utiliser par les syndicats et l’opposition ( et même les républicains !) pour qualifier le discours d’un président aux abois qui promet maintenant de réduire le nombre de lois, de les saucissonner et de les condenser en quelques lignes. Résumé du Figaro:

    «traditionnelles marques de mépris», a ainsi relevé Jean-Luc Mélenchon, «La foule est au peuple ce que le cri est à la voix», a-t-il ajouté.

    «Ce président ne comprend pas les Français», a également abondé le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, sur les réseaux sociaux. Patrick Kanner, a à son tour fustigé sur Public Sénat l’«arrogance», la «suffisance», la «condescendance» et l’«irresponsabilité» du président.

    La secrétaire générale des Verts s’est dite «glacée par la démonstration d’autosatisfaction du président Macron», et a dénoncé des propos «méprisants et mêmes offensants», ainsi que «la vacuité de ce qu’il propose».

    «Les solutions proposées par le président de la République ne sont pas à la hauteur de la crise politique et économique que nous vivons», a aussi déclaré le chef de file des Républicains, Éric Ciotti.

    Marine Le Pen a également évoqué un même «sentiment de mépris pour le peuple», et d’«inutiles blessantes et dangereuses provocations».

    Le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger-très en colère- n’a pas attendu la fin de l’interview pour décocher un tweet au vitriol. «Déni et mensonge !», a-t-il écrit, en réaction aux propos d’Emmanuel Macron sur l’absence de compromis de la part des syndicats sur les retraites. Le chef du premier syndicat de France lui fait grief de «refaire l’histoire» et de «mentir sur la CFDT», dans le but de «masquer son incapacité à trouver une majorité pour voter sa réforme injuste».

    Philippe Martinez a qualifié les propos d’Emmanuel Macron de «foutage de gueule», qualifiant l’interview de «lunaire».

    chasser Macron: une urgence pour le pays

    chasser Macron: une urgence pour le pays

    Dans les milieux bien informés ( en fait qui soutiennent le pouvoir), on affirme que la réforme des retraites est indispensable pour donner confiance aux marchés financiers et éviter une hausse des taux d’intérêt sur nos emprunts. En réalité, cette réforme risque de créer une telle instabilité politique qu’elle risque de provoquer aussi une crise économique et sociale qui sera encore plus préjudiciable à la crédibilité de la France pour les marchés financiers. On est donc en droit de s’interroger sur l’idéologie de Macron. Pour trouver l’origine assez confuse de l’idéologie de Macron, il faut notamment se tourner vers Machiavel et le théâtre. Machiavel qui fut l’un des sujets de sa thèse et le théâtre qui lui permit de passer de l’adolescence à la majorité. Pour le reste, son idéologie est une espèce de patchwork qui repose d’abord sur le service à rendre aux grands financiers, sur un ego démesuré et sur une vision très américaine de la société.

    L’imposture commence avec sa candidature à la présidence de la république où grâce avec l’appui des financiers, il a réussi à s’imposer et à neutraliser François Hollande et le PS

    Certains objecteront qu’un autre responsable, assez apprécié celui-là, à savoir Georges Pompidou, est lui aussi venu directement d’une banque. Cependant, c’était le choix de De Gaulle. Macron, lui, est le choix des financiers et de leurs experts courtisans.

    Évidemment un groupe de pressions, sorte de lobby, qui n’agit que dans la coulisse. Il n’a jamais été possible d’analyser les conditions de financement de la campagne de Macron, la justice a enterré la question.

    L’autre soutien déterminant est celui des socialistes nombreux qui avaient l’impression que Macron pourraient les représenter. Là aussi une immense imposture entre les déclarations électorales de l’intéressé fondé sur des positions de gauche et une gestion désormais nettement orientée à droite.

    L’imposture confuse a entraîné le pays vers un déclin catastrophique tente en politique intérieure qu’en politique étrangère. En matière de politique étrangère, on peut prendre deux exemples pour illustrer le flou de Macron.
    D’abord ces conversations indécentes avec le dictateur Poutine. Ce qui nous a fâché avec la moitié de l’Europe mais aussi avec l’Ukraine. Puis son revirement à 180° en faveur de l’Ukraine. L’hubris est sa boussole. Macron se pensait pendant un moment comme le nouveau dirigeant du monde. Autre exemple assez lamentable celui de l’Afrique où la France est progressivement chassée par des dictatures du fait de l’insuffisance de volonté politique et de moyens militaires.

    En politique intérieure, la France se dirige tout droit vers la catastrophe. Tout les grands équilibres financiers sont dans le rouge, les budgets et la dette n’ont jamais affiché de chiffres aussi inquiétants.

    En dépit de cette politique budgétaire en pleine dérive, la situation des grandes fonctions régaliennes est particulièrement lamentables

    D’abord sans doute la question de la sécurité qui se caractérise notamment par l’abandon des banlieues aux trafiquants de drogue. Une drogue qui touche maintenant toutes les couches de la société. Il y a longtemps que la justice et la police ont renoncé à prendre en charge réellement cette question. Tout juste quelques opérations spectaculaires de temps en temps.

    Il y a évidemment aussi et peut-être surtout dans le domaine économique le massacre de la politique énergétique. La France qui pouvait s’enorgueillir de disposer de l’énergie électrique la moins chère du monde a fini par accepter de jeter dans le marché des centaines d’intermédiaires qui se sont engraissés au détriment d’EDF et du nucléaire. L’affaire de Nicolas Hulot illustre l’incompétence politique et la mauvaise foi du pouvoir qui a renié ses convictions pour quelques voix écolo.

    Deux autres domaines touchent aussi à la catastrophe, celui du système sanitaire et l’école. Un système sanitaire certes performant mais à bout de souffle concernant les moyens. Quant à l’école on mesure son déclin au fait que la France est renvoyée dans le fond des classements internationaux concernant l’évaluation des élèves.

    La dernière imposture récente est évidemment celle de la réforme des retraites avec cette folie d’écraser toutes les institutions intermédiaires: Parlement, syndicat et autres organisations. Cela pour leur substituer de pseudos conventions citoyennes bien choisies « au hasard » afin de mieux les manipuler. Ou encore pour leur substituer des comités plus ou moins bidon.

    80 % des Français dénoncent globalement la politique économique et sociale d’un président qui n’est plus soutenu que par 30 % à peine de l’opinion.

    Parmi les grandes faiblesses de la France, il faut aussi souligner l’extrême pauvreté de nos armées qui d’après les experts ne tiendraient qu’une quinzaine de jours tout au plus en Ukraine. Pour preuve, la France pas même capable de tenir ses positions en Afrique et qui soutient au compte-gouttes l’Ukraine. Et ce n’est pas le ridicule service national universel–de quelques jours–qui va changer la donne d’autant qu’on y parle même pas de défense.

    Jusqu’à quand va durer cette imposture ?

    Faute de nouvelles consultations démocratiques, la crise politique peut déboucher sur n’importe quoi.

    Politique : Qui finance Macron ?

    Politique : Qui finance Macron ?

    Financement de la campagne de Macron : la moitié vient de » grands donateurs »

    Grâce à des données obtenues auprès de la Commission des comptes de campagne, on a pu retracer en chiffres l’histoire du financement de la campagne du vainqueur de 2017.
    Premier enseignement : le candidat a levé 15 994 076 euros entre la création d’En Marche en mars 2016 et décembre 2017 (certains ont encore donné après la campagne). Jamais un candidat n’avait rassemblé autant d’argent auprès des particuliers en partant de rien. ( D’après Radio France)

    Le candidat n’aurait jamais pu financer sa campagne sans une infime fraction de donateurs fortunés. 48 % de ces 16 millions d’euros, ont été récoltés grâce à « seulement » 1 212 dons de 4 500 euros et plus. Ces gros chèques ont été d’autant plus essentiels qu’ils ont longtemps représenté l’essentiel des ressources dont disposait le candidat.
    Deux ans après l’élection présidentielle, nous avons analysé des fichiers seulement disponibles depuis quelques semaines, obtenus auprès de la Commission des comptes de campagne (CNCCFP), et nous les avons croisés avec d’autres données.

    Répartition par département des dons collectés par LREM et l’association de campagne d’Emmanuel Macron en 2016 et 2017

    Quand il lance En marche, à Amiens, le 6 avril 2016, Emmanuel Macron a deux problèmes : son parti est jeune, donc il n’a pas accès au financement public dont bénéficient les autres candidats. Et il n’a pas d’actif immobilier qui pourrait servir de garantie pour un emprunt, donc les banques sont encore très réticentes à lui prêter de l’argent. Il n’a donc qu’une solution pour financer sa campagne : faire appel aux dons des particuliers. En Marche naît avec un petit pécule de 80 000 euros dans ses caisses. L’équipe de campagne en cours de formation a commencé, comme toujours en pareil cas, par solliciter des proches. Le premier donateur du mouvement est le père d’Emmanuel Miquel, le secrétaire de l’association de financement de la campagne, qui signe un chèque de 7 500 euros dès le 17 mars. Quelques amis banquiers sont également mis à contribution par Christian Dargnat, l’ancien patron de la branche gestion d’actifs de la BNP, qui va devenir dans les mois qui suivent le rabatteur en chef des (gros) donateurs du mouvement.
    Une stratégie prioritairement orientée sur les grands donateurs
    Dès le début de la campagne, la stratégie fundraising (levée de fonds) de l’équipe Macron est clairement orientée en direction des riches donateurs : ceux capables de faire un chèque de 7 500 euros, le maximum qu’un particulier a le droit de donner à un parti tous les ans. Christian Dargnat l’explique clairement dès le 10 septembre 2016, dans un mail issu des Macron Leaks : « Quand on sait que les dépenses de campagne présidentielle sont limitées à 22 millions d’euros et que nous pourrions contracter un prêt bancaire (à hauteur de 9 millions) remboursé si le candidat dépasse le seuil des 5% aux élections, il nous reste donc à ‘trouver’ 13 millions. Si l’on arrondit à 10 millions le budget à trouver, il faut donc obtenir des dons de 1 333 personnes à 7 500 euros chacune. »

    Répartition en Ile-de-France des dons collectés par LREM et l’association de campagne d’Emmanuel Macron en 2016 et 2017
    Environ 800 personnes ont financé la moitié de la campagne Macron
    La réglementation autorise un particulier à donner 7 500 euros par an à un parti politique. Ce même particulier peut également donner jusqu’à 4 600 euros au candidat de son choix par élection. Grâce aux Macron Leaks et aux données obtenues auprès de la CNCCFP, nous avons pu retrouver des donateurs qui ont ainsi donné 7 500 euros à En Marche dès 2016, puis renouvelé leur don en 2017, et fait un troisième chèque de 4 600 euros (parfois arrondi à 4 500) à l’association de campagne du candidat. Certains ont également multiplié cette somme par deux au nom de leur conjoint(e), le chèque ou le virement partant du même compte commun.

    L’immense majorité des dons (environ 15 millions d’euros) ont été collectés par En Marche. Seul un million d’euro a atterri directement sur le compte du candidat sous la forme de 251 dons, quasiment tous au plafond de 4 600 euros.
    L’explication est simple : ceux qui ont donné à l’association de campagne étaient ceux qui avaient déjà donné le maximum au parti. Les fichiers de dons fournis par la Commission des comptes de campagne sont anonymisés mais suffisamment précis pour faire certains recoupements. On observe par exemple qu’un don de 4 600 euros arrive de Tirana, en Albanie, le 25 janvier 2017. Le même jour, un autre don de 7 500 euros atterrit sur le compte d’En Marche de… Tirana. Six jours plus tard, un couple de Zurich (Suisse) fait deux virements de 4 600 euros sur le compte de la campagne, au moment même où le parti reçoit un virement de 15 000 euros partis d’un compte commun de Zurich. Ce couple vient donc de donner 24 200 euros. Et il n’est pas le seul à l’avoir fait. Nous avons même retrouvé la trace d’un virement unique de 24 200 euros qu’En Marche a dû rembourser pour cause de dépassement du plafond. Quelques jours plus tard, son émetteur, habitant à Tahiti, faisait deux virements séparés au parti et à l’association de campagne pour le même total. Ces données sont par ailleurs confirmées par d’autres contenues dans les Macron Leaks. Ainsi, si le candidat Macron (ou son parti) a bien reçu 1 212 dons supérieurs à 4 500 euros, entre ceux qui ont donné plusieurs fois et ceux qui ont multiplié le plafond par deux en donnant également pour leur conjoint(e), on peut estimer à environ 800 le nombre réel de grands donateurs.

    Emmanuel Macron en campagne aux Pennes-Mirabeau (Bouches-du-Rhône)Emmanuel Macron en campagne aux Pennes-Mirabeau (Bouches-du-Rhône) © AFP – ANNE-CHRISTINE POUJOULAT
    L’équipe Macron a « optimisé » la réglementation électorale
    Cette stratégie d’orientation des dons prioritairement vers le parti, puis vers l’association de campagne est d’ailleurs confirmée par un échange de mails entre deux membres de l’équipe Macron. Le 23 janvier 2017, Julien Denormandie écrit : « On en a déjà discuté avec CO [Cédric O, le trésorier] mais je voudrais double checker le fait que notre politique visant à solliciter les dons sans faire la distinction entre mouvement et campagne ne pose pas de problème. Je dis cela car l’esprit de la loi est bien de limiter le montant des contributions au titre de la campagne. » De fait, d’après nos informations, la stratégie d’En Marche a fait sourciller la Commission des comptes de campagne qui s’est opposée à ce que le parti règle directement la majorité des dépenses. L’équipe a réglé le problème en effectuant des virements vers l’association de campagne qui réglait alors les factures. Mais le fait d’orienter les dons vers En Marche présentait l’avantage de pouvoir recevoir des dons plus importants (plafond à 7 500 euros au lieu de 4 600 pour l’association de campagne), et pour certains de donner en 2016 puis en 2017, alors qu’on ne peut donner qu’une seule fois à un candidat. Une stratégie résumée dans la réponse d’Emmanuel Miquel, le trésorier de la campagne, à Julien Denormandie : « On cherche d’abord à saturer le don au mouvement (à 7 500 euros), avant d’ensuite saturer celle du candidat (à 4 600 euros). »

    D’où viennent les gros dons ?
    En analysant l’origine géographique des dons, la donnée la plus frappante est la surreprésentation de Paris dans le total : 6,3 millions d’euros ont été donnés au candidat par un peu plus de 15 000 habitants de la capitale. C’est quasiment la moitié des fonds collectés en France, alors que Paris intra-muros ne représente qu’un peu plus de 3 % de la population française. Cette proportion s’explique par la concentration de grands donateurs, installés dans les arrondissements huppés de l’ouest de la capitale, mais aussi par une mobilisation plus large des électeurs parisiens qui ont largement choisi Emmanuel Macron (35 % dès le premier tour, presque 90 % au deuxième).

    Répartition par arrondissement des dons collectés à Paris par LREM et l’association de campagne d’Emmanuel Macron en 2016 et 2017
    A titre de comparaison, le candidat a recueilli 240 000 euros de dons en provenance de Lyon, 35 000 à Bordeaux et 32 000 à Lille.
    Les déplacements à l’étranger du candidat pour lever des fonds ont plusieurs fois suscité des polémiques pendant la campagne. Au total, Emmanuel Macron a reçu 2,4 millions d’euros de dons en provenance de l’étranger, soit 15 % de sa collecte totale ; 1,8 million émane de donateurs aisés (264 dons supérieurs à 4 000 euros).
    Sans surprise, le Royaume-Uni arrive en tête des pays donateurs. Emmanuel Macron a effectué au moins quatre voyages à Londres pour y lever des fonds. Avec succès (le don moyen y est de 1 000 euros), mais le socle de grands donateurs du candidat est bien resté en France : à eux seuls, trois arrondissements parisiens (6e, 7e et 16e) ont donné plus que tous les donateurs installés à l’étranger.

    Répartition par pays des dons collectés à l’étranger par LREM et l’association de campagne d’Emmanuel Macron en 2016 et 2017
    Grands donateurs et petits mensonges…
    Tout au long de la campagne, l’équipe d’Emmanuel Macron a noyé dans un brouillard de chiffres sa dépendance aux donateurs fortunés. Le 18 novembre 2016, le candidat affirme qu’ »il y a plus de 10 000 donateurs, une très grande majorité est constituée de petits dons autour de 40, 50 euros et il y a 5 % des dons qui dépassent 1 000 euros », installant l’idée d’une campagne financée par le grand public. Si ces chiffres sont globalement vrais, nous avons pu le vérifier, Emmanuel Macron en oublie un : à cette date, sur les 3,6 millions d’euros qu’il a levé, les deux tiers (2,2 millions) lui ont été donnés par 300 personnes. Dans les premiers mois de la campagne, le candidat est totalement dépendant des généreux contributeurs de sa campagne : banquiers d’affaires, gestionnaires de fonds, avocats, entrepreneurs du web… S’ils n’avaient pas sorti leur chéquier, jamais sa campagne n’aurait pu commencer. La mobilisation du grand public ne va devenir significative que vers le mois de février 2017.

    Par la suite, l’équipe de campagne va quasi-systématiquement minorer les chiffres réels de la collecte. Dans cet article de février 2017, elle affirme par exemple avoir levé 5,1 millions d’euros et parle de 150 personnes ayant donné 7 500 euros. En recalculant les dons effectivement encaissés à cette date à partir des fichiers de la CNCCFP, on s’aperçoit qu’en réalité, la collecte totale était de 7,2 millions d’euros et que 362 personnes (plus du double admis par l’équipe de campagne) avaient fait des chèques de 7 500 euros.
    Cette minimisation, sans doute guidée par des considérations politiques, avait aussi pour objectif d’essayer d’encourager les « petits » donateurs à se mobiliser plus largement. Dans un document interne d’En Marche de février 2017 issu des Macron Leaks, on peut lire : « La majorité des personnes n’ont pas confiance dans le financement et considèrent que seuls les ‘grands donateurs’ sont importants. […] Or, si chacun de nos adhérents donnaient 20 euros aujourd’hui, la campagne du premier tour serait entièrement financée. » Les auteurs de la note concluent qu’il faut « communiquer différemment sur la levée de fonds (casser l’image « CAC 40″) ».
    .@EmmanuelMacron et @axellelemaire lancent le French Tech Hub Londonhttps://t.co/aPnkpICfvb#FrenchTech pic.twitter.com/8QM5dpIE1T

    — JFK Bismuth ☮ (@jfkbismuth) April 15, 2016
    Il y a un point en revanche sur lequel l’équipe de campagne n’a pas menti : la première tentative de levée de fonds à Londres le 14 avril 2016 a bien été un fiasco. Elle avait pourtant suscité une vive polémique. Emmanuel Macron, encore ministre de l’Économie avait rencontré, en marge d’un voyage officiel à deux reprises, de riches Français installés à la City pour solliciter des dons pour son tout jeune parti. Dans un entrefilet, le magazine Paris Match expliquait qu’il avait récolté plus de 12 millions d’euros lors de cette escapade. Interpellé à l’Assemblée nationale par le député LR Georges Fenech, Manuel Valls avait affirmé que son ministre n’avait pas profité de son voyage pour collecter des fonds. Finalement, quelques mois plus tard, Christian Dargnat avait admis dans le magazine Pièces à conviction sur France 3 (vers 19’15 ») que la réunion avait bien eu lieu, mais « nous avons levé zéro » affirmait-il, expliquant ce résultat par l’amateurisme de l’équipe à ce moment-là. Christian Dargnat disait vrai. Dans les deux mois qui ont suivi ce voyage, à peine une dizaine de dons supérieurs à 5 000 euros sont arrivés en provenance de Londres.
    Et les autres candidats ?

    Dans l’histoire des élections présidentielles, seul Nicolas Sarkozy avait réalisé une performance comparable à celle d’Emmanuel Macron en 2017. Le candidat UMP avait reçu 7 millions de dons via son association de campagne et son parti avait récolté 8,9 millions.
    En 2017, le seul à avoir adopté une stratégie (un peu) comparable à celle d’Emmanuel Macron est Jean-Luc Mélenchon. Le candidat de la France insoumise ne pouvait pas s’appuyer sur un parti bénéficiant d’un fort financement public. Il a donc lui aussi sollicité les dons. Il a ainsi récolté 2,8 millions d’euros. Même en y ajoutant les dons perçus par le Parti de gauche en 2016 et 2017 et La France insoumise en 2017, pour tenter de trouver un périmètre comparable à Emmanuel Macron, son potentiel financier atteint 4,5 millions, soit quatre fois moins que le candidat d’En Marche. Les comptes détaillés du candidat Mélenchon ne sont pas encore disponibles, mais si on regarde le fichier des donateurs 2017 du Parti de Gauche, on y trouve… Un don de 7 020 euros et une petite cinquantaine de contributions supérieures à 1 000 euros. Sans surprise, le potentiel financier des donateurs ne semble pas être le même…

    Montant et structure des dons de particuliers reçus par les principaux candidats à l’élection présidentielle de 2017
    François Fillon n’avait lui, a priori, pas besoin de faire appel aux dons. Il pouvait notamment compter sur un magot de 10 millions d’euros provenant des bénéfices réalisés lors de la primaire de la droite et du centre. Les 9,6 millions d’électeurs qui s’étaient déplacés sur les deux tours avaient tous versé 2 euros de participation. Le candidat de la droite, qui pouvait aussi compter sur un prêt de l’UMP, n’était pas dans le besoin. Néanmoins, il a collecté des fonds via son parti Force Cépublicaine. Il a ainsi récupéré 1,4 millions d’euros en 2017 mais « seulement » 61 dons supérieurs à 4 500 euros. Très loin des 1 212 reçus par Emmanuel Macron.

    Quant à Benoît Hamon et Marine Le Pen, ils n’ont quasiment pas sollicité les dons. Le premier pouvait compter sur la cagnotte du PS, qui bénéficiait encore à cette époque d’un important financement public. La seconde s’est financée grâce à un prêt accordé par Cotelec, le micro-parti de son père.
    Beaucoup moins de grands donateurs en 2018 chez LREM et LR

    L’élection présidentielle passée, la mobilisation des grands donateurs semble s’être évaporée. Les comptes 2018 des partis politiques ne sont toujours pas publics, mais chez LREM, on explique n’avoir reçu qu’un million d’euros au total, une somme très faible au regard de ce que pouvait espérer jusque-là un parti majoritaire à l’assemblée. A titre de comparaison, en 2013, année post-présidentielle, le parti communiste avait engrangé 5,5 millions d’euros de dons. Ceci dit, LREM n’a plus à craindre pour ses fins de mois vu que le mouvement, grâce à son score aux élections législatives, touche dorénavant 22 millions d’euros par an de financement public.
    Chez Les Républicains, les grands contributeurs habituels se sont également volatilisés. D’après nos informations, LR n’aurait reçu qu’environ 2,5 millions d’euros de dons en 2018, alors qu’en moyenne, sur les cinq années précédentes, la collecte rapportait 9 millions par an. Un cadre du parti explique qu’il a vu « les têtes changer lors des rencontres qui sont organisées entre Laurent Wauquiez et les plus généreux contributeurs du mouvement ». D’après lui, « certains ont fait le constat qu’Emmanuel Macron faisait des réformes qui leur étaient favorables, comme la flat tax, et finalement, ils n’ont plus de raison de nous donner autant. »

    Méthodologie :
    Nous avons obtenu auprès de la Commission nationale des comptes de campagne les fichiers des donateurs de la campagne d’Emmanuel Macron ainsi que ceux de LREM pour les années 2016 et 2017. Les noms des donateurs n’y sont pas présents mais ils comportent certains éléments : le date du don, le pays et la ville de résidence du donateur, le montant du don, son type (virement ou chèque). Nous avons également croisé ces données avec celles contenues dans les Macron leaks. On y trouve de nombreux mails de donateurs et bulletins de dons ainsi que des fichiers de contributeurs (dont nous avons pu vérifier l’exactitude grâce aux fichiers « officiels » que nous avions par ailleurs).

    Nous avons également obtenu de la CNCCFP des fichiers similaires pour d’autres candidats, mais tous ne sont pas encore disponibles (celui de Jean-Luc Mélenchon notamment). Dans ce cas nous avons dû travailler sur des données partielles figurant dans les comptes des partis ou des candidats.

    En raison de son manque de moyens notamment, la CNCCFP, ne fournit toutes ces données que deux ans (voire plus) après l’élection présidentielle. Dans de nombreux pays (Etats-Unis, Royaume Uni, Allemagne…) les dons aux partis politiques sont publiés en ligne quasiment en temps réel et le nom des donateurs est rendu public. En France, malgré quelques tentatives à l’Assemblée nationale ces dernières années, les députés ont toujours refusé la transparence totale du financement politique.
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    Parlement : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

    Parlement : qui sont ces blancs-becs macronistes députés à l’Assemblée nationale

    À l’occasion des débats sur les chaînes d’information et d’une façon générale sur les médias, on voit débarquer des représentants du courant macroniste actuellement députés à l’Assemblée nationale. La plupart sont complètement inconnus et le resteront sans doute puisque très peu seront réélus à la prochaine échéance électorale. Beaucoup sont très jeunes et sortent en fait directement des instituts d’études politiques recrutés sur Internet par Macron. Ils ont en commun surtout pour beaucoup de n’avoir jamais travaillé sauf dans la politique. Ils n’ont pas non plus d’expérience en matière d’engagements et ce clergé répète en boucle et plus maladroitement le sermon du patron de la secte d’arrivistes incompétents vendus au pouvoir financier.

    Il y a quelque chose de pathétique à écouter leur argumentation. Bref des perroquets complètement ignorants des réalités et même des textes qui prêchent en reprenant bêtement le discours officiel. Il faut dire qu’une chèvre aurait été élue à leur place. Juridiquement, leur élection n’est pas en cause mais politiquement ces jeunes blancs-becs n’ont aucune légitimité. Ce sont des courtisans qui n’ont aucune expérience de l’engagement collectif et qui parlent de ce qu’ils ignorent avec une incompétence crasse et une totale illégitimité démocratique.

    Il serait temps d’exiger des candidats députés un minimum d’expérience démocratique et politique pour éviter que la plus haute assemblée ne ressemble à une école maternelle.

    Le problème c’est que Macron lui-même fait la preuve en permanence de son immaturité politique en ajoutant des contradictions à ses renoncements et à ses promesses ésotériques. Et par mimétisme pathétique, les jeunes députés reprennent le refrain infantile de Macron.

    Politique-Référendum : la grande trouille des élites politiques et médiatiques

    Politique-Référendum : la grande trouille des élites politiques et médiatiques

    Il est pour le moins curieux que ceux qui détiennent le pouvoir du peuple et ceux qui ont pour mission de rendre compte de la vie démocratique s’unissent avec une telle unanimité pour dénoncer le référendum dont l’objet est justement de permettre l’expression des citoyens.

    Il faut écouter les arguments mondains pour justifier cette position : « vous comprenez mon cher, cette affaire de référendum n’est pas sérieuse….. d’abord il n’y a pas de majorité alternative….. ensuite quelles questions poser…. c’est totalement impossible »

    En vérité, un positionnement qui n’est pas complètement surprenant évidemment de la part des politiques actuellement au pouvoir mais aussi des éditorialistes de la grande presse à peu près tous au service des intérêts financiers. Ou des intérêts du gouvernement.

    Il est évident qu’un référendum dont le résultat donnerait par exemple à propos de la politique sociale et au-delà économique du gouvernement un résultat de 70 % contre et seulement 30 % pour( évaluation de certains organismes de sondage) bouleverserait profondément le paysage démocratique et les hiérarchies établies dans le monde politique, économique et médiatique.

    On se demande de quelle légitimités peuvent se prévaloir ces éditorialistes qui participent tous les soirs à ces tables rondes des télés d’information pour parler sans compétence de tout et de rien. Un jour de la crise sanitaire, le lendemain de la Défense nationale, le surlendemain de l’école, de la sécurité et du développement économique. En fait, ils répètent tous avec quelques nuances le discours superficiel ambiant dans les salons parisiens. Une sorte d’avant-goût du GPT !.

    Dans la crise démocratique il y a aussi cette crise médiatique où les journalistes pour la plupart sont clairement du côté du pouvoir et derrière la finance qui les rémunère.

    Macron à la télé: le roi nu mais toujours arrogant

    Macron à la télé: le roi nu mais toujours arrogant

    Pour résumer, le bla-bla habituel. D’abord une petite leçon juridique (inutile) sur le processus d’élaboration de la loi. Ensuite une explication très vaseuse à propos de la foule populace qu’il compare aux factieux du Capitole aux États-Unis. La rengaine de l’équilibre démographique (on fait quoi pour encourager la natalité ?). Quand même un tout petit mot pour les entreprises qui font trop de profits et qui rachètent leurs actions (ses amis). L’argument de l’opposition dont le conglomérat signifierait déficit. La fausse affirmation que des syndicats n’ont pas proposé de compromis. La reconnaissance de la colère et l’engagement de travaux sur le sens du travail, la reconversion et l’avancement. Bref les éboueurs pourront peut-être à partir de 55 ans pour passer le concours de l’ENA !. L’engagement gratuit vis-à-vis des branches dont les minima conventionnels sont en dessous du SMIC (la patate chaude renvoyée au Medef).

    Pas de changement au gouvernement, Borne reste en place et va engager des travaux beaucoup plus réduits il y aura moins de lois, des textes plus courts et pour cause il a du mal à trouver une majorité. Autre affirmation fallacieuse » on a tout dépensé avant » comme si Macron en 6 ans n’avait pas fait sauter le plafond de la dette. « Bref oui il y a des problèmes mais tout va bien et les problèmes viennent surtout du covid, de la guerre et de l’inflation. Une manière de renvoyer en touche sa responsabilité.

    Encore une intervention pour rien pour rabâcher toujours les mêmes fallacieux arguments concernant les risques financiers, les risques d’insurrection, les risques populistes. Le cri » le roi nu » résume le mieux l’imposture permanente de Macon, le cri qui dégonfle la baudruche, fait tomber le masque d’un président élu après avoir infiltré la gauche pour mieux se mettre au service des plus riches qui ont financé ses campagne

    À la mauvaise foi, s’ajoute aussi pour Macron l’incompétence crasse. Certes il aura réussi à octroyer de nombreux cadeaux aux plus riches mais il aura sans doute plongé le pays dans une crise dont les conséquences se feront sentir pendant des dizaines d’années. Il a largement contribué à brader l’économie et en particulier l’industrie mais aussi l’agriculture.
    Il va laisser les finances de la France dans un état lamentable puisque la dette aura augmenté d’environ 25 % durant son mandat (3000 milliards de dettes un record et 50 milliards de charges financières par an).

    Le déficit de la balance du commerce, témoigne du déclin économique.(Un déficit supérieur à 150 milliards en 2022). La situation est dramatique dans nombre de champs régaliens ou le rôle de l’État est en jeu comme la santé, l’école, la sécurité, la justice. Jamais la drogue ne s’est répandue à une telle vitesse dans le pays du fait du laxisme de l’État et de l’abandon de nombre de banlieues véritables comptoirs ouverts aux stupéfiants.

    Macron a aussi complètement échoué en politique internationale. Il se voyait déjà président de l’Europe et même du monde. En réalité, il est aussi rejeté par nombre de pays. Parmi ces erreurs fondamentales, il faut par exemple citer ses relations douteuses avec Poutine, puis sa tentative de ce rabibocher avec l’Ukraine. Résultat la France est mal vue dans les deux pays ! Même incompétence et même lâcheté en Afrique où la France a dû opérer des reculs honteux notamment au Mali au Burkina faso.
    Un président, chef des armées qui n’a même pas fait son service militaire au motif qu’il poursuivaient des étude ce qui en dit long sur ses convictions.

    Sur le plan démocratique, Macron se comporte comme un monarque dédaigneux ignorant volontairement les institutions et organisations représentatives y compris le Parlement.

    L’histoire retiendra que ce président a plongé le pays de façon durable dans un déclin affectant les champs démocratiques, économiques, sociaux et même sociétaux.

    Un président qui n’a plus de légitimité politique , de plus en plus seul comme dans un bunker à l’Élysée qui n’entend rien, n’écoute rien. Un autocrate incompétent et méprisant, dont la France devra se débarrasser rapidement pour ne pas tomber encore plus bas.

    Macron à la télé: le roi nu

    Macron à la télé: le roi nu

    Pour résumer le bla-bla habituel. D’abord une petite leçon juridique (inutile) sur le processus d’élaboration de la loi. Ensuite une explication très vaseuse à propos de la foule populace qu’il compare aux factieux du capitole aux États-Unis. La rengaine de l’équilibre démographique (on fait quoi pour encourager la natalité ?). Quand même un tout petit mot pour les entreprises qui font trop de profits et qui rachètent leurs actions. L’argument de l’opposition dont le conglomérat signifierait déficit. La fausse affirmation que des syndicats n’ont pas proposé de compromis. La reconnaissance quand même de la colère et l’engagement très vague de travaux sur le sens du travail, la reconversion et l’avancement. Bref les éboueurs pourront peut-être à partir de 55 ans et passer le concours de l’ENA !. L’engagement gratuit vis-à-vis des branches dans les minima conventionnels sont en dessous du SMIC (la patate chaude renvoyée au Medef).

    Pas de changement au gouvernement, Borne reste en place et va engager des travaux beaucoup plus réduits il y aura moins de lois, des textes plus courts et pour cause il a du mal à trouver une majorité. Autre affirmation fallacieuse » on a tout dépensé avant » comme si Macron en 6 ans n’avait pas fait sauter le plafond de la dette. « Bref oui il y a des problèmes mais tout va bien et les problèmes viennent surtout du covid, de la guerre et de l’inflation. Une manière de renvoyer en touche sa responsabilité.

    Encore une intervention pour rien pour rabâcher toujours les mêmes fallacieux arguments concernant les risques financiers, les risques d’insurrection, les risques populistes. Le cri  » le roi nu » résume le mieux l’imposture permanente de Macon, le cri qui dégonfle la baudruche, fait tomber le masque d’un président élu après avoir infiltré la gauche pour mieux se mettre au service des plus riches qui ont financé ses campagne

    À la mauvaise foi, s’ajoute aussi pour Macron l’incompétence crasse. Certes, il aura réussi à octroyer de nombreux cadeaux aux plus riches mais il aura sans doute plongé le pays dans une crise dont les conséquences se feront sentir pendant des dizaines d’années. Il a largement contribué à brader l’économie et en particulier l’industrie mais aussi l’agriculture.
    Il va laisser les finances de la France dans un état lamentable puisque la dette aura augmenté d’environ 25 % durant son mandat (3000 milliards de dettes un record et 50 milliards de charges financières par an).

    Le déficit de la balance du commerce, témoigne du déclin économique.(Un déficit supérieur à 150 milliards en 2022). La situation est dramatique dans nombre de champs régaliens où le rôle de l’État est en jeu comme la santé, l’école, la sécurité, la justice. Jamais la drogue ne s’est répandue à une telle vitesse dans le pays du fait du laxisme de l’État et de l’abandon de nombre de banlieues véritables comptoirs ouverts aux stupéfiants.

    Macron a aussi complètement échoué en politique internationale. Il se voyait déjà président de l’Europe et même du monde. En réalité, il est aussi rejeté par nombre de pays. Parmi ces erreurs fondamentales il faut par exemple citer ses relations douteuses avec Poutine, puis sa tentative de ce rabibocher avec l’Ukraine. Résultat la France est mal vue dans les deux pays ! Même incompétence et même lâcheté en Afrique où la France a dû opérer des reculs honteux notamment au Mali au Burkina faso. Un président, chef des armées qui n’a même pas fait son service militaire au motif qu’il poursuivait des étude ce qui en dit long sur ses convictions.

    Sur le plan démocratique, Macron se comporte comme un monarque dédaigneux ignorant volontairement les institutions et organisations représentatives y compris le Parlement.

    L’histoire retiendra que ce président a plongé le pays de façon durable dans un déclin affectant les champs démocratiques, économiques, sociaux et même sociétaux.

    Un président qui n’a plus de légitimité politique , de plus en plus seul comme dans un bunker à l’Élysée qui n’entend rien, n’écoute rien. Un autocrate incompétent et méprisant, dont la France devra se débarrasser rapidement pour ne pas tomber encore plus bas.

    Macron: Les opposants comparés à « une foule et à une meute »

    Macron: Les opposants comparés à « une foule et à une meute »

    Nouvelle preuve sans doute du profond mépris dans lequel Macon tient les opposants aujourd’hui très majoritaires à sa réforme des retraites. Il n’a pas hésité à traiter les protestataires à « une foule sans légitimité face à la démocratie représentative et même à une meute ! Une manière de donner une nouvelle légitimité à un pouvoir exclusivement vertical qui n’entend rendre de compte à personne .

    Évidemment une conception complètement obsolète de la démocratie vivante est très autocratique.

    La vérité sans doute et que le roi est nu et qu’il utilise maintenant toutes les arguties institutionnelles pour éviter une démocratie qu’il déteste. Macron confond évidemment la fonction de président et de monarque.

    Le plus significatif, c’est qu’il va recevoir prochainement le roi d’Angleterre à Versailles, sans doute le souverain le plus détesté dans son pays de sorte qu’il y aura 2 monarques suscitant le rejet avec cette différence que la France a abandonné définitivement la monarchie.

    Les propos de Macron sont évidemment irresponsables et bien sûr méprisants quand il déclare :«la foule» n’a «pas de légitimité face au peuple qui s’exprime souverain à travers ses élus» et que «les meutes ne l’emportent pas sur les représentants du peuple en recevant Mardi soir les députés et les sénateurs de la majorité à l’Élysée.

    Réforme des Retraites: Un Référendum d’initiative partagé au Conseil constitutionnel

    Réforme des Retraites: Un Référendum d’initiative partagé au Conseil constitutionnel

    250 députés et sénateurs ont signé une proposition de loi en faveur d’un RIP. De quoi prolonger la crise pendant encore des mois

    Les conditions d’un référendum d’initiative partagée pourrait bien être réunies très rapidement et la crise pourrait alors être prolongée pendant des mois. En effet Cette demande a été déposée par les députés de l’opposition au conseil constitutionnel. Les » Sages » ont désormais un mois pour l’examiner et valider ou non cette procédure. « Cela pourrait ne prendre que quelques jours », glisse un sénateur. Selon lui, le RIP devrait même être étudié avant les recours au Conseil constitutionnel sur la réforme des retraites, déposés lundi. Un référendum d’initiative partagée qui risque de faire durer la crise et dont l’efficacité à terme est critiquée

    Étape suivante : la proposition de loi sur le RIP devra être soutenue par un dixième des électeurs, soit 4,87 millions de personnes. Les signatures devront être recueillies dans un délai de neuf mois.

    On assiste cependant une sorte de vitesse juridique puisque le gouvernement parallèlement a aussi saisi le conseil constitutionnel pour un examen qu’il souhaite très rapide de la réforme des retraites.

    Sur BFMTV le député communiste de Seine-Saint-Denis Stéphane Peu s’interroge pense que la consultation pourrait n’avoir jamais lieu

    Benjamin MOREL. - Le référendum peut théoriquement se tenir. La jurisprudence en la matière n’est pas abondante, mais l’article 11 de la Constitution dispose que le référendum peut notamment porter sur la «politique économique ou sociale de la nation». On peut donc considérer qu’une réforme des retraites rentre dans ce cadre. Il y a un doute sur la nature du texte. L’article 11 parle de projet de loi. Or, là, nous avons affaire à un projet de loi rectificatif de la sécurité sociale. Est-ce que cela comprend uniquement les projets de loi ordinaire ou s’étend à tous les projets de loi de façon générique… c’est une question à laquelle seul le Conseil peut répondre.

    Dans quelles conditions ?

    Pour lancer un référendum d’initiative partagée, il faut réunir 1/5 des parlementaires, ce qui ne sera pas difficile. Il faut ensuite réunir la signature d’un dixième des électeurs inscrits, soit un peu plus de 4,5 millions, le tout dans un délai de neuf mois. Il faut bien comprendre que ce chiffre est très élevé. En Italie par exemple, État comparable, il faut 500.000 signatures ou cinq Conseils régionaux pour lancer une procédure de référendum abrogatif. Par ailleurs, dans le cadre du RIP français, si ces signatures sont réunies, le référendum n’a pas forcément lieu. Le texte est d’abord soumis aux deux chambres du Parlement qui peuvent l’examiner. Si elles l’examinent, ne serait-ce que pour le rejeter, alors le référendum n’a pas lieu. Ce n’est que si les chambres ne s’en sont pas saisies dans un délai de six mois qu’on procède à la consultation du Peuple. On a donc à faire à une procédure baroque ayant été conçue pour ne jamais être utilisée. Outre son sigle, RIP, ce qui montre que ses concepteurs eux-mêmes y croyaient peu et le temps c’est que la loi organique que rendait applicable son inscription dans la Constitution en 2008 a mis cinq ans avant d’être votée.

    Le RIP est très dysfonctionnel et n’a pas grand-chose du RIC demandé par les gilets jaunes.
    Pour autant, en l’espèce, ce n’est pas impossible. La colère des Français sur cette réforme, les réseaux politiques et syndicaux mobilisables peuvent rendre atteignables les signatures. Si un texte devait arriver devant le Parlement, le rejeter pour mettre fin à la procédure serait politiquement difficilement tenable, autant essayer d’éteindre un feu avec de l’essence. L’exécutif se trouverait alors dans une impasse.


    Si la réforme des retraites est promulguée avant la validation du référendum d’initiative partagée par le Conseil constitutionnel, pourra-t-il tout de même être organisé ?

    C’est le point qui n’a pas été envisagé par l’opposition. Elle aurait dû s’y prendre plus tôt. La loi organique est claire, le RIP doit porter sur un texte qui n’a pas été promulgué depuis moins d’un an. Dès lors qu’Emmanuel Macron promulgue le texte, le RIP à court terme devient impossible. Si le texte est voté ou passe par 49 alinéa 3, alors le Conseil sera saisi, une fois qu’il aura terminé son examen, le Président pourra promulguer. Avant ce moment fatidique, il faut que les signatures parlementaires soient réunies et que le Conseil constitutionnel se soit prononcé sur la constitutionnalité du RIP. Si les deux textes arrivent sur son bureau en même temps, théoriquement il devrait prioriser le projet de loi du gouvernement, théoriquement, cela induit toutefois un sprint.

    Le référendum d’initiative citoyenne était au cœur des revendications de certains «gilets jaunes». Le RIP peut-il être une solution à la crise démocratique que nous traversons ?

    Pour les raisons que l’on a déjà évoquées, le RIP est très dysfonctionnel et n’a pas grand-chose du RIC demandé par les «gilets jaunes». Il est même assez paradoxal. Dans la plupart des États, dont l’Italie, le RIC est un référendum veto. Si le peuple est en désaccord avec une loi, il peut y faire barrage avant qu’elle ne s’applique. C’est cohérent, car cela évite les désordres législatifs. En suspendant une loi qui ne s’applique pas encore, on évite de créer des situations de droit précaire.

    En France, par peur que le peuple ne désavoue les politiques, on a fait tout le contraire et on a exigé non seulement qu’une portion importante des parlementaires aient la clé du dispositif, mais aussi que le nombre de signataires soit prohibitif, en bref, il convient de repenser ce dispositif de démocratie directe qui s’applique aujourd’hui dans beaucoup d’États européens et dans nombre d’États fédérés américains. Les craintes que l’on a vis-à-vis de lui sont paradoxales. On veut constitutionnaliser le droit à l’avortement pour le mettre sous la surveillance du Conseil constitutionnel… pourquoi pas ? Toutefois, aux États-Unis ce n’est pas le peuple, c’est la Cour suprême qui a fragilisé ce droit.

    Les référendums d’initiative citoyenne qui ont suivi cette décision et tendaient à supprimer ce droit ont tous donné lieu à un non. En l’espèce, le peuple est donc plus raisonnable que les juges réputés le garder de ses excès. Le RIC produit certes des soucis de désintérêt et d’abstention s’il est utilisé trop souvent comme en Suisse. Toutefois, avec une bonne jauge, on évite la frénésie de RIC. Avec un quorum d’inscrits votant oui, on évite la confiscation du dispositif par une minorité ou le vote stratégique, c’est notamment le modèle estonien. Bref, tout cela a été mis en place ailleurs et ne pose guère de problème d’un point de vue constitutionnel, restent les blocages politiques et psychologiques.

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