Démission du gouvernement : au mauvais moment, pour un mauvais motif
C’est le pire qui pouvait arriver à Hollande, la démission du gouvernement au moment précis où Valls et lui-même plongent dans les sondages. Un plongeon justifié par des résultats économiques catastrophiques. Or c’est précisément ce que Montebourg (et d’autres) reprochent au gouvernement : l’inefficacité de cette politique économique. Finalement Montebourg est puni pour la pertinence de son analyse ; Une analyse que partage la plupart des Français puisqu’ils sont plus de 80% à condamner les orientations de Hollande dans ce domaine. Certes du point de vue du fonctionnement bureaucratique d’un gouvernement les déclarations de Montebourg et de Hamon font un peu désordre, un désordre qui s’ajoute aux autres confusions et contradictions. Valls a voulu faire triompher sa seule vertu son volontarisme d’opérette qui n’est qu’un autoritarisme de façade. Come ministre de l’intérieur, il a surtout fait de déclaration (comme Sarkozy en son temps) sans vraiment s’attaquer à, l’insécurité montante. La politique de Valls et sa stratégie se résume au coup de menton. Il veut montre qu’il sait décider, qu’il commande, que c’est lui le patron. Un fond de caractère qui n’est pas critiquable forcément quant il est mis au service d’objectifs concrets cohérents. Valls se conduit en fait en maitre décolle d’antan. Ce n’est pas en affirmant chaque « j’ai de l’autorité, j’ai de l’autorité » qu’il parviendra à en persuader les français. L’autorité ne se déclame pas, elle se mérite et elle doit se concrétiser dans la pratique et sur des objets pertinents.
C’est le pire qui pouvait arriver à Hollande, la démission du gouvernement au moment précis où Valls et lui-même plongent dans les sondages. Un plongeon justifié par des résultats économiques catastrophiques. Or c’est précisément ce que Montebourg (et d’autres) reprochent au gouvernement : l’inefficacité de cette politique économique. Finalement Montebourg est puni pour la pertinence de son analyse ; Une analyse que partage la plupart des Français puisqu’ils sont plus de 80% à condamner les orientations de Hollande dans ce domaine. Certes du point de vue du fonctionnement bureaucratique d’un gouvernement les déclarations de Montebourg et de Hamon font un peu désordre, un désordre qui s’ajoute aux autres confusions et contradictions. Valls a voulu faire triompher sa seule vertu son volontarisme d’opérette qui n’est qu’un autoritarisme de façade. Come ministre de l’intérieur, il a surtout fait de déclaration (comme Sarkozy en son temps) sans vraiment s’attaquer à, l’insécurité montante. La politique de Valls et sa stratégie se résume au coup de menton. Il veut montre qu’il sait décider, qu’il commande, que c’est lui le patron. Un fond de caractère qui n’est pas critiquable forcément quant il est mis au service d’objectifs concrets cohérents. Valls se conduit en fait en maitre décolle d’antan. Ce n’est pas en affirmant chaque « j’ai de l’autorité, j’ai de l’autorité » qu’il parviendra à en persuader les français. L’autorité ne se déclame pas, elle se mérite et elle doit se concrétiser dans la pratique et sur des objets pertinents.
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