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Archive mensuelle de décembre 2013

Actu-Economie, politique, société: infos les plus lues

Actu-Economie, politique, société: infos les plus lues  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Consommation des ménages : nouveau recul en septembre

 

Hollande : des vœux pour quoi faire ?

Hollande : des vœux pour quoi faire ?

 

Cérémonie traditionnelle des vœux ce soir pour les vœux de Hollande, pour dire quoi, «  ça va aller, ayez confiance ». Rien à attendre évidemment de ce rituel obsolète. Alors peut-être un changement de ton. Un ton de fermeté, une fausse assurance retrouvée, une pseudo posture de véritable président pour celui dont le costume parait tellement mal ajusté ; Que peut-il annoncer ? Rien. Si , bien sûr  sur le chômage, il va réaffirmer qu’il faiat tout ce qu’il peut et qu’il va continuer. Qui va le croire ? Des vœux qui seront sans doute les moins suivis de toute l’histoire de ces types exercices présidentiels convenus. Non  seulement, il n’a plus rien à dire, plus de crédibilité mais il n’a ni la verve, ni le charisme qu’il faut. Un président en faiat complètement dépassé par l’enjeu, qu’il a sous-estimé d’abord et qu’il gère maintenant comme on gère un conseil général. Simplement pas à la hauteur, sans vison réelle, sans stratégie et sans doute sans grande conviction. Certes l’histoire n’est jamais écrite mais il n’a plus aucune chance de se maintenir en 2017 et sa fin de règne risque d’être pathétique, (et douloureuse pour le pays). Il ne parviendra même pas à se qualifier au second tour de 2017, une humiliation pire que celle de Jospin. Une humiliation qui va commencer avec les municipales et surtout s’amplifier aux européennes  qui vont se transformer en véritable vote sanction de la politique intérieure. Il devrait suivre les conseils de Jean Jacques Goldman (la personnalité la plus appréciée) « quand on a rien à dire, il faut se taire ».

Hollande : 2013, l’année noire

Hollande : 2013, l’année noire

 

 

Chômage, croissance, impôts, Cahuzac,  Centrafrique, Leonarda, impopularité ou  l’année noire pour Hollande.  Le revers est sérieux: après l’amorce d’une inversion en octobre (-20.500), cette courbe est repartie à la hausse en novembre, avec 17.800 nouveaux demandeurs d’emplois sans aucun travail.  Et le chef de l’Etat a beau soutenir qu’arithmétiquement l’inversion de la courbe « est bien amorcée », il n’en reste pas moins que l’essai d’octobre n’a pas été transformé.  Avec cette mauvaise nouvelle, qui met à mal une promesse dont il a fait un marqueur de son quinquennat, la légère embellie de M. Hollande dans les sondages en cette fin d’année risque de faire long feu. Et son volontarisme à tout crin de miner la confiance des Français.  D’autant que son image de rassembleur et de président « normal », par opposition à celle de diviseur et d’hyper-président de son prédécesseur Nicolas Sarkozy, n’a cessé de se dégrader au cours des douze derniers mois.  Cible d’une bronca aussi imprévue que brutale, lors d’un salon de l’élevage en Auvergne il y a trois mois, M. Hollande est depuis régulièrement hué et sifflé lors de ses déplacements.  Ce fut même le cas le 11 novembre, pourtant journée de commémoration nationale. Oubliées les visites de 48 heures en province censées lui donner le pouls du pays, le président semble désormais privilégier les déplacements en catimini, loin des micros et caméras.  Sur le plan des réformes, M. Hollande peut mettre à son actif le vote de textes difficiles comme celui sur le mariage homosexuel ou la loi sur la sécurisation de l’emploi.  Mais l’action de l’exécutif aura été émaillée d’innombrables couacs, volte-face et reculades, sur fond de rumeurs incessantes de remaniement et de changement de Premier ministre.  Dernier épisode en date, le pavé dans la mare d’un rapport sur l’intégration publié sur le site de Matignon mettant en cause l’interdiction du voile à l’école, qui l’a contraint à taper du poing sur la table pour rappeler que la question ne faisait « pas débat ».  Dans la même veine, après le cafouillage présidentiel sur « la pause fiscale », « la remise à plat fiscale » annoncée par Jean-Marc Ayrault a, elle, accrédité l’idée d’un enterrement des réformes promises par le chef de l’Etat.  Sa « République exemplaire » ébranlée par l’affaire Cahuzac, n’a pas vraiment été restaurée, tandis que la loi sur la transparence de la vie politique censée éviter ces abus a été édulcorée par des parlementaires inquiets de livrer en pâture leurs déclarations de patrimoine.  Autre épisode dommageable pour le président Hollande: son jugement de Salomon dans l’affaire Leonarda, cette collégienne expulsée au Kosovo à laquelle il a finalement proposé de revenir en France, donnant le sentiment d’un président ne sachant pas trancher.  Globalement, ces flottements n’ont fait qu’alimenter l’inquiétude des Français, plus de huit sur dix (83%) percevant leur pays comme allant « plus mal ».  Des Français qui pourraient être de plus en plus tentés par le Front national de Marine Le Pen, si l’on en croit les sondages. Maigre consolation pour l’exécutif: l’UMP, empêtrée dans sa querelle des chefs, n’a toujours pas soldé l’après-Sarkozy, et ne parvient pas pour le moment à tirer parti de l’impopularité de la majorité.  S’ils craignent un vote sanction aux municipales de mars, les socialistes se rassurent aussi en se disant que les Français vont d’abord choisir « leur » maire et son équipe, et non pas le gouvernement du pays. Ils pourraient du coup limiter la casse.  Aux européennes en revanche, la facture risque d’être particulièrement salée pour la majorité.  L’économie française a elle connu un léger regain de croissance qui devrait être de 0,2% en 2013, mais ses finances publiques restent dans le rouge, et aux mesures fiscales devront s’ajouter en 2014 de sévères coupes dans les dépenses publiques.  Sur la scène internationale, François Hollande affiche un bilan mitigé.  Un an après avoir engagé les troupes françaises au Mali, le président de la République a de nouveau revêtu ses habits de chef des armées en Centrafrique.  Mais autant l’intervention malienne, couronnée de succès, avait reçu un large assentiment dans l’opinion, autant l’opération Sangaris, en Centrafrique semble pour l’heure impuissante à enrayer la spirale de violences dans ce pays en proie au chaos, où deux soldats français ont déjà trouvé la mort.  Plus anecdotique, M. Hollande, expert en bons mots, termine l’année sur une boutade malheureuse qui a provoqué un bref incident diplomatique avec l’Algérie.

Les bizarreries des taux de TVA

Les bizarreries des taux de TVA

 

 

Certains produits seront à taux plein (20%, d’autres à 5.5% ; Pourquoi ? Va savoir !  le PQ par exemple à 20% n’est pas considéré comme une produit de nécessité, normal on peut utiliser( comme avant), les vieux journaux (ça permettait aussi de relancer une presse très fatiguée). La margarine aussi à taux plein, normal, c’est du luxe. Le chocolat noir lui sera à 5.5% mais pas le chocolat au lait à 20%, moins il y a de cacao plus c’est taxé. Bref le maquis fiscal complètement kafkaïen mais qui justifie sûrement l’emploi de milliers de fonctionnaires pour mettre au point et contrôler une telle ingénierie fiscaliste. Les taux de TVA vont donc changer le 1er janvier. Le taux normal, actuellement de 19,6%, passera ainsi à 20%, et celui intermédiaire grimpera de 7% à 10%. La baisse du taux réduit pour l’alimentation, initialement prévue de 5,5% à 5%, n’aura, elle, finalement pas lieu. Alimentation, restauration, culture, immobilier… la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) affecte presque chaque bien et service vendu en France. Mais il est souvent difficile de s’y retrouver dans le maquis des différents taux. L’assujettissement à tel ou tel taux répond parfois à une curieuse logique. Pour preuve, ce petit tour d’horizon de biens et services touchant la vie quotidienne des Français.  La TVA à 5,5% ne concerne pas l’ensemble des produits de première nécessité, mais juste l’alimentaire. Ainsi, les sodas, qui sont loin des « premières nécessités », bénéficient pourtant du taux réduit. Au contraire, des articles de consommation quotidienne, comme le dentifrice ou le papier toilette, ne relevant pas de l’alimentaire, sont actuellement taxés à 19,6%. Et bien qu’alimentaires, certains produits sont tout de même exclus du taux réduit. Le caviar par exemple, mais aussi la margarine sont taxés au taux normal. Dans le chocolat et les confiseries, les différences varient quasiment d’un produit à l’autre. Le décret fixant le taux ne comporte pas moins de 10 catégories différentes, en fonction de la teneur en chocolat, de la taille, du poids et de la fabrication! Ainsi le chocolat noir est à 5,5% mais le celui au lait à 20%. De même, des bouchées au chocolat qui dépassent 5 centimètres ou 20 grammes seront taxées à 20%, alors qu’en-dessous, la TVA ne sera que de 5,5%.  Les « activités médicales et paramédicales » sont complètement exonérées de la TVA. Ainsi, il n’existe pas de taxe sur une consultation chez le psychologue ou le diététicien. Seule exception: les actes de chirurgie esthétique non pris en charge par l’assurance maladie, qui sont taxés au taux normal. Concernant les fournitures médicales, là encore la loi fonctionne au cas-par-cas. Ainsi des semelles vendues par votre podologue sont exonérées de TVA, mais des articles orthopédiques vendus en magasin spécialisé seront taxés. Si vous êtes malade, un transport d’urgence en ambulance sera aussi exonéré de TVA. Mais en revanche, un transport en véhicule sanitaire léger, pour des soins réguliers par exemple, est lui soumis au taux de 7%, qui sera relevé à 10%.  Dans l’immobilier, les différences de taux sont difficiles à suivre. Louer un immeuble nu et non-aménagé est exonéré de TVA, alors que la location d’une place de camping, qui relève du tourisme et de l’hébergement, bénéficie du taux intermédiaire. La location d’une place de parking dépend, elle, du taux normal, de 20% au 1er janvier. La TVA sur les travaux de rénovation énergétique des logements sera elle ramenée à 5,5% au 1er janvier. Concernant l’énergie, les abonnements au gaz et à l’électricité sont soumis au taux de 5,5%, mais la consommation de gaz et d’électricité dépendent du taux normal, qui sera de 20% en janvier.  Pour favoriser la culture, les 140 premières représentations d’un spectacle, qu’il s’agisse de théâtre, de cirque, ou de variétés, sont soumises au taux « super-réduit » de 2,1%. Au-delà de 140 dates, les spectacles culturels sont taxés à 5,5%. Petite exception: les spectacles ayant lieu dans des salles avec un service de consommation, comme les clubs ou les cafés, sont directement taxés à 5,5%. Enfin, les tickets de cinéma, actuellement taxés à 7%, bénéficieront désormais aussi de ce taux réduit de 5,5%.  La presse papier bénéficie aussi du taux super réduit de 2,1%. Une mesure dénoncée par les groupes d’information en ligne, qui sont soumis au taux normal. Mais le gouvernement a annoncé des négociations avec Bruxelles, afin d’harmoniser les taux pour la presse à 2,1%. Autre secteur soumis à la TVA à taux normal: les publications pornographiques. Ainsi, près de 20% du prix de Playboy va à l’Etat contre seulement 2,1% du prix d’un magazine people

 

Immobilier neuf : nouveau repli

Immobilier neuf : nouveau repli

 

 

50 000 logements neufs promis par an par Hollande et Duflot mais seulement 338.000 construits sur un an ! En fait un recul de près de 6%  sur l’an passé. Les mises en chantier de logements neufs en France ont diminué de 5,5% sur un an, pour tomber à 85.131 unités, sur les trois mois allant de septembre à novembre, selon les statistiques du ministère du Logement publiées mardi.  La tendance se dégrade en cette fin d’année, puisqu’un mois plus tôt, sur la période allant d’août à octobre, le recul était moindre (-2,8%) et limité à 0,6% entre juillet et septembre. Le petit rebond de l’été (+2,1% de juin à août) a donc fait long feu.  De septembre à novembre, les mises en chantier de logements ordinaires sont en baisse de 7,7% sur un an à 78.214 unités, tandis que le segment des logements en résidence (seniors, étudiants…) a connu un bond de 28,6% à 6.917 unités.  Sur les douze mois écoulés entre décembre 2012 et novembre 2013, le nombre de logements neufs mis en chantier est toujours en net repli de 6,2%, à 337.872 unités.  Du côté des permis de construire accordés aux logements neufs, qui représentent les futures mises en chantier, la situation est encore plus sombre.  En effet, leur nombre a chuté de 18,8% de septembre à novembre, à 105.096 unités, comparé à la même période un an plus tôt. Toutefois, ce recul est moindre que celui constaté un mois plus tôt, sur la période allant d’août à octobre (-23%).  Le décrochage est plus fort pour les permis de construire accordés aux logements en résidence (-31,1% à 6.850 unités) que pour les logements ordinaires (-17,8% à 98.246 unités). Là encore, les chiffres publiés pour la période août/octobre étaient pires (-42,8% et -21,3%).  Sur douze mois, la tendance est toujours à la baisse, avec un repli cumulé de 15,7% à 433.282 unités entre décembre 2012 et novembre 2013, comparé à la même période un an plus tôt.

 

« l’impact des hausses de TVA sera faible » (Christian Eckert -PS) , dixit un fonctionnaire !

« l’impact des hausses de TVA sera faible » (Christian Eckert -PS) , dixit un fonctionnaire !

L’économie vue par un enseignant. Pour lui pas d’impact de la hausse de TVA. Il faudra qu’il raconte cette fable par exemple aux services, aux transports ou à la restauration. Un raisonnement évidemment de fonctionnaire qui n’entretient avec l’économie que des liens très approximatifs. En fait cette baisse va impacter les prix et les marges. Dans les secteurs peu concurrencés par les entreprises étrangères come la distribution, il fauta  même s’attendre à une valse des étiquettes. Il faudra bien répercuter quelque part ces hausses dimpôts sur les marges, l’emploi ou les clients. Le rapporteur général PS du budget a pourtant justifié les hausses de TVA au 1er janvier en estimant que leur impact sera faible pour les consommateurs.  Christian Eckert ne redoute pas un impact massif sur les prix des hausses de TVA qui vont intervenir le 1er janvier. C’est en tout cas ce qu’il a affirmé ce 31 décembre sur RMC. « L’impact sur les prix, c’est la grande question, mais on peut penser que dans beaucoup de secteurs, les hausses pourraient être largement inférieures à ce que l’on peut attendre », a déclaré le rapporteur général PS du budget à l’Assemblée nationale. La raison essentielle selon lui? Les entreprises qui ont obtenu un allègement de charges via le CICE ne devraient pas répercuter les hausses. Il a, au passage, justifié ces hausses de taux liées au financement du nouveau crédit d’impôt : « il faut clairement le dire, l’objectif est de retrouver de la compétitivité ».  Toujours sur la TVA, Christian Eckert a estimé qu’en matière de taux, la France « se situe dans la moyenne des autres pays européens ». Il aurait cependant souhaité voir instaurer un 4eme taux de TVA, « de 13 ou 14 points, qui aurait été plus adapté à certains secteurs ».

 

Stabilité fiscale pour Hollande ou mise à plat fiscale pour Ayrault

Stabilité fiscale pour Hollande ou mise à plat fiscale pour Ayrault,

 

Pue d’observateurs ont noté l’énorme contradiction entre les propos d’Hollande en Arabie saoudite sur la fiscalité et ceux d’Ayrault.  Hier en Arabie saoudite Hollande à voulu rassuré les investisseurs en affirmant que désormais ce serait la stabilité fiscale en  France. Ayrault de son coté avait sorti de son chapeau ( et sans en parler à personne, surtout pas à Moscovici et Bercy) une remise à plat totale de la fiscalité. Pourquoi une telle contradiction ? Simplement parce que la  remise à plat fiscale est une lubie d’Ayrault qui a tenté de sauver son poste par un coup médiatique. Que Hollande ne l’a vraiment jamais appuyé sur ce point assurant même qu’il fallait « sanctuariser ce qui avait été déjà décidé. (Autant dire ne pas le bouger). Surtout parce que Hollande vient de s’apercevoir que cette instabilité fiscale nuit grandement à la confiance des investisseurs qui savent bien que lorsqu’on augmente un impôt, on ne sait jamais s’il sera compensé par la baisse d’un autre et à qui. Bref, un enterrement de la grande réforme fiscale d’Ayrault.  Le président de la République a donc déclaré, ce lundi 30 décembre, devant des investisseurs saoudiens, que « la stabilité fiscale doit être la règle » en France.  Alors que le Conseil constitutionnel a censuré 24 des 236 articles de la loi de Finances pour 2014 et du collectif budgétaire 2013, François Hollande a voulu rassurer, ce lundi 30 décembre. A l’occasion de sa visite d’Etat en Arabie Saoudite, le président de la République a pris, devant des investisseurs saoudiens, l’engagement suivant: « la stabilité fiscale doit être la règle, la simplification doit être le comportement quotidien de l’administration française et l’attractivité doit être la priorité ». « C’est bien la volonté qui est la mienne », a-t-il lancé, répondant aux souhaits exprimés quelques instants plus tôt par ces mêmes investisseurs, et qu’il a rappelés, « d’assurer une stabilité fiscale et des normes » ainsi qu’une « simplification » administrative en France.  Cette volonté, a-t-il détaillé, est de « faire en sorte que les règles fiscales soient connues et ne bougent pas et notamment pour tout ce qui peut être source d’attractivité pour les investissements ». « Chaque fois qu’un investissement vient en France pour créer de la richesse, c’est favorable à l’emploi, au développement des technologies et des échanges », a encore fait valoir François Hollande. Le président de la République n’a toutefois pas précisé de quelle manière cette promesse de stabilité fiscale s’articulerait avec le chantier de « remise à plat » de la fiscalité engagé par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault, ni à quelle date elle interviendrait.

 

Un Bricorama, fermé le dimanche, met la clé sous la porte

Un Bricorama, fermé le dimanche, met la clé sous la porte

Menacé depuis plusieurs mois de fermeture en raison notamment de la décision l’obligeant à fermer le dimanche, le Bricorama de Montigny-le-Bretonneux (Yvelines) a mis la clé sous la porte ce lundi. Le PDG du magasin a indiqué, ce lundi 30 décembre, que le Bricorama de Montigny-le-Bretonneux (Yvelines) a officiellement mis la clé sous la porte : « Ca y est, la décision a finalement été prise. Cela fait dix jours que nous débarrassons et demain, nous rendons les clés », a déclaré Jean-Claude Bourrelier. Ou tous ouverts, ou tous fermés. Jean-Claude Bourrelier, PDG du Bricorama de Montigny-le-Bretonneux. Avec près de 100.000 euros de pertes mensuelles depuis plusieurs mois et l’interdiction d’ouvrir le dimanche « on n’a pas eu le choix, il fallait fermer« , a expliqué le dirigeant. Il a notamment dénoncé la « concurrence déloyale » dont souffrait ce magasin, en raison de l’installation d’un Leroy Merlin à proximité « qui, lui, bénéficie du droit d’ouvrir le dimanche ». Les 17 emplois du magasin seront transférés dans d’autres boutiques de l’enseigne. « Mais cela fait autant de nouveaux postes que nous ne créerons pas », a fait valoir Jean-Claude Bourrelier. Le dirigeant a renouvelé son appel au gouvernement, afin que celui-ci modifie la loi sur les ouvertures dominicales. Il demande que chacun « soit logé à la même enseigne » : « ou tous ouverts, ou tous fermés ». Si rien ne change, « d’autres magasins Bricorama pourraient eux aussi être condamnés à fermer leurs portes très prochainement« , a averti Jean-Claude Bourrelier.

 

Montebourg : des vœux pour sa pub

Montebourg : des vœux pour sa pub

 

Montebourg a choisi de mettre en valeur une douzaine d’entreprises sauvées pour présenter ses vœux ; une manière de rappeler qu’il est utile.12 entreprise sur plus de 60 000 fermées en un an, le bilan est maigre et le ministre du « redressement productif » (une sémantique riche mais un contenu pauvre pour un ministère sans pouvoir) veut montrer qu’il existe. « Ce sont des entreprises qui ont compté pour nous et avec lesquelles on a travaillé », a résumé, ce lundi, le ministère du Redressement productif. Le calendrier se veut un recueil d’ »instantanés » plus qu’ »un bilan » d’activités. Il s’agit aussi bien d’entreprises en difficulté qui ont pu trouver une solution avec le concours du ministère, que d’entreprises emblématiques du « Made in France » et de la relocalisation, ou encore porteuses de productions traditionnelles comme de technologies de pointe. Le Journal du Dimanche avait présenté des photos en exclusivité de ce calendrier. Parmi elles, figurent le producteur d’aluminium Rio Tinto Alcan repris l’été dernier par l’allemand Trimet, l’équipementier automobile Punch Powerglide repreneur du site de GM Strasbourg et le fabricant de deux-roues Solex qui a relocalisé à Saint-Lô. Sont également présentes des entreprises de haute-technologie (les lasers Quantel, les tablettes Qooq, l’impression 3D de Gorgé, l’équipementier en électronique Set, le sous-traitant aéronautique Deprecq), des métiers plus traditionnels (le mobilier métallique Fermob, les textiles Virtuose et les Tissages de Charlieu, les lunettes Atol). Chacune est représentée par l’un ou l’une de ses salariés que le calendrier veut ainsi « mettre à l’honneur », a-t-on expliqué. « Toute l’année, ces hommes et ces femmes font tourner la France », écrit Arnaud Montebourg dans ses vœux. Leurs portraits ont été réalisés en décembre à la Cité de la Mode et du Design à Paris.  Le calendrier numérique sera mis en ligne mardi à minuit sur le site du ministère, accompagné d’un bonus sur les coulisses de la séance de photos, et une version papier de la carte de vœux calendrier suivra.

 

Orange piratée par la NSA

Orange piratée par la NSA

L’agence américaine de surveillance électronique, la NSA, a introduit un virus dans le réseau informatique de l’entreprise de télécommunications française Orange, selon des documents fournis par l’ex-consultant informatique Edward Snowden et révélés par Spiegel Online dimanche 29 décembre. L’opérateur télécoms Orange a annoncé dans la foulée lundi 30 décembre qu’il allait se constituer partie civile.  Selon Edward Snowden, une division spéciale de l’agence a piraté le réseau informatique d’un consortium de 16 sociétés utilisant le câble sous-marin de télécommunications Sea-Me-We 4. Ce câble en fibre optique relie l’Asie et l’Océanie à l’Europe en passant par le Moyen-Orient et ce jusqu’à Marseille, où il est relié au réseau Orange. Selon Der Spiegel, la NSA a piraté en février 2013 le réseau informatique de ces 16 sociétés (dont Orange) en introduisant un virus lui permettant de récupérer des informations concernant les flux de données – tels le lieu, la date ou les personnes participant à une conversation donnée.   »Orange n’a aucune implication dans de telles manoeuvres, effectuées entièrement à son insu et qui concernent a priori des équipements (câble SMW4) dont elle est usager et non gestionnaire », a indiqué l’opérateur dans une déclaration transmise à l’AFP. « Si piratage il y a eu, cela n’a pas pu se faire via le réseau d’Orange, qui n’a connu aucune attaque de ce type », affirme-t-il. L’opérateur « se réserve toutefois toutes les possibilités d’action légale dans l’hypothèse où des données Orange transportées par le câble en question auraient fait l’objet d’une tentative d’interception et va notamment se constituer dans les prochains jours partie civile », annonce-t-il. Orange  »rappelle son attachement à la protection du secret des correspondances, qui ne peut être levé que dans des conditions clairement définies et limitées par la loi; aucune institution ni aucun Etat ne peut s’affranchir de ce respect », selon la déclaration.  Depuis plusieurs mois, les révélations d’Edward Snowden ont levé le voile sur l’ampleur de Prism, programme américain d’espionnage tous azimuts visant plusieurs pays européens, les institutions de l’UE ou même le système de vidéo-conférence interne de l’ONU.

 

Chine : la dette des collectivités locales inquiète

Chine : la dette des collectivités locales inquiète

 

La dette des collectivités locales chinoises atteignait 17.900 milliards de yuans (2.100 milliards d’euros environ) fin juin, montre un audit officiel publié lundi, un montant supérieur à certaines estimations indépendantes et qui plaide en faveur de nouvelles réformes des finances publiques. En prenant en compte ce chiffre, la dette publique de la Chine représente environ 58% du produit intérieur brut (PIB). Ce ratio ne fait certes pas craindre une crise financière mais il souligne la nécessité de maîtriser l’évolution de la dette pour préserver la croissance et la stabilité financière. L’audit montre en effet que, dans certaines collectivités, plus de 20% des remboursements de dettes sont financés par de nouveaux emprunts et qu’un grand nombre d’entre elles ont massivement recours aux ventes de terrains pour honorer leurs obligations financières. En outre, la majeure partie des emprunts des collectivités locales servent à financer des projets d’infrastructures, qui ne génèrent pas de recettes fiscales nouvelles. Alors que Pékin affirme régulièrement que la dette des collectivités locales s’est stabilisée ces trois dernières années, les résultats de l’audit font état d’une hausse de 67% depuis 2011, même si ce chiffre prend en compte des dettes qui n’étaient comptabilisées il y a deux ans. « Même si la dette publique globale de la Chine reste faible selon les standards de l’OCDE, le rythme de la hausse demeure alarmant », commentent Liu Li-Gang et Zhou Hao, économistes de la banque ANZ, dans une note. « Les résultats de l’audit national sur la dette tendant à montrer que la dette des collectivités locales chinoises a pratiquement doublé en deux ans et demi environ. »

Actu-Economie, politique, société: infos les plus lues

Actu-Economie, politique, société: infos les plus lues  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Consommation des ménages : nouveau recul en septembre

 

Immobilier: Conseil constitutionnel valide l’essentiel du budget

Immobilier: Conseil constitutionnel valide l’essentiel du budget

 

 

Au total il y a bien quelques mesures invalidées mais globalement l’immobilier sera nettement plus taxé ; dommage dans une période caractérisée par une paralysie du marché.  Le Conseil constitutionnel a donc invalidé, dimanche 29 décembre, une série de dispositions du projet de budget 2014. Et l’immobilier est concerné. L’article 27 du projet budget modifiait l’imposition des plus-values immobilières des terrains à bâtir. Il prévoyait la suppression de tout abattement pour les cessions intervenant à compter du 1er mars 2014. Cette mesure visait à pénaliser la rétention de biens et inciter à la vente de terrains nus pour relancer l’immobilier. Mais les Sages ont estimé qu’ « il n’est pas tenu compte de l’érosion monétaire, aucune forme d’atténuation de la plus-value brute résultant de la cession n’était prévue. En conséquence, le contribuable pouvait être imposé dans des conditions qui méconnaissent l’exigence de prise en compte de ses capacités contributives ». Si l’article n’est pas modifié avant le 1er mars, la plus-value immobilière continuera donc d’être exonérée au bout de 30 ans. L’abattement s’applique par pallier, à savoir 2% pour chaque année de détention après 5 ans, 4% après 17 ans et 8% après 24 ans.  Par ailleurs, les autres dispositions de l’article 27, qui réforment la taxation des autres cessions de biens immobiliers (accroissement des abattements, abattement exceptionnel temporaire pour les cessions réalisées à compter du 1er septembre 2013), n’étaient pas contestées et n’ont pas été censurées. Donc depuis le 1er septembre, les plus-values sont soumises à un prélèvement forfaitaire de 19% au titre de l’impôt sur le revenu, plus 15,5% de prélèvements sociaux. Elles bénéficient d’une exonération d’IR après 22 ans de détention. L’abattement s’établit comme suit: 6% pour chaque année de détention après la 5ème année et jusqu’à la 21ème, et 4% pour la 22ème. Concernant les 15,5% de prélèvement sociaux, il faut leur retrancher 1,65% de la 6ème à la 21ème année, 1,6% la 22ème année et 9% à partir de la 23ème année. Le bien est donc exonéré au bout de 30 ans. En outre, un abattement exceptionnel supplémentaire de 25% s’appliquera aux cessions réalisées entre le 1er septembre 2013 et le 31 août 2014.  Par ailleurs, le Conseil constitutionnel a validé le relèvement temporaire des droits de mutation. Les droits de mutation à titre onéreux sont des taxes perçues par le notaire pour le compte des conseils généraux sur chaque achat d’un bien immobilier. Le gouvernement prévoit que les droits de mutation puissent passer de 3,8% à 4,5% du prix de cession pour 2014 et 2015. C’est le département qui décidera s’il applique ou non le taux maximum. Selon Bercy, si l’ensemble des départements décidait une augmentation des taux pour les porter au plafond de 4,5%, « le rendement maximum serait estimé à 930 millions d’euros en 2014 et 1,17 milliard d’euros en 2015″, pour retomber à 250 millions d’euros en 2016.

 

Une génération de footballeurs incultes

Une génération de footballeurs incultes

 

Certains s’étonnent du niveau culturel moyen des pros du foot qui frisent parfois l’analphabétisme. Pas étonnant quand on sait ce qui se passe dans les centres de formation des jeunes footballeurs. Bien entendu on ne peut généraliser et certains footballeurs échappent heureusement à la règle comme certains centres de formation ; Pour autant, la plupart du temps, ces centre de formation se préoccupent essentiellement de technique footballistique et néglige complètement la formation générale. Comme les enfants sont recrutés de plus en plus jeunes à 14-15 ans il y a 30 ans mais maintenant dès 10 ou 12 ans. On fait l’impasse sur l’acquisition des données essentielles de l’éducation (encore davantage sur la reconversion à l’issue de l’éventuelle carrière en foot). Nombre de ces enfants ne deviendront pas pros, certains pourront se reconvertir dans le sport amateur, d’autres dans rien du tout. Sans parler des accidents inévitables qui brisent une carrière. C’est évidemment un scandale dont se préoccupent peu les autorités à commencer par la fédération de football. En fait les enfants sont recrutés de plus en plus jeunes dans l’espoir d’en tirer un profit lors d’un transfert (des millions).  Faute de formation générale et d’encadrement beaucoup sont complètement immatures. . Le pire scandale concerne sans doute les jeunes africains dont des milliers sont expatriés en Europe et dont certains  finissent dans la rue. Le foot est un sport populaire et surtout pratiqués par des couches sociales peu favorisées  (à la différence du handball ou de l’athlétisme par exemple). C’est aussi un sport devenu un énorme business ou les intermédiaire, recruteurs, agents font aussi des fortunes sur le dos de ces jeunes. Quand on écoute les propos de nombre de stars du foot, c’est assez pathétique y compris en équipe de France. Preuve qu’on leur a surtout appris à réfléchir davantage avec les pieds qu’avec la tête. Il serait temps de mettre un peu d’éthique dans la formation des enfants footballeurs à mois de se contenter d’en faire des abrutis type Anelka.

Quenelle –Anelka : le geste d’un abruti

Quenelle –Anelka : le geste d’un abruti

 

Anelka est sans conteste un grand footballeur mais fantasque et bien davantage irresponsable. Un footballeur est qu’il le veuille ou non un homme public et ses dérapages sont forcément médiatisés. Sa « quenelle » en solidarité avec Dieudonné relève autant de la provocation que de la stupidité. Pas étonnant quand on connait le niveau culturel pathétique des ces footballeurs certes talentueux mais trop payés et qui se prennent parfois pour des leaders d’opinion; cette Quenelle va lui coûter cher en terme de suspension.  Nicolas Anelka a ajouté samedi un nouvel épisode à la longue liste de ses provocations en célébrant un de ses deux buts du jour par une « quenelle » dédiée à Dieudonné. Retour sur les autres dérapages de l’international français.  Absent de la Coupe du Monde 1998, attaquant muet à l’Euro 2000, non appelé en 2002, le début de carrière de Nicolas Anelka en Equipe de France est loin de suivre une trajectoire linéaire. Appelé en 2003 pour une rencontre internationale par le sélectionneur Jacques Santini après un forfait de Sidney Govou, le joueur de Manchester City refuse avec fracas la sélection nationale. Nicolas Anelka assure ne pas vouloir jouer les « bouche-trous » et ajoute à l’intention de Santini : « Qu’il s’agenouille devant moi, s’excuse d’abord, et après le réfléchirai (à un retour en bleu). » Rappelé par le nouveau sélectionneur Raymond Domenech en 2005, Nicolas Anelka participe à quelques rencontres des Bleus mais n’est pas appelé à la Coupe du monde 2006. En 2010, son moment semble enfin venu. Domenech en a fait l’homme de base de son attaque pour le mondial sud-africain. Cela n’empêchera pas l’ingratitude de l’ancien joueur du PSG. A la mi-temps du match (déjà) décisif entre la France et le Mexique, Anelka insulte son entraîneur (   « va te faire enc… ») . Ses propos feront la une du journal L’Equipe et entraîneront son exclusion du groupe France.

 

 

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