Archive pour le Tag 'chômeurs'

Chômage : baisse insignifiante du nombre de chômeurs

Chômage : baisse insignifiantes du nombre de  chômeurs

Officiellement d’après les administrations françaises le chômage aurait enregistré une baisse insignifiante de leur de 1 %. Point en réalité on connaît une stabilité d’autant que d’après les calculs différents du bureau international du travail on a plutôt constaté une augmentation du nombre de chômeurs. 
Officiellement, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à France Travail en catégorie A (sans activité) a diminué en avril par rapport au mois précédent (-1,26%) avec 38.100 inscrits en moins à 2,981 millions, selon les chiffres du ministère du Travail publiés ce mardi.

En incluant l’activité réduite (catégories B et C), le nombre de demandeurs d’emploi en France (hors Mayotte) diminue de 0,43% (-38.100) et s’établit à 5,368 millions, selon la direction des statistiques du ministère du Travail (Dares). La part des demandeurs d’emploi de longue durée (inscrits depuis un an ou plus) est de 43,7%.

La Dares ne commente pas les données mensuelles, trop volatiles, privilégiant les évolutions trimestrielles. Les derniers résultats trimestriels publiés fin avril faisaient état d’une quasi stabilité du chômage, avec une très légère baisse du nombre de chômeurs en catégorie A (-0,1%) au premier trimestre. En incluant l’activité réduite (catégories B et C), le nombre de demandeurs d’emploi était stable par rapport au trimestre précédent.

Au premier trimestre, le taux de chômage en France au sens du Bureau international du Travail (BIT) s’est stabilisé à 7,5% de la population active par rapport au trimestre précédent, a rapporté l’Insee vendredi 17 mai.

Dans le détail, 6.000 chômeurs supplémentaires ont été comptabilisés au cours du dernier trimestre écoulé, portant leur nombre dans la France entière (hors Mayotte) à 2,3 millions selon ce mode de calcul qui permet les comparaisons internationales, a précisé l’Institut national de la Statistique.

Le halo autour du chômage, constitué des personnes considérées comme inactives par le BIT parce qu’elles souhaitent un emploi mais n’en recherchent pas ou ne sont pas disponibles, diminue légèrement de 16.000 personnes et concerne désormais 1,9 million de personnes.

Le taux de chômage de longue durée, c’est-à-dire les demandeurs d’emploi en recherche depuis au moins un an, est stable à 1,8% de la population active. Le nombre de ces chômeurs diminue de 23.000 par rapport au dernier trimestre 2023, à 549.000 personnes. Les règles d’indemnisation de l’assurance chômage seront durcies à compter du 1er décembre, a confirmé Gabriel Attal dans une interview à paraître dans La Tribune Dimanche.

La durée d’indemnisation sera réduite à 15 mois « dans les conditions actuelles », c’est-à-dire si le taux de chômage se maintient en dessous de 9%, pour les chômeurs de moins de 57 ans. Et il faudra avoir travaillé 8 mois sur les derniers 20 mois pour être indemnisé, contre 6 mois au cours des 24 derniers mois actuellement.

 

Des fonctionnaires pour réinsérer les chômeurs !!!

Des fonctionnaires pour réinsérer les chômeurs !!!

 
 Le nombre de départements concernés par le nouveau RSA sous condition passera cette année à 47, avant sa généralisation en 2025, a confirmé le Premier ministre. Concrètement, les bénéficiaires du RSA sont invités à réaliser 15 à 20 heures de formation, de stage, d’insertion, en contrepartie de l’allocation. Le souci de réinsertion est en effet fondamental pour ceux  qui peuvent travailler car on perd très vite sa qualification et surtout le rythme social de travail. Ceci étant se pose la question de la compétence et des moyens de l’État pour  favoriser la remise sur le marché du travail. Mais les résultats semblent dérisoires dans la mesure où sur une vingtaine de départements en expérimentation seulement 20 000 chômeurs ont été concernés. Soit une perspective de 100 000 chômeurs pour toute la France quand il y a plus de 3 millions de sans-emploi officiels et au moins le double en réalité. 

 

En effet dans la plupart des cas, ce sont les fonctionnaires de France travail et autre institutions parallèles qui vont être en charge de guider et d’accompagner les chômeurs. Alors que ces fonctionnaires  n’ont à peu près aucune idée de ce qu’est la réalité du marché du travail. À la différence évidemment des entreprises d’intérim qui fournissent  la quasi-totalité des emplois disponibles du privé voire du public.
La liste des nouveaux territoires concernés : la Haute-Savoie, le Rhône, l’Allier, le Cantal, le Territoire de Belfort, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, le Finistère, le Loir-et-Cher, le Cher, l’Eure-et-Loir, la Meuse, la Communauté européenne Alsace, les Ardennes, la Marne, le Pas-de-Calais, l’Oise, l’Essonne, les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne, la Manche, la Seine-Maritime, la Charente-Maritime, la Vienne, les Alpes-Maritimes, le Vaucluse, la Sarthe et la Guadeloupe. Parmi la liste des départements cités, tous ne déploieront pas le dispositif de RSA sous conditions dans l’ensemble de leur territoire, car la mise en place de l’expérimentation peut ne concerner qu’un bassin ou une agglomération au sein d’un département.
Gabriel Attal a également annoncé une « accélération » des contrôles des bénéficiaires de l’assurance-chômage. « France Travail en mène aujourd’hui 500 000 par an. Nous les multiplierons par trois d’ici la fin du quinquennat. En 2027, France Travail réalisera 1,5 million de contrôles par an », avance le chef du gouvernement. Le Premier ministre a prévenu qu’il était « prêt » à prendre des « décisions difficiles » pour « inciter au travail » et atteindre le plein emploi, alors que le gouvernement envisage une nouvelle réforme de l’assurance-chômage.

Au total, dans les 18 départements qui ont fait l’expérience de cette réforme, 21 300 bénéficiaires du RSA ont intégré ces « parcours d’accompagnement ». Ce qui finalement est relativement peu !

RSA : des fonctionnaires pour réinsérer les chômeurs ?

RSA  : des fonctionnaires pour réinsérer les chômeurs ?
 Le nombre de départements concernés par le nouveau RSA sous condition passera cette année à 47, avant sa généralisation en 2025, a confirmé le Premier ministre. Concrètement, les bénéficiaires du RSA sont invités à réaliser 15 à 20 heures de formation, de stage, d’insertion, en contrepartie de l’allocation. Le souci de réinsertion est en effet fondamental pour ceux  qui peuvent travailler car on perd très vite sa qualification et surtout le rythme social de travail. Ceci étant se pose la question de la compétence et des moyens de l’État pour  favoriser la remise sur le marché du travail. Mais les résultats semblent dérisoires dans la mesure où sur une vingtaine de départements en expérimentation seulement 20 000 chômeurs ont été concernés. Soit une perspective de 100 000 chômeurs pour toute la France quand il y a plus de 3 millions de sans-emploi officiels et au moins le double en réalité. 

 

En effet dans la plupart des cas, ce sont les fonctionnaires de France travail et autre institutions parallèles qui vont être en charge de guider et d’accompagner les chômeurs. Alors que ces fonctionnaires  n’ont à peu près aucune idée de ce qu’est la réalité du marché du travail. À la différence évidemment des entreprises d’intérim qui fournissent  la quasi-totalité des emplois disponibles du privé voire du public.
La liste des nouveaux territoires concernés : la Haute-Savoie, le Rhône, l’Allier, le Cantal, le Territoire de Belfort, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, le Finistère, le Loir-et-Cher, le Cher, l’Eure-et-Loir, la Meuse, la Communauté européenne Alsace, les Ardennes, la Marne, le Pas-de-Calais, l’Oise, l’Essonne, les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne, la Manche, la Seine-Maritime, la Charente-Maritime, la Vienne, les Alpes-Maritimes, le Vaucluse, la Sarthe et la Guadeloupe. Parmi la liste des départements cités, tous ne déploieront pas le dispositif de RSA sous conditions dans l’ensemble de leur territoire, car la mise en place de l’expérimentation peut ne concerner qu’un bassin ou une agglomération au sein d’un département.
Gabriel Attal a également annoncé une « accélération » des contrôles des bénéficiaires de l’assurance-chômage. « France Travail en mène aujourd’hui 500 000 par an. Nous les multiplierons par trois d’ici la fin du quinquennat. En 2027, France Travail réalisera 1,5 million de contrôles par an », avance le chef du gouvernement. Le Premier ministre a prévenu qu’il était « prêt » à prendre des « décisions difficiles » pour « inciter au travail » et atteindre le plein emploi, alors que le gouvernement envisage une nouvelle réforme de l’assurance-chômage.

Au total, dans les 18 départements qui ont fait l’expérience de cette réforme, 21 300 bénéficiaires du RSA ont intégré ces « parcours d’accompagnement ». Ce qui finalement est relativement peu !

RSA sous conditions : des fonctionnaires pour réinsérer les chômeurs ?

RSA sous conditions : des fonctionnaires pour réinsérer les chômeurs ?
 Le nombre de départements concernés par le nouveau RSA sous condition passera cette année à 47, avant sa généralisation en 2025, a confirmé le Premier ministre. Concrètement, les bénéficiaires du RSA sont invités à réaliser 15 à 20 heures de formation, de stage, d’insertion, en contrepartie de l’allocation. Le souci de réinsertion est en effet fondamental pour ceux  qui peuvent travailler car on perd très vite sa qualification et surtout le rythme social de travail. Ceci étant se pose la question de la compétence et des moyens de l’État pour  favoriser la remise sur le marché du travail. Mais les résultats semblent dérisoires dans la mesure où sur une vingtaine de départements en expérimentation seulement 20 000 chômeurs ont été concernés. Soit une perspective de 100 000 chômeurs pour toute la France quand il y a plus de 3 millions de sans-emploi officiels et au moins le double en réalité. 

 

En effet dans la plupart des cas, ce sont les fonctionnaires de France travail et autre institutions parallèles qui vont être en charge de guider et d’accompagner les chômeurs. Alors que ces fonctionnaires  n’ont à peu près aucune idée de ce qu’est la réalité du marché du travail. À la différence évidemment des entreprises d’intérim qui fournissent  la quasi-totalité des emplois disponibles du privé voire du public.
La liste des nouveaux territoires concernés : la Haute-Savoie, le Rhône, l’Allier, le Cantal, le Territoire de Belfort, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, le Finistère, le Loir-et-Cher, le Cher, l’Eure-et-Loir, la Meuse, la Communauté européenne Alsace, les Ardennes, la Marne, le Pas-de-Calais, l’Oise, l’Essonne, les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne, la Manche, la Seine-Maritime, la Charente-Maritime, la Vienne, les Alpes-Maritimes, le Vaucluse, la Sarthe et la Guadeloupe. Parmi la liste des départements cités, tous ne déploieront pas le dispositif de RSA sous conditions dans l’ensemble de leur territoire, car la mise en place de l’expérimentation peut ne concerner qu’un bassin ou une agglomération au sein d’un département.
Gabriel Attal a également annoncé une « accélération » des contrôles des bénéficiaires de l’assurance-chômage. « France Travail en mène aujourd’hui 500 000 par an. Nous les multiplierons par trois d’ici la fin du quinquennat. En 2027, France Travail réalisera 1,5 million de contrôles par an », avance le chef du gouvernement. Le Premier ministre a prévenu qu’il était « prêt » à prendre des « décisions difficiles » pour « inciter au travail » et atteindre le plein emploi, alors que le gouvernement envisage une nouvelle réforme de l’assurance-chômage.

Au total, dans les 18 départements qui ont fait l’expérience de cette réforme, 21 300 bénéficiaires du RSA ont intégré ces « parcours d’accompagnement ». Ce qui finalement est relativement peu !

RSA sous conditions : des fonctionnaires pour réinsérer les chômeurs ?

RSA sous conditions : des fonctionnaires pour réinsérer les chômeurs ?
 Le nombre de départements concernés par le nouveau RSA sous condition passera cette année à 47, avant sa généralisation en 2025, a confirmé le Premier ministre. Concrètement, les bénéficiaires du RSA sont invités à réaliser 15 à 20 heures de formation, de stage, d’insertion, en contrepartie de l’allocation. Le souci de réinsertion est en effet fondamental pour ceux  qui peuvent travailler car on perd très vite sa qualification et surtout le rythme social de travail. Ceci étant se pose la question de la compétence et des moyens de l’État pour  favoriser la remise sur le marché du travail.

 

En effet dans la plupart des cas, ce sont les fonctionnaires de France travail et autre institutions parallèles qui vont être en charge de guider et d’accompagner les chômeurs. Alors que ces fonctionnaires  n’ont à peu près aucune idée de ce qu’est la réalité du marché du travail. À la différence évidemment des entreprises d’intérim qui fournissent  la quasi-totalité des emplois disponibles du privé voire du public.
La liste des nouveaux territoires concernés : la Haute-Savoie, le Rhône, l’Allier, le Cantal, le Territoire de Belfort, la Haute-Saône, la Saône-et-Loire, le Finistère, le Loir-et-Cher, le Cher, l’Eure-et-Loir, la Meuse, la Communauté européenne Alsace, les Ardennes, la Marne, le Pas-de-Calais, l’Oise, l’Essonne, les Hauts-de-Seine, le Val-de-Marne, la Manche, la Seine-Maritime, la Charente-Maritime, la Vienne, les Alpes-Maritimes, le Vaucluse, la Sarthe et la Guadeloupe. Parmi la liste des départements cités, tous ne déploieront pas le dispositif de RSA sous conditions dans l’ensemble de leur territoire, car la mise en place de l’expérimentation peut ne concerner qu’un bassin ou une agglomération au sein d’un département.
Gabriel Attal a également annoncé une « accélération » des contrôles des bénéficiaires de l’assurance-chômage. « France Travail en mène aujourd’hui 500 000 par an. Nous les multiplierons par trois d’ici la fin du quinquennat. En 2027, France Travail réalisera 1,5 million de contrôles par an », avance le chef du gouvernement. Le Premier ministre a prévenu qu’il était « prêt » à prendre des « décisions difficiles » pour « inciter au travail » et atteindre le plein emploi, alors que le gouvernement envisage une nouvelle réforme de l’assurance-chômage.

Au total, dans les 18 départements qui ont fait l’expérience de cette réforme, 21 300 bénéficiaires du RSA ont intégré ces « parcours d’accompagnement ». Ce qui finalement est relativement peu !

 

De plus en plus de chômeurs chez de chefs d’entreprise: Indicateur avancé de la conjoncture

De plus en plus de chômeurs chez de chefs d’entreprise: Indicateur avancé de la conjoncture

Conséquence de l’augmentation des défaillances, le nombre de patrons au chômage ne cesse d’augmenter. Globalement ce sont les entreprises du bâtiment et les services qui sont les plus touchés. Sur les six premiers mois de l’année, plus de 25.000 d’entre eux ont ainsi perdu leur emploi, selon une étude de l’Observatoire des entrepreneurs, du cabinet Altares . Parmi les professions notamment le bâtiment sans doute à la veille d’un crack pourrait toucher l’ensemble de l’économie et les banques qui déteinnent des actifs douteux. .

Il s’agit ainsi d’une hausse de 36,6% sur un an, qui concerne principalement des chefs d’entreprise à la tête de petites structures de moins de 5 salariés, avec un chiffre d’affaires inférieur à 500.000 euros par an, soit 9 pertes d’emploi sur 10. Pour les entrepreneurs à la tête de sociétés de plus de 20 salariés, le nombre de pertes d’emploi a, lui, doublé au premier semestre, sur un an.

Parmi les secteurs les plus touchés par les liquidations d’entreprise, la construction arrive en tête, à 23,6%, avec une hausse de 50% par rapport au premier semestre 2022. «On retrouve [aussi] beaucoup d’entreprises de la restauration, des services à la personne, comme les coiffeurs, mais aussi du commerce de détail, explique au Parisien Thierry Millon, directeur des études d’Altares. Des entreprises qui sont directement en lien avec le consommateur.» «Le secteur des services aux particuliers – comme les activités de coiffure ou les soins de beauté – est également fragilisé par la baisse des dépenses des ménages : 1152 chefs d’entreprise ont perdu leur activité professionnelle» entre le 1er janvier et le 30 juin 2023, soit une hausse de 57,8%, selon l’étude.

Sans croissance, moins de chômeurs ?

Sans croissance, moins de chômeurs ?


Le chômage continue sa décrue, alors même que l’activité économique frôle la récession. A 7,2% en 2022, il recule légèrement de 0,1%.

Le nombre de chômeurs au sens du Bureau international du travail (BIT) s’établit à 2,2 millions de personnes, soit 45.000 de moins par rapport au trimestre précédent, indique l’Insee dans son communiqué. Plusieurs facteurs explicatifs d’abord les restrictions concernant l’indemnisation du chômage. Ensuite le nettoyage des listes de chômeurs par polo poids enfin la hausse forte des jeunes dans l’apprentissage.

Cette situation paradoxale d’un chômage qui décroit, tout comme les chiffres attendus de la croissance, étonne particulièrement chez les économistes. Ces dernier notent une déconnexion inhabituelle.
Parmi les facteurs qui expliquent ces bons chiffres de l’emploi alors que l’activité économique ralentit, une des explications tient au chômage des jeunes. C’est cette catégorie qui bénéficie le plus de la baisse. Sur le trimestre, le taux de chômage des jeunes chute de 1,0 point, à 16,9 %. Cette diminution repose en partie sur le dynamisme de l’apprentissage, très poussé par le gouvernement, via des primes distribuées aux entreprises depuis trois ans.
L’an dernier, près de 700.000 contrats d’alternance – comptabilisés comme des contrats de travail – ont été signés. Selon l’Insee, ces contrats pourraient expliquer près d’un tiers des embauches.

Par ailleurs, dans certains métiers, les experts de l’emploi notent un phénomène de « rétention de main d’œuvre ». Craignant de ne pas trouver de personnel étant donné les tensions sur le marché du travail, les employeurs préfèrent garder leurs équipes, alors même qu’ils ont moins de commandes ou que les missions sont terminées.
C’est le cas par exemple dans l’aéronautique, ou l’industrie… où auparavant, lorsqu’il y avait des difficultés, les personnes étaient licenciées, alors qu’elles sont désormais maintenues dans l’emploi.

Autre élément : pour toucher des aides de l’Etat vitales en période de flambée des prix de l’énergie, les employés ont intérêt à être déclarés. Les employeurs ont eux aussi intérêt à comptabiliser dans la masse salariale toutes leurs équipes.

Social-Le plein-emploi …en radiant les chômeurs

Social-Le plein-emploi …en radiant les chômeurs

Il est clair que la question du chômage est difficile à prendre en compte. Pourtant le gouvernement pourrait avoir trouvé la solution; ainsi, l’analyse des dernières statistiques montre que le nombre de radiations correspond à peu près à la réduction globale du chômage.

Du coup, on pourrait suggérer de supprimer et de radier ces 3 millions de chômeurs qui figurent toujours dans les fichiers de Pole emploi.

En fin de semaine dernière, le ministre du Travail, Olivier Dussopt, se réjouissait de la dynamique favorable du chômage, à la suite de la publication des bons chiffres du mois de novembre dévoilés conjointement par la Dares et Pôle emploi.

Il faut dire que, sur un unique mois, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie A auprès de l’opérateur public – répertoriant les Français sans aucune activité – diminuait de 2,1 % par rapport à octobre. Soit 65.800 chômeurs en moins dans les fichiers de Pôle emploi. Une très bonne nouvelle quand on sait que les répercussions de la crise en Ukraine, avec une envolée de l’inflation et un rabotage de la croissance, auraient normalement dû se faire ressentir dès 2022 sur l’emploi.

Mais une partie importante de cette baisse s’explique en réalité par un niveau record de radiations enregistrées par Pôle emploi. Sur un unique et même mois, l’opérateur a en effet procédé à 58.100 radiations administratives. Un niveau…

Social: Le plein-emploi ….en radiant les chômeurs

Le plein-emploi ….en radiant les chômeurs

Il est clair que la question du chômage est difficile à prendre en compte. Pourtant le gouvernement pourrait avoir trouvé la solution; ainsi, l’analyse des dernières statistiques montre que le nombre de radiations correspond à peu près à la réduction globale du chômage.

Du coup, on pourrait suggérer de supprimer et de radier ces 3 millions de chômeurs qui figurent toujours dans les fichiers de Pole emploi.

En fin de semaine dernière, le ministre du Travail, Olivier Dussopt, se réjouissait de la dynamique favorable du chômage, à la suite de la publication des bons chiffres du mois de novembre dévoilés conjointement par la Dares et Pôle emploi.

Il faut dire que, sur un unique mois, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie A auprès de l’opérateur public – répertoriant les Français sans aucune activité – diminuait de 2,1 % par rapport à octobre. Soit 65.800 chômeurs en moins dans les fichiers de Pôle emploi. Une très bonne nouvelle quand on sait que les répercussions de la crise en Ukraine, avec une envolée de l’inflation et un rabotage de la croissance, auraient normalement dû se faire ressentir dès 2022 sur l’emploi.

Mais une partie importante de cette baisse s’explique en réalité par un niveau record de radiations enregistrées par Pôle emploi. Sur un unique et même mois, l’opérateur a en effet procédé à 58.100 radiations administratives.

Contrôle de chômeurs : une annonce bidon par Macron

 

Contrôle de chômeurs : une annonce bidon par Macron

 

 

Une annonce qui évidemment a reçu un certain accueil dans une grande partie de l’opinion publique puisqu’il s’agit de s’attaquer à ceux  qu’on soupçonne d’être des profiteurs du système de solidarité. Il est clair cependant que la très grande majorité des chômeurs souffre économiquement mais aussi socialement et sociétalement  d’être tenus à l’écart du travail. Reste effectivement un volant qui détourne l’objet de l’Unedic. En 2019 cela concernait un montant d’environ 200 millions pour 17 000 dossiers. À comparer évidemment aux 3 millions de chômeurs indemnisés. Depuis 2018, des mesures de renforcement des contrôles ont été engagés. En fait Macron n’annonce rien de nouveau sinon que ce contrôle renforcé déjà en cours. La problématique ne serait ce résumé au renforcement des contrôles.

Il faut aussi prendre en compte le fait qu’il est parfois plus intéressant de profiter des aides sociales de toute nature que de travailler pour 1000 € parfois moins. 

Il s’agit en fait d’une «intensification» des contrôles effectués par Pole emploi car la suspension de l’indemnisation existe dans la loi depuis 2008 après le refus de deux offres raisonnables d’emploi. La procédure a même été durcie en 2018 à l’issue de la loi Avenir professionnel et près d’un millier de conseillers (c’était l’objectif affiché début 2019) étaient alors destinés à terme à cette tâche de contrôle, versus 200 début 2015 et 600 début 2019.

Gouvernement : et encore un chèque …. de 1000 € pour les chômeurs

Gouvernement : et encore un chèque …. de 1000 € pour les chômeurs

un chèque qui cette fois paraît justifié et sera bien apprécié par les chômeurs de longue durée en formation. Toutefois cela confirme la politique de chèques quasi journalière appliquée par le gouvernement pour satisfaire les différentes catégories sociales.

Former les chômeurs en particulier ceux de longue durée constituent un objectif essentiel non seulement pour les intéressés mais aussi pour l’économie. On peut seulement se demander s’il ne conviendrait pas plutôt que de multiplier les dispositifs de généraliser les aides aux entreprises pour toute embauche de chômeurs, jeunes ou vieux, chômeurs récents aux chômeurs de longue durée.

 Cette politique de distribution de chèques et de primes dispensent en faite gouvernement de prendre des mesures structurelles qui seraient susceptibles de redynamiser l’économie. Une stratégie fortement inspirée par une démarche électorale. Le ciblage paraît assez flou pour cette dernière mesure de 1000 € pour les chômeurs de longue durée;  il s’agirait pour la ministre du travail

« d inciter les demandeurs d’emploi de longue durée à aller vers» des formations en entreprise avec une promesse d’embauche, une prime de «1000 euros» .

Or aujourd’hui la demande de salariés formés est quasi générale dans tous les secteurs.

Un plan pour les chômeurs longue durée (Élisabeth Borne)

Un plan pour les chômeurs longue durée (Élisabeth Borne)

La ministre du Travail, Élisabeth Borne à déclaré que le gouvernement va lancer «un plan inédit sur les chômeurs de longue durée» en finançant les entreprises qui formeront pendant plusieurs mois ces demandeurs d’emploi. Selon les dernières données officielles, la France (hors Mayotte) comptait au deuxième trimestre 3,026 millions de demandeurs d’emploi de longue durée, inscrits depuis plus d’un an (catégorie A,B,C), avec plus d’1,5 millions inscrits depuis plus de deux ans.

Les demandeurs d’emploi de longue durée représentent désormais 50,3% des inscrits, le seuil des 50% ayant été franchi en janvier.

«Nous allons financer les entreprises qui formeront pendant plusieurs mois les demandeurs d’emploi de longue durée», poursuit la ministre.

Un plan de formation général pour tous les chômeurs de plus d’un an ?

Un plan de formation général pour tous les chômeurs de plus d’un an ?

 

Environ la moitié des chômeurs officiellement recensés sont privés de travail depuis plus d’un an. Le pouvoir envisage donc vaste plan de réinsertion par la formation de cette catégorie. Reste à savoir si ces formations seront réellement qualifiantes et si certains des intéressés ont réellement l’envie de se réinsérer.

 

Sur les 5,67 millions de demandeurs d’emploi répertoriés dans les trois principales catégories (A, B et C) de l’opérateur, 2,84 millions n’ont ainsi pas été en activité ces douze derniers mois, soit une hausse de 267.000 depuis le début de la crise, en mars 2020.  

Par ailleurs, l’expérimentation Territoires zéro chômeur sera élargie. Le dispositif vise à fournir un emploi à toutes les personnes sans travail depuis plus d’un an recensées sur un territoire donné. L’expérimentation Territoires zéro chômeur de longue durée a été lancée en 2016. Elle sera étendue de 10 à 60 zones.

 

Indemnisations des chômeurs en fin de droit prolongées

Indemnisations des chômeurs en fin de droit prolongées

Les chômeurs en fin de droits verront leur indemnisation à nouveau prolongée jusqu’à la fin du mois de mars face à la crise du Covid-19, a indiqué dimanche la ministre du Travail, Elisabeth Borne. « Depuis novembre, on a prolongé les droits de ceux qui sont arrivés en fin de droits et je vous confirme qu’on va prolonger à nouveau ces droits jusqu’à fin mars », a annoncé la ministre sur BFM-TV. Jusqu’alors et après deux prolongations, ces droits concernaient les chômeurs arrivant en fin de droits entre le 30 octobre, début du deuxième confinement, et le 28 février.

L’Unedic, qui gère le régime d’assurance-chômage, estimait début février qu’une prolongation d’un mois toucherait quelque 120.000 personnes supplémentaires. L’organisme avait évalué le nombre de chômeurs concernés à 480.000 pour les mois de novembre, décembre, janvier et février. La prolongation exceptionnelle des droits à l’assurance-chômage avait déjà été adoptée pendant le premier confinement qui avait duré trois mois, du 17 mars au 10 mai. Fin février, elle avait déjà annoncé que les chômeurs en fin de droits verraient leur indemnisation à nouveau prolongée jusqu’à la fin du mois de février face à la crise du Covid-19. La prolongation exceptionnelle des droits à l’assurance-chômage avait déjà été adoptée pendant le premier confinement qui avait duré trois mois, du 17 mars au 10 mai.

Des comptes encore dans le rouge et des emplois détruits : l’Unedic,  prévoit un déficit de 10 milliards d’euros en 2021 et anticipe la destruction de 230.000 emplois sous l’effet de la fin des aides publiques et d’une « conjoncture encore fragile ». L’organisme paritaire, qui présentait ses prévisions financières pour le régime d’assurance chômage à l’horizon 2022, a également indiqué mercredi que le déficit du régime atteindrait 6,4 milliards d’euros cette année-là. Cela porterait la dette à 70,6 milliards d’euros fin 2022, après 64,2 milliards fin 2021 et 54,2 milliards fin 2020.

 

Chômage : hausse brutale avec 628 000 chômeurs au troisième trimestre

Chômage : hausse brutale avec 628 000 chômeurs au troisième trimestre

 

Il s’agit évidemment d’une rupture brutale avec les statistiques du trimestre précédent complètement faussées par le chômage partiel. Pour le troisième trimestre le taux de chômage atteint donc près de 9 %. 2,7 millions de personnes sont privées d’emploi ce qui représente 628.000 chômeurs de plus entre juin et septembre, soit une explosion de 31%. «C’est une mauvaise nouvelle, mais cela traduit la baisse de notre activité du début d’année et la crise que nous traversons», a commenté Olivier Dussopt, le ministre des Comptes publics, sur Europe 1.

Une très mauvaise nouvelle même, qui ramène la France deux ans en arrière. À titre de comparaison, la plus forte progression sur trois mois du taux de chômage jamais enregistrée remontait au premier trimestre 2009:

123456



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol