Archive pour la Catégorie 'caburant-énergie'

Pétrole : en recul

Pétrole : en recul

 

Des mouvements de yo-yo pour le pétrole dans les prix sont actuellement en baisse mais la tendance devrait se maintenir autour de 80 $. Les cours du pétrole ont reculé mercredi, affaiblis par un rebond des stocks américains de brut et par les nouvelles évolutions autour de l’instauration de droits de douane aux États-Unis. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en mars, a baissé de 1,17% à 76,58 dollars. Le cours de son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison le même mois, a perdu 1,56% à 72,62 dollars.

Début janvier, les prix du Brent et du WTI ont dépassé 80 dollars le baril. Les opérateurs attendent désormais la réunion de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) lundi prochain, à l’occasion d’un comité ministériel conjoint de suivi (JMMC). La semaine dernière, M. Trump a demandé au cartel, en visant notamment l’Arabie saoudite, de faire baisser les prix du pétrole en augmentant sa production.

Facteur supplémentaire de baisse des prix: selon certains analystes, l’alliance Opep+ pourrait être plus encline à ne pas repousser de nouveau la réintroduction des 2,2 millions de barils de réductions de production consenties par huit des pays membres (dont l’Arabie saoudite et la Russie).

 

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Électricité : une baisse des prix de 15 % ?

Électricité : une baisse des prix de 15 % ?

 

Une baisse des tarifs  de 15 % pourrait concerner concerne au total 20 millions de ménages au tarif réglementé de vente de l’électricité auxquels s’ajoutent les quatre millions de ménages dont les contrats sont indexés sur le TRV.

Pour les 10 millions de ménages ayant opté pour un autre type de contrat, notamment les offres de marché, la CRE ( Commission de régulation) rappelle qu’ils ont « généralement d’ores et déjà bénéficié de la baisse des prix de marché depuis plusieurs mois, ce qui leur permet d’avoir aujourd’hui un contrat largement en-dessous des TRVE. » La commission de régulation de l’énergie estime toutefois que les fournisseurs alternatifs seront toujours capables de formuler des offres attractives.

« La plupart d’entre eux pourraient voir leur facture augmenter avec les hausses du TURPE (tarif de réseau) et des taxes, selon leur contrat et la politique commerciale de leur fournisseur, réduisant de fait l’écart avec le TRVE. »

Interrogée sur l’évolution future du tarif réglementé de vente, la CRE indique ne pas être en capacité de savoir l’orientation des prix de l’électricité qui reste soumise à « beaucoup trop d’inconnues » et dépendra des niveaux observés en 2025.

Quelques jours avant la censure de son gouvernement début décembre, l’ancien Premier ministre Michel Barnier avait indiqué renoncer à la hausse de la taxe intérieure sur la consommation d’électricité (TICFE) au-delà de son niveau d’avant-crise. Il avait alors précisé que cette décision se traduirait par une baisse de 14% du tarif réglementé pour les particuliers au lieu de 9%. Alors que la baisse du TRV atteint finalement 15%, Emmanuelle Wargon précise que le chiffre de 14% a « toujours été provisoire »:

Trump contre le développement de toutes nouvelles éoliennes

Trump contre le développement de toutes nouvelles éoliennes

Il y avait, en 2023, plus de 90.000 éoliennes sur le territoire américain, Il n’y en aura plus de car trame vient de décider d’arrêter tout développement. En cause leur inefficacité énergétique et surtout leurs coûts. Notons que le même débat agite la France bien que Bayrou ait réaffirmé la primauté indiscutable de l’énergie nucléaire.

Selon un rapport du Congrès, ces incitations fiscales ont coûté 17,9 milliards de dollars au gouvernement américain sur la période allant de 2019 à 2023.

Outre le coût, le promoteur immobilier leur reproche leur laideur ainsi que les problèmes qu’ils causent aux baleines, selon lui. Outre un veto sur les nouvelles éoliennes, Donald Trump a estimé mercredi que «les milliers (d’éoliennes) inactives ou cassées devraient être démontées au plus vite».

Les sanctions américaines contre la Russie font monter le cours du pétrole

Les sanctions américaines contre la Russie font monter le cours du pétrole

 

Les  États-Unis s’apprêteraient à prendre des mesres contre la «flotte fantôme» russe ( (Navires qui circulent déjà avec de faux pavillons pour éviter les sanctions déjà prises), ce qui pourrait avoir un impact sur les exportations pétrolières du Kremlin. Vers 14H20 GMT (15H20 à Paris), le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en mars, monte de 4,50% à 80,38 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en février, augmente de 4,80% à 77,47 dollars. «Les États-Unis devraient annoncer prochainement de nouvelles sanctions contre la Russie», affirment les analystes de DNB, «y compris sur de nombreux pétroliers, ce qui perturbera davantage les exportations de brut russe».

 

Énergie renouvelable : la France devant l’Allemagne !

Environnement-Énergie renouvelable : la France devant l’Allemagne !

Il y a les discours sur fond idéologique mais il y a aussi les réalités. L’Allemagne qui ne cesse de critiquer la France pour sa politique énergétique en réalité  a eu moins recours aux énergies renouvelables que la France. Notons par parenthèse le revirement de certains responsables allemands vis-à-vis des perspectives du nucléaire. Cela d’autant plus que actuellement l’Allemagne importe de l’électricité nucléaire française.

 

Selon de nouvelles données d’Eurostat, les énergies renouvelables ont représenté 22,3% de la consommation énergétique finale de la France en 2023, contre 21,5% pour l’Allemagne. Si l’on se concentre sur l’électricité, l’Hexagone reste sur le podium des plus faibles émetteurs de gaz à effet de serre.

Selon EDF, puisqu’en 2023, l’atome participait à plus de 65% de la production d’électricité du pays.

Une autorité de sûreté nucléaire unique

Une autorité de sûreté nucléaire unique

Depuis le 1er janvier, l’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR) est la seule entité chargée de la sûreté nucléaire en France. Le lancement de cette nouvelle autorité administrative indépendante résulte de l’absorption de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) et de ses 1.600 salariés, expert scientifique de la sûreté, par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) et ses 500 fonctionnaires, gendarme chargé des décisions sur les centrales.

Le tout premier communiqué précise ainsi que « l’ASNR assure désormais, au nom de l’État, le contrôle des activités nucléaires civiles en France. Elle exerce également les missions de recherche, d’expertise, de formation et d’information des publics dans les domaines de la sûreté nucléaire et de la radioprotection. »

Avec plus de 2.000 collaborateurs, elle est désormais la deuxième autorité de régulation nucléaire au monde, après la NRC (Nuclear Regulatory Commission) américaine.

Officiellement la création de cet organisme unique vise à fluidifier le processus d’évaluation et de décision. En fait, il s’agit surtout de mettre fin aux innombrables obstacles technocratiques qui freinent la filière nucléaire française depuis des années.

 

Électricité : exportations record

Électricité : exportations record

La France n’avait pas exporté autant d’électricité depuis plus de vingt ans. « 89 TWh (térawatts-heures, NDLR) : c’est la valeur exceptionnelle des exports nets d’électricité de la France vers ses voisins en 2024. Le vieux record de 2002 est battu », a annoncé Thomas Veyrenc, directeur général Économie, Stratégie et Finances du gestionnaire RTE, sur LinkedIn ce jeudi 2 janvier. Pour mémoire, en 2002, le solde exportateur s’était établi à 76,9 TWh.

Ce nouveau record, après un solde de 50,1 TWh en 2023, confirme le redressement de la production d’électricité en France, en particulier la production nucléaire d’EDF. Cette dernière avait été pénalisée ces dernières années par de nombreuses opérations de maintenance de réacteurs en lien avec des problèmes de corrosion.

 

En 2022, la production nucléaire d’EDF avait chuté à 279 TWh, son plus bas niveau depuis 30 ans. La France avait d’ailleurs été importatrice nette d’électricité sur presque l’ensemble de l’année, une première depuis 42 ans. Depuis, le nucléaire français a repris des couleurs. EDF avait rehaussé ses prévisions de production nucléaire pour 2024 en septembre, avant une nouvelle révision à la hausse le 11 décembre, la faisant passer d’une fourchette de 340-360 TWh à 358-364 TWh, sans compter l’EPR de Flamanville, raccordé au réseau le 21 décembre.

Les exportations françaises d’électricité en 2024 ont concerné l’ensemble des pays frontaliers, selon le représentant de RTE : l’Allemagne et la Belgique (avec un solde positif de 27,2 TWh), l’Italie (+22,3 TWh), le Royaume-Uni (+21 TWh), la Suisse (+16,7 TWh) ainsi que l’Espagne, dans une moindre proportion (+2,8 TWh).

 

« La consommation 2024 en France  est toujours en retrait par rapport à la moyenne des années 2014-2019 », années de référence avant Covid : de l’ordre de 6% .

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Énergie : trop de consommation globale en France ?

Énergie : trop de  consommation globale en France ?

La consommation globale d’énergie tend à diminuer mais insuffisamment pour atteindre des objectifs environnementaux. Prévoir une réduction de 50 % en 2050 paraît assez peu réaliste en raison de l’évolution des usages et du mode de développement.

Dans son avis consultatif, l’Autorité gouvernementale rappelle que pour la consommation d’énergie finale à usage énergétique, «l’ambition est de passer de 1.545 TWh en 2022 à 1.060 TWh en 2050 avec deux jalons en 2030 et 2035»« Le gouvernement a présenté début novembre la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) ainsi que la Stratégie nationale bas-carbone (SNBC), avec une réduction de 30% en 2030 de la consommation d’énergie par rapport à 2012 et de 50% en 2050. Une version révisée de la SNBC devrait être arrêtée au premier trimestre 2025, selon l’Autorité environnementale.

Pétrole : les prix reculent devant les incertitudes chinoises

Pétrole : les prix reculent devant les incertitudes chinoises

Premier importateur mondial de pétrole, la Chine «ne parvient pas à stimuler son économie depuis plusieurs mois», a rappelé John Kilduff, analyste d’Again Capital. Dernier indicateur en date: la croissance des ventes de détail en Chine a ralenti en novembre, selon des chiffres officiels publiés lundi, signe d’une consommation toujours atone malgré un semblant de reprise le mois précédent. Les ventes de détail ont progressé de seulement 3% sur un an en novembre, a annoncé le Bureau national des statistiques (BNS), un ralentissement significatif par rapport aux 4,8% enregistrés en octobre. Ce chiffre est nettement inférieur aux prévisions des analystes sondés par l’agence Bloomberg (5%).

Hydrogène « vert » : En attendant Godot !

Hydrogène « vert » : En attendant Godot !

Il n’y aura encore pas un sou pour l’enveloppe constituée l’enveloppe de soutien au développement de l’hydrogène dans l’avenir semble aussi hypothéquer par la question de la compétitivité dans les conditions actuelles de production

Concrètement, l’idée était de ramener le prix de l’hydrogène décarboné, produit à partir d’électricité et d’eau, vers celui de l’hydrogène « gris » issu de gaz fossile. Tandis que le premier coûte en moyenne 5 à 12 euros le kilo (en fonction de la taille et de la nature des unités de production), le deuxième ne dépasse pas 1,50 à 2,50 euros. Difficile, dans ces conditions, de dégager un modèle à la fois vertueux et rentable. L’Etat devait ainsi combler l’écart pour certains énergéticiens sélectionnés, en signant des « contrats pour différence » (CfD) sur le modèle de ce qu’il fait déjà pour les exploitants d’éoliennes et de panneaux photovoltaïques.

La  France dispose d’un avantage considérable. Grâce à son parc nucléaire, l’Hexagone peut s’appuyer sur un mix largement décarboné. Et par là même, alimenter les électrolyseurs en continu, en les raccordant à son réseau national d’électricité – c’est-à-dire sans dépendre directement de champs d’éoliennes ou de panneaux solaires à la production trouve intermittente. Et àcondition, bien sûr, que ce mode de production soit considéré comme « vert » par la Commission européenne.

Pétrole: Hausse après les changements en Syrie

Pétrole : Hausse après les changements en Syrie

 

Pas vraiment de grosses modifications mais quelques évolutions à la hausse du fait des conséquences possibles de la situation en Syrie sur des pays producteurs comme l’Iran ou encore la Russie fragilisées par le départ d’Assad .

Les cours du pétrole ont progressé lundi, poussés par l’instabilité au Proche-Orient au lendemain de la chute de Bachar el-Assad en Syrie, et soutenus par le maintien des coupes de l’Opep+ jeudi dernier. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour liaison en février, a gagné 1,43% à 72,14 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en janvier, s’est octroyé 1,74% à 68,37 dollars.

. La chute d’Assad «soulève des questions sur les facteurs de risque géopolitiques», a observé dans une note Phil Flynn, de Price Futures Group. «Il n’y a pas de conséquences immédiates pour le pétrole, si ce n’est que la position de l’Iran et de la Russie dans la région est considérablement affaiblie», précise Bjarne Schieldrop, analyste chez SEB.

 

Pétrole : Légère hausse

Pétrole : Légère hausse

Une légère hausse en raison des incertitudes géo politiques et de son influence sur la demande. Les cours du pétrole se sont cabrés mardi après que plusieurs médias ont fait état d’un possible nouveau report de l’augmentation de production de l’alliance Opep+ pour tenir compte d’un risque de déséquilibre du marché en 2025. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en février a gagné 2,52%, pour clôturer à 73,62 dollars. Le baril de West Texas Intermediate (WTI) américain avec échéance en janvier a pris 2,70%, à 69,94 dollars.

Selon l’agence Bloomberg, les pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et leurs alliés de l’accord Opep+ s’orientent vers un nouveau décalage du calendrier d’accélération de leur production. Après avoir déjà reporté le début de la hausse d’octobre à décembre, puis à janvier, le cartel s’apprêterait à le repousser à début avril. «Il semble qu’on va avoir un accord qui va nous emmener jusqu’à la fin du trimestre», le premier de 2025, a commenté Phil Flynn, de Price Futures Group, «et cela a clairement soutenu le marché.»

 

Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), «même si les coupes de production de l’Opep+ étaient maintenues, l’offre mondiale dépasserait la demande de plus d’un million de barils par jour l’an prochain», a indiqué l’organisation dans son dernier rapport mensuel. Pour Phil Flynn, les prix de l’or noir ont aussi été stimulés par ce qui apparaît comme des entorses au cessez-le-feu au Liban, à savoir des frappes aériennes israéliennes et des tirs de mortier du mouvement pro-iranien Hezbollah. Après être passé au-dessus du seuil symbolique de 70 dollars le baril, le WTI s’est néanmoins replié légèrement en-dessous avant la clôture. «Il y a eu un petit peu de scepticisme et quelques prises de bénéfices», selon Phil Flynn. Les opérateurs «veulent voir les chiffres de stocks américains» de pétrole, dont l’état sera publié mercredi, «avant de se lancer à l’achat. Mais si on parvient à clôturer au-delà de 70 dollars, on va pouvoir commencer à remonter.»

Prix Electricité : Barnier renonce à augmenter davantage les tarifs

Prix Electricité : Barnier renonce à augmenter davantage les tarifs

Il est bien difficile de s’y retrouver à travers les différentes déclarations des uns et des autres, celle du gouvernement, celle des oppositions et même celle des experts. Barnier déclare qu’il renonce à augmenter les tarifs de l’électricité. En réalité ces tarifs vont augmenter mais moins que prévu pour revenir au niveau d’avant Covid. 

« J’ai décidé de ne pas augmenter les taxes sur l’électricité dans le projet de loi de finances 2025″, « cela permettra une baisse des prix de l’électricité de 14%, qui ira donc bien au-delà de la baisse de 9% prévue initialement », affirme le Premier ministre dans un entretien au Figaro(Nouvelle fenêtre).

Concrètement, il s’agit d’un  »retour au tarif avant bouclier tarifaire », précise Matignon. Instaurée en octobre 2021 face à la flambée des prix liée à la crise du Covid, cette mesure devait prendre fin au 1er février. Mais le gouvernement souhaitait initialement aller au-delà, et relever la fiscalité sur l’électricité à un niveau supérieur, pour engranger au total 3,4 milliards d’euros. Mardi, Michel Barnier avait cependant ouvert la porte à des « concessions ».

Electricité : Barnier renonce à augmenter davantage les tarifs

Electricité : Barnier renonce à augmenter davantage les tarifs

Il est bien difficile de s’y retrouver à travers les différentes déclarations des uns et des autres, celle du gouvernement, celle des oppositions et même celle des experts. Barnier déclare qu’il renonce à augmenter les tarifs de l’électricité. En réalité ces tarifs vont augmenter mais moins que prévu pour revenir au niveau d’avant Covid. 

« J’ai décidé de ne pas augmenter les taxes sur l’électricité dans le projet de loi de finances 2025″, « cela permettra une baisse des prix de l’électricité de 14%, qui ira donc bien au-delà de la baisse de 9% prévue initialement », affirme le Premier ministre dans un entretien au Figaro(Nouvelle fenêtre).

Concrètement, il s’agit d’un  »retour au tarif avant bouclier tarifaire », précise Matignon. Instaurée en octobre 2021 face à la flambée des prix liée à la crise du Covid, cette mesure devait prendre fin au 1er février. Mais le gouvernement souhaitait initialement aller au-delà, et relever la fiscalité sur l’électricité à un niveau supérieur, pour engranger au total 3,4 milliards d’euros. Mardi, Michel Barnier avait cependant ouvert la porte à des « concessions ».

Électricité : fin ou poursuite des tarifs réglementés ?

Électricité : fin ou poursuite des tarifs réglementés ?

 

Deux positions s’affrontent celle très libérale de l’autorité de la concurrence qui veut faire jouer un rôle plus important au marché et celle de la commission de régulation de l’énergie favorable maintient des tarifs réglementés.

 

L’Autorité de la concurrence reproche aux TRV, outre leur manque de lisibilité, d’être un «obstacle au libre jeu de la concurrence et aux bénéfices potentiels de cette dernière – en termes de prix, d’innovation ou encore d’investissement».À l’inverse, la commission de régulation de l’énergie milite pour le maintien des tarifs réglementés. Les consommateurs, particuliers et petites entreprises, les ont en effet plébiscités quand en 2022, en pleine crise énergétique, les prix de l’électricité sur les marchés de gros ont flambé, entraînant avec eux la tarification des abonnements «au prix de marché». Échaudés par des factures qui se sont envolées, plus d’un million de consommateurs ont alors troqué leurs contrats pour des abonnements au TRV.

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