Archive pour le Tag 'SNCF'

Fraude: Le créateur de l’application Akha, qui signalait la présence de contrôleurs RATP et SNCF, enfin condamné

Fraude: Le créateur de l’application Akha, qui signalait la présence de contrôleurs RATP et SNCF, enfin condamné

L’affaire «Akha», du nom de l’application qui permettait à ses utilisateurs de signaler la présence de contrôleurs RATP ou SNCF dans les transports franciliens, a pris une tournure judiciaire. Non seulement l’outil n’est plus disponible au téléchargement, mais son créateur, un ingénieur en informatique de 26 ans, a été condamné au civil le 7 mai dernier par le tribunal correctionnel, a appris Le Figaro ce mardi 13 mai. Il devra ainsi verser 20.000 euros de dommages et intérêts au bénéfice d’Île-de-France Mobilités, 5720 euros à la RATP et 6300 euros à la SNCF. Cette décision est assujettie à une exécution provisoire, ce qui oblige le créateur de l’application à verser les sommes dues même en cas d’appel.

Social-Grèves SNCF : nouvel appel de la CGT en juin

Social-Grèves SNCF : nouvel appel de la CGT en juin

Devant le relatif échec de la dernière grève des syndicats gauchistes CGT et Sud rail, la CGT pratique la fuite en avant en proposant de nouveaux arrêts de travail pour début juin. Une manière de faire semblant de reprendre l’initiative de la lutte face à Sud rail. Mais aussi l’aveu que la mobilisation n’a pas atteint loin s’en faut les objectifs souhaités. Et cette fois l’appel concerne l’ensemble des cheminots pour le jeudi 5 juin.

La fédération syndicale appelle «l’ensemble des cheminots, de tous les métiers, de tous les collèges à agir par la grève» le jeudi 5 juin «pour imposer à la direction un contenu de négociation qui réponde à nos exigences», qu’il s’agisse d’augmentations de salaires, d’un accord sur la formation professionnelle, d’emplois supplémentaires ou de l’amélioration des conditions de travail.

Un mouvement est également annoncé la veille, le mercredi 4 juin, du côté des cheminots de la traction (conducteurs), en marge d’une table ronde consacrée à la prime dont bénéficie cette catégorie. Idem pour les contrôleurs le mercredi 11 juin, indique la CGT. «Nos mobilisations permettent de desserrer l’étau dans lequel voulait nous fixer la direction», affirme le syndicat.

Grèves SNCF : nouvel appel de la CGT en juin

Grèves SNCF : nouvel appel de la CGT en juin

Devant le relatif échec de la dernière grève des syndicats gauchistes CGT et Sud rail, la CGT pratique la fuite en avant en proposant de nouveaux arrêts de travail pour début juin. Une manière de faire semblant de reprendre l’initiative de la lutte face à Sud rail. Mais aussi l’aveu que la mobilisation n’a pas atteint loin s’en faut les objectifs souhaités. Et cette fois l’appel concerne l’ensemble des cheminots pour le jeudi 5 juin.

La fédération syndicale appelle «l’ensemble des cheminots, de tous les métiers, de tous les collèges à agir par la grève» le jeudi 5 juin «pour imposer à la direction un contenu de négociation qui réponde à nos exigences», qu’il s’agisse d’augmentations de salaires, d’un accord sur la formation professionnelle, d’emplois supplémentaires ou de l’amélioration des conditions de travail.

Un mouvement est également annoncé la veille, le mercredi 4 juin, du côté des cheminots de la traction (conducteurs), en marge d’une table ronde consacrée à la prime dont bénéficie cette catégorie. Idem pour les contrôleurs le mercredi 11 juin, indique la CGT. «Nos mobilisations permettent de desserrer l’étau dans lequel voulait nous fixer la direction», affirme le syndicat.

SNCF : nouvel appel de la CGT, grève en juin

SNCF : nouvel appel de la CGT, grève en juin

Devant le relatif échec de la dernière grève des syndicats gauchistes CGT et Sud rail, la CGT pratique la fuite en avant en proposant de nouveaux arrêts de travail pour début juin. Une manière de faire semblant de reprendre l’initiative de la lutte face à Sud rail. Mais aussi l’aveu que la mobilisation n’a pas atteint loin s’en faut les objectifs souhaités. Et cette fois l’appel concerne l’ensemble des cheminots pour le jeudi 5 juin.

La fédération syndicale appelle «l’ensemble des cheminots, de tous les métiers, de tous les collèges à agir par la grève» le jeudi 5 juin «pour imposer à la direction un contenu de négociation qui réponde à nos exigences», qu’il s’agisse d’augmentations de salaires, d’un accord sur la formation professionnelle, d’emplois supplémentaires ou de l’amélioration des conditions de travail.

Un mouvement est également annoncé la veille, le mercredi 4 juin, du côté des cheminots de la traction (conducteurs), en marge d’une table ronde consacrée à la prime dont bénéficie cette catégorie. Idem pour les contrôleurs le mercredi 11 juin, indique la CGT. «Nos mobilisations permettent de desserrer l’étau dans lequel voulait nous fixer la direction», affirme le syndicat.

SNCF : nouvel appel de la CGT grève en juin

SNCF : nouvel appel de la CGT grève en juin

Devant le relatif échec de la dernière grève des syndicats gauchistes CGT et Sud rail, la CGT pratique la fuite en avant en proposant de nouveaux arrêts de travail pour début juin. Une manière de faire semblant de reprendre l’initiative de la lutte face à Sud rail. Mais aussi l’aveu que la mobilisation n’a pas atteint loin s’en faut les objectifs souhaités. Et cette fois l’appel concerne l’ensemble des cheminots pour le jeudi 5 juin.

La fédération syndicale appelle «l’ensemble des cheminots, de tous les métiers, de tous les collèges à agir par la grève» le jeudi 5 juin «pour imposer à la direction un contenu de négociation qui réponde à nos exigences», qu’il s’agisse d’augmentations de salaires, d’un accord sur la formation professionnelle, d’emplois supplémentaires ou de l’amélioration des conditions de travail.

Un mouvement est également annoncé la veille, le mercredi 4 juin, du côté des cheminots de la traction (conducteurs), en marge d’une table ronde consacrée à la prime dont bénéficie cette catégorie. Idem pour les contrôleurs le mercredi 11 juin, indique la CGT. «Nos mobilisations permettent de desserrer l’étau dans lequel voulait nous fixer la direction», affirme le syndicat.

Grèves SNCF: Perturbations essentiellement sur les trains locaux

Grèves SNCF: Perturbations essentiellement sur les trains locaux

Les syndicats gauchistes avaient prévu une semaine noire pour la circulation des trains à la SNCF. En réalité, ce sont surtout les trains locaux qui seront affectés.La preuve que ce mouvement est assez peu suivi et demeure impopulaire surtout sur une semaine entière. Le paradoxe c’est que l’action des syndicats gauchistes visaient les grands déplacements de vacances alors que ce sont surtout les déplacements quotidiens du travail qui sont perturbés !

Si les TGV et Ouigo ne seront toujours pas perturbés par le mouvement social mardi 6 mai, des TER seront supprimés dans plusieurs régions. En Île-de-France, certaines lignes de RER et de Transilien seront perturbées.

Encore une journée délicate à prévoir mardi pour les voyageurs du rail. Comme lundi, tout roulera du côté des TGV inOui et des Ouigo, mais ce sera plus difficile sur les lignes régionales, notamment en Île-de-France où la plupart des RER et certaines lignes de Transilien seront perturbées.

Transport- SNCF: Une grève pour favoriser la concurrence !

Transport- SNCF: Une grève pour favoriser la concurrence !

À l’heure de la concurrence internationale, la SNCF se trouve en perte de vitesse face à Trainitalia ou encore Transdev. D’un point de vue humain, les réclamations des cheminots, pourtant régulièrement entendues par le Gouvernement, créent une incompréhension grandissante chez les Français. Par Lucie Robequain dans La Tribune.

La SNCF n’a plus le monopole du train. Depuis quelques années, elle est concurrencée par les Espagnols et les Italiens sur des lignes hautement rentables qui relient Paris, Lyon, Marseille, Barcelone, Madrid et Milan. L’ouverture du marché français a débuté timidement en 2021, à la demande de Bruxelles. Elle va connaître un coup d’accélérateur le mois prochain, avec l’offensive de Trenitalia sur de nouvelles liaisons entre Paris et Marseille.

Les TGV ne sont pas les seuls menacés. Les lignes régionales ont elles aussi l’obligation de s’ouvrir à la concurrence. Les opérateurs tels que ­Transdev font valoir leurs atouts  : dans les gares, par exemple, ils se disent parfois capables d’offrir, avec deux fois moins de personnel, un service équivalent à celui de la SNCF.

C’est dans cette période extrêmement critique pour l’entreprise publique que ses agents prennent le risque de se mettre toute la France à dos. Les syndicats SUD et CGT les appellent à faire grève cette semaine, compromettant ainsi le pont du 8 mai pour des milliers de familles et professionnels du tourisme. Une aubaine pour Trenitalia, ­BlaBlaCar (covoiturage) et FlixBus (autocars), qui ont vu leurs réservations exploser ces derniers jours.

On le sait  : les grèves à la SNCF sont de moins en moins comprises. « L’insatisfaction des Français, voire leur colère, vont être grandes, alerte le PDG Jean-Pierre Farandou dans une lettre aux agents. Nous perdrons leur confiance. Qui pourrait reprocher à nos clients voyageurs de choisir, une prochaine fois, une autre solution de transport  ? »

Deux tiers des Français souhaiteraient interdire les grèves durant les ponts de mai, à en croire un sondage de l’institut CSA. On est loin, très loin du soutien collectif apporté à la grève de 2023 contre la réforme des retraites, réforme, qui, il est vrai, pénalisait la majeure partie des Français.

Il n’est nullement question de réforme cette fois-ci, mais de revendications salariales que les Français peinent là aussi à comprendre. Et pour cause  ! Au cours des trois dernières années, les cheminots ont vu leur rémunération globale augmenter de 17 % en moyenne, selon la SNCF, soit bien plus que la hausse des prix. Une nouvelle augmentation générale de 2,2 % a encore été accordée fin 2024, supérieure à l’inflation.

Grèves SNCF : le ras-le-bol

Grèves SNCF : le ras-le-bol

À juste titre le ministre des transports se fait l’écho du le ras-le-bol qu’éprouvent les usagers vis-à-vis des grèves à répétition de la SNCF. Des grèves encore organisées par les syndicats gauchistes et en plus à des dates différentes de sorte que le réseau risque d’être perturbé pendant une huitaine de jours.

Des grèves décidées pendant les périodes de fêtes à dessein pour créer le maximum de nuisances aux clients du rail. Des grèves par ailleurs en partie illégales du fait qu’elles sont également impulsées par une association de contrôleurs qui n’a nulle responsabilité et obligation syndicale. Bref du pur populisme pour tuer un peu plus une entreprise dont les parts de marché global ne cesse de se rétrécir. L’argument massue des syndicats gauchistes et surtout de Sud rail c’est que la SNCF ferait des bénéfices « incroyables ». C’est juste oublier que sur une quarantaine de milliards annuels environ en moyenne de chiffre d’affaires , une vingtaine sont apportées par les autorités publiques ( centrales, régionales et locales).

Le radicalisme compulsif de Sud rail et de la CGT qui suit conduit progressivement l’entreprise à ce ratatiner compte tenu en particulier de la dégradation du service. Ainsi l’entreprise a-t-elle été déjà contrainte d’abandonner le trafic express, puis le trafic de messagerie, maintenant le trafic par train complet sans parler évidemment de toutes les lignes voyageurs dites secondaires qui ont dû être fermées. Des syndicats gauchistes qui n’ont même pas été capables de défendre avec efficacité leurs statuts et dont les actions irresponsables ont conduit à un éclatement des couvertures sociales internes.

De toute manière, des syndicats qui ne sont pas tellement intéressés par la satisfaction des revendications mais davantage intéressés à fabriquer des mécontents supposés être demain des « révolutionnaires » supplémentaires au service de la gauche politique radicale. Bref quand l’incompétence syndicale est en fait au service de l’illusion, de l’irresponsabilité et finalement aussi de la destruction de l’entreprise.

«Les Français commencent à en avoir ras-le-bol de ce qu’il se passe à la SNCF.» A quelques jours de la mobilisation annoncée à la compagnie ferroviaire autour du week-end prolongé du 8 mai, le ministre des Transports Philippe Tabarot a tapé du poing sur la table ce vendredi matin, estimant néanmoins que la grève était «toujours évitable». «Il y a un moment de rétractation par rapport aux préavis qui ont été déposés, qui sont bien souvent des préavis dormants qui existent depuis des mois et sont déclenchés du jour au lendemain», a-t-il souligné sur BFMTV/RMC.

Le premier syndicat de la SNCF, la CGT-Cheminots, a appelé les agents se mobiliser dès le 5 mai, tandis que SUD-Rail a appelé les conducteurs à la grève le 7 mai, veille de jour férié. Les contrôleurs sont également appelés à se mobiliser les 9, 10 et 11 mai par SUD-Rail, troisième syndicat à la SNCF mais deuxième chez les contrôleurs, ainsi que par un influent collectif de contrôleurs baptisé CNA (collectif national ASCT). «On n’a pas forcément envie d’aller à la grève. Par contre, on a des revendications légitimes sur la table», a estimé Fabien Villedieu, secrétaire fédéral de SUD-Rail.

Le pire c’est que cette grève sera sans doute encore un échec et que la participation sera faible; de quoi démobiliser encore un peu plus pour fabriquer de futurs « révolutionnaires » !

Social-Grève SNCF : le ras-le-bol

Social-Grève SNCF : le ras-le-bol

À juste titre le ministre des transports se fait l’écho du le ras-le-bol qu’éprouvent les usagers vis-à-vis des grèves à répétition de la SNCF. Des grèves encore organisées par les syndicats gauchistes et en plus à des dates différentes de sorte que le réseau risque d’être perturbé pendant une huitaine de jours.

Des grèves décidées pendant les périodes de fêtes à dessein pour créer le maximum de nuisances aux clients du rail. Des grèves par ailleurs en partie illégales du fait qu’elles sont également impulsées par une association de contrôleurs qui n’a nulle responsabilité et obligation syndicale. Bref du pur populisme pour tuer un peu plus une entreprise dont les parts de marché global ne cesse de se rétrécir. L’argument massue des syndicats gauchistes et surtout de Sud rail c’est que la SNCF ferait des bénéfices « incroyables ». C’est juste oublier que sur une quarantaine de milliards annuels environ en moyenne de chiffre d’affaires , une vingtaine sont apportées par les autorités publiques ( centrales, régionales et locales).

Le radicalisme compulsif de Sud rail et de la CGT qui suit conduit progressivement l’entreprise à ce ratatiner compte tenu en particulier de la dégradation du service. Ainsi l’entreprise a-t-elle été déjà contrainte d’abandonner le trafic express, puis le trafic de messagerie, maintenant le trafic par train complet sans parler évidemment de toutes les lignes voyageurs dites secondaires qui ont dû être fermées. Des syndicats gauchistes qui n’ont même pas été capables de défendre avec efficacité leurs statuts et dont les actions irresponsables ont conduit à un éclatement des couvertures sociales internes.

De toute manière, des syndicats qui ne sont pas tellement intéressés par la satisfaction des revendications mais davantage intéressés à fabriquer des mécontents supposés être demain des « révolutionnaires » supplémentaires au service de la gauche politique radicale. Bref quand l’incompétence syndicale est en fait au service de l’illusion, de l’irresponsabilité et finalement aussi de la destruction de l’entreprise.

«Les Français commencent à en avoir ras-le-bol de ce qu’il se passe à la SNCF.» A quelques jours de la mobilisation annoncée à la compagnie ferroviaire autour du week-end prolongé du 8 mai, le ministre des Transports Philippe Tabarot a tapé du poing sur la table ce vendredi matin, estimant néanmoins que la grève était «toujours évitable». «Il y a un moment de rétractation par rapport aux préavis qui ont été déposés, qui sont bien souvent des préavis dormants qui existent depuis des mois et sont déclenchés du jour au lendemain», a-t-il souligné sur BFMTV/RMC.

Le premier syndicat de la SNCF, la CGT-Cheminots, a appelé les agents se mobiliser dès le 5 mai, tandis que SUD-Rail a appelé les conducteurs à la grève le 7 mai, veille de jour férié. Les contrôleurs sont également appelés à se mobiliser les 9, 10 et 11 mai par SUD-Rail, troisième syndicat à la SNCF mais deuxième chez les contrôleurs, ainsi que par un influent collectif de contrôleurs baptisé CNA (collectif national ASCT). «On n’a pas forcément envie d’aller à la grève. Par contre, on a des revendications légitimes sur la table», a estimé Fabien Villedieu, secrétaire fédéral de SUD-Rail.

Le pire c’est que cette grève sera sans doute encore un échec et que la participation sera faible; de quoi démobiliser encore un peu plus pour fabriquer de futurs « révolutionnaires » !

SNCF: Une grève pour favoriser la concurrence !

SNCF: Une grève pour favoriser la concurrence !

À l’heure de la concurrence internationale, la SNCF se trouve en perte de vitesse face à Trainitalia ou encore Transdev. D’un point de vue humain, les réclamations des cheminots, pourtant régulièrement entendues par le Gouvernement, créent une incompréhension grandissante chez les Français. Par Lucie Robequain dans La Tribune.

La SNCF n’a plus le monopole du train. Depuis quelques années, elle est concurrencée par les Espagnols et les Italiens sur des lignes hautement rentables qui relient Paris, Lyon, Marseille, Barcelone, Madrid et Milan. L’ouverture du marché français a débuté timidement en 2021, à la demande de Bruxelles. Elle va connaître un coup d’accélérateur le mois prochain, avec l’offensive de Trenitalia sur de nouvelles liaisons entre Paris et Marseille.

Les TGV ne sont pas les seuls menacés. Les lignes régionales ont elles aussi l’obligation de s’ouvrir à la concurrence. Les opérateurs tels que ­Transdev font valoir leurs atouts  : dans les gares, par exemple, ils se disent parfois capables d’offrir, avec deux fois moins de personnel, un service équivalent à celui de la SNCF.

C’est dans cette période extrêmement critique pour l’entreprise publique que ses agents prennent le risque de se mettre toute la France à dos. Les syndicats SUD et CGT les appellent à faire grève cette semaine, compromettant ainsi le pont du 8 mai pour des milliers de familles et professionnels du tourisme. Une aubaine pour Trenitalia, ­BlaBlaCar (covoiturage) et FlixBus (autocars), qui ont vu leurs réservations exploser ces derniers jours.

On le sait  : les grèves à la SNCF sont de moins en moins comprises. « L’insatisfaction des Français, voire leur colère, vont être grandes, alerte le PDG Jean-Pierre Farandou dans une lettre aux agents. Nous perdrons leur confiance. Qui pourrait reprocher à nos clients voyageurs de choisir, une prochaine fois, une autre solution de transport  ? »

Deux tiers des Français souhaiteraient interdire les grèves durant les ponts de mai, à en croire un sondage de l’institut CSA. On est loin, très loin du soutien collectif apporté à la grève de 2023 contre la réforme des retraites, réforme, qui, il est vrai, pénalisait la majeure partie des Français.

Il n’est nullement question de réforme cette fois-ci, mais de revendications salariales que les Français peinent là aussi à comprendre. Et pour cause  ! Au cours des trois dernières années, les cheminots ont vu leur rémunération globale augmenter de 17 % en moyenne, selon la SNCF, soit bien plus que la hausse des prix. Une nouvelle augmentation générale de 2,2 % a encore été accordée fin 2024, supérieure à l’inflation.

Le droit de grève n’est absolument pas négociable, contrairement à ce que laisse croire une partie de la droite. Mais les agents de la SNCF doivent l’exercer en connaissance de cause  : la grève pénalisera les résultats de l’entreprise et réduira sa capacité à moderniser son offre. Les besoins d’investissements n’ont pourtant jamais été aussi élevés, et la concurrence fait rage, entre avions low cost, trains étrangers, bus et covoiturage. Chers agents de la SNCF, à vous de nous faire préférer le train… et idéalement le vôtre  ! 

Grève SNCF : le ras-le-bol

Grève SNCF : le ras-le-bol

À juste titre le ministre des transports se fait l’écho du le ras-le-bol qu’éprouvent les usagers vis-à-vis des grèves à répétition de la SNCF. Des grèves encore organisées par les syndicats gauchistes et en plus à des dates différentes de sorte que le réseau risque d’être perturbé pendant une huitaine de jours.

Des grèves décidées pendant les périodes de fêtes à dessein pour créer le maximum de nuisances aux clients du rail. Des grèves par ailleurs en partie illégales du fait qu’elles sont également impulsées par une association de contrôleurs qui n’a nulle responsabilité et obligation syndicale. Bref du pur populisme pour tuer un peu plus une entreprise dont les parts de marché global ne cesse de se rétrécir. L’argument massue des syndicats gauchistes et surtout de Sud rail c’est que la SNCF ferait des bénéfices « incroyables ». C’est juste oublier que sur une quarantaine de milliards annuels environ en moyenne de chiffre d’affaires , une vingtaine sont apportées par les autorités publiques ( centrales, régionales et locales).

Le radicalisme compulsif de Sud rail et de la CGT qui suit conduit progressivement l’entreprise à ce ratatiner compte tenu en particulier de la dégradation du service. Ainsi l’entreprise a-t-elle été déjà contrainte d’abandonner le trafic express, puis le trafic de messagerie, maintenant le trafic par train complet sans parler évidemment de toutes les lignes voyageurs dites secondaires qui ont dû être fermées. Des syndicats gauchistes qui n’ont même pas été capables de défendre avec efficacité leurs statuts et dont les actions irresponsables ont conduit à un éclatement des couvertures sociales internes.

De toute manière, des syndicats qui ne sont pas tellement intéressés par la satisfaction des revendications mais davantage intéressés à fabriquer des mécontents supposés être demain des « révolutionnaires » supplémentaires au service de la gauche politique radicale. Bref quand l’incompétence syndicale est en fait au service de l’illusion, de l’irresponsabilité et finalement aussi de la destruction de l’entreprise.

«Les Français commencent à en avoir ras-le-bol de ce qu’il se passe à la SNCF.» A quelques jours de la mobilisation annoncée à la compagnie ferroviaire autour du week-end prolongé du 8 mai, le ministre des Transports Philippe Tabarot a tapé du poing sur la table ce vendredi matin, estimant néanmoins que la grève était «toujours évitable». «Il y a un moment de rétractation par rapport aux préavis qui ont été déposés, qui sont bien souvent des préavis dormants qui existent depuis des mois et sont déclenchés du jour au lendemain», a-t-il souligné sur BFMTV/RMC.

Le premier syndicat de la SNCF, la CGT-Cheminots, a appelé les agents se mobiliser dès le 5 mai, tandis que SUD-Rail a appelé les conducteurs à la grève le 7 mai, veille de jour férié. Les contrôleurs sont également appelés à se mobiliser les 9, 10 et 11 mai par SUD-Rail, troisième syndicat à la SNCF mais deuxième chez les contrôleurs, ainsi que par un influent collectif de contrôleurs baptisé CNA (collectif national ASCT). «On n’a pas forcément envie d’aller à la grève. Par contre, on a des revendications légitimes sur la table», a estimé Fabien Villedieu, secrétaire fédéral de SUD-Rail.

Le pire c’est que cette grève sera sans doute encore un échec et que la participation sera faible; de quoi démobiliser encore un peu plus pour fabriquer de futurs « révolutionnaires » !

Sondage grève SNCF : 65% des Français pour l’interdiction des grèves en mai

Sondage grève SNCF : 65% des Français pour l’interdiction des grèves en mai

65% des français favorables à l’interdiction des grèves durant les ponts de mai, selon un sondage CSA . Le jeudi 8 mai sera en effet férié et, en posant leur vendredi, les Français pourront disposer d’un «week-end» de quatre jours. Or les syndicats gauchistes ont déposé des préavis de grève pour ces périodes.

Ce sont les seniors qui sont les plus farouchement opposés à cette grève. Les plus de 65 ans sont 71% sont favorables à son interdiction pendant les ponts de mai contre seulement 58% pour les moins de 35 ans. Les écarts sont en revanche moins prononcés entre les femmes (67%) et les hommes (62%) et entre les actifs (63%) et les inactifs (67%).

SNCF : encore une grève des syndicats gauchistes le 8 mai

SNCF : encore une grève des syndicats gauchistes le 8 mai

La course aux actions les plus irresponsables est engagée entre d’une part Sud rail et la CGT. Ainsi des grève ont été décidées pour le pont du 8 mai sur le thème des salaires et des conditions de travail. De quoi les considérer encore un peu plus une entreprise qui se ratatine sous les coups de boutoir des syndicats gauchistes de plus en plus irresponsables. Des actions qui finalement finiront par tuer la SNCF, sans parler de la mort du statut et de la montée de la concurrence. Curieux bilan pour des syndicats supposés défendre des intérêts des salariés et de l’entreprise publique. La CGT-Cheminots emboîte ainsi le pas à Sud-Rail, qui appelait déjà les contrôleurs à faire grève le mercredi 7 mai et les vendredi 9, samedi 10 et dimanche 11 mai.

Social-SNCF : Encore une grève des syndicats gauchistes le 8 mai

Social-SNCF : Encore une grève des syndicats gauchistes le 8 mai

La course aux actions les plus irresponsables est engagée entre d’une part Sud rail et la CGT. Ainsi des grève ont été décidées pour le pont du 8 mai sur le thème des salaires et des conditions de travail. De quoi les considérer encore un peu plus une entreprise qui se ratatine sous les coups de boutoir des syndicats gauchistes de plus en plus irresponsables. Des actions qui finalement finiront par tuer la SNCF, sans parler de la mort du statut et de la montée de la concurrence. Curieux bilan pour des syndicats supposés défendre des intérêts des salariés et de l’entreprise publique. La CGT-Cheminots emboîte ainsi le pas à Sud-Rail, qui appelait déjà les contrôleurs à faire grève le mercredi 7 mai et les vendredi 9, samedi 10 et dimanche 11 mai.

Social-SNCF : Encore une grève des syndicats gauchistes le 8 mai

Social-SNCF : Encore une grève des syndicats gauchistes le 8 mai

La course aux actions les plus irresponsables est engagée entre d’une part Sud rail et la CGT. Ainsi des grève ont été décidées pour le pont du 8 mai sur le thème des salaires et des conditions de travail. De quoi les considérer encore un peu plus une entreprise qui se ratatine sous les coups de boutoir des syndicats gauchistes de plus en plus irresponsables. Des actions qui finalement finiront par tuer la SNCF, sans parler de la mort du statut et de la montée de la concurrence. Curieux bilan pour des syndicats supposés défendre des intérêts des salariés et de l’entreprise publique. La CGT-Cheminots emboîte ainsi le pas à Sud-Rail, qui appelait déjà les contrôleurs à faire grève le mercredi 7 mai et les vendredi 9, samedi 10 et dimanche 11 mai.

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