Archive pour le Tag 'encore'

Foot. Encore un pénible match nul pour l’OL

Foot. Encore un pénible match nul pour l’OL

 

La mauvaise série continue pour l’OL dans le championnat de ligue 1 pour la 18e journée ; Longtemps dominés et sans inspiration, les Lyonnais ont concédé un match nul à domicile face au TFC (0-0).

Lyon et Toulouse se sont séparés sur un nul (0-0), samedi au Groupama stadium, au terme d’un match de la 18e journée de Ligue 1 peu intense que les Toulousains auraient pu gagner face à des Lyonnais qui n’ont pas eu la réaction attendue après le camouflet reçu en Coupe à Bourgoin-Jallieu.

 

Croissance Chine: un taux de 5 % qui déçoit encore

Croissance Chine: un taux de 5 % qui déçoit encore

 

La crise en Chine se traduit par la faiblesse de son taux de croissance. En cause une crise financière, un modèle politique de plus en plus centralisé -et discuté- aussi des mesures protectionnistes des pays importateurs de produits chinois ( voitures électriques par exemple). Sans parler du caractère atone de la consommation intérieure. À noter aussi que le centralisme de plus en plus lourd sur les entreprises constitue un motif de découragement voire de fuite des capitaux

 

La Chine a enregistré en 2024 une croissance économique de 5%, le rythme le plus faible depuis trois décennies hors période de Covid. Pékin s’était fixé l’objectif d’une croissance «d’environ 5%» de son Produit intérieur brut (PIB), après une progression de 5,2% en 2023, sur fond de crise persistante du secteur immobilier, de consommation intérieure toujours atone et de tensions commerciales avec les États-Unis et l’Union européenne. En 2024, le PIB chinois a atteint 134.908 milliards de yuans (17.867 milliards d’euros), selon des estimations officielles du Bureau national des statistiques (BNS) publiées vendredi.

La Chine peine à se relever d’une grave crise de l’immobilier qui pèse sur le moral des consommateurs et sur les finances des collectivités locales. Rare embellie dans ce sombre tableau, en 2024, les exportations du géant asiatique ont atteint le niveau record d’environ 3.400 milliards d’euros, en hausse de 7,1% sur un an, selon des données officielles publiées lundi. L’augmentation des importations s’est par ailleurs traduite par une accélération de la production industrielle, qui a gonflé de 5,8% l’an dernier, contre 4,6% en 2023.
À l’inverse, les ventes de détail ont enregistré un net essoufflement, progressant de 3,5% l’an dernier contre une augmentation de plus de 7% en 2023: un ralentissement drastique signalant une consommation toujours sous pression à l’heure où les ménages inquiets préfèrent reporter leurs achats.

Encore un record de chaleur en 2024

Encore un record de chaleur en 2024

Le record de chaleur de 2024, couronnant une décennie «extraordinaire de températures record» selon l’OMM, «exige une action climatique novatrice en 2025», a exhorté le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres.

L’année 2024 a bel et bien été la plus chaude jamais enregistrée depuis le début des statistiques en 1850, a lui aussi souligné vendredi le Service changement climatique (C3S) de l’observatoire européen Copernicus.

2025 ne s’annonce pas record mais l’Office météorologique britannique a pour sa part prévenu que l’année devrait être l’une des trois plus chaudes enregistrées sur la planète.

Selon Copernicus, la seule année 2024 mais aussi la moyenne des deux années 2023-2024 a dépassé 1,5°C de réchauffement par rapport à l’ère pré-industrielle, avant que l’utilisation massive du charbon, du pétrole et du gaz fossile ne modifie en profondeur le climat.

«Il est important de souligner qu’une seule année à plus de 1,5°C NE signifie PAS que nous avons échoué à atteindre les objectifs de température à long terme de l’accord de Paris, lesquels portent sur des décennies», a relevé la secrétaire générale de l’OMM, Celeste Saulo.

Mais «cela souligne le fait que les températures mondiales grimpent au-delà de ce que les humains modernes ont connu», indique Copernicus. En effet, le réchauffement du climat actuel est inédit depuis au moins 120.000 ans, selon les scientifiques.

Derrière ces chiffres se cache déjà une série de catastrophes exacerbées par le changement climatique.

 

Les océans, qui absorbent 90% de l’excès de chaleur provoqué par l’humanité, ont aussi poursuivi leur surchauffe, tant à la surface que jusqu’à 2000 mètres de profondeur. La moyenne annuelle de leurs températures de surface – hors zones polaires – a atteint le niveau inédit de 20,87°C, battant le record de 2023.

Des mers plus chaudes libèrent davantage de vapeur d’eau dans l’atmosphère, fournissant de l’énergie supplémentaire aux typhons, ouragans ou tempêtes.

Foot -Deschamps encore entraineur jusqu’en 2026

« Il va à la fin de son contrat actuel, soit 2026″, a dit Philippe Diallo à Reuters.

En poste depuis 2012 lorsqu’il avait succédé à Laurent Blanc, son ancien coéquipier en sélection, Didier Deschamps a permis à l’équipe de France de décrocher le deuxième sacre en Coupe du monde de son histoire, en Russie en 2018.

L’ancien milieu de terrain est alors devenu le troisième homme à remporter le titre mondial en tant que joueur (1998) puis sélectionneur, imitant le Brésilien Mario Zagallo (1958/1962 et 1970) et l’Allemand Franz Beckenbauer (1974 et 1990).

Durant le mandat de Didier Deschamps, à la longévité record sur le banc des Bleus, l’équipe de France s’est de nouveau hissée en finale de la Coupe du monde, en 2022 au Qatar, s’inclinant aux tirs au but face à l’Argentine (3-3, 4-2 aux t.a.b.) malgré un triplé de Kylian Mbappé.

Les Bleus ont également remporté la deuxième édition de la Ligue des nations en 2021.

En revanche, le Basque n’aura pas réussi à remporter l’Euro en tant que sélectionneur, après l’avoir gagné comme capitaine des Bleus (2000) deux ans après le premier titre mondial de l’histoire de la France.

Les Bleus ont perdu face au Portugal (1-0) en finale de l’Euro 2016 organisé en France, tandis qu’ils ont été éliminés en huitièmes de finale de l’Euro 2021 par la Suisse (3-3, 5-4 aux t.a.b.) et en demi-finales de la dernière édition, l’été dernier, par l’Espagne (2-1).

Le contrat actuel de Didier Deschamps prend fin à l’issue de la Coupe du monde 2026 organisée au Canada, aux États-Unis et au Mexique du 11 juin au 19 juillet, pour laquelle les qualifications en Europe n’ont pas encore commencé.

La France ne connaîtra son groupe d’éliminatoires après son quart de finale en Ligue des nations face à la Croatie, les 20 et 23 mars prochains. En cas de victoire, les Bleus seront placés dans le groupe D avec l’Ukraine, l’Islande et l’Azerbaïdjan. En cas de défaite, ils seront dans le groupe L avec la République tchèque, le Monténégro, les Îles Féroé et Gibraltar.

Finances- L’euro encore en baisse en 2025 ?

Finances- L’euro encore en baisse en 2025 ?

 

Alors que l’euro souffre sur cette année 2024, un rebond peut-il s’opérer l’an prochain? Les bureaux d’études sont partagés. Mais, dans l’ensemble, pas franchement optimistes.( un papier de BFM intéressant mais qui laisse les hypothèses ouvertes notamment concernant les évolutions du commerce international et les secousses géopolitiques)
L’euro n’a pas transformé l’essai en 2024, loin de là. En 2023, la devise de la zone euro avait enregistré une hausse face au dollar, ce pour la première fois depuis 2020.

Sauf très improbable surprise de dernière minute, la monnaie de la zone euro terminera cette fois dans le rouge, cette année. L’euro s’échange actuellement autour de 1,0418 dollar (*), ce qui traduit une baisse de 5,6% sur l’ensemble de 2024. Un recul qui reste important sur le marché des changes, où les variations sont souvent contenues (une devise « chute » face à une autre lorsqu’elle perd plus de 1% sur une journée), en raison de l’immense volume que connait ce marché, avec des échanges qui peuvent dépasser les 6.500 milliards de dollars par jour.

L’euro a été pénalisé par différents facteurs. La Banque centrale européenne (BCE) a débuté son cycle de baisses de taux directeurs en juin, soit trois mois avant la Réserve fédérale américaine (Fed). La dernière réunion de la banque centrale américaine avait d’ailleurs fait mal à l’euro, qui avait chuté de plus de 1% face au dollar dans la foulée de ses annonces. La Fed avait alors signalé qu’elle pourrait mettre la pédale douce sur les baisses de taux, l’an prochain.

Par ailleurs, la conjoncture américaine s’est une nouvelle fois mieux tenue, dans son ensemble, que celle de la zone euro qui a pâti de la faiblesse de sa plus importante économie, à savoir l’Allemagne.

 

La monnaie unique de la zone euro s’est plus particulièrement retrouvée sous pression à compter d’octobre. La devise européenne a alors décroché face au dollar, passant de 1,11 dollar environ à 1,05 dollar à la fin novembre.

Le marché avait commencé à anticiper (à raison) la victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine.

Pour de multiples raisons, la politique souhaitée par le président américain élu est perçue comme favorable au dollar et donc défavorable à l’euro. Tout d’abord parce que, bien qu’inflationniste, elle est censée amplifier la croissance des États-Unis, ce qui soutiendrait la devise américaine. Ensuite parce que l’alourdissement des droits de douanes voulu par le républicain, notamment vis-à-vis de la Chine, risque de mettre à mal les autres devises internationales.

Le programme de Donald Trump incorpore « une possibilité réaliste de droits de douane américains de 60% ou plus sur la Chine et de droits de douane généralisés de 10% ou plus, ce qui augmente les chances que les monnaies ex-dollar américain se déprécient par rapport au billet vert pour anticiper la perte de compétitivité sur les marchés américains qu’impliquent les droits de douane », a expliqué UBS.
Qu’attendre pour 2025? Les différents bureaux d’études ont des prévisions un peu divergentes pour l’euro face au billet vert. Mais grosso modo la devise européenne risque de se retrouver encore sous pression l’année prochaine. L’euro « est ‘pricé’ pour le pessimisme (le prix de l’euro sur le marché intègre des mauvaises nouvelles, NDLR) », souligne ainsi Goldman Sachs. La banque américaine voit d’ailleurs l’euro tomber à 1,03 dollar sur un horizon de douze mois.

« À l’horizon 2025, la force actuelle du dollar ne devrait pas s’estomper, selon nous. De toute évidence, le risque sera orienté vers une nouvelle hausse du dollar au cours du premier semestre 2025″, juge pour sa part la banque suisse Safra Sarasin.

Évidemment, beaucoup dépendra de la mise en œuvre des promesses de campagne de Donald Trump, qui a donc évoqué l’instauration de droits de douanes de 60% pour les importations provenant de la Chine, et de 10% à 20% pour les autres pays. La banque Barclays a, dans une note, estimé que – toute chose égale par ailleurs – la mise en place de tarifs douaniers de 10% sur les importations européennes ferait tomber l’euro à 1,01 dollar (à partir d’un cours de référence théorique de 1,10 dollar pour un euro).

Les stratégistes de JPMorgan AM pensent que les droits de douanes à l’encontre de la Chine seront mis en œuvre car il existe un consensus bipartisan aux États-Unis pour considérer ce pays comme « un commerçant déloyal ». Mais ils pensent que les autres pays auront des marges de négociations.

« Il n’est pas certain que le président puisse imposer un droit de douane universel par décret. Il est habilité à appliquer des droits de douane unilatéraux ciblés, mais l’application de droits de douane généralisés semble nécessiter l’intervention du Congrès, ce qui prendra du temps », expliquent-ils.

UBS ne retient la mise en place de tarifs douaniers qu’à l’encontre de la Chine. Mais même dans ce cas de figure « nous entrons dans un environnement de dollar fort », prévient la banque suisse. L’établissement helvétique voit l’eurodollar terminer à 1,04 fin décembre 2025 mais surtout à 1 dollar un an plus tard.

Deutsche Bank pour sa part, table sur un euro pour 1,03 dollar fin 2025. Mais, selon les prévisions de la banque allemande, l’euro devrait auparavant toucher la parité à la fin du deuxième trimestre 2025.

Deutsche Bank anticipe une divergence au niveau des politiques monétaires, en 2025. La Banque centrale européenne (BCE) devrait, selon ses projections, continuer à abaisser ses taux, le taux de dépôt passant de 3% actuellement à 1,5% à la fin de 2025. A contrario, la Réserve fédérale (Fed) américaine, elle, mettrait fin à son cycle de réduction. Deutsche Bank n’a ainsi retenu aucune baisse de taux additionnelle en 2025.

La banque allemande estime que l’économie américaine continuera d’afficher une croissance solide, avec une progression du produit intérieur brut proche de 2,5%, tandis que les pressions sur le marché du travail s’atténueront, avec un taux de chômage sous les 4% fin 2025. Ce qui créera des pressions inflationnistes et poussera la Fed à rester sur la touche.

Les tarifs douaniers mettraient aussi l’euro sous pression, même si Deutsche Bank a retenu des droits de douanes de 5% seulement, et qui seraient, de plus, susceptibles d’être mis en œuvre fin 2025- début 2026. La banque allemande estime, par ailleurs, que l’euro devrait rebondir sur la deuxième partie de 2025, soutenu par des mesures de relance budgétaire, notamment en Allemagne.

Bank of America, elle, à rebours de ses consoeurs, voit l’euro se reprendre face au dollar, tablant sur un euro à 1,10 dollar à fin décembre 2025.

L’établissement américain pronostique toutefois un début d’année difficiel pour la devise de la zone euro, avec un euro à 1,03 dollar fin mars avant une remontée à 1,05 dollar fin juin.

La banque américaine anticipe un premier semestre « compliqué » en raison des incertitudes sur la politique américaine et d’une politique monétaire plus accommodante de la part de la BCE que de la Fed. La situation politique délicate en France peut également « poser des risques à la baisse » sur l’euro, écrit-elle.

Bank of America table ensuite sur un « effet miroir » au second semestre, avec de moindres risques sur la politique américaine et un écart de croissance entre les États-Unis et la zone euro qui se réduirait, tandis que le marché du travail américain ralentirait. Autant d’éléments qui seraient favorables à l’euro et qui lui permettrait de remonter la pente sur la deuxième partie de 2025.

(*) Le cours a été arrêté vendredi après la clôture européenne.

Croissance- Industrie manufacturière encore en recul

Croissance- Industrie manufacturière encore en recul

 L’indice des acheteurs pour l’industrie manufacturière s’est établi à 41,9 en décembre, contre 43,1 en novembre, selon l’indice PMI publié ce jeudi par l’agence S&P Global et la Hamburg Commercial Bank (HCOB). Pour rappel, un indice inférieur à 50 signale une contraction.

Un recul qui s’inscrit dans une tendance de fond puisqu’en novembre, la production manufacturière de  l’indice PMI s’était établi à 43,1, contre 44,5 en octobre, le taux de contraction le plus élevé depuis décembre 2023.

Et, à nouveau, le repli de décembre s’explique par une « nouvelle baisse marquée du volume global des commandes », notamment dans les secteurs de l’automobile et du bâtiment, détaille le communiqué. « La faiblesse de la demande s’est répercutée sur le niveau des stocks, lesquels ont reculé en décembre. »

Les entreprises manufacturières françaises « se sont dites pessimistes » quant à une hausse de leur activité dans les douze prochains mois : « La crainte d’un recul prolongé de la demande, le climat d’incertitude politique actuel et la faiblesse des dépenses d’investissements chez les clients ont, selon les répondants, pesé sur le niveau de la confiance », souligne le communiqué.

 

De manière générale, c’est l’activité de l’ensemble du secteur privé qui a reculé pour le quatrième mois consécutif en décembre, selon l’indice PMI Flash HCOB publié mi-décembre. Celui-ci s’est établi à 46,7 en décembre contre 45,9 en novembre, une légère progression, mais toujours en zone négative.

 

Politique-Elon Musk – Encore sous cocaïne- ne veut pas de démocratie sur Mars

Politique-Elon Musk - Encore sous cocaïne- ne veut pas de démocratie sur Mars

 

Comme si le monde ne connaissait pas suffisamment de problèmes, le milliardaire génial mais fou ne cesse d’intervenir avec des idées les plus farfelues notamment en soutenant des parties d’opposition d’extrême droite. Cette fois il affirme que dans sa vision lointaine quand la planète Mars sera colonisée, on pourra se passer de la démocratie représentative en utilisant la démocratie directe. Exactement ce que préconise et mettent  en œuvre tous les dictateurs au monde.

Compte tenu des positions de plus en plus iconoclastes de Musk- souvent sous cocaïne- , il est vraisemblable qu’il y aura un jour affrontement avec le président américain.

Elon Musk devrait pourtant se montrer prudent car officiellement le mélange politique et business est rarement compatible. Faut-il aussi rappeler que le milliardaire vit largement aux frais des subventions reçues des États-Unis et grâce à la politique protectionniste américaine.

Interrogé sur l’éventuel système de gouvernement, le fondateur de Space X affirme que les humains qui arriveront sur la planète et qui la coloniseront «choisiront eux-mêmes leur mode de fonctionnement politique». Il se permet d’émettre une «recommandation» : « Je préconise la démocratie directe plutôt que la démocratie représentative», a-t-il écrit dans son post.

Pour que des êtres humains posent pied sur la planète, Elon Musk estime le délai à environ quatre ans «pour les vaisseaux avec équipage». Une promesse sans doute faite sous influence de la cocaïne ! En fait 4ans, 40 ans ou plus vraisemblablement jamais !

L’armée française se ratatine encore en quittant la Côte d’Ivoire

L’armée française se ratatine encore en quittant la Côte d’Ivoire

 

Officiellement la France procède à une reconfiguration de sa présence militaire en Afrique. En réalité elle n’a plus les moyens matériels et financiers de rester sur place. Sans parler des aspects géostratégiques qui font qu’elle est parfois assez comme au Mali, au Burkina Faso au Niger et récemment au Tchad.

Ce redéploiement traduit en fait malheureusement pour la France l’incapacité à disposer d’une armée à la hauteur des enjeux. Certes l’armée française et complète dans tous les domaines mais elle est minuscule. En Ukraine par exemple avec les effectifs actifs actuels elle serait balayée en moins de quelques mois. La France dispose en effet par exemple dans l’infanterie de moins de 100 000 personnes quand les forces adverses notamment russes disposent d’un million et plus de militaires.

Pendant que la France disparaît progressivement de l’Afrique la place vide est occupée par d’autres en particulier par la Russie qui trouve ainsi l’occasion de déstabiliser économiquement et politiquement des pays encore fragiles. Et les chefs d’État de certains pays d’Afrique se satisfont de pouvoir assurer leur pouvoir est libérale voir dictatoriale avec l’appui des milices russes. Une stratégie africaine qui fera reculer de 10 à 20 ans encore nombre de pays ajoutant la misère économique à l’insuffisance voire à l’absence de démocratie.

La France a décidé de reconfigurer sa présence militaire en Afrique, après avoir été chassée de trois pays sahéliens gouvernés par des juntes hostiles à Paris, le Mali, le Burkina Faso et le Niger.

La base militaire française d’Abidjan va être rétrocédée à la Côte d’Ivoire en janvier, a annoncé mardi soir le président ivoirien Alassane Ouattara, conformément à la politique de réaménagement du dispositif militaire français en Afrique.

 

Le mois dernier, à quelques heures d’intervalle, le Sénégal et le Tchad ont à leur tour annoncé le départ des militaires français de leur sol et officialisé une «réorganisation». La France a rétrocédé le 26 décembre une première base militaire au Tchad, à Faya dans l’extrême nord désertique du pays. La Côte d’Ivoire reste un allié important de la France en Afrique de l’ouest. Quelque 1000 soldats étaient déployés au 43e BIMA, notamment dans la lutte contre les djihadistes qui frappent régulièrement le Sahel et le nord de certains pays du golfe de Guinée.

 

Rugby XV: Toulouse encore le Stade Français

Rugby XV: Toulouse encore le Stade Français
Moins brillants que d’habitude  les joueurs de Toulouse ont cependant dominé le Stade Français 38–23. Ils confortent ainsi leur première place au championnat national.

L’euro encore en baisse en 2025 ?

L’euro encore en baisse en 2025 ?

 

Alors que l’euro souffre sur cette année 2024, un rebond peut-il s’opérer l’an prochain? Les bureaux d’études sont partagés. Mais, dans l’ensemble, pas franchement optimistes.( un papier de BFM intéressant mais qui laisse les hypothèses ouvertes notamment concernant les évolutions du commerce international et les secousses géopolitiques)

 
L’euro n’a pas transformé l’essai en 2024, loin de là. En 2023, la devise de la zone euro avait enregistré une hausse face au dollar, ce pour la première fois depuis 2020.

Sauf très improbable surprise de dernière minute, la monnaie de la zone euro terminera cette fois dans le rouge, cette année. L’euro s’échange actuellement autour de 1,0418 dollar (*), ce qui traduit une baisse de 5,6% sur l’ensemble de 2024. Un recul qui reste important sur le marché des changes, où les variations sont souvent contenues (une devise « chute » face à une autre lorsqu’elle perd plus de 1% sur une journée), en raison de l’immense volume que connait ce marché, avec des échanges qui peuvent dépasser les 6.500 milliards de dollars par jour.

L’euro a été pénalisé par différents facteurs. La Banque centrale européenne (BCE) a débuté son cycle de baisses de taux directeurs en juin, soit trois mois avant la Réserve fédérale américaine (Fed). La dernière réunion de la banque centrale américaine avait d’ailleurs fait mal à l’euro, qui avait chuté de plus de 1% face au dollar dans la foulée de ses annonces. La Fed avait alors signalé qu’elle pourrait mettre la pédale douce sur les baisses de taux, l’an prochain.

Par ailleurs, la conjoncture américaine s’est une nouvelle fois mieux tenue, dans son ensemble, que celle de la zone euro qui a pâti de la faiblesse de sa plus importante économie, à savoir l’Allemagne.

 

La monnaie unique de la zone euro s’est plus particulièrement retrouvée sous pression à compter d’octobre. La devise européenne a alors décroché face au dollar, passant de 1,11 dollar environ à 1,05 dollar à la fin novembre.

Le marché avait commencé à anticiper (à raison) la victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine.

Pour de multiples raisons, la politique souhaitée par le président américain élu est perçue comme favorable au dollar et donc défavorable à l’euro. Tout d’abord parce que, bien qu’inflationniste, elle est censée amplifier la croissance des États-Unis, ce qui soutiendrait la devise américaine. Ensuite parce que l’alourdissement des droits de douanes voulu par le républicain, notamment vis-à-vis de la Chine, risque de mettre à mal les autres devises internationales.

Le programme de Donald Trump incorpore « une possibilité réaliste de droits de douane américains de 60% ou plus sur la Chine et de droits de douane généralisés de 10% ou plus, ce qui augmente les chances que les monnaies ex-dollar américain se déprécient par rapport au billet vert pour anticiper la perte de compétitivité sur les marchés américains qu’impliquent les droits de douane », a expliqué UBS.
Qu’attendre pour 2025? Les différents bureaux d’études ont des prévisions un peu divergentes pour l’euro face au billet vert. Mais grosso modo la devise européenne risque de se retrouver encore sous pression l’année prochaine. L’euro « est ‘pricé’ pour le pessimisme (le prix de l’euro sur le marché intègre des mauvaises nouvelles, NDLR) », souligne ainsi Goldman Sachs. La banque américaine voit d’ailleurs l’euro tomber à 1,03 dollar sur un horizon de douze mois.

« À l’horizon 2025, la force actuelle du dollar ne devrait pas s’estomper, selon nous. De toute évidence, le risque sera orienté vers une nouvelle hausse du dollar au cours du premier semestre 2025″, juge pour sa part la banque suisse Safra Sarasin.

Évidemment, beaucoup dépendra de la mise en œuvre des promesses de campagne de Donald Trump, qui a donc évoqué l’instauration de droits de douanes de 60% pour les importations provenant de la Chine, et de 10% à 20% pour les autres pays. La banque Barclays a, dans une note, estimé que – toute chose égale par ailleurs – la mise en place de tarifs douaniers de 10% sur les importations européennes ferait tomber l’euro à 1,01 dollar (à partir d’un cours de référence théorique de 1,10 dollar pour un euro).

Les stratégistes de JPMorgan AM pensent que les droits de douanes à l’encontre de la Chine seront mis en œuvre car il existe un consensus bipartisan aux États-Unis pour considérer ce pays comme « un commerçant déloyal ». Mais ils pensent que les autres pays auront des marges de négociations.

« Il n’est pas certain que le président puisse imposer un droit de douane universel par décret. Il est habilité à appliquer des droits de douane unilatéraux ciblés, mais l’application de droits de douane généralisés semble nécessiter l’intervention du Congrès, ce qui prendra du temps », expliquent-ils.

UBS ne retient la mise en place de tarifs douaniers qu’à l’encontre de la Chine. Mais même dans ce cas de figure « nous entrons dans un environnement de dollar fort », prévient la banque suisse. L’établissement helvétique voit l’eurodollar terminer à 1,04 fin décembre 2025 mais surtout à 1 dollar un an plus tard.

Deutsche Bank pour sa part, table sur un euro pour 1,03 dollar fin 2025. Mais, selon les prévisions de la banque allemande, l’euro devrait auparavant toucher la parité à la fin du deuxième trimestre 2025.

Deutsche Bank anticipe une divergence au niveau des politiques monétaires, en 2025. La Banque centrale européenne (BCE) devrait, selon ses projections, continuer à abaisser ses taux, le taux de dépôt passant de 3% actuellement à 1,5% à la fin de 2025. A contrario, la Réserve fédérale (Fed) américaine, elle, mettrait fin à son cycle de réduction. Deutsche Bank n’a ainsi retenu aucune baisse de taux additionnelle en 2025.

La banque allemande estime que l’économie américaine continuera d’afficher une croissance solide, avec une progression du produit intérieur brut proche de 2,5%, tandis que les pressions sur le marché du travail s’atténueront, avec un taux de chômage sous les 4% fin 2025. Ce qui créera des pressions inflationnistes et poussera la Fed à rester sur la touche.

Les tarifs douaniers mettraient aussi l’euro sous pression, même si Deutsche Bank a retenu des droits de douanes de 5% seulement, et qui seraient, de plus, susceptibles d’être mis en œuvre fin 2025- début 2026. La banque allemande estime, par ailleurs, que l’euro devrait rebondir sur la deuxième partie de 2025, soutenu par des mesures de relance budgétaire, notamment en Allemagne.

Bank of America, elle, à rebours de ses consoeurs, voit l’euro se reprendre face au dollar, tablant sur un euro à 1,10 dollar à fin décembre 2025.

L’établissement américain pronostique toutefois un début d’année difficiel pour la devise de la zone euro, avec un euro à 1,03 dollar fin mars avant une remontée à 1,05 dollar fin juin.

La banque américaine anticipe un premier semestre « compliqué » en raison des incertitudes sur la politique américaine et d’une politique monétaire plus accommodante de la part de la BCE que de la Fed. La situation politique délicate en France peut également « poser des risques à la baisse » sur l’euro, écrit-elle.

Bank of America table ensuite sur un « effet miroir » au second semestre, avec de moindres risques sur la politique américaine et un écart de croissance entre les États-Unis et la zone euro qui se réduirait, tandis que le marché du travail américain ralentirait. Autant d’éléments qui seraient favorables à l’euro et qui lui permettrait de remonter la pente sur la deuxième partie de 2025.

(*) Le cours a été arrêté vendredi après la clôture européenne.

 

Allemagne : Elon Musk soutient encore l’extrême droite

Allemagne : Elon Musk soutient encore l’extrême droite

Le milliardaire fou Américain- souvent sous cocaïne–n’en finit pas d’intervenir dans les affaires intérieures des pays étrangers pour soutenir les courants d’extrême droite. Ainsi en Allemagne où il réitère ses propos droitiers y compris racistes. il que «l’Alternative pour l’Allemagne (AfD) est la dernière lueur d’espoir pour ce pays», qui se trouve selon lui «au bord de l’effondrement économique et culturel». Ce proche du président élu Donald Trump loue la «politique d’immigration contrôlée» du parti, ses objectifs économiques de «réduire les impôts» ou encore de «déréglementer le marché». La classification de l’AfD à l’extrême droite «est clairement fausse», affirme encore Elon Musk, s’appuyant sur le fait que sa cheffe de file Alice Weidel «a une partenaire de même sexe originaire du Sri Lanka» !

 

Bayrou : un gouvernement encore pléthorique !

Bayrou : un gouvernement encore pléthorique condamné à réussir rapidement ou à disparaître !

 

 

 

Composition du gouvernement :

Ministres de plein exercice
Élisabeth Borne, ministre d’État, ministre de l’Éducation nationale, de la Recherche et de l’Enseignement supérieur
Manuel Valls, ministre d’État, ministre des Outre-mer
Gérald Darmanin, ministre d’État, ministre de la Justice, garde des Sceaux
Bruno Retailleau, ministre d’État, ministre de l’Intérieur
Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles
Éric Lombard, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique
Sébastien Lecornu, ministre des Armées
Rachida Dati, ministre de la Culture
François Rebsamen, ministre de l’Aménagement du territoire de la Décentralisation
Jean-Noël Barrot, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères
Agnès Pannier-Runacher, ministre de la transition écologique, de la biodiversité, de la forêt, de la mer et de la pêche
Annie Genevard, ministre de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
Laurent Marcangeli, ministre de l’Action publique, de la Fonction publique et de la Simplification
Marie Barsacq, ministre des Sports, de la jeunesse et de la vie associative

Ministres auprès des ministres de plein exercice
Auprès du premier ministre

Patrick Mignola, ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement
Aurore Bergé, ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations
Sophie Primas, ministre déléguée, porte-parole du gouvernement ;
Auprès de la ministre d’État, ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche

Philippe Baptiste, ministre chargé de l’Enseignement supérieur et de la recherche
Auprès du ministre d’État, ministre de l’intérieur

François-Noël Buffet
Auprès de la ministre du travail, de la santé, de la solidarité et des familles

Astrid Panosyan-Bouvet, ministre chargée du Travail et de l’Emploi
Yannick Neuder, ministre chargé de la Santé et de l’accès aux soins
Charlotte Parmentier-Lecocq, ministre déléguée chargée de l’Autonomie et du Handicap
Auprès du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique

Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics
Marc Ferracci, ministre chargé de l’Industrie et de l’Energie
Véronique Louwagie, ministre déléguée chargée du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et moyennes entreprises et de l’Economie sociale et solidaire
Clara Chappaz, ministre déléguée chargée de l’Intelligence artificielle et du Numérique
Nathalie Delattre, ministre déléguée chargée du tourisme

Auprès du ministre des armées

Patricia Mirallès, ministre déléguée chargée de la Mémoire et des anciens combattants
Auprès du ministre de l’aménagement du territoire et de la décentralisation

Valérie Létard, ministre chargée du Logement
Philippe Tabarot, ministre chargé des Transports
Françoise Gatel, ministre déléguée chargée de la Ruralité
Juliette Méadel, ministre déléguée chargée de la Ville
Auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères

Benjamin Haddad, ministre délégué chargé de l’Europe
Laurent Saint-Martin, ministre délégué chargé du Commerce extérieur et des Français de l’étranger
Thani Mohamed Soilihi, ministre délégué chargé de la Francophonie et des Partenariats internationaux

Allemagne : encore un attentat terroriste sur le marché

Allemagne : encore un attentat terroriste sur le marché

 Au moins 2 morts et  60 personnes blessées dans un attentat terroriste sur un marché en Allemagne. Un véhicule a foncé ce vendredi 20 décembre sur un marché de Noël dans la ville de Magdebourg, au nord de l’Allemagne.

L’attaque survient huit ans après un acte similaire commis sur un marché de Noël de Berlin, alors que l’Allemagne, en pleine campagne électorale, est en état d’alerte contre le risque d’attentats.

Les marchés de Noël sont une « cible idéologiquement appropriée pour les personnes motivées par l’islamisme », avaient mis en garde les services de renseignement allemands avant la période des fêtes.
Le chauffeur de la voiture qui a foncé sur la foule de ce marché de Noël a été interpellé, selon la police. Le suspect arrêté est âgé de 50 ans et d’origine saoudienne. « Nous avons arrêté l’auteur » de l’attentat et « il s’agit d’un homme originaire d’Arabie Saoudite qui exerce comme médecin ici » dans la région de Saxe-Anhalt, a indiqué le chef du gouvernement régional, Reiner Haseloff, précisant qu’il avait « agi seul ».

« Il s’agit d’un événement terrible, dans les jours précédant Noël », a-t-il encore déclaré à la chaîne de télévision publique MDR.
• Le chancelier allemand Olaf Scholz redoute « le pire »

Encore une menace de «shutdown» aux États-Unis

Encore une menace de «shutdown» aux États-Unis

Encore une fois les États-Unis se font peur avec la menace de blocage budgétaire. En outreElon Musk  est à la manœuvre pour semer un peu plus de pagaille et réclamer de façon prématurée des économies fédérales.

 
Les élus républicains, pourtant majoritaires à la chambre basse, avaient soumis au vote une nouvelle proposition au lendemain du torpillage par Donald Trump et Elon Musk d’un précédent accord négocié avec les démocrates qui aurait évité aux États-Unis un «shutdown», juste avant Noël.

Le texte n’a même pas atteint la majorité simple, avec 38 républicains se joignant au «non» des démocrates. La marche à suivre est désormais incertaine pour le président républicain de la Chambre des représentants, Mike Johnson, pressé d’un côté par les démocrates de revenir à l’accord préalablement négocié, et de l’autre par certains élus conservateurs qui refusent en bloc tout texte qui ne comprendrait pas de coupe budgétaire pour compenser les nouvelles aides.

Comme d’habitude on pourrait attendre le dernier dernier moment pour sortir de cette impasse habituelle aux États-Unis. Cela démontre aussi à l’évidence l’impatience d’Hélène Musk de peser sur à peu près tous les sujets quittes à marcher sans doute sur les pieds un jour du président.

Bayrou : encore une réunion pour rien à Matignon

Bayrou : encore une réunion pour rien à Matignon

Bayrou  perd encore du temps en proposant une réunion de consultations à toutes les forces politiques sans inviter d’ailleurs le Front National et LFI. Il s’agira de donner des orientations sur la composition du gouvernement et surtout sur les orientations. De toute manière Bayrou est coincé sur un socle minimum au Parlement qui se ratatine. On peut facilement imaginer que chaque partie répétera à la sortie de la réunion ses lignes rouges. Autant de temps perdu en attendant la déclaration de politique générale prévue le 14 février et surtout la mise en marche enfin de ce gouvernement qu’on attend comme Godot alors que la situation économique notamment à Mayotte évidemment ne cesse de se dégrader sans parler du moral des acteurs qui plonge.

La lettre de Matignon

«Avant de proposer au président de la République une composition de gouvernement, je veux vous rencontrer pour vous éclairer et vous entendre sur les orientations que nous devrons suivre», a écrit le premier ministre dans un courrier adressé aux partis, à l’issue de plusieurs consultations avec chacune des forces politiques. La présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet et son homologue au Sénat, Gérard Larcher, ont également été conviés à cette réunion.

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