Archive pour le Tag 'Lyon'

EELV-Sondage Lyon: le maire contesté par 67 % dans l ‘Opinion

EELV-Sondage Lyon: le maire contesté par 67 % dans l ‘Opinion

Un peu partout où les écolos sont parvenus à arracher la mairie, le phénomène est le même : incompétence, incohérence et provocation avec des positionnements plus proches de l’extrême gauche que de la défense de l’environnement. Force est de constater que les élus écolos sont davantage intéressés par un positionnement gauchiste qu’écologique. La déception est immense et le reflux politique aux prochaines municipales devrait être au moins à la dimension de la conquête des dernières élections. Le maire de Lyon qui a multiplié les prises de position complètement anachroniques est en quelque sorte comme la plupart des écolos ( Sandrine Rousseau illustrant l’anachronisme jusqu’à la caricature) en train de couper la branche sur laquelle il est assis. En effet 67% des Lyonnais se disent insatisfaits de l’action menée par le maire de Lyon et par sa majorité.

Ce qui découle d’un sondage Ipsos* publié ce mercredi par Lyon Mag . 67% des personnes interrogées se disent insatisfaites de «l’action conduite par le maire de Lyon». Seuls 19% de sondés disent être satisfaits et 14% ne se prononcent pas.

S’il apparaît assez logique que les Lyonnais se reconnaissant à droite soient très majoritairement insatisfaits par l’action des écologistes (95% d’insatisfaction chez LR, 81% au RN, 75% chez LREM),
Questionnés sur l’évolution depuis trois ans de la qualité de vie dans leur ville, les Lyonnais estiment majoritairement qu’elle s’est détériorée (67%). La majorité des électeurs de gauche (44%) sont également de cet avis. À droite, 91% des sympathisants LR estiment que la qualité de vie s’est dégradée, 81% des sympathisants RN et 74% de ceux de LREM. Toutefois, 73% des sondés estiment que la qualité de vie à Lyon est bonne et seuls 27% la disent mauvaise.

Globalement, les Lyonnais saluent l’action municipale sur la vie culturelle (65% de satisfaction) et la végétalisation de la ville (61%). Toutefois, sur tous les autres indicateurs testés, leur action est jugée négativement : 75% de mécontents sur la sécurité, 80% sur le stationnement, 78% sur la circulation, 54% sur le développement économique, 59% sur le logement, 66% sur la propreté. Même sur l’action en faveur de l’environnement, 53% des Lyonnais affichent leur désapprobation, quand 42% se disent satisfaits. En tout, 76% des Lyonnais veulent voir l’action municipale changer, dont 37% des électeurs EELV, 67% des électeurs PS et 55% des électeurs LFI, preuve que la majorité écologiste n’a pas encore réussi à convaincre même au sein de sa propre famille politique.

* Sondage réalisé du 9 au 12 janvier sur un échantillon de 1082 habitants de Lyon, constituant un échantillon représentatif de la population lyonnaise âgée de 18 ans et plus.

Sondage Lyon: le maire contesté par 67 % dans l ‘Opinion

Sondage Lyon: le maire Contesté par 67 % dans l ‘Opinion

Le maire de Lyon qui a multiplié les prises de position complètement anachroniques est en quelque sorte comme la plupart des écolos ( Sandrine Rousseau illustrant l’anachronisme jusqu’à la caricature) en train de couper la branche sur laquelle il est assis. En effet 67% des Lyonnais se disent insatisfaits de l’action menée par le maire de Lyon et par sa majorité.

Ce qui découle d’un sondage Ipsos* publié ce mercredi par Lyon Mag . 67% des personnes interrogées se disent insatisfaites de «l’action conduite par le maire de Lyon». Seuls 19% de sondés disent être satisfaits et 14% ne se prononcent pas.

S’il apparaît assez logique que les Lyonnais se reconnaissant à droite soient très majoritairement insatisfaits par l’action des écologistes (95% d’insatisfaction chez LR, 81% au RN, 75% chez LREM),
Questionnés sur l’évolution depuis trois ans de la qualité de vie dans leur ville, les Lyonnais estiment majoritairement qu’elle s’est détériorée (67%). La majorité des électeurs de gauche (44%) sont également de cet avis. À droite, 91% des sympathisants LR estiment que la qualité de vie s’est dégradée, 81% des sympathisants RN et 74% de ceux de LREM. Toutefois, 73% des sondés estiment que la qualité de vie à Lyon est bonne et seuls 27% la disent mauvaise.

Globalement, les Lyonnais saluent l’action municipale sur la vie culturelle (65% de satisfaction) et la végétalisation de la ville (61%). Toutefois, sur tous les autres indicateurs testés, leur action est jugée négativement : 75% de mécontents sur la sécurité, 80% sur le stationnement, 78% sur la circulation, 54% sur le développement économique, 59% sur le logement, 66% sur la propreté. Même sur l’action en faveur de l’environnement, 53% des Lyonnais affichent leur désapprobation, quand 42% se disent satisfaits. En tout, 76% des Lyonnais veulent voir l’action municipale changer, dont 37% des électeurs EELV, 67% des électeurs PS et 55% des électeurs LFI, preuve que la majorité écologiste n’a pas encore réussi à convaincre même au sein de sa propre famille politique.

* Sondage réalisé du 9 au 12 janvier sur un échantillon de 1082 habitants de Lyon, constituant un échantillon représentatif de la population lyonnaise âgée de 18 ans et plus.

Pour une mobilité intermodale, l’exemple de Lyon

Pour une mobilité intermodale, l’exemple de Lyon

Par Folco Gervasutti, Directeur de la Communication, Voi Technology.

( Notons que Lyon a pu réaliser de nombreux progrès en matière de mobilité intermodale en s’appuyant en particulier sur plusieurs centres d’études publics de très haut niveau. En particulier, le laboratoire aménagement économie des transports (Université Lyon II) et l’école nationale des travaux publics (ENTPE).NDLR

De toute part, le sujet divise. Depuis plusieurs années, la transformation des villes entraîne des chantiers conséquents et une refonte totale de la circulation dans des communes qui n’avaient, à l’origine, pas été pensées pour y intégrer une offre de mobilités multiple. Cependant, se détacher considérablement des véhicules thermiques n’apparaît plus aujourd’hui comme une nécessité, mais bel et bien une obligation. En effet, la loi européenne sur le climat impose de réduire d’ici à 2030 d’au moins 55% les émissions au sein de toute l’UE, préconisant notamment le recours aux moyens de micro-mobilités. Cette loi fait également écho à la loi française d’orientation des mobilités.

Le doute plane sur les échéances réelles, comme l’énonçait récemment Thierry Breton. Néanmoins, une chose est sûre : nous entrons dans une nouvelle ère, et la transformation des moyens de locomotions à l’échelle nationale va devoir s’accélérer !

A Lyon, cette réflexion a débuté bien avant que des échéances gouvernementales ne soient fixées, et également bien avant la crise sanitaire qui a accéléré cette mouvance vers des moyens de déplacements décarbonées.

Allier la réflexion et l’innovation
En septembre 2019, Lyon lançait une initiative, alors inédite en France, celle d’interdire l’hypercentre aux voitures entre 11 heures et 20 heures sur quelques dates tests. Depuis, plusieurs expérimentations ont vu le jour, afin d’en tirer les meilleures conclusions et proposer des mesures claires pour la ZFE (zone à faibles émissions) de la ville. Depuis, d’autres initiatives ont vu le jour, avec notamment l’interdiction pour certains véhicules dont les Crit’air 5 et non classés de circuler dans le périmètre ZFE de Lyon, Bron, Vénissieux et Villeurbanne. Concernant les autres mesures, l’intermodalité est privilégiée. En 2020, la ville de Lyon intégrait via l’application L’Assistant de la SNCF, la possibilité de réserver et s’informer sur l’ensemble de l’offre de micro-mobilité disponible, et ce afin d’offrir un panel varié de choix aux utilisateurs pour progressivement se détacher de la voiture individuelle. A cela s’ajoute : le permis de conduire gratuit pour les trottinettes électriques, afin de mieux sensibiliser aux dangers quotidiens dans la mobilité urbaine.

Ce dernier point concentre néanmoins les plus vifs débats. Récemment, Bruno Bernard, président de la Métropole de Lyon, prenait position contre les trottinettes en libre-service arguant qu’elles représentaient un risque en termes de sécurité. Il est vrai que bien nombre d’accidents très graves ont eu lieu dans de nombreuses villes. Il est donc nécessaire de mettre en place des mesures de sécurité pour que l’offre de micro-mobilité ne contribue pas à transformer nos territoires en far-west urbain.

La mobilité, élément essentiel pour une société plus verte
Comme l’a déclaré l’OCDE, les politiques destinées à intégrer la mobilité partagée sont fondamentales pour accélérer le développement de réseaux de transports durables. La micro-mobilité partagée fait partie du réseau de transport public, et son interconnexion avec l’existant rend accessible les déplacements « verts » aux citoyens en réduisant la nécessité de la voiture pour les petits déplacements. Dans la métropole de Lyon, ces mesures œuvrant à inclure davantage de mobilités neutres en carbone semblent contribuer à l’amélioration de la qualité de l’air. En effet, l’Atmo Auvergne-Rhône-Alpes, l’observatoire régional de surveillance de la qualité de l’air, a démontré dans son bilan de la qualité de l’air pour 2021, une nette amélioration au sein de la région Auvergne-Rhône-Alpes depuis une dizaine d’années. Le rapport souligne également qu’il y a eu, dans cette même période, une forte baisse de l’exposition de la population de Lyon et du Rhône aux pics de pollution, conjointement avec une baisse des dépassements réglementaires.

Nul ne peut dire que ces résultats encourageants ne sont le fruit que d’une offre de mobilité décarbonée. Mais elle y contribue, surtout dans des zones urbaines à forte densité, où se concentrent les activités et déplacements. Il ne faut donc plus reculer pour que cela se répercute sur l’ensemble du territoire Français.

Avec aujourd’hui plus de 38 millions de véhicules individuels circulant en France, il y a urgence à transformer la mobilité en France au-delà de la voiture. Cette réflexion débute à l’échelle du quartier : agencer les différentes fonctions des bâtiments, gérer différemment le stationnement, proposer de nouveaux services de mobilité et micro-mobilité et, in fine, libérer de l’espace pour les personnes grâce à ces nouveaux moyens de mobilités douces. Tout cela fait partie des réponses aujourd’hui explorées et mises en place par les communes les plus avancées sur le sujet, dont Lyon.

La coopération de l’ensemble des acteurs est essentielle !
Il est globalement constaté qu’une grande partie des habitants des quartiers se déplacent principalement en marchant, souvent par faute de moyens de transport ou de règles de sécurité bien établies. Les politiques urbaines actuelles tendent vers un objectif essentiel, le développement durable, signifiant la prise en compte des enjeux écologiques, économiques et sociaux dans le développement et la gestion de l’espace urbain. Les collectivités ont pour ambition de devenir l’acteur incontournable de la transition écologique, tout en proposant un cadre de vie agréable à leurs citoyens. En ce sens, l’intermodalité joue un rôle clé, en tant que parfait allié aux transports publics pour offrir des choix multiples aux citoyens. A Lyon, le projet « une Presqu’île à vivre » a pour ambition d’allier les enjeux climatiques au cadre de vie des habitants et travailleurs, en libérant l’espace public pour les usagers. C’est également une forte attente des habitants de Lyon et de sa périphérie, de pouvoir rejoindre plus facilement une station de métro, tram ou bus, en combinant l’offre de micro-mobilités avec les transports en commun, pour permettre plus d’inclusion entre les territoires.

De plus, les collectivités se doivent de fournir des solutions de mobilité permettant de combiner des offres de transports compatibles avec les pratiques des usagers, le tout avec un faible impact environnemental.

La mobilité structure les territoires, permet les échanges sociaux et a un réel impact environnemental. Le développement des nouvelles formes et cultures de mobilité est un enjeu majeur aujourd’hui.

Aujourd’hui, la mobilité se joue à l’échelle des territoires, demain elle devra être nationale ! Encore une fois, Lyon en est un exemple parlant, avec ses 540km de pistes cyclables, pour une superficie de 47,87km2 pour l’ensemble de la ville.

Transport- »GRAND PORT » DE MARSEILLE À LYON : LA GRANDE CONFUSION DE MACRON

Transport- »GRAND PORT » DE MARSEILLE À LYON : LA GRANDE CONFUSION DE MACRON

Macron qui s’exprime sur tout et beaucoup en ce moment sur les transports par exemple quand il annonce la création de RER dans des villes de province veut maintenant un grand pport de Marseille à Lyon. Lyon qui deviendrait alors un grand pôle logistique pour l’ensemble de l’Europe.

Il y a d’abord une grande confusion dans la mesure où il ne s’agit pas d’un port à proprement parler mais du développement de l’hinterland, c’est-à-dire la zone d’influence, du port de Marseille jusqu’à Lyon. Les travaux concerneraient donc surtout les ports de Lyon et de Marseille.

Seconde observation ,les ports étrangers d’Anvers ou de Rotterdam pèsent davantage sur Lyon que Marseille en raison de l’attraction qu’ils exercent sur le commerce international. En outre, Marseille est très concurrencé par les ports italiens et espagnols également plus compétitifs et plus réactifs.

La grande question est donc l’insuffisante attractivité du port de Marseille affecté régulièrement par différents dysfonctionnements.

Ce que veut dire Macron en réalité c’est qu’il faut davantage utiliser la voie d’eau entre Marseille et Lyon pour soulager le trafic du sillon rhodanien.

« Marseille est une porte d’entrée naturelle, par sa position géographique et par la présence de ses industries tournées vers l’avenir. Il faut aussi qu’on fasse, là encore pour des questions de cohérence énergétique et industrielle, ce Grand Port qui aille de Marseille à Lyon », a déclaré Emmanuel Macron à La Provence. Avant d’ajouter que ce Grand Port « remontera le sillon rhodanien pour acheminer les énergies et les marchandises vers la vallée de la chimie, au sud de Lyon, et permettra aussi de connecter l’Allemagne et son cœur de production ». À noter qu’il y a longtemps que l’Allemagne et surtout connecter avec les ports néerlandais, belges et ses propres installations.

Il se pourrait que l’idée de Macron provienne aussi des lobbyistes qui travaillent pour un illusoire canal Rhin-Rhône à grand gabarit.

Alain Bonnafous , un des meilleurs experts transport, avait démontré en 1997 que la rentabilité d’une liaison Rhin-Rhône ne saurait être atteinte, à moins d’user de « gags méthodologiques » comme ceux de certains rapports publiés dans les années 1990. Il a également souligné la lenteur croissante du transport fluvial lorsqu’il pénètre à l’intérieur des terres, du fait de l’augmentation du nombre des écluses. Ainsi, avec le grand gabarit, il y aurait 4,5 jours de navigation entre Marseille et Strasbourg (pour 873 km avec une quarantaine d’écluses à franchir) et 2 jours entre Rotterdam et Strasbourg (pour 737 km et 2 écluses), soit 6,5 jours de bout en bout. Par la mer, on va au moins aussi vite : la liaison maritime entre Marseille et Anvers via Gibraltar prend 6 jours avec des volumes bien plus importants que ne pourrait le faire le mode fluvial modernisé. Mais cet argument ne prend pas en compte les dessertes intra-continentales.

Dans le contexte du Grenelle de l’environnement, un canal se justifie pleinement par ses effets économiques et environnementaux. Mais pour Seine-Nord, Rémy Prud’homme (2006) a démontré la faiblesse des arguments de Voies Navigables de France en termes de bilan carbone. Il a conclu à l’absurdité financière d’un projet estimé à 3,5 milliards d’euros pour les finances publiques.

GRAND PORT » DE MARSEILLE À LYON : LA GRANDE CONFUSION DE MACRON

« GRAND PORT » DE MARSEILLE À LYON : LA GRANDE CONFUSION DE MACRON

Macron qui s’exprime sur tout et beaucoup en ce moment sur les transports par exemple quand il annonce la création de RER dans des villes de province veut maintenant un grand pport de Marseille à Lyon. Lyon qui deviendrait alors un grand pôle logistique pour l’ensemble de l’Europe.

Il y a d’abord une grande confusion dans la mesure où il ne s’agit pas d’un port à proprement parler mais du développement de l’hinterland, c’est-à-dire la zone d’influence, du port de Marseille jusqu’à Lyon. Les travaux concerneraient donc surtout les ports de Lyon et de Marseille.

Seconde observation ,les ports étrangers d’Anvers ou de Rotterdam pèsent davantage sur Lyon que Marseille en raison de l’attraction qu’ils exercent sur le commerce international. En outre, Marseille est très concurrencé par les ports italiens et espagnols également plus compétitifs et plus réactifs.

La grande question est donc l’insuffisante attractivité du port de Marseille affecté régulièrement par différents dysfonctionnements.

Ce que veut dire Macron en réalité c’est qu’il faut davantage utiliser la voie d’eau entre Marseille et Lyon pour soulager le trafic du sillon rhodanien.

« Marseille est une porte d’entrée naturelle, par sa position géographique et par la présence de ses industries tournées vers l’avenir. Il faut aussi qu’on fasse, là encore pour des questions de cohérence énergétique et industrielle, ce Grand Port qui aille de Marseille à Lyon », a déclaré Emmanuel Macron à La Provence. Avant d’ajouter que ce Grand Port « remontera le sillon rhodanien pour acheminer les énergies et les marchandises vers la vallée de la chimie, au sud de Lyon, et permettra aussi de connecter l’Allemagne et son cœur de production ». À noter qu’il y a longtemps que l’Allemagne et surtout connecter avec les ports néerlandais, belges et ses propres installations.

Il se pourrait que l’idée de Macron provienne aussi des lobbyistes qui travaillent pour un illusoire canal Rhin-Rhône à grand gabarit.

Violences dans le football : enfin de vraies sanctions contre Paris FC-et Lyon

Violences dans le football : enfin de vraies sanctions contre Paris FC-et Lyon

 

 

C’est sans doute la première fois que les autorités sportives prennent enfin devraient sanction vis-à-vis des violences inqualifiables dans le football à propos des événements entre le Paris FC et Lyon, La commission de discipline de la Fédération française de football a éliminé les deux clubs de la coupe de France. Il pourrait être exclu définitivement à l’avenir.

Le Paris FC a par ailleurs écopé de cinq matches de suspension de terrain (Stade Charléty) et de 10.000 euros d’amende. L’Olympique Lyonnais, lui, s’est vu signifier la fermeture de son espace visiteur jusqu’à la fin de la saison en Ligue 1 et se retrouve sous la menace d’une exclusion de la Coupe de France à partir de la saison 2022-2023 en cas de récidive.

Il serait sans doute temps que le bouillonnant président du club de Lyon se taise un peu pour ne pas ajouter à l’ambiance délétère. De ce point de vue, il pourrait prendre exemple sur les présidents de clubs anglais qui laissent seulement aux entraîneurs et managers le soin de s’exprimer. Le président Aulas lui ne manque pas une occasion de critiquer un jour les arbitres, un autre ses adversaires et même ses entraîneurs ! De quoi légitimer les réactions violentes des supporters les plus abrutis. La recommandation vaut aussi pour d’autres présidents. On pourrait sans doute dans le football s’inspirer un peu plus du fair-play qui caractérise d’autres sports notamment le rugby où le respect de l’adversaire e des arbitres est tout à fait exemplaire.

Foot -D1 féminine : Paris va sans doute détrôner Lyon

Foot -D1 féminine : Paris va sans doute détrôner Lyon

le PSG enfin vers le premier titre de champion de France de son histoire. Les Parisiennes ont fait un grand pas vers le sacre en obtenant le match nul sur la pelouse de l’Olympique Lyonnais dimanche 30 mai au Groupama Stadium (0-0). Le PSG peut mettre fin à une série de 14 titres consécutifs de Lyon s’il s’impose contre Dijon vendredi prochain, lors de la dernière journée de championnat.Une occasion supplémentaire pour le grincheux président Aulas de Lyon d’accuser les arbitres, les joueurs et l’entraîneur.

Lyon: peine symbolique pour les organisateurs d’une fête sauvage

Lyon: peine symbolique pour les organisateurs d’une fête sauvage

 

Les deux frères qui avaient organisé un rassemblement musical de 300 personnes environ à Lyon ont été sanctionnés avec une peine symbolique avec du sursis et 300 € d’amende. La faiblesse de la peine peut s’expliquer par le fait d’abord que scientifiquement il n’est pas du tout démontrer que les groupements de plein air soient susceptibles de créer des clusters. Il y a cependant infraction aux consignes restrictives de protection contre le virus. Il a aussi été pris en compte que la jeunesse souffre particulièrement des conséquences du confinement. Finalement une punition très symbolique.

Lyon: la viande de retour dans les menus des écolos !

Lyon: la viande de retour dans les menus des écolos !

 

Les élus d’Europe écologie les Verts ont sans doute commis une erreur supplémentaire en voulant imposer à Lyon une idéologie végétarienne de manière brutale est en contradiction avec les besoins nutritionnels actuels. La brutale décision des élus écolos de Lyon qui voulait imposer des menus sans viande a fait long feu après les nombreuses protestations non seulement d’associations, d’organisation mais aussi de nutritionnistes. Du coup, la mairie de Lyon a changé complètement son fusil d’épaule et justifie son changement d’orientation en s’appuyant sur la crise sanitaire qui en fait avoir grand-chose à voir dans l’affaire : «Nous n’avons encore aucune visibilité sur ce que sera le protocole sanitaire à la rentrée», a souligné l’adjointe à l’Éducation, Stéphanie Léger, lors d’une visioconférence de presse. «Mais cette fois, nous avons eu le temps de travailler à une proposition de plat chaud avec viande qui sera faite de façon régulière, tous les cinq repas en moyenne», a ajouté l’élue.

 

La mairie avait considéré qu’un menu unique sans viande, mais incluant œufs ou poisson, était «le moins excluant» pour les élèves compte tenu de leurs habitudes alimentaires, gustatives ou religieuses qui conduisent déjà la moitié d’entre eux, en temps normal, à écarter la viande. Cette mesure avait été complétée par un allongement de la pause méridienne et le recours à d’autres lieux de restauration comme les gymnases.

L’opposition locale, relayée par des membres du gouvernement, avait cependant accusé l’exécutif écologiste de vouloir imposer une «idéologie» végétarienne.

 

«La morale de cette histoire est qu’il est bien possible de servir des produits carnés aux

à noter au plan du gouvernement la position surréaliste de Barbara Pompili, la ministre de la Transition écologique qui avait notamment qualifié le supposé déséquilibre nutritionnel d’un repas sans viande de «débat préhistorique» objet de «clichés éculés» .

Des bancs publics « genrés » à Lyon

  • Des bancs publics « genrés »  à Lyon
    • Après l’interdiction des crèches, des sapins de Noël, les critiques sur le tour de France le fantaisiste et gauchiste maire de Lyon met en place un budget dit genré. Cela concerne y compris des bancs publics qui seront adaptés aux femmes. Sans parler des espaces sportifs notamment de foot qui pourraient être réservés aux femmes à certains moments allant alors à l’encontre de tout concept de mixité. Une décision d’autant plus curieuse que le football féminin à Lyon jouit d’une exceptionnelle considération puisqu’il domine le football européen depuis des années. Bref une accumulation de mesures destinées surtout à montrer l’originalité des écolos bobos qui proposent par exemple aussi des potagers et des vergers en pleine ville !
    • La plupart n’ont évidemment aucune notion de l’agriculture ou du jardinage et n’entretiennent que des liens ésotériques avec le milieu rural quand ils sont dans leur maison de campagne.

«Quelle vague verte?» ( Marc Grivel, métropole de Lyon)

 «Quelle vague verte?» ( Marc Grivel, métropole de Lyon)

Marc Grivel considère dans l’Opinion que la victoire des écolos est une illusion d’optique.

Les élections municipales et métropolitaines de 2020 ont conduit, selon de nombreux commentateurs, à une « vague verte historique » avec la victoire de listes écologistes ou à forte dominante écologiste, notamment sur la métropole de Lyon. C’est pourtant une illusion d’optique : la réalité politique profonde de nos territoires est plus nuancée. Nous pouvons et devons aujourd’hui tirer quelques enseignements de ces élections.

La « vague verte » engloutie par le raz-de-marée de l’abstention

Le contexte sanitaire, social et politique, l’incertitude chronique sur la tenue du second tour des élections dans un entre-deux tours dilué dans le confinement, tout autant que la profonde crise de confiance entre les citoyens et le monde politique déjà existante ont conduit à un « raz-de-marée » de l’abstention, alors que, jusqu’ici, les élections municipales résistaient et constituaient le rempart de la démocratie de proximité.

Dans l’agglomération de Lyon, l’illisibilité des élections métropolitaines, la méconnaissance des enjeux, d’incompréhensibles alliances de second tour et l’absence de double scrutin dans près de deux tiers des communes (dont les conseils municipaux avaient été élus dès le 1er tour), ont encore accentué ce phénomène de désintérêt et de défiance.

Des résultats révélateurs d’une fracture territoriale qui s’approfondit

Au-delà même de la situation inédite dans lequel s’est inscrit ce scrutin, on constate que les résultats électoraux sont bien plus contrastés que la lecture simpliste qu’en ont donnée beaucoup de médias : la « poussée verte » est issue des centres urbains développés alors que, traduisant une vraie biodiversité électorale, la situation est bien différente dans les territoires périphériques et, au-delà, dans les territoires ruraux.

Il suffit d’observer les résultats des élections sénatoriales qui découlent de ces élections locales : la majorité de la droite et du centre droit en sort élargie, il n’y a pas eu de déferlante d’élus verts dans la Chambre haute.

Ces élections locales sont en réalité révélatrices de l’accentuation de la fracture territoriale avec un creusement des disparités démographiques et socio-économiques entre les grandes villes et les territoires périurbains ainsi que les villes moyennes et les territoires ruraux.

Un vote écolo conjoncturel porté par un changement structurel de génération

Dans les centres urbains et dans ce contexte d’abstention, le vote militant soutenant les listes écologistes, ainsi que le vote sur la seule préoccupation environnementale (sociétale, transversale, dont personne n’est propriétaire), ont pesé lourd. Il faut dire que l’inertie du monde politique, sur au moins trois décennies, a donné progressivement le sentiment aux Français que les problèmes écologiques n’étaient pas pris à bras-le-corps.

Nos concitoyens, notamment les plus jeunes, veulent que les choses aillent plus loin, plus vite et pensent – souvent à juste titre – qu’il est urgent d’agir. La « vague » électorale écolo, conjoncturelle par définition, révèle « en grand » l’arrivée sur la scène politique d’une génération nouvelle, qui vient amplifier le dégagisme amorcé en 2017. Elle va durablement imprimer sa marque dans la politique française et, en conséquence, la nature et le sens de nos engagements politiques individuels et collectifs.

Pour autant, la base politique n’est pas solide, le béton est encore frais. Ces élections confirment l’affaiblissement des partis de la gauche de gouvernement traditionnelle qui a permis à EELV, en bien des endroits, de préempter la position de clef de voûte de listes de gauche plurielle portées par ce changement générationnel fédérant des électeurs plus jeunes, plus militants, plus mobilisables.

Une métropole fragilisée par des dysfonctionnements programmés

Sur la métropole de Lyon, le nouveau mode de scrutin sur la base de 14 circonscriptions (dont le découpage pose encore question), avec son système de prime majoritaire, a en outre bénéficié à plein à EELV. Les résultats auraient été bien différents si le mode électoral était moins impropre à représenter la réalité politique des 59 communes.

Le conseil métropolitain issu de ces élections, et sa majorité, ne sont plus à l’image des territoires et de leurs habitants. Comment pourrait-il en être autrement quand 35 maires sur 59 n’en sont pas membres ?

Un phénomène subséquent a provoqué le déracinement préoccupant du conseil de la métropole : les associations ont remplacé les communes. À la faveur des élections de 2020 sont en effet entrés en masse dans l’hémicycle des militants associatifs, présents en force sur les listes écologistes, qui défendaient jusqu’ici des intérêts sectoriels, aussi louables et indispensables soient-ils. Or on ne gère pas une collectivité territoriale comme une communauté d’associations !

La légitimité d’un maire et celle d’un président d’association sont loin d’être les mêmes pour les citoyens. Alors qu’une association gère une cause, un intérêt spécifique, un maire doit gérer de nombreuses causes et intérêts de toute nature, pour des habitants très divers, et son arbitrage politique au quotidien se nomme l’intérêt général.

Espérons que la majorité métropolitaine saura s’ancrer dans la réalité et la diversité territoriales de la métropole et en tirer des décisions pragmatiques concertées. Dans le cas contraire, ce basculement de la métropole des communes vers les associations va conduire, amplifié par des arbitrages verticaux s’exonérant de réelles concertations, à des dysfonctionnements institutionnels majeurs préjudiciables aux orientations des politiques publiques et aux investissements. Au regard des enjeux pour la deuxième métropole de France et son 1,4 million d’habitants, les six ans à venir sont donc interrogés. Ils ne peuvent pas et ne doivent pas être six ans perdus.

Marc Grivel est conseiller de la métropole de Lyon, président du groupe Synergies métropole, maire de Saint-Cyr-au-Mont-d’Or de 2008 à 2020 et 1er vice-président de la Métropole de Lyon de 2017 à 2020.

« Je vais lui couper la tête»: un lycéen à un professeur d’un lycée près de Lyon

« Je vais lui couper la tête»: un lycéen à un professeur d’un lycée près de Lyon

Encore une menace, une décision de justice, finalement un jugement complètement insignifiant. En effet, l’auteur est seulement mis en liberté surveillée. Pas vraiment de quoi décourager les candidats à l’insulte voire pire.

Lundi vers 17h30, cet élève de seconde au lycée professionnel André Cuzin avait été placé en garde à vue après avoir lancé devant un professeur: «Je vais lui couper la tête», selon une source policière. Face au proviseur, il avait tenté de minimiser ses propos en assurant qu’il avait simplement dit: «Il veut se faire couper la tête». Mais le lycéen a ensuite reconnu les faits en garde à vue avant d’être présenté devant le juge des enfants, a ajouté la même source.

Mis en examen pour «menace de mort à l’encontre d’une personne chargée d’une mission de service public», le jeune garçon a été placé sous «liberté surveillée», une mesure pénale à visée éducative et préventive, a précisé le parquet.

Terrorisme à Lyon : Un prêtre blessé

Terrorisme à Lyon : Un prêtre blessé

C’est le quatrième attentat en quelques jours et le second contre la communauté chrétienne cette fois il s’agit d’un prêtre orthodoxe de Lyon qui a été blessé par balle. L’auteur est actuellement en fuite

Le ministère de l’Intérieur a fait état d’une intervention des forces de sécurité dans le 7ème arrondissement de Lyon, en appelant la population à éviter le secteur Jean-Macé, où un périmètre de sécurité a été installé.

Le ministère de l’Intérieur a activé une cellule de crise, a annoncé le Premier ministre, Jean Castex, en déplacement samedi à Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine Maritime), où un prêtre catholique avait été assassiné dans son église en 2016.

Annonçant qu’il rentrait en urgence à Paris, Jean Castex a affirmé “l’entière détermination du gouvernement et de la République pour permettre à tous et à chacun de pratiquer son culte en toute sécurité et en toute liberté”.

L’attaque de Lyon intervient deux jours après qu’un Tunisien de 20 ans a tué trois personnes dans la basilique Notre-Dame de l’Assomption de Nice, et deux semaines après l’assassinat, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) par un Russe d’origine tchétchène de 18 ans d’un professeur d’histoire-géographie qui avait fait quelques jours avant un cours sur la liberté d’expression lors duquel il avait montré une caricature de Mahomet.

Un islamiste afghan armé arrêté à Lyon

Un islamiste afghan armé arrêté à Lyon

Un individu connu des services de renseignements et armé d’un couteau a été interpellé ce jeudi matin à Lyon. Repéré aux abords d’une station de tramway dans le 2ème arrondissement de la ville, l’individu brandissait un couteau, vêtu d’une djellaba et d’une veste de treillis. Après plusieurs appels au 17 de la part de riverains, la police est arrivée sur les lieux et arrêté l’individu menaçant, à l’angle de la rue des Remparts d’Ainay et de la rue Victor Hugo selon Le Progrès de Lyon.

Il  s’agit d’un ressortissant afghan né en 1994, connu des services de renseignement pour islamisme radical, et dont l’interpellation a semble-t-il évité une nouvelle tragédie.

Menace de décapitation aussi à Lyon

Menace de décapitation aussi à Lyon 

 

Après Bron, c’est dans le huitième arrondissement de Lyon que sont apparus des appels à la décapitation.

Dans un tweet, le maire de Lyon Grégory Doucet a condamné «fermement ces tags d’une violence inqualifiable» et apporté son «soutien inconditionnel» à l’élu.

Jeudi des inscriptions menaçant d’un tel sort Jérémie Bréaud, le maire LR de Bron, une ville voisine de Lyon, avaient été découvertes en trois lieux différents, conduisant le ministre de l’Intérieur à demander la protection de l’élu.

Ces inscriptions interviennent après la décapitation de Samuel Paty. Cet enseignant de Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines, a été assassiné après avoir fait un cours sur la liberté d’expression, début octobre, où il a montré à ses élèves des caricatures de Mahomet.

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