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Croissance France: industrie en net recul

Croissance France:  industrie en net recul

 

L’indice PMI  est passé de 45,5 en juin à 44,0 en juillet, se maintenant ainsi « sous la barre du 50, sans changement pour un dix-huitième mois consécutif ». Pour rappel, un indice supérieur à 50 témoigne d’une expansion de l’activité. A l’inverse, un chiffre inférieur à ce seuil reflète un tassement.

A l’origine de cette contraction qui s’est « intensifiée » : une forte chute des nouvelles commandes.

« Le volume global des ventes des fabricants a en effet affiché sa plus forte baisse depuis six mois, près d’un tiers des répondants ayant fait état d’un affaiblissement de la demande par rapport au mois de juin. Les nouvelles commandes à l’export ont également diminué en juillet », est-il détaillé.

Les fabricants français font notamment face à une hausse des prix de leurs achats, « l’inflation s’étant accélérée par rapport à juin pour afficher son plus haut niveau depuis un an et demi », précise l’enquête.

Par ailleurs, la confiance des entreprises reste morose. Elle s’est ainsi repliée pour le deuxième mois consécutif, signe que les perspectives d’activité se sont dégradées, note l’enquête. « Les industriels français se sentent moins optimistes quant à l’avenir (…) Ils ont cité la baisse des commandes du secteur de la construction et la diminution du nombre de clients comme motifs de leur pessimisme. En conséquence, la situation de l’emploi s’est détériorée, les industriels se préparant à des temps plus difficiles à venir », ajoute l’économiste.

Il n’y a pas qu’en France où l’activité du secteur privé se contracte. Au sein de la zone euro, où l’économie reste plombée par la mauvaise santé du secteur industriel, l’indice PMI pour l’industrie manufacturière s’est établi à 42,7 (contre 43,4 en juin), au plus bas depuis plus de trois ans.

De même, l’activité du secteur privé a fortement reculé au mois de juillet, indique l’indice Flash publié le 24 juillet par S&P Global qui s’est replié à 48,9.

Le secteur des services a lui aussi connu un net ralentissement de l’activité (à 51,1 contre 52 en juin), au plus bas depuis six mois.

 

France- Croissance industrie manufacturière : net recul

France- Croissance industrie manufacturière : net recul

 

L’indice PMI  est passé de 45,5 en juin à 44,0 en juillet, se maintenant ainsi « sous la barre du 50, sans changement pour un dix-huitième mois consécutif ». Pour rappel, un indice supérieur à 50 témoigne d’une expansion de l’activité. A l’inverse, un chiffre inférieur à ce seuil reflète un tassement.

A l’origine de cette contraction qui s’est « intensifiée » : une forte chute des nouvelles commandes.

« Le volume global des ventes des fabricants a en effet affiché sa plus forte baisse depuis six mois, près d’un tiers des répondants ayant fait état d’un affaiblissement de la demande par rapport au mois de juin. Les nouvelles commandes à l’export ont également diminué en juillet », est-il détaillé.

Les fabricants français font notamment face à une hausse des prix de leurs achats, « l’inflation s’étant accélérée par rapport à juin pour afficher son plus haut niveau depuis un an et demi », précise l’enquête.

Par ailleurs, la confiance des entreprises reste morose. Elle s’est ainsi repliée pour le deuxième mois consécutif, signe que les perspectives d’activité se sont dégradées, note l’enquête. « Les industriels français se sentent moins optimistes quant à l’avenir (…) Ils ont cité la baisse des commandes du secteur de la construction et la diminution du nombre de clients comme motifs de leur pessimisme. En conséquence, la situation de l’emploi s’est détériorée, les industriels se préparant à des temps plus difficiles à venir », ajoute l’économiste.

Il n’y a pas qu’en France où l’activité du secteur privé se contracte. Au sein de la zone euro, où l’économie reste plombée par la mauvaise santé du secteur industriel, l’indice PMI pour l’industrie manufacturière s’est établi à 42,7 (contre 43,4 en juin), au plus bas depuis plus de trois ans.

De même, l’activité du secteur privé a fortement reculé au mois de juillet, indique l’indice Flash publié le 24 juillet par S&P Global qui s’est replié à 48,9.

Le secteur des services a lui aussi connu un net ralentissement de l’activité (à 51,1 contre 52 en juin), au plus bas depuis six mois.

 

RN: net recul au second tour ?

RN: net recul au second tour  ?

 
Au lendemain du premier tour, les organismes de sondage prévoyaient une énorme vague de députés possibles de 250 à 300 pour le RN. Soit la perspective de majorité absolue qui exige 289 élus. Depuis les désistements opérés avant le second tour, les pronostics pour le RN sont beaucoup plus décevants avec seulement 170 à 210 sièges.

 

Une vraie dégringolade même si  le RN risque de devenir le premier parti de France. Et encore rien n’est certain à la matière avec la remontée de la gauche.  En cause comme déjà indiqué le jeu des alliances et des désistements sans parler des particularités locales et de la personnalité des candidats. Nombre de candidats du RN sont en effet inconnus et sans expérience politique. On a aussi oublié la nature du vote en France avec un système majoritaire  à deux tours : au premier tour on vote pour un camp, au second tour on procède surtout à l’élimination de ceux qu’on ne souhaite pas au pouvoir.

Le  président du Rassemblement national (RN) conteste cependant  les prévisions des organismes de sondage comme celle celle de l’Ifop-Fiducial pour Le Figaro donnant, ce vendredi, entre 170 et 210 sièges au RN.

Législatives : net recul du RN au deuxième tour ?

Législatives : net recul du RN au deuxième tour ?
Au lendemain du premier tour, les organismes de sondage prévoyaient une énorme vague de députés possibles de 250 à 300 pour le RN. Soit la perspective de majorité absolue qui exige 289 élus. Depuis les désistements opérés avant le second tour, les pronostics pour le RN sont beaucoup plus décevants avec seulement 170 à 210 sièges.

 

Une vraie dégringolade même si  le RN risque de devenir le premier parti de France. Et encore rien n’est certain à la matière avec la remontée de la gauche.  En cause comme déjà indiqué le jeu des alliances et des désistements sans parler des particularités locales et de la personnalité des candidats. Nombre de candidats du RN sont en effet inconnus et sans expérience politique. On a aussi oublié la nature du vote en France avec un système majoritaire  à deux tours : au premier tour on vote pour un camp, au second tour on procède surtout à l’élimination de ceux qu’on ne souhaite pas au pouvoir.

Le  président du Rassemblement national (RN) conteste cependant  les prévisions des organismes de sondage comme celle celle de l’Ifop-Fiducial pour Le Figaro donnant, ce vendredi, entre 170 et 210 sièges au RN.

Economie- Etats-Unis : Net tassement de la croissance

Economie- Etats-Unis : Net tassement de la croissance

Selon la troisième estimation du département du Commerce, publiée ce jeudi, la croissance du PIB des États-Unis au premier trimestre 2024 a été révisée légèrement en hausse à 1,4% en rythme annualisé, contre +1,3% estimé précédemment. Une révision finale conforme aux prévisions des analystes. Elle confirme le net ralentissement de l’activité par rapport à la croissance de 3,4% enregistrée au 4e trimestre 2023.

A noter, les États-Unis publient leur croissance en rythme annualisé, qui compare le PIB à celui du trimestre précédent, puis projette l’évolution sur l’année entière à ce rythme. La somme des biens et services produits et échangés aux États-Unis atteint 28.269 milliards de dollars en rythme annualisé au premier trimestre.

De janvier à mars, les dépenses de consommation, moteur de la croissance, ont marqué le pas en ne progressant plus que de 1,5%, contre +3,4% fin 2023 et +2% lors de l’estimation précédente.

Cette décélération de l’activité économique pourrait convaincre la Réserve fédérale américaine de baisser ses taux directeurs prochainement. Pour rappel, lors de sa réunion du 13 juin, la banque centrale américaine (Fed) a laissé son principal taux directeur dans la fourchette de 5,25% à 5,50% dans laquelle il se trouve depuis juillet dernier, son plus haut niveau depuis plus de 20 ans.

Mais pour l’instant, l’institution monétaire est mitigée sur la dynamique des prix : elle voit l’indice d’inflation PCE finir l’année à +2,6% (en hausse par rapport aux +2,4% de ses dernières prévisions, publiées en mars), puis à +2,3% en 2025 (contre +2,2% auparavant prévus).

 

Etats-Unis : Net tassement de la croissance

Etats-Unis : Net tassement de la croissance

Selon la troisième estimation du département du Commerce, publiée ce jeudi, la croissance du PIB des États-Unis au premier trimestre 2024 a été révisée légèrement en hausse à 1,4% en rythme annualisé, contre +1,3% estimé précédemment. Une révision finale conforme aux prévisions des analystes. Elle confirme le net ralentissement de l’activité par rapport à la croissance de 3,4% enregistrée au 4e trimestre 2023.

A noter, les États-Unis publient leur croissance en rythme annualisé, qui compare le PIB à celui du trimestre précédent, puis projette l’évolution sur l’année entière à ce rythme. La somme des biens et services produits et échangés aux États-Unis atteint 28.269 milliards de dollars en rythme annualisé au premier trimestre.

De janvier à mars, les dépenses de consommation, moteur de la croissance, ont marqué le pas en ne progressant plus que de 1,5%, contre +3,4% fin 2023 et +2% lors de l’estimation précédente.

Cette décélération de l’activité économique pourrait convaincre la Réserve fédérale américaine de baisser ses taux directeurs prochainement. Pour rappel, lors de sa réunion du 13 juin, la banque centrale américaine (Fed) a laissé son principal taux directeur dans la fourchette de 5,25% à 5,50% dans laquelle il se trouve depuis juillet dernier, son plus haut niveau depuis plus de 20 ans.

Mais pour l’instant, l’institution monétaire est mitigée sur la dynamique des prix : elle voit l’indice d’inflation PCE finir l’année à +2,6% (en hausse par rapport aux +2,4% de ses dernières prévisions, publiées en mars), puis à +2,3% en 2025 (contre +2,2% auparavant prévus).

 

Le net tassement de la croissance en Chine concerne aussi la France

Le net tassement de la  croissance en Chine concerne aussi la France 

L’Allemagne est à la fois le premier client et fournisseur de la France. En 2022, l’Allemagne représente 13,8 % des exportations françaises (devant l’Italie, à 9,3 %) et 12,0 % des importations françaises (devant la Chine, à 10,1 %). L’Allemagne est également le premier moteur économique de l’ensemble de l’union économique. Pour L’Allemagne l’institut de statistiques français chiffre l’impact du ralentissement chinois entre 0,2% et 0,4% de PIB. Il faut dire que l’Allemagne a pendant très longtemps exporté principalement des biens manufacturés vers la Chine (60% des importations chinoises), notamment des voitures thermiques. 

Sur le total des importations chinoises, la part des biens s’est effondrée pour atteindre un point bas en 2022 à 51%. L’entrée de la Chine dans l’OMC depuis les années 2000 a complètement bouleversé le modèle capitaliste chinois en quelques années.

La baisse de croissance de la Chine a forcément des conséquences moindres mais cependant important sur la France. Le trou d’air( croissance zéro au premier trimestre) provient en effet en France de la stagnation voire du recul de la consommation, de la baisse des investissements mais aussi du tassement des exportations.

Économie mondiale : net tassement

Économie mondiale : net tassement

Il est clair que la tendance baissière de l’activité mondiale se confirme en cette fin d’année et va se prolonger en 2024. Beaucoup de pays pourraient tutoyer la stagnation voire la régression notamment en Europe. L’OCDE se veut optimiste en prévoyant un atterrissage en douceur mais, prudente, elle indique aussi que cette perspective n’est pas garantie. On ne peut non plus exclure une récession prévient-elle. Les questions de niveau d’intérêt, d’inflation, d’endettement, d’énergie voire d’environnement géopolitique risquent de peser sur l’inévitable tendance au ralentissement économique.

L’économie mondiale va marquer un léger ralentissement l’an prochain, d’après les dernières prévisions économiques de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) publiées mercredi 29 novembre. L’organisation internationale prévoit que le produit intérieur brut (PIB) mondial progresse de 2,7 % en 2024 après une hausse anticipée à 2,9 % cette année. L’économie mondiale marquera ensuite un rebond en 2025, avec une prévision de croissance de 3,0 %.

« Nous prévoyons un atterrissage en douceur pour les économies avancées, mais cette issue est loin d’être garantie », écrit Clare Lombardelli, cheffe économiste de l’OCDE, sur le site de l’organisation. « La relation entre l’inflation, l’activité et les marchés du travail a changé, si bien qu’il est difficile d’évaluer pleinement l’impact du resserrement des politiques monétaires », poursuit-elle. L’OCDE note que le risque d’une récession n’est pas écarté, citant la faiblesse des marchés immobiliers, les prix élevés du pétrole et des emprunts atones.

L’économie américaine est plus solide qu’anticipé ( Notons quand même qu’elle a ralenti ces dernières semaines NDLR). Précédemment attendue à 2,2 % cette année, la croissance des Etats-Unis a été revue à la hausse, à 2,4 %, avant un ralentissement en 2024 moins important qu’anticipé auparavant (croissance de 1,5 % contre une précédente prévision de 1,3 %).

L’économie chinoise devrait elle aussi marquer un ralentissement, alors qu’elle fait face à une crise du secteur immobilier et que les consommateurs se montrent plus prudents dans un contexte d’incertitude croissante pour l’avenir. Dans ses prévisions, l’OCDE voit la deuxième économie mondiale croître de 4,7 % l’an prochain après 5,2 % cette année – des pourcentages légèrement supérieurs à ceux communiqués en septembre – et ralentir davantage en 2025, avec une croissance de 4,2 %.

Pour zone euro, l’économie devrait rebondir en 2024, avec une croissance attendue à 0,9 % contre une prévision de 0,6 % cette année, et continuer d’accélérer en 2025 avec une croissance de 1,1 %, dans le sillage de l’Allemagne, qui se relève d’une récession. Toutefois, l’OCDE a prévenu que, du fait du niveau élevé des financements bancaires, le plein impact de la hausse des coûts d’emprunts restait incertain et pourrait peser davantage qu’anticipé sur la croissance.

Les prévisions de croissance pour la France ont été revues à la baisse, avec une économie qui devrait ralentir l’an prochain avant de rebondir en 2025. L’OCDE anticipe une croissance de 0,8 % en 2024, contre 0,9 % cette année, puis de 1,2 % en 2025. Au Japon, seule économie majeure où les taux d’intérêt n’ont pas encore été relevés, la croissance est attendue à 1,7 % en 2023, avant de ralentir à 1,0 % l’an prochain puis de rebondir à 1,2 % en 2025.

Inflation : net tassement aux États-Unis

Inflation : net tassement aux États-Unis

L’inflation s’est élevée à 3% ( 4.5% pour la France) sur un an en juin, contre 4% le mois précédent. Elle a ainsi atteint, encore une fois, un plus bas depuis mars 2021.

+3% en juin, contre +4% en mai, selon l’indice CPI, publié ce mercredi 12 juillet par le département du Travail. Sur un mois seulement, la hausse des prix à la consommation est de 0,2%, contre 0,1% en mai. Sur un an l’inflation est conforme aux attentes, mais sur un mois, le rythme est moins élevé que celui anticipé par les analystes, qui tablaient sur une hausse de 0,3% des prix, selon le consensus publié par briefing.com.
Ce ralentissement de l’inflation aux États-Unis est largement dû à la forte baisse du prix de l’énergie. Celui-ci reculé de 16,7% sur un an, et même de 26,5% pour les prix à la pompe. L’alimentation reste en revanche à un niveau assez important (+5,7% sur un an). Les prix sont globalement toutefois stables ces derniers mois (+0,1% en juin).

Si le niveau d’inflation outre-Atlantique baisse, il reste encore au-dessus des 2% ciblés par la Banque centrale américaine (Fed). Pour tenter de la calmer, l’institution s’est lancée dans une politique de resserrement monétaire en relavant ses taux, qui s’établissent désormais dans une fourchette comprise entre 5% et 5,25%.

Salaires- Social : Pour un SMIC à 1500 € nets

salaires- Social : Pour un SMIC à 1500 € nets

Le SMIC est toujours nettement en retard sur l’inflation. C’est vrai aussi pour l’ensemble des salaires qui en moyenne sur deux ans ont perdu 5 % par rapport à l’inflation ( L’augmentation moyenne des salaires aura été de 7 à 8 % sur deux ans quand l’inflation aura dépassé 12 %). Pour compenser cette différence ,il conviendrait d’augmenter le SMIC et de le passer à 1500 € nets au lieu de 1383 € actuellement pour 35 heures hebdomadaires. Au 1er mai 2023, le Smic a atteint 1 747,20 euros bruts par mois, soit 1 383,08 euros nets pour 35 heures hebdomadaires. Il s’agit d’une hausse de 2,22 %, comme le précise un arrêté paru au Journal officiel le 27 avril 2023.

Chaque année, le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) fait l’objet d’une revalorisation annuelle par décret au 1er janvier, qui tient compte de l’évolution de l’inflation constatée pour les 20 % de ménages ayant les plus faibles revenus. Par ailleurs, chaque hausse d’au moins 2 % de l’indice des prix à la consommation est automatiquement suivie d’un relèvement du Smic dans les mêmes proportions.

En mai 2023, il est rehaussé mécaniquement de 2,22 %, pour atteindre 1 383,08 € nets. Cela représente un gain mensuel de 30 € pour l’ensemble des salariés concernés. Le montant brut passe à 1 747,20 €. C’est ce que précise un arrêté du 26 avril 2023 portant relèvement du salaire minimum de croissance, publié au Journal officiel du 27 avril 2023.

Au 1er janvier 2023, le Smic avait augmenté de 1,81 % en application de la revalorisation légale annuelle. Depuis le 1er janvier, il s’établissait à 1 709,28 € bruts mensuels, soit 1 353,07 € nets (montant horaire brut de 11,27 €).

Les nouveaux montants à partir de mai 2023 :

Smic net au 1er mai 2023 : 1 383,08 €
Smic brut au 1er mai 2023 : 1 747,20 €
Smic horaire net au 1er mai 2023 : 9,11 €
Smic horaire brut au 1er mai 2023 : 11,52 €

Social : Pour un SMIC à 1500 € net

Social : Pour un SMIC à 1500 € net

Le SMIC est toujours nettement en retard sur l’inflation. C’est vrai aussi pour l’ensemble des salaires qui en moyenne sur deux ans ont perdu 5 % par rapport à l’inflation ( L’augmentation moyenne des salaires aura été de 7 à 8 % sur deux ans quand l’inflation aura dépassé 12 %). Pour compenser cette différence ,il conviendrait d’augmenter le SMIC et de le passer à 1500 € nets au lieu de 1383 € actuellement pour 35 heures hebdomadaires. Au 1er mai 2023, le Smic a atteint 1 747,20 euros bruts par mois, soit 1 383,08 euros nets pour 35 heures hebdomadaires. Il s’agit d’une hausse de 2,22 %, comme le précise un arrêté paru au Journal officiel le 27 avril 2023.

Chaque année, le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) fait l’objet d’une revalorisation annuelle par décret au 1er janvier, qui tient compte de l’évolution de l’inflation constatée pour les 20 % de ménages ayant les plus faibles revenus. Par ailleurs, chaque hausse d’au moins 2 % de l’indice des prix à la consommation est automatiquement suivie d’un relèvement du Smic dans les mêmes proportions.

En mai 2023, il est rehaussé mécaniquement de 2,22 %, pour atteindre 1 383,08 € nets. Cela représente un gain mensuel de 30 € pour l’ensemble des salariés concernés. Le montant brut passe à 1 747,20 €. C’est ce que précise un arrêté du 26 avril 2023 portant relèvement du salaire minimum de croissance, publié au Journal officiel du 27 avril 2023.

Au 1er janvier 2023, le Smic avait augmenté de 1,81 % en application de la revalorisation légale annuelle. Depuis le 1er janvier, il s’établissait à 1 709,28 € bruts mensuels, soit 1 353,07 € nets (montant horaire brut de 11,27 €).

Les nouveaux montants à partir de mai 2023 :

Smic net au 1er mai 2023 : 1 383,08 €
Smic brut au 1er mai 2023 : 1 747,20 €
Smic horaire net au 1er mai 2023 : 9,11 €
Smic horaire brut au 1er mai 2023 : 11,52 €

Pour un SMIC à 1500 € net

Pour un SMIC à 1500 € net

Le SMIC est toujours nettement en retard sur l’inflation. Pour compenser cette différence il conviendrait d’augmenter le SMIC et de le passer à 1500 € nets au lieu de 1383 € actuellement pour 35 heures hebdomadaires. Au 1er mai 2023, le Smic a atteint 1 747,20 euros bruts par mois, soit 1 383,08 euros nets pour 35 heures hebdomadaires. Il s’agit d’une hausse de 2,22 %, comme le précise un arrêté paru au Journal officiel le 27 avril 2023.

Chaque année, le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) fait l’objet d’une revalorisation annuelle par décret au 1er janvier, qui tient compte de l’évolution de l’inflation constatée pour les 20 % de ménages ayant les plus faibles revenus. Par ailleurs, chaque hausse d’au moins 2 % de l’indice des prix à la consommation est automatiquement suivie d’un relèvement du Smic dans les mêmes proportions.

En mai 2023, il est rehaussé mécaniquement de 2,22 %, pour atteindre 1 383,08 € nets. Cela représente un gain mensuel de 30 € pour l’ensemble des salariés concernés. Le montant brut passe à 1 747,20 €. C’est ce que précise un arrêté du 26 avril 2023 portant relèvement du salaire minimum de croissance, publié au Journal officiel du 27 avril 2023.

Au 1er janvier 2023, le Smic avait augmenté de 1,81 % en application de la revalorisation légale annuelle. Depuis le 1er janvier, il s’établissait à 1 709,28 € bruts mensuels, soit 1 353,07 € nets (montant horaire brut de 11,27 €).

Les nouveaux montants à partir de mai 2023 :

Smic net au 1er mai 2023 : 1 383,08 €
Smic brut au 1er mai 2023 : 1 747,20 €
Smic horaire net au 1er mai 2023 : 9,11 €
Smic horaire brut au 1er mai 2023 : 11,52 €

Croissance États-Unis : très net tassement

Croissance États-Unis : très net tassement

Conséquence sans doute de la politique monétaire restrictive de la banque fédérale, la croissance aux États-Unis se tasse très sérieusement pour n’atteindre qu’autour de 1 % sur un an. Une évolution à observer de près notamment par l’union européenne car en général l’Europe suit avec un certain décalage les tendances américaines.

Sur les trois premiers mois de l’année, la croissance du PIB s’est établie à 1,1% en rythme annualisé, selon une première estimation publiée jeudi par le département du Commerce. Cela représente un fort coup de frein comparé aux 2,6% enregistrés sur le trimestre précédent mais également très en deçà des attentes des analystes, qui tablaient plutôt sur une croissance de 2% sur le trimestre, selon le consensus de Briefing.com.

«La croissance du PIB reflète une hausse des dépenses de consommation, des dépenses publiques et des exportations qui viennent compenser la baisse des investissements privés et immobiliers», a détaillé le ministère dans son communiqué, qui souligne également que la croissance subit l’effet d’une hausse des importations. Le déficit commercial s’est en effet creusé sur les deux premiers mois de l’année du fait d’une accélération des importations, notamment en matières premières et produits pharmaceutiques.

Par ailleurs, la consommation des ménages ralentti au fil des mois, reculant même en mars de 1%, alors que la confiance des consommateurs est elle aussi en baisse. Non sans raison: même si l’inflation a ralenti au point d’atteindre en mars 5% sur un an, soit son niveau le plus faible depuis presque deux ans, selon l’indice CPI, elle reste toujours trop élevée et pèse sur le pouvoir d’achat des ménages.

. Les taux d’intérêt au jour le jour sont désormais compris entre 4,75 et 5%, au plus haut depuis 2007, et devraient continuer à être relevés tant que l’inflation n’est pas revenue à 2%, la cible visée par la banque centrale américaine. «Nos données nous laissent à penser que le resserrement monétaire et les récentes tensions dans le système bancaire vont entraîner une légère récession, plus forte cependant que ce que nous avions anticipé jusqu’à présent», a souligné le chef économiste d’Oxford Economics, Ryan Sweet.

C

Commerce international: net tassement de la croissance

Commerce international: net tassement de la croissance

D’après l’OMC, la croissance du commerce international qui avait progressé de 2,7 % en 2022 devrait passer 2023 et atteindre seulement 1,7 %.

« Les effets persistants du Covid-19 ( notamment en Chine) et les tensions géopolitiques croissantes sont les principaux facteurs ayant influé sur le commerce et la production en 2022 et il est probable qu’il en sera toujours ainsi en 2023 », explique l’économiste en chef de l’OMC Ralph Ossa qui appelle également les gouvernements et les organismes de réglementation à être « attentifs à ces risques financiers » soulevées dans le sillage de la faillite de SVB.

En 2024, la croissance du commerce devrait rebondir à 3,2% d’après l’OMC. Une prévision assez hypothétique car cette estimation est « teintée d’une incertitude plus forte que d’habitude », nuance l’organisation basée à Genève. Sa directrice générale met aussi en garde contre les politiques protectionnistes et leurs retombées sur la croissance.

Alimentation: Le bio en net recul, pourquoi ?

Alimentation: Le bio en net recul, pourquoi ?

Il y a plusieurs facteurs explicatifs au recul net du bio. D’abord un facteur conjoncturel avec la baisse parfois dramatique du pouvoir d’achat pour des ménages. En effet, pour les salariés le pouvoir d’achat n’a pour l’instant augmenté qu’à peine de 3 % quand l’inflation est mesurée ( avec parcimonie pour ne pas dire davantage) à 6 % par l’INSEE. Une augmentation des prix beaucoup plus significative pour les produits alimentaires qui approche les 20%.

L’autre facteur explicatif et plus structurel à savoir la prise de conscience du caractère relatif de certains produits bio avec en particulier la jungle des labels et il faut bien le dire du trafic.À noter qu’environ 50 % des produits bio sont importés !

En France, on a commencé à faire le ménage mais les labels sont encore trop confus et dans la réalité il est difficile de distinguer ce qui est réellement bio d’autant que la moitié des produits bio sont importés de l’étranger notamment de l’Espagne qui ,c’est le moins qu’on puisse dire n’a pas tout à fait les mêmes critères de qualité . Dernier élément ,c’est la tendance à substituer éventuellement aux produits des produits locaux y compris chez le producteur. Des produits qui ne s’affichent pas nécessairement comme bio mais des produits qui aussi davantage d’être plus compétitif et plus frais

. Les grandes surfaces fournissent 70 % de leur nourriture aux Français, mais seulement 50 % dans le bio. La vente directe à la ferme et les boutiques d’artisans et de commerçants représentent 18 % des ventes.

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