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Voeux Macron : « J’ai fait une connerie »…. mais il en fera d’autres !

Voeux Macron : « J’ai fait une connerie »…. mais il en fera d’autres !

Des vœux du chef de l’État qui enfin reconnaît quand même l’immense erreur de la dissolution de l’Assemblée nationale de juin dernier et comme pour s’excuser de citer aussi le bordel démocratique qui secoue d’autres pays comme si cela pouvait constituer une excuse . Évidemment, il  lui fallait trouver un nouveau truc. C’est la promesse cette fois de référendums pour trancher sur « certains sujets ». Le seul problème c’est que la nature des sujets en cause n’a pas été précisée et que le seul sujet qui risque d’intéresser les Français c’est de savoir si on veut garder ou non ce chef de l’État immature.

Lors de ses voeux pour l’année 2025, le président Macron a déclaré que la dissolution de l’Assemblée nationale, qu’il a décidée en juin dernier, a apporté « davantage de divisions que de solutions » pour les Français.
Le chef de l’État a reconnu, lors de son allocution télévisée ce mardi 31 décembre, que la France comme l’Europe étaient confrontées à l’instabilité politique, avant d’esquisser une forme de regret sur la dissolution de l’Assemblé nationale décidée le 9 juin dernier.

La vérité c’est que le chef de l’État a perdu toute autorité tant au plan international qu’au plan national. En outre son champ d’action est réduit à l’extrême. Pour preuve, il n’a pas pu désigner le premier ministre qu’il souhaitait et Bayrou a su s’imposer. Une  une victoire toutefois à la Pyrus puisque le fameux socle commun de l’assemblée nationale s’est encore réduit comme peau de chagrin notamment du fait des affrontements entre éventuels futurs candidats à l’élection présidentielle: Attal, Édouard Philippe, Vauquiez , peut être Retailleau et d’autres.

En attendant la France est prise dans une sorte de piège de l’immobilisme et ne dispose pas de beaucoup d’espace de manœuvre au plan financier comme d’une façon générale au plan politique sauf peut-être pour une loi bidon concernant Mayotte . ( La reconstruction de l’ile   en deux ans !).

Macon a dû faire son acte de contrition. Ce qui évidemment dû lui coûtait énormément compte tenu de son égocentrisme pathologique.

« Je dois bien reconnaître que la dissolution à apporté davantage de divisions à l’Assemblée que de solutions pour les Français », a déclaré  Emmanuel Macron depuis le palais de l’Élysée.

Emmanuel Macron a encore expliqué qu’il avait décidé de dissoudre l’Assemblée nationale en juin dernier « pour éviter l’immobilisme qui menaçait ». « La lucidité et l’humilité commandent de reconnaître qu’à cette heure, cette décision a produit plus d’instabilité que de sérénité et j’en prend toute ma part ».

Qu’il lance encore une idée farfelue celle qui consiste encore une fois sollicitée le corps électoral pour de vagues référendums sur de vagues sujets. De quoi ajouter encore un peu plus de bordel au bordel existant surtout compte tenu par ailleurs de l’irresponsabilité de nombre de responsables politiques actuellement qui se comportent comme dans une cour maternelle et n’ont pas mesuré l’ampleur de la crise qui se prépare au plan économique, financier et social.

Voeux Macron : J’ai fait une connerie…. mais j’en ferai d’autres d’autres avec les référendums

Voeux Macron : J’ai fait une connerie…. mais j’en ferai d’autres d’autres avec les référendums

Des vœux du chef de l’État qui enfin reconnaît quand même l’immense erreur de la dissolution de l’Assemblée nationale de juin dernier et comme pour s’excuser de citer aussi le bordel démocratique qui secoue d’autres pays comme si cela pouvait constituer une excuse.

Évidemment, il  lui fallait trouver un nouveau truc. C’est la promesse cette fois de référendums pour trancher sur « certains sujets ». Le seul problème c’est que la nature des sujets en cause n’a pas été précisée et que le seul sujet qui risque d’intéresser les Français c’est de savoir si on veut garder ou non ce chef de l’État immature.

Lors de ses voeux pour l’année 2025, le président Macron a déclaré que la dissolution de l’Assemblée nationale, qu’il a décidée en juin dernier, a apporté « davantage de divisions que de solutions » pour les Français.
Le chef de l’État a reconnu, lors de son allocution télévisée ce mardi 31 décembre, que la France comme l’Europe étaient confrontées à l’instabilité politique, avant d’esquisser une forme de regret sur la dissolution de l’Assemblé nationale décidée le 9 juin dernier.

La vérité c’est que le chef de l’État a perdu toute autorité tant au plan international qu’au plan national. En outre son champ d’action est réduit à l’extrême. Pour preuve, il n’a pas pu désigner le premier ministre qu’il souhaitait et Bayrou a su s’imposer. Une  une victoire toutefois à la Pyrus puisque le fameux socle commun de l’assemblée nationale s’est encore réduit comme peau de chagrin notamment du fait des affrontements entre éventuels futurs candidats à l’élection présidentielle: Attal, Édouard Philippe, Vauquiez , peut être Retailleau et d’autres.

En attendant la France est prise dans une sorte de piège de l’immobilisme et ne dispose pas de beaucoup d’espace de manœuvre au plan financier comme d’une façon générale au plan politique sauf peut-être pour une loi bidon concernant Mayotte . ( La reconstruction de l’ile   en deux ans !).

Macon a dû faire son acte de contrition. Ce qui évidemment dû lui coûtait énormément compte tenu de son égocentrisme pathologique.

« Je dois bien reconnaître que la dissolution à apporté davantage de divisions à l’Assemblée que de solutions pour les Français », a déclaré  Emmanuel Macron depuis le palais de l’Élysée.

Emmanuel Macron a encore expliqué qu’il avait décidé de dissoudre l’Assemblée nationale en juin dernier « pour éviter l’immobilisme qui menaçait ». « La lucidité et l’humilité commandent de reconnaître qu’à cette heure, cette décision a produit plus d’instabilité que de sérénité et j’en prend toute ma part ».

Qu’il lance encore une idée farfelue celle qui consiste encore une fois sollicitée le corps électoral pour de vagues référendums sur de vagues sujets. De quoi ajouter encore un peu plus de bordel au bordel existant surtout compte tenu par ailleurs de l’irresponsabilité de nombre de responsables politiques actuellement qui se comportent comme dans une cour maternelle et n’ont pas mesuré l’ampleur de la crise qui se prépare au plan économique, financier et social.

 

Politique de défense : une armée complète mais minuscule

Politique de défense : une armée complète mais minuscule
L’ancien sénateur et vice-président de la commission des affaires étrangères, défense et forces armées, Jacques Gautier, plaide pour un renforcement et une accélération du rééquipement de l’armée de terre. Les dernières interventions de l’armée français en opérations extérieures et la guerre en Ukraine confirment que pour la grande majorité des combattants, les pertes humaines et les destructions de matériels militaires concernent à plus de 80% les armées de Terre. Par l’ancien sénateur dans « La Tribune ».

Le groupe « Mars » ou encore le spécialiste Alain Bauer dénoncent le caractère miniature de l’armée française. L’exemple des troupes engagées dans le Conflit ukrainien ou au Proche-Orient devrait démontrer l’extrême faiblesse du dispositif de défense français . La France peut à peine aligner 100 000 militaires dans l’infanterie finalement indispensable en dernier ressort. Dans le même temps la Russie mobilise autour de 1 million de personnes et il y a déjà eu six à 800 000 morts ou blessés russes . Par pure démagogie en outre personne ne voit nécessité un jour ou l’autre de rétablir le service militaire tant pour des questions de défense et des questions sociétales. La France n’a même pas été capable de maintenir ses positions au Sahel ! (NDLR)

Après la chute du mur de Berlin et l’effondrement de l’empire soviétique, les Européens ont voulu profiter des « dividendes de la paix » et ont réduit considérablement leurs budgets de défense, limitant leurs armées à l’état embryonnaire. Le retour de la guerre de haute intensité en Europe, la multiplication des conflits et des crises nous obligent à réinvestir fortement dans notre outil militaire. En effet, en dépit des efforts financiers engagés depuis quelques années, les leçons de la guerre en Ukraine montrent que, malgré l’engagement de nos soldats et la technologie de nos équipements, la France serait dans l’incapacité de tenir plus d’une à deux semaines dans ce type de conflit.

Les estimations sont effroyables: les pertes cumulées des armées russes et ukrainiennes dépasseraient les 300.000 soldats tués et plus d’un million de blessés. L’attrition des équipements est impressionnante : plus de 4.000 chars d’assaut hors de combat, autant pour les véhicules blindés et des millions d’obus tirés, des milliers de missiles, roquettes et drones utilisés. Ces chiffres monstrueux, qui concernent très majoritairement les deux armées de terre, nous obligent, dans un temps très court, à faire un effort inégalé pour renforcer et durcir notre défense.
Notre armée de terre ne dispose que de 110.000 militaires et 26.000 réservistes, nos chars, en petit nombre, sont anciens, comme le reste de nos matériels. Les nouveaux équipements, notamment le programme Scorpion, sont en cours de livraison jusqu’en 2035. Ils ont été conçus il y a une douzaine d’années et correspondent surtout aux guerres asymétriques. De plus ces matériels n’existent qu’en nombre très insuffisant et nos missiles, roquettes, drones, obus correspondent à quelques jours d’une guerre de haute intensité.

L’armée de l’air et de l’espace, comme notre Marine nationale ne sont pas mieux loties mais, nos dernières interventions en OPEX et la guerre en Ukraine confirment que, pour la grande majorité des combattants, les pertes humaines et les destructions de matériels militaires concernent à plus de 80% les armées de Terre. Face à ces chiffres, le budget d’investissement qui lui est consacré se limite à 20% du budget total… Cherchez l’erreur !!!!

Les pays européens ne sont pas mieux protégés et beaucoup viennent de lancer des plans ambitieux d’achats et de constructions d’équipements militaires. Mais depuis plus de 30 ans, ils privilégient les équipements américains pour bénéficier de I’« Assurance Vie » de l’OTAN, donc de l’oncle Sam. Au moment où les États-Unis, avec le retour du président Trump, envisagent un certain isolationnisme, ils vont faire payer plus à nos voisins pour leur défense.

La France, compte tenu de son passé et de ses spécificités (dont la dissuasion) a une place particulière et s’appuie sur des industriels de défense compétents et couvrant presque tout le spectre de nos besoins. Quel que soit le nouveau gouvernement et la situation politique, notre pays doit préparer, de toute urgence, une actualisation de sa loi de programmation militaire. Il faut refuser les coupes budgétaires et les reports de crédits que prépare Bercy afin de renforcer les effectifs, de lancer la conception et la production d’équipements correspondants aux guerres de haute intensité.

Il faut s’attaquer aux lourdeurs de la technostructure qui invente au niveau européen et français, des dizaines de normes et caractérisations (y compris environnementales) qui s’appliquent à des équipements de guerre… Le poids de l’administration et de la réglementation ralentissent la conception et la production des matériels (souvent plus d’une dizaine d’années), aggravent les coûts en limitant le nombre et débouchent parfois sur les équipements dépassés lors de leurs admissions opérationnelles !!!

La France doit arrêter de donner des leçons au reste du monde et prendre conscience de ses capacités financières limitées. Elle doit rechercher des partenaires, qui veulent et qui peuvent, travailler avec elle, parfois en coproduction. Cela, si nécessaire, en dehors de l’Europe, avec des pays qui sont nos clients dans le secteur militaire (Inde, Indonésie, EAU, Qatar, Égypte, Arabie saoudite…). Le ministre Sébastien Lecornu, en 2023, n’a pas exclu d’impliquer des pays membres du Club Rafale, pour développer le standard F5 de cet avion omnirole.

Cette démarche et ces partenariats sont à développer, y compris pour les équipements terrestres. L’État doit, bien entendu, réduire, tout à la fois son déficit et son train de vie. Le nouvel exécutif devra faire des choix difficiles sans pénaliser les secteurs essentiels pour nos concitoyens, y compris notre défense nationale.

Retraites: la réforme rediscutée dans un délai de six mois mais sans suspension

Retraites: la réforme rediscutée dans un délai de six mois mais sans suspension

La discussion sur les retraites sera bien reprise et elle sera cadrée dans un délai de six mois. Par contre elle ne sera pas suspendue ne pas donner des éléments d’incertitude supplémentaire aux institutions financières susceptibles de punir encore davantage la France à travers les taux d’intérêt par exemple.

François Bayrou a dit lundi refuser de suspendre ou de geler la réforme des retraites de 2023, comme le demande la gauche, après avoir proposé jeudi aux forces politiques de rouvrir une discussion sur cette réforme pendant neuf mois.

«Non, je ne ferai pas ça. Dans quel monde vivent-ils ? Est-ce qu’ils savent que la France est observée, scrutée parce qu’on appelle les agences» de notation, «et si (leurs) notes ne sont pas bonnes, alors les taux d’intérêts explosent ?», a justifié le Premier ministre sur BFMTV. «Il y a tous les compromis possibles. S’il existe, je suis prêt», a ajouté M. Bayrou, qui s’est aussi dit «prêt» à ramener le délai de discussion de neuf «à six mois».

Défense France : une armée complète mais minuscule

Défense France : une armée complète mais minuscule
L’ancien sénateur et vice-président de la commission des affaires étrangères, défense et forces armées, Jacques Gautier, plaide pour un renforcement et une accélération du rééquipement de l’armée de terre. Les dernières interventions de l’armée français en opérations extérieures et la guerre en Ukraine confirment que pour la grande majorité des combattants, les pertes humaines et les destructions de matériels militaires concernent à plus de 80% les armées de Terre. Par l’ancien sénateur dans « La Tribune ».

 Le groupe « Mars » ou encore le spécialiste Alain Bauer  dénoncent le caractère miniature de l’armée française. L’exemple des troupes engagées dans le Conflit ukrainien ou au Proche-Orient devrait démontrer l’extrême faiblesse du dispositif de défense français . La France peut à peine aligner 100 000 militaires dans l’infanterie  finalement indispensable en dernier ressort. Dans le même temps la Russie mobilise autour de 1 million de personnes et il y a déjà eu six à 800 000 morts ou blessés russes . Par pure démagogie en outre personne ne voit  nécessité un jour ou l’autre de rétablir le service militaire tant pour des questions de défense et des questions sociétales. La France n’a même pas été capable de maintenir ses positions au Sahel ! (NDLR)

Après la chute du mur de Berlin et l’effondrement de l’empire soviétique, les Européens ont voulu profiter des « dividendes de la paix » et ont réduit considérablement leurs budgets de défense, limitant leurs armées à l’état embryonnaire. Le retour de la guerre de haute intensité en Europe, la multiplication des conflits et des crises nous obligent à réinvestir fortement dans notre outil militaire. En effet, en dépit des efforts financiers engagés depuis quelques années, les leçons de la guerre en Ukraine montrent que, malgré l’engagement de nos soldats et la technologie de nos équipements, la France serait dans l’incapacité de tenir plus d’une à deux semaines dans ce type de conflit.

Les estimations sont effroyables: les pertes cumulées des armées russes et ukrainiennes dépasseraient les 300.000 soldats tués et plus d’un million de blessés. L’attrition des équipements est impressionnante : plus de 4.000 chars d’assaut hors de combat, autant pour les véhicules blindés et des millions d’obus tirés, des milliers de missiles, roquettes et drones utilisés. Ces chiffres monstrueux, qui concernent très majoritairement les deux armées de terre, nous obligent, dans un temps très court, à faire un effort inégalé pour renforcer et durcir notre défense.
Notre armée de terre ne dispose que de 110.000 militaires et 26.000 réservistes, nos chars, en petit nombre, sont anciens, comme le reste de nos matériels. Les nouveaux équipements, notamment le programme Scorpion, sont en cours de livraison jusqu’en 2035. Ils ont été conçus il y a une douzaine d’années et correspondent surtout aux guerres asymétriques. De plus ces matériels n’existent qu’en nombre très insuffisant et nos missiles, roquettes, drones, obus correspondent à quelques jours d’une guerre de haute intensité.

L’armée de l’air et de l’espace, comme notre Marine nationale ne sont pas mieux loties mais, nos dernières interventions en OPEX et la guerre en Ukraine confirment que, pour la grande majorité des combattants, les pertes humaines et les destructions de matériels militaires concernent à plus de 80% les armées de Terre. Face à ces chiffres, le budget d’investissement qui lui est consacré se limite à 20% du budget total… Cherchez l’erreur !!!!

Les pays européens ne sont pas mieux protégés et beaucoup viennent de lancer des plans ambitieux d’achats et de constructions d’équipements militaires. Mais depuis plus de 30 ans, ils privilégient les équipements américains pour bénéficier de I’« Assurance Vie » de l’OTAN, donc de l’oncle Sam. Au moment où les États-Unis, avec le retour du président Trump, envisagent un certain isolationnisme, ils vont faire payer plus à nos voisins pour leur défense.

La France, compte tenu de son passé et de ses spécificités (dont la dissuasion) a une place particulière et s’appuie sur des industriels de défense compétents et couvrant presque tout le spectre de nos besoins. Quel que soit le nouveau gouvernement et la situation politique, notre pays doit préparer, de toute urgence, une actualisation de sa loi de programmation militaire. Il faut refuser les coupes budgétaires et les reports de crédits que prépare Bercy afin de renforcer les effectifs, de lancer la conception et la production d’équipements correspondants aux guerres de haute intensité.

Il faut s’attaquer aux lourdeurs de la technostructure qui invente au niveau européen et français, des dizaines de normes et caractérisations (y compris environnementales) qui s’appliquent à des équipements de guerre… Le poids de l’administration et de la réglementation ralentissent la conception et la production des matériels (souvent plus d’une dizaine d’années), aggravent les coûts en limitant le nombre et débouchent parfois sur les équipements dépassés lors de leurs admissions opérationnelles !!!

La France doit arrêter de donner des leçons au reste du monde et prendre conscience de ses capacités financières limitées. Elle doit rechercher des partenaires, qui veulent et qui peuvent, travailler avec elle, parfois en coproduction. Cela, si nécessaire, en dehors de l’Europe, avec des pays qui sont nos clients dans le secteur militaire (Inde, Indonésie, EAU, Qatar, Égypte, Arabie saoudite…). Le ministre Sébastien Lecornu, en 2023, n’a pas exclu d’impliquer des pays membres du Club Rafale, pour développer le standard F5 de cet avion omnirole.

Cette démarche et ces partenariats sont à développer, y compris pour les équipements terrestres. L’État doit, bien entendu, réduire, tout à la fois son déficit et son train de vie. Le nouvel exécutif devra faire des choix difficiles sans pénaliser les secteurs essentiels pour nos concitoyens, y compris notre défense nationale.

Foot -PSG :Vainqueur contre Lens mais pas de niveau européen

PSG :Vainqueur contre Lens mais pas de niveau européen

 

Encore une victoire pour le PSG qui conforte sa place en tête du classement national. Mais une prestation qui n’est guère convaincante pour aborder le niveau européen. Un manque évident d’engagement général, trop de maladresses surtout devant le but. Lens  a offert une belle résistance;  mais ce sera un autre exercice face à des adversaires comme Madrid par exemple. De toute évidence le football français de ligue 1ne joue pas dans les mêmes divisions que les autres grandes nations comme l’Angleterre, l’Espagne, l’Allemagne voire l’Italie. Pour preuve d’ailleurs la plupart des membres de l’équipe de France jouent  à l’étranger. 

Les Parisiens, eux, ont profité des espaces laissés par les Lensois pour se procurer un grand nombre de situations franches mais ont buté sur un énorme Brice Samba, auteur de sept arrêts dont plusieurs déterminants. À noter cependant que le PSG joue sans avant-centre . Même s’ils n’ont pas réussi à se mettre à l’abri, Marquinhos et ses coéquipiers l’ont emporté, consolidant leur place de leader au classement, et reléguant l’AS Monaco, battue par Angers (0-1) vendredi, à six longueurs. Le RC Lens (8e), pour sa part, perd l’occasion de se rapprocher du podium.

 

NFG et Lucie Castets : Candidate première ministre mais pas pour une élection locale

NFG et Lucie Castets : Candidate première ministre mais pas pour une élection locale

 

Lucie Castets sortie du chapeau de l’ENA par la gauche comme candidate première ministre veut bien assumer cette responsabilité centrale mais finalement refuse de se présenter à une élection locale. Pourtant l’hypothèse avait été envisagée mais l’arriviste énarque aurait voulu une élection dans un fauteuil.

On objectera que la plupart de ces ancien élève de l’ENA parvienne souvent aux fonctions nationales eux-mêmes sans avoir étaient élus au plan local encore moins sans avoir été militants. D’où sans doute cette méfiance des partis politiques largement responsables par leur sociologie de la crise démocratique

«Je considère que les conditions de ma candidature n’ont pas été réunies» a déclaré la candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon.

La candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon, Lucie Castets, ne se présentera finalement pas à l’élection législative partielle dans l’Isère, où «les conditions n’ont pas été réunies» pour qu’elle puisse «continuer à agir comme trait d’union de la gauche», a-t-elle indiqué vendredi à l’AFP.

«Je n’y vais pas. Je considère que les conditions de ma candidature n’ont pas été réunies pour cette partielle», a-t-elle déclaré, estimant néanmoins que «la personne importe peu et (qu’il) faut tout faire pour que la gauche gagne de nouveau cette circonscription» à cheval sur Grenoble et une partie de sa banlieue nord, où La France insoumise envisageait seule de la soutenir.
On fera aussi observer que Macon lui-même n’avait pas exercé la moindre responsabilité locale où le moindre mandat avant de parvenir à la magistrature suprême. Résultat : un pays de plus en plus divisés est en pleine crise économique, financière et politique

Lucie Castets :Candidate première ministre mais pas pour une élection locale

Lucie Castets :Candidate première ministre mais pas pour une élection locale

 

Lucie Castets sortie du chapeau de l’ENA par la gauche comme candidate première ministre veut bien assumer cette responsabilité centrale mais finalement refuse de se présenter à une élection locale. Pourtant l’hypothèse avait été envisagée mais l’arriviste énarque aurait voulu une élection dans un fauteuil.

On objectera que la plupart de ces ancien élève de l’ENA parvienne souvent aux fonctions nationales eux-mêmes sans avoir étaient élus au plan local encore moins sans avoir été militants. D’où sans doute cette méfiance des partis politiques largement responsables par leur sociologie de la crise démocratique

«Je considère que les conditions de ma candidature n’ont pas été réunies» a déclaré la candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon.

La candidate du Nouveau Front populaire pour Matignon, Lucie Castets, ne se présentera finalement pas à l’élection législative partielle dans l’Isère, où «les conditions n’ont pas été réunies» pour qu’elle puisse «continuer à agir comme trait d’union de la gauche», a-t-elle indiqué vendredi à l’AFP.

«Je n’y vais pas. Je considère que les conditions de ma candidature n’ont pas été réunies pour cette partielle», a-t-elle déclaré, estimant néanmoins que «la personne importe peu et (qu’il) faut tout faire pour que la gauche gagne de nouveau cette circonscription» à cheval sur Grenoble et une partie de sa banlieue nord, où La France insoumise envisageait seule de la soutenir.
On fera aussi observer que Macon lui-même n’avait pas exercé la moindre responsabilité locale où le moindre mandat avant de parvenir à la magistrature suprême. Résultat : un pays de plus en plus divisés est en pleine crise économique, financière et politique

Projet Budget 2025 : Des vrais impôts mais des économies marginales

Projet  Budget 2025 : Des vrais impôts mais des économies marginales

 

Il n’est peut-être pas tellement étonnant que les Français ne soient guère convaincus par l’équilibrage entre vrais impôts et fausses économies. Cela d’autant plus qu’avec un gouvernement pléthorique de 41 ministres et autres secrétaires d’État, le gouvernement ne donne pas vraiment l’exemple. Comme on pouvait s’en douter compte tenu de l’absence de majorité et donc du soutien politique, le gouvernement s’est limité un coup de rabot sur les dépenses évitant d’engager des mesures structurelles qui de toute façon n’auraient pas pu être soutenues pour des raisons contradictoires par une majorité à l’assemblénationale.

 

Il faut noter aussi des contradictions dans l’opinion. En effet globalement l’opinion considère qu’il n’y a pas assez d’économies constatées dans le fonctionnement de l’État mais ce se sont pourtant bien les fonctionnaires qui vont commencer par faire grève pour précisément demander à maintenir des dépenses et même aller augmenter. Mais ce sujet de la dimension de l’État, des champs régaliens, des modalités d’exécution des missions de service public, du statut des établissements et du statut des personnels est complètement tabou en France et fait en permanence l’objet d’un amalgame qui brouille toute analyse. On mélange tout y compris pour défendre tous les corporatismes et tous les gaspillages : contenu des missions, statut des institutions et statuts et effectifs des personnels.

 

Au début de son mandat, macro avait présenté son plan de « 60 milliards » visait avant tout la masse salariale des agents de l’État, qui représentait alors 85 milliards d’euros. En 2023, celle-ci avoisine les 234 milliards, selon Fipeco. L’autre effort du candidat Macron reposait ensuite sur une réduction des dotations aux collectivités locales.

Sept ans plus tard, bien que le gouvernement Barnier affiche un objectif similaire, la couleur de l’effort est néanmoins tout autre. Le Haut Conseil des finances publiques (HCFP) a d’ailleurs contesté l’annonce de Bercy, qui prévoit 40 milliards d’économies sur les dépenses publiques et 20 milliards d’euros de hausses d’impôts. Selon le HCFP, la réalité serait plus sévère, avec 70% par des taxes et impôts.

« En 2023, il y aurait 438 opérateurs, 314 commissions diverses et des centaines de structures employant 479 000 agents en équivalent temps plein. Pour un coût total de 76,6 milliards de financements publics (contre 63 milliards en 2021) », dénonce l’association Contribuables Associés qui note dans une étude « des doublons à l’échelle nationale et régionale ».

Une piste transparaît toutefois : celle d’un « regroupement de services au sein des ministères économiques et financiers afin d’améliorer l’efficacité de l’administration ». Mais ces fusions ou suppressions d’opérateurs peuvent-elles vraiment se faire ?

« Il s’agit d’une politique de long terme, elle ne peut pas être menée. Si l’on veut regrouper, cela nécessite du temps et, surtout, d’avoir une majorité à l’Assemblée », tacle René Dosière, ancien député PS et auteur de plusieurs rapports sur le train de vie de l’Etat.

« Ce que l’on peut faire dans l’immédiat, c’est améliorer les contrôles et la transparence, notamment sur les cabinets ministériels. Les gouvernements font encore ce qu’ils veulent. »

Quant aux postes de fonctionnaires supprimés, l’ancien député n’est pas non plus rassuré. « Contrairement à ce que Macron annonçait, leur nombre a augmenté ». Depuis 2017, la fonction publique s’est en effet dotée de 178.000 postes supplémentaires, notait Fipeco.

Enfin, un « plan de simplification et de modernisation du service public » est évoqué, là encore pour optimiser les coûts. Mais on sait qu’il devrait davantage concerner les contribuables, avec, par exemple, la DGFiP (Direction générale des Finances publiques) qui va accélérer sur le contrôle fiscal via « le recours au ciblage s’appuyant sur l’intelligence artificielle » (IA) et que 1.500 agents « supplémentaires » seront dédiés à la lutte contre la fraude.
Et quid des dépenses imputées à l’Elysée, maintes fois épinglées ? Pour rappel, en 2023, les frais de déplacement et de réception se sont envolés à 21 millions d’euros, contre 13 millions en 2022 et 9,8 millions en 2021, indiquait un rapport de la Cour des comptes. Une courbe croissante qu’il n’est pas prévu pour l’instant d’inverser. L’an prochain, la dotation allouée à la présidence de la République doit ainsi augmenter de 3 millions d’euros (+2,5 %)..

 

Sondés en septembre dernier par Elable pour l’Institut Montaigne, 70% estiment que la diminution du train de vie de l’Etat est la solution n°1 pour réduire la dette publique, loin devant la hausse des impôts des entreprises ayant fait le plus de profits (44%), la réduction globale des dépenses publiques, et la hausse des impôts des particuliers les plus aisés. Avant cela, en 2018, au lendemain de la révolte fiscale des Gilets jaunes, le Premier ministre Edouard Philippe avait d’ailleurs annoncé la tenue d’un « large débat sur les impôts et les dépenses publiques ».

Projet Budget : Des vrais impôts mais des économies marginales

Projet  Budget : Des vrais impôts mais des économies marginales

 

Il n’est peut-être pas tellement étonnant que les Français ne soient guère convaincus par l’équilibrage entre vrais impôts et fausses économies. Cela d’autant plus qu’avec un gouvernement pléthorique de 41 ministres et autres secrétaires d’État, le gouvernement ne donne pas vraiment l’exemple. Comme on pouvait s’en douter compte tenu de l’absence de majorité et donc du soutien politique, le gouvernement s’est limité un coup de rabot sur les dépenses évitant d’engager des mesures structurelles qui de toute façon n’auraient pas pu être soutenues pour des raisons contradictoires par une majorité à l’assemblénationale.

 

Il faut noter aussi des contradictions dans l’opinion. En effet globalement l’opinion considère qu’il n’y a pas assez d’économies constatées dans le fonctionnement de l’État mais ce se sont pourtant bien les fonctionnaires qui vont commencer par faire grève pour précisément demander à maintenir des dépenses et même aller augmenter. Mais ce sujet de la dimension de l’État, des champs régaliens, des modalités d’exécution des missions de service public, du statut des établissements et du statut des personnels est complètement tabou en France et fait en permanence l’objet d’un amalgame qui brouille toute analyse. On mélange tout y compris pour défendre tous les corporatismes et tous les gaspillages : contenu des missions, statut des institutions et statuts et effectifs des personnels.

 

Au début de son mandat, macro avait présenté son plan de « 60 milliards » visait avant tout la masse salariale des agents de l’État, qui représentait alors 85 milliards d’euros. En 2023, celle-ci avoisine les 234 milliards, selon Fipeco. L’autre effort du candidat Macron reposait ensuite sur une réduction des dotations aux collectivités locales.

Sept ans plus tard, bien que le gouvernement Barnier affiche un objectif similaire, la couleur de l’effort est néanmoins tout autre. Le Haut Conseil des finances publiques (HCFP) a d’ailleurs contesté l’annonce de Bercy, qui prévoit 40 milliards d’économies sur les dépenses publiques et 20 milliards d’euros de hausses d’impôts. Selon le HCFP, la réalité serait plus sévère, avec 70% par des taxes et impôts.

« En 2023, il y aurait 438 opérateurs, 314 commissions diverses et des centaines de structures employant 479 000 agents en équivalent temps plein. Pour un coût total de 76,6 milliards de financements publics (contre 63 milliards en 2021) », dénonce l’association Contribuables Associés qui note dans une étude « des doublons à l’échelle nationale et régionale ».

Une piste transparaît toutefois : celle d’un « regroupement de services au sein des ministères économiques et financiers afin d’améliorer l’efficacité de l’administration ». Mais ces fusions ou suppressions d’opérateurs peuvent-elles vraiment se faire ?

« Il s’agit d’une politique de long terme, elle ne peut pas être menée. Si l’on veut regrouper, cela nécessite du temps et, surtout, d’avoir une majorité à l’Assemblée », tacle René Dosière, ancien député PS et auteur de plusieurs rapports sur le train de vie de l’Etat.

« Ce que l’on peut faire dans l’immédiat, c’est améliorer les contrôles et la transparence, notamment sur les cabinets ministériels. Les gouvernements font encore ce qu’ils veulent. »

Quant aux postes de fonctionnaires supprimés, l’ancien député n’est pas non plus rassuré. « Contrairement à ce que Macron annonçait, leur nombre a augmenté ». Depuis 2017, la fonction publique s’est en effet dotée de 178.000 postes supplémentaires, notait Fipeco.

Enfin, un « plan de simplification et de modernisation du service public » est évoqué, là encore pour optimiser les coûts. Mais on sait qu’il devrait davantage concerner les contribuables, avec, par exemple, la DGFiP (Direction générale des Finances publiques) qui va accélérer sur le contrôle fiscal via « le recours au ciblage s’appuyant sur l’intelligence artificielle » (IA) et que 1.500 agents « supplémentaires » seront dédiés à la lutte contre la fraude.
Et quid des dépenses imputées à l’Elysée, maintes fois épinglées ? Pour rappel, en 2023, les frais de déplacement et de réception se sont envolés à 21 millions d’euros, contre 13 millions en 2022 et 9,8 millions en 2021, indiquait un rapport de la Cour des comptes. Une courbe croissante qu’il n’est pas prévu pour l’instant d’inverser. L’an prochain, la dotation allouée à la présidence de la République doit ainsi augmenter de 3 millions d’euros (+2,5 %), selon les informations de La Lettre.

 

Sondés en septembre dernier par Elable pour l’Institut Montaigne, 70% estiment que la diminution du train de vie de l’Etat est la solution n°1 pour réduire la dette publique, loin devant la hausse des impôts des entreprises ayant fait le plus de profits (44%), la réduction globale des dépenses publiques, et la hausse des impôts des particuliers les plus aisés. Avant cela, en 2018, au lendemain de la révolte fiscale des Gilets jaunes, le Premier ministre Edouard Philippe avait d’ailleurs annoncé la tenue d’un « large débat sur les impôts et les dépenses publiques ».

Budget : Des vrais impôts mais des économies marginales

Budget : Des vrais impôts mais des économies marginales

 

Il n’est peut-être pas tellement étonnant que les Français ne soient guère convaincus par l’équilibrage entre vrais impôts et fausses économies. Cela d’autant plus qu’avec un gouvernement pléthorique de 41 ministres et autres secrétaires d’État, le gouvernement ne donne pas vraiment l’exemple. Comme on pouvait s’en douter compte tenu de l’absence de majorité et donc du soutien politique, le gouvernement s’est limité un coup de rabot sur les dépenses évitant d’engager des mesures structurelles qui de toute façon n’auraient pas pu être soutenues pour des raisons contradictoires par une majorité à l’assemblée nationale.

 

Il faut noter aussi des contradictions dans l’opinion. En effet globalement l’opinion considère qu’il n’y a pas assez d’économies constatées dans le fonctionnement de l’État mais ce se sont pourtant bien les fonctionnaires qui vont commencer par faire grève pour précisément demander à maintenir des dépenses et même aller augmenter. Mais ce sujet de la dimension de l’État, des champs régaliens, des modalités d’exécution des missions de service public, du statut des établissements et du statut des personnels est complètement tabou en France et fait en permanence l’objet d’un amalgame qui brouille toute analyse. On mélange tout y compris pour défendre tous les corporatismes et tous les gaspillages : contenu des missions, statut des institutions et statuts et effectifs des personnels.

 

Au début de son mandat, macro avait présenté son plan de « 60 milliards » visait avant tout la masse salariale des agents de l’État, qui représentait alors 85 milliards d’euros. En 2023, celle-ci avoisine les 234 milliards, selon Fipeco. L’autre effort du candidat Macron reposait ensuite sur une réduction des dotations aux collectivités locales.

Sept ans plus tard, bien que le gouvernement Barnier affiche un objectif similaire, la couleur de l’effort est néanmoins tout autre. Le Haut Conseil des finances publiques (HCFP) a d’ailleurs contesté l’annonce de Bercy, qui prévoit 40 milliards d’économies sur les dépenses publiques et 20 milliards d’euros de hausses d’impôts. Selon le HCFP, la réalité serait plus sévère, avec 70% par des taxes et impôts.

« En 2023, il y aurait 438 opérateurs, 314 commissions diverses et des centaines de structures employant 479 000 agents en équivalent temps plein. Pour un coût total de 76,6 milliards de financements publics (contre 63 milliards en 2021) », dénonce l’association Contribuables Associés qui note dans une étude « des doublons à l’échelle nationale et régionale ».

Une piste transparaît toutefois : celle d’un « regroupement de services au sein des ministères économiques et financiers afin d’améliorer l’efficacité de l’administration ». Mais ces fusions ou suppressions d’opérateurs peuvent-elles vraiment se faire ?

« Il s’agit d’une politique de long terme, elle ne peut pas être menée. Si l’on veut regrouper, cela nécessite du temps et, surtout, d’avoir une majorité à l’Assemblée », tacle René Dosière, ancien député PS et auteur de plusieurs rapports sur le train de vie de l’Etat.

« Ce que l’on peut faire dans l’immédiat, c’est améliorer les contrôles et la transparence, notamment sur les cabinets ministériels. Les gouvernements font encore ce qu’ils veulent. »

Quant aux postes de fonctionnaires supprimés, l’ancien député n’est pas non plus rassuré. « Contrairement à ce que Macron annonçait, leur nombre a augmenté ». Depuis 2017, la fonction publique s’est en effet dotée de 178.000 postes supplémentaires, notait Fipeco.

Enfin, un « plan de simplification et de modernisation du service public » est évoqué, là encore pour optimiser les coûts. Mais on sait qu’il devrait davantage concerner les contribuables, avec, par exemple, la DGFiP (Direction générale des Finances publiques) qui va accélérer sur le contrôle fiscal via « le recours au ciblage s’appuyant sur l’intelligence artificielle » (IA) et que 1.500 agents « supplémentaires » seront dédiés à la lutte contre la fraude.
Et quid des dépenses imputées à l’Elysée, maintes fois épinglées ? Pour rappel, en 2023, les frais de déplacement et de réception se sont envolés à 21 millions d’euros, contre 13 millions en 2022 et 9,8 millions en 2021, indiquait un rapport de la Cour des comptes. Une courbe croissante qu’il n’est pas prévu pour l’instant d’inverser. L’an prochain, la dotation allouée à la présidence de la République doit ainsi augmenter de 3 millions d’euros (+2,5 %), selon les informations de La Lettre.

 

Sondés en septembre dernier par Elable pour l’Institut Montaigne, 70% estiment que la diminution du train de vie de l’Etat est la solution n°1 pour réduire la dette publique, loin devant la hausse des impôts des entreprises ayant fait le plus de profits (44%), la réduction globale des dépenses publiques, et la hausse des impôts des particuliers les plus aisés. Avant cela, en 2018, au lendemain de la révolte fiscale des Gilets jaunes, le Premier ministre Edouard Philippe avait d’ailleurs annoncé la tenue d’un « large débat sur les impôts et les dépenses publiques ».

Agences de notation et dette : note maintenue pour Fitch mais avec perspective négative

Agences de notation et dette  : note maintenue pour Fitch mais avec perspective négative

 L’agence de notation Fitch a maintenu vendredi la note de la France à «AA-», mais la place sous perspective négative, ce qui veut dire qu’elle envisage à l’avenir de la dégrader, a-t-elle indiqué dans un communiqué. Lors de sa dernière évaluation des finances françaises en avril – un statu quo -, l’agence américaine avait alerté sur un risque de baisse en cas d’«augmentation importante et persistante de la dette (…) résultant de déficits publics plus élevés que prévu». Or, la France a effectué de brutales révisions de sa prévision de déficit pour 2024, passant de 4,4% fin 2023 à 5,1% en avril pour finalement culminer à 6,1% du PIB.

«Les risques liés à la politique budgétaire se sont accrus depuis notre dernier examen», explique Fitch dans son communiqué. «Le dérapage budgétaire prévu cette année place la France dans une situation plus défavorable, et nous prévoyons désormais des déficits budgétaires plus importants, ce qui entraînera une forte augmentation de la dette publique pour atteindre 118,5 % du PIB d’ici 2028. Nous ne nous attendons pas à ce que le gouvernement respecte ses prévisions révisées de déficit à moyen terme pour ramener le déficit en dessous de 3% du PIB d’ici 2029», explique-t-elle. «Une forte fragmentation politique et un gouvernement minoritaire compliquent la capacité de la France à mettre en œuvre des politiques d’assainissement budgétaire durables», indique l’agence de notation.

Sans papiers: Des menaces verbales de Retailleau mais peu d’action

Sans papiers: Des menaces verbales de Retailleau mais peu d’action

Finalement le ministre de l’intérieur Bruno Retailleau en est réduit comme ses prédécesseurs à se contenter de mots pour masquer l’inaction des pouvoirs publics. Ainsi la dernière initiative du ministre vise-t-elle à durcir les règles de régularisation de sans-papiers. Le seul problème est de taille , cela ne changera rien à la présence de ces sans-papiers irrégulièrement sur le territoire puisqu’il est concrètement impossible sauf rare exceptions de les renvoyer dans leur pays d’origine.

Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau souhaite durcir les règles de régularisation de certains sans papiers, en revenant sur une circulaire en vigueur depuis 2012, a-t-il indiqué dans un entretien au Parisien  mercredi 9 octobre. «Je vais envoyer dans les semaines prochaines deux circulaires aux préfets», a dit le ministre qui les a reçus mardi en mettant l’accent sur l’immigration. «Une première qui précisera leur rôle de pilotage et la seconde qui remplacera la circulaire Valls», a-t-il détaillé en précisant: «Nous ne devons régulariser qu’au compte-goutte, sur la base de la réalité du travail et de vrais critères d’intégration.»

L’électricité va baisser mais pas la facture

L’électricité va baisser mais pas la facture

 

Théoriquement le prix de l’électricité devrait baisser compte tenu de l’évolution du prix du marché ( Actuellement très nette baisse). Le problème c’est que parallèlement la France pourrait augmenter encore la TICFE ; de sorte que la facture globale pourrait se traduire par une augmentation. En cause par le prix de l’électricité mais la croissance fiscale du fait de la crise financière du budget de l’État ( Aussi la nécessité de financer le nouveau parc nucléaire)
Le précédent gouvernement promettait de ne pas alourdir la facture d’électricité des ménages. La nouvelle équipe conduite par Michel Barnier explore de nouvelles sources de financement pour équilibrer les comptes publics. Selon une information du Parisien, confirmée par BFMTV, la piste envisagée par Matignon avec Bercy serait d’augmenter la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité (TICFE) pour certains ménages.

Cette hausse vise les ménages en offre de marché (environ 40 % des ménages), qui ont déjà pu bénéficier des baisses du prix de l’électricité sans attendre le réajustement des tarifs réglementés. Cette catégorie pourrait voir dans certains cas leur facture augmenter si leur fournisseur d’électricité décide de la répercuter. Actuellement, la TICFE est à 22,50 euros le MWh. Dès le 1er février, elle pourrait passer à 32,44 euros le MWh.

Par contre, elle ne pénalisera pas les ménages « au tarif réglementé ou avec des offres indexées sur les tarifs réglementés », soit 80% des 30 millions de ménages abonnés. Pour eux, la baisse de tarifs d’électricité promise par Bruno Le Maire est préservée…..en principe !.

Également appelée « contribution au service public de l’électricité », la TICFE devait, au moment de son instauration en 2004, corriger les surcoûts générés par les charges de service public supportées par les énergéticiens. Depuis 2022, elle est intégralement reversée au budget de l’État.

Le président tunisien réélu avec 89 % mais 27,7 % de participation

Le président tunisien réélu avec 89 % mais 27,7 % de participation

Le taux de participation lors du scrutin s’est établi à 27,7%, contre 45% au premier tour de l’élection de 2019. Il s’agit du taux le plus faible pour un premier tour de scrutin présidentiel depuis le renversement du dictateur Ben Ali en 2011.

 

L’autorité électorale Isie a annoncé une participation de 27,7% contre 45% il y a cinq ans au premier tour. Le président de l’Isie, Farouk Bouasker, a jugé ce taux «respectable», alors qu’il s’agit du taux le plus faible pour un premier tour de scrutin présidentiel depuis le renversement du dictateur Ben Ali en 2011 dans ce pays, qui fut le berceau des soulèvements démocratiques des Printemps arabes.

Dans le berceau des révoltes pro-démocratie du Printemps arabe en 2011, seuls deux candidats – considérés comme des seconds couteaux par les experts – avaient été autorisés à affronter Kais Saied, 66 ans, sur initialement 17 postulants, écartés pour des irrégularités présumées.

 

«La légitimité de l’élection est forcément entachée quand les candidats qui pouvaient faire de l’ombre à Kais Saied ont été systématiquement écartés», a commenté pour l’AFP l’analyste politique tunisien Hatem Nafti, soulignant aussi qu’il «s’agit de la pire participation depuis 2011».

 

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