Archive pour le Tag 'veut'

En Allemagne, la CDU veut renvoyer 1 million de réfugiés syriens

En Allemagne, la CDU veut renvoyer 1 million de réfugiés syriens

En Allemagne, la CDU  des veut renvoyer 1 million de réfugiés syriens et l’Office fédéral des migrations annonce la suspension de l’examen des demandeurs d’asile syriens. Le parti chrétien-démocrate (CDU) part favori des prochaines élections.

 

Elon Musk veut bloquer OpenAI à son profit

Elon Musk veut bloquer  OpenAI à son profit

Elon Musk traîne une fois de plus OpenAI en justice. En outre, il pourrait utiliser son nouveau statut de membre du gouvernement pour bloquer « Open AI » à son profit. Son nouvel objectif : empêcher l’entreprise d’opérer son changement de statut en entreprise à but lucratif, essentiel à sa survie financière. Le milliardaire, qui veut la peau de la start-up depuis le lancement de ChatGPT en 2022, n’a jamais été aussi influent. 

Comme une peine ne vient pas seule pour OpenAI, la pépite de l’IA se trouve à un tournant de son histoire. Elle a le lourd défi de prouver à ses investisseurs qu’elle peut devenir plus qu’une entreprise de recherche qui brûle les liquidités à vitesse grand V. Or, Elon Musk semble bien décidé à tout pour lui mettre des bâtons dans les roues, et faire de sa propre entreprise, xAI, l’incontournable de l’intelligence artificielle.

La plainte déposée en Californie accuse de pratiques anticoncurrentielles OpenAI, mais aussi toute une liste de personnalités et entités qui y sont liées : son président et cofondateur Greg Brockman ; le CEO et cofondateur Sam Altman ; son principal investisseur et partenaire d’affaires Microsoft ; l’ancien membre du conseil d’administration Reid Hoffman, un des plus grands investisseurs de la Silicon Valley ; ou encore un des vice-présidents de Microsoft, Dee Templeton, qui siégeait également au board de la start-up.

Dans le détail, la plainte de 36 pages accuse tout ce beau monde de décourager les investisseurs qui voudraient soutenir des rivaux d’OpenAI comme xAI, et d’user du partenariat avec Microsoft pour accéder à des informations sensibles sur les concurrents. Les avocats estiment par exemple que le choix de Stripe comme plateforme de paiement d’OpenAI nourrit l’intérêt financier de Sam Altman, qui détient encore des parts dans l’entreprise. Les avocats de Musk n’envisagent donc qu’un « seul remède approprié » face à la situation qu’ils dénoncent : empêcher OpenAI de faire son changement de statut. Pour ce faire, Ils demandent même une interdiction administrative en amont du procès.

L’homme d’affaires Sud-africain ne se trompe pas de cible. Le changement de statut est au centre du récent virage d’OpenAI, plus que jamais piloté par Sam Altman. L’entreprise brûlerait 5 milliards de dollars par an, selon le très bien renseigné The Information, ce qui la pousse à chercher de nouveaux canaux de commercialisation pour ses IA.

D’autant qu’en parallèle, le coût d’entraînement des nouvelles générations de modèles ne fait que grimper. Dans ces conditions, elle ne peut se permettre d’avoir à sa tête un conseil d’administration lié à la structure à but non lucratif, sans objectifs financiers.

 

Ce n’est qu’un épisode de plus dans la croisade d’Elon Musk contre OpenAI. Le milliardaire, visiblement remonté par le succès de la start-up, a tour à tour critiqué son manque d’ouverture ; la progression de ses IA qu’il jugeait trop rapide ; le soi-disant positionnement politique de ChatGPT, qu’il qualifie de « trop woke » [comprendre trop à gauche ou trop progressiste, ndlr] ; ou encore ses liens avec Microsoft.

Le milliardaire a quitté la start-up en 2018, après avoir tenté d’en prendre le contrôle. Il souhaitait un rapprochement avec une de ses autres entreprises, Tesla. Il affirmait que c’était la seule voie possible pour concurrencer Google, numéro 1 de la recherche en IA à l’époque, et partait pour lier la parole aux actes. Au final, il n’a lancé son projet concurrent que cinq ans plus tard, adossé au réseau social X et non à l’entreprise d’automobile électrique.

 

Vincent Bolloré, le nationaliste qui veut échapper à la fiscalité française

Vincent Bolloré, le nationaliste qui veut échapper à la fiscalité française 

Le projet de scission du groupe de médias et de communication en quatre entités séparées vise notamment  à contourner les règles financières françaises au profit de l’homme d’affaires.. Tandis que les responsables politiques débattent de l’opportunité de confier le Doliprane à un fonds d’investissement américain, un groupe du CAC 40 est en passe d’être éparpillé façon puzzle entre Londres, Amsterdam et Paris sous l’impulsion d’un financier bien français. ( papier du Monde
Le conseil de surveillance de Vivendi, dont le groupe Bolloré détient 29,9 %, a approuvé, lundi 28 octobre, un projet de scission, visant à scinder le groupe en quatre sociétés cotées dans trois pays : Havas à Amsterdam, Canal+ à Londres, Louis Hachette à Paris, ainsi que le bout restant de Vivendi, l’éditeur de jeux vidéo Gameloft et des participations dans Telecom Italia et Universal Music.Objectif, « révéler le vrai potentiel des actifs de Vivendi », affirme aux Echos Yannick Bolloré, président du conseil de surveillance du groupe en instance d’éviscération, et futur président du conseil de surveillance de Canal+ et PDG d’Havas NV. Comprenez, la somme des morceaux vaudra plus cher que l’actuel fourre-tout. Pour cette raison, il est probable que les actionnaires, appelés à voter le 9 décembre, donneront leur feu vert à une chirurgie lourde, non sans conséquences pour les intérêts français.

Car une télé, ce n’est pas une entreprise comme une autre. On peut s’interroger sur l’opportunité de laisser un acteur télévisuel, premier financeur du cinéma français, pesant dans le débat démocratique à travers sa chaîne CNews, se coter à la City.

Havas, de son côté, verra non seulement ses actions négociées sur la Bourse d’Amsterdam, mais sa holding de tête deviendra à cette occasion une société néerlandaise, presque deux cent ans après la création de la célèbre agence par Charles-Louis Havas.

Nouvelle-Calédonie : Barnier veut reprendre le dossier

Nouvelle-Calédonie : Barnier veut reprendre le dossier

 

Après les maladresses de Macron et même les graves erreurs sur le fond concernant le dossier de la Nouvelle-Calédonie, le nouveau premier ministre Michel Barnier entend reprendre au président la gestion de cette affaire très sensible.

Poussé par des extrémistes Macron  une nouvelle fois s’est planté en attisant le feu d’une Nouvelle-Calédonie secoué à la fois par des problèmes politiques et par son déclassement économique et social.

 

Ce mardi, à l’Assemblée nationale, Michel Barnier prévoit de consacrer une partie de sa déclaration de politique générale à l’archipel, en proie à la crise. Le nouveau locataire de Matignon a déjà adressé une promesse aux parlementaires locaux, dans un courrier du 18 septembre : « Je compte m’engager pleinement, avec vous, dans la recherche d’un nouveau modèle institutionnel et de développement pour la Nouvelle-Calédonie. »

Quatre mois après le déclenchement d’émeutes inédites depuis quarante ans, les quelque 270.000 Calédoniens vivant dans l’archipel, toujours soumis à un couvre-feu nocturne, restent inquiets pour leur sécurité.

Rugby : Antoine Dupont, encore récompensé, veut encore gagner des challenges

Rugby :  Antoine Dupont, encore récompensé, veut encore gagner des challenges

Antoine Dupont : «Je n’ai que 27 ans et il me reste encore des choses à gagner» ( dans le Figaro)

Pour la 3e fois en quatre ans, vos pairs vous ont désigné Meilleur joueur de la saison de Top 14 et, pour la 4e fois, Meilleur international français. C’est devenu une habitude ?
Antoine Dupont : C’est le quatrième ? Je ne sais pas, je n’ai pas compté mais oui, je sais que ça commence à faire beaucoup. On peut dire que c’est redondant, mais il faut mesurer la chance que l’on a de remporter des trophées, que ce soit individuels ou collectifs. On sait la difficulté de remporter le fameux bouclier de Brennus. On s’entraîne au quotidien pour y arriver mais d’autres le font aussi et n’ont pas l’occasion de soulever un trophée à la fin de la saison. Il faut donc mesurer cela, être conscient du travail qu’il faut continuer à effectuer pour continuer à gagner. On sait que c’est le plus dur, on l’a expérimenté ces dernières saisons. Mais c’est toujours plaisant de se passer des soirées comme celle-là.

 

Champion d’Europe et de France avec le Stade Toulousain ; champion olympique avec l’équipe de France à 7. Vous rendez-vous compte de ce que vous avez accompli la saison dernière ?


C’est toujours dur de se rendre compte, de mesurer les choses qu’on fait. On s’entraîne au quotidien pour vivre des moments comme ça. On a eu la chance de vivre des émotions incroyables avec Toulouse, et cette médaille olympique, je n’en parle même pas. Après, je pense qu’il vaut mieux continuer de regarder devant. On a une génération encore jeune et ambitieuse et on a tout intérêt à regarder devant plutôt que derrière, que ce qu’on a accompli. Ça n’aurait pas trop d’intérêt dans notre quotidien…. Donc, oui, on s’est rendu compte qu’on a fait quelque chose de grand cette année. Mais, comme je disais, je n’ai que 27 ans et il me reste encore des années de carrière et des choses à gagner.

 

On peut dire que j’ai pris un risque. Mais je pense qu’un des plus grands risques, c’est de ne jamais en prendre. Je pense que c’est lié à l’ADN du rugby français et, surtout, du Stade toulousain… Pendant ces Jeux, des joueurs de France 7 que personne ne connaissait se sont révélés être des athlètes et des joueurs incroyables. Ils ont eu un coup de projecteur et une lumière sur eux qu’ils méritaient mais qu’ils n’avaient pas depuis plusieurs saisons. Si j’ai pu permettre ça, tant mieux. Mais c’est aussi grâce à eux.

On vous a récemment aperçu à l’entraînement avec le Stade Toulousain alors que vous êtes encore en vacances. Ça vous démange de revenir sur le terrain ?


Je commence à repointer le bout de mon nez pour ne pas trop perdre non plus. Ça me donne envie de revenir avec les copains. J’étais hypercontent de retrouver le groupe, l’ambiance, la vie de groupe au quotidien. C’est aussi pour cela qu’on fait ce sport. Cet esprit d’équipe qu’on a à Toulouse, c’est ce qui nous motive à venir nous entraîner chaque jour.

À quelle date votre retour est-il prévu ?
Là, dans les prochaines semaines. Je devrais être de retour début octobre pour la compétition.

 

Trump ne veut plus de débat avec Kamala Harris

Trump ne veut plus de débat avec Kamala Harris

Le républicain Donald Trump  largement dominé par Kamala Harris lors de la première confrontation refuse désormais de participer à un second échange.

La vice-présidente at proposé  à son adversaire républicain une confrontation le 23 octobre, sur CNN. «J’espère que Donald Trump se joindra à moi», avait-elle lancé sur X.

Réponse de l’intéressé: c’est trop tard et de toute façon j’ai déjà gagné le premier débat. En réalité la plupart des observateurs attribuent la victoire à Kamala Harris pour la première confrontation et Donald Trump n’a guère envie de subir une seconde défaite.

 

Législatives : Marine Le Pen veut rapidement de nouvelles élections

Législatives  : Marine Le Pen veut rapidement de nouvelles élections

D’ores et déjà Marine Le Pen appel à de nouvelles élections législatives le plus rapidement possible c’est-à-dire à l’issue du délai constitutionnel d’un an. Un appel qui évidemment fragilise encore un peu plus le très fragile premier ministre Michel Barnier. Un premier ministre qui éprouve déjà les pires difficultés à trouver un gouvernement crédible même si évidemment les candidats sont nombreux mais pas forcément très représentatifs des grands courants de l’assemblée.

Michel Barnier sera sans doute condamné à construire un gouvernement de bric et de broc et sous la triple surveillance du Front National, du nouveau front populaire et même des macronistes. La première grande bataille Michel Barnier sera évidemment la discussion du budget. Ce pourrait d’ailleurs être la seule bataille du premier ministre avant motion de censure.
«C’est celui qui a fait le moins de voix qui est chargé de constituer un gouvernement. Ça ne peut pas tenir», a déclaré la cheffe de file des députés RN, appelant à de «nouvelles élections législatives» à l’issue du délai constitutionnel d’un an. Le RN s’est certes engagé à ne pas censurer «a priori» Michel Barnier, permettant son entrée à Matignon. Mais pour Marine Le Pen, cette situation n’a pas vocation à durer, alors que le chef du gouvernement est issu des rangs de LR, arrivé quatrième aux législatives.

 

 

Assemblée nationale : Marine Le Pen veut rapidement de nouvelles élections

Assemblée nationale : Marine Le Pen veut rapidement de nouvelles élections

D’ores et déjà Marine Le Pen appel à de nouvelles élections législatives le plus rapidement possible c’est-à-dire à l’issue du délai constitutionnel d’un an. Un appel qui évidemment fragilise encore un peu plus le très fragile premier ministre Michel Barnier. Un premier ministre qui éprouve déjà les pires difficultés à trouver un gouvernement crédible même si évidemment les candidats sont nombreux mais pas forcément très représentatifs des grands courants de l’assemblée.
Michel Barnier sera sans doute condamné à construire un gouvernement de  bric et de broc et sous la triple surveillance du Front National, du nouveau front populaire et même des macronistes. La première grande bataille Michel Barnier sera évidemment la discussion du budget. Ce pourrait d’ailleurs être la seule bataille du premier ministre avant motion de censure.

«C’est celui qui a fait le moins de voix qui est chargé de constituer un gouvernement. Ça ne peut pas tenir», a déclaré la cheffe de file des députés RN, appelant à de «nouvelles élections législatives» à l’issue du délai constitutionnel d’un an. Le RN s’est certes engagé à ne pas censurer «a priori» Michel Barnier, permettant son entrée à Matignon. Mais pour Marine Le Pen, cette situation n’a pas vocation à durer, alors que le chef du gouvernement est issu des rangs de LR, arrivé quatrième aux législatives.

 

 

Sarko veut un Premier ministre de droite !

Sarko veut un Premier ministre de droite

 

Sarkozy apporte aussi son grain de sel (… ou de sable) dans la crise qui secoue la France. D’une certaine manière, il complique encore un peu plus une situation déjà assez inextricable. Certes ce constat d’une triple crise financière, sociale et politique est assez juste mais la solution consistant à mettre en place un ministre de droite paraît curieuse quand on sait que les Républicains- auxquels il fait forcément allusion- n’ont qu’une quarantaine de députés. La question n’est pas tellement celle d’un premier ministre d’ailleurs mais de trois camps politiques  complètement irréconciliables, donc celle du programme et de l’introuvable majorité à l’assemblée.

LE FIGARO.- Cela fait 45 jours que la France n’a plus de gouvernement de plein exercice. Emmanuel Macron tarde-t-il à nommer un premier ministre ?

Nicolas SARKOZY.- A-t-on vraiment pris conscience de la gravité de la situation de notre pays ? La France est face à trois crises simultanées qui peuvent exploser soit en même temps, soit successivement. La première, c’est le risque d’une crise financière. Compte tenu de la dette de la France, de ses déficits et de ses dépenses trop importantes, je ne pense pas qu’il soit prudent de rester sans gouvernement ni ministre des Finances avec le risque en prime de ne pas avoir de budget ! Il y a ensuite une possibilité de crise sociale, qui est une tradition française. Il y a beaucoup d’exemples dans notre histoire récente de conflits sociaux qui ont dégénéré. Enfin, une crise politique. Un mois et demi sans gouvernement, après une dissolution dont je persiste à dire qu’elle a été une erreur, et une désintégration de tous les partis démocratiques qui n’ont jamais été aussi divisés. La France est vraiment au bord d’un précipice. De surcroît, l’extrême-gauche dans notre pays ne veut pas gouverner. Il s’agit bien davantage d’une tentative de coup d’État de La France insoumise que d’une volonté d’alternance démocratique face à une situation parlementaire impossible à dénouer. C’est peu de dire que les motifs d’inquiétude sont nombreux.

 

 

La Chine veut punir l’agriculture européenne

La Chine veut punir l’agriculture européenne

Conséquence directe de la décision de l’Union européenne de taxer  davantage les importations de voitures électriques chinoises qui dominent le marché, Pékin lance une grande enquête pour dénoncer les avantages de l’agriculture européenne considérée comme trop subventionnée. Un comble d’une certaine manière quand on sait que la totalité des activités économiques bénéficient  de l’aide de l’État chinois lors des exportations.

 

« Le ministère du Commerce a décidé d’ouvrir une enquête antidumping sur certains produits laitiers importés depuis l’Union européenne à compter du 21 août 2024 », a ainsi indiqué le ministère chinois du Commerce, dans un communiqué.

Cette annonce intervient au lendemain de nouvelles taxes douanières annoncées mardi par l’Union européenne (UE) sur les voitures électriques provenant de Chine, y compris celles du constructeur américain Tesla qui possède une usine à Shanghai.

Bruxelles estime en effet que les prix des véhicules chinois sont artificiellement bas, du fait de subventions d’État qui faussent le marché et nuisent à la compétitivité des constructeurs européens.

Ces nouvelles surtaxes, mises en place d’ici fin octobre (sauf vote contraire des 27 États membres de l’UE), peuvent atteindre jusqu’à 36%. La majeure partie des constructeurs chinois est concernée par ces nouveaux droits de douanes européens. Bruxelles imposera ainsi des surtaxes de 17% au fabricant chinois BYD, de 19,3% à Geely, et de 36,3% à SAIC.

Dans la foulée, la Chambre de commerce chinoise dans l’UE avait fustigé le « protectionnisme » et les pratiques commerciales « injustes », induites par ces droits de douanes spécifiques.

 

Politique -Mélenchon veut démettre Macron !

Politique -Mélenchon veut démettre Macron !

 

La parenthèse olympique est terminée pour laisser de nouveau la place à la chienlit avec cette proposition de Mélenchon et des « Insoumis » d’engager une procédure pour démettre Macon. Une procédure qui n’a aucune chance d’aboutir juridiquement en l’état des rapports de force mais qui va occuper le terrain et permettre à la chienlit de nourrir l’actualité. Première observation, le président de la république peut nommer le premier ministre qu’il souhaite alors que les « Insoumis » veulent imposer la candidature de Lucie Castets. Deuxième observation surtout,  le mécanisme de destitution est relativement long implique l’Assemblée nationale mais aussi le Sénat. Il n’a aucune chance de parvenir à son terme mais on est au moins certain qu’il va permettre d’entretenir le climat détestable en France à la fois sur le plan politique mais aussi économique. Les acteurs économiques craignent en effet par-dessus tout les  incertitudes nationales qui s’ajoutent à celles du plan international.
La tribune des insoumis:

Emmanuel Macron serait sur le point de nommer un chef de gouvernement sans tenir compte du résultat politique des dernières élections législatives qu’il a perdues après avoir perdu auparavant les élections européennes. Ce serait une décision sans précédent dans le monde des régimes parlementaires et dans le système de la démocratie représentative.

Déjà, dans les pays européens à l’intérieur et hors de l’Union, chacun avait dit sa surprise à propos de la prétendue trêve politique olympique et du maintien sans délai d’un gouvernement démissionnaire allant bien au-delà de la simple gestion des affaires courantes. Chacun avait dit aussi combien il était étrange de voir le président de la République française balayer d’un revers de main non seulement le résultat du vote mais aussi Lucie Castets, la personne proposée comme Première ministre par la coalition arrivée en tête, le Nouveau Front populaire.

L’objection présentée par les macronistes est connue : personne n’a la majorité absolue donc personne n’a gagné et personne n’a le droit de revendiquer la conduite d’un nouveau gouvernement. Un tel argument aurait pu être entendu si la France n’avait pas déjà fait l’expérience du contraire. Car c’est sans majorité absolue que le pays a été gouverné au lendemain de l’élection législative de 2022. Cette fois-ci d’ailleurs, aussitôt après la dissolution, le ministre de l’Intérieur macroniste avait affirmé que même en majorité relative la coalition arrivée en tête serait légitime pour gouverner ! Sans doute espérait-il retrouver la situation antérieure…

Dans ces conditions, on peut qualifier de coup de force institutionnel contre la démocratie la décision du chef de l’État. Il survient après une longue série impunie de décisions marquant une évolution autoritaire du régime. Désormais nous voici dans les eaux de l’« illibéralisme » que les macronistes faisaient mine de reprocher au Hongrois Viktor Orbán. Mais peut-être le chef de l’État se croit-il absolument sans contrainte institutionnelle dans une telle situation ? Ce n’est pas le cas. Les moyens existent permettant au Parlement de mettre un terme à un tel abus de pouvoir si notoirement antidémocratique.

Il y a évidemment la motion de censure pour faire tomber, dès sa présentation, le nouveau gouvernement du bon plaisir présidentiel. Mais on ne saurait en rester là. La cause de cet abus de pouvoir doit être désignée et sanctionnée. C’est le président de la République lui-même. Le moyen de cette action existe dans le cadre institutionnel actuel. Il s’agit de l’article 68 de la Constitution définissant les conditions de la destitution du chef de l’État. Il peut l’être en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ». La loi organique qui a installé les dispositions pratiques de cet article précise bien qu’il ne vise pas seulement d’éventuels manquements à la loi. C’est l’Assemblée et elle seule qui décide si telle est la situation.

Le président de la République n’est pas un monarque disposant d’un droit de veto suspensif sur le résultat du vote démocratique

Dans le cas présent, il est évident que le refus de prendre acte d’une élection législative et la décision de passer outre constituent un manquement condamnable aux exigences élémentaires du mandat présidentiel, car il impose au chef de l’État d’être le garant du respect de la démocratie et de ses règles d’organisation en France.

La procédure pour prononcer cette destitution est simple. Il faut que la proposition soit faite et soumise d’abord au bureau de l’Assemblée. Aujourd’hui, le Nouveau Front populaire y est majoritaire. Le bureau pourrait donc tout à fait l’accepter avant de la transmettre à la commission des lois, où les partisans du président sont minoritaires. Ainsi le texte devrait-il alors être inscrit à l’ordre du jour de l’Assemblée elle-même et soumis au vote de l’ensemble des députés. Chacun prendrait ses responsabilités. Il est probable que la motion serait adoptée, puisque les partisans du président de la République y représentent moins d’un tiers des députés.

Cette proposition adresserait un signal de résistance démocratique de première grandeur. Il montrerait que le président de la République en France n’est pas un monarque disposant d’un droit de veto suspensif sur le résultat du vote démocratique. Il rappellerait qu’en République le seul souverain est le peuple. Sa souveraineté est au-dessus de celle de tous les organes qui sont censés l’exprimer à l’ordinaire : le président, les députés du moment, et ainsi de suite. Ce droit avait déjà été refusé à Louis XVI en 1789 avant même l’instauration de la République. Comment pourrait-il être accordé à Macron en 2024 ? Pourquoi laisser se faire un déni de la souveraineté du peuple quand existe le moyen légal et pacifique de l’empêcher ?

Si ce moyen d’action contre le coup de force de Macron devait être utilisé, il faudrait évidemment l’expliquer avec soin devant notre peuple et organiser méthodiquement son utilisation. Il va de soi que c’est une décision importante et grave. Idéalement, elle doit bénéficier d’une procédure solide et d’une base aussi collective que possible. C’est pourquoi nous estimons que c’est aux chefs des partis de notre coalition et aux présidences de nos groupes parlementaires d’en débattre et de prendre respectivement leur décision.

Nous donnons à cette tribune un rôle concret d’avertissement solennel. Le président doit admettre le résultat du vote des législatives et nommer Première ministre Lucie Castets tel que proposé par le Nouveau Front populaire. S’il ne le fait pas, il doit savoir que seront utilisés tous les moyens constitutionnels de le démettre plutôt que nous soumettre à son mauvais coup contre la règle de base de la démocratie : en France, le seul maître est le vote populaire !

 

Question : comme au Venezuela ? ( NDLR)

Chienlit politique -Melenchon veut démettre Macron !

Chienlit politique -Mélenchon veut démettre Macron !

 

La parenthèse olympique est terminée pour laisser de nouveau la place à la chienlit avec cette proposition de Mélenchon et des « Insoumis » d’engager une procédure pour démettre Macon. Une procédure qui n’a aucune chance d’aboutir juridiquement en l’état des rapports de force mais qui va occuper le terrain et permettre à la chienlit de nourrir l’actualité. Première observation, le président de la république peut nommer le premier ministre qu’il souhaite alors que les « Insoumis » veulent imposer la candidature de Lucie Castets. Deuxième observation surtout,  le mécanisme de destitution est relativement long implique l’Assemblée nationale mais aussi le Sénat. Il n’a aucune chance de parvenir à son terme mais on est au moins certain qu’il va permettre d’entretenir le climat détestable en France à la fois sur le plan politique mais aussi économique. Les acteurs économiques craignent en effet par-dessus tout les  incertitudes nationales qui s’ajoutent à celles du plan internationalLa tribune des insoumis:

Emmanuel Macron serait sur le point de nommer un chef de gouvernement sans tenir compte du résultat politique des dernières élections législatives qu’il a perdues après avoir perdu auparavant les élections européennes. Ce serait une décision sans précédent dans le monde des régimes parlementaires et dans le système de la démocratie représentative.

Déjà, dans les pays européens à l’intérieur et hors de l’Union, chacun avait dit sa surprise à propos de la prétendue trêve politique olympique et du maintien sans délai d’un gouvernement démissionnaire allant bien au-delà de la simple gestion des affaires courantes. Chacun avait dit aussi combien il était étrange de voir le président de la République française balayer d’un revers de main non seulement le résultat du vote mais aussi Lucie Castets, la personne proposée comme Première ministre par la coalition arrivée en tête, le Nouveau Front populaire.

L’objection présentée par les macronistes est connue : personne n’a la majorité absolue donc personne n’a gagné et personne n’a le droit de revendiquer la conduite d’un nouveau gouvernement. Un tel argument aurait pu être entendu si la France n’avait pas déjà fait l’expérience du contraire. Car c’est sans majorité absolue que le pays a été gouverné au lendemain de l’élection législative de 2022. Cette fois-ci d’ailleurs, aussitôt après la dissolution, le ministre de l’Intérieur macroniste avait affirmé que même en majorité relative la coalition arrivée en tête serait légitime pour gouverner ! Sans doute espérait-il retrouver la situation antérieure…

Dans ces conditions, on peut qualifier de coup de force institutionnel contre la démocratie la décision du chef de l’État. Il survient après une longue série impunie de décisions marquant une évolution autoritaire du régime. Désormais nous voici dans les eaux de l’« illibéralisme » que les macronistes faisaient mine de reprocher au Hongrois Viktor Orbán. Mais peut-être le chef de l’État se croit-il absolument sans contrainte institutionnelle dans une telle situation ? Ce n’est pas le cas. Les moyens existent permettant au Parlement de mettre un terme à un tel abus de pouvoir si notoirement antidémocratique.

Il y a évidemment la motion de censure pour faire tomber, dès sa présentation, le nouveau gouvernement du bon plaisir présidentiel. Mais on ne saurait en rester là. La cause de cet abus de pouvoir doit être désignée et sanctionnée. C’est le président de la République lui-même. Le moyen de cette action existe dans le cadre institutionnel actuel. Il s’agit de l’article 68 de la Constitution définissant les conditions de la destitution du chef de l’État. Il peut l’être en cas de « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ». La loi organique qui a installé les dispositions pratiques de cet article précise bien qu’il ne vise pas seulement d’éventuels manquements à la loi. C’est l’Assemblée et elle seule qui décide si telle est la situation.

Le président de la République n’est pas un monarque disposant d’un droit de veto suspensif sur le résultat du vote démocratique

Dans le cas présent, il est évident que le refus de prendre acte d’une élection législative et la décision de passer outre constituent un manquement condamnable aux exigences élémentaires du mandat présidentiel, car il impose au chef de l’État d’être le garant du respect de la démocratie et de ses règles d’organisation en France.

La procédure pour prononcer cette destitution est simple. Il faut que la proposition soit faite et soumise d’abord au bureau de l’Assemblée. Aujourd’hui, le Nouveau Front populaire y est majoritaire. Le bureau pourrait donc tout à fait l’accepter avant de la transmettre à la commission des lois, où les partisans du président sont minoritaires. Ainsi le texte devrait-il alors être inscrit à l’ordre du jour de l’Assemblée elle-même et soumis au vote de l’ensemble des députés. Chacun prendrait ses responsabilités. Il est probable que la motion serait adoptée, puisque les partisans du président de la République y représentent moins d’un tiers des députés.

Cette proposition adresserait un signal de résistance démocratique de première grandeur. Il montrerait que le président de la République en France n’est pas un monarque disposant d’un droit de veto suspensif sur le résultat du vote démocratique. Il rappellerait qu’en République le seul souverain est le peuple. Sa souveraineté est au-dessus de celle de tous les organes qui sont censés l’exprimer à l’ordinaire : le président, les députés du moment, et ainsi de suite. Ce droit avait déjà été refusé à Louis XVI en 1789 avant même l’instauration de la République. Comment pourrait-il être accordé à Macron en 2024 ? Pourquoi laisser se faire un déni de la souveraineté du peuple quand existe le moyen légal et pacifique de l’empêcher ?

Si ce moyen d’action contre le coup de force de Macron devait être utilisé, il faudrait évidemment l’expliquer avec soin devant notre peuple et organiser méthodiquement son utilisation. Il va de soi que c’est une décision importante et grave. Idéalement, elle doit bénéficier d’une procédure solide et d’une base aussi collective que possible. C’est pourquoi nous estimons que c’est aux chefs des partis de notre coalition et aux présidences de nos groupes parlementaires d’en débattre et de prendre respectivement leur décision.

Nous donnons à cette tribune un rôle concret d’avertissement solennel. Le président doit admettre le résultat du vote des législatives et nommer Première ministre Lucie Castets tel que proposé par le Nouveau Front populaire. S’il ne le fait pas, il doit savoir que seront utilisés tous les moyens constitutionnels de le démettre plutôt que nous soumettre à son mauvais coup contre la règle de base de la démocratie : en France, le seul maître est le vote populaire !

 

Question : comme au Venezuela ? ( NDLR)

Trump veut repousser la sentence de son procès après la présidentielle !

Trump veut repousser la sentence de son procès après la présidentielle !

 

Donald Trump reconnu coupable de 34 délits de falsifications de documents comptables, destinées à cacher, juste avant sa victoire à la présidentielle de 2016, un paiement  une actrice de films X Veut repousser la sentence de son brossé après la présidentielle !

 

Donald Trump, premier ex-président des États-Unis à avoir été condamné au pénal, fin mai à New York, voudrait que le prononcé de sa peine soit repoussé de mi-septembre à l’après l’élection présidentielle du 5 novembre, selon une requête de son avocat. Le candidat républicain, qui rêve de retourner à la Maison Blanche, ne cesse depuis des mois d’user d’arguties pour retarder ses procès et surtout faire annuler ce verdict.

 

 

FED-Trump veut diriger la politique monétaire !

FED-Trump veut diriger la politique monétaire !

Donald Trump, candidat du Parti républicain pour l’élection présidentielle veut remettre en cause l’indépendance de la banque centrale américaine et veut influencer la politique monétaire. De quoi s’interroger sérieusement tellement Trump à mené une politique financière de gribouille pour sa propre fortune. Il a d’ailleurs été mis en cause par la justice pour avoir volontairement triché et surestimé la valeur de actifs de son empire.

Et c’est justement sur son expérience douteuse que Trump s’appuie:

«Je pense que le président devrait avoir son mot à dire là-dessus, c’est mon avis profond. Je pense que dans mon cas, moi qui ai fait beaucoup d’argent, j’ai eu beaucoup de réussite, je pense que j’ai un meilleur instinct que, le plus souvent, les gens qui sont à la Fed ou son président», a déclaré Donald Trump lors d’une conférence de presse à Palm Beach (Floride).

Les décisions de politique monétaire doivent être prises «le plus souvent à l’intuition», a jugé Donald Trump. La Fed a répété à de multiples reprises qu’elle basait ses décisions sur les données macroéconomiques disponibles.

Donald Trump critique régulièrement Jerome Powell, qu’il avait pourtant choisi pour diriger la Fed lorsqu’il était à la Maison-Blanche. En février dernier, il lui avait ainsi reproché de vouloir baisser les taux en 2024 pour aider les démocrates à gagner l’élection présidentielle. Il avait par ailleurs assuré qu’il ne le nommerait pas de nouveau à la tête de la Fed s’il était élu. Avant cela déjà, lorsqu’il était président, le milliardaire républicain ciblait régulièrement la Fed et Jerome Powell, qui ne baissaient pas suffisamment les taux à son goût.

 

En effet celui  qui souhaite reconquérir la Maison Blanche en novembre prochain manque de fonds pour payer l’exceptionnelle amende de 454 millions de dollars (418,5 millions d’euros) écopée pour avoir, justement, surestimé la valeur de sa fortune, afin d’être bien vu des banques. S’il ne s’acquitte pas de la totalité de la somme d’ici lundi, des biens immobiliers pourront être saisis. L

« Sachant que sa fortune de 2,5 milliards est principalement constituée de biens immobiliers, si on enlève environ 500 millions pour faire tourner les entreprises et qu’on retire encore les deux amendes dont a écopé Trump, ça commence à être compliqué », souligne Nicole Bacharan, historienne et politologue, spécialiste de la politique et de la société américaine. C’est d’ailleurs l’argument avancé par ses avocats : cette amende « exorbitante et vexatoire » qu’ils contestent est faite pour le ruiner. L’importance de la somme pourrait en effet le contraindre à céder certains actifs, sans doute à prix cassés, une première entaille dans son empire immobilier.

 

Au secours ! Trump veut diriger la politique monétaire !

Au secours ! Trump veut diriger la politique monétaire !

Donald Trump, candidat du Parti républicain pour l’élection présidentielle veut remettre en cause l’indépendance de la banque centrale américaine et veut influencer la politique monétaire. De quoi s’interroger sérieusement tellement Trump à mené une politique financière de gribouille pour sa propre fortune. Il a d’ailleurs été mis en cause par la justice pour avoir volontairement triché et surestimé la valeur de actifs de son empire.

Et c’est justement sur son expérience douteuse que Trump s’appuie:

«Je pense que le président devrait avoir son mot à dire là-dessus, c’est mon avis profond. Je pense que dans mon cas, moi qui ai fait beaucoup d’argent, j’ai eu beaucoup de réussite, je pense que j’ai un meilleur instinct que, le plus souvent, les gens qui sont à la Fed ou son président», a déclaré Donald Trump lors d’une conférence de presse à Palm Beach (Floride).

Les décisions de politique monétaire doivent être prises «le plus souvent à l’intuition», a jugé Donald Trump. La Fed a répété à de multiples reprises qu’elle basait ses décisions sur les données macroéconomiques disponibles.

Donald Trump critique régulièrement Jerome Powell, qu’il avait pourtant choisi pour diriger la Fed lorsqu’il était à la Maison-Blanche. En février dernier, il lui avait ainsi reproché de vouloir baisser les taux en 2024 pour aider les démocrates à gagner l’élection présidentielle. Il avait par ailleurs assuré qu’il ne le nommerait pas de nouveau à la tête de la Fed s’il était élu. Avant cela déjà, lorsqu’il était président, le milliardaire républicain ciblait régulièrement la Fed et Jerome Powell, qui ne baissaient pas suffisamment les taux à son goût.

 

En effet celui  qui souhaite reconquérir la Maison Blanche en novembre prochain manque de fonds pour payer l’exceptionnelle amende de 454 millions de dollars (418,5 millions d’euros) écopée pour avoir, justement, surestimé la valeur de sa fortune, afin d’être bien vu des banques. S’il ne s’acquitte pas de la totalité de la somme d’ici lundi, des biens immobiliers pourront être saisis. L

« Sachant que sa fortune de 2,5 milliards est principalement constituée de biens immobiliers, si on enlève environ 500 millions pour faire tourner les entreprises et qu’on retire encore les deux amendes dont a écopé Trump, ça commence à être compliqué », souligne Nicole Bacharan, historienne et politologue, spécialiste de la politique et de la société américaine. C’est d’ailleurs l’argument avancé par ses avocats : cette amende « exorbitante et vexatoire » qu’ils contestent est faite pour le ruiner. L’importance de la somme pourrait en effet le contraindre à céder certains actifs, sans doute à prix cassés, une première entaille dans son empire immobilier.

 

 

12345...27



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol