Archive pour le Tag 'soutiens'

Palestine et Ukraine: Des soutiens très clivés

Palestine et Ukraine: Des soutiens très clivés

Si les défenseurs des valeurs humanistes devraient soutenir les deux peuples, c’est au contraire une concurrence des causes qui semble s’installer, relève le politiste Jérôme Heurtaux dans une tribune au « Monde ».

Le retour soudain du conflit israélo-palestinien dans l’actualité a eu pour effet pervers une relégation brutale du conflit ukrainien aux marges du discours politique et de l’attention médiatique. Cet effacement est sans aucun doute provisoire, et il est d’ailleurs tout relatif, puisque celles et ceux qui sont directement concernés par la guerre en Ukraine (réfugiés, chercheurs, correspondants de guerre, diplomates, acteurs humanitaires, etc.) ne modifient pas leur attention en fonction des fluctuations de l’agenda politico-médiatique. Mais il contribue à l’empêchement d’une réflexion qui, partant de leur concomitance, s’efforcerait de penser ensemble ces deux conflits au lieu d’ignorer leur parenté, voire de les opposer, comme s’ils n’avaient rien à voir.

S’agissant du conflit en Ukraine, une position universaliste anticolonialiste, respectueuse de la souveraineté des Etats et de l’autodétermination des peuples, attachée au droit international humanitaire, vous rangerait naturellement du côté des Ukrainiens, victimes d’un crime d’agression punissable par le droit international. S’agissant du Proche-Orient, les mêmes prémisses humanistes feraient logiquement de vous un soutien au peuple palestinien, qui subit depuis plusieurs décennies une politique de colonisation et le mépris par Israël des résolutions successives des Nations unies.

Les voix propalestiniennes les plus fortes, en France comme ailleurs, ne disent mot de l’Ukraine, quand elles n’interrogent pas, suspicieuses, la légitimité de la résistance ukrainienne, inversant le rapport de la victime et du bourreau. D’un autre côté, parmi les Etats, responsables politiques et intellectuels qui défendent l’Ukraine, beaucoup ignorent la cause palestinienne, quand ils ne soutiennent pas le droit d’Israël à se défendre en bombardant et en intervenant à Gaza, donc à perpétrer de facto des massacres de civils, c’est-à-dire au minimum des crimes de guerre, comme le sont ceux commis par les Russes.

Taubira lâché par ses soutiens ?

Taubira lâché par ses soutiens ?

 

 

La candidature de Christiane Taubira semble avoir du plomb dans l’aile. D’abord parce que politiquement elle peine à exister ensuite parce qu’elle ne parvient pas à recueillir les parrainages nécessaires. Sans parler des moyens financiers qui font défaut.  Libération révélait en effet ce vendredi qu’une partie du mouvement «ne supporte plus de soutenir une candidate qui ne parvient ni à unir la gauche, ni à monter dans les sondages».

La candidate de la Primaire populaire précise n’avoir «absolument eu aucun message sous aucune forme de ce contenu et de cette nature», et rappelle que «le sujet c’est le processus démocratique de la Primaire populaire», dont le principe est le suivant : «tout faire pour le rassemblement de la gauche et porter le socle commun».

Christiane Taubira est cependant en difficulté. Elle stagne autour de 3% d’intentions de vote dans les sondages, et n’a pour l’instant réuni que 86 parrainages d’élus, à moins de deux semaines de l’échéance. Le Parti radical de gauche, qui avait porté sa candidature en 2002, lui a également retiré son soutien.

Politique: Mélenchon officiellement candidat avec 150 000 soutiens bidons

Politique:   Mélenchon officiellement candidat avec 150 000 soutiens bidons

 

La déclaration de candidature de Jean-Luc Mélenchon n’aura guère occupé l’espace médiatique dans la mesure où elle est assez anecdotique. Tout le monde sait depuis longtemps que Mélenchon veut se présenter. D’une certaine manière, il se veut rassembleur mais uniquement sur sa candidature. Une posture hégémonique évidemment mal appréciée par les écolos et autres candidats de gauche. L’intéressé avait mis une fausse condition à la confirmation de sa candidature en exigeant 150 000 soutiens. En fait des soutiens bidons puisque l’intéressé a déjà 2 millions de followers et qu’il suffisait pour être considéré comme soutien d’adresser son adresse mail sans dévoiler son identité !

Une véritable mascarade qui ne grandit pas l’intéressé qui aurait dû exiger au moins 1,5 millions de soutiens et non 150 000 .  En outre une candidature bien mal placée dans le calendrier des préoccupations des Français. Ces derniers s’intéressent en effet très peu à cette perspective électorale pour l’instant. Les principaux sujets d’interrogation concernent en effet la situation sanitaire, la situation de l’emploi et le terrorisme. Autant de sujets qui n’ont pas été traités par Mélenchon qui s’est surtout appesanti sur son nombril.

 

Jean-Luc Mélenchon officiellement candidat avec 150 000 soutiens bidons

Jean-Luc Mélenchon officiellement candidat avec 150 000 soutiens bidons

 

La déclaration de candidature de Jean-Luc Mélenchon n’aura guère occupé l’espace médiatique dans la mesure où elle est assez anecdotique. Tout le monde sait depuis longtemps que Mélenchon veut se présenter. D’une certaine manière, il se veut rassembleur mais uniquement sur sa candidature. Une posture hégémonique évidemment mal appréciée par les écolos et autres candidats de gauche. L’intéressé avait mis une fausse condition à la confirmation de sa candidature en exigeant 150 000 soutiens. En fait des soutiens bidons puisque l’intéressé a déjà 2 millions de followers et qu’il suffisait pour être considéré comme soutien d’adresser son adresse mail sans dévoiler son identité !

Une véritable mascarade qui ne grandit pas l’intéressé qui aurait dû exiger au moins 1,5 millions de soutiens et non 150 000 .  En outre une candidature bien mal placée dans le calendrier des préoccupations des Français. Ces derniers s’intéressent en effet très peu à cette perspective électorale pour l’instant. Les principaux sujets d’interrogation concernent en effet la situation sanitaire, la situation de l’emploi et le terrorisme. Autant de sujets qui n’ont pas été traités par Mélenchon qui s’est surtout appesanti sur son nombril.

 

Crise économique européenne : des soutiens différents selon les pays

Crise économique européenne : des soutiens différents selon les pays

 

D’une manière générale, l’aide financière à l’économie dans l’union européenne est proportionnelle aux richesses de chaque État. Ainsi l’Allemagne va-t-elle apporter un soutien non remboursable de leur de 8,3 % du PIB. Un montant comparable à celui des États-Unis : 9 %. Ces montants sont difficiles à évaluer car ils comprennent des subventions pour les entreprises mais aussi pour les salariés. En France, la situation est encore plus confuse mais le soutien total devrait se situer entre 4 et 5 % du PIB.

Les autres pays du sud de l’Europe consacreront 3 à 4 % de leurs moyens au soutien de leur économie nationale. Le fonds monétaire international hier a d’ailleurs incité la France a décidé de mesures budgétaires supplémentaires pour soutenir l’économie.

Le FMI insistait sur le faite que ces efforts budgétaires étaient nécessaires pour éviter le choc économique de la seconde vague en France. Notons que les efforts budgétaires de chacun des pays européens n’intègrent pas le plan européen qui lui n’a pas été complètement adopté et ne sera pas opérationnel avant la mi 2021. Même si les sommes consacrées à la relance se comptent en plusieurs milliers de milliards d’euros, ces chiffres astronomiques recouvrent des réalités très différentes en fonction des pays.

Macron : soutiens et entourage sulfureux

Macron : soutiens et entourage sulfureux

 

L’affaire Benalla révèle en fait  des interrogations sérieuses sur les proches de Macron et ceux qui ont permis sa victoire. En cause,  le fait sans doute que Macron est sorti de nulle part. Plus exactement de la volonté de quelques grands financiers et grands patrons et qu’il a fallu organiser à la hâte un parti. Un parti particulièrement hétéroclite avec des arrivistes, des convaincus de la 25 ème heure, des oligarques qui ont tourné leur veste et des individus un peu troubles. Témoins le fait qu’on a recruté les députés sur CV par petite annonce. La plupart sont sans doute compétents mais la question est surtout de savoir s’ils sont convaincus de l’intérêt général…. ou de leur carrière.  Avec le temps avec un tel mode de recrutement, on se prépare à découvrir certaines affaires car il est bien difficile de ne pas mettre les doigts dans le pot de confiture du pouvoir ; Dans l’  entourage de Macron, il y a eu d’abord l’affaire Bayrou qui comme le FN a fait financer son parti par les fonds européens. Ce qui lui a valu de démissionner de son poste de ministre de la justice. Ensuite l’affaire Ferrand, un rallié de première heure en provenance du PS qui a largemenet profité de ses fonctions pour enrichir sa compagne. Lui aussi a dû démissionner de ses fonctions de ministre. Mais on lui a donné le hochet de président du groupe parlementaire d’en Marche qui en l’occurrence n’a pas renforcé sa crédibilité. Dernièrement, il y a eu cette affaire Solère qui lui aussi s’est enrichi de manière illégale. Un responsable stratégique dans la victoire de Macron, il a été  un artisan de la démolition de son ancien parti Les républicain, avant de rejoindre en Marche. On est loin de la république exemplaire et nouvelle de Macron candidat. Finalement les méthodes sont le mêmes que sou les autres gouvernements : le pouvoir s’entoure de personnages très sulfureux, souvent de arrivistes sans trop de scrupules. On objectera qu’il y a des responsables honnêtes, sans doute mais c’est quand même le minimum quand on sert l’intérêt général. Et ce n’est pas une garantie de compétence !

Macron : soutiens et entourage sulfureux

Macron : soutiens et entourage sulfureux

 

L’affaire Benalla révèle en fait  des interrogations sérieuses sur les proches de Macron et ceux qui ont permis sa victoire. En cause,  le fait sans doute que Macron est sorti de nulle part. Plus exactement de la volonté de quelques grands financiers et grands patrons et qu’il a fallu organiser à la hâte un parti. Un parti particulièrement hétéroclite avec des arrivistes, des convaincus de la 25ème heure, des oligarques qui ont tourné leur veste et des individus un peu troubles. Témoins le fait qu’on a recruté les députés sur CV par petite annonce. La plupart sont sans doute compétents mais la question est surtout de savoir s’ils sont convaincus de l’intérêt général…. ou de leur carrière.  Avec le temps avec un tel mode de recrutement, on se prépare à découvrir certaines affaires car il est bien difficile de ne pas mettre les doigts dans le pot de confiture du pouvoir ; Dans l’  entourage de Macron, il y a eu d’abord l’affaire Bayrou qui comme le FN a fait financer son parti par les fonds européens. Ce qui lui a valu de démissionner de son poste de ministre de la justice. Ensuite l’affaire Ferrand, un rallié de première heure en provenance du PS qui a largemenet profité de ses fonctions pour enrichir sa compagne. Lui aussi a dû démissionner de ses fonctions de ministre. Mais on lui a donné le hochet de président du groupe parlementaire d’en Marche qui en l’occurrence n’a pas renforcé sa crédibilité. Dernièrement, il y a eu cette affaire Solère qui lui aussi s’est enrichi de manière illégale. Un responsable stratégique dans la victoire de Macron, il a été  un artisan de la démolition de son ancien parti Les républicain, avant de rejoindre en Marche. On est loin de la république exemplaire et nouvelle de Macron candidat. Finalement les méthodes sont le mêmes que sou les autres gouvernements : le pouvoir s’entoure de personnages très sulfureux, souvent de arrivistes sans trop de scrupules. On objectera qu’il y a des responsables honnêtes, sans doute mais c’est quand même le minimum quand on sert l’intérêt général. Et ce n’est pas une garantie de compétence !

Les sulfureux soutiens financiers de la Fondation Hulot

Les sulfureux  soutiens financiers de la Fondation Hulot

 

Peut-être le silence assourdissant de Nicolas Hulot sur le nucléaire est-il du au mode de financement de son ancienne fondation. Une fondation largement soutenue financièrement par EDF.  Ce silence constitue en fait un acquiescement à la politique nucléaire menée depuis des années et qui ne peut être remis en cause en l’état des déficits publics. Il est par exemple envisagé de doubler la production d’électricité par éolienne (actuellement 3.9% du total pour un coût de l’ordre de 50 milliards alors que le même montant sera investis pour la prolongation des centrales nucléaires pour 20 ans) ; D’où les positions ambigües de Hulot qui soutient les énergies alternatives mais aussi la part actuelle du nucléaire (entre 70 et 75% de la production électrique). Par vraiment étonnant car d’après le « canard enchainé »,  Nicolas Hulot aurait entretenu un long partenariat avec EDF, producteur et fournisseur d’électricité. « Jusqu’en 2012, EDF a versé 460.000 euros par an à la Fondation. Depuis, l’électricien a réduit la voilure, mais il allonge encore 100.000 euros par an », assure l’hebdomadaire. Or, le ministre va devoir trancher sur le cas de l’EPR de Flamanville et fermer Fessenheim, cette fermeture étant une promesse de campagne d’Emmanuel Macron.  Mêmes liens avec Veolia, géant de l’eau et du traitement des déchets. « De 2012 à 2017, Veolia a casqué 200.000 euros par an à la Fondation, et ce généreux mécène siège même à son conseil d’administration », assure Le Canard enchaîné. Vinci, désigné pour construire l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes et qui n’envisage « pas du tout » de ne pas le faire, a financé la Fondation à hauteur de 30.000 euros en 2014 et 2015. Le journal d’investigation cite également TF1, Bouygues Télécom, la SNCF et L’Oréal, pour des versements entre 30.000 et 250.000 euros chacun.

Présidentielle: La « Haute autorité du PS » gronde mollement les soutiens à Macron

Présidentielle: La « Haute autorité du PS »  gronde mollement les soutiens à Macron

 

Pour ménager l’avenir sans doute, la haute autorité du PS  s’est limitée à gronder les socialistes soutiens de Macron. Qui «  nombreux désertent le camp socialiste …en raison des réserves sur la campagne de Hamon »». Un véritable aveu de catastrophe annoncée. Une condamanation cependant molle. En cause sans doute, le fait que pour avoir des chances d’être élus nombre de socialistes auront besoin dune alliance avec Macron lors des législatives.  « La haute autorité dénonce seulement  des attitudes contraires au « principe de loyauté ». La Haute autorité éthique du parti a appelé samedi les socialistes à respecter la primaire qui a désigné Benoît Hamon comme candidat à la présidentielle, déplorant que certains tablent « manifestement sur la victoire d’un autre candidat, Or la Haute Autorité Ethique constate que, régulièrement, des adhérents du Parti socialiste, et notamment des élus, tablant manifestement sur la victoire d’un autre candidat, font connaître leur préférence pour celui-ci, ce qui revient à nier le processus électoral des Primaires Citoyennes », déplore la Haute autorité dans un communiqué. « Cette préférence se manifeste plus ou moins intensément, qu’il s’agisse de l’annonce du vote pour un autre candidat, du ralliement pur et simple ou de la recherche d’une investiture concurrente pour les élections législatives », constate-t-elle, alors que de nombreux socialistes désertent la campagne au profit notamment du leader d’En marche, Emmanuel Macron, qui n’est pas passé par les Primaires citoyennes. Cette attitude est contraire au « principe de loyauté » qui oblige les adhérents du PS « à ne soutenir que les seuls candidats à des fonctions électives effectivement investis ou soutenus par le Parti socialiste, quelles que soient les réserves qu’ils déclarent éprouver à l’égard de la manière dont le candidat investi mène sa campagne », rappelle la Haute autorité.

2017 : Macron accumule les soutiens, Fillon les lâchages

2017 : Macron accumule les soutiens, Fillon les lâchages

Évidemment rien n’est encore joué à une cinquantaine de jours du premier tour des élections présidentielles mais les positions semblent se stabiliser avec Macron et le Pen nettement en  ou tête tandis que Fillon se situe à sept ou huit points  derrière. Le socle de Marine Le peine= semble solide (autour de 25 % pour le premier tour) mais le plafond de verre autour de 35 % au second tour paraît infranchissable comme le démontre un sondage qui souligne que près des deux tiers des Français ont peur de l’arrivée du Front National. Fillon lui est toujours englué dans les affaires et son score ne dépasse pas 20 % (entre 17 et 20 pour cent selon les enquêtes). Pour lui,  le scénario est encore loin d’être écrit, rien ne dit qu’il ne sera pas contraint de renoncer. Dans la coulisse certains chez les Républicains jouent toujours la carte du plan B avec Baroin. La nouvelle affaire du prêt consenti par un ami milliardaire à Fillon (50 000 €), prêts non déclaré qui ressemble fortement à un don ne va pas arranger son dossier judiciaire. Macron de son côté considéré comme l’homme seul il y a quelques semaines ne cesse d’accumuler les soutiens qui vont de la droite à la gauche en passant par le centre (Alain Madelin à Robert Hue en passant par Delanoë). Maintenant on ne reproche plus à Macron d’être seul mais au contraire d’être trop entouré par des soutiens disparates. Ce n’est pas ni à gauche ni à droite mais à gauche et à droite. Ce que voulait précisément Macon pour dépasser les vieux clivages obsolètes. A 46 jours du premier tour de l’élection présidentielle, Emmanuel Macron a donc continué mercredi d’engranger les ralliements mais est plus que jamais la cible numéro un de ses adversaires, tandis qu’une nouvelle campagne commence pour François Fillon. La candidate du Front national, Marine Le Pen, talonnée par le candidat d’ »En Marche ! » et présentée comme un repoussoir par ses adversaires, fait pour sa part toujours la course en tête dans les intentions de vote pour le premier tour. « On entre dans une nouvelle étape de la campagne, pas seulement parce que celle de François Fillon se stabilise mais aussi parce qu’on va arriver à un mois du premier tour », estime François Miquet-Marty, directeur de l’institut Viavoice. « Les électeurs commencent à se projeter sur la capacité des uns et des autres à exercer la fonction présidentielle et à gouverner, moins sur l’opinion que l’on a des uns et des autres », a ajouté cet analyste. Toujours sous la menace d’une possible mise en examen dans l’affaire des emplois fictifs présumés dont aurait profité sa famille, mais débarrassé de l’hypothèque d’un éventuel « plan B » pour le remplacer après le renoncement d’Alain Juppé, François Fillon a préservé son socle d’environ 20% d’intentions de vote. Un étiage « extrêmement bas » reconnaît cependant son nouveau porte-parole, le député LR Damien Abad, pour qui le risque est que l’électorat de droite ne croie plus à la victoire. « Il n’y a rien de pire parce qu’alors on a des stratégies de fuite en avant », explique-t-il. « Donc, pour nous, l’enjeu des prochains jours est de montrer que la victoire est possible. » François Fillon s’est attelé au défi de refaire l’unité de son camp, une unité qui sera à nouveau mis à mal mise à mal par sa convocation par des juges le 15 mars.

Macron : deux nouveaux soutiens Avec Cavada et Lepage, attention aux crocodiles !

Macron : deux nouveaux soutiens Avec Cavada et Lepage, attention aux crocodiles !

 

 

Comme c’était prévisible certains responsables politiques au vu des sondages vont rejoindre Macron. Macro qui avait déjà enregistré mardi le ralliement de l’économiste très renommé, Jean Pisani-Ferry.  Aujourd’hui Jean-Marie Cavada et Corinne ont décidé aussi de le soutenir. Il y aura vraisemblablement bien d’autres soutiens pour Macron pour conforter sa dynamique dans la perspective de 2017.  Reste qu’on peut s’interroger sur le ralliement de certains crocodiles de la politique notamment des nomades qui ont traversé plusieurs formations et qui sont en mal existentiel. Macron serait bien avisé d’accepter évidemment ses soutiens mais en conservant dans son équipe les jeunes actuels qui l’entourent ainsi que les experts. En effet les vieux crocodiles risquent de polluer sa stratégie de renouveau en même temps que ses orientations. Les deux derniers recrutements ne manquent pas d’interroger sur leur intérêt réel aussi bien pour le renouvellement du personnel politique que pour leur apport sur le fond ou leur charisme. Les deux Derniers en date: ceux de la patronne de Cap21/Le Rassemblement citoyen Corinne Lepage et du président de Génération citoyen Jean-Marie Cavada, révélés par Le Point quelques heures seulement avant le premier débat télévisé de la primaire socialiste. Contacté pour confirmer cette information, l’entourage de l’ancien ministre de l’Économie restait injoignable ce jeudi en fin d’après-midi.  Cofondatreurs d’une «Primaire des Français» censée désigner un candidat issu de la société civile à la présidentielle, l’ancienne ministre et le député européen semblent avoir revu leurs plans et décidé de revenir dans le sérail politique. Idem pour le communicant Claude Posternak, qui s’était associé à leur projet, mais aurait lui aussi, selon Le Lab d’Europe 1, choisi de rejoindre le navire d’En Marche!Mercredi, déjà, ce sont le président de France Stratégie Jean Pisani-Ferry, l’ex-journaliste Laurence Haïm, et l’ancien sondeur Denis Delmas, qui avaient rallié l’ancien banquier d’affaires.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol