Archive pour le Tag 'bidon'

Candidature Premier ministre: nouveau nom bidon sorti du chapeau de la gauche

Candidature Premier ministre:  nouveau nom bidon sort du chapeau de la gauche

Lucie Castets, c’est le nouveau nom sorti du chapeau de la gauche pour une candidature de premier ministre. Une candidate complètement inconnue, précédemment chargé des achats à la Ville de Paris ! Une  candidate jetée  dans les pieds de Macron juste avant sa conférence de presse. Lequel a renvoyé la question après les JO.

Un nouveau nom jeté en pâture uniquement pour des motifs politiciens car l’intéressée n’a aucun passé et aucune expérience politique et évidemment aucun bagage pour prétendre diriger la France comme premier ministre. Bref la confirmation que la gauche fait semblant de vouloir diriger le pays. Une véritable posture suicidaire pour le NFP.

Juste avant l’intervention de Macron, les responsables du Nouveau Front populaire se sont donc  enfin mis d’accord sur un nom à proposer à Emmanuel Macron pour Matignon. Il s’agit de la  » haute fonctionnaire » Lucie Castets » chargée des achats à la ville de Paris !

Vauquiez: un pacte législatif bidon

Vauquiez: un pacte législatif bidon

Wauquiez a sans doute innové en matière d’ingénierie politique en proposant un ensemble de 13 propositions de loi concernant le travail, la sécurité, l’agriculture ou le logement mais sans possibilité de majorité même relative pour le faire voter et en plus sans intention de se salir les mains en participant un gouvernement. Bref de la pure agitation pour un parti qui ne représente plus grand-chose et qui même allié à ce qui reste des effectifs de Macron ne pourrait obtenir un vote favorable de l’assemblée sans l’aide soit de la gauche soit du rassemblement national.

Wauquiez a bien tenu à préciser qu’il s’agissait d’une proposition destinée aux autres puisque son parti ne veut pas se mouiller dans la gestion. Bref davantage une perspective politique pour servir la candidature de Wauquiez en 2027 que réellement une initiative pour sortir le pays de la dernière politique dans laquelle il se trouve

Notons que cet ensemble de 13 propositions est une sorte de cocktail de mesures déjà prises, en cours de mise en œuvre est nouvelle. Davantage une démarche électorale que réellement politique. Cet ensemble de treize propositions de loi, parfois déjà votées en première lecture au Palais-Bourbon lors de la précédente législature, ou qui ont même été l’objet de projets de loi, s’articulent autour du travail, de la sécurité, de l’agriculture ou encore du logement.

Lire aussiLaurent Wauquiez, un retour contrarié

Législatives et budget : des économies bidon !

Législatives et comptes publics : des économies bidon !

Il faut se souvenir qu’il y a encore quelques semaines le gouvernement avait confirmé la nécessité de faire 20 milliards d’économies en 2024 et 20 milliards d’euros en 2025. Mais avec la perspective des législatives chaque grand camp politique a multiplié les promesses de dépenses sociales et sans bouclage financier cohérent.

Le Front National par exemple qui peut obtenir une majorité absolue veut équilibrer ses dépenses sociales avec les économies faites sur les immigrés, la réforme administrative et la suppression des agences régionales de santé. De toute manière des économies pas du tout à la hauteur des enjeux et dans certaines sont hypothétiques voire à très long terme comme la réforme administrative. Finalement pour résumer au lieu de réaliser 20 milliards d’économies supplémentaires en 2024, on s’oriente plutôt vers l’augmentation de dizaines de milliards supplémentaires de dépenses.

Résultat la France devra emprunter encore davantage alors qu’elle affiche déjà un déficit représentant 110 % du PIB soit plus de 3000 milliards. Les incertitudes politiques vont se traduire par une augmentation du coût de l’argent donc par l’inflation, une perte de compétitivité pour l’économie et une perte de pouvoir d’achat pour les ménages.

Le RN est, en effet, resté relativement vague sur sa stratégie budgétaire dans son programme. Tenté de rassurer les milieux financiers et patronaux, Jordan Bardella a annoncé qu’il allait faire « un audit » des comptes publics à son arrivée à Matignon. Partant des résultats de cet audit, le RN espère dresser « des pistes d’économies ».

Interrogé par l’U2P (Union des entreprises de proximité) sur sa politique économique pour réduire la dette, le RN a déjà posé sur la table quelques propositions dans un courrier. «Nous rationaliserons les dépenses publiques, notamment en réduisant le coût de l’immigration, les dépenses de fonctionnement des agences de l’Etat (suppression des ARS, plan de rationalisation des agences publiques dès le PLF 2025) et du millefeuille territorial », a expliqué le parti dans sa réponse au patronat.

Mais sur les trois leviers mentionnés, les économies espérées seraient loin de permettre un rétablissement des comptes publics. Sans prélèvements obligatoires supplémentaires, le montant de la rigueur budgétaire à réaliser serait de l’ordre de 80 milliards d’euros, selon des calculs de l’OFCE pour parvenir à 3% de déficit d’ici 2027. Mathieu Plane n’hésite pas à parler de « l’illusion des économies » du RN.

 

 

 

Avenir énergétique de la France: Encore une consultation bidon

Avenir énergétique de la France: Encore une consultation bidon 

À nouveau va être organisée une consultation sur l’avenir énergétique de la France. De toute façon,  les orientations ont déjà été décidées et c’est tant mieux car cette  pseudo démocratie ne fait que retarder la mise en œuvre d’une politique énergétique assurant l’indépendance du pays. On connaît déjà les résultats par ailleurs annoncé par le gouvernement. La politique reposera surtout sur le nucléaire avec le parc actuel qui est modernisé et dont la durée de vie sera allongée et avec des énergies renouvelables pour satisfaire l’Europe et les écolos.De toute manière le sujet est particulièrement complexe. Les Français qui déjà ont des difficultés à comprendre la problématique économique et financière ont encore plus de difficultés avec la question énergétique qui prend des allures de caricature quand on oppose les nouvelles énergies à l’énergie nucléaire.

Après avoir été déjà consultés dans le cadre d’une concertation nationale sur le futur mix énergétique de la France, lancée fin 2022 par le gouvernement, puis à l’occasion d’un débat sur le nouveau programme nucléaire, initié par la Commission nationale du débat public (CNDP) quelques semaines plus tard, les Français qui le souhaitent vont, de nouveau, être sollicités par les pouvoirs publics pour donner leur avis sur l’avenir énergétique du pays.

Vendredi dernier, Matignon a, en effet, annoncé le lancement d’une « grande consultation » sur la stratégie énergie et climat de la France, sous l’égide de la CNDP. Une institution qui ne sert pas grand chose et qui fait double emploi avec toutes les autres.

 

 

Environnement- Bruno Le Maire se met au vert » bidon »

Environnement- Bruno Le Maire se met au vert » bidon »

Le ministre de l’économie a clairement fermé la porte à toute mesure financière concernant le changement climatique:
« la porte du ministère des Finances, elle est fermée », a averti Bruno Le Maire, ce jeudi . Pour compenser il fait semblant d’inciter les grandes entreprises à donner un coup de peinture verte sur leur politique. On voit mal ce que pourrait faire en supplément des entreprises comme EDF ou la SNCF d’autant que leur avenir dépend largement des questions de financement des investissements et des conditions d’exploitation décidées par le gouvernement.

Ce jeudi, les ministres Bruno Le Maire et l’inutile Christophe Béchu ont tenu une conférence de presse au terme d’une réunion avec « les représentants des filières économiques ainsi que des organisations syndicales pour lancer les travaux sur l’adaptation des entreprises au changement climatique ».

Bref Bruno le maire repeint aussi en vert son discours avec sans doute la préoccupation d’un bilan un peu plus présentable pour sa candidature aux présidentielles de 2027. Un discours d’ailleurs assez pathétique histoire discrètement de contrer le discours du Premier ministre.

« Le changement climatique est déjà là, a acté le locataire de Bercy. (…) [Les catastrophes climatiques] créent des souffrances pour nos compatriotes. (…) Nous ne pouvons pas attendre, et il ne suffit pas de fixer des grands plans : il faut prendre des décisions immédiates (…) afin d’anticiper pour protéger et faciliter la vie de nos compatriotes. »

Bruno Le Maire a mis l’accent sur trois mesures. Il a notamment mis en exergue la nécessité pour les transports publics et les entreprises énergétiques « d’être résistants au changement climatique ». « Je demande donc que toutes les grandes entreprises publiques, je pense à la SNCF, EDF, RTE, nous fournissent d’ici fin 2024 un plan détaillé d’adaptation au changement climatique », a-t-il exigé.
Bref la nullité, la démagogie qui le dispute à l’impuissance. Et la manifestation très nette que le ministre de l’économie se prend en fait pour le premier ministre.

Changement climatique Bruno Le Maire se met au vert « bidon »

Changement climatique Bruno Le Maire se met au vert » bidon »

Le ministre de l’économie a clairement fermé la porte à toute mesure financière concernant le changement climatique:
« la porte du ministère des Finances, elle est fermée », a averti Bruno Le Maire, ce jeudi . Pour compenser il fait semblant d’inciter les grandes entreprises à donner un coup de peinture verte sur leur politique. On voit mal ce que pourrait faire en supplément des entreprises comme EDF ou la SNCF d’autant que leur avenir dépend largement des questions de financement des investissements et des conditions d’exploitation décidées par le gouvernement.

Ce jeudi, les ministres Bruno Le Maire et l’inutile Christophe Béchu ont tenu une conférence de presse au terme d’une réunion avec « les représentants des filières économiques ainsi que des organisations syndicales pour lancer les travaux sur l’adaptation des entreprises au changement climatique ».

Bref Bruno le maire repeint aussi en vert son discours avec sans doute la préoccupation d’un bilan un peu plus présentable pour sa candidature aux présidentielles de 2027. Un discours d’ailleurs assez pathétique histoire discrètement de contrer le discours du Premier ministre.

« Le changement climatique est déjà là, a acté le locataire de Bercy. (…) [Les catastrophes climatiques] créent des souffrances pour nos compatriotes. (…) Nous ne pouvons pas attendre, et il ne suffit pas de fixer des grands plans : il faut prendre des décisions immédiates (…) afin d’anticiper pour protéger et faciliter la vie de nos compatriotes. »

Bruno Le Maire a mis l’accent sur trois mesures. Il a notamment mis en exergue la nécessité pour les transports publics et les entreprises énergétiques « d’être résistants au changement climatique ». « Je demande donc que toutes les grandes entreprises publiques, je pense à la SNCF, EDF, RTE, nous fournissent d’ici fin 2024 un plan détaillé d’adaptation au changement climatique », a-t-il exigé.
Bref la nullité, la démagogie qui le dispute à l’impuissance. Et la manifestation très nette que le ministre de l’économie se prend en fait pour le premier ministre.

Déficit budgétaire : un accord bidon entre la France et l’Allemagne

Déficit budgétaire : un accord bidon entre la France et l’Allemagne

Officiellement un accord est intervenu concernant les critères de gestion des finances publiques dans l’union européenne. Un accord plus ou moins bidon tellement les situations et les perspectives sont différentes selon les pays. Pour résumer l’union européenne admet désormais de grande souplesse, « des flexibilités supplémentaires » pour tenir compte de la transition budgétaire verte et des dépenses d’investissement notamment militaire. De quoi justifier tous les dépassements des pays dépensiers notamment de la France. Mais un accord qui n’a été possible qu’après une concertation entre la France et l’Allemagne.
L’accord a été rendu possible par un rapprochement scellé mardi soir entre la France et l’Allemagne, longtemps aux antipodes sur le sujet. Les pays endettés du sud de l’Europe, à l’instar de la France, insistaient sur des flexibilités supplémentaires afin de protéger l’investissement nécessaire pour la transition verte et les dépenses militaires engendrées par l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Officiellement Paris et Berlin étaient tombés d’accord sur les nouvelles conditions de finances publiques plus saines. La vérité, c’est que l’Allemagne comme la France au plan politique ont été contraints de trouver un habillage pour leurs déficits croissants. Celui de la France clairement connue mais aussi celui de l’Allemagne relativement dissimulé jusque-là et dénoncé par la cour de Karlsruhe.

On va donc réaffirmer le principe d’une limite à 3 % du PIB pour le déficit budgétaire mais avec des assouplissements tout ce qui concerne les investissements notamment énergétiques et écologiques. Autant dire la porte ouverte à n’importe quoi tellement la peinture verte peut servir à justifier toutes les dépenses aussi bien de fonctionnement que d’investissement. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a salué une «excellente nouvelle pour l’Europe, qui permettra de garantir des finances publiques saines et l’investissement dans le futur».

Paris et Berlin ont trouvé un accord «à 100%» sur les nouvelles règles du Pacte de stabilité et de croissance, a annoncé mardi soir le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, à l’issue d’une rencontre avec son homologue allemand Christian Lindner.Un accord qui a ensuite été étendu à l’ensemble de l’Europe

C’est une «excellente nouvelle pour l’Europe, qui permettra de garantir des finances publiques saines et l’investissement dans le futur», s’est réjoui le ministre français sur le réseau social X (ex-Twitter), dans un message accompagné des drapeaux français et allemand. «Ecofin demain!», a ajouté Bruno Le Maire en évoquant une réunion virtuelle des ministres des Finances de l’UE mercredi, à l’issue de laquelle cet accord été entériné par les 27.

Finances publiques : un accord bidon entre la France et l’Allemagne

Finances publiques : un accord bidon entre la France et l’Allemagne

Officiellement un accord est intervenu concernant les critères de gestion des finances publiques dans l’union européenne. Un accord plus ou moins bidon tellement les situations et les perspectives sont différentes selon les pays. Pour résumer l’union européenne admet désormais de grande souplesse, « des flexibilités supplémentaires » pour tenir compte de la transition budgétaire verte et des dépenses d’investissement notamment militaire. De quoi justifier tous les dépassements des pays dépensiers notamment de la France. Mais un accord qui n’a été possible qu’après une concertation entre la France et l’Allemagne.
L’accord a été rendu possible par un rapprochement scellé mardi soir entre la France et l’Allemagne, longtemps aux antipodes sur le sujet. Les pays endettés du sud de l’Europe, à l’instar de la France, insistaient sur des flexibilités supplémentaires afin de protéger l’investissement nécessaire pour la transition verte et les dépenses militaires engendrées par l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Officiellement Paris et Berlin étaient tombés d’accord sur les nouvelles conditions de finances publiques plus saines. La vérité, c’est que l’Allemagne comme la France au plan politique ont été contraints de trouver un habillage pour leurs déficits croissants. Celui de la France clairement connue mais aussi celui de l’Allemagne relativement dissimulé jusque-là et dénoncé par la cour de Karlsruhe.

On va donc réaffirmer le principe d’une limite à 3 % du PIB pour le déficit budgétaire mais avec des assouplissements tout ce qui concerne les investissements notamment énergétiques et écologiques. Autant dire la porte ouverte à n’importe quoi tellement la peinture verte peut servir à justifier toutes les dépenses aussi bien de fonctionnement que d’investissement. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a salué une «excellente nouvelle pour l’Europe, qui permettra de garantir des finances publiques saines et l’investissement dans le futur».

Paris et Berlin ont trouvé un accord «à 100%» sur les nouvelles règles du Pacte de stabilité et de croissance, a annoncé mardi soir le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, à l’issue d’une rencontre avec son homologue allemand Christian Lindner.Un accord qui a ensuite été étendu à l’ensemble de l’Europe

C’est une «excellente nouvelle pour l’Europe, qui permettra de garantir des finances publiques saines et l’investissement dans le futur», s’est réjoui le ministre français sur le réseau social X (ex-Twitter), dans un message accompagné des drapeaux français et allemand. «Ecofin demain!», a ajouté Bruno Le Maire en évoquant une réunion virtuelle des ministres des Finances de l’UE mercredi, à l’issue de laquelle cet accord été entériné par les 27.

Finances publiques : un accord bidon entre la France et l’Allemagne

Finances publiques : un accord bidon entre la France et l’Allemagne

Officiellement Paris et Berlin sont tombés d’accord sur les nouvelles conditions de finances publiques plus saines. La vérité c’est que l’Allemagne comme la France au plan politique ont été contraints de trouver un habillage pour leur déficit de croissants. Celui de la France clairement connue mais aussi celui de l’Allemagne relativement dissimulé jusque-là.

On va donc réaffirmer le principe d’une limite à 3 % du pipe pour le déficit budgétaire mais avec des assouplissements tout ce qui concerne les investissements notamment énergétiques et écologiques. Autant dire la porte ouverte à n’importe quoi tellement la peinture verte peut servir à justifier toutes les dépenses aussi bien de fonctionnement que d’investissement.Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a salué une «excellente nouvelle pour l’Europe, qui permettra de garantir des finances publiques saines et l’investissement dans le futur».

Paris et Berlin ont trouvé un accord «à 100%» sur les nouvelles règles du Pacte de stabilité et de croissance, a annoncé mardi soir le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, à l’issue d’une rencontre avec son homologue allemand Christian Lindner.

C’est une «excellente nouvelle pour l’Europe, qui permettra de garantir des finances publiques saines et l’investissement dans le futur», s’est réjoui le ministre français sur le réseau social X (ex-Twitter), dans un message accompagné des drapeaux français et allemand. «Ecofin demain!», a ajouté Bruno Le Maire en évoquant une réunion virtuelle des ministres des Finances de l’UE mercredi, à l’issue de laquelle cet accord pourrait être entériné par les 27.

 » Carburant à prix coûtant » : un concept bidon

 » Carburant à prix coûtant » : un concept bidon


Après le concept « vente à perte » voilà le nouveau concept de « vente à prix coûtant ». De toute manière, le consommateur n’a aucun moyen de vérifier la réalité de ces concepts. On sait par contre qu’en général plus le prix du pétrole est élevé et plus les marges des producteurs pétroliers, des raffineurs et des distributeurs sont fortes. La grande distribution a déjà prévenu une éventuelle vente à prix coûtant se traduira au maximum par une réduction de 2 centimes le litre

Selon les estimations et le cours du pétrole, les marges des pétroliers varieraient de 0,10 à 0,20 € par litre (Ce qui est énorme compte tenu du volume traité)

S’appuyant sur les données de l’Union française des industries pétrolières (Ufip), CLCV ( association de consommateurs) estime les marges sur le gazole et l’essence à 20 centimes par litre.

Pour les distributeurs il faut distinguer ce qui produit du pétrole et ceux qui se contentent de le distribuer. À cet égard la marge des marques de grande distribution sont volontairement faibles, entre un et trois centimes. La distribution de carburant constitue en effet pour la grande distribution un produit d’appel pour inciter les consommateurs à s’approvisionner sur d’autres produits en magasin.

Le concept de vente à prix coûtant constitue en réalité souvent un objet marketing sans réel contenu et donc sans influence pour le consommateur.

Il faut enfin ajouter que l’État lui-même qui incite à cette vente à prix coûtant ne se prive pas de profiter de la hausse des prix du pétrole pour hommes augmenter ses recettes fiscales contrairement à ce que dit le ministre de l’économie. En effet une grosse part des taxes via la TVA proportionnelle au prix du carburant.

La plupart des marques de la grande distribution se sont appropriées ce concept de prix coûtant sans grand dommage car c’est souvent ce qu’ils pratiquent ou presque. En outre le volume de la consommation ayant diminué de 7 %. En outre la grande distribution est inquiète de la diminution du volume des achats de 7 % sur les produits vendus en général. Une conséquence directe de l’inflation et de la baisse du pouvoir d’achat des ménages. On va donc assister à une guerre des slogans sur le prix du carburant.

Essence – « Vente à prix coûtant » : encore un concept bidon

Essence – « Vente à prix coûtant » : encore un concept bidon


Après le concept « vente à perte » voilà le nouveau concept de « vente à prix coûtant ». De toute manière, le consommateur n’a aucun moyen de vérifier la réalité de ces concepts. On sait par contre qu’en général plus le prix du pétrole est élevé et plus les marges des producteurs pétroliers, des raffineurs et des distributeurs sont fortes. La grande distribution a déjà prévenu une éventuelle vente à prix coûtant se traduira au maximum par une réduction de 2 centimes le litre

Selon les estimations et le cours du pétrole, les marges des pétroliers varieraient de 0,10 à 0,20 € par litre (Ce qui est énorme compte tenu du volume traité)

S’appuyant sur les données de l’Union française des industries pétrolières (Ufip), CLCV ( association de consommateurs) estime les marges sur le gazole et l’essence à 20 centimes par litre.

Pour les distributeurs il faut distinguer ce qui produit du pétrole et ceux qui se contentent de le distribuer. À cet égard la marge des marques de grande distribution sont volontairement faibles, entre un et trois centimes. La distribution de carburant constitue en effet pour la grande distribution un produit d’appel pour inciter les consommateurs à s’approvisionner sur d’autres produits en magasin.

Le concept de vente à prix coûtant constitue en réalité souvent un objet marketing sans réel contenu et donc sans influence pour le consommateur.

Il faut enfin ajouter que l’État lui-même qui incite à cette vente à prix coûtant ne se prive pas de profiter de la hausse des prix du pétrole pour hommes augmenter ses recettes fiscales contrairement à ce que dit le ministre de l’économie. En effet une grosse part des taxes via la TVA proportionnelle au prix du carburant.

La plupart des marques de la grande distribution se sont appropriées ce concept de prix coûtant sans grand dommage car c’est souvent ce qu’ils pratiquent ou presque. En outre le volume de la consommation ayant diminué de 7 %. En outre la grande distribution est inquiète de la diminution du volume des achats de 7 % sur les produits vendus en général. Une conséquence directe de l’inflation et de la baisse du pouvoir d’achat des ménages. On va donc assister à une guerre des slogans sur le prix du carburant.

2024: un encore budget bidon du gouvernement

2024: un encore budget bidon du gouvernement

Comme d’habitude, le gouvernement va présenter un bidon pour 2024 qui va encore se caractériser par une surestimation fiscale et de la croissance, inversement par une sous-estimation de la dérive des dépenses, du déficit et du coût de la dette. Ainsi par exemple concernant les perspectives économiques, le gouvernement retient une hypothèse de 1,4 % pour l’année au lieu de 1,6 % précédemment. Le problème c’est que l’économie mondiale est sur une tendance baissière. En 2023 , l’activité économique ne permettra même pas d’atteindre 1 % de croissance du PIB. L’année 2024 risque d’être tout aussi catastrophique sinon davantage.

Le ministre de l’économie a cependant reconnu les difficultés de la conjoncture « La récession en Allemagne, les difficultés en Chine et la persistance des taux élevés auront un impact sur la croissance de 2024. Nous révisons la croissance de 1,6% à 1,4% pour 2024 », a déclaré le ministre de l’Economie Bruno Le Maire.Le problème c’est que cette croissance est largement supérieure à 2023. Une année où on aura bien de la difficulté à atteindre une croissance moyenne de 1 % puisque par exemple au cours du troisième trimestre on va tutoyer la récession.

Pourtant pour 2023, l’exécutif n’a pas changé son chiffre de croissance du PIB de 1%. Récemment, l’Insee a revu à la hausse sa projection pour cette année de 0,6% à 0,9% à la faveur d’un second trimestre tiré par des chiffres du commerce extérieur favorables. De son côté, la Banque de France devrait mettre à jour ses projections macroéconomique le lundi 18 septembre prochain pour 2023 et 2024. Quant à l’inflation, Bercy table sur une hausse de 2,6% en 2024 contre 4,9% en 2023.

Concernant le déficit public, le gouvernement n’a pas apporté de précision pour 2024. Il a rappelé qu’il voulait accélérer le désendettement d’ici à 2027. Au lieu de 2,9% d’ici 2027, le déficit rapporté au PIB devrait atteindre 2,7%. Quant à la dette publique, elle sera ramenée à 108,1% au lieu de 110,9%. L’exécutif n’a pas hésité à agiter l’épouvantail de la charge de la dette qui « atteindra 74 milliards d’euros en 2027 » pour justifier l’accélération de ce désendettement.

La récente décision de la Banque centrale européenne (BCE) d’augmenter les taux « a conforté cette décision », a ajouté le ministre de l’Economie. Au total, l’exécutif espère faire baisser le ratio de dépenses publiques de 4 points d’ici 2027 en passant de 57,7% en 2022 à 53,8% en 2027.

Au total des pronostics très hypothétiques qui n’ont pas de quoi rassurer ni en France ni à Bruxelles

Et parmi les hypothèses douteuses il faut surtout parler comme d’habitude des espérances de réduction des dépenses.
S’agissant de 2024, on espère au total réaliser 16 milliards d’euros d’économies. Dans le détail, 10 milliards d’euros doivent provenir de la fin du bouclier tarifaire, 4,4 milliards d’euros sur les aides exceptionnelles aux entreprises, 1 milliard d’euros sur les politiques de l’emploi et 700 millions d’euros sur l’assurance-chômage.

Des coups de rabot dont certains ne sont pas nécessairement opportun d’un point de vue social et économique.

En effet, beaucoup de salariés ont enregistré depuis deux ans des hausses de salaires inférieures à l’inflation. Résultat, les salaires réels corrigés de l’indice des prix ont stagné, voire reculé pour la plupart des catégories professionnelles. Les mauvais chiffres de la consommation ces derniers trimestres et le cri d’alarme des associations alimentaires il y a quelques jours ont montré que l’inflation a frappé une grande partie des Français .

2024: un budget bidon par le gouvernement

2024: un budget bidon par le gouvernement

Comme d’habitude, le gouvernement va présenter un bidon pour 2024 qui va encore se caractériser par une surestimation fiscale et de la croissance, inversement par une sous-estimation de la dérive des dépenses, du déficit et du coût de la dette. Ainsi par exemple concernant les perspectives économiques, le gouvernement retient une hypothèse de 1,4 % pour l’année au lieu de 1,6 % précédemment. Le problème c’est que l’économie mondiale est sur une tendance baissière. En 2023 , l’activité économique ne permettra même pas d’atteindre 1 % de croissance du PIB. L’année 2024 risque d’être tout aussi catastrophique sinon davantage.

Le ministre de l’économie a cependant reconnu les difficultés de la conjoncture « La récession en Allemagne, les difficultés en Chine et la persistance des taux élevés auront un impact sur la croissance de 2024. Nous révisons la croissance de 1,6% à 1,4% pour 2024 », a déclaré le ministre de l’Economie Bruno Le Maire.Le problème c’est que cette croissance est largement supérieure à 2023. Une année où on aura bien de la difficulté à atteindre une croissance moyenne de 1 % puisque par exemple au cours du troisième trimestre on va tutoyer la récession.

Pourtant pour 2023, l’exécutif n’a pas changé son chiffre de croissance du PIB de 1%. Récemment, l’Insee a revu à la hausse sa projection pour cette année de 0,6% à 0,9% à la faveur d’un second trimestre tiré par des chiffres du commerce extérieur favorables. De son côté, la Banque de France devrait mettre à jour ses projections macroéconomique le lundi 18 septembre prochain pour 2023 et 2024. Quant à l’inflation, Bercy table sur une hausse de 2,6% en 2024 contre 4,9% en 2023.

Concernant le déficit public, le gouvernement n’a pas apporté de précision pour 2024. Il a rappelé qu’il voulait accélérer le désendettement d’ici à 2027. Au lieu de 2,9% d’ici 2027, le déficit rapporté au PIB devrait atteindre 2,7%. Quant à la dette publique, elle sera ramenée à 108,1% au lieu de 110,9%. L’exécutif n’a pas hésité à agiter l’épouvantail de la charge de la dette qui « atteindra 74 milliards d’euros en 2027 » pour justifier l’accélération de ce désendettement.

La récente décision de la Banque centrale européenne (BCE) d’augmenter les taux « a conforté cette décision », a ajouté le ministre de l’Economie. Au total, l’exécutif espère faire baisser le ratio de dépenses publiques de 4 points d’ici 2027 en passant de 57,7% en 2022 à 53,8% en 2027.

Au total des pronostics très hypothétiques qui n’ont pas de quoi rassurer ni en France ni à Bruxelles

Et parmi les hypothèses douteuses il faut surtout parler comme d’habitude des espérances de réduction des dépenses.
S’agissant de 2024, on espère au total réaliser 16 milliards d’euros d’économies. Dans le détail, 10 milliards d’euros doivent provenir de la fin du bouclier tarifaire, 4,4 milliards d’euros sur les aides exceptionnelles aux entreprises, 1 milliard d’euros sur les politiques de l’emploi et 700 millions d’euros sur l’assurance-chômage.

Des coups de rabot dont certains ne sont pas nécessairement opportun d’un pendu social et économique.

En effet,beaucoup de salariés ont enregistré depuis deux ans des hausses de salaires inférieures à l’inflation. Résultat, les salaires réels corrigés de l’indice des prix ont stagné, voire reculé pour la plupart des catégories professionnelles. Les mauvais chiffres de la consommation ces derniers trimestres et le cri d’alarme des associations alimentaires il y a quelques jours ont montré que l’inflation a frappé une grande partie des Français .

Fiscalité verte : un tournant ?
Concernant le verdissement de la fiscalité, le gouvernement veut basculer les recettes des avantages fiscaux sur les énergies fossiles vers les énergies vertes. C’est par exemple le cas pour la fin de la niche fiscale sur le gazole non routier (GNR) pour les agriculteurs et les entreprises du BTP. Cette semaine, Bercy a trouvé un accord avec les professionnels. « Concrètement, les agriculteurs verront la fiscalité du GNR augmenter de 2,85 centimes par litre de carburant en 2024 et les entrepreneurs de travaux publics de 5,99 centimes. Nous voulons avec ces recettes favoriser l’accès de ces professions aux biocarburants en consolidant la filière », a précisé Bruno Le Maire. En revanche, l’exécutif ne s’est pas attaqué au GNR des transporteurs routiers redoutant de vives contestations.

Lire aussiFin de la détaxe sur les carburants : le gouvernement face au risque d’embrasement

Le gouvernement brandit le spectre du 49-3
Après une avalanche de 49-3 lors de la première année de mandature, le gouvernement s’apprête de nouveau à brandir cette arme constitutionnelle. Lors de son intervention, le ministre de l’Economie a multiplié les appels du pied aux députés Les Républicains et LIOT avant la présentation fatidique des textes budgétaires.

Lire aussiLe gouvernement promet d’associer LR à des « réformes structurelles pour faire des économies »

Les ministres de Bercy promettent d’enchaîner les rendez-vous avec les groupes parlementaires « sans exception » pour les convaincre de voter le budget 2024. Mais dans les sphères macronistes comme celles de l’opposition, le spectre du 49-3 se précise. La prochaine réunion des Dialogues de Bercy prévue la semaine prochaine avec différents parlementaires pourrait confirmer cette crainte. Lors de son discours aux journées parlementaires de la majorité ce jeudi, la Première ministre Elisabeth Borne a d’ailleurs évoqué cette option.« A la veille du débat budgétaire, nous sommes lucides : voter un budget marque l’appartenance à une majorité. Nous aurons donc probablement recours à plusieurs 49-3 pour permettre l’adoption de nos textes financiers ».

Encore un conseil de la Refondation bidon

Encore un conseil de la Refondation bidon

Beaucoup de syndicats refuse l’invitation nouvelle de Macon au conseil national de la Refondation de jeudi. Un conseil national de la Refondation en mort cérébrale qui ne sert à rien, n’a aucune légitimité et constitue seulement les gadgets de la république pour contourner les organismes officiels de la concertation. Bref une sorte de transgression monarchique permanente de Macon vis-à-vis des institutions démocratiques y compris le Parlement.

À la suite de FO, CFE-CGC et Solidaires, la CGT a décliné l’invitation d’Emmanuel Macron au Conseil national de la refondation de jeudi. Le CNR voulu par le chef de l’Etat pour « bâtir des consensus » peine à trouver sa place dans la vie politique et syndicale.

Dans un communiqué transmis vendredi, FO avait de son côté brocardé l’instance qui conduit à « diluer » la parole des syndicats et « affaiblit le rôle des acteurs sociaux ». « Pour FO, il n’y a qu’un seul CNR, issu de la résistance à la fin de la Seconde Guerre mondiale », s’était agacée l’organisation. La CFE-CGC continue elle aussi à repousser l’invitation, « pointant une opération de vitrine, de communication avec l’accaparement grossier de l’acronyme du Conseil national de la résistance », explique son président François Hommeril. « Solidaires n’a pas de temps à perdre à voir Macron à l’Elysée », a également lancé le co-délégué de l’organisation, Simon Duteil. « Le CNR c’est de la communication! C’est de l’agitation! », a dénoncé le syndicaliste qui attend des « actes forts sur les questions écologiques et sociales ».

Un an après son lancement, Emmanuel Macron réunit le CNR pour « fixer un cap » à la poursuite des travaux de cette instance. Lancée pour « bâtir des consensus », elle se décline en plusieurs thèmes (« bien vieillir », « climat et biodiversité », logement, jeunesse, travail…), autour desquels il compte rassembler forces politiques, partenaires sociaux, représentants d’entreprises et associations.

Dans les faits, les deux premiers rendez-vous ont été largement boudés par les partis d’opposition et les syndicats qui ne seront pas présents jeudi.

Politique- Macron- « la grande initiative « , du bidon

Politique- Macron- « la grande initiative « , du bidon

Finalement comme souvent avec Macron et comme l’année dernière la grande initiative politique de 2023 va se limiter à pas grand-chose. En 2022, le président de la république avait lancé sa fameuse idée de conseil national de la Refondation qui a complètement disparu des radars. Cette année en 2023, Macron annonce seulement une rencontre avec les présidents de parti. Bref, le travail habituel d’un président la république et pas vraiment initiative politique d’envergure.

On sait que le président avait été tenté par deux initiatives. La première concerne l’immigration dont le débat est repoussé de mois en mois. La seconde aurait concerné un référendum avec le risque évident de le perdre.

Il faut donc se rabattre sur une rencontre qui évidemment ne débouchera tristement rien car l’opposition n’est pas prête à redonner de l’oxygène un pouvoir qui paraît asphyxié et politiquement paralysé.

Dans un entretien accordé au Point, le chef de l’État invite donc les présidents de partis à échanger la semaine prochaine et fait le point sur les gros dossiers de la rentrée.

. Dans une interview fleuve accordée au journal Le Point , le chef de l’État explique vouloir convier les présidents des partis représentés au Parlement la semaine prochaine «dans un lieu en région parisienne». Tous sont invités, y compris La France insoumise et le Rassemblement national, habituellement exclus au motif de «l’arc républicain». L’occasion sans doute pour Macon de faire un grand discours. Il n’est même pas sûr que les chefs de partis s’y rendent

Le président espère ainsi trouver des «convergences», et aboutir à des «décisions immédiates», «projets et propositions de lois» et «projets de référendums» sur une multitude de thématiques. «Les oppositions compatibles sont trop divisées (…), on ne peut que constituer des majorités de projet», reconnaît le locataire de l’Élysée. Il fait également une série d’annonces pas vraiment d’ampleur ou nouvelles , portant notamment sur les gros chantiers de l’automne.

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