Archive pour le Tag 'bidon'

 » Carburant à prix coûtant » : un concept bidon

 » Carburant à prix coûtant » : un concept bidon


Après le concept « vente à perte » voilà le nouveau concept de « vente à prix coûtant ». De toute manière, le consommateur n’a aucun moyen de vérifier la réalité de ces concepts. On sait par contre qu’en général plus le prix du pétrole est élevé et plus les marges des producteurs pétroliers, des raffineurs et des distributeurs sont fortes. La grande distribution a déjà prévenu une éventuelle vente à prix coûtant se traduira au maximum par une réduction de 2 centimes le litre

Selon les estimations et le cours du pétrole, les marges des pétroliers varieraient de 0,10 à 0,20 € par litre (Ce qui est énorme compte tenu du volume traité)

S’appuyant sur les données de l’Union française des industries pétrolières (Ufip), CLCV ( association de consommateurs) estime les marges sur le gazole et l’essence à 20 centimes par litre.

Pour les distributeurs il faut distinguer ce qui produit du pétrole et ceux qui se contentent de le distribuer. À cet égard la marge des marques de grande distribution sont volontairement faibles, entre un et trois centimes. La distribution de carburant constitue en effet pour la grande distribution un produit d’appel pour inciter les consommateurs à s’approvisionner sur d’autres produits en magasin.

Le concept de vente à prix coûtant constitue en réalité souvent un objet marketing sans réel contenu et donc sans influence pour le consommateur.

Il faut enfin ajouter que l’État lui-même qui incite à cette vente à prix coûtant ne se prive pas de profiter de la hausse des prix du pétrole pour hommes augmenter ses recettes fiscales contrairement à ce que dit le ministre de l’économie. En effet une grosse part des taxes via la TVA proportionnelle au prix du carburant.

La plupart des marques de la grande distribution se sont appropriées ce concept de prix coûtant sans grand dommage car c’est souvent ce qu’ils pratiquent ou presque. En outre le volume de la consommation ayant diminué de 7 %. En outre la grande distribution est inquiète de la diminution du volume des achats de 7 % sur les produits vendus en général. Une conséquence directe de l’inflation et de la baisse du pouvoir d’achat des ménages. On va donc assister à une guerre des slogans sur le prix du carburant.

Essence – « Vente à prix coûtant » : encore un concept bidon

Essence – « Vente à prix coûtant » : encore un concept bidon


Après le concept « vente à perte » voilà le nouveau concept de « vente à prix coûtant ». De toute manière, le consommateur n’a aucun moyen de vérifier la réalité de ces concepts. On sait par contre qu’en général plus le prix du pétrole est élevé et plus les marges des producteurs pétroliers, des raffineurs et des distributeurs sont fortes. La grande distribution a déjà prévenu une éventuelle vente à prix coûtant se traduira au maximum par une réduction de 2 centimes le litre

Selon les estimations et le cours du pétrole, les marges des pétroliers varieraient de 0,10 à 0,20 € par litre (Ce qui est énorme compte tenu du volume traité)

S’appuyant sur les données de l’Union française des industries pétrolières (Ufip), CLCV ( association de consommateurs) estime les marges sur le gazole et l’essence à 20 centimes par litre.

Pour les distributeurs il faut distinguer ce qui produit du pétrole et ceux qui se contentent de le distribuer. À cet égard la marge des marques de grande distribution sont volontairement faibles, entre un et trois centimes. La distribution de carburant constitue en effet pour la grande distribution un produit d’appel pour inciter les consommateurs à s’approvisionner sur d’autres produits en magasin.

Le concept de vente à prix coûtant constitue en réalité souvent un objet marketing sans réel contenu et donc sans influence pour le consommateur.

Il faut enfin ajouter que l’État lui-même qui incite à cette vente à prix coûtant ne se prive pas de profiter de la hausse des prix du pétrole pour hommes augmenter ses recettes fiscales contrairement à ce que dit le ministre de l’économie. En effet une grosse part des taxes via la TVA proportionnelle au prix du carburant.

La plupart des marques de la grande distribution se sont appropriées ce concept de prix coûtant sans grand dommage car c’est souvent ce qu’ils pratiquent ou presque. En outre le volume de la consommation ayant diminué de 7 %. En outre la grande distribution est inquiète de la diminution du volume des achats de 7 % sur les produits vendus en général. Une conséquence directe de l’inflation et de la baisse du pouvoir d’achat des ménages. On va donc assister à une guerre des slogans sur le prix du carburant.

2024: un encore budget bidon du gouvernement

2024: un encore budget bidon du gouvernement

Comme d’habitude, le gouvernement va présenter un bidon pour 2024 qui va encore se caractériser par une surestimation fiscale et de la croissance, inversement par une sous-estimation de la dérive des dépenses, du déficit et du coût de la dette. Ainsi par exemple concernant les perspectives économiques, le gouvernement retient une hypothèse de 1,4 % pour l’année au lieu de 1,6 % précédemment. Le problème c’est que l’économie mondiale est sur une tendance baissière. En 2023 , l’activité économique ne permettra même pas d’atteindre 1 % de croissance du PIB. L’année 2024 risque d’être tout aussi catastrophique sinon davantage.

Le ministre de l’économie a cependant reconnu les difficultés de la conjoncture « La récession en Allemagne, les difficultés en Chine et la persistance des taux élevés auront un impact sur la croissance de 2024. Nous révisons la croissance de 1,6% à 1,4% pour 2024 », a déclaré le ministre de l’Economie Bruno Le Maire.Le problème c’est que cette croissance est largement supérieure à 2023. Une année où on aura bien de la difficulté à atteindre une croissance moyenne de 1 % puisque par exemple au cours du troisième trimestre on va tutoyer la récession.

Pourtant pour 2023, l’exécutif n’a pas changé son chiffre de croissance du PIB de 1%. Récemment, l’Insee a revu à la hausse sa projection pour cette année de 0,6% à 0,9% à la faveur d’un second trimestre tiré par des chiffres du commerce extérieur favorables. De son côté, la Banque de France devrait mettre à jour ses projections macroéconomique le lundi 18 septembre prochain pour 2023 et 2024. Quant à l’inflation, Bercy table sur une hausse de 2,6% en 2024 contre 4,9% en 2023.

Concernant le déficit public, le gouvernement n’a pas apporté de précision pour 2024. Il a rappelé qu’il voulait accélérer le désendettement d’ici à 2027. Au lieu de 2,9% d’ici 2027, le déficit rapporté au PIB devrait atteindre 2,7%. Quant à la dette publique, elle sera ramenée à 108,1% au lieu de 110,9%. L’exécutif n’a pas hésité à agiter l’épouvantail de la charge de la dette qui « atteindra 74 milliards d’euros en 2027 » pour justifier l’accélération de ce désendettement.

La récente décision de la Banque centrale européenne (BCE) d’augmenter les taux « a conforté cette décision », a ajouté le ministre de l’Economie. Au total, l’exécutif espère faire baisser le ratio de dépenses publiques de 4 points d’ici 2027 en passant de 57,7% en 2022 à 53,8% en 2027.

Au total des pronostics très hypothétiques qui n’ont pas de quoi rassurer ni en France ni à Bruxelles

Et parmi les hypothèses douteuses il faut surtout parler comme d’habitude des espérances de réduction des dépenses.
S’agissant de 2024, on espère au total réaliser 16 milliards d’euros d’économies. Dans le détail, 10 milliards d’euros doivent provenir de la fin du bouclier tarifaire, 4,4 milliards d’euros sur les aides exceptionnelles aux entreprises, 1 milliard d’euros sur les politiques de l’emploi et 700 millions d’euros sur l’assurance-chômage.

Des coups de rabot dont certains ne sont pas nécessairement opportun d’un point de vue social et économique.

En effet, beaucoup de salariés ont enregistré depuis deux ans des hausses de salaires inférieures à l’inflation. Résultat, les salaires réels corrigés de l’indice des prix ont stagné, voire reculé pour la plupart des catégories professionnelles. Les mauvais chiffres de la consommation ces derniers trimestres et le cri d’alarme des associations alimentaires il y a quelques jours ont montré que l’inflation a frappé une grande partie des Français .

2024: un budget bidon par le gouvernement

2024: un budget bidon par le gouvernement

Comme d’habitude, le gouvernement va présenter un bidon pour 2024 qui va encore se caractériser par une surestimation fiscale et de la croissance, inversement par une sous-estimation de la dérive des dépenses, du déficit et du coût de la dette. Ainsi par exemple concernant les perspectives économiques, le gouvernement retient une hypothèse de 1,4 % pour l’année au lieu de 1,6 % précédemment. Le problème c’est que l’économie mondiale est sur une tendance baissière. En 2023 , l’activité économique ne permettra même pas d’atteindre 1 % de croissance du PIB. L’année 2024 risque d’être tout aussi catastrophique sinon davantage.

Le ministre de l’économie a cependant reconnu les difficultés de la conjoncture « La récession en Allemagne, les difficultés en Chine et la persistance des taux élevés auront un impact sur la croissance de 2024. Nous révisons la croissance de 1,6% à 1,4% pour 2024 », a déclaré le ministre de l’Economie Bruno Le Maire.Le problème c’est que cette croissance est largement supérieure à 2023. Une année où on aura bien de la difficulté à atteindre une croissance moyenne de 1 % puisque par exemple au cours du troisième trimestre on va tutoyer la récession.

Pourtant pour 2023, l’exécutif n’a pas changé son chiffre de croissance du PIB de 1%. Récemment, l’Insee a revu à la hausse sa projection pour cette année de 0,6% à 0,9% à la faveur d’un second trimestre tiré par des chiffres du commerce extérieur favorables. De son côté, la Banque de France devrait mettre à jour ses projections macroéconomique le lundi 18 septembre prochain pour 2023 et 2024. Quant à l’inflation, Bercy table sur une hausse de 2,6% en 2024 contre 4,9% en 2023.

Concernant le déficit public, le gouvernement n’a pas apporté de précision pour 2024. Il a rappelé qu’il voulait accélérer le désendettement d’ici à 2027. Au lieu de 2,9% d’ici 2027, le déficit rapporté au PIB devrait atteindre 2,7%. Quant à la dette publique, elle sera ramenée à 108,1% au lieu de 110,9%. L’exécutif n’a pas hésité à agiter l’épouvantail de la charge de la dette qui « atteindra 74 milliards d’euros en 2027 » pour justifier l’accélération de ce désendettement.

La récente décision de la Banque centrale européenne (BCE) d’augmenter les taux « a conforté cette décision », a ajouté le ministre de l’Economie. Au total, l’exécutif espère faire baisser le ratio de dépenses publiques de 4 points d’ici 2027 en passant de 57,7% en 2022 à 53,8% en 2027.

Au total des pronostics très hypothétiques qui n’ont pas de quoi rassurer ni en France ni à Bruxelles

Et parmi les hypothèses douteuses il faut surtout parler comme d’habitude des espérances de réduction des dépenses.
S’agissant de 2024, on espère au total réaliser 16 milliards d’euros d’économies. Dans le détail, 10 milliards d’euros doivent provenir de la fin du bouclier tarifaire, 4,4 milliards d’euros sur les aides exceptionnelles aux entreprises, 1 milliard d’euros sur les politiques de l’emploi et 700 millions d’euros sur l’assurance-chômage.

Des coups de rabot dont certains ne sont pas nécessairement opportun d’un pendu social et économique.

En effet,beaucoup de salariés ont enregistré depuis deux ans des hausses de salaires inférieures à l’inflation. Résultat, les salaires réels corrigés de l’indice des prix ont stagné, voire reculé pour la plupart des catégories professionnelles. Les mauvais chiffres de la consommation ces derniers trimestres et le cri d’alarme des associations alimentaires il y a quelques jours ont montré que l’inflation a frappé une grande partie des Français .

Fiscalité verte : un tournant ?
Concernant le verdissement de la fiscalité, le gouvernement veut basculer les recettes des avantages fiscaux sur les énergies fossiles vers les énergies vertes. C’est par exemple le cas pour la fin de la niche fiscale sur le gazole non routier (GNR) pour les agriculteurs et les entreprises du BTP. Cette semaine, Bercy a trouvé un accord avec les professionnels. « Concrètement, les agriculteurs verront la fiscalité du GNR augmenter de 2,85 centimes par litre de carburant en 2024 et les entrepreneurs de travaux publics de 5,99 centimes. Nous voulons avec ces recettes favoriser l’accès de ces professions aux biocarburants en consolidant la filière », a précisé Bruno Le Maire. En revanche, l’exécutif ne s’est pas attaqué au GNR des transporteurs routiers redoutant de vives contestations.

Lire aussiFin de la détaxe sur les carburants : le gouvernement face au risque d’embrasement

Le gouvernement brandit le spectre du 49-3
Après une avalanche de 49-3 lors de la première année de mandature, le gouvernement s’apprête de nouveau à brandir cette arme constitutionnelle. Lors de son intervention, le ministre de l’Economie a multiplié les appels du pied aux députés Les Républicains et LIOT avant la présentation fatidique des textes budgétaires.

Lire aussiLe gouvernement promet d’associer LR à des « réformes structurelles pour faire des économies »

Les ministres de Bercy promettent d’enchaîner les rendez-vous avec les groupes parlementaires « sans exception » pour les convaincre de voter le budget 2024. Mais dans les sphères macronistes comme celles de l’opposition, le spectre du 49-3 se précise. La prochaine réunion des Dialogues de Bercy prévue la semaine prochaine avec différents parlementaires pourrait confirmer cette crainte. Lors de son discours aux journées parlementaires de la majorité ce jeudi, la Première ministre Elisabeth Borne a d’ailleurs évoqué cette option.« A la veille du débat budgétaire, nous sommes lucides : voter un budget marque l’appartenance à une majorité. Nous aurons donc probablement recours à plusieurs 49-3 pour permettre l’adoption de nos textes financiers ».

Encore un conseil de la Refondation bidon

Encore un conseil de la Refondation bidon

Beaucoup de syndicats refuse l’invitation nouvelle de Macon au conseil national de la Refondation de jeudi. Un conseil national de la Refondation en mort cérébrale qui ne sert à rien, n’a aucune légitimité et constitue seulement les gadgets de la république pour contourner les organismes officiels de la concertation. Bref une sorte de transgression monarchique permanente de Macon vis-à-vis des institutions démocratiques y compris le Parlement.

À la suite de FO, CFE-CGC et Solidaires, la CGT a décliné l’invitation d’Emmanuel Macron au Conseil national de la refondation de jeudi. Le CNR voulu par le chef de l’Etat pour « bâtir des consensus » peine à trouver sa place dans la vie politique et syndicale.

Dans un communiqué transmis vendredi, FO avait de son côté brocardé l’instance qui conduit à « diluer » la parole des syndicats et « affaiblit le rôle des acteurs sociaux ». « Pour FO, il n’y a qu’un seul CNR, issu de la résistance à la fin de la Seconde Guerre mondiale », s’était agacée l’organisation. La CFE-CGC continue elle aussi à repousser l’invitation, « pointant une opération de vitrine, de communication avec l’accaparement grossier de l’acronyme du Conseil national de la résistance », explique son président François Hommeril. « Solidaires n’a pas de temps à perdre à voir Macron à l’Elysée », a également lancé le co-délégué de l’organisation, Simon Duteil. « Le CNR c’est de la communication! C’est de l’agitation! », a dénoncé le syndicaliste qui attend des « actes forts sur les questions écologiques et sociales ».

Un an après son lancement, Emmanuel Macron réunit le CNR pour « fixer un cap » à la poursuite des travaux de cette instance. Lancée pour « bâtir des consensus », elle se décline en plusieurs thèmes (« bien vieillir », « climat et biodiversité », logement, jeunesse, travail…), autour desquels il compte rassembler forces politiques, partenaires sociaux, représentants d’entreprises et associations.

Dans les faits, les deux premiers rendez-vous ont été largement boudés par les partis d’opposition et les syndicats qui ne seront pas présents jeudi.

Politique- Macron- « la grande initiative « , du bidon

Politique- Macron- « la grande initiative « , du bidon

Finalement comme souvent avec Macron et comme l’année dernière la grande initiative politique de 2023 va se limiter à pas grand-chose. En 2022, le président de la république avait lancé sa fameuse idée de conseil national de la Refondation qui a complètement disparu des radars. Cette année en 2023, Macron annonce seulement une rencontre avec les présidents de parti. Bref, le travail habituel d’un président la république et pas vraiment initiative politique d’envergure.

On sait que le président avait été tenté par deux initiatives. La première concerne l’immigration dont le débat est repoussé de mois en mois. La seconde aurait concerné un référendum avec le risque évident de le perdre.

Il faut donc se rabattre sur une rencontre qui évidemment ne débouchera tristement rien car l’opposition n’est pas prête à redonner de l’oxygène un pouvoir qui paraît asphyxié et politiquement paralysé.

Dans un entretien accordé au Point, le chef de l’État invite donc les présidents de partis à échanger la semaine prochaine et fait le point sur les gros dossiers de la rentrée.

. Dans une interview fleuve accordée au journal Le Point , le chef de l’État explique vouloir convier les présidents des partis représentés au Parlement la semaine prochaine «dans un lieu en région parisienne». Tous sont invités, y compris La France insoumise et le Rassemblement national, habituellement exclus au motif de «l’arc républicain». L’occasion sans doute pour Macon de faire un grand discours. Il n’est même pas sûr que les chefs de partis s’y rendent

Le président espère ainsi trouver des «convergences», et aboutir à des «décisions immédiates», «projets et propositions de lois» et «projets de référendums» sur une multitude de thématiques. «Les oppositions compatibles sont trop divisées (…), on ne peut que constituer des majorités de projet», reconnaît le locataire de l’Élysée. Il fait également une série d’annonces pas vraiment d’ampleur ou nouvelles , portant notamment sur les gros chantiers de l’automne.

Macron- grande initiative politique: du bidon

Macron- grande initiative politique: du bidon

Finalement comme souvent avec Ma cron et comme l’année dernière la grande initiative politique de 2023 va se limiter à pas grand-chose. En 2022 ,le président de la république avait lancé sa fameuse idée de conseil national de la Refondation qui a complètement disparu des radars. Cette année en 2023, Macron annonce seulement une rencontre avec les présidents de parti. Bref, le travail habituel d’un président la république et pas vraiment initiative politique d’envergure.

On sait que le président avait été tenté par deux initiatives. La première concerne l’immigration dont le débat est repoussé de mois en mois. La seconde aurait concerné un référendum avec le risque évident de le perdre.

Il faut donc se rabattre sur une rencontre qui évidemment ne débouchera tristement rien car l’opposition n’est pas prête à redonner de l’oxygène un pouvoir qui paraît asphyxié et politiquement paralysé.

Dans un entretien accordé au Point, le chef de l’État invite donc les présidents de partis à échanger la semaine prochaine et fait le point sur les gros dossiers de la rentrée.

La «grande initiative politique», annoncée par Emmanuel Macron au Figaro Magazine au milieu de l’été, est enfin précisée. Dans une interview fleuve accordée au journal Le Point , le chef de l’État explique vouloir convier les présidents des partis représentés au Parlement la semaine prochaine «dans un lieu en région parisienne». Tous sont invités, y compris La France insoumise et le Rassemblement national, habituellement exclus au motif de «l’arc républicain». L’occasion sans doute pour Macon de faire un grand discours. Il n’est même pas sûr que les chefs de partis s’y rendent

Le président espère ainsi trouver des «convergences», et aboutir à des «décisions immédiates», «projets et propositions de lois» et «projets de référendums» sur une multitude de thématiques. «Les oppositions compatibles sont trop divisées (…), on ne peut que constituer des majorités de projet», reconnaît le locataire de l’Élysée. Il fait également une série d’annonces pas vraiment d’ampleur ou nouvelles , portant notamment sur les gros chantiers de l’automne.

Véhicule autonome Tesla : une autonomie bidon

Véhicule autonome Tesla : une autonomie bidon

 

Il est de plus en plus clair que le concept d’autonomie des véhicules est une illusion sur une infrastructure banalisée utilisée par d’autres usages. Le concept d’autonomie vise surtout à soutenir le cours de la valorisation boursière de Tesla complètement surestimé. Le concept de véhicules autonomes ne peut trouver d’application réelle que sur une infrastructure dédiée ( cas de certaines navettes, circuits complètement fermés à d’autres usages et surtout évidemment du transport ferroviaire urbain ou interurbain) . 

 

Ces véhicules dits autonomes, en effet, ont été impliqués dans 273 accidents aux États-Unis, selon un rapport publié en juin par l’Agence américaine de la sécurité routière (NHTSA), qui enquête sur le système d’assistance à la conduite du constructeur américain. Son rapport porte sur les véhicules équipés d’un logiciel dit de niveau 2, c’est-à-dire qui peut faire accélérer ou décélérer la voiture et tourner le volant si nécessaire, mais nécessite un conducteur attentif, prêt à reprendre le contrôle à tout moment. Au total, les modèles Tesla ont fait l’objet de près de 70% des signalements sur les 392 accidents répertoriés dans cette catégorie, pour la presque totalité entre juillet 2021 et mi-mai 2022, selon la NHTSA.

L’agence en charge des véhicules à moteur en Californie (DMV) a déposé plusieurs plaintes l’accusant de mentir aux consommateurs sur le système de conduite autonome, selon le Los Angeles Times. Une victoire de l’autorité californienne pourrait avoir des conséquences sévères, allant jusqu’à la révocation des licences autorisant Tesla à fabriquer ou vendre ses voitures en Californie.

 

 

 

 

 

 

Le DMV reproche à Tesla un langage publicitaire qui donne aux systèmes de conduite autonome des performance plus larges qu’ils n’en ont réellement. (Crédits : Tyrone Siu)

C’est un coup dur pour Tesla. Le constructeur de voiture électrique pourrait bien devoir revoir son discours publicitaire ventant les mérites d’une conduite autonome à bord de ses véhicules. L’agence en charge des véhicules à moteur en Californie (DMV) l’accuse de mentir aux consommateurs sur cette technologie, et a déposé des plaintes auprès d’un tribunal administratif de l’Etat, selon des informations de presse publiées ce vendredi. Conséquence de cette action en justice, l’action de Tesla était en fort recul à la clôture de la Bourse de New York vendredi, cédant 6,63%, à 864,51 dollars.

Selon les plaintes déposées le 28 juillet par le DMV, Tesla « a fait ou diffusé des déclarations fausses ou trompeuses, et non fondées sur des faits », rapporte, selon le Los Angeles Times. Les voitures Tesla n’ont jamais pu, « et ne peuvent aujourd’hui pas, fonctionner comme des véhicules autonomes », selon le document cité par le journal californien. Le DMV reproche à Tesla un langage publicitaire qui donne à ces systèmes des performance plus larges qu’ils n’en ont réellement. Contacté par l’AFP, le DMV n’avait pas répondu dans l’immédiat.

Lire aussiPassée du rêve à la déception, la voiture autonome se réinvente un avenir

En juin, le patron de Tesla, Elon Musk, avait, d’ailleurs, souligné l’importance de la conduite entièrement autonome pour l’entreprise, ajoutant que sans cela, la valeur de son entreprise serait « proche de zéro ».

Une victoire de l’autorité californienne face au constructeur de véhicules électriques pourrait avoir des conséquences sévères, allant jusqu’à la révocation des licences autorisant Tesla à fabriquer ou vendre ses voitures en Californie, indique encore le LA Times. Le journal précise que les mesures envisagées concernent plutôt la précision des informations que le fabricant devra fournir à ses clients.

273 accidents aux Etats-Unis

Ce n’est pas la première fois que les véhicules équipés du logiciel de conduite autonome sont pointés du doigt. Ils ont, en effet, été impliqués dans 273 accidents aux États-Unis, selon un rapport publié en juin par l’Agence américaine de la sécurité routière (NHTSA), qui enquête sur le système d’assistance à la conduite du constructeur américain. Son rapport porte sur les véhicules équipés d’un logiciel dit de niveau 2, c’est-à-dire qui peut faire accélérer ou décélérer la voiture et tourner le volant si nécessaire, mais nécessite un conducteur attentif, prêt à reprendre le contrôle à tout moment. Au total, les modèles Tesla ont fait l’objet de près de 70% des signalements sur les 392 accidents répertoriés dans cette catégorie, pour la presque totalité entre juillet 2021 et mi-mai 2022, selon la NHTSA.

Rattrapé par les difficultés d’approvisionnement qui plombe le secteur automobile, ajouté à la crise sanitaire, Tesla a affiché une moins bonne performance au second trimestre qu’au précédent. Avec 254.695 voitures livrées entre avril et juin, les livraisons du constructeur étaient en baisse de 18%. Si cela reste mieux que sur la même période un an auparavant (+27%), selon les résultats publiés début juillet, les analystes tablaient eux sur 264.000 livraisons.

OpenIA: des infos bidon !

OpenIA: des infos bidon !

ChaGPT donne lieu actuellement à de nombreux commentaires non seulement sur les perspectives mais aussi sur ces limites et ses dangers. Certains voient même le risque d’une disparition de l’homme quand d’autres n’imaginent avenir dans tous les domaines qu’à travers cette nouvelle technologie. La vérité est sans doute plus complexe. La vérité chat GPT est encore largement en apprentissage notamment du faîte de l’insuffisance des données recensées et de ses capacités d’interconnexion systémique. Pour preuve à la question posée : « quel inflation pour la France en 2023 » Open AI répond :

As of my last knowledge update in September 2021, I cannot provide you with the most current information on inflation in France for the year 2023. However, you can easily find up-to-date information on inflation rates in France by checking official sources such as the National Institute of Statistics and Economic Studies (INSEE) or reputable financial news websites. These sources regularly publish data on various economic indicators, including inflation rates, which can give you an accurate picture of the current inflation situation in France.

Bref pas vraiment de valeur ajoutée par rapport à Google. En outre l’intelligence artificielle renvoie au statistiques très contestées de l’INSEE concernant mesure des prix de la consommation ; des mesures très sous-estimées en période de forte inflation content tenu de la déformation structurelle du comportement des ménages.

Politique: Un micro remaniement bidon…et provisoire

Politique: Un micro remaniement bidon…et provisoire

Le seul vrai changement de ce micro remaniement concerne l’éducation nationale avec la nomination du courtisan Gabriel Attal qui bien entendu ne connaît rien au problème puisque sorti comme beaucoup d’autres d’un institut d’études politiques. Pour le reste, ce sont des inconnus qui remplacent d’autres inconnus. Ou comment faire semblant de changer un gouvernement paralysé par la peur comme le président de la république. Et en attendant une rentrée qui risque d’être chaude …..et un nouveau gouvernement.

Pour remplacer Gabriel Attal, le chef de l’Etat a choisi Thomas Cazenave au budget. Le président le connaît bien : inspecteur des finances, il était directeur adjoint de cabinet d’Emmanuel Macron quand ce dernier était à Bercy. Ensuite, Thomas Cazenave est passé par la présidence de la République comme secrétaire général adjoint de l’Elysée. Sabrina Agresti-Roubache devient ministre de la Ville.
Pour le reste ce sont quelques inconnus qui remplace d’autres inconnus dans un gouvernement pléthorique. Les 3/4 ne servent d’ailleurs à rien.

Politique: Un micro remaniement bidon…et provisoire

Politique: Un micro remaniement bidon…et provisoire

Macron A longtemps hésité sur la nécessité ou pas de changer totalement le gouvernement y compris la Première ministre. Finalement il s’est résolu au statu quo et pour donner l’illusion n’a changé que quelques ministres souvent d’ailleurs bien inutiles. Ainsi il va prolonger le calvaire d’Élisabeth borne pour la pressurer jusqu’au moment où la situation sera suffisamment tendue pour nécessiter un vrai changement ; sans doute à la rentrée.

Le seul vrai changement de ce micro remaniement concerne l’éducation nationale avec la nomination du courtisan Gabriel Attal qui bien entendu ne connaît rien au problème puisque sorti comme beaucoup d’autres d’un institut d’études politiques. Pour le reste, ce sont des inconnus qui remplacent d’autres inconnus. Ou comment faire semblant de changer un gouvernement paralysé par la peur comme le président de la république. Et en attendant une rentrée qui risque d’être chaude …..et un nouveau gouvernement.

Pour remplacer Gabriel Attal, le chef de l’Etat a choisi Thomas Cazenave au budget. Le président le connaît bien : inspecteur des finances, il était directeur adjoint de cabinet d’Emmanuel Macron quand ce dernier était à Bercy. Ensuite, Thomas Cazenave est passé par la présidence de la République comme secrétaire général adjoint de l’Elysée. Sabrina Agresti-Roubache devient ministre de la Ville.
Pour le reste ce sont quelques inconnus qui remplace d’autres inconnus dans un gouvernement pléthorique. Les 3/4 ne servent d’ailleurs à rien.

Un micro remaniement bidon…et provisoire

Un micro remaniement bidon…et provisoire

Le seul vrai changement de ce micro remaniement concerne l’éducation nationale avec la nomination du courtisan Gabriel Attal qui bien entendu ne connaît rien au problème puisque sortie comme beaucoup d’autres d’un institut d’études politiques. Pour le reste, ce sont des inconnus qui remplacent d’autres inconnus. Ou comment faire semblant de changer un gouvernement paralysé par la peur comme le président de la république. Et en attendant une rentrée qui risque d’être chaude et un nouveau gouvernement.

Pour remplacer Gabriel Attal, le chef de l’Etat a choisi Thomas Cazenave au budget. Le président le connaît bien : inspecteur des finances, il était directeur adjoint de cabinet d’Emmanuel Macron quand ce dernier était à Bercy. Ensuite, Thomas Cazenave est passé par la présidence de la République comme secrétaire général adjoint de l’Elysée. Sabrina Agresti-Roubache devient ministre de la Ville.
Pour le reste ce sont quelques inconnus qui remplace d’autres inconnus dans un gouvernement pléthorique. Les 3/4 ne servent d’ailleurs à rien.

Un micro remaniement bidon

Un micro remaniement bidon

Le seul vrai changement de ce micro remaniement concerne l’éducation nationale avec la nomination du courtisan Gabriel Attal qui bien entendu ne connaît rien au problème puisque sortie comme beaucoup d’autres d’un institut d’études politiques. Pour le reste, ce sont des inconnus qui remplacent d’autres inconnus. Ou comment faire semblant de changer un gouvernement paralysé par la peur comme le président de la république.

Pour remplacer Gabriel Attal, le chef de l’Etat a choisi Thomas Cazenave au budget. Le président le connaît bien : inspecteur des finances, il était directeur adjoint de cabinet d’Emmanuel Macron quand ce dernier était à Bercy. Ensuite, Thomas Cazenave est passé par la présidence de la République comme secrétaire général adjoint de l’Elysée. Sabrina Agresti-Roubache devient ministre de la Ville.
Pour le reste ce sont quelques inconnus qui remplace d’autres inconnus dans un gouvernement pléthorique. Les 3/4 ne servent d’ailleurs à rien.

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Dette et Budget: des chiffres bidon ! d’après la Cour des comptes

Dette et Budget: des chiffres bidon ! d’après la Cour des comptes

Cette fois, le diagnostic de la Cour des Comptes est sans ambiguïté, le gouvernement a traficoté les chiffres pour minimiser l’ampleur d’un déficit qui va encore augmenter en 2023 et tutoyer les 5 % du PIB.

Les prévisions avancées par le gouvernement dans le programme de stabilité envoyé à Bruxelles sont de loin les plus élevées des prévisions disponibles estiment les magistrats. En 2023, le déficit devrait augmenter légèrement à 4,9% du PIB contre 4,7% en 2022.

Comme d’habitude, le gouvernement a surestimé les recettes fiscales et à l’inverse a minimisé la dérive des dépenses.

La Cour des comptes a dressé un tableau sombre des finances publiques dans son dernier rapport dévoilé ce jeudi 29 juin. Le déficit public pourrait s’établir à 4,9% du produit intérieur brut en 2023 contre 4,7% en 2022. En revanche, la dette pourrait continuer de fléchir passant de 114,6% en 2020 à 109,6% en 2023. ( la norme européenne est de 60%).

La dette publique de la France a dépassé pour la première fois le seuil symbolique des 3000 milliards d’euros au premier trimestre, remontant à 112,5% du produit intérieur brut (PIB), contre 111,8% à la fin décembre 2022, a indiqué ce vendredi matin l’Insee.

la dette sur PIB hexagonale dépasse la moyenne des États de la zone euro (91,6 %).

Paris affichant, malgré la réforme des retraites et les économies promises, des objectifs nettement moins ambitieux. En 2026, selon ses projections, la France serait ainsi le seul grand état européen à ne pas afficher un déficit sur PIB inférieur à 3 %.

Le traité européen de Maastricht de 1992 fixait pour les Etats une limite de dette publique à 60 % du PIB, seuil que la France a dépassé à la fin de l’année 2002, pour ne plus jamais repasser en dessous depuis. Mais, depuis la crise sanitaire, suivie de la guerre en Ukraine, cette règle, comme celle d’un déficit public inférieur à 3 % du PIB, ont été suspendues. Elles seront de nouveau d’application en 2024.

En avril, le gouvernement a présenté une trajectoire plus ambitieuse pour le rétablissement des comptes de la France, qui prévoit de ramener la dette à 108,3 % du PIB en 2027 et le déficit à 2,7 %, dans les clous européens, contre 4,7 % en 2022 et 4,9 % prévus cette année. Mais des chiffres contestés par les experts y compris de la Cour des Comptes qui considèrent ont été surestimée tandis que les dépenses ont été sous-évaluées.

Budget: des chiffres bidon ! d’après la cour des comptes

Budget: des chiffres bidon ! d’après la cour des comptes

Cette fois, le diagnostic de la Cour des Comptes est sans ambiguïté, le gouvernement a traficoté les chiffres pour minimiser l’ampleur d’un déficit qui va encore augmenter en 2023 et tutoyer les 5 % du PIB.

Les prévisions avancées par le gouvernement dans le programme de stabilité envoyé à Bruxelles sont de loin les plus élevées des prévisions disponibles estiment les magistrats. En 2023, le déficit devrait augmenter légèrement à 4,9% du PIB contre 4,7% en 2022.

Comme d’habitude, le gouvernement a surestimé les recettes fiscales et à l’inverse a minimisé la dérive des dépenses.

La Cour des comptes a dressé un tableau sombre des finances publiques dans son dernier rapport dévoilé ce jeudi 29 juin. Le déficit public pourrait s’établir à 4,9% du produit intérieur brut en 2023 contre 4,7% en 2022. En revanche, la dette pourrait continuer de fléchir passant de 114,6% en 2020 à 109,6% en 2023. ( la norme européenne est de 60%).

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