Archive pour le Tag 'PS'

Immersion : le « sentiment »que le PS est encore hors sol

Immersion : le sentiment que le PS est encore hors sol

Le PS a déclenché la tempête ans un monde politique qui n’avait pourtant pas besoin de cela avec la déclaration de Bayrou qui a propos de l’immigration considère que les français ont un sentiment d’immersion. Évidemment pour caricaturer à gauche on ne retient que le mot immersion en oubliant le terme « sentiment ». Il est vrai que nombre de responsables politiques à gauche entretiennent  des liens approximatifs non seulement avec la réalité mais aussi avec la langue française.

Le sentiment,  c’est l’expression qui signifie qu’on ressent quelque chose et non qu’on en a une certitude objective. Peu importe les détails, le PS  renoue ainsi avec ses vieux démons gauchistes et finalement conteste la réalité. Tous les sondages démontrent d’ailleurs pour les trois quarts que les Français partagent ce sentiment d’immersion vis-à-vis de l’immigration moins pour des questions quantitatives que pour des aspects qualitatifs. En clair l’immigration devient inquiétante quand les intéressés ne peuvent s’intégrer et voire même et surtout viennent bousculer les traditions et les valeurs de la société.

C’est ce déni de réalité qui condamne le parti socialiste pour longtemps. Rien d’étonnant à cela il est lui-même composé largement de bobos, petits-bourgeois de gauche et technocrates loin d’être représentatifs de la sociologie des électeurs. On objectera sans doute que ce constat vaut pour la plupart sinon la totalité des partis politiques importants. Ce n’est toutefois pas une raison qui permet d’excuser le positionnement hors sol  du parti socialiste.

Motion de censure : procédure de divorce entre le PS et Mélenchon

Motion de censure : procédure de divorce entre le PS et Mélenchon
Cette fois la procédure de divorce est bien entamée entre les socialistes qui ont refusé de voter la motion de censure à l’Assemblée nationale et les » Insoumis » par ailleurs largement battus. La déception et la colère des « insoumis » étaient  visibles notamment dans des propos de plus en plus agressifs mettant y compris en cause la personnalité de responsables qui leur sont opposés.

Le parti socialiste capitalise ainsi sur sa volonté de participer à la construction d’une voie pour sortir le pays- en tout cas pour essayer- d’une crise politique qui se transforme progressivement en crise économique et financière.

Pendant des jours, les socialistes auront hésité. Mais au bout du bout des négociations, les députés PS ont fait le choix, en grande majorité, de ne pas censurer François Bayrou dès ce jeudi. Seuls 8 députés socialistes, sur 66, l’ont votée. Un ultime courrier du premier ministre, dans lequel il s’engage à reprendre certaines mesures défendues par les troupes d’Olivier Faure, est venu entériner leur position. Alors que le PS était divisé sur la question, le premier secrétaire a défendu devant les siens jeudi la « non-censure » en assurant que le parti de la rose apparaissait en « position de force » à l’issue des négociations.

 

Il s’agit bien sûr d’un échec patent pour Mélenchon qui avait pronostiqué chute du gouvernement à la date du 16 janvier ! Déjà les  » insoumis » menacent les socialistes de ne pas leur accorder l’investiture du NFP pour les élections. Une menace à double tranchant. Il se pourrait bien en effet que l’opinion soit désormais vraiment lassée du vacarme braillard des « insoumis »; à cet égard il faudra être attentif aux résultats des six élections partielles qui se déroulent actuellement.

Avec cette décision du parti socialiste qui demeure cependant dans l’opposition mais de manière constructive, il se pourrait que le rapport des forces change et que les « insoumis « ne soient plus en mesure de mener le jeu. Électoralement, c’est peut-être le PS qui pourrait reprendre la main pour accorder les investitures y compris aux « insoumis » et aux écologistes. Des écologistes par ailleurs eux-mêmes perdus dans leur stratégie gauchiste qui délaissent le terrain environnemental pour le radicalisme systématique, démagogique et irresponsable.

 

PS, PCF et Écologistes à Bercy : Insultes et mépris de Mélenchon

PS, PCF et Écologistes à Bercy :  Insultes et mépris de Mélenchon 

Mélenchon « le révolutionnaire » ne peut témoigner qu’insultes et mépris quand ses autres partenaires de la gauche se rendent à Bercy pour discuter de choses aussi anecdotiques que le budget alors que lui vise à installer la révolution et le chaos dans le pays.   : «Aucun accord de non-censure du PS et de EELV ne nous concernera jamais.» a  déclaré Mélenchon. Autant dire que l’unité du NFP est maintenant consommée après des propos aussi virulents.

Et d’agiter la menace électorale retirer l’investiture de gauche pour les prochaines élections, Les victimes de gauche coupable de pactiser avec Bercy ne susciteront d’après Bompard que «les mêmes conséquences» électorales que les lieutenants de l’ancien président de la République au terme de son mandat (2012-2017) : «Le dégoût et la détestation de toutes celles et ceux qui leur ont fait confiance».

PS: Un parti caméléon

PS: Un parti caméléon

 

Si les experts et les observateurs partisans s’y retrouvent, c’est plus difficile pour l’opinion  d’analyser l’évolution des positions du parti socialiste. Il faut dire qu’à la tête du parti il y a Olivier Faure dont il est bien difficile de comprendre le pas de deux permanent avec un pas en avant, deux pas en arrière. Une fois dans le sens des « Insoumis », une autre fois dans le sens du nouveau gouvernement. Résultat la ligne politique est complètement incompréhensible.

La vérité sans doute c’est que se prépare le prochain congrès du parti socialiste où l’ambigu Olivier Faure ne veut pas perdre le pouvoir voulant apparaître à la fois comme un éventuel leader d’un parti de gouvernement de temps en temps mais surtout « en même temps » ancré à la dictature des « Insoumis dont il pense qu’elle lui assure des investitures solides pour les prochaines échéances électorales.

La vérité sans doute c’est que le parti socialiste va couler avec les » insoumis » désormais engagés sur l’illusoire voie de la révolution de papier et  du chaos. L’alliance avec les harpies et autres braillards effrayants des « Insoumis » est évidemment contre nature. Le problème c’est que le parti ne parvient pas à arbitrer entre sa ligne marxiste rétrograde et sa ligne sociale démocrate de gouvernement. On objectera que c’est depuis presque toujours le clivage essentiel d’un parti qui devrait savoir qu’à force de telles contradictions , l’issue ne peut être que l’affaiblissement et la disparition.

PS: Un parti caméléon

PS: Un parti caméléon

 

Si les experts et les observateurs partisans s’y retrouvent, c’est plus difficile pour l’opinion  d’analyser l’évolution des positions du parti socialiste. Il faut dire qu’à la tête du parti il y a Olivier Faure dont il est bien difficile de comprendre le pas de deux permanent avec un pas en avant deux pas en arrière. Une fois dans le sens des « Insoumis », une autre fois dans le sens du nouveau gouvernement. Résultat la ligne politique est complètement incompréhensible.

La vérité sans doute c’est que se prépare le prochain congrès du parti socialiste où l’ambigu Olivier Faure ne veut pas perdre le pouvoir voulant apparaître à la fois comme un éventuel leader d’un parti de gouvernement de temps en temps mais surtout « en même temps » ancré à la dictature des « Insoumis dont il pense qu’elle lui assure des investitures solides pour les prochaines échéances électorales.

La vérité sans doute c’est que le parti socialiste va couler avec les insoumis désormais engagés sur l’illusoire voie de la révolution de papier et  du chaos. L’alliance avec les harpies et autres braillards effrayants des « Insoumis » est évidemment contre nature. Le problème c’est que le parti ne parvient pas à arbitrer entre sa ligne marxiste rétrograde et sa ligne sociale démocrate de gouvernement. On objectera que c’est depuis presque toujours le clivage essentiel d’un parti qui devrait savoir qu’à force de telles contradictions , l’issue ne peut être que l’affaiblissement et la disparition.

Mélenchon menace d’exclure le PS du NFP

Mélenchon menace d’exclure le PS du NFP

 

Alors que les socialistes souhaitent engager des discussions avec la macronie sur la base de «concessions réciproques», le leader insoumis affirme qu’il ne soutiendra «aucun autre gouvernement que celui du Nouveau Front Populaire».

 

La mise en garde est on ne peut plus claire. Si les socialistes concluent un accord avec Emmanuel Macron pour former un gouvernement, «le Nouveau Front populaire continuera sans eux», a prévenu dimanche le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon, dénonçant la «méthode brutale» du patron du PS Olivier Faure. «Nous ne soutiendrons aucun autre gouvernement que celui du Nouveau Front Populaire», réaffirme le tribun insoumis dans un entretien aux journaux italien et espagnol, La Reppublica et El Pais.

«Faure ne décide pas tout seul», ajoute-t-il, fustigeant la démarche du premier secrétaire du PS, qui a rencontré vendredi le chef de l’État pour lui proposer des «concessions réciproques». «Nous avons été mis devant le fait accompli», déplore Jean-Luc Mélenchon, dénonçant la «méthode extrêmement brutale» et «personnelle» d’un Olivier Faure qui «veut être premier ministre pour la gauche» alors que «son parti a fait 1,67% à l’élection présidentielle» de 2022

 

Le retour de Hollande pour tuer définitivement le PS

Le retour de Hollande pour tuer définitivement le PS
Discrètement mais sûrement François Hollande fait son retour d’abord grâce à une subtile manœuvre en se faisant élire député. Puis en revenant sur le devant de la scène pour réclamer le départ d’Olivier Faure  de plus en plus contesté en interne. Plusieurs figures lui reprochent d’avoir trop lié le mouvement à la rose à celui des Insoumis depuis la mise en orbite du Nouveau Front populaire (NFP) au début de la campagne des législatives. 

François Hollande pense à la nécessité de sortir de l’ambiguïté de l’alliance avec le parti de Mélenchon mais il pense aussi à lui comme recourt possible pour la candidature à l’élection présidentielle. Ce serait à coup sûr évidemment si cette hypothèse était retenue la mort certaine du parti socialiste. François Hollande par sa gestion n’aura pas laissé un grand souvenir, il a d’ailleurs appliqué pendant son mandat présidentiel la politique de son ministre de l’économie et  conseiller à savoir Macron. Comme changement au  parti socialiste ont fait mieux !

Pour un peu on irait rechercher, Ségolène Royal qui ne manquera pas de faire entendre aussi sa voix si originale le moment venu ! «Il aura en face de lui l’expression d’une autre ligne, il y aura une confrontation avec plusieurs motions», a martelé François Hollande, qui a plaidé en faveur d’«une nouvelle figure pour diriger le PS, et pour permettre ce rassemblement et cette ouverture.» Après avoir dirigé le parti socialiste entre 1997 et 2008, l’élu de Corrèze l’assure, faussement détaché : «La vie politique est faite comme ça, de successions.» …..Et peut-être même de retours.

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Abrogation de la réforme des retraites : Pas de vote du PS avec le RN

 

 Abrogation de la réforme des retraites : Pas de vote du PS  avec le RN

Pour les députés PS «la proposition de loi du Rassemblement national abrogeant la réforme des retraites repose sur un triple mensonge» : politique, institutionnel et social. Ils mettent en cause notamment l’absence de groupe RN au Sénat qui empêche toute entrée en vigueur du texte, ainsi que la présence dans leur rang de l’ex-LR Éric Ciotti qui propose «la retraite à 66 ans»

Les députés socialistes annoncent cependant qu’ils déposeront un amendement pour abroger la réforme des retraites d’Emmanuel Macron lors de l’examen du budget de la Sécurité sociale (PLFSS). «Le budget de la Sécurité sociale sera examiné avant la niche du RN et fera toute la navette parlementaire avant la fin de l’année, il est donc le véhicule législatif adéquat pour tenter d’abroger cette réforme». 

Le PS s ‘est tiré plusieurs balles dans le pied

Le PS  s ‘est tiré plusieurs balles dans le pied

 

Il y a quelque chose de contradictoire à dénoncer maintenant l’absence d’un premier ministre de gauche et en même temps avoir tout fait pour qu’il n’y en ait pas. Première balle dans le pied, celle qui a consisté à choisir une inconnue sans aucune expérience comme candidate pour l’ensemble du Nouveau Front populaire. Seconde balle dans le pied, celle qui a consisté à refuser de soutenir la candidature de Cazeneuve. Une candidature beaucoup plus sérieuse celle-là.

Bref la direction du parti socialiste traîne comme un boulet cette union de gauche de circonstance et finalement a rejoint la posture de Mélenchon qui lui aussi a fait semblant de vouloir un premier ministre de gauche alors qu’il ne vise que l’Élysée.

Les courants minoritaires du parti socialiste déplorent l’occasion manquée d’un gouvernement de gauche. La direction assure qu’Emmanuel Macron n’a jamais réellement envisagé de le nommer.

«Vous n’avez pas voulu Cazeneuve, vous avez eu Barnier»: c’est en substance ce qu’ont reproché les opposants au premier secrétaire du PS Olivier Faure, après qu’Emmanuel Macron a nommé l’ex-commissaire européen de droite Michel Barnier à Matignon, ont indiqué plusieurs témoins à l’AFP.

Faute de vouloir construire, le PS pourra toujours jouer son rôle de démolition avec la menace d’une censure du gouvernement Barnier

Dernière confusion concernant la manifestation du 7 septembre contre «le coup de force» de Macron, le PS reste sur sa position: pas d’appel national à manifester, contrairement aux autres partis du Nouveau Front populaire, mais chacun est libre d’y participer ! Bref du « en même temps » d’opposition.

Destitution de Macron : Le PS ne soutient pas les « Insoumis »

 Destitution de Macron  : Le PS ne soutient pas les « Insoumis »

Le Parti socialiste (PS)  s’est désolidarisé de ses alliés « Insoumis » qui ont menacé dans un texte publié dans La Tribune Dimanche d’engager une procédure de destitution contre Emmanuel Macron, faisant disparaître toute chance de voir cette procédure aboutir.

«Cette tribune n’est signée que par les dirigeants de LFI, a souligné Olivier Faure sur X. Elle n’engage que leur mouvement. La réponse à une nomination d’un PM qui ne serait pas conforme à la tradition républicaine, est la censure.»

 

Même s’il avait été soutenu par tout le NFP, cet «avertissement solennel» des Insoumis aurait été complexe à mettre en place: une procédure de destitution nécessite en effet de convaincre Assemblée et Sénat de se constituer en «Haute cour». Ce qui nécessite, notamment, une majorité des deux tiers dans chaque hémicycle, puis lors du vote de tous les parlementaires.

D’autres membres du PS se sont désolidarisés de la proposition de LFI, comme l’opposant interne à Olivier Faure, Nicolas Mayer-Rossignol. «Discutée ? Non. Approuvée ? Non. Engageant le NFP ? Non. Cette tribune – ni fait ni à faire – n’engage que ses auteurs», a écrit sur X le maire de Rouen

 

Législatives: le PS refuse la candidature d’Huguette Bello à Matignon

Législatives: le PS refuse la candidature d’Huguette Bello à Matignon

 

Le cirque politique continue en France où président et partis se renvoient la responsabilité d’absence de gouvernement. Côté gauche on revendique une victoire mais on ne se presse pas pour construire un éventuel gouvernement qui pourrait d’ailleurs être rapidement balayé en l’absence de majorité et compte tenu même des contradictions internes. Des noms sont lancés comme celle d’Huguette Bello, complètement inconnue,  davantage citée  pour alimenter la pagaille que pour résoudre le problème. Et surtout pour empêcher un socialiste de prendre la tête du gouvernement. Bref, la chienlit continue. 

 Le PS, qui propose toujours la candidature de son premier secrétaire Olivier Faure, souhaite poursuivre les discussions avec ses partenaires, pour trouver un nom consensuel «d’ici le 18 juillet», date de l’ouverture de la législature. A l’issue d’une réunion en visio-conférence du Conseil national du PS, le parlement du parti, «le Parti socialiste est déterminé à trouver un nom qui fera consensus pour devenir le 1er ministre du Nouveau Front populaire qui sera proposé au président de la République», ajoute Pierre Jouvet. Le PS maintient donc son choix d’une candidature de leur premier secrétaire Olivier Faure pour Matignon, ont précisé plusieurs sources socialistes.

«La proposition d’Huguette Bello est portée par les communistes et les Insoumis mais elle ne fait consensus ni chez les socialistes ni chez les écologistes», a abondé Olivier Faure ce samedi dans un entretien au Parisien. Le premier secrétaire du PS s’est redit «prêt à exercer cette fonction», tout en précisant qu’il avait aussi «suggéré d’autres noms». «Le futur Premier ministre ne peut venir que du Nouveau Front populaire.» Olivier Faure a précisé qu’Emmanuel Macron ne l’avait pas encore appelé.

 

L’entourage de la patronne des Ecologistes Marine Tondelier a précisé qu’«aucune décision n’a été prise» chez eux. «On a besoin de temps collectif». La même source précise également que Marine Tondelier avait eu Huguette Bello vendredi au téléphone. «On reste droit dans nos bottes, on ne peut défendre un scénario dont on sait qu’il ne mène à rien», indique le cadre socialiste cité plus haut. «Nous avons toujours dit qu’il fallait un consensus donc on reprend les discussions», ajoute une autre source, indiquant que le PS se gardait la possibilité de proposer d’autres noms de personnalités socialistes ou sans étiquette.

 

Législatives : Jérôme Guedj (PS) refuse l’étiquette du «Nouveau front populaire»

Législatives : Jérôme Guedj (PS) refuse l’étiquette du «Nouveau front populaire»

Au lendemain de l’accord trouvé entre les principales formations de gauche en vue des législatives anticipées du 30 juin et 7 juillet, le député PS a annoncé vendredi soir se présenter sous les couleurs socialistes… mais sans l’étiquette de la coalition «Nouveau front populaire» dans sa sixième circonscription de l’Essonne.

Dans un communiqué, le socialiste, qui entend plus que jamais «battre l’extrême-droite», refuse, «en dehors de la beauté des mots», de «s’associer à l’investiture de LFI liée à cet accord». Et ce, «en raison des divergences profondes avec la direction de cette formation relatives à la brutalisation du débat public.»

Sondage européennes : PS en hausse

Sondage  européennes : PS en hausse

Un sondage  Elabe de samedi commandé par La Tribune Dimanche et BFM TV donne le Rassemblement national toujours en tête avec 30% d’intentions de vote, devant le camp présidentiel (16,5%) et le Parti socialiste (12%). Plus de treize points séparent la liste RN menée par Jordan Bardella de celle de la majorité présidentielle, emmenée par Valérie Hayer, dans les intentions de vote, des chiffres proches d’un sondage Toluna-Harris Interactive paru mercredi (31% contre 17%).

L’intérêt de l’enquête Elabe réside surtout dans la nette progression qu’elle donne à la liste PS-Place publique de Raphaël Glucksmann à 12%, 3,5 points par rapport au dernier sondage de cet institut en mars.

Suivent ensuite la liste des Écologistes de Marie Toussaint (8,5%) et de La France insoumise de Manon Aubry (7,5%). François-Xavier Bellamy, tête de liste des Républicains, est crédité de 7% d’intentions de vote, devant Marion Maréchal pour Reconquête (5,5%).

*Ce sondage a été réalisé en ligne du 2 au 4 avril sur un échantillon de 1505 personnes, représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus. La marge d’erreur est comprise entre 1,1 et 3,5 points de pourcentage.

Ségolène Royal : Son exhibitionnisme tue le temps de parole du PS

 Ségolène Royal :  Son exhibitionnisme tue le temps de parole du PS

Chez Hanouna ou sur BFM Ségolène Royal continue de délirer. Un problème existentiel sans doute pour celle qui a toujours recherché avec frénésie des postes de responsabilité. Le problème, c’est que cette présence est prise en compte par l’autorité de régulation qui impute les bavardages hystériques de Ségolène au parti socialiste. 

Au secours Ségolène Royal revient dans les médias chez Hanouna notamment et sur BFM

La socialiste a Notammentfait son retour fin janvier sur BFMTV, d’où elle avait été évincée en septembre 2022 après avoir mis en doute la réalité du bombardement d’une maternité en Ukraine ainsi que le massacre de Boutcha.

Le problème, c’est que cette omniprésence sur les plateaux télé capte tout le temps d’antenne attribué au Parti socialiste. Hors période électorale, comme c’est le cas actuellement, le décompte de l’Arcom (ex-CSA), chargé de veiller au respect des règles de pluralisme dans l’audiovisuel, se fait en fonction des partis politiques et non des personnalités. En novembre 2023, 53 minutes sont décomptées pour le Parti socialiste sur C8, soit à peu près le temps d’antenne de Ségolène Royal. 

 

Liste Européenne PS: le premier ouvrier en 41e position !

Liste Européenne PS: le premier ouvrier en 41e position !

Fidèle à lui-même, le parti socialiste a une nouvelle fois écartée des postes illisibles de sa liste européenne les couches sociales issues du monde ouvrier. Le phénomène n’est pas nouveau puisque ce parti comprend depuis presque toujours dans sa direction seulement des couches moyennes, des fonctionnaires et des technocrates.

En désaccord avec la composition de la liste socialiste aux élections européennes, qu’il juge en manque de candidats issus des classes populaires, le député de l’Eure Philippe Brun a annoncé jeudi 1er février quitter la direction du parti, déplorant «un esprit de fermeture».
Le pire, c’est que M. Brun avait été chargé il y a un an par le premier secrétaire Olivier Faure d’engager «un travail de fond pour que le Parti socialiste retrouve la confiance des classes populaires et les classes moyennes». Ce travail, au sein d’une convention intitulée «Retrouvons le peuple», devait aboutir dans les prochains mois. Parmi les objectifs figurait celui «d’une meilleure représentativité des classes populaires dans les candidatures de notre parti, qui compte de nombreux militants ouvriers et employés à sa base mais très peu à sa tête», .
«J’ai pesé de tout mon poids et ai mis toutes mes forces» pour que des candidates et candidats issus des classes populaires «puissent figurer sur notre liste européenne», mais «je constate ne pas avoir été entendu». Déplorant un «esprit de fermeture», il souligne : «Le Parti socialiste ne retrouvera pas le peuple sans le peuple».

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