Archive pour le Tag 'premier'

Space X : premier échec d’Elon Musk

Space X : premier échec d’Elon Musk

La mégafusée Starship de Space X est retombée en mer en présence du patron de l’entreprise Elon Musk et du président-élu Donald Trump. Peut-être un mauvais présage et que l’alliance entre Musk et Trump  ne sera pas forcément un chemin de roses compte tenu de la personnalité très fantasque des intéressés. 

Le décollage du sixième vol d’essai de cette fusée géante a eu lieu à 16H00 locales (22H00 GMT) depuis la base Starbase de l’entreprise à Boca Chica au Texas. Donald Trump est arrivé coiffé de son emblématique casquette rouge, et Elon Musk s’est dit «honoré» de sa présence. Les deux milliardaires ont ainsi  connu ensemble leur premier échec. Il y en aura d’autres dans la mesure on ne mélange pas impunément business et politique !

Pascal Affi N’Guessan Ancien premier ministre sera candidat pour le Front populaire ivoirien (FP I).

Pascal Affi N’Guessan Ancien premier ministre sera candidat pour le Front populaire ivoirien (FP I).

 

Le paysage ivoirien est encore loin d’être clarifié pour les futures élections présidentielles. D’abord avec l’interrogation sur la possibilité d’une nouvelle candidature d’ADO, actuel président ensuite sur le poids politique va représenter

L’ancien Premier ministre Pascal Affi N’Guessan, opposant de premier plan lors de la présidentielle de 2020, a été désigné samedi candidat à celle qui aura lieu en octobre 2025. Lors d’un congrès à Yamoussoukro, la capitale ivoirienne, il a été réélu président du Front populaire ivoirien (FPI) face à un autre candidat, Pierre Dagbo Godé, avec 99,34% des voix de quelque 4.500 votants.

«C’est avec joie et gaieté mais aussi gravité que je serai votre candidat (…) celui du peuple de Côte d’Ivoire. Je porterai ses aspirations pour construire ensemble une Côte d’Ivoire toujours plus unie», a-t-il déclaré lors d’un discours.

«Ensemble, nous porterons un projet de rupture», a dit Pascal Affi N’Guessan, qui souhaite notamment instaurer une quatrième république, supprimer le Sénat et interdire le cumul des mandats. «J’ai la connaissance des réalités de ce pays», «j’ai l’expérience» et les Ivoiriens «me connaissent suffisamment», a-t-il déclaré à l’AFP.

Son opposition au cumul de mandats

Pascal Affi N’Guessan, ancien Premier ministre (2000-2003) sous le président Laurent Gbagbo (2000-2011) et candidat à la présidentielle de 2015, s’était opposé au troisième mandat brigué par l’actuel président Alassane Ouattara en 2020. Il avait alors annoncé la formation d’un pouvoir parallèle, le Conseil national de transition (CNT). Des tensions lors du scrutin avaient fait 85 morts.

Objet d’enquêtes pour «complot contre l’autorité de l’Etat», «mouvement insurrectionnel», «assassinat» et «actes de terrorisme» avec un autre opposant, il avait passé deux mois en détention provisoire, avant d’être libéré sous contrôle judiciaire, finalement levé.

À lire aussi Côte d’Ivoire: à Abidjan, pouvoir et opposition en quête de dialogue 

L’année dernière, M. Affi N’Guessan avait signé un accord de partenariat avec le parti au pouvoir, le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP) d’Alassane Ouattara, et avait fait une alliance pour les élections locales. «Ce partenariat était devenu caduc», a-t-il ajouté. Toutefois, «rien n’est exclu, aucune alliance n’est exclue», a-t-il assuré, en particulier avec l’opposition.

Premier ministre : Macron complètement englué dans ses contradictions

Premier ministre : Macron complètement englué dans ses contradictions

 
Macron est évidemment victime de ses propres contradictions. D’abord il y a l’invraisemblable décision de dissoudre l’Assemblée nationale alors qu’il venait déjà de prendre une énorme claque aux européennes. Résultat encore moins de majorité que précédemment. Son deuxième entêtement et non le moindre est celui qui consiste à jouer à un président disposant toujours du pouvoir alors qu’il ne peut plus peser sur l’Assemblée nationale et demain sans doute sur le gouvernement.

 

En attendant, il s’essaye au rôle de Machiavel avec des combinaisons de plus en plus tordues et vouées à l’échec de toute façon concernant la survie d’un gouvernement. L’entêtement du président conduit directement à une crise politique suivie d’une crise institutionnelle qui mettra même en cause le maintien de Macron comme président jusqu’à la fin de son mandat. Édouard Philippe ne s’est d’ailleurs pas privé d’ouvrir cette hypothèse et d’annoncer déjà qu’il est prêt.

La vérité sans doute, c’est que le président ne peut pas s’appuyer ni sur le bloc de gauche ni sur le bloc d’extrême droite et qu’il est même largement contesté maintenant au sein même de son camp.

L’intéressé donne l’impression de ne pas très bien savoir où il va et cela pourrait le conduire vers la porte plutôt qu’il n’y pense non par décision juridique mais par pression politique.

Nomination Premier ministre: agacés, 70 % des Français ne font pas confiance à Macron

Nomination Premier ministre: agacés, 70 % des Français  ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Emploi : Un CDD de Premier ministre de courte durée

Emploi : Un CDD de Premier ministre de courte durée

 

La multiplication des candidatures pour le poste de Premier ministre peut légitimement surprendre. Juridiquement en effet,  il n’y a pas d’avis d’ouverture de poste. C’est le président qui nomme le ministre et non les candidats qui proposent voire veulent imposer leur nom. Pourtant le poste sera sans doute très temporaire une sorte de CDD de courte durée. Il y a malgré tout de nombreuses propositions dans le clergé politique qui ne manque pas de clercs désœuvrés et toujours à la recherche d’une petite pige comme par exemple Ségolène Royal qui aura été candidate à peu près à tout. Dès lors, pourquoi ne pas ouvrir le poste de premier ministre à toute la population pour rajouter de la confusion au ridicule de la conjoncture politique.

On objectera juste titre que certains responsables nationaux au contraire fuient  leur responsabilité et ne veulent pas se griller dans une fonction dangereuse et très provisoire. C’est notamment le cas du Rassemblement national qui observe dans l’attente d’une nouvelle consultation nationale notamment celle des présidentielles. Même chose chez les Républicains où Vauquiez ne veut surtout pas se mouiller promettant seulement un soutien mou mais pas de participation.

En réalité c’est un peu la même chose dans la gauche incapable de faire émerger un responsable national et qui va chercher une énarque inexpérimentée, psychorigide et ésotérique pour faire semblant de réclamer le pouvoir. Bref, la France est plongée dans une sorte de farce politique à laquelle le président participe également en donnant l’impression, lui, de détenir un pouvoir qu’il a pourtant perdu dans les urnes et dans l’opinion. Du coup,  la solution pourrait bien une nouvelle fois se trouver dans le recrutement d’un technocrate issu de la haute administration d’autant plus que c’est cette dernière qui pour l’essentiel dirige déjà le pays. Les politiques actuelles comme les canards sans tête pourront continuer de s’agiter médiatiquement en promettant la lune.

Nouveau Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Nouveau  Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Premier ministre : pour la CFDT aussi c’est trop long

Premier ministre : pour la CFDT aussi c’est trop long

 

La secrétaire générale de la CFDT,  «ne milite pour personne» pour Matignon mais juge que «la nomination est trop longue». «C’est aussi un enjeu de respect vis-à-vis des citoyens», dit-elle, en confirmant toutefois que son organisation ne s’associait pas à la mobilisation à laquelle doit participer une partie de la gauche le 7 septembre pour dénoncer un «coup de force» d’Emmanuel Macron.


Près de deux mois après le second tour des législatives, le chef de l’État continue ses consultations en vue de la désignation d’un nouveau Premier ministre. Marylise Léon regrette que plusieurs dossiers soient à l’arrêt, alors que «la question du pouvoir d’achat et des salaires reste le sujet numéro un des travailleurs».

Pour autant, comme annoncé vendredi à l’AFP par son N.2, Yvan Ricordeau, la CFDT ne se joint pas à l’appel de la CGT et Solidaires à manifester le 1er octobre pour réclamer l’abrogation de la réforme des retraites et une hausse des salaires. «La CFDT n’a jamais été adepte du rituel de la mobilisation de rentrée. Déjà, cela supposerait que notre action s’est arrêtée cet été», explique Marylise Léon, qui assure que son syndicat est resté «sur le terrain» tout l’été.

Sondage nomination d’un Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Sondage nomination d’un Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

Société-Immigration : l’Afrique , premier continent d’origine en France, 60% du Maghreb

Société-Immigration : l’Afrique , premier continent d’origine en France, 60% du Maghreb

L’Afrique est le premier continent d’origine des immigrés en France. En 2023, 3,5 millions d’immigrés, soit près d’un sur deux (48%), sont nés en Afrique. Parmi eux, six sur dix viennent du Maghreb (35% du Maroc et de Tunisie, 26% d’Algérie), contre neuf sur dix en 1968.

Les immigrés d’Europe, au nombre de 2,4 millions, représentent pour leur part 32% de la population immigrée totale. Un quart d’entre eux arrivent du Portugal, 22% de l’Espagne et de l’Italie. Troisième continent d’origine, l’Asie représente un million d’immigrés, soit 14% du total, tandis que 6 % viennent d’Amérique ou d’Océanie.

Les immigrés nés en Afrique viennent pour près de la moitié (46%) dans le but de rejoindre un membre de leur famille, 22% pour suivre des études, 23% pour trouver un travail et 11% pour fuir l’insécurité ou les troubles politiques. Parmi les immigrés nés en Europe, 37% sont venus pour travailler, 34% pour rejoindre leur famille, 16% pour étudier et 8% pour fuir l’insécurité. Les immigrés asiatiques viennent pour leur part d’abord pour un motif familial (43%), puis sécuritaire (25%), étudiant (23%) et professionnel (14%).

Offre d’emploi: Un CDD de Premier ministre de courte durée

Offre d’emploi: Un CDD de Premier ministre de courte durée

 

La multiplication des candidatures pour le poste de Premier ministre peut légitimement surprendre. Juridiquement en effet,  il n’y a pas d’avis d’ouverture de poste. C’est le président qui nomme le ministre et non les candidats qui proposent voire veulent imposer leur nom. Pourtant le poste sera sans doute très temporaire une sorte de CDD de courte durée. Il y a malgré tout de nombreuses propositions dans le clergé politique qui ne manque pas de clercs désœuvrés et toujours à la recherche d’une petite pige comme par exemple Ségolène Royal qui aura été candidate à peu près à tout. Dès lors pourquoi ne pas ouvrir le poste de premier ministre à toute la population pour rajouter de la confusion au ridicule de la conjoncture politique.

On objectera juste titre que certains responsables nationaux au contraire fuient  leur responsabilité et ne veulent pas se griller dans une fonction dangereuse et très provisoire. C’est notamment le cas du Rassemblement national qui observe dans l’attente d’une nouvelle consultation nationale notamment celle des présidentielles. Même chose chez les Républicains où Vauquiez ne veut surtout pas se mouiller promettant seulement un soutien mou mais pas de participation.

En réalité c’est un peu la même chose dans la gauche incapable de faire émerger un responsable national et qui va chercher une énarque inexpérimentée et ésotérique pour faire semblant de réclamer le pouvoir. Bref, la France est plongée dans une sorte de farce politique à laquelle le président participe également en donnant l’impression, lui, de détenir un pouvoir qu’il a pourtant perdu dans les urnes et dans l’opinion. Du coup,  la solution pourrait bien une nouvelle fois se trouver dans le recrutement d’un technocrate issu de la haute administration d’autant plus que c’est cette dernière qui pour l’essentiel dirige déjà le pays. Les politiques actuelles comme les canards sans tête pourront continuer de s’agiter médiatiquement en promettant la lune.

Sarko veut un Premier ministre de droite !

Sarko veut un Premier ministre de droite

 

Sarkozy apporte aussi son grain de sel (… ou de sable) dans la crise qui secoue la France. D’une certaine manière, il complique encore un peu plus une situation déjà assez inextricable. Certes ce constat d’une triple crise financière, sociale et politique est assez juste mais la solution consistant à mettre en place un ministre de droite paraît curieuse quand on sait que les Républicains- auxquels il fait forcément allusion- n’ont qu’une quarantaine de députés. La question n’est pas tellement celle d’un premier ministre d’ailleurs mais de trois camps politiques  complètement irréconciliables, donc celle du programme et de l’introuvable majorité à l’assemblée.

LE FIGARO.- Cela fait 45 jours que la France n’a plus de gouvernement de plein exercice. Emmanuel Macron tarde-t-il à nommer un premier ministre ?

Nicolas SARKOZY.- A-t-on vraiment pris conscience de la gravité de la situation de notre pays ? La France est face à trois crises simultanées qui peuvent exploser soit en même temps, soit successivement. La première, c’est le risque d’une crise financière. Compte tenu de la dette de la France, de ses déficits et de ses dépenses trop importantes, je ne pense pas qu’il soit prudent de rester sans gouvernement ni ministre des Finances avec le risque en prime de ne pas avoir de budget ! Il y a ensuite une possibilité de crise sociale, qui est une tradition française. Il y a beaucoup d’exemples dans notre histoire récente de conflits sociaux qui ont dégénéré. Enfin, une crise politique. Un mois et demi sans gouvernement, après une dissolution dont je persiste à dire qu’elle a été une erreur, et une désintégration de tous les partis démocratiques qui n’ont jamais été aussi divisés. La France est vraiment au bord d’un précipice. De surcroît, l’extrême-gauche dans notre pays ne veut pas gouverner. Il s’agit bien davantage d’une tentative de coup d’État de La France insoumise que d’une volonté d’alternance démocratique face à une situation parlementaire impossible à dénouer. C’est peu de dire que les motifs d’inquiétude sont nombreux.

 

 

Un premier ministre de gauche…. mais social-démocrate

Un  premier ministre de gauche…. mais social-démocrate

On comprend évidemment que les représentants de la droite républicaine soient ressortis particulièrement déçus de leur entretien avec le président de la république. En effet ce dernier à demi-mot leur a laissé entendre qu’il pourrait nommer un responsable de gauche comme premier ministre et en plus en leur demandant leur soutien.

D’où la colère de Laurent Wauquiez qui ne veut surtout pas faire du en même temps et préserver ses chances pour 2027 en évitant de se mouiller.

De toute manière par déduction,  il ne reste plus que le camp de gauche pour trouver un premier ministre. Le rassemblement national s’est mis à l’écart et observe avec l’objectif d’un un échec du gouvernement et surtout les prochaines élections. La droite classique vient de signifier une fin de non-recevoir au président.

Le nouveau Front populaire est maintenant mis en jeu par son incapacité à envisager la moindre majorité. Reste donc la gauche. Mais sans doute pas n’importe laquelle mais vraisemblablement un social démocrate qui par ailleurs aura l’expérience des responsabilités au plus haut niveau. Il n’est en effet pas question de prendre un socialiste qui défendrait encore le programme du NFP irresponsable  et inspiré par les insoumis.

Selon les informations de BFMTV, Emmanuel Macron a tenté de convaincre les représentants de la droite – Bruno Retailleau, Annie Genevard et Laurent Wauquiez – de se rallier à une coalition gouvernementale qui pourrait être dirigé par un social-démocrate qui devra surtout éviter une motion de censure à défaut de rassembler vraiment.

Immigration : l’Afrique , premier continent d’origine en France.

 

Immigration : l’Afrique , premier continent d’origine en France.

L’Afrique est le premier continent d’origine des immigrés en France. En 2023, 3,5 millions d’immigrés, soit près d’un sur deux (48%), sont nés en Afrique. Parmi eux, six sur dix viennent du Maghreb (35% du Maroc et de Tunisie, 26% d’Algérie), contre neuf sur dix en 1968.

Les immigrés d’Europe, au nombre de 2,4 millions, représentent pour leur part 32% de la population immigrée totale. Un quart d’entre eux arrivent du Portugal, 22% de l’Espagne et de l’Italie. Troisième continent d’origine, l’Asie représente un million d’immigrés, soit 14% du total, tandis que 6 % viennent d’Amérique ou d’Océanie.

Les immigrés nés en Afrique viennent pour près de la moitié (46%) dans le but de rejoindre un membre de leur famille, 22% pour suivre des études, 23% pour trouver un travail et 11% pour fuir l’insécurité ou les troubles politiques. Parmi les immigrés nés en Europe, 37% sont venus pour travailler, 34% pour rejoindre leur famille, 16% pour étudier et 8% pour fuir l’insécurité. Les immigrés asiatiques viennent pour leur part d’abord pour un motif familial (43%), puis sécuritaire (25%), étudiant (23%) et professionnel (14%).

 

 

Sondage Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

Sondage Premier ministre: 70 % ne font pas confiance à Macron

 

Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro 53 % des Français donnent raison à Macron de n’avoir pas nommé un gouvernement de gauche du NFP. Cependant 70 % ne lui font pas confiance sur cette question, ce qui correspond à peu près à chaque cote actuelle de popularité, autour de 30 % mais démontre aussi la division des électeurs.

Macron n’a pas nommé un gouvernement de gauche du NFP et 53% des Français lui donnent raison, d’après un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une majorité faible, qui révèle une importante fracture dans l’opinion publique, 46% de la population désapprouvant la décision du chef de l’État. La contestation émane surtout de la gauche, 86% des sympathisants écologistes, 84% des Insoumis et 75% des socialistes se déclarant contre le choix présidentiel. Au contraire, 91% des macronistes, 80% des sympathisants des Républicains.

 

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