Archive pour le Tag 'premier'

Sondage Présidentielle 2027 : Le Pen favorite au premier tour

Sondage Présidentielle 2027 : Le Pen favorite au premier tour

Dans toutes les hypothèses de la candidature à la présidentielle de 2027, Marine Le Pen apparaît comme favorite au premier tour

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La cheffe du Rassemblement national recueille 30 à 33% d’intentions de vote au premier tour, systématiquement en tête. Jean-Luc Mélenchon (16 à 17%) arrive en seconde position, sauf en cas de candidature d’Edouard Philippe (deuxième avec 22%), voire de Bruno Le Maire (deuxième ex æquo, 16%). Les autres personnalités de la majorité testées douchent les espoirs macronistes d’accéder au second tour du scrutin: Gérald Darmanin (14% d’intentions de vote), Gabriel Attal (12%), Elisabeth Borne (11%) et Jean Castex (9%) sont donnés troisièmes. François Bayrou arriverait cinquième avec 8% d’intention de vote, alors que la présidente de l’Assemblée nationale, Yaël Braun-Pivet, ne recueille que 5% d’intentions de vote, en huitième position.

L’enquête a été réalisée en ligne du 1er au 4 septembre auprès d’un échantillon de 2.525 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, dont 2148 personnes inscrites sur les listes électorales, selon la méthode des quotas.

« Grâce à l’inflation », les bénéfices du CAC 40 en forte hausse au premier semestre

« Grâce à l’inflation », les bénéfices du CAC 40 en forte hausse au premier semestre

Les entreprises du CAC 40 ont cumulé des bénéfices nets à plus de 81 milliards de dollars sur les six premiers mois de l’année 2023, soit une hausse de 15% sur un an, selon un décompte réalisé par l’AFP lundi. Les entreprises de l’indice vedette de la Bourse de Paris sont portés par les hausses de prix, l’inflation restant prégnante ces derniers mois. Avec les résultats de quelques entreprises qui manquent encore on se rapproche des 100 milliards. À noter que dans le même temps la masse salariale des salariés autour de 1000 milliards sur un an) aura perdu environ 50 milliards sur deux ans.

De janvier à juin 2022, les 38 entreprises de l’indice vedette de la Bourse de Paris ayant publié leurs comptes semestriels jusqu’ici avaient collectivement dégagé 71 milliards d’euros de bénéfice net

Les résultats des principales banques françaises, qui affichent toutes un bénéfice net en augmentation (+5% pour le secteur), et de Legrand (+19%), publiés la semaine dernière, sont venus confirmer la tendance haussière observée le mois dernier. De janvier à juin 2022, les 38 entreprises de l’indice vedette de la Bourse de Paris ayant publié leurs comptes semestriels jusqu’ici avaient collectivement dégagé 71 milliards d’euros de bénéfice net part du groupe.

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Bourse : les indices américains font une pause après leur folle envolée des derniers mois

Le chiffre d’affaires global semestriel de ces 38 groupes cotés atteint quasiment 860 milliards d’euros, contre 825 milliards d’euros à la même période en 2022, soit une progression de 4%. A noter : le calcul de l’AFP ne prend pas en compte deux groupes, Pernod Ricard et Alstom. En effet, leurs exercices comptables décalés ne correspondent pas aux années civiles. Vivendi, remplacé au milieu d’année par Edenred au sein de l’indice de référence, a également été écarté de la liste.

Une tendance à la hausse à nuancer
Cette tendance générale à l’augmentation des chiffre d’affaires et des bénéfices s’explique par l’inflation. Et pour cause, les sociétés répercutent les hausses de coûts sur leurs prix. La hausse agrégée masque toutefois certains reculs. A l’image d’Eurofins : le géant des laboratoires d’analyse pâtit de l’après-Covid, avec un bénéfice en chute de 51% sur le premier semestre, à 151 millions d’euros pour un chiffre d’affaires en recul de 5,9% à 3,20 milliards d’euros, conforme au consensus des analystes de Factset et Bloomberg.

Train régional: Le premier modèle hybride

Train régional: Le premier modèle hybride

Un premier train régional hybride de France avec une partie des motorisations diesel a été remplacée par des blocs de batteries lithium-ion sur cette rame de la gamme Régiolis.

« Ce train hybride offre les mêmes capacités et la même autonomie qu’un train non hybride. C’est le premier nouveau né d’une famille plus large de trains décarbonés ou moins polluants », se réjouit Nicolas Phan-Trong, le directeur des projets d’innovation technologique énergie et décarbonation à la SNCF, qui fait référence aux projets de train 100% batteries et train à hydrogène.

L’inauguration de cette rame Régiolis est le fruit d’une gestation entamée en 2018. À l’époque, quatre Régions (Occitanie, Nouvelle-Aquitaine, Grand Est et Pays-Centre Val de Loire) s’engagent à soutenir financièrement le développement de cette rame hybride, estimée autour de 17 millions d’euros. Dès 2019, le site Alstom de Tarbes, présenté par le groupe comme son site d’excellence mondial pour les systèmes de traction ‘verts’, est mobilisé pour faire aboutir ce projet.

« L’objectif d’Alstom avec ce projet de train hybride est avant tout de verdir la flotte de trains régionaux existante et donc faire du rétrofit à l’image de ce qui peut être fait sur d’autres moyens de transport. Pour cela, nous comptons profiter d’une opération de maintenance majeure que doit connaître chaque train diesel à mi-vie (sur une durée de vie estimée de 30 à 40 ans, ndlr) pour réaliser la conversion », ajoute le directeur du projet.

Pour offrir cette seconde vie, Alstom a équipé ce premier train hybride de batteries haute puissance développées et produites par la société française Forsee Power non loin de Châteauroux, dans son usine de Chasseneuil-du-Poitou (Vienne). Sur le papier, ces batteries ont une durée de vie de 7 à 10 ans.

Pour le moment, un seul train hybride a été produit, à savoir le prototype inauguré ce jour. Aucune commande n’a encore été passée malgré les 17 millions d’euros investis. Tous les porteurs de projet sont dans l’attente de la certification par les services de l’État dédiés à ce sujet pour lancer son exploitation commerciale en fin d’année 2023.Aussi dans l’attente de l’intérêt des nouveaux opérateurs puisque les lignes régionales sont désormais ouvertes à la concurrence et que l’intérêt économique voire écologique reste encore à démontrer pour ce train hybride régional.

Bruno Le Maire : réduit à acheter des pâtes premier prix à cause de l’inflation !

Bruno Le Maire : réduit à acheter des pâtes à cause de l’inflation !


À quand une souscription nationale pour aider Bruno Lemaire, le ministre de l’économie, à acheter des pattes afin de nourrir sa famille.

« J’essaye de faire attention à ce que les prix baissent pour le consommateur. Parce que j’ai moi-même une famille nombreuse, j’ai quatre enfants à nourrir et je paye beaucoup de paquets de pâtes », avait assuré le ministre samedi sur France 2, interpellé sur la hausse des prix.

Il n’en fallait pas moins pour que les internautes sous-titrent ses déclarations avec quelques éléments. Nombre d’entre eux ont rappelé son salaire et son patrimoine, quand d’autres ont préféré opter pour l’ironie : « Bruno le Maire, 11.000 euros de salaire et 500.000 euros de patrimoine […] hors sol », « Donnez-lui une pièce, il me fait de la peine », « Quand ma fille refusera de terminer son assiette, je lui dirai de penser un peu à la famille nombreuse de Bruno Le Maire », pouvait-on lire sur Twitter quelques heures après son passage dans l’émission.
Bruno Le Maire, 10.000€ nets par mois, souffre du prix de pâtes.

Alors que devrait dire l’immense majorité des Français – dont 10 millions vivent sous le seuil de pauvreté.

Quelle déconnexion.

Départ de Laurent Berger de la CFDT, devenu premier syndicat de France

Départ de Laurent Berger de la CFDT, devenue premier syndicat de France


Laurent Berger laisse un bilan satisfaisant pour son organisation qui sous sa direction est devenu le premier syndicat de France. Cela grâce certes à une grande détermination mais aussi à une culture du compromis et du résultat pour les salariés. La CFDT bénéficie aussi de l’évolution sociologique avec des changements significatifs de population et d’emplois.

À l’occasion de la réforme des retraites, Laurent Berger s’est encore imposé comme le leader incontesté et surtout le plus crédible de la sphère syndicale.

Il reste encore beaucoup à faire pour que le syndicalisme retrouve une bien plus forte représentativité mais l’objectif n’est pas facile avec un gouvernement qui écrase toutes les forces intermédiaires. Il y a aussi les difficultés liées aux différentes idéologies et pratiques des syndicats. Mais la période Laurent Berger aura su démontrer sa capacité à rassembler dans le cas de l’intersyndicale. Si cette union pouvait être maintenue, ce serait sans doute une avancée significative pour le monde syndical.

« Je pense que, le 21 juin, je laisserai une CFDT qui va bien », déclare Laurent Berger dans une interview au Monde, précisant avoir proposé au bureau national que ce soit Marylise Léon, actuelle numéro deux, qui lui succède.

« J’occupe ce poste depuis dix ans et demi, soit une durée proche de celle des mandats de mes prédécesseurs, François Chérèque et Nicole Notat », explique-t-il. « Initialement, je songeais partir un tout petit peu plus tôt, en juin 2022, mais il aurait été compliqué de le faire à ce moment-là. »

C’est Marylise Léon, la secrétaire générale adjointe de la CFDT depuis 2018 qui a la faveur de Laurent Berger pour lui succéder.

« Elle est dynamique, elle a une compréhension du monde du travail qui est forte, parfois plus fine que la mienne – par exemple sur la question des nouvelles formes d’emplois », indique-t-il dans Le Monde.
Laurent Berger ne tarit pas d’éloges sur sa camarade de la CFDT. « Elle s’est battue avec énergie lors des négociations sur l’assurance-chômage et elle est convaincue que la transition écologique doit s’effectuer de façon juste sur le plan social. Elle est appréciée au sein de la maison, elle est proche des gens, humaine », appuie-t-il.

Un syndicalisme plus pragmatique, soucieux du quotidien des travailleurs qui a la faveur des salariés. En 2018, pour la première fois la CFDT devient le premier syndicat français lors des élections professionnelles. Ce sont se réjouit à l’époque Laurent Berger d’ordinaire plutôt discret.

Avec 640.000 adhérents (chiffre expertisé à la différence de ceux d’autres syndicats), la CFDT se présente comme le premier syndicat de France. Néanmoins il n’a pas échappé à l’hémorragie d’adhésions constaté dans l’ensemble du monde syndical depuis au moins une décennie. La CFDT revendiquait en effet 850.000 adhérents en 2010, soit près de 200.000 de plus qu’aujourd’hui. La France reste un des pays les moins syndiqués de l’Union Européenne avec un taux de 11% (23% en moyenne dans l’UE) et qui a eu tendance à baisser lors de la dernière décennie selon la Dares. Redonner du lustre au syndicalisme en France? La future direction de la CFDT ne manquera donc certainement pas de travail.

Laurent Berger quittera la direction de la CFDT, devenu premier syndicat de France

Laurent Berger quittera la direction de la CFDT, devenu premier syndicat de France


Laurent Berger laisse un bilan satisfaisant pour son organisation qui sous sa direction est devenu le premier syndicat de France. Cela grâce certes à une grande détermination mais aussi à une culture du compromis et du résultat pour les salariés. La CFDT bénéficie aussi de l’évolution sociologique avec des changements significatifs de population et d’emplois.

À l’occasion de la réforme des retraites, Laurent Berger s’est encore imposé comme le leader incontesté et surtout le plus crédible de la sphère syndicale.

Il reste encore beaucoup à faire pour que le syndicalisme retrouve une bien plus forte représentativité mais l’objectif n’est pas facile avec un gouvernement qui écrase toutes les forces intermédiaires. Il y a aussi les difficultés liées aux différentes idéologies et pratiques des syndicats. Mais la période Laurent Berger aura su démontrer sa capacité à rassembler dans le cas de l’intersyndicale. Si cette union pouvait être maintenue, ce serait sans doute une avancée significative pour le monde syndical.

« Je pense que, le 21 juin, je laisserai une CFDT qui va bien », déclare Laurent Berger dans une interview au Monde, précisant avoir proposé au bureau national que ce soit Marylise Léon, actuelle numéro deux, qui lui succède.

« J’occupe ce poste depuis dix ans et demi, soit une durée proche de celle des mandats de mes prédécesseurs, François Chérèque et Nicole Notat », explique-t-il. « Initialement, je songeais partir un tout petit peu plus tôt, en juin 2022, mais il aurait été compliqué de le faire à ce moment-là. »

C’est Marylise Léon, la secrétaire générale adjointe de la CFDT depuis 2018 qui a la faveur de Laurent Berger pour lui succéder.

« Elle est dynamique, elle a une compréhension du monde du travail qui est forte, parfois plus fine que la mienne – par exemple sur la question des nouvelles formes d’emplois », indique-t-il dans Le Monde.
Laurent Berger ne tarit pas d’éloges sur sa camarade de la CFDT. « Elle s’est battue avec énergie lors des négociations sur l’assurance-chômage et elle est convaincue que la transition écologique doit s’effectuer de façon juste sur le plan social. Elle est appréciée au sein de la maison, elle est proche des gens, humaine », appuie-t-il.

Un syndicalisme plus pragmatique, soucieux du quotidien des travailleurs qui a la faveur des salariés. En 2018, pour la première fois la CFDT devient le premier syndicat français lors des élections professionnelles. Ce sont se réjouit à l’époque Laurent Berger d’ordinaire plutôt discret.

Avec 640.000 adhérents (chiffre expertisé à la différence de ceux d’autres syndicats), la CFDT se présente comme le premier syndicat de France. Néanmoins il n’a pas échappé à l’hémorragie d’adhésions constaté dans l’ensemble du monde syndical depuis au moins une décennie. La CFDT revendiquait en effet 850.000 adhérents en 2010, soit près de 200.000 de plus qu’aujourd’hui. La France reste un des pays les moins syndiqués de l’Union Européenne avec un taux de 11% (23% en moyenne dans l’UE) et qui a eu tendance à baisser lors de la dernière décennie selon la Dares. Redonner du lustre au syndicalisme en France? La future direction de la CFDT ne manquera donc certainement pas de travail.

Démographie: L’Inde premier pays du monde

Démographie: L’Inde premier pays du monde

Alors que la Chine connaît un grave problème de renouvellement démographique, la population de l’Inde ne cesse de progresser au point qu’elle sera dès cette année le pays le plus peuplé au monde.
La population indienne comptera 1,4286 milliard d’habitants d’ici le milieu de l’année 2023, contre 1,4257 milliard pour la population chinoise, selon le rapport du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) sur l’état de la population mondiale publié ce mercredi 19 avril.

Selon le Pew Research Centre, centre de réflexion américain, la population indienne a augmenté de plus d’un milliard de personnes depuis 1950, année à partir de laquelle les Nations unies ont commencé à établir les données démographiques.

Une forte augmentation qu’a aussi connue la Chine. Sa population a doublé depuis les années 1960, pour dépasser 1,4 milliard aujourd’hui. En 2022, et pour la première fois en 60 ans, elle a toutefois baissé de 850 000 personnes, en raison d’un nombre de décès supérieur à celui des naissances. Selon les projections les plus pessimistes de ces démographes, la Chine pourrait n’avoir que 587 millions d’habitants en 2100, soit moins de la moitié qu’aujourd’hui.

Paradoxalement, cette baisse est intervenue malgré l’assouplissement de la politique de limitation des naissances ces dernières années. Il y a encore dix ans, les Chinois n’avaient le droit d’avoir qu’un enfant. Depuis 2021, ils peuvent en avoir trois.

Soit 12 ans après avoir franchi le seuil des 7 milliards d’habitants. Il faudra à peine un peu plus de temps, 15 ans, pour gagner un milliard d’habitants supplémentaires et atteindre les 9 milliards d’habitants en 2037. L’ONU projette un « pic » à 10,4 milliards dans les années 2080 et une stagnation jusqu’à la fin du siècle.

Croissance France: + 0.2% au lieu de 0.1% au premier trimestre

Croissance France: + 0,2% au lieu de 0.1% au premier trimestre


La Banque de France (BdF) révise à la hausse sa prévision de croissance à 0,2 % pour le premier trimestre soit plus 0,1 % par rapport aux dernières prévisions.

La nouvelle enquête, réalisée auprès des chefs d’entreprise entre le 29 mars et le 5 avril, montre que l’activité a été résiliente au premier trimestre, avec une progression en mars dans l’industrie, les services et le bâtiment.

« Pour avril, les entreprises anticipent une nouvelle progression dans l’industrie et les services, et un repli dans le bâtiment », indique la BdF.

Pour l’ensemble de 2023, la BdF a dit le mois dernier tabler sur une croissance du PIB français de 0,6%.

Le Fonds monétaire international (FMI) a de son côté réitéré mardi sa prévision d’une croissance de 0,7% de l’économie française cette année.

Croissance France: hausse insignifiante de 0.1% au premier trimestre

Croissance France: hausse insignifiante de 0.1% au premier trimestre

Une hausse insignifiante de 0.1% au premier trimestre en plus qui pourrait être menacée par les mouvements sociaux.

La BdF prévoit une croissance autour de 0,1% au premier trimestre par rapport aux trois mois précédents
L’enquête, réalisée auprès des chefs d’entreprise, montre que l’activité continue de bien résister sur le début d’année. En février, elle a progressé dans l’industrie et les services et a été « à peu près stable » dans le bâtiment.

« Pour mars, les entreprises anticipent une nouvelle progression dans l’industrie et les services, et une légère baisse de l’activité dans le bâtiment », indique la BdF.

Les difficultés d’approvisionnement continuent de s’atténuer assez nettement dans le bâtiment avec seulement 24% des entreprises qui les mentionnent comme un problème en février, contre 31% en janvier. Dans l’industrie, ces difficultés se stabilisent, 33% des chefs d’entreprise du secteur les mentionnant.

Les chefs d’entreprise font également état d’un ralentissement des prix des produits finis, sauf dans l’agro-alimentaire où la dynamique de prix reste élevée.

Après quatre mois de baisse, les difficultés de recrutement se stabilisent pour leur part et concernent environ la moitié des entreprises.

L’institution a dit tabler jusqu’à présent sur une croissance du PIB de 0,3% en 2023.

Un premier Conseil de planification écologique qui ne sert à rien

Un premier Conseil de planification écologique qui ne sert à rien

Le président de la république pour faire semblant de prendre en charge la problématique écologique a encore créé un « machin » intitulé « conseil de planification écologique » réuni pour la première fois jeudi. En fait ce conseil de planification fait double l’emploi avec l’organisme de planification officiel dirigé par Bayrou.

La réalité, c’est que ce conseil de planification écologique se résume à une réunion des principaux ministres concernés ; une sorte de conseil des ministres réduit. Et pour preuve, aucune orientation, aucune mesure n’a été annoncée. L’objectif était de « faire un point d’étape sur les travaux en cours dans l’énergie, les transports, l’industrie, l’agriculture, la biodiversité et le bâtiment », selon le gouvernement. Les onze ministres concernés se sont donc retrouvés à l’Elysée autour du président et de la Première ministre, Elisabeth Borne.

Ces derniers voulaient s’assurer qu’ils sont bien alignés sur les actions qui permettront d’atteindre l’objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 55 % d’ici à 2030, fixé par Bruxelles . Il s’agissait « de faire le point sur les mesures concrètes déjà engagées, qui commencent à donner des résultats, ainsi que sur celles qui seront lancées dans les prochains mois », selon Matignon.

« Beaucoup de choses ont été engagées. Dans les transports par exemple, avec l’électrification des voitures, le covoiturage ou le plan vélo. Il faudra poursuivre avec des décisions sur les infrastructures, notamment ferroviaires, pour assurer le report modal de la voiture », selon ce conseiller, évoquant aussi les 5 milliards d’euros débloqués pour la décarbonation des 50 plus grands sites industriels français , annoncés par le président en novembre.

La loi sur les énergies renouvelables vient de franchir une étape décisive et celle sur le nucléaire avance, en attendant la loi de programmation pluriannuelle de l’énergie qui doit être présentée en juin. « Des mesures sur la gestion de l’eau , l’agriculture et la rénovation des bâtiments, ainsi que la loi sur l’industrie verte vont aussi jalonner le semestre », souligne le même conseiller. La question des financements a aussi été évoquée. Les premiers arbitrages d’Elisabeth Borne sont attendus fin février-début mars, avant un nouveau Conseil fin mars.

Alors que les attentes sont élevées sur la transition écologique, la réunion de jeudi n’a été suivie d’aucune communication officielle. Aucune nouvelle mesure n’a été annoncée. Le chef de l’Etat avait annoncé ce Conseil de planification écologique, le premier du genre, dans une vidéo façon youtubeur la semaine dernière, prenant manifestement ses ministres de court – et contraignant certains à bousculer leur agenda. Il avait alors promis aux internautes de leur en présenter les conclusions sous le même format.

A noter que les émissions de CO2 en France n’ont reculé que de 0,3 % sur les trois premiers trimestres 2022 soit loin des objectifs en raison notamment des incohérences en matière de politique énergétique.

« Nous devons faire beaucoup plus qu’avant, les Français attendent qu’on accélère », insiste un ministre. Lors de la présidentielle, Emmanuel Macron s’était engagé à « aller deux fois plus vite » pour faire baisser les émissions au cours de son second mandat, soit un objectif à atteindre de -4 % par an. Mais la France est « loin d’être sur la bonne trajectoire », pointe la coordinatrice des programmes chez Réseau Action Climat, Anne Bringault.

Croissance économique France: quasi nulle au premier trimestre

Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

 Les chiffres de la croissance se situent dans l’épaisseur du trait et les prévisions à peine positives sont très aléatoires surtout avec la perspective d’un conflit social au cours du premier semestre.

Dans sa dernière enquête de conjoncture dévoilée ce mercredi 11 janvier, la Banque de France table sur une maigre croissance du produit intérieur brut (PIB) de 0,1% au premier trimestre, après 0,1% au dernier trimestre 2022. « Nous confirmons notre précédente prévision de décembre, » a déclaré le directeur des études, Olivier Garnier, lors d’une réunion avec des journalistes. Les chiffres de la Banque de France pour les trois derniers mois de l’année sont plus optimistes que ceux de l’Insee. L’institut public tablait sur un recul de -0,2% au dernier trimestre 2022.

D’après la Banque de France « 2023 devrait marquer un fort ralentissement mais échapper à l’atterrissage brutal redouté il y a quelques mois. La croissance devrait être faiblement positive à 0,3% en 2023. »

Dans ses voeux aux acteurs de l’économie il y a quelques jours, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire a une fois de plus affirmé que « l’économie française résiste, » soulignant que la croissance du PIB avait progressé de 2,5% en 2022. En revanche, il n’a pas donné de chiffre pour 2023 en précisant simplement qu’elle serait « positive ». Pour rappel, l’exécutif tablait sur une croissance de 1% cette année dans le budget 2023. Un chiffre qui semble de moins en moins crédible aux yeux de beaucoup d’économistes.

L’augmentation spectaculaire des prix de l’énergie depuis la fin de l’année 2021 est venue grignoter le pouvoir d’achat des ménages et percuter l’activité des entreprises en dépit des mesures de bouclier tarifaire et la remise sur les carburants. Même si les prix de l’énergie ont commencé à marquer le pas, le bouclier tarifaire moins généreux depuis le premier janvier et la fin de cette ristourne risquent de repousser l’échéance d’une inflation plus modérée.  Il est clair que le relèvement des taux d’intérêt de la BCE va encore accentuer la tendance baissière de l’économie.

Economie- Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

Economie- Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

 Les chiffres de la croissance se situent dans l’épaisseur du trait et les prévisions à peine positives sont très aléatoires surtout avec la perspective d’un conflit social au cours du premier semestre.

Dans sa dernière enquête de conjoncture dévoilée ce mercredi 11 janvier, la Banque de France table sur une maigre croissance du produit intérieur brut (PIB) de 0,1% au premier trimestre, après 0,1% au dernier trimestre 2022. « Nous confirmons notre précédente prévision de décembre, » a déclaré le directeur des études, Olivier Garnier, lors d’une réunion avec des journalistes. Les chiffres de la Banque de France pour les trois derniers mois de l’année sont plus optimistes que ceux de l’Insee. L’institut public tablait sur un recul de -0,2% au dernier trimestre 2022.

D’après la Banque de France « 2023 devrait marquer un fort ralentissement mais échapper à l’atterrissage brutal redouté il y a quelques mois. La croissance devrait être faiblement positive à 0,3% en 2023. »

Dans ses voeux aux acteurs de l’économie il y a quelques jours, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire a une fois de plus affirmé que « l’économie française résiste, » soulignant que la croissance du PIB avait progressé de 2,5% en 2022. En revanche, il n’a pas donné de chiffre pour 2023 en précisant simplement qu’elle serait « positive ». Pour rappel, l’exécutif tablait sur une croissance de 1% cette année dans le budget 2023. Un chiffre qui semble de moins en moins crédible aux yeux de beaucoup d’économistes.

L’augmentation spectaculaire des prix de l’énergie depuis la fin de l’année 2021 est venue grignoter le pouvoir d’achat des ménages et percuter l’activité des entreprises en dépit des mesures de bouclier tarifaire et la remise sur les carburants. Même si les prix de l’énergie ont commencé à marquer le pas, le bouclier tarifaire moins généreux depuis le premier janvier et la fin de cette ristourne risquent de repousser l’échéance d’une inflation plus modérée.  Il est clair que le relèvement des taux d’intérêt de la BCE va encore accentuer la tendance baissière de l’économie.

Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

Croissance France: quasi nulle au premier trimestre

 

Les chiffres de la croissance se situent dans l’épaisseur du trait et les prévisions à peine positives sont très aléatoires surtout avec la perspective d’un conflit social au cours du premier semestre.

Dans sa dernière enquête de conjoncture dévoilée ce mercredi 11 janvier, la Banque de France table sur une maigre croissance du produit intérieur brut (PIB) de 0,1% au premier trimestre, après 0,1% au dernier trimestre 2022. « Nous confirmons notre précédente prévision de décembre, » a déclaré le directeur des études, Olivier Garnier, lors d’une réunion avec des journalistes. Les chiffres de la Banque de France pour les trois derniers mois de l’année sont plus optimistes que ceux de l’Insee. L’institut public tablait sur un recul de -0,2% au dernier trimestre 2022.

D’après la Banque de France « 2023 devrait marquer un fort ralentissement mais échapper à l’atterrissage brutal redouté il y a quelques mois. La croissance devrait être faiblement positive à 0,3% en 2023. »

Dans ses voeux aux acteurs de l’économie il y a quelques jours, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire a une fois de plus affirmé que « l’économie française résiste, » soulignant que la croissance du PIB avait progressé de 2,5% en 2022. En revanche, il n’a pas donné de chiffre pour 2023 en précisant simplement qu’elle serait « positive ». Pour rappel, l’exécutif tablait sur une croissance de 1% cette année dans le budget 2023. Un chiffre qui semble de moins en moins crédible aux yeux de beaucoup d’économistes.

 

L’augmentation spectaculaire des prix de l’énergie depuis la fin de l’année 2021 est venue grignoter le pouvoir d’achat des ménages et percuter l’activité des entreprises en dépit des mesures de bouclier tarifaire et la remise sur les carburants. Même si les prix de l’énergie ont commencé à marquer le pas, le bouclier tarifaire moins généreux depuis le premier janvier et la fin de cette ristourne risquent de repousser l’échéance d’une inflation plus modérée.  Il est clair que le relèvement des taux d’intérêt de la BCE va encore accentuer la tendance baissière de l’économie.

Foot- Coupe du monde Qatar : un premier match vraiment sans intérêt

Foot- Coupe du monde Qatar : un premier match vraiment sans intérêt

Le premier match entre le Qatar et l’Équateur a été relativement insipide. En tout cas pas un match digne d’une coupe du monde. Cela a surtout confirmé que le Qatar n’est pas une terre de football et aussi que les conditions atmosphériques ne sont guère compatibles avec l’exercice sportif.

De toute évidence, il n’existe pas de culture football au Qatar. Pour preuve environ la moitié des spectateurs locaux ont quitté le stade bien avant la fin de la partie.

Sur le plan strictement footballistique, le Qatar a été dominé sur tous les plans et le score aurait pu facilement atteindre 5 à 0 avec un peu de chance. Finalement, l’Équateur a gagné par deux à zéro.

Sur le plan physique, l’équipe du Qatar toujours en retard n’a pas résisté à l’engagement des joueurs équatoriens. Le pire est sans doute le plan technique. Trop de passes approximatives, de déchets, des manques évidents d’expérience internationale de la part du Qatar.

Un match à vite oublier. Pour les prochains matchs, le score risque d’être beaucoup plus sanglant quand le Qatar va affronter le Sénégal ou encore les Pays-Bas.

Cela confirme que le choix du Qatar été surtout politique et non sportif. Cela ne grandit pas la fédération internationale de football qui entretient des liens de plus en plus troubles avec les milliards. La corruption a pris des proportions invraisemblables dans cette fédération où « tout le monde mange ».

Rishi Sunak, Premier ministre: La dernière chance pour sauver la Grande-Bretagne du naufrage ?

Rishi Sunak,Premier ministre: La dernière chance pour sauver la Grande-Bretagne du naufrage ?

D’une certaine manière ce sont les marchés financiers et non pas le parti conservateur qui ont décidé d’imposer le financier Rishi Sunak , ancien ministre des finances comme nouveau premier ministre en Grande-Bretagne.Il y avait urgence avec l’écroulement de la livre, de la croissance, l’inflation et le risque de crise financière.

Une belle revanche pour l’ancien ministre des finances .

L’incompétente Liz Truss a dû renoncer totalement à ses propositions initiales mais les marchés financiers ont contraint le parti conservateur à la limoger compte tenu des attaques contre la livre.

Mais le financier a écarté le retour du fantasque Boris Johnson handicapé cependant encore par quelques gamelles judiciaires.

Rishi Sunak a contre lui, en pleine crise du coût de la vie, son image de richissime banquier passé par les écoles et universités d’élite puis Goldman Sachs.
Mais d’une certaine manière, c’est une des dernières chances de sauver les conservateurs et l’économie britannique. Rishi Sunak est un effet condamné à réussir sinon la Grande-Bretagne qui ne s’est jamais remise du Brexit risque une crise économique et même financière sans précédent

Compte tenu de la crise le pays a surtout besoin de crédibilité au plan intérieur comme au plan international. Or la situation interne est socialement et économiquement catastrophique avec une explosion notamment des coûts de l’énergie, de l’inflation en général qui induit une augmentation considérable de la pauvreté. Le prochain premier ministre aura besoin de rassurer et de rassembler mais aussi de donner des gages de sérieux au plan international.

Figure rassurante pour les marchés financiers, ce « British Indian », issue d’une famille émigrée d’Afrique de l’Est dans les années 1960, signe une spectaculaire revanche, comme rarement vue dans la politique britannique. Face à ses concurrents dans la course à Downing Street, il était l’un des rares à ne pas promettre de baisses d’impôts.

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