Archive pour le Tag '2 %'

Inflation: Seulement 1,2 % sur un an ?

Inflation: Seulement 1,2 % sur un an ?

Beaucoup de ménages et autres acteurs économiques seront sans doute surpris de constater qu’officiellement d’après l’INSEE l’inflation sur un an n’a évolué que de 1,2 % en hausse.

 

Un chiffre qui bien évidemment ne tient pas compte du bouleversement structurel de la consommation des ménages qui ont changé le volume et la nature de leurs achats. Parallèlement en effet,  on assiste à une augmentation de la plupart des prix des services. De quoi s’interroger sur la mesure de l’inflation par l’INSEE. Pour schématiser beaucoup de produits baissent sans doute effectivement mais ne sont pas achetés en tout cas beaucoup moins. Selon la première estimation de l’Insee, l’inflation sur un an atteignait ce mois-ci, 1,2%. Son plus faible niveau depuis plus de trois ans, en juillet 2021.
Sur un mois, les prix ont diminué de 1,2% – la plus forte baisse mensuelle depuis 1990 -, alors qu’ils augmentaient, au contraire, de 0,5% en août. Ce ralentissement considérable s’explique d’abord par «un repli des prix de l’énergie en particulier ceux des produits pétroliers», notent les statisticiens. . «Au total, l’inflation resterait inférieure à +2,0 % d’ici la fin de l’année, et s’établirait à +1,6 % sur un an en décembre 2024», prévoyait l’Insee dans ses dernières projections.

Inflation : seulement 1,2 % sur un an ?

 Beaucoup de ménages et autres acteurs économiques seront sans doute surpris de constater qu’officiellement d’après l’INSEE l’inflation sur un an n’a évolué que de 1,2 % en hausse. Un chiffre qui bien évidemment ne tient pas compte du bouleversement structurel de la consommation des ménages qui ont changé le volume et la nature de leurs achats. Parallèlement en effet on assiste à une augmentation de la plupart des prix des services. De quoi s’interroger sur la mesure de l’inflation par l’INSEE. Pour schématiser beaucoup de produits baissent sans doute effectivement mais ne sont pas achetés en tout cas beaucoup moins. Selon la première estimation de l’Insee, l’inflation sur un an atteignait ce mois-ci, 1,2%. Son plus faible niveau depuis plus de trois ans, en juillet 2021.

Sur un mois, les prix ont diminué de 1,2% – la plus forte baisse mensuelle depuis 1990 -, alors qu’ils augmentaient, au contraire, de 0,5% en août. Ce ralentissement considérable s’explique d’abord par «un repli des prix de l’énergie en particulier ceux des produits pétroliers», notent les statisticiens. . «Au total, l’inflation resterait inférieure à +2,0 % d’ici la fin de l’année, et s’établirait à +1,6 % sur un an en décembre 2024», prévoyait l’Insee dans ses dernières projections.

Croissance France : seulement 0,2 % au deuxième trimestre

Croissance France : seulement 0,2 % au deuxième trimestre

 

L’activité a finalement rebondi un peu moins fortement que prévu entre avril et juin. Le Produit intérieur brut (PIB) français a progressé seulement  de 0,2% au deuxième trimestre, selon les résultats détaillés communiqués vendredi par l’Insee, soit une révision en baisse de 0,1 point par rapport à la première estimation. Le PIB avait augmenté de 0,3% au premier trimestre.

Les grandes composantes sont stables ou en légère hausse, à l’exception de l’investissement (-0,4%). La consommation des ménages se redresse légèrement (+0,1% après -0,1% au premier trimestre), grâce à la consommation de services (+0,5% après +0,3%), tandis que la consommation de biens reste stable (après -0,1%) : la consommation alimentaire recule de 1,6% après déjà -0,1%), une baisse compensée par la hausse de la consommation en gaz et électricité (+3,0% après +0,2%). L’investissement, ou formation brute de capital fixe (FBCF) pour l’Insee, diminue de nouveau (-0,4% après -0,5%). Il recule de 0,5% pour les entreprises, comme au premier trimestre, et de 1,1% pour les ménages, après -1,9% au premier trimestre. Elle augmente néanmoins pour les administrations publiques (+0,6% après +0,5%). Au total, la contribution de la demande intérieure finale – hors stocks – à la croissance du PIB est nulle au deuxième trimestre, comme au trimestre précédent.

Les exportations continuent d’augmenter modérément (+0,4% après +0,6%), grâce notamment «au dynamisme des livraisons de matériels de transport», explique l’Institut national de la Statistique. Quant aux importations, elles se redressent légèrement ce trimestre (+0,1% après -0,4%), soutenues par les importations d’énergie, eau, déchets et de produits agro-alimentaires. Au total, le commerce extérieur apporte de nouveau une contribution positive au PIB (+0,1 point après +0,3 point). Enfin, la contribution des variations de stocks à l’évolution du PIB est nulle ce trimestre, comme au trimestre précédent.

Résultats législatives : le RN nettement en tête à 33,2%, NFP à 28,1%, le camp Macron à 21%

Résultats  législatives  : le RN nettement en tête à 33,2%, NFP  à 28,1%, le camp Macron à 21%

Pour résumer conformément aux prévisions le RN figurent largement en tête des législatives de 1024 avec 33,2 %, le nouveau Front populaire sauve les meubles à 28,1 % et le camp Macron qui s’écroule complètement à 21 %. Comme prévu encore le second tour s’annonce très complexe et dépendra des report de voix. Il n’est pas du tout certain qu’on parvienne à dégager une majorité absolue et finalement ces élections n’auront pas résolu la crise politique mais l’ auront complexifier. Bref la crise politique en France est loin d’être terminée et  dépassera l’échéance du second tour. Au second tour, le RN et ses alliés pourraient être présents dans 390 à 430 circonscriptions.

Indiscutablement le RN remporte une nette victoire. Le nouveau Front populaire Obtient un meilleur score que celui réalisé en 2022 par la Nupes (25,78%), précédente alliance de la gauche alors dominée par La France insoumise. Elle pourrait être présente au second tour dans 370 à 410 circonscriptions. Les candidats divers gauche, hors NFP, obtiennent quant à eux 1,7%.

Le camp présidentiel, qui ne pointe qu’en troisième position (21,0%), est le grand perdant de la soirée, avec un net revers par rapport aux précédentes législatives, où il avait obtenu 25,75% au premier tour. Le camp Macron, éliminé dans presque la moitié des circonscriptions  ne pourrait être présent au second tour que dans 290 à 330 circonscriptions.

 Les Républicains  font  10,0% des suffrages (contre 13,62% il y a deux ans), les candidats du parti vont devoir b

Résultats législatives : le RN nettement en tête à 33,2%, NFP à 28,1%, le camp Macron à 21%

Résultats  législatives  : le RN nettement en tête à 33,2%, NFP  à 28,1%, le camp Macron à 21%

Pour résumer conformément aux prévisions le RN figurelargement en tête des législatives de 1024 avec 33,2 %, le nouveau Front populaire sauve les meubles à 28,1 % et le camp Macron qui s’écroule complètement à 21 %. Comme prévu encore le second tour s’annonce très complexe et dépendra des report de voix. Il n’est pas du tout certain qu’on parvienne à dégager une majorité absolue et finalement ces élections n’auront pas résolu la crise politique mais l’ auront complexifier. Bref la crise politique en France est loin d’être terminée et  dépassera l’échéance du second tour. Au second tour, le RN et ses alliés pourraient être présents dans 390 à 430 circonscriptions.

Indiscutablement le RN remporte une nette victoire. Le nouveau Front populaire Obtient un meilleur score que celui réalisé en 2022 par la Nupes (25,78%), précédente alliance de la gauche alors dominée par La France insoumise. Elle pourrait être présente au second tour dans 370 à 410 circonscriptions. Les candidats divers gauche, hors NFP, obtiennent quant à eux 1,7%.

Le camp présidentiel, qui ne pointe qu’en troisième position (21,0%), est le grand perdant de la soirée, avec un net revers par rapport aux précédentes législatives, où il avait obtenu 25,75% au premier tour. Le camp Macron, éliminé dans presque la moitié des circonscriptions  ne pourrait être présent au second tour que dans 290 à 330 circonscriptions.

 Les Républicains  font  10,0% des suffrages (contre 13,62% il y a deux ans), les candidats du parti vont devoir batailler pour conserver quelques dizaines de fiefs. Ils pourront batailler dans 70 à 90 circonscriptions, selon Ipsos-Talan.

 

Dépenses sociales des départements : Hausse de plus de 2 milliards

Dépenses sociales des départements : Hausse de plus de 2 milliards

Les dépenses sociales des départements français ont augmenté de 2,15 milliards d’euros (+5,2%) en 2023, alourdies en particulier par un bond de plus de 10 % des dépenses de l’Aide sociale à l’enfance(ASE), selon une enquête publiée mercredi. L’an passé, elles se sont élevées à 43,6 milliards d’euros, indique l’Observatoire national de l’action sociale (Odas) dans son enquête annuelle. Cette hausse de 5,2% est «inédite en dix ans», après une hausse de 2,7% en 2022 et 0,4% en 2021, a déclaré à la presse Didier Lesueur, délégué général de l’Odas.

La progression la plus importante concerne les mineurs étrangers non accompagnés (MNA), en hausse de 6.800 (+28%), pour un nombre total de 31.100 fin 2023, selon l’Odas. La loi de février 2022 impose aux départements de continuer à accompagner ces jeunes après leur majorité, jusqu’à leurs 21 ans: 31.000 jeunes sont dans le cas, dont 17.500 étrangers.

Prix carburants : près de 2 euros

Prix carburants : près de 2 euros

Les prix du carburant toujours à la hausse depuis le début de l’année 2024, selon les calculs de Fig Data, effectués grâce aux données publiques du ministère de la Transition énergétique. Un litre de sans-plomb 98 coûte en moyenne 1,9903 euro, soit une remontée de douze centimes par rapport à janvier. Le cours du sans-plomb 95 (1,9386 euro) et celui de l’E10 (1,9221 euro) suivent aussi cette tendance. Le gazole est également en hausse, à 1,8071 euro.

Sur un an, le tarif du SP-98 est en hausse de 0,8%, comme celui du SP-95 (+ 0,3%) et de l’E10 (+ 0,5%). Le gazole a également augmenté d’1,4%.

Les prix à la pompe suivent les évolutions du baril de Brent. Ce dernier a atteint son record annuel au début de l’automne à 96,55$ en clôture à Londres avant de redescendre. C’était sans compter sur l’irruption d’un nouveau conflit au Proche-Orient, entre le Hamas et Israël, qui a suscité l’inquiétude des marchés et une flambée des prix dans un contexte déjà plombé par les réductions de production saoudienne et russe et l’enlisement du conflit en Ukraine.

L’inflation officielle à 2,3% sur un an

 

L’inflation officielle  à 2,3% sur un an

 

L’INSEE annonce officiellement un ralentissement de l’inflation qui enregistre toutefois une hausse de 2,3 % en février sur un an. Bien évidemment il ne s’agit pas d’une baisse de prix mais d’une hausse plus mesurée . Une tendance toutefois à relativiser car la nature et le volume des achats des Français a profondément évolué témoin d’ailleurs l’assez net  tassement de la consommation. Inversement les dépenses contraintes, elle, comme les assurances par exemple dont les tarifs en moyenne ont évolué de plus 6 % début de l’année, continuent de progresser nettement

En mars, selon les estimations de l’Insee, l’inflation  serait limitée à 2,3 %, après 3 % en février. Au pic du phénomène, il y a un an, les hausses de prix avaient atteint 6,3 %. « Cette baisse de l’inflation serait due au ralentissement sur un an des prix de l’alimentation (+ 1,7 % en mars après + 3,6 % en février), des services, du tabac, de l’énergie et des produits manufacturés », explique l’institut dans un communiqué.

 L’inflation est déjà revenue à 3 % et redescendra bien à 2 % d’ici à 2025 », assurait ainsi récemment François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France.

La plupart des lobbys ayant profité de la spéculation considère maintenant qu’on ne reviendra pas au niveau des anciens prix compte tenu du caractère dit structurel de l’inflation.

Croissance États-Unis : un bon résultat en 2023 avec une augmentation de 2,5 % du PIB

Croissance États-Unis : un bon résultat en 2023 avec une augmentation de 2,5 % du PIB


Finalement les États-Unis s’en sortent mieux qu’attendu et que beaucoup de pays du monde avec notamment une croissance relativement forte de 2,5 % alors par exemple que l’union européenne affiche seulement 0,6 % pour 2023. Par ailleurs l’inflation semble mieux maîtrisée aux États-Unis avec une augmentation de l’ordre de 3 % sur un an tandis que celle de l’union européenne est d’environ 3,4 %.

Sur l’ensemble de l’année 2023, l’économie américaine aura progressé de 2,5 %, selon les chiffres du Département du commerce publiés jeudi. Soit une croissance du PIB pratiquement deux fois plus élevée que les pronostics d’il y a un an. L’inflation, dont la flambée avait justifié le resserrement monétaire de la Fed qui risquait d’étouffer l’activité, est retombée autour de 2 à 3%.

Sur la fin de l’année, au quatrième trimestre, la croissance aux États-Unis dépasse aussi largement les prévisions qui tournaient autour de 2 %. Elle s’établit, selon la première estimation, à 3,3 % en rythme annuel.

Croissance États-Unis : un bon résultat en 2023 avec une augmentation de 2,5 % du PIB

Croissance États-Unis : un bon résultat en 2023 avec une augmentation de 2,5 % du PIB


Finalement les États-Unis s’en sortent mieux qu’attendu et que beaucoup de pays du monde avec notamment une croissance relativement forte de 2,5 % alors par exemple que l’union européenne affiche seulement 0,6 % pour 2023. Par ailleurs l’inflation semble mieux maîtrisée aux États-Unis avec une augmentation de l’ordre de 3 % sur un an tandis que celle de l’union européenne est d’environ 3,4 %.

Sur l’ensemble de l’année 2023, l’économie américaine aura progressé de 2,5 %, selon les chiffres du Département du commerce publiés jeudi. Soit une croissance du PIB pratiquement deux fois plus élevée que les pronostics d’il y a un an. L’inflation, dont la flambée avait justifié le resserrement monétaire de la Fed qui risquait d’étouffer l’activité, est retombée autour de 2 à 3%.

Sur la fin de l’année, au quatrième trimestre, la croissance aux États-Unis dépasse aussi largement les prévisions qui tournaient autour de 2 %. Elle s’établit, selon la première estimation, à 3,3 % en rythme annuel.

Economie France : Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Economie France : Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Le produit intérieur brut (PIB) de la France devrait croître de 0,2% au dernier trimestre de l’année 2023, a indiqué mercredi 10 janvier la Banque de France, révisant en hausse sa précédente estimation de croissance (0,1%). Si jamais les 0,2% attendus par la Banque de France au quatrième trimestre se confirmaient et que le chiffre de croissance des trois autres trimestres de l’année 2023 n’était pas révisé, la croissance française pour l’ensemble de l’année atteindrait alors 0,9%, a expliqué Olivier Garnier, le chef économiste de la banque centrale.

Le gouvernement parie, lui, sur une croissance d’1% en 2023, après 2,5% en 2022. La révision à la hausse de la croissance du 4e trimestre résulte d’une «bonne surprise sur l’activité en décembre», qui a progressé à une vitesse «un peu plus soutenue que ce qui était anticipé» par les chefs d’entreprise, selon Olivier Garnier. L’industrie a ainsi connu une expansion de son activité, en particulier dans la chimie, la pharmacie, l’automobile et la métallurgie, là où les patrons s’attendaient plutôt à un tassement.

Dans les services, la croissance de l’activité a été plus forte que prévu en décembre. Enfin, dans le bâtiment, l’activité a continué de progresser dans le second œuvre et s’est stabilisée dans le gros œuvre.

Pour le mois de janvier» 2024, l’activité progresserait, mais moins vite qu’en décembre, dans l’industrie et les services, tandis que celle du bâtiment se contracterait. Le pessimisme règne sur les carnets de commandes: dans le gros œuvre, ils ont atteint en décembre leur plus bas niveau depuis septembre 2014.

Economie: Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Economie: Une petite croissance à 0,2% pour la fin 2023

Le produit intérieur brut (PIB) de la France devrait croître de 0,2% au dernier trimestre de l’année 2023, a indiqué mercredi 10 janvier la Banque de France, révisant en hausse sa précédente estimation de croissance (0,1%). Si jamais les 0,2% attendus par la Banque de France au quatrième trimestre se confirmaient et que le chiffre de croissance des trois autres trimestres de l’année 2023 n’était pas révisé, la croissance française pour l’ensemble de l’année atteindrait alors 0,9%, a expliqué Olivier Garnier, le chef économiste de la banque centrale.

Le gouvernement parie, lui, sur une croissance d’1% en 2023, après 2,5% en 2022. La révision à la hausse de la croissance du 4e trimestre résulte d’une «bonne surprise sur l’activité en décembre», qui a progressé à une vitesse «un peu plus soutenue que ce qui était anticipé» par les chefs d’entreprise, selon Olivier Garnier. L’industrie a ainsi connu une expansion de son activité, en particulier dans la chimie, la pharmacie, l’automobile et la métallurgie, là où les patrons s’attendaient plutôt à un tassement.

Dans les services, la croissance de l’activité a été plus forte que prévu en décembre. Enfin, dans le bâtiment, l’activité a continué de progresser dans le second œuvre et s’est stabilisée dans le gros œuvre.

Pour le mois de janvier» 2024, l’activité progresserait, mais moins vite qu’en décembre, dans l’industrie et les services, tandis que celle du bâtiment se contracterait. Le pessimisme règne sur les carnets de commandes: dans le gros œuvre, ils ont atteint en décembre leur plus bas niveau depuis septembre 2014.

Social- Prix alimentaires : nouvelle augmentation supérieure à 2 %

Social- Prix alimentaires : nouvelle augmentation supérieure à 2 %

Contrairement aux déclarations du ministre de l’économie ou même des grands patrons de la distribution, il ne faut pas s’attendre à une diminution des prix dans l’alimentaire en 2024 mais plutôt à des augmentations qui forcément vont s’ajouter aux précédentes. À l’issue des négociations qui vont bientôt se terminer entre distributeurs et industriels non seulement l’alimentaire ne devrait pas afficher de baisse mais au contraire les prix pourraient enregistrer de nouvelles augmentations d’au moins 2 %

En effet, contrairement aux affirmations du ministre de l’économie, les industriels et les distributeurs semblent plutôt s’accorder sur la perspective que ces négociations aboutissent globalement à une « légère inflation » des tarifs alimentaires des fournisseurs payés aux producteurs.

« Je suis plutôt convaincu qu’on va partir sur une inflation tendancielle de 2-2,5% », estime notamment Richard Panquiault, directeur général de l’Institut de liaisons et d’études des industries de consommation (Ilec), interrogé par La Tribune.

Certes, entre 15% et 25% des produits verront leurs tarifs baisser, puisque les cours de certaines matières premières comme les céréales, les huiles végétales et la volaille ont effectivement reflué, détaille Richard Panquiault.

« Mais il y a quand même beaucoup plus de matières premières agricoles qui restent orientées à la hausse », observe-t-il.

Mais les industriels, tout en se montrant moins exigeants que l’année dernière, proposent des tarifs plutôt en hausse. L’augmentation moyenne est de 5% chez les adhérents de l’Ilec -contre une croissance des tarifs de 14% en 2023. La Feef enregistre pour sa part une hausse moyenne des tarifs demandés de 3%.

Prix alimentaires : une nouvelle augmentation supérieure à 2 %

Prix alimentaires : une nouvelle augmentation supérieure à 2 %

Contrairement aux déclarations du ministre de l’économie ou même des grands patrons de la distribution, il ne faut pas s’attendre à une diminution des prix dans l’alimentaire en 2024 mais plutôt à des augmentations qui forcément vont s’ajouter aux précédentes. À l’issue des négociations qui vont bientôt se terminer entre distributeurs et industriels non seulement l’alimentaire ne devrait pas afficher de baisse mais au contraire les prix pourraient enregistrer de nouvelles augmentations d’au moins 2 %

En effet, contrairement aux affirmations du ministre de l’économie, les industriels et les distributeurs semblent plutôt s’accorder sur la perspective que ces négociations aboutissent globalement à une « légère inflation » des tarifs alimentaires des fournisseurs payés aux producteurs.

« Je suis plutôt convaincu qu’on va partir sur une inflation tendancielle de 2-2,5% », estime notamment Richard Panquiault, directeur général de l’Institut de liaisons et d’études des industries de consommation (Ilec), interrogé par La Tribune.

Certes, entre 15% et 25% des produits verront leurs tarifs baisser, puisque les cours de certaines matières premières comme les céréales, les huiles végétales et la volaille ont effectivement reflué, détaille Richard Panquiault.

« Mais il y a quand même beaucoup plus de matières premières agricoles qui restent orientées à la hausse », observe-t-il.

Mais les industriels, tout en se montrant moins exigeants que l’année dernière, proposent des tarifs plutôt en hausse. L’augmentation moyenne est de 5% chez les adhérents de l’Ilec -contre une croissance des tarifs de 14% en 2023. La Feef enregistre pour sa part une hausse moyenne des tarifs demandés de 3%.

Alimentaire : une nouvelle augmentation supérieure à 2 %

Alimentaire : une nouvelle augmentation supérieure à 2 %

À l’issue des négociations qui vont bientôt se terminer entre distributeurs et industriels non seulement l’alimentaire ne devrait pas afficher de baisse mais au contraire les prix pourraient enregistrer de nouvelles augmentations d’au moins 2 %

En effet, contrairement aux affirmations du ministre de l’économie, les industriels et les distributeurs semblent plutôt s’accorder sur la perspective que ces négociations aboutissent globalement à une « légère inflation » des tarifs alimentaires des fournisseurs payés aux producteurs.

« Je suis plutôt convaincu qu’on va partir sur une inflation tendancielle de 2-2,5% », estime notamment Richard Panquiault, directeur général de l’Institut de liaisons et d’études des industries de consommation (Ilec), interrogé par La Tribune.

Certes, entre 15% et 25% des produits verront leurs tarifs baisser, puisque les cours de certaines matières premières comme les céréales, les huiles végétales et la volaille ont effectivement reflué, détaille Richard Panquiault.

« Mais il y a quand même beaucoup plus de matières premières agricoles qui restent orientées à la hausse », observe-t-il.

Mais les industriels, tout en se montrant moins exigeants que l’année dernière, proposent des tarifs plutôt en hausse. L’augmentation moyenne est de 5% chez les adhérents de l’Ilec -contre une croissance des tarifs de 14% en 2023. La Feef enregistre pour sa part une hausse moyenne des tarifs demandés de 3%.

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