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Covid France 28 avril 2023: 6609 cas supplémentaires en 24 heures et 2 morts

Covid France 28 avril 2023: 6609 cas supplémentaires en 24 heures et 2 morts

On enregistre jeudi 27 avril 2023 : 6609 cas supplémentaires en 24 heures et 2 morts, soit depuis le début de la pandémie 166.430 morts au total.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.637 (+2) et celui de décès en milieu hospitalier est de 136.793 (0 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 0,91 le taux d’incidence à 67,22 et la tension hospitalière à 15,1 %.

La France compte actuellement 12.713 (-61) personnes hospitalisées et 764 (+15) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.700 (-7) hospitalisées, 328 (+2) en réanimation et +7 décès en 24h
Grand Est : 597 (+4) hospitalisés, 39 (+5) en réanimation et +5 décès en 24h
Hauts de France : 1.047 (-17) hospitalisés, 58 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 939 (-67) hospitalisés, 45 (-3) en réanimation et +6 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 901 (+11) hospitalisé, 55 (+1) en réanimation et +4 décès en 24h
Bretagne: 409 (-9) hospitalisés, 13 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
Normandie : 515 (+3) hospitalisés, 16 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.229 (-10) hospitalisés, 85 (+4) en réanimation et +2 décès en 24h
Pays de la Loire : 226 (+9) hospitalisés, 14 (+3) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 852 (+10) hospitalisés, , 49 (+4) en réanimation et +4 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 634 (+3) hospitalisés, 29 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 467 (+11) hospitalisés, 22 (-3) en réanimation et +1 décès en 24h

Augmentation du SMIC de 2 % : c’est trop !

Augmentation du SMIC de 2 % : c’est trop !

Contrairement aux affirmations du gouvernement et de certains experts, l’inflation ne ralentit pas et va même se maintenir à peu près autour de 6 % sur un an cours de l’année 2023. À peu près le même chiffre de progression des prix qu’en 2022.Les deux 2 progressions des prix évidemment se cumulent. Sur deux ans, ce sera donc une augmentation supérieure à 13 %. À noter en plus l’augmentation particulière de l’alimentaire qui atteint officiellement 15 % et dont les professionnels pensent qu’elle ira jusqu’à 20 %.

Bref face à une augmentation officielle des prix de 6 % le SMIC sera augmenté d »environ 30 €, c’est trop !

La vérité c’est que face à l’emballement exceptionnel de l’inflation il aurait fallu augmenter les salaires de l’ordre de 10 % en 2023 le pouvoir d’achat. En attendant environ 40 % des plus défavorisés sont contraints de diminuer le nombre de repas ou leur importance.

Compte tenu du niveau de l’inflation qui a atteint 5,7% en mars sur un an, le salaire minimum va de nouveau augmenter d’environ 30 euros net au 1er mai.
La Première ministre Elisabeth Borne a assuré ce vendredi que le Smic augmenterait « d’un peu plus de 2% » au 1er mai et appelé les entreprises à « renégocier les grilles salariales » pour défendre le pouvoir d’achat après une inflation en mars un peu plus forte qu’envisagée.

Cette inflation qui a atteint 5,7%, soit légèrement plus que les 5,6% initialement prévus par l’Insee, va conduire mécaniquement « à une revalorisation du Smic au 1er mai d’un peu plus de 2% », portant à 6% son augmentation sur un an, a expliqué la cheffe du gouvernement lors d’un déplacement à Hanches, en Eure-et-Loir.

Selon le cabinet du ministre du Travail Olivier Dussopt, la hausse sera de 2,19%. Le Smic net mensuel sera ainsi revalorisé de 30 euros à 1383 euros pour un temps plein de 35 heures. Lors de la visite d’un hypermarché, qui a été interrompue à plusieurs reprises par quelques manifestants hostiles à la réforme des retraites, Elisabeth Borne a appelé les entreprises à « renégocier au plus vite les grilles salariales » pour les employés afin que les salariés qui gagnent un peu plus que le smic ne soient pas pénalisés.

Covid France 14 avril 2023 : 10 678 cas supplémentaires et 2 morts

Covid France 14 avril 2023 : 10 678 cas supplémentaires et 2 morts


On enregistre jeudi 13 avril 2023 : On enregistre 10 678 cas supplémentaires et 2 morts soit depuis le début de la pandémie 165.918 morts au total, +2 morts supplémentaires.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.613 (+2) et celui de décès en milieu hospitalier est de 136.305 (0 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 0,98 le taux d’incidence à 65,83 et la tension hospitalière à 14,1 %.

La France compte actuellement 12.493 (+14) personnes hospitalisées et 715 (+1) malades en réanimation.


Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.706 (+14) hospitalisées, 319 (+1) en réanimation et +5 décès en 24h
Grand Est : 575 (-5) hospitalisés, 37 (+3) en réanimation et +2 décès en 24h
Hauts de France : 1.262 (+10) hospitalisés, 40 (-2) en réanimation et +6 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 913 (-10) hospitalisés, 41 (-2) en réanimation et +7 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 820 (+13) hospitalisé, 46 (+2) en réanimation et +4 décès en 24h
Bretagne: 382 (-1) hospitalisés, 10 (-1) en réanimation et 0 décès en 24h
Normandie : 450 (-11) hospitalisés, 16 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.127 (+10) hospitalisés, 81 (+3) en réanimation et +5 décès en 24h
Pays de la Loire : 190 (+9) hospitalisés, 7 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 773 (+36) hospitalisés, , 55 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 627 (-1) hospitalisés, 24 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 496 (-52) hospitalisés, 26 (-3) en réanimation et 0 décès en 24h

Covid France 14 avril 2023 : 10 678 cas supplémentaires et 2 morts

Covid France 14 avril 2023 : 10 678 cas supplémentaires et 2 morts


On enregistre jeudi 13 avril 2023 : On enregistre 10 678 cas supplémentaires et 2 morts soit depuis le début de la pandémie 165.918 morts au total, +2 morts supplémentaires.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.613 (+2) et celui de décès en milieu hospitalier est de 136.305 (0 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 0,98 le taux d’incidence à 65,83 et la tension hospitalière à 14,1 %.

La France compte actuellement 12.493 (+14) personnes hospitalisées et 715 (+1) malades en réanimation.


Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.706 (+14) hospitalisées, 319 (+1) en réanimation et +5 décès en 24h
Grand Est : 575 (-5) hospitalisés, 37 (+3) en réanimation et +2 décès en 24h
Hauts de France : 1.262 (+10) hospitalisés, 40 (-2) en réanimation et +6 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 913 (-10) hospitalisés, 41 (-2) en réanimation et +7 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 820 (+13) hospitalisé, 46 (+2) en réanimation et +4 décès en 24h
Bretagne: 382 (-1) hospitalisés, 10 (-1) en réanimation et 0 décès en 24h
Normandie : 450 (-11) hospitalisés, 16 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.127 (+10) hospitalisés, 81 (+3) en réanimation et +5 décès en 24h
Pays de la Loire : 190 (+9) hospitalisés, 7 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 773 (+36) hospitalisés, , 55 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 627 (-1) hospitalisés, 24 (0) en réanimation et +1 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 496 (-52) hospitalisés, 26 (-3) en réanimation et 0 décès en 24h

Croissance France: + 0.2% au lieu de 0.1% au premier trimestre

Croissance France: + 0,2% au lieu de 0.1% au premier trimestre


La Banque de France (BdF) révise à la hausse sa prévision de croissance à 0,2 % pour le premier trimestre soit plus 0,1 % par rapport aux dernières prévisions.

La nouvelle enquête, réalisée auprès des chefs d’entreprise entre le 29 mars et le 5 avril, montre que l’activité a été résiliente au premier trimestre, avec une progression en mars dans l’industrie, les services et le bâtiment.

« Pour avril, les entreprises anticipent une nouvelle progression dans l’industrie et les services, et un repli dans le bâtiment », indique la BdF.

Pour l’ensemble de 2023, la BdF a dit le mois dernier tabler sur une croissance du PIB français de 0,6%.

Le Fonds monétaire international (FMI) a de son côté réitéré mardi sa prévision d’une croissance de 0,7% de l’économie française cette année.

Inflation: Le retour rapide de la BCE à 2 % est une illusion

Inflation: Le retour rapide de la BCE à 2 % est une illusion

La Banque centrale européenne (BCE) continuera à relever ses taux d’intérêt pour freiner la dynamique « sous-jacente des prix, qui reste trop élevée », a déclaré ce mercredi sa présidente Christine Lagarde, lors d’une audition au Parlement européen. Comme la plupart des banques centrales dans le monde, la BCE maintient donc sa cible d’inflation à 2 %, un objectif inchangé depuis la fin des années 1990. Certains économistes commencent pourtant à douter de la crédibilité de cette cible. Faut-il la relever à 3 %, voire 4 % ? C’est le débat de la semaine de La Tribune entre Christopher Dembik, directeur de la recherche macroéconomique de Saxo Bank, et Gilles Moëc, chef économiste de chez Axa.

Le sujet est tabou chez les banquiers centraux mais il commence à agiter le cénacle des économistes. Le débat a été (re)lancé par Olivier Blanchard, ex-chef économiste du FMI, en novembre dernier. Dans une tribune publiée dans le Financial Times, cet économiste respecté et écouté plaide pour que la cible d’inflation (« inflation targeting ») des grandes banques centrales – actuellement de 2 % – soit revue à la hausse, à au moins à 3%. La question mérite en effet d’être posée alors que l’inflation est désormais bien supérieure à 5 % dans les pays développés.

Cette cible d’inflation à 2 % est devenue au fil des années l’alpha et l’oméga des politiques monétaires, surtout à la Banque centrale européenne (BCE) dont le premier mandat est la stabilité des prix en zone euro. Elle permet en principe aux banques centrales de gérer les anticipations d’inflation des agents économiques dans une communication bien cadrée, avec une marge de manœuvre suffisante pour ajuster la politique monétaire.

Pourtant, cet objectif d’inflation ne repose sur aucune base scientifique. La petite histoire raconte que c’est un ministre de l’économie néo-zélandais qui avait estimé, dans les années 1980, que le niveau d’inflation idéal serait de 2 %, avant de demander à la banque centrale de son pays de trouver des arguments pour appuyer ses dires ! Toujours est-il que toutes les banques centrales ont depuis progressivement convergé vers cette cible de 2%, même, plus tardivement, la Réserve fédérale aux Etats-Unis, pourtant pas très adepte de ce genre de dogme.

Cet objectif est resté à 2 %, y compris pendant la longue période de désinflation qui a accompagné la mondialisation des échanges. Mais la pandémie, la guerre en Ukraine, les tensions sino-américaines et la flambée des prix de l’énergie marquent le grand retour de l’inflation. Et cette inflation, longtemps considérée comme « provisoire » par les grands argentiers, semble bien installée dans nos économies, et pour longtemps. Ne serait-ce qu’en raison du coût de la transition énergétique qui fera de facto flamber les prix. Le consensus des économistes est sans appel : les économies seront confrontées à une période d’inflation structurellement plus élevée que ces trente dernières années.
Alors, les banques centrales doivent-elles relever les objectifs d’inflation ?

Il est désormais clair que l’inflation va se maintenir pendant au moins plusieurs années au-dessus de la cible de 2%. Ce qui pose logiquement un problème de crédibilité pour les banques centrales. Certes, les anticipations d’inflation à long terme sont ancrées autour des 2 % dans de nombreux pays. Mais cela ne veut pas dire pour autant que la cible d’inflation est réaliste. Le vrai sujet, me semble-t-il, concerne le changement profond de nos économies, et en particulier, la transition énergétique vers une économie décarbonée qui doit s’étaler sur des décennies. Ce temps long correspond d’ailleurs à l’horizon des banques centrales.

Il faudra bien ajuster l’objectif d’inflation au coût inflationniste de la politique énergétique, et d’une manière plus générale, au changement structurel du rythme d’inflation. Pour autant, le débat est sans doute prématuré aujourd’hui. Les banques centrales ne peuvent pas ouvrir deux fronts à la fois, l’un concret, sur la lutte contre l’inflation, et l’autre, plus académique sur le niveau idoine d’inflation dans les années à venir.

La priorité des banques centrales est bien de ramener les anticipations des agents économiques vers les 2 %. Cependant, nous devrions être capable d’amorcer ce débat à la fin de l’année, lorsque les effets de base pèseront sur le niveau d’inflation, sous réserve que les prix de l’énergie ne s’envolent pas à nouveau au second semestre, avec la hausse de la demande chinoise.
Ce débat doit être posé même si les banques centrales acceptent finalement que l’objectif d’inflation puisse être dépassé pendant un certain temps. C’est une question de crédibilité. Les agents économiques doivent faire confiance à la banque centrale pour ramener l’inflation au taux cible.

Il existe en effet des forces structurelles dans l’économie qui sont inflationnistes, comme le coût du verdissement de l’économie, les changements démographiques ou, peut-être, une déglobalisation. Dès lors, nous pouvons comprendre que maintenir un objectif d’inflation à 2 %, alors que la tendance ressort plutôt à 3 %, risque de plonger les banques centrales dans des politiques monétaires perpétuellement restrictives. Pourtant, relever l’objectif d’inflation serait à la fois extrêmement difficile à faire et même potentiellement dangereux à court terme. En pratique, ce n’est jamais le bon moment pour le faire !

Lorsque l’inflation était très faible, certains économistes plaidaient déjà pour relever l’objectif d’inflation pour tenter de relever les anticipations des agents économiques en signalant que les politiques monétaires n’allaient pas rester très accommodantes pour longtemps. Un raisonnement valide mais dans un contexte où les banques centrales avaient déjà du mal à arrimer l’inflation à un niveau proche de 2%. Monter à 3 % risquait alors d’accentuer le problème de crédibilité de la banque centrale.

C’est un peu la même chose aujourd’hui. Dans les faits, ramener l’inflation à 3% contre 6% actuellement en zone euro serait déjà une performance, mais relever l’objectif d’inflation à 3 % dans ce contexte c’est prendre le risque d’installer durablement une inflation à 4%. Regardez comment les marchés ont salué la décision de la Réserve fédérale de remonter ses taux de 25 points de base : ils montent parce qu’ils anticipent une baisse des taux directeurs au second semestre. Alors, imaginez si les banques centrales décident de relever leur objectif d’inflation à 3 % : cela renforcerait les anticipations de baisse des taux, ce qui serait totalement contre-productif dans la lutte contre l’inflation en assouplissant les conditions financières.

Enfin, du moins en Europe, ce débat serait une croisade perdue d’avance. La BCE et de nombreux gouverneurs de banques centrales sont en effet profondément attachés à cette cible de 2%. Car la lutte contre l’inflation est consubstantielle à la BCE.

Et puis, dernier mot, nous avons très bien vécu lorsque l’inflation était en-dessous de 2 %. Nous pouvons faire de même au-dessus sans modifier explicitement l’objectif. A partir du moment où la BCE n’affiche pas sa préférence, nous pouvons désormais considérer l’objectif de 2 % comme un plancher, et non plus comme un plafond, comme ces dernières années. Les agents économiques s’ajusteront toujours à ce que souhaitent les banques centrales.

Livret d’épargne: Une hausse « Sensible » à 2 % !!!

Livret d’épargne: Une hausse « Sensible » à 2 % !!!

Le gouverneur de la Banque de France qui n’a pas peur des mots annoncent une hausse « sensible » probable pour les livrets d’épargne; un hausse déjà « sensible » avait fait passer la rémunération du livret A de 1 à 2 %. Cette fois la hausse toujours aussi  » sensibl »e pourrait atteindre 2 %. Notons cependant que la hausse des prix, elle, aura atteint près de 7 % fins 2022. Le gap pour préserver le pouvoir d’achat est encore énorme.

Au 1er août de cette année, le taux avait doublé pour atteindre 2%. Une hausse qui aurait notamment engendré plusieurs mois de collecte record .En réalité, ce sont surtout les incertitudes qui ont fait gonfler l’épargne de ceux qui en avait les moyens.
Mais le gouverneur de la Banque de France a également mis un coup de projecteur sur le Livret d’Épargne Populaire en annonçant une «hausse encore plus forte» sur ce projet avant d’ajouter que «c’était le produit le plus intéressant pour les épargnants». Au 1er août, son taux était passé de 2,2% à 4,6%.

Le problème c’est que très peu de personnes en détiennent. Si ses modalités d’ouverture ont été simplifiées depuis l’an dernier, seuls 37% des 18,6 millions de Français remplissant les conditions pour disposer d’un LEP en ont effectivement un, selon la Banque de France. Ce produit est réservé aux personnes ayant des revenus ne dépassant pas certains plafonds (20.297 euros annuels par exemple pour une personne seule).

Covid France 2 octobre 2022 : tendance toujours à la hausse avec 48261cas supplémentaires en 24 heures


Covid France 2 octobre 2022 : tendance toujours à la hausse avec 48261cas supplémentaires en 24 heures

on enregistre vendredi 30 septembre 2022 : 48261cas supplémentaires en 24 heures, 155.112 morts au total, +34 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.151 (+5) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 125.961 (+29 en 24h).
Le taux de reproductivité R est de 1,26 le taux d’incidence à 412,79 et la tension hospitalière à 16,0 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.
La France compte actuellement 14.554 (+295) personnes hospitalisées et 810 (+21) malades en réanimation.

Bilan des régions:
• Ile-de-France : 4.340 (+43) hospitalisées, 304 (+11) en réanimation et +2 décès en 24h
• Grand Est : 1.259 (+37) hospitalisés, 60 (-3) en réanimation et +7 décès en 24h
• Hauts de France : 1.173 (+31) hospitalisés, 73 (+4) en réanimation et 0 décès en 24h
• Auvergne Rhône Alpes : 1.447 (+78) hospitalisés, 59 (+5) en réanimation et +3 décès en 24h
• Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.153 (-4) hospitalisé, 51 (+5) en réanimation et +5 décès en 24h
• Bretagne: 446 (+25) hospitalisés, 18 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
• Normandie : 776 (+10) hospitalisés, 27 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
• Nouvelle-Aquitaine : 1.092 (+12) hospitalisés, 73 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
• Pays de la Loire : 240 (+3) hospitalisés, 13 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
• Occitanie: 971 (+6) hospitalisés, , 53 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h
• Centre-Val de Loire : 671 (+14) hospitalisés, 29 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
• Bourgogne-Franche-Comté : 655 (+44) hospitalisés, 33 (-5) en réanimation et +2 décès en 24h

Covid France 2 sept 2022:18.646 supplémentaires en 24h.

Covid France 2 sept 2022:18.646 supplémentaires en 24h.

On enregistre ce jeudi 1 septembre 2022 :  18.646 supplémentaires en 24h., 154.134 morts au total, +41 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.110 (+3) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 125.024 (+38 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,90 le taux d’incidence à 178,62 et la tension hospitalière à 16,1 %. Le taux de positivité est à 0,0 %.

La France compte actuellement 14.391 (-94) personnes hospitalisées et 814 (-24) malades en réanimation.

Bilan des régions:

  • Ile-de-France : 4.223 (-14) hospitalisées, 278 (-12) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Grand Est : 1.062 (+8) hospitalisés, 68 (0) en réanimation et 0 décès en 24h
  • Hauts de France : 1.136 (-13) hospitalisés, 57 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Auvergne Rhône Alpes : 1.180 (-12) hospitalisés, 56 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.406 (-26) hospitalisé, 50 (-7) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Bretagne: 426 (-6) hospitalisés, 32 (+3) en réanimation et +6 décès en 24h
  • Normandie : 810 (-26) hospitalisés, 33 (-3) en réanimation et 0 décès en 24h
  • Nouvelle-Aquitaine : 1.116 (-6) hospitalisés, 68 (-1) en réanimation et +5 décès en 24h
  • Pays de la Loire : 245 (-19) hospitalisés, 23 (0) en réanimation et +3 décès en 24h
  • Occitanie: 1.124 (0) hospitalisés, , 60 (-2) en réanimation et +4 décès en 24h
  • Centre-Val de Loire : 634 (+1) hospitalisés, 28 (-2) en réanimation et -1 décès en 24h
  • Bourgogne-Franche-Comté : 610 (+15) hospitalisés, 32 (0) en réanimation et +1 décès en 24h

Covid France 2 août 2022: +7.249 nouveaux cas confirmés en 24h.

Covid France 2 août 2022: +7.249 nouveaux cas confirmés en 24h.

On enregistre  lundi 1 août 2022 : Covid France 2 août 2022: +7.249 nouveaux cas confirmés en 24h.,  152.179 morts au total, +121 morts supplémentaires. Le nombre de décès en EHPAD et EMS fait état de 29.022 (0) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 123.157 (+121 en 24h).

Le taux de reproductivité R est de 0,75 le taux d’incidence à 500,47 et la tension hospitalière à 23,8 %. Le taux de positivité est à 13,1 %.

La France compte actuellement 20.063 (-35) personnes hospitalisées et 1.205 (+10) malades en réanimation.

Bilan des régions

Ile-de-France : 5.341 (-71) hospitalisées, 363 (-1) en réanimation et +21 décès en 24h

Grand Est : 1.413 (-5) hospitalisés, 91 (+4) en réanimation et +13 décès en 24h

Hauts de France : 1.781 (-29) hospitalisés, 108 (+4) en réanimation et +7 décès en 24h

Auvergne Rhône Alpes : 1.991 (+2) hospitalisés, 96 (+1) en réanimation et +15 décès en 24h

Provence-Alpes Côte d’Azur : 1.849 (+27) hospitalisé, 84 (-2) en réanimation et +19 décès en 24h

Bretagne: 727 (+6) hospitalisés, 34 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h

Normandie : 1.113 (-3) hospitalisés, 49 (+2) en réanimation et +6 décès en 24h

Nouvelle-Aquitaine : 1.453 (-24) hospitalisés, 87 (-5) en réanimation et +11 décès en 24h

Pays de la Loire : 465 (+15) hospitalisés, 38 (+4) en réanimation et +5 décès en 24h

Occitanie: 1.556 (+2) hospitalisés, , 114 (-4) en réanimation et +8 décès en 24h

Centre-Val de Loire : 902 (-5) hospitalisés, 43 (+1) en réanimation et +7 décès en 24h

Bourgogne-Franche-Comté : 880 (+16) hospitalisés, 55 (+4) en réanimation et +5 décès en 24h

Livret A : un taux « incitatif » de 2 % face à une inflation de 10 % !

 

Livret  A : un taux « incitatif » de 2 % face à une inflation de 10 % !

Conséquence sans doute de vacances de nombreux journalistes, la Tribune publie un article qui s’inspire essentiellement des informations de la caisse de dépôt qui dépend de l’Etat ( observatoire de la BPCE). Un article un peu surréaliste quant au relèvement du taux d’épargne du livret A. Un taux relevé à 2 % quand l’inflation réelle va atteindre 10 % ! (extrait)

 

Selon les prévisions de BPCE, le taux d’épargne devrait donc rester à un niveau élevé en 2022, à 16%, certes loin derrière le pic du confinement de 2020 (27%) mais toujours supérieur à celui d’avant crise sanitaire (15%). Toutefois, le recul du pouvoir d’achat conduit à recul des flux de placements financiers (différence entre versements et remboursements, hors capitalisation des intérêts et valorisation boursière), estimés à 89 milliards d’euros en 2022 et 66,7 milliards en 2023 (contre 111 milliards en 2021). Ces montants fléchissent mais demeurent à des niveaux élevés, supérieurs à la moyenne de 44 milliards sur longue période (1993-2011).

La collecte de l’épargne est toujours tirée par les dépôts à vue et les livrets, surtout le Livret d’épargne populaire (LEP). L’assurance-vie se porte bien également, soutenue à la fois par la croissance rapide des plans d’épargne retraite (PER) et les unités de compte (UC) qui se substituent progressivement à la détention de titres via un compte-titres.

Mais le doublement, à partir du 1er août, du taux du Livret A à 2%, et surtout celui du Livret d’épargne populaire (LEP) à 4,6% ( Très peu utilisé du fait des moyens des intéressés ), un niveau proche de l’inflation, pourrait changer la donne et enclencher des arbitrages plus massifs des dépôts à vue vers les livrets. La première hausse n’a pas eu vraiment d’impact sur les arbitrages, même si elle a donné un coup de fouet à la collecte sur le Livret A en février et mars. Pour le reste, pas de changement majeur dans le comportement d’épargne des Français.

D’une façon assez constante, le taux incitatif, à partir duquel les Français se déclarent intéressés pour réorienter leur épargne, est en effet compris entre 2 et 3%.( La vérité c’est que tout dépend du niveau de l’inflation et des peurs vis-à-vis de la croissance NDLR) Or, selon l’Observatoire, un tiers des Français déclare avoir des sommes inutilisées sur des dépôts à vue, un pourcentage qui grimpe à 49% pour les clients dits « patrimoniaux ».

Le mouvement de remontée des taux ne fait que commencer. « Il se poursuivra en toute probabilité l’année prochaine », a prévenu François Villeroy de Galhau, gouverneur de la France, lors de la présentation, mardi dernier, du rapport annuel de l’épargne réglementée. Le taux du Livret A est revu tous les six mois, selon une formule qui repose sur la moyenne de l’inflation des six derniers mois et le taux interbancaire. Mais c’est Bercy qui décide en dernier ressort de l’appliquer strictement, ou de se donner une marge de manœuvre, à la hausse comme à la baisse. Cette décision reste donc avant tout politique.

La prochaine hausse est donc prévue le 1er février 2023. De combien ? Le gouverneur s’est bien gardé du moindre pronostic. Ce qui est certain est que la BCE va relever plusieurs fois ses taux directeurs d’ici là. Le scénario d’un livret A à 3% en 2023 n’est donc pas exclu si l’inflation devait se maintenir à un niveau élevé.

 

Taux du livret : « relèvement » à 2% !

Taux du livret : « relèvement » à  2% !

La générosité du gouvernement est sans limite. Sans parler de celle du gouverneur de la Banque de France au service des lobbys pour ne pas augmenter les salaires et l’épargne.Ainsi la Banque de France a servi la soupe au gouvernement en proposant une limitation du relèvement des taux du livret a à 2 %. Une proposition retenue immédiatement par le gouvernement

Or on sait que l’inflation sur un an a  progressé officiellement d’environ 6 %. Résultat une perte de pouvoir d’achat de 4 %.De quoi réjouir le système bancaire et le gouvernement qui évidemment utilisent  cette épargne mal rémunérée. D’un certain point de vue les ménages sont doublement punis. D’une part parce que les revenus salariaux ne suivent pas l’inflation ensuite parce que l’éventuelle épargne est aussi pénalisée comme les salaires.

Le taux du livret A va doubler au 1er août prochain, pour passer de 1% à 2%, son plus haut niveau depuis dix ans. C’est du moins ce qu’a laissé entendre le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau. « C’est possible », a-t-il ainsi soufflé  au micro de France Info, sachant que la décision finale revient à Bercy. Et Bercy n’a pas attendu pour sauter sur l’occasion et retenir la proposition de la servile Banque de France qui elle-même a obéi au monde bancaire

Taux du livret : 2% ? c’est trop !

Taux du livret :  2% ? c’est trop !

La générosité du gouvernement est sans limite. Sans parler de celle du gouverneur de la Banque de France au service des lobbys pour ne pas augmenter les salaires et l’épargne.

Ainsi la Banque de France envisage-t-elle une hausse de 2 % pour le taux du livret A alors que dans le même temps on sait que l’inflation sur un an a  progressé officiellement d’environ 6 %. Résultat une perte de pouvoir d’achat de 4 %.De quoi réjouir le système bancaire et le gouvernement qui évidemment utilisent  cette épargne mal rémunérée. D’un certain point de vue les ménages sont doublement punis. D’une part parce que les revenus salariaux ne suivent pas l’inflation ensuite parce que l’éventuelle épargne est aussi pénalisée comme les salaires.

Le taux du livret A va doubler au 1er août prochain, pour passer de 1% à 2%, son plus haut niveau depuis dix ans. C’est du moins ce qu’a laissé entendre le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau. « C’est possible », a-t-il ainsi soufflé ce matin au micro de France Info, sachant que la décision finale revient à Bercy.

En faite la proposition de la banque de France vise surtout à influencer le gouvernement pour limiter la décision de relèvement du taux du livret A comme le demande le monde bancaire.

Par contre ,le taux du Livret d’épargne populaire (LEP), réservé aux ménages modestes  pourrait ainsi passer de 2,2% à 4,5%,. Le seul problème c’est que cette épargne est insignifiante car les intéressés n’ont pas les moyens de mettre de l’argent de côté !

Covid 2 juillet 2022: Forte hausse en France

Covid 2 juillet 2022: Forte hausse en France

 

  • En France, on enregistre ce vendredi 1 juillet 2022,  +125.066 ces dernières 24h, +52 morts en 24h soit 149.585 au total. Le nombre total de décès en EHPAD et EMS fait état de 28.904 (+1) décès au total. Le nombre total de décès en milieu hospitalier est lui de 120.681 (+51 en 24h). 53.562.287 personnes sont totalement vaccinées contre la covid-19 en France.
  • L’Espagne recense aux dernières remontées, 12.734.038 (0) cas au total. Le pays dénombre, le jeudi 30 juin 2022, 107.906 morts au total soit 0 depuis le dernier bilan. 95.071.546 doses de vaccin ont été administrées.
  • Le Portugal enregistre +25 morts en 24h ce mercredi 29 juin 2022 portant le total à 24.149 morts depuis le début de la pandémie et +10.657 nouveaux cas en 24h soit un total de 5.171.236 cas confirmés. 24.616.852 doses de vaccin ont été administrées.
  • Au Royaume-Uni, on compte +14.586 nouveaux cas en 24h, soit 22.720.797 cas au total depuis le début de l’épidémie. Le pays enregistre, ce mercredi 29 juin 2022, +12 morts en 24h soit 180.330 morts au total. 103.703.976 doses de vaccin ont été administrées.
  • En Italie, on note +86.900 nouveaux cas ces dernières 24h. On compte +72 décès en 24h ce vendredi 1 juillet 2022. Le nombre de décès est désormais de 168.425 au total depuis le début de l’épidémie. Le nombre total de cas recensés est de 18.610.011. 138.272.875 doses de vaccin ont été administrées.

Adaptation au climat :Un cout de 2,3 milliards d’euros par an

Adaptation au climat :Un cout de 2,3 milliards d’euros par an 

 

Le retard de la France en matière d’adaptation au changement climatique est à nouveau pointé par l’Institut de l’économie pour le climat (I4CE). Dans un rapport publié jeudi 23 juin, cette ONG de référence estime qu’il faudrait investir au minimum 2,3 milliards d’euros par an pour lancer l’adaptation du pays aux inondations, aux canicules, ou aux incendies.

I4CE s’est donné pour objectif de chiffrer les coûts de l’adaptation au changement climatique. Dans cette première publication, l’institut a dressé une liste de 18 décisions budgétaires qui peuvent être  »prises dès à présent » pour anticiper les effets négatifs du changement climatique et prévenir ou minimiser les dommages que ces effets peuvent causer. Par exemple, « augmenter et maintenir dans la durée les moyens dont disposent les agences de l’eau pour leur action en faveur du grand cycle de l’eau et de la biodiversité », pour un montant de 300 millions par an ; « pérenniser une enveloppe annuelle de soutien à l’extension des bonnes pratiques d’adaptation en ville », pour 500 millions d’euros ; « prendre en charge le surcoût pour renforcer les exigences en matière de constructions durables et adaptés aux chaleurs futures dans la construction des bâtiments d’enseignement et de recherche », pour 500 millions.

Selon I4CE, la politique d’adaptation en France est encore trop timide. « On ne part pas de rien. Des actions sont engagées, mais qui restent largement insuffisantes face à l’ampleur des enjeux.

 

 

 

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