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Économie–relance de la coopération Grande-Bretagne Union européenne

Économie–relance de la coopération Grande-Bretagne Union européenne

Après le fiasco du brexit la Grande-Bretagne cherche à renouer des liens avec l’union européenne afin de dynamiser une économie affaiblie.

L’UE est de loin leur premier partenaire commercial, mais les exportations du Royaume-Uni vers le continent européen ont reculé de 21% depuis le Brexit et les importations de 7%, souligne le gouvernement britannique.

Le document sur lequel Bruxelles et Londres se sont entendus prévoit la mise en place d’un accord sanitaire et phytosanitaire (SPS) en matière de sécurité alimentaire et de protection des consommateurs. Des zones de pêche britannique seront également accessibles à l’union européenne. Le texte prévoit «un alignement dynamique et rapide» du Royaume-Uni sur les règles européennes «tout en tenant compte des procédures constitutionnelles et parlementaires» du pays, avec quelques exceptions possibles. «Cela permettrait que la grande majorité des mouvements d’animaux, de produits d’origine animale, de plantes et de produits végétaux entre la Grande-Bretagne et l’UE s’effectuent sans les certificats ou contrôles actuellement requis», est-il noté.

En cas de désaccord sur l’application de ces normes, un mécanisme de règlement des différends indépendant sera mis en place, mais la Cour de justice de l’Union européenne restera l’autorité en dernier ressort. Le Royaume-Uni, qui devra apporter une contribution financière, sera impliqué en amont des futures décisions phytosanitaires de l’UE, mais sans siéger avec les autres États membres.

Poutine fait semblant de négocier

Poutine fait semblant de négocier

Prix Nobel de la paix en 2022, Oleksandra Matviitchouk a estimé dans le Figaro que Poutine faisait semblant de négocier aussi bien avec l’Ukraine qu’avec les États-Unis

Suite aux contacts entre l’Ukraine et la Russie, le verdict du prix Nobel 2022 est sans appel : Poutine se livrent à des simulacres de négociations et ne veut rien lâcher sur sa volonté d’éliminer l’Ukraine.

Oleksandra MATVIITCHOUK. – Poutine ne fait qu’imiter des pourparlers de paix. Il est important de regarder non seulement les paroles, mais aussi les actes. La Russie a intensifié ses frappes de missiles et de drones sur des villes paisibles ces derniers mois.

Cette avocate ukrainienne dirige un réseau national de documentalistes qui a recensé plus de 86.000 crimes de guerre russes depuis 2014. Son initiative «Tribunal pour Poutine» témoigne des bombardements délibérés de civils, tortures systématiques et déportations d’enfants et vise à rendre aux victimes des exactions russes, transformées en statistique, leur identité.
LE FIGARO. – Quelle est votre réaction après l’appel téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine jugé constructif par les deux parties? Quel regard portez-vous sur ces négociations entre l’Ukraine et la Russie?

Se réveiller face à l’ ensauvagement de la société

Se réveiller face à l’ ensauvagement de la société

Face à une insécurité croissante, que le maire de Reims qualifie d’« ensauvagement de la société », Arnaud Robinet plaide pour un sursaut national et en appelle à l’État afin de redonner aux maires les moyens d’agir concrètement sur le terrain. dans la Tribune

Depuis plusieurs années, la question de l’insécurité dans nos communes ne cesse de prendre de l’ampleur et d’évoluer. Les faits de violence sont de plus en plus répandus, de plus en plus barbares, et ce à toutes les échelles. L’État peine à inverser cette tendance alarmante et les moyens actuellement déployés sont insuffisants pour endiguer le problème.

Le président de la République, dans sa grande interview du 13 mai dernier sur TF1, n’a pu que partager le constat de terrain dressé par le maire de Béziers, Robert Ménard, au sujet de l’insécurité. Avouant même qu’un droit « mal fait » amenait à des situations ubuesques dans notre pays au sujet des individus sous Obligation de quitter le territoire (OQTF). Des situations regrettables auxquelles les maires sont fréquemment confrontés.

Le récent constat du Garde des Sceaux, Gérald Darmanin, est également on ne peut plus clair : « Il n’y a plus de lieux safe » en France. Quartiers, centres-villes, périphéries urbaines, villages, lieux de culte, écoles, transports en commun, terrains de sport, une violence exacerbée et totalement décomplexée touche l’ensemble de notre pays et de ses espaces. Président du Grand Reims, je constate amèrement, jour après jour, que la ruralité n’est plus épargnée par la prolifération de cette brutalité.

Points de deal, rodéos urbains, occupations illicites de gens du voyage, émeutes, regroupement de personnes alcoolisées sur la voie publique, affrontements entre bandes rivales, règlement de compte dans des établissements scolaires, l’insécurité est désormais un phénomène multiforme. L’usage d’armes blanches et même d’armes à feux semble désormais entièrement banalisé par des agresseurs toujours plus bestiaux.

Face à cet ensauvagement, il est plus qu’urgent d’interroger les causes profondes et de repenser les réponses à apporter à ce défi majeur pour la société française. Nous ne pouvons plus attendre, au risque de perdre la bataille !

Comme d’autres grandes villes du pays, Reims n’a récemment pas été épargnée par ces violences infectes. Blessés par balles, attaques au couteau, intrusions dans des établissements scolaires, passage à tabac en bande, envahissement de parcs et d’entreprises par des gens du voyage, tirs de mortier sur les forces de l’ordre, les habitants sont profondément choqués, certains apeurés.

Les politiques publiques successives, bien qu’ayant essayé de juguler le phénomène par des mesures sécuritaires et de réinsertion, n’ont pas été à la hauteur des enjeux. La responsabilité est ancienne et collective.

À Reims, où plus d’un milliard d’euros ont été investis ces dernières années par l’Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine dans les quartiers dits « politique de la ville », nous mesurons que le problème n’est en rien lié aux logements, aux infrastructures, aux équipements, aux commerces et aux services de proximité disponibles sur place.

Les politiques publiques successives, bien qu’ayant essayé de juguler le phénomène par des mesures sécuritaires et de réinsertion, n’ont pas été à la hauteur des enjeux. La responsabilité est ancienne et collective.
Il est uniquement lié à une politique de peuplement non maîtrisée. Dans nombre de nos quartiers, particulièrement impactés, moins de 5% de la population pourrit littéralement la vie de tous les autres. D’honnêtes citoyens obligés de vivre au quotidien avec la peur instaurée par une ultra minorité violente. C’est intolérable mais cela nous est pourtant imposé. Il est encore trop difficile réglementairement d’expulser ces délinquants de leur logement. Les maires doivent gérer les urgences mais n’ont pas la main pour agir sur le fond.

Bien entendu, des marges de manœuvres existent à l’échelle municipale, comme la vidéosurveillance, mais elles sont limitées et plutôt destinées à épauler les forces de l’ordre dans leurs missions quotidiennes. À Reims, depuis 2014, nous sommes passés de 59 à 131 policiers municipaux armés et de 36 à 369 caméras. Cela vient en aide à la Police nationale ou à la Gendarmerie mais ce n’est pas suffisant.

Face à ces violences répétées, les élus locaux se trouvent entre le marteau et l’enclume. En première ligne mais ne disposant pas des compétences pour agir. Les maires, continuellement et légitimement sollicités par leurs concitoyens, se sentent complétement démunis.

Les forces de l’ordre sont malheureusement dans la même situation. Des conditions d’exercice de leurs fonctions de plus en plus intenables et dangereuses sur le terrain, pour des effets de moins en moins prégnants en matière de maintien de la tranquillité publique.

La population, quant à elle, est plongée dans l’incompréhension la plus totale. Pourquoi personne ne leur vient en aide ? Pourquoi ces violences visibles aux yeux de tous ne sont pas éradiquées avec la plus grande fermeté ? Pourquoi les laisse-t-on seuls avec leurs problèmes ? Les sentiments d’abandon et d’injustice sont puissants.

Ce sont justement ces sentiments qui poussent de plus en plus de nos concitoyens dans les bras des extrêmes. Dans les filets de ces partis populistes, jamais inquiétés par le poids des responsabilités, qui se permettent de promettre tout et n’importe quoi. Notamment au niveau municipal, se souciant peu de la réalité des compétences d’un maire, ils feront miroiter la lune pour arracher des sièges.

Ce sont justement ces sentiments qui poussent de plus en plus de nos concitoyens dans les bras des extrêmes. Dans les filets de ces partis populistes, jamais inquiétés par le poids des responsabilités, qui se permettent de promettre tout et n’importe quoi.
Les maires ont besoin d’aide pour assurer la sécurité de la population. Seul l’État, pleinement compétent en la matière, doit apporter une solution durable.

Dans ce cadre, nous attendons des résultats concrets du nouvel « état-major interministériel de lutte contre la criminalité organisée », récemment inauguré par le Président, pour démanteler la dynamique du trafic de drogue qui gangrène nos territoires.

L’ordre et la justice sont les meilleures garanties de la liberté et de la prospérité de notre pays. L’autorité publique doit être fermement restaurée partout où elle est contestée. État démocratique et État de droit ne doivent jamais rimer avec laxisme, au risque de courir à leur perte ! Notre République, si elle veut être la plus juste possible avec ses citoyens, doit justement montrer plus de fermeté envers ceux qui dégradent ou menacent la vie d’autrui.

Une justice qui sanctionne plus durement, mais aussi plus rapidement les criminels et les délinquants est nécessaire pour ne pas perdre la confiance des Françaises et des Français. Une confiance déjà lourdement entachée. Et c’est maintenant que nous devons intervenir pour ne pas sombrer. Rétablir pleinement l’ordre et la justice est un impératif. Nos compatriotes doivent sentir que la justice n’est pas forte avec les faibles et faible avec les forts mais bien implacable pour sanctionner les criminels et protéger efficacement les honnêtes citoyens.

En ce sens, les possibilités de louer des places de prisons dans d’autres pays et de faire participer les détenus aux frais de leur incarcération ont été avancées par le président de la République sur TF1. Allons-y, il faut se saisir de tout ce qui peut nous permettre d’écarter les individus dangereux de la société.

Les autres pistes ne manquent pas pour se doter des armes indispensables pour remporter la bataille contre l’ensauvagement de notre société : rétablissement des peines planchers, plafond d’immigration légale, outil de reconnaissance faciale, retour d’un service militaire partiel ou total, limitation drastique des réductions de peine, accès aux messageries cryptées dans le cadre d’une enquête, accentuation des reconduites aux frontières, renforcement des procédures d’évacuation des installations illicites, usage du « contact tactique » contre les rodéos urbains, durcissement des conditions d’octroi des titres de séjour, suppression des allocations familiales pour les familles de délinquants, processus simplifié d’expulsion des logements sociaux ou encore renforcement des compétences judiciaires des policiers municipaux. Toutes ces évolutions ne sont peut-être pas à retenir mais nous devons clairement envisager toutes les solutions pour faire bouger les lignes.

La balle est dans le camp de l’État qui exerce cette compétence régalienne pour répondre à l’appel au secours de nombreux maires de France. Nous sommes prêts à participer aux débats pour trouver des solutions concrètes le plus rapidement possible.

Bruno Retailleau largement élu , nouveau leader de la droite

Bruno Retailleau largement élu , nouveau leader de la droite


Le ministre de l’Intérieur emporte très largement la présidence du parti LR avec 74,3% des voix face à Laurent Wauquiez. Il devient de fait, un candidat crédible pour la droite même si d’autres candidats sont aussi présents

Sans conteste Bruno Retailleau est désormais un nouveau leader de droite appréciée dans son camp. En cause sans doute son style si particulier fait de simplicité, de détermination et surtout de clarté dans son expression. Un leader un peu différent d’autres plus grandiloquents qui promettent la lune. Retailleau parait plus proche des électeurs , il sait parfaitement exploiter la conjoncture du moment en les replaçant dans une autre perspective plus structurelle. Bref parler du temps présent recadré dans l’espace et dans le temps. Bien entendu des propos marqués du sceau de la droite traditionnelle mais qui semble coller avec l’évolution du corps électoral actuellement tellement notamment la gauche est discréditée notamment par les « insoumis » et les écolos et que le choix désormais pour l’avenir à moyen terme se pose entre la droite ou la droite. Mais une droite également divisée et qui pourrait aussi être son pire ennemi.

Conflit Ukraine : Poutine absent de la réunion qu’il a lui-même proposé !

Conflit Ukraine : Poutine absent de la réunion qu’il a lui-même proposé !

Preuve de la mauvaise foi russe, Poutine était absent de la réunion qu’il a lui-même proposé à l’Ukraine. Pourtant Zelinsky , lui, il était prêt à participer à toute forme de négociation pour mettre fin à la guerre. Notons également que Trump se défausse encore une fois sur ce dossier justifiant aussi son absence par un calendrier chargé !

Bref compte tenu des conditions, il était peu vraisemblable que cette rencontre puisse déboucher sur des engagements concrets de paix et même de cessez-le-feu.

Donald Trump pas non plus en Turquie, alors qu’il avait évoqué mercredi après-midi «la possibilité» d’assister aux négociations cette semaine si son homologue russe en faisait de même. «Je ne sais pas si (Vladimir Poutine) y va. Je sais qu’il voudrait que j’y sois. C’est une possibilité», avait déclaré le président américain, tout en précisant plus tard que son «programme demain (jeudi) est complet». !

Crise de financement du modèle social : débat préalable par les partenaires sur le financement

Crise de financement du modèle social : débat préalable par les partenaires sur le financement

Alors que Macron a souhaité une conférence sociale plutôt du type « convention » climat dont la composition est souvent très baroque mais aussi très orientée voire manipulée , le ministre de l’économie Éric Lombard souhaite «laisser le débat se développer» entre les partenaires sociaux concernant le financement du modèle social, qui doit être «modifié» car «coûteux», a-t-il déclaré jeudi soir sur BFM Business. Une manière aussi pour lui d’écarter élégamment la perspective de référendum très confus sur les questions financières

«Le président de la République a demandé au gouvernement d’organiser un débat. Mais qui est un débat qui va concerner les partenaires sociaux d’abord, sur une façon de modifier le financement de notre modèle social, qui est un modèle qui est essentiel, auquel nous sommes tous attachés, mais qui est coûteux», a déclaré le ministre. «Ma position depuis le début de cette préparation de la loi de finances pour 2026, c’est de laisser le débat se développer entre les partenaires sociaux, entre les partenaires politiques, pour voir quel est l’équilibre politique», a mis en avant Éric Lombard.

«À titre personnel, je suis convaincu que ce qui émanera du dialogue entre les partenaires sociaux sera la bonne solution», a-t-il ajouté. Le 4 mai, le Premier ministre François Bayrou s’était engagé à présenter un «plan cohérent, avec des propositions claires, lisibles» afin de réduire les déficits et la dette de la France, avançant l’idée d’un référendum pour contourner les blocages politiques. «Il me semble que si on voit les voies et moyens d’arriver à une solution avec l’ensemble des parties prenantes, c’est sans doute la meilleure solution, mais consulter les Français c’est toujours une bonne idée, et encore une fois, c’est au président de la République d’en décider», a déclaré Éric Lombard.

Politique-Macron à la télé: Macron: du bavardage et de vagues référendums

Politique-Macron à la télé: Macron: du bavardage et de vagues référendums

On oubliera sans doute assez rapidement ce nouveau et interminable passage de Macron à la télé qui n’a strictement rien apporté de précis et de nouveau. D’abord une justification de sa politique menée mais sans perspective de sortie réelle de l’immobilisme actuel et de la dégradation économique et financière.

On ne peut même pas retenir la promesse de vagues référendums. Un seul, plusieurs? sur des sujets et des questions multiples et qui finiront sans doute en eau de boudin d’ailleurs d’ores et déjà 60 % des Français n’y croient pas. En cause, des sujets possibles non constitutionnels, anecdotiques et des questionnements confus voir démagogiques.

Pour Macron il s’agirait de trouver des thèmes susceptibles de recueillir une majorité donc assez anodins pour que la consultation ne se transforme pas en « pour » ou « contre » Macron.

En outre, on aura noté l’absence totale d’articulation avec un gouvernement que désormais Macron ignore. Bref deux immobilismes qui s’ajoutent à la paralysie de tout le système français. Et un président toujours content de lui-même ! Et qui envisage même de se représenter en 2032 !

Macron à la télé: Macron: du bavardage et de vagues référendums

Macron à la télé: Macron: du bavardage et de vagues référendums

On oubliera sans doute assez rapidement ce nouveau et interminable passage de Macron à la télé qui n’a strictement rien apporté de précis et de nouveau. D’abord une justification de sa politique menée mais sans perspective de sortie réelle de l’immobilisme actuel et de la dégradation économique et financière.

On ne peut même pas retenir la promesse de vagues référendums. Un seul, plusieurs? sur des sujets et des questions multiples et qui finiront sans doute en eau de boudin d’ailleurs d’ores et déjà 60 % des Français n’y croient pas. En cause, des sujets possibles non constitutionnels, anecdotiques et des questionnements confus voir démagogiques.

Pour Macron il s’agirait de trouver des thèmes susceptibles de recueillir une majorité donc assez anodins pour que la consultation ne se transforme pas en « pour » ou « contre » Macron.

En outre, on aura noté l’absence totale d’articulation avec un gouvernement que désormais Macron ignore. Bref deux immobilismes qui s’ajoutent à la paralysie de tout le système français. Et un président toujours content de lui-même ! Et qui envisage même de se représenter en 2032 !

Prix et consommation : vers une augmentation de la TVA ?

Prix et consommation : vers une augmentation de la TVA ?

Pour compléter le financement du modèle social, Emmanuel Macron évoque une taxation de «la consommation». Autrement dit soit une nouvelle taxe sur la consommation ou tout simplement une augmentation de la TVA actuelle. De quoi augmenter encore le taux de prélèvements obligatoires alors que la France occupe déjà le premier rang en matière d’imposition générale. Bref, le contraire de ce qu’évoque le gouvernement… pour l’instant !

Ce mardi 13 mai, le chef de l’Etat a déclaré sur TF1 que le financement du modèle social français «repose trop sur le travail», pesant ainsi lourdement sur le portefeuille des actifs, mis à contribution. Il souhaite donc que le gouvernement organise «une conférence sociale», pour retravailler ce dossier.

Pour décharger les actifs, le chef de l’Etat a proposé d’aller chercher des sources de financement ailleurs que le travail uniquement, évoquant la «consommation» parmi les pistes de substitution. «Je demande au gouvernement d’ouvrir ce chantier avec l’ensemble des forces syndicales et patronales» a-t-il conclu. «Quand on regarde nos voisins, certains taxent davantage la consommation» a-t-il ensuite appuyé.

Le problème évidemment avec Macron, c’est qu’il parle un peu dans le vide dans la mesure où il ne dirige plus vraiment le gouvernement et encore moins le Parlement.

Foot- féminin -Arkema- Lyon encore champion de France face au PSG

Foot- féminin -Arkema- Lyon encore champion de France face au PSG

18e titre pour L’Olympique Lyonnais qui a battu le PSG (3-0) grâce à trois buts de Dumornay (45+2e), Diani (80e) et Renard (80+4e), comme un symbole.

Trump veut garder pour lui-même un cadeau de 400 millions du Qatar !

Trump veut garder pour lui-même un cadeau de 400 millions du Qatar !

Le cadeau du Qatar et déjà choquant par son montant, il s’agit en effet d’un Boeing d’une valeur de 400 millions ! Deuxième critique: Trump a déclaré qu’il souhaitait bien conserver à titre personnel ce fabuleux cadeau. De quoi alimenter le débat même au sein des républicains Surtout compte tenu de l’origine du présent, un pays souvent ambigu au plan géostratégique.

Le don d’un Boeing 747 offert à Donald Trump par la famille royale du Qatar pour lui servir d’avion présidentiel a suscité les premiers signes d’embarras chez les républicains. Ce cadeau royal d’une valeur de 400 millions de dollars, qui devrait remplacer les deux appareils de l’US Air Force actuellement en service, soulève des questions éthiques, juridiques et politiques.

Pourtant Trump semble empressé d’accepter ce cadeau. En voyage officiel dans le Golfe, où il a fait étape au Qatar, il a expliqué au journaliste de Fox News Sean Hannity à bord de son Boeing présidentiel combien il était nécessaire de remplacer cet appareil vieillissant.

Affaire Betharram : Bayrou très offensif surtout vis-à-vis de LFI

Affaire Betharram : Bayrou très offensif surtout vis-à-vis de LFI

Un premier ministre cette fois très percutant et qui a mis en cause l’instrumentalisation politique de cette affaire. Le Premier ministre n’a pas hésité à attaquer plusieurs personnes pour se défendre au cours de l’audition. Il a directement mis en cause le travail de cette commission d’enquête parlementaire notamment les représentants de LFI.

François Bayrou a fortement accusé le co-rapporteur Paul Vannier de « déformer la réalité à chaque intervention » de ses propos. Le Premier ministre a insisté que « (s)a version n’a pas varié » et que les « affirmations » du député insoumis « sont biaisées ». « Je ne laisserai pas prospérer la méthode du rapporter », s’est défendu François Bayrou. Plus tard, le Premier ministre a encore accusé Paul Vannier d’avoir mené une « campagne » l’ayant « ciblé » pour le « détruire ».

À plusieurs reprises, le chef du gouvernement a attaqué les propos de Françoise Gullung, ex-professeure dans les années 1990 et lanceuse d’alerte dans cette affaire. François Bayrou s’est dit « sali » par « les affabulations sous serment » de son témoignage devant cette commission d’enquête. Françoise Gullung avait décrit une scène mettant en cause Élisabeth Bayrou, l’épouse de François Bayrou, qui y enseignait le catéchisme.

Enfin, le Premier ministre a attaqué Médiapart, alors que la commission s’est basée sur plusieurs enquêtes du média. Une méthode décriée par François Bayrou, dénonçant « des informations biaisées ». Le Premier ministre a dénoncé une « méthode qui consiste à édifier Mediapart en autorité de la République ».

« Je ne lis pas Mediapart, c’est une hygiène personnelle, vous, vous en faites la Bible et les prophètes! », a argumenté François Bayrou.

Vers la fin de son propos, François Bayrou a considéré que cette audition a pour but de « le coincer pour l’obliger à démissionner ».
« Il s’agissait d’une chose, pardon de parler un peu trivialement, il s’agissait de me coincer pour m’obliger à démissionner », a déploré le chef du gouvernement.

« Je suis l’accusé dans cette affaire? Je vous ai entendu dire dix fois ‘nous ne sommes pas un tribunal’. Vous vous comportez comment là? Vous essayez de nourrir un scandale avec des méthodes (…) grossières et faibles », a aussi déploré François Bayrou, en s’adressant à Paul Vannier.

Prix du pétrole: de nouveau en recul

Prix du pétrole: de nouveau en recul

Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en juillet, a lâché 0,81% à 66,09 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, pour livraison en juin, a perdu 0,82% à 63,15 dollars.

L’effet des discussions entre la Chine et les États-Unis sur les taxes douanières aura été de courte durée sur la tendance à la hausse des prix du pétrole. Le baril retrouve ses prix bas en raison des inquiétudes sur la croissance mondiale notamment aux États-Unis.

L’augmentation des surtaxes douanières «entraînera des difficultés économiques et freinera une croissance saine de la demande de pétrole», projettent les experts du secteur. «Avec le ralentissement de l’élan actuel, les marchés prennent en compte le fait que l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) augmente sa production», ce qui ravive les inquiétudes d’une offre trop abondantes, selon Bart Melek.

Le cartel est censé annuler ses réductions volontaires de production en mai et juin, passant à un rythme de 411.000 barils par jour (b/j), contre 137.000 b/j initialement prévu. «Il existe un consensus croissant sur le fait que les stocks mondiaux de pétrole vont gonfler cette année, et seront plus élevés qu’en 2024».

Mercredi, le marché a aussi réagi à la marge à la hausse inattendue des stocks de pétrole aux États-Unis pour la semaine achevée le 9 mai. Selon l’Agence américaine sur l’énergie, ces réserves ont augmenté de 3,5 millions de barils, alors que les analystes tablaient au contraire sur une baisse d’environ 2,2 millions de barils, d’après la médiane d’un consensus établi par l’agence Bloomberg.

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Guerre en Ukraine : Poutine absent de la réunion qu’il a lui-même proposé !

Guerre en Ukraine : Poutine absent de la réunion qu’il a lui-même proposé !

Preuve de la mauvaise foi russe, Poutine sera absent de la réunion qu’il a lui-même proposé à l’Ukraine. Pourtant Zelinsky qui, lui, sera bien présent a affirmé qu’il était prêt à participer à toute forme de négociation pour mettre fin à la guerre. Notons également que Trump se défausse encore une fois sur ce dossier justifiant aussi son absence par un calendrier chargé !

Bref compte tenu des conditions, il paraît peu vraisemblable que cette rencontre puisse déboucher sur des engagements concrets de paix et même de cessez-le-feu.

Donald Trump ne se rendra pas non plus en Turquie, alors qu’il avait évoqué mercredi après-midi «la possibilité» d’assister aux négociations cette semaine si son homologue russe en faisait de même. «Je ne sais pas si (Vladimir Poutine) y va. Je sais qu’il voudrait que j’y sois. C’est une possibilité», avait déclaré le président américain, tout en précisant plus tard que son «programme demain (jeudi) est complet». !

Fraude: Le créateur de l’application Akha, qui signalait la présence de contrôleurs RATP et SNCF, enfin condamné

Fraude: Le créateur de l’application Akha, qui signalait la présence de contrôleurs RATP et SNCF, enfin condamné

L’affaire «Akha», du nom de l’application qui permettait à ses utilisateurs de signaler la présence de contrôleurs RATP ou SNCF dans les transports franciliens, a pris une tournure judiciaire. Non seulement l’outil n’est plus disponible au téléchargement, mais son créateur, un ingénieur en informatique de 26 ans, a été condamné au civil le 7 mai dernier par le tribunal correctionnel, a appris Le Figaro ce mardi 13 mai. Il devra ainsi verser 20.000 euros de dommages et intérêts au bénéfice d’Île-de-France Mobilités, 5720 euros à la RATP et 6300 euros à la SNCF. Cette décision est assujettie à une exécution provisoire, ce qui oblige le créateur de l’application à verser les sommes dues même en cas d’appel.

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