Archive pour le Tag 'tue'

Violence -Valence: : encore un jeune sportif tué

Violence -Valence:  : encore un jeune sportif tué

 

Nouveau drame dans la Drôme, presque un an après la mort de Thomas, tué lors d’un bal à Crépol en novembre 2023. Un jeune homme grièvement blessé par balles lors d’une fusillade survenue devant une discothèque près de Valence dans la nuit de jeudi à vendredi est décédé en début d’après-midi ce samedi 2 novembre, a indiqué le parquet de Privas (Ardèche). Nicolas était rugbyman au Rugby Club Romans-Péage. C’est également au sein du RCRP que jouait le jeune Thomas. 

Vendredi, un autre jeune homme âgé de 18 ans a été tué par balles à Valence. Le décès pourrait être lié à la fusillade survenue la nuit précédente devant la discothèque de Saint-Péray (Ardèche), à l’ouest de Valence.

Ces événements dramatiques font écho à la mort de Thomas, 16 ans, tué d’un coup de couteau à Crépol lors d’un bal de village en novembre 2023. Cette tragédie avait suscité une vive émotion à travers la France et déclenché un débat national au sujet de l’insécurité et de la violence des jeunes.

Macron a tué la majorité présidentielle d’après Édouard Philippe

Macron a tué la majorité présidentielle d’après Édouard Philippe

Une franche critique d’Édouard Philippe à l’égard de Macron qui d’après lui aurait tué la majorité présidentielle avec cette décision de dissoudre l’assemblée nationale. Une critique par ailleurs largement partagée dans cette majorité et qui témoignent du divorce entre Macron et ses soutiens habituels.

 
Édouard Philippe souhaite désormais créer une nouvelle majorité parlementaire qui fonctionnera sur des bases différentes de l’ancienne majorité présidentielle.» Un horizon pour lequel l’ex-chef du gouvernement entre 2017 et 2020 se dit «prêt». «C’est ce que j’essaye de réaliser, et c’est pour ça que j’en parle avant le premier tour pour avoir une chance de le réaliser après le second», a-t-il pointé.
Dans nos colonnes il y a quelques jours, Édouard Philippe affirmait déjà «ne pas croire que la même architecture de la majorité puisse être reproduite à l’identique avec uniquement une ou deux personnalités qui nous rejoindraient.» Aucun parti du bloc central «n’étant en mesure, à lui seul, d’être majoritaire», il plaidait pour une «recomposition d’une toute nouvelle majorité parlementaire.»
Celui qui lorgne l’Élysée en 2027 avait également rappelé sur TF1 que le président avait pris la décision de dissoudre «seul» et de manière «souveraine» !  Allusion évidemment à la posture jupitérienne de Macron.

Macron a tué Attal

Macron a tué Attal

 

Dans sa posture quasi monarchique Macron une nouvelle fois commet des erreurs tragiques au regard de l’histoire politique. D’abord, il décide une dissolution brutale qui surprend tous les observateurs y compris internationaux. Deuxièmement, il se désigne lui-même chef de la campagne électorale alors qu’aujourd’hui il ne suscite que de la haine et du rejet. Enfin, il tue l’un des rares responsables qui avaient émergé à savoir Attal dont sans doute on a remarqué qu’il n’a pas dit un seul mot après la défaite cruelle de la majorité.Attal est en fait remercié comme un domestique. Pas étonnant à cela, sa relative popularité commençait sans doute à agacer le président. Le problème c’est que le roi est désormais complètement nu. Il aura empêché l’émergence de toute personnalité politique importante et pire les aura tués au motif de concurrence médiatique.

Le chef du gouvernement reste particulièrement discret depuis la défaite cinglante des macronistes aux élections européennes, et la convocation de législatives anticipées après l’annonce surprise d’une dissolution.

Attal rejoint  catégorie des éphémères chefs de gouvernement. Des macronistes dressent le portrait d’un « premier ministre sonné » par l’annonce de la dissolution, qu’il aurait aimé contourner. Attal n’a même pas fait savoir s’il entendait participer au combat électoral et se présenter aux législatives

 

Mexique : un 25e candidat aux élections tué par les réseaux de drogue

Mexique : un 25e candidat aux élections tué par les réseaux de drogue

Dans la société des réseaux de narco trafiquants, l’assassinat des candidats aux élections se développe on vient en effet d’assister au 25e candidat tué par des réseaux de drogue.

 

Un nouveau candidat aux élections municipales a été assassiné vendredi 31 mai dans l’État de Puebla, dans le centre du Mexique, à moins de 48 heures des élections générales dans le pays, marquées par l’assassinat de plus d’une vingtaine de personnes qui briguaient des mandats locaux, selon les autorités. Jorge Huerta Cabrera, candidat pour un siège au conseil municipal d’Izucar de Matamoros, une ville d’environ 80.000 habitants, a été tué et son épouse et un collaborateur blessés dans l’attentat, ont indiqué à l’AFP une source du gouvernement de l’État de Puebla ainsi qu’un fonctionnaire du parquet. Selon les médias mexicains, Jorge Huerta Cabrera, 30 ans, a été abattu de plusieurs balles en plein jour, alors qu’il descendait de son véhicule.

 

Rixe mortelle: Un adolescent de 15 ans tué par un autre ado de 15 ans

Rixe mortelle: Un adolescent de 15 ans tué Par un autre ado de 15 ans 

Chaque jour ou presque on apprend un règlement de comptes mortels d’un adolescent. Le plus souvent des règlements de compte et ou de la violence pure sans forcément de motifs. Des faits divers qui s’ajoutent sans cesse à des faits divers depuis des années et qui constituent en réalité un ces deux sociétés qui caractérisent la décomposition des rapports à la loi et à l’autre. Bref le retour de la sauvagerie. Blessée à l’arme blanche au niveau du thorax, la victime de 15 ans a succombé à ses blessures. Un adolescent du même âge, déjà connu des services de la police, a été interpellé quelques heures plus tard.

La rixe est survenue samedi vers 18 heures sur la voie publique et la victime est décédée à l’hôpital dans la soirée, a précisé la procureure dans un communiqué. Interpellé environ deux heures après la bagarre, le suspect, âgé de 15 ans également, a été placé en garde à vue, selon la préfète Agnès Auboin. L’auteur présumé «n’a jamais été condamné par la justice et son casier est vierge de toute condamnation», d’après la magistrate. En revanche, il avait été mis en examen «pour des faits de nature correctionnelle» et placé sous contrôle judiciaire par un juge d’instruction le 22 avril, «seule mesure de sûreté prévue par le code de la Justice pénale des mineurs vu son âge, sans condamnation antérieure».

Ségolène Royal : Son exhibitionnisme tue le temps de parole du PS

 Ségolène Royal :  Son exhibitionnisme tue le temps de parole du PS

Chez Hanouna ou sur BFM Ségolène Royal continue de délirer. Un problème existentiel sans doute pour celle qui a toujours recherché avec frénésie des postes de responsabilité. Le problème, c’est que cette présence est prise en compte par l’autorité de régulation qui impute les bavardages hystériques de Ségolène au parti socialiste. 

Au secours Ségolène Royal revient dans les médias chez Hanouna notamment et sur BFM

La socialiste a Notammentfait son retour fin janvier sur BFMTV, d’où elle avait été évincée en septembre 2022 après avoir mis en doute la réalité du bombardement d’une maternité en Ukraine ainsi que le massacre de Boutcha.

Le problème, c’est que cette omniprésence sur les plateaux télé capte tout le temps d’antenne attribué au Parti socialiste. Hors période électorale, comme c’est le cas actuellement, le décompte de l’Arcom (ex-CSA), chargé de veiller au respect des règles de pluralisme dans l’audiovisuel, se fait en fonction des partis politiques et non des personnalités. En novembre 2023, 53 minutes sont décomptées pour le Parti socialiste sur C8, soit à peu près le temps d’antenne de Ségolène Royal. 

 

Poutine a bien tué Alexeï Navalny

Poutine a bien tué Alexeï Navalny

Optimiste et courageux dans sa dénonciation de la corruption et de la nature criminelle du pouvoir poutinien, l’opposant Nalany , mort vendredi 16 février, incarnait aussi un formidable espoir de renouveau de la Russie, affirme, dans une tribune au « Monde », Cécile Vaissié, professeure en études russes et soviétiques.

 

Ils ont tué Alexeï Navalny. Ce « ils » désigne Poutine, ses proches, ses services secrets : ceux qui dirigent la Russie aujourd’hui, la referment sur elle-même, la coupent de l’Europe et mènent une guerre criminelle contre l’Ukraine. Ils ont tué cet homme en l’emprisonnant, sans raison valable, dans des conditions effroyables et en multipliant ses détentions dans un étroit cachot où il était isolé de ses codétenus : à la pleine merci des autorités du camp. Il était aussi coupé de sa famille et de ses avocats, dont certains ont été arrêtés – sans raison valable non plus – tandis que d’autres n’ont eu que le temps d’émigrer. Et s’ils ont une Navalny, c’est parce qu’ils n’ont pas pu le briser et obtenir de lui, dans la tradition soviétique, un repentir public. La veille de son décès, il souriait et plaisantait, amaigri, en assistant par vidéo à une énième audience judiciaire. Le 14 février, lui ou quelqu’un de ses équipes avait posté sur les réseaux sociaux ses mots d’amour à sa femme Ioulia.

Pendant plus de dix ans, Navalny a dévoilé, preuves factuelles à l’appui, la corruption de Poutine, de son entourage et du parti au pouvoir, Russie unie. Dès 2009, il a lancé un slogan qui s’est répandu comme une traînée de poudre : « Russie unie, le parti des voyous et des voleurs ». Parallèlement, il démontrait les détournements de fonds dans les grandes entreprises d’Etat, ce qui lui a valu le soutien d’un nombre croissant de Russes, excédés par ces pratiques.

Poutine a tué Navalny

Poutine a tué Navalny
De façon délibérée -et comme souvent- Poutine a tué son principal opposant. Le crime d’un dictateur fou et corrompu qui n’a surtout pas admis la dénonciation de Navalny relative aux détournements de fonds notamment l’ invraisemblable palais d’un 1.7 hectares et de près de 2 milliards de Poutine. Et d’une façon générale le détournement de fonds de tous les apparatchiks du régime. Ce crime démontre la lâcheté mais aussi la fébrilité voir la peur de Poutine, véritable nouveau Staline qui tue à petit feu ses opposants et son peuple.

 

Comme d’habitude les autorités russes multiplie les mensonges à propos de cet assassinat. Navalny serait mort d’une maladie subite alors qu’il était apparu la veille encore en relative bonne santé dans une vidéo.

Cet assassinat intervient dans le cadre d’une campagne présidentielle encore plus tendue que d’habitude et où le moindre candidat est éliminé dès le départ.

Ce crime a suscité des réactions de la quasi-totalité des pays démocratiques tandis que l’étrange agglomérat du Sud global n’osait pas faire le moindre commentaire sans doute pour protéger leurs propres dictature et-ou leur propre entorse à la démocratie.

L’Union européenne notamment tient également «le régime russe» pour «seul responsable de la mort tragique» d’Alexeï Navalny, a affirmé le président du Conseil européen, Charles Michel. Il «s’est battu pour les valeurs de la liberté et de la démocratie. Pour ses idéaux, il a fait le sacrifice ultime (…). Les combattants meurent, mais le combat pour la liberté ne s’arrête jamais», a indiqué Charles Michel dans un message sur X.

Insécurité: Encore un adolescent tué dans la rue

Insécurité: Encore un adolescent tué dans la rue

Un adolescent de 14 ans a été tué mercredi 17 janvier au soir d’un coup de couteau sur le quai du métro à Saint-Denis, au cours d’une rixe entre plusieurs personnes, a-t-on appris auprès du parquet de Bobigny et de sources policières. Les faits se sont déroulés en début de soirée dans la station Basilique de Saint-Denis sur la ligne 13 du métro parisien, selon les mêmes sources. Sans doute le résultat de confrontation entre bandes éventuellement sur fond de trafic de drogue

Jeune tué à CRÉPOL: Symbole d’une société plus violente 88 % des Français

Jeune tué à CRÉPOL: Symbole d’une société plus violente 88 % des Français

Une très large majorité de Français, 88%, Vive la mort du jeune à Crépol comme un des symboles d’une société devenue plus violente, selon un nouveau sondage « L’Opinion en direct », piloté par l’institut Elabe pour BFMTV et publié ce 22 novembre 2023.

En général, 63% des Français déclarent se sentir inquiets pour leur propre sécurité: 16% souvent et 47% de temps en temps. 81% des parents sont inquiets pour leurs enfants. Et ce, pour toutes les catégories de population, peu importe l’âge, la classe sociale ou le genre. Même si, en moyenne, cette peur est plus intense auprès des femmes (67%).

Si le rôle des médias est parfois questionné quant à leur influence sur le sentiment d’insécurité, 81% pensent qu’ils vivent une réelle augmentation de l’insécurité. 19% jugent que les médias en parlent davantage sans que ce soit une réalité.

Lors de ce sondage, les 1.001 répondants, représentatifs de la population française âgés de 18 ans et plus, ont également été interrogés sur les principaux leviers d’actions pour réduire cette violence. En première place: l’éducation des enfants qui apparaît comme la solution la plus largement soutenue. 92% disent qu’éduquer les enfants est « indispensable » pour agir contre la montée de la violence. L’autorité et la sévérité de la justice ont aussi été mentionnées dans respectivement 84% et 82% des cas.

Immobilier : le taux d’endettement maximum autorisé tue aussi la solvabilité, un nouveau frein au crédit

Immobilier : le taux d’endettement maximum autorisé tue aussi la solvabilité, un nouveau frein au crédit

Les taux d’intérêt assomme évidemment le pouvoir d’achat immobilier. Il renchérit considérablement le crédit au point d’éjecter du marché nombre de candidats à la propriété. S’y ajoute aussi le ^lafonf d’emprunt maximum à 35 %.

Le pouvoir d’achat immobilier est complètement massacré. Ainsi par exemple un ménage pouvant gagner autour de 5000 € par mois qui pouvaient emprunter 350 000 € ne peut plus obtenir de crédit supérieur à 270 000 €.

Les deux phénomènes évoqués ci-dessus constituent une sorte de terrible mécanisme d’exclusion de couches moyennes ne disposant pas de patrimoine personnel.

Les demandes d’emprunt immobilier s’est à peine réduite au deuxième semestre 2023, en baisse de 16,8% sur un an.

« La baisse de la demande est moins importante qu’au 1er semestre (20,3%). Cependant, elle ne s’arrête pas et est même en forte progression depuis cet été », constate Maël Bernier, porte-parole de Meilleurtaux.com.

Aujourd’hui, « quatre dossiers sur dix sont refusés », alerte notamment le courtier. La crise de l’immobilier ne s’améliore pas, suivant logiquement la hausse des taux directeurs opérée par la Banque centrale européenne. Pour rappel, cette dernière a entamé un marathon haussier depuis l’été 2022, dans l’espoir de juguler l’inflation. Elle a ainsi relevé onze fois ses taux. Ils atteignent désormais une fourchette entre 4% et 4,75%, soit un plus haut depuis la création de la monnaie unique en 1999.

« Il y a un an, aucun ménage ne se retrouvait avec des taux d’intérêts au-dessus 2,7% sur 20 ans. Aujourd’hui, 70% des dossiers sont au-dessus des 4,10%-4,5% sur 20 ans (hors assurance et avant négociation) », rappelle la représentante de Meilleurtaux, précisant que le taux moyen d’un crédit immobilier, situé en octobre à 4,3%, n’a pas été observé depuis 2012, dernière crise immobilière.

En conséquence, la capacité d’emprunt des ménages se réduit. Meilleurtaux donne notamment l’exemple d’un ménage gagnant 10.000 euros par mois, pouvant emprunter 705.000 euros, sur 20 ans, en janvier 2022. Ils doivent aujourd’hui se limiter à 540.000. Sacrée baisse de pouvoir d’achat immobilier.

Une limite, destinée à protéger les emprunteurs du surendettement, est à présent au cœur de la frustration des courtiers : le taux d’endettement maximum. Cette part maximale que peut représenter un emprunt (et toutes les charges associées) dans les revenus totaux d’un ménage a été plafonnée à 35% par le Haut Conseil de Stabilité Financière (HCSF), depuis janvier 2022. En février 2023, cette règle ne posait pas de difficultés. En effet, aucun dossier, ou presque, ne dépassait les 35% en février 2023. En revanche, près de 40% des emprunteurs voient aujourd’hui la part de leur crédit sur leurs revenus se situer au-dessus de ce taux.

Imploré par les professionnels du crédit, le HCSF a examiné un éventuel assouplissement de ce taux d’endettement, le 26 septembre dernier. L’autorité a finalement maintenu ce plafond, au motif que les banques ont le droit de déroger à cette règle pour 20% de leurs dossiers.

Or, « la production de crédits « non conformes » relevant de cette flexibilité ne représente que 13,8 % de la production totale des crédits, au deuxième trimestre 2023 », déclarait l’organisme, fin septembre.

Guerre des gangs de drogues: un enfant de 10 ans tué

Guerre des gangs de drogues: un enfant de 10 ans tué

Encore un terrible exemple de la folie meurtrière des gangs de drogue avec le règlement de comptes à Nîmes qui a entraîné la mort d’un enfant de 10 ans.

Un enfant de 10 ans est mort cette nuit à Nîmes (Gard), victime de tirs d’armes à feu lourdes. Les faits se sont produits à 23h15 ce lundi, dans le quartier Pissevin, dans le sud-ouest de la ville. La police est appelée pour plusieurs coups de feu devant un immeuble et découvre une dizaine de douilles sur place.

Un peu plus tard, un homme de 27 ans arrive en voiture à l’hôpital de Nîmes avec ses deux neveux. Lui-même est blessé: il a reçu trois balles mais son pronostic vital n’est pas engagé. En revanche, le plus jeune des enfants, âgé de 10 ans, est mort, victime d’une plaie par balles au niveau du dos.

Son oncle raconte alors qu’en rentrant du restaurant, il avait stationné son véhicule devant l’immeuble où il habite, et où se trouve également un point de deal. Il évoque ensuite des tirs et explique que, pris de panique, il a démarré sa voiture pour quitter les lieux. Ce n’est qu’en arrivant à l’hôpital qu’il s’est rendu compte que son neveu était mort.

Selon ses dires, le tireur serait reparti en voiture avec trois autres personnes. Leur voiture a été découverte dans le quartier voisin, celui de Valdegour. « Les suspects sont en fuite et doivent être interpellés rapidement », a affirmé sur BFMTV le préfet du GarD Jérôme Bonet.

Ce drame intervient alors que ce lundi déjà, un adolescent de 15 ans avait été blessé par balles dans le quartier Valdegour. L’oncle de la victime est totalement inconnu des services de police, rapportent par ailleurs plusieurs sources policières.

Déploiement de la CRS-8
Dans un tweet, Gérald Darmanin a dénoncé « ce qui semble être un règlement de comptes entre trafiquants ». « C’est un immense drame qui ne restera pas impuni. La police a déjà interpellé de nombreux trafiquants ces dernières semaines et va intensifier sa présence avec fermeté », a écrit le ministre de l’Intérieur.

Economie- L’inflation tue la croissance française

Economie- L’inflation tue la croissance française

Après un dernier trimestre atone (0%), Une très petite reprise du produit intérieur brut (PIB) est repartie à la hausse à 0,2% au premier trimestre. Une reprise toutefois maintenant menacée par le tassement des investissements et la baisse de la consommation. Les ménages dont le pouvoir d’achat est amputé très nettement par la hausse des prix en particulier dans l’alimentaire ajustent leur consommation qui diminue. L’inflation a continué d’accélérer au mois d’avril laissant présager encore des difficultés du côté de la demande des Français. En zone euro, la croissance a fait quasiment du surplace au premier trimestre (0,1%) après un dernier trimestre 2022 décevant (0%).

L’INSEE vient de réviser à la baisse ses chiffres du troisième T (-0,1 point) et quatrième (-0,1 point) trimestres 2022 et légèrement à la hausse ceux du premier trimestre (+0,1 point).

Le gouvernement table toujours sur une croissance de 1% en 2023 dans son dernier programme de stabilité pour la période 2023-2027 envoyé cette semaine à Bruxelles. Mais cette prévision est deux fois supérieure aux projections du consensus des économistes (+0,5%) comme l’a souligné le Haut conseil des finances publiques dans son dernier avis rendu public cette semaine.

Dans le détail, le commerce extérieur a poussé la croissance du produit intérieur brut vers le haut entre janvier et mars. « La progression du PIB est à mettre sur le compte du commerce extérieur, qui contribue de 0.6 point à la croissance grâce à des exportations plus dynamiques que des importations (+1.1% sur le trimestre versus -0.6%) ». Comme souvent, les ventes de matériel de transport ont joué un rôle essentie et ont enregistré un bond spectaculaire de 9,5% tandis que les exportations agricoles ont plongé brutalement de 21%.

Le commerce extérieur français enregistre un déficit abyssal en 2022 à 164 milliards d’euros

L’envolée des prix continue de peser sur la consommation des ménages. Après avoir reculé de 1% au dernier trimestre 2022, la consommation des Français a patiné (0%) au premier trimestre alors que c’est un moteur traditionnel de l’économie hexagonale.

L’autre signe de difficulté chez les ménages est l’impressionnante poursuite de la baisse des investissements, principalement dans la construction et l’immobilier. Depuis le premier trimestre 2022, la formation brute de capital fixe (FBCF), c’est-à-dire l’investissement des Français, n’a enregistré aucun rebond. Le resserrement de la politique monétaire avec la forte hausse des taux d’intérêt a plombé les investissements dans le logement. La poursuite de ce durcissement dans les mois à venir pourrait mettre à mal le secteur de la construction et de l’immobilier déjà sous tensions.

L’indice des prix à la consommation est de nouveau reparti à la hausse en avril pour s’établir à 5,9% après 5,7% en mars selon une première estimation de l’Insee ce vendredi 28 avril. « Le glissement annuel des prix à la consommation en France reste pour le 11ème mois consécutif sur son plateau autour de 6% . Pour l’énergie sur un an, la baisse au mois d’avril est moins spectaculaire que celle du mois de mars 2023 sur les prix de l’énergie.

Quant à l’alimentaire, les prix continuent de s’envoler à 14,9%. La plupart des experts et de gouvernement avaient prévu un ralentissement de l’inflation à partir de l’été ce qui n’est plus du tout certain dans la mesure où il se révèle qu’une partie de cette inflation est largement structurelle. Elle pourrait progresser mais les prix continueraient d’augmenter.

Croissance : L’inflation tue l’économie française

Croissance : L’inflation tue l’économie française

Après un dernier trimestre atone (0%), une très petite reprise du produit intérieur brut (PIB) est repartie à la hausse à 0,2% au premier trimestre. Une reprise toutefois maintenant menacée par le tassement des investissements et la baisse de la consommation. Les ménages dont le pouvoir d’achat est amputé très nettement par la hausse des prix en particulier dans l’alimentaire ajustent leur consommation qui diminue. L’inflation a continué d’accélérer au mois d’avril laissant présager encore des difficultés du côté de la demande des Français. En zone euro, la croissance a fait quasiment du surplace au premier trimestre (0,1%) après un dernier trimestre 2022 décevant (0%).

L’INSEE vient de réviser à la baisse ses chiffres du troisième T (-0,1 point) et quatrième (-0,1 point) trimestres 2022 et légèrement à la hausse ceux du premier trimestre (+0,1 point).

Le gouvernement table toujours sur une croissance de 1% en 2023 dans son dernier programme de stabilité pour la période 2023-2027 envoyé cette semaine à Bruxelles. Mais cette prévision est deux fois supérieure aux projections du consensus des économistes (+0,5%) comme l’a souligné le Haut conseil des finances publiques dans son dernier avis rendu public cette semaine.

Dans le détail, le commerce extérieur a poussé la croissance du produit intérieur brut vers le haut entre janvier et mars. « La progression du PIB est à mettre sur le compte du commerce extérieur, qui contribue de 0.6 point à la croissance grâce à des exportations plus dynamiques que des importations (+1.1% sur le trimestre versus -0.6%) ». Comme souvent, les ventes de matériel de transport ont joué un rôle essentiel et ont enregistré un bond spectaculaire de 9,5% tandis que les exportations agricoles ont plongé brutalement de 21%.

Le commerce extérieur français enregistre un déficit abyssal en 2022 à 164 milliards d’euros

L’envolée des prix continue de peser sur la consommation des ménages. Après avoir reculé de 1% au dernier trimestre 2022, la consommation des Français a patiné (0%) au premier trimestre alors que c’est un moteur traditionnel de l’économie hexagonale.

L’autre signe de difficulté chez les ménages est l’impressionnante poursuite de la baisse des investissements, principalement dans la construction et l’immobilier. Depuis le premier trimestre 2022, la formation brute de capital fixe (FBCF), c’est-à-dire l’investissement des Français, n’a enregistré aucun rebond. Le resserrement de la politique monétaire avec la forte hausse des taux d’intérêt a plombé les investissements dans le logement. La poursuite de ce durcissement dans les mois à venir pourrait mettre à mal le secteur de la construction et de l’immobilier déjà sous tensions.

L’indice des prix à la consommation est de nouveau reparti à la hausse en avril pour s’établir à 5,9% après 5,7% en mars selon une première estimation de l’Insee ce vendredi 28 avril. « Le glissement annuel des prix à la consommation en France reste pour le 11ème mois consécutif sur son plateau autour de 6% . Pour l’énergie sur un an, la baisse au mois d’avril est moins spectaculaire que celle du mois de mars 2023 sur les prix de l’énergie.

Quant à l’alimentaire, les prix continuent de s’envoler à 14,9%. La plupart des experts et de gouvernement avaient prévu un ralentissement de l’inflation à partir de l’été ce qui n’est plus du tout certain dans la mesure où il se révèle qu’une partie de cette inflation est largement structurelle. Elle pourrait progresser mais les prix continueraient d’augmenter.

L’inflation tue l’économie française

L’inflation tue l’économie française

Après un dernier trimestre atone (0%), Une très petite reprise du produit intérieur brut (PIB) est repartie à la hausse à 0,2% au premier trimestre. Une reprise toutefois maintenant menacée par le tassement des investissements et la baisse de la consommation. Les ménages dont le pouvoir d’achat est amputé très nettement par la hausse des prix en particulier dans l’alimentaire ajustent leur consommation qui diminue. L’inflation a continué d’accélérer au mois d’avril laissant présager encore des difficultés du côté de la demande des Français. En zone euro, la croissance a fait quasiment du surplace au premier trimestre (0,1%) après un dernier trimestre 2022 décevant (0%).

L’INSEE vient de réviser à la baisse ses chiffres du troisième T (-0,1 point) et quatrième (-0,1 point) trimestres 2022 et légèrement à la hausse ceux du premier trimestre (+0,1 point).

Le gouvernement table toujours sur une croissance de 1% en 2023 dans son dernier programme de stabilité pour la période 2023-2027 envoyé cette semaine à Bruxelles. Mais cette prévision est deux fois supérieure aux projections du consensus des économistes (+0,5%) comme l’a souligné le Haut conseil des finances publiques dans son dernier avis rendu public cette semaine.

Dans le détail, le commerce extérieur a poussé la croissance du produit intérieur brut vers le haut entre janvier et mars. « La progression du PIB est à mettre sur le compte du commerce extérieur, qui contribue de 0.6 point à la croissance grâce à des exportations plus dynamiques que des importations (+1.1% sur le trimestre versus -0.6%) ». Comme souvent, les ventes de matériel de transport ont joué un rôle essentie et ont enregistré un bond spectaculaire de 9,5% tandis que les exportations agricoles ont plongé brutalement de 21%.

Le commerce extérieur français enregistre un déficit abyssal en 2022 à 164 milliards d’euros

L’envolée des prix continue de peser sur la consommation des ménages. Après avoir reculé de 1% au dernier trimestre 2022, la consommation des Français a patiné (0%) au premier trimestre alors que c’est un moteur traditionnel de l’économie hexagonale.

L’autre signe de difficulté chez les ménages est l’impressionnante poursuite de la baisse des investissements, principalement dans la construction et l’immobilier. Depuis le premier trimestre 2022, la formation brute de capital fixe (FBCF), c’est-à-dire l’investissement des Français, n’a enregistré aucun rebond. Le resserrement de la politique monétaire avec la forte hausse des taux d’intérêt a plombé les investissements dans le logement. La poursuite de ce durcissement dans les mois à venir pourrait mettre à mal le secteur de la construction et de l’immobilier déjà sous tensions.

L’indice des prix à la consommation est de nouveau reparti à la hausse en avril pour s’établir à 5,9% après 5,7% en mars selon une première estimation de l’Insee ce vendredi 28 avril. « Le glissement annuel des prix à la consommation en France reste pour le 11ème mois consécutif sur son plateau autour de 6% . Pour l’énergie sur un an, la baisse au mois d’avril est moins spectaculaire que celle du mois de mars 2023 sur les prix de l’énergie.

Quant à l’alimentaire, les prix continuent de s’envoler à 14,9%. La plupart des experts et de gouvernement avaient prévu un ralentissement de l’inflation à partir de l’été ce qui n’est plus du tout certain dans la mesure où il se révèle qu’une partie de cette inflation est largement structurelle. Elle pourrait progresser mais les prix continueraient d’augmenter.

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