Archive mensuelle de mai 2015

Actu, infos, économie: articles les plus lus

 

 

 

 

Hollande : une semaine catastrophique ( feuilleton -31 mai 2015)

    • La semaine du Roy François a mal débuté avec ce sondage encore catastrophique :  75% des sujets pensent  que le monarque est mauvais. On se demande comment le monarque peut encore bénéficier de 25% de soutiens. Grâce sans doute à ses nombreuses inaugurations, compassions nationales, commémorations et aux sollicitations sans cesse renouvelées au 11janvier. « Esprit du 11 janvier es-tu là »  a encore dit Normal premier sous la coupole du Panthéon. Qui n’a pas répondu.  Il attendait que Hollande quitte les lieux. Mais François est demeuré longtemps à l’intérieur comme s’il avait l’impression qu’il n’y reviendrait jamais ! Pas une  impression, une certitude. Du coup,  le Roy est réconforté avec les résultats, eux vraiment historiques, de la motion Cambadélis qui a obtenu 70% des voix célestes ; des voix sans doute venues du ciel car nombre de voix , environ 100 000, disparues et enterrées, n’ont pas été prises en compte. Une  sorte d’intronisation pour une nouvelle investiture royale pour 2017. De toute manière,  François de Tulle n’a pas de concurrent car même Valls de Vienne qui crie curieusement de moins en moins fort ( lui aussi a perdu de la voix) voit sa popularité baisser. Il faut dire qu’à force de parler, et de hurler même, à propos de tout et de rien, il a fini par fatiguer l’auditoire et les capacités auditives. Hors Hollande,  point de salut, la gauche de la gauche est balayée. Même Montebourg contraint maintenant de jouer les mannequins pour Smuggler afin arrondir les fins de mois,  en même défendre le made in France ; On parle de lui pour relancer et présenter  les slip kangourous, invention de la France, et contestée par le slip américain. Un nécessité car les sujets français pourraient bien se retrouver en slip avec le projet de prélèvement à la source  de l’impôt . Grâce à la fusion avec la CSG, on pourra imposer tout le monde, rendre la ponction moins douloureuse et augmenter en douce les prélèvements. Le bonheur total pour Bercy ! Il faudra bien trouver de nouveaux écus car pour l’économie, c’est pas le Pérou. Pas seulement en France, au plan mondial même. Ces temps derniers, on entend moins le monarque déclarer » la reprise et là, la crise est finie.. ». De quoi légitimer la déprime pour 70% des français qui ne croient pas dans la capacité du royaume à se redresser. Tu m’étonnes, on vit au ralenti. 14 jours seulement de travail en moyenne en mai, la croissance du second trimestre va en prendre un coup. La France sur le chemin de la Grèce ? Non, pas possible, pas un grand pays comme la France ! La France a des ressources mais elle vend ses bijoux industriels, elle vend même ses aéroports, un moment on a même envisagé de  vendre et de relouer  le matériel militaire. Pourvu qu’on ne vende pas la tour Eiffel ou  le Panthéon aux Chinois comme le club de foot de Sochaux. La  France se « grécisise », il faudra mettre la pédale douce sur le niveau de vie. On va commencer par mettre la pédale douce sur l’ automobile avec une  vitesse de 30kms/h à Paris. Certaisn écolos envisagent même de ne pas dépasser à 5 kms heures ( la vitesse d’un piéton) pour harmoniser les modes de transport. On pourra sauter d’un véhicule en marche. Plus ridicule tu meurs !  Sauf à la FIFA où heureusement les pratiques de la mafia perdurent, la preuve qu’il y a plus pourri que dans le royaume de France. Il suffit d’acheter les grands électeurs et de se vendre aux politicards . Le business est truqué, c’est bien connu. même la prostitution qui serait en fait subventionnée  par l’Etat puisque d’après des  institut d’études qui sont aux sciences économiques ce que Poivre D’Arvor est à la littérature, ou le Mcdo à la  gastronomie,  cela coûterait à collectivité. Donc subventionnée.  Comme les favorites du Roy qui s’installent successivement à l’Elysée. Du coup les socialiste se demandent s’il ne faudra pas nationaliser l’activité , Macron pencherait pour la vendre au Qatar. Il n’y vraiment  plus de valeurs dans ce pays qui ne respecte plus rien, ni la personne royale, ni même les institutions ( la cour, la justice, la banque etc.). On apprend que le Ravaillac moderne, Kerviel,  est soutenu dans un sondage par une  majorité de Français alors que ce crime a failli tuer le système bancaire. Vite rétabli quand même si long en juge par les bonus des dirigeants et les dividendes. Encore un peu et les Français vont demander à Kerviel d’entrer au Panthéon de son vivant. Il y a encore un avenir pour le déclinisme , la preuve :  François de Tulle se voit encore président après 2017.

    God save the king

Non à un duel Hollande-Sarkozy en 2017( sondage)

Non à un duel Hollande-Sarkozy en 2017( sondage)

La changement d’emballage de l’UMP ( les républicain) pas plus que le vote majoritaire pour la motion Cambadélis ne changeront grand chose à l’avis des Français. Ils ne veulent pas d’un duel Sarkozy-Hollande en 2017. Pourtant c’est ce qui se prépare avec Hollande qui se dispense lui même de l’épreuve des primaires à gauche et Sarko qui a monté sa nouvelle boutique uniquement pour obtenir l’ investiture à droite (et qui a permis qu’on siffle Juppé lors de la première réunion «  les républicains »,preuve sans doute de la solidité de l’union et des convictions communes !). Si l’on ajoute à cela que l’arbitre pourrait être Marine Lepen, il y a de quoi être vraiment déprimé.  En effet, 72% des sondés ne souhaitent pas le voir se lancer dans la campagne d’après un sondage mené par Odoxa pour le Parisien/ Aujourd’hui en France publié ce 30 mai, jour du Congrès organisé par le principal parti de d’opposition. Ils sont encore plus nombreux (77%) à rejeter une éventuelle candidature de François Hollande. Chez les sympathisants de droite, le score est plus serré avec 50% contre, 49% pour et 1% qui ne se prononcent pas. Au sein de ce qui s’appelait encore l’UMP au moment du sondage, en revanche, l’ex-président rassemble davantage puisqu’ils sont 66% à se dire favorable à une candidature de Nicolas Sarkozy et 31% à s’y opposer. Le doute plane encore sur le favori des militants de droite avant les primaires qui doivent désigner le candidat officiel pour la présidentielle. En revanche, le nouveau nom du parti remporte un large succès chez les militants UMP. A la veille du congrès du 30 mai, le vote en faveur de ce changement l’a emporté avec plus de 80% des voix au sein des rangs de l’UMP. Juridiquement, les opposants à l’utilisation de ce nom auraient encore des armes. Toutes couleurs confondues, les Français se montrent bien plus dubitatifs sur ce changement de nom. Près de 8 sondés sur 10 estiment que cela ne permettra pas de « donner un nouveau départ » à l’UMP. Coté gauche 75% sont opposés à une  candidature Hollande. Qui n’en tiendra pas compte et qui se considère déjà comme le candidat «  normal » du PS et de la gauche. Conclusion les français ne veulent ni des uns, ni des autres mais ils les auront quand même grâce aux vertus de la démocratie des appareils ! Décidément les principes de la 5éme république sont bien morts, il est temps de passer à autre chose.

Présidence France Télévisions : le scandale d’une nomination

Présidence France Télévisions : le scandale d’une  nomination

Hollande l’avait promis «  moi Président …». Il ne nommerait pas les dirigeants de la télé ; Pour autant c’est ce qi s’est produit via le CSA politisé. Et c’ est uen personnalité qui ne connaît rien à la télé qui est nommée ( mais qui est bien connue des réseaux politiques de gauche et de droite).  C’est la république des copains ( voir le dernier scandale Mathieu Gallet ( à radio France et à l’Ina) mais qui reste à son poste.  Le scandale aussi de France 23.   Il y a deux ans et demi naissaient six nouvelles chaînes gratuites sur la TNT. Parmi elles, Numéro 23 un canal dédié à la diversité. Total : cette chaîne a surtout diffusé des séries américaines et des émissions… de tatouage. Quant à son propriétaire, il vient de la revendre pour 90 million d’euros au groupe Next Radio TV (BFMTV, RMC,…). Une transaction qui provoque l’indignation : les fréquences de diffusion sont rares et accordées gratuitement par l’Etat. Les opérateurs privés en profitent pour spéculer.  C’était une des promesses du candidat François Hollande à la présidence de la République en 2012 : annihiler les jeux d’influence dans la désignation du P-DG de France Télévisions en redonnant à une instance indépendante – le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) – le pouvoir de cette nomination. Mais le choix de Delphine Ernotte, intervenue le 23 avril dernier au terme d’une procédure décriée, est venue mettre à mal le vœu élyséen. Et menace même de virer à l’affaire politique. Invité à s’exprimer devant la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale mardi, le président du CSA, Olivier Schrameck, nommé en 2013 par le chef de l’Etat, va devoir mettre le couvercle sur trois points polémiques.  La procédure de désignation de Delphine Ernotte, ex-directrice générale d’Orange France, première femme à diriger l’audiovisuel public, est soupçonnée d’être entachée d’irrégularités. Petits arrangements entre amis, manquement aux règles d’équité de la part d’un membre du CSA, Sylvie Pierre-Brossolette (ex-journaliste au Point), plagiat du projet d’un candidat adverse, etc. : la liste des « bizarreries » dressée par les enquêtes de Mediapart et de M le magazine du Monde jette la suspicion sur le CSA, pourtant censé choisir le meilleur candidat pour le poste. Et qui, à l’étonnement général, a promu une dirigeante sans expérience dans l’audiovisuel, à l’inverse de Marie-Christine Saragosse, présidente de France Médias Monde (France 24), par exemple.  « Pourquoi y a-t-il eu tant de secret ? Pour mieux préparer l’émergence d’un candidat en particulier ? », s’interrogeait vendredi à l’AFP une source interne au CSA, dont le collège des sages est divisé en deux camps. « Pourquoi n’y a-t-il pas eu une session de repêchage quand on a vu que des poids lourds n’étaient pas dans la sélection ? », déplore une autre source interne, et ce, alors que la procédure le prévoyait. Il n’en faut pas davantage pour que l’affaire prenne un tour politique, l’UMP exigeant l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire sur les conditions de nomination de Delphine Ernotte. Plus généralement, au-delà de la désignation de Delphine Ernotte, ce sont les pratiques du CSA sous l’ère Schrameck, qui se remet à peine de la fronde à Radio France contre Mathieu Gallet (et ses dépenses), qui interrogent. Dans son enquête, le supplément du Monde a ainsi jeté le trouble sur le régulateur de l’audiovisuel public : telle radio locale privilégiée parce qu’elle est domiciliée dans une commune où la femme du président possède une maison ou, entre autres choses, commande d’une étude, forcément élogieuse, sur l’institution à 14.999 euros – en dessous du montant d’un appel d’offre.

Réformes-Valls : pas convaincant pour 51%

Réformes-Valls : pas convaincant pour 51%

Finalement il y a beaucoup de scepticisme à l’égard de Valls et de sa capacité à réformer. 49% pensent e qu’il peut réformer contre 51% qui considèrent le contraire. En fait Valls laisse dubitatif car si son discours est très volontariste, la tonalité souvent tonitruante à l’excès et on doute légitimement de sa vraie capacité. Dans les faits il faut bien constater qu’il fait surtout du bricolage ( sur l’école, le terrorisme, l’insécurité en général, l’économie ou le social). Comme il est jeune et relativement neuf politiquement, on lui fait crédit mais il faut bien convenir que derrière les propos quasi martiaux, il n’y a pas grand chose hormis les formules archi  usées. D’une  certaine manière Valls c’est archétype du politique français dont le discours est en décalage avec l’action. Il faut dire qu’il ne connait pas grand chose aux réalités économiques et sociales puisqu’il n’a jamais travaillé. Ce  représentant de la « jeune «  génération ne permet pas de redonner confiance à un pays qui doute dans tous les domaines de la capacité à reformer et à se moderniser. Et qui doute encore davantage de sa classe politique.  La majorité des Français (51%) ne pense pas que le Premier ministre Manuel Valls soit « en mesure de mener à bien des réformes dans le domaine économique et social », selon un sondage IFOP paru dimanche dans le JDD, contre 49% d’un avis opposé.  Parmi les sceptiques à l’égard du chef du gouvernement, 28% pensent que Manuel Valls n’est « plutôt pas » en mesure de faire ce type de réformes et 23% qu’il ne l’est « pas du tout ». Les sympathisants de gauche pensent majoritairement (57%) que Manuel Valls peut mener à bien ces réformes contre 43% d’un avis contraire. En revanche les sympathisants de l’UMP sont 57% à douter des capacités du Premier ministre et ce pourcentage atteint 66% parmi les sympathisants du FN. Par ailleurs, 72% des personnes interrogées se sont dites favorables à « la mise en place de conditions plus strictes pour bénéficier d’allocations logement », 64% au « plafonnement du montant de l’allocation chômage pour les cadres supérieurs ou dirigeants », 53% au « plafonnement du montant des indemnités de licenciement gagnables aux prud’hommes, mais seulement 37% à « la simplification des licenciements dans les PME » et 32% à « l’augmentation à 67 ans de l’âge de départ à la retraite dans le privé pour bénéficier d’une retraite complémentaire pleine ».

 

Pour une Europe à deux vitesses ( Macron)

Pour  une Europe à deux vitesses ( Macron)

Une Europe à deux vitesses, c’est le souhait de Macron qui découvre sans doute avec un peu de retard les vertus d’une  Europe qui avance de manière différente ; d’ailleurs pas seulement à deux vitesses ( théorie des cercles). De ce point de vue l’organisation actuelle ( 19 pour la zone euro), 28 ( et encore davantage) pour la totalité de l’Union est  ingérable. Il conviendrait donc de revenir à uen Europe de 4 ou 5 pays avec une  intégration plus rapide ( politique étrangère, défense, investissement, fiscalité, politique industrielle, énergie, immigration etc). Un deuxième cercle avec moins de contraintes mais moins d’avantages et d’intégration enfin un troisième pour les pays qui socialement, écologiquement,  fiscalement notamment sont très éloignés de la moyenne. Bref Macron a encore des progrès à faire sur sa vision de l’Europe mais il progresse.  Cependant Macron entend aller plus loin que François Hollande et Angela Merkel. Emmanuel Macron défend une Europe à deux vitesses ainsi qu’une réforme, à terme, des traités de l’Union. Le ministre de l’Économie prend position dans le JDD, après que le chef de l’État et la chancelière allemande ont rédigé, eux, en termes diplomatiques un texte préconisant un gouvernement économique, en prévision du prochain sommet fin juin. »Il faut accepter l’idée que l’Europe se fasse à deux vitesses, qu’il y ait une union solidaire et différenciée. Il y a une histoire à 28 [l’Union] et une histoire à 19 [la zone euro]« , explique-t-il. Et de détailler?: « L’Europe à 28 doit être plus simple, plus claire, plus efficace et continuer à avancer sur le numérique et l’énergie. L’avant-garde de la zone euro doit, elle, aller vers plus de solidarité et d’intégration?: un budget commun, une capacité d’endettement commune et une convergence fiscale. » Les régimes sociaux seraient aussi harmonisés, avec la création d’une assurance-chômage commune. À dix jours du retour de son projet de loi à l’Assemblée, en deuxième lecture, Emmanuel Macron investit un champ d’ordinaire occupé par l’Élysée. « C’est un sujet générationnel, je ne suis pas en train de porter la parole du gouvernement. La France s’exprime par la voix du président de la République. Si je m’exprime sur le sujet, c’est pour faire avancer le débat collectif. C’est une responsabilité indépendante de mon poste », dit-il.

Durée du travail « épuisante » en France (Filoche, PS) !

 

 

 

Il doit vivre sur une  autre planète Gérard Filoche pour déclarer que la durée du travail est épuisante en France et quelle ne cesse de s’allonger.Alors que le concept des 35 heures  a tué la compétitivité et l’emploi ( sans parler des déficits publics comme ceux des hôpitaux). Filoche l’archétype du responsable PS, fonctionnaire  et ancien inspecteur du travail!) qui n’entretient que des rapports approximatifs avec les réalités sociales.  D’après le responsable socialiste Gérard Filoche, « l’épuisement au travail vient du fait que les durées du travail sont de plus en plus longues. On travaille 41 heures en moyenne et pas 35 heures ».  Filoche s’appuie sur ce qu’on appelle « la durée habituelle hebdomadaire du travail », c’est-à-dire une semaine normale sans événement exceptionnel (jour férié, congé, etc.). D’après les calculs de la Dares, sur la base des données de l’Insee, cette durée était de 40,7 heures en 2013 (dernière année pour laquelle on dispose de chiffres) pour tous les actifs à temps complet. On retrouve donc les 41 heures annoncées par le responsable socialiste. Si l’on compte également les actifs à temps partiel, cette durée habituelle tombe à 37,5 heures par semaine en 2013. Dans tous les cas, la durée normale de travail hebdomadaire en France est supérieure à la durée légale de 35 heures, seuil à partir duquel les heures supplémentaires devraient, normalement, être comptées. Par contre, Gérard Filoche à tort de dire que « les durées du travail sont de plus en plus longues en France ». Les 41 heures de travail hebdomadaire sont une réalité depuis le début des années 90, au moins. On remarque même une baisse de la durée habituelle du travail au début des années 2000, ce qui correspond à l’application de la loi sur la réduction du temps de travail. Mais le niveau « normal » des 41 heures revient dès l’année 2003. Le constat est le même lorsqu’on regarde la « durée annuelle effective »‘, qui inclut  toutes les heures travaillées, y compris les heures supplémentaires rémunérées ou non, mais elle exclut les heures non travaillées pour cause de congés annuels, jours fériés, maladies, accidents, maternités, paternités.

Blatter, le voyou, veut se payer Platini

 

Blatter, le voyou, veut se payer Platini

 

 

Non content d’être complètement corrompu Blatter a clairement menacé l’UEFA et Platini. Le vieux brigand qui tient tout son monde par la barbichette se permet non seulement de critiquer la procédure judicaire en cours mais d’attaquer l’UEFA et en particulier Platini ; En Clair Blatter fera tout pour que Platini ne devienne jamais président de la FIFA un jour. Blatter se comporte évidemment comme un dictateur fou puisqu’il ne représente que l’oligarchie qui bouffe dans la gamelle de la FIFA et détourne uen grande partie des fonds destinés au football. Ce type est une honte pour le sport et le football en particulier, pour son pays aussi la Suisse tellement tolérante chaque fois qu’il s’agit d’argent. Platini devra enfin abandonner la posture diplomatique- souvent ambigüe car il a longtemps soutenu Blatter-  et affronter Blatter de face ; Il est clair que ce dernier va lui savonner la planche et faire émerger un autre candidat ( africain ou asiatique sans doute) pour sabrer la candidature Platini. Blatter et son équipe ne connaissent pas grand-chose au football ( il n’y a pas un seul grand nom du foot dans cette équipe) mais ce sont par contre des experts en matière machiavélisme marchand. Et de tripatouillages politiques . Évidemment un autre monde que celui du foot amateur du dimanche après midi ou parents amis, dirigeants dépensent énergie et argent pour permettre aux gamins et autres séniors de jouer au foot. Le réservoir dans lequel on pompe pour alimenter la machine à fric du foot pro et des institutions pourries jusqu’à la moelle.  Le président de la Fifa, reconduit vendredi, dénonce une « haine » venue de l’UEFA. Sur la RTS, télévision suisse, ce samedi, il évoque l’opposition de Michel Platini et les accusations de la justice américaine. Le président de la Fifa, réélu vendredi pour un cinquième mandat dans un contexte très tendu, commence à régler ses comptes avec ceux qui se sont opposés à sa candidature. Samedi, lors d’un entretien à la RTS, télévision suisse, Sepp Blatter a visé l’UEFA et son président, le Français Michel Platini. Le patron de la Fifa a aussi critiqué le procédé de l’enquête américaine qui a conduit cette semaine à des interpellations en plein comité exécutif de la Fédération internationale de football. Michel Platini est clairement dans le collimateur de Sepp Blatter, qui s’est montré samedi très offensif. Interrogé sur le président de l’UEFA qui l’avait appelé à la démission, le dirigeant de la Fifa a répondu par des mots qui laissent entendre que les hostilités ne sont pas terminées. « Je pardonne à tout le monde, mais je n’oublie pas. » Lors de l’entretien télévisé, l’enquête américaine et les sept interpellations de dirigeants de la Fifa de mercredi dernier ont aussi été évoquées. Le patron de l’instance internationale de football a insinué que les Etats-Unis avaient des arrière-pensées. « Il y a des signes qui ne trompent pas: les Américains étaient candidats à la Coupe du monde de 2022 et ils ont perdu. » Sepp Blatter aussi regretté les arrestations menées sur le sol suisse. « Si les Américains ont à faire avec des délits d’argent ou de droit commun qui concernent des citoyens nord ou sud-américains, qu’ils les arrêtent là-bas, mais pas à Zurich alors qu’il y a un congrès » a-t-il déclaré. Une réunion du comité exécutif de la Fifa s’est déroulé ce samedi matin à Zurich. Lors d’une conférence de presse, Sepp Blatter déclaré qu’il avait été « affecté par les attaques » liées au scandale de corruption. Il a aussi appelé à « l’unité et la solidarité » pour « aller de l’avant ».

Croissance – Brésil : encore un pays dans le rouge

Croissance -  Brésil : encore un pays dans le rouge

 

 

Le premier trimestre aura été médiocre pour nombre de pays, cette fois le Brésil en recul . Après les mauvais résultats de la Chine, du Japon des Etats unis, de l’Allemagne, il y a de quoi être inquiet pour la croissance mondiale d’autant que le second trimestre risque d’être encore mauvais voire pire dans certains  pays. L’économie brésilienne, elle,  s’est contractée de 0,2% au premier trimestre par rapport au trimestre précédent, ce qui laisse entrevoir une récession sur l’ensemble de l’année en raison notamment d’une nouvelle baisse des investissements des entreprises. Le chiffre du produit intérieur brut (PIB), publié vendredi par l’institut officiel des statistiques IBGE, est cependant meilleur qu’attendu puisque l’estimation médiane des analystes interrogés par Reuters donnait un recul de 0,5%. En rythme annuel, le PIB du Brésil a reculé de 1,6% au premier trimestre. Le consensus s’établissait à -1,8%. Ces données moins mauvaises que prévu, qui s’expliquent par une bonne tenue du secteur agricole sur fond de hausse des prix du café, font progresser le real brésilien de 0,6% face au dollar. Mais avec les baisses des dépenses publiques, le relèvement de certaines taxes et l’augmentation du prix de l’électricité et autres produits décidés depuis le début de son deuxième mandat entamé le 1er janvier, la présidente Dilma Rousseff a, aux yeux de certains économistes, créé les conditions d’une récession. « La tendance est à un affaiblissement de la croissance. Le Brésil retourne en récession », estime Cristian Maggio, analyste chez TD Securities. Les investissements des entreprises ont baissé de 1,3% sur les trois premiers mois de 2015, enchaînant leur septième recul trimestriel de suite, du jamais vu depuis que cette donnée a commencé à être mesurée en 1996. La consommation des ménages a reculé de 1,5%, repli le plus marqué depuis la crise financière de 2007-2009.

Cohn-Bendit sur une « liste noire » russe….poutisnesque !

Cohn-Bendit sur une « liste noire » russe….poutisnesque !

Il ya de listes noires de criminels ce qui parait logique mais les russes font mieux ils établissent des listes noires politiques à l’intérieur bien sûr mais aussi à l’extérieur. L’écologiste Daniel Cohn-Bendit s’est amusé samedi de sa présence sur une liste de 89 personnalités européennes, politiques mais aussi intellectuelles et militaires, interdites de territoire russe. C’est « Poutisnesque » considère Cohn Bendit, c’est à dire pathétique autant que pitoyable et ridicule. Cette liste, dont Reuters a eu copie, aurait été compilée par le ministère russe des Affaires étrangères et transmise cette semaine à une délégation européenne à Moscou.  Quatre Français y figurent : l’intellectuel Bernard-Henri Lévy, Henri Malosse, président du Comité économique et social européen, le patron des députés socialistes, Bruno Le Roux, ainsi que Daniel Cohn-Bendit, ancien eurodéputé qui vient d’obtenir la nationalité française.   »Je trouve ça très drôle », a déclaré ce dernier à Reuters.   »Ça correspond au régime poutisnesque, ça aurait été vraiment triste que Poutine me considère comme son ami », a-t-il ajouté, estimant figurer sur cette liste en raison de ses positions critiques envers le pouvoir de Vladimir Poutine.  Les autorités françaises n’ont pas été officiellement notifiées de cette liste, dit-on de source diplomatique française.  La Russie a bloqué l’entrée de plusieurs personnalités politiques européennes au cours des derniers mois sur le fondement de cette liste, a dit à Reuters un porte-parole de la diplomatie européenne. « Nous considérons cette mesure totalement arbitraire et injustifiée, surtout en l’absence de clarifications », notamment sur son fondement juridique, a-t-il ajouté.  En visite en Ukraine, le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, a estimé que cette liste pourrait ralentir le processus de paix dans la région.  Une porte-parole du ministère britannique des Affaires étrangères a jugé que la Russie faisait fausse route si elle cherchait ainsi à faire pression sur l’Union européenne pour adoucir les sanctions.  L’UE a imposé diverses sanctions à la Russie depuis l’annexion de la Crimée, en mars 2014. Des interdictions de territoire visent notamment des ressortissants russes et ukrainiens.

TTIP-Merkel : le business d’abord

TTIP-Merkel : le business d’abord

 

Pour Merkel comme d’habitude c’est le business qui prime sur tout. Elle défend   le projet de traité avec les USA au risque de s’asseoir sur les normes sociales et environnementales de l’Europe. Pire, sur le plan politique au risque de dessaisir les Etats de leur pouvoir puisque des accords commerciaux pourront passer par dessus les lois européennes ou nationales. Ce projet d’accord actuellement négocié dans le plus grand secret par la commission européenne en dit long sur le caractère démocratique de cette Europe  alors que ce projet exigerait transparence et débat eu égard à ses enjeux considérablesAngela Merkel s’efforce, dans une interview publiée samedi dans la presse allemande, de convaincre ses compatriotes de l’intérêt pour l’Allemagne d’un accord entre l’Union européenne et les Etats-Unis sur la création de la plus grande zone de libre-échange au monde. Dans le Süddeutsche Zeitung, la chancelière allemande souhaite que les négociations en cours entre l’UE et les USA soient conclues avant le départ de Barack Obama de la Maison blanche en janvier 2017. Sans un accord à cette date, qui marquera l’arrivée au pouvoir d’un nouveau président aux Etats-Unis, Angela Merkel craint « une longue interruption » des discussions. « Il est important à mes yeux que le libre-échange transatlantique suive le rythme de la région Pacifique », déclare la chancelière allemande en allusion aux négociations avancées entre les Etats-Unis et plusieurs pays d’Asie et d’Océanie sur la création d’un partenariat transpacifique (TPP). L’UE et les Etats-Unis négocient de leur côté un Partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement (TTIP selon son sigle anglais), qui, selon ses promoteurs, pourrait générer 100 milliards de dollars d’activité supplémentaire des deux côtés de l’Atlantique chaque année. Ce traité en cours de négociation suscite toutefois de vives réticences en Europe, y compris en Allemagne malgré une économie tournée vers les exportations.

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Scandales des dépenses de l’INA : un domicile trop loin du lieu de travail !

Scandales des dépenses  de l’INA : un domicile trop loin du lieu de travail !

 

Curieuse défense de cette technocrate parvenue aux plus hautes fonctions grâce à se passages dans les cabinets ministériels ; c’est parce qu’elle réside trop loin de son domicile qu’elle a dû engager des frais de taxis ( alors qu’elle avait un chauffeur.. et sans doute un permis de conduire)… sans parler des frais de com.! . Bref l’arrogance de ces hauts fonctionnaires qui confondent argent public et argent personnel ( comme Guéant !). France info le révélait ce vendredi midi, l’association Anticor a déposé une plainte visant les dépenses de taxi de l’ex-PDG de l’INA, Agnès Saal, et les contrats passés par Mathieu Gallet, actuel patron de Radio France, à l’époque où il présidait l’Institut. Si Ce dernier n’a pas souhaité réagir, Agnès Saal, elle, a décidé de contre-attaquer par l’intermédiaire de son avocat.  Agnès Saal se défend, après la révélation par France Info d’une plainte déposée par l’association Anticor et portant sur ses frais de taxi lorsqu’elle était présidente de l’INA. Anticor veut savoir s’il s’agit de détournement d’argent public. Sommée de démissionner de son poste de présidente de l’INA 48 heures après le début de la polémique sur ses frais de taxis (40.000 euros en dix mois aux fonctions), Agnès Saal a regagné son ministère de tutelle, la Culture, où elle occupe désormais un poste de chargée de mission. Une enquête disciplinaire a été ouverte à son encontre, mais pour le moment la ministre Fleur Pellerin n’a pas encore pris de décision au sujet de son avenir. L’avocat d’Agnès Saal, lui, estime que l’éviction de sa cliente est déjà une sanction extrêmement lourde. Jean-Pierre Mignard estime qu’on « n’a même pas pris la peine d’écouter ni d’entendre, et donc immédiatement elle a été sanctionnée et démise de ses fonctions. Je pense qu’elle a payé pour d’autres, c’était une cible facile ». Pour sa défense, Agnès Saal nie avoir dilapidé de l’argent public. Au contraire même, selon Me Mignard, elle a même réussi à  limiter les dépenses de déplacement et de réception de la présidence de l’INA. Dans un communiqué, ce dernier souligne d’abord que les sommes en litige « ont fait l’objet d’un remboursement, soit 15.940 euros, dont  6.700 euros de courses de son fils ». Le texte ajoute que « travaillant 70 heures par semaines à 35 kilomètres de son domicile, Madame Saal a refusé un second chauffeur, ce qui représentait un coût annuel de 62.000 euros pour l’INA (…) Les attaques dont fait l’objet Madame Saal sont inadmissibles. Il n’y a à l’évidence aucune intention frauduleuse de sa part ».

L’UE irait mieux sans le Royaume-Uni (Michel Rocard)

L’UE irait mieux sans le Royaume-Uni (Michel Rocard)

Michel Rocard pense à juste titre que l’union européenne pourrait se passer du Royaume Uni  .Il a sans doute raison car les négociations qu’entame Cameron avec l’Union seront sans doute désastreuses  pour l’Europe.  En fait Cameron est en train de négocier une  nouvelle série d’exceptions . d’abord il veut tirer encore davantage d’ argent de l’union  alors qu’il a déjà  un régime d’exceptions (comme sur le reste). Ensuite, il va demander que Bruxelles  ne puisse prendre des orientations qui  s’imposent  au  Royaume uni.  Du coup nombre de pays vont s’engager dans la brèche  : en gros moins de programmes européens et moins d’intégration alors qu’il y a un urgent besoin  d’intégration en matière de politique étrangère, de politique industrielle, d’investissement ou encore d’immigration. ? Ce sera un encouragement tous les nationalismes.  L’Europe n’ est certes pas  sans défaut mais elle risque d’être  encore un peu plus paralysé..

 

L’ancien Premier ministre affirme

« La Grande-Bretagne est un très grand pays qui a toujours refusé que l’Europe s’immisce dans ses affaires. Elle a bloqué tout approfondissement de l’intégration (…) S’ils s’en vont, il devient possible de répondre au besoin de commandement dans l’Europe. Même l’Allemagne s’en rend compte et le demande. » Il a même insisté, affirmant à propose de ce départ hypothétique: « je l’espère bien car depuis le temps qu’ils empêchent [L'Union européenne] de se développer, ils l’ont tuée ». Et de pointer les sondages outre-Rhin qui « montrent que le peuple anglais veut en finir avec l’Europe« . A ce sujet, les sondages signalent de fortes fluctuations dans l’opinion. Début 2013, la moitié des Britanniques se déclaraient ainsi favorables à un départ selon une enquête réalisée pour le Financial Times. Plus récemment, un sondage YouGov pour le Sunday Times  signael que si un référendum sur le sujet avait lieu, 40% des électeurs d’outre-Manche voteraient « non » et 34% « oui ».  L’ex-chef du gouvernement français se montre particulièrement critique vis-à-vis du monde de la finance britannique qu’il juge responsable des blocages:  « Les élites anglaises ont peur de l’isolement qui en résulterait, susceptible d’affaiblir la City. Mais la banque anglaise fait partie des facteurs paralysants aujourd’hui, elle est hautement plus spéculative que les autres. C’est une paralysie pour l’économie réelle ».  Le Premier ministre David Cameron a promis de consulter les Britanniques sur ce sujet en cas de victoire des conservateurs lors des prochaines élections législatives en 2015. .  Dans l’opposition, Ed Miliband, le chef de file des travaillistes a réaffirmé sa position europhile dans les colonnes du Financial Times.  »Nous croyons fermement que le futur du Royaume-Uni est dans l’Union  », a-t-il affirmé. Le socialiste Michel Rocard, lui y croit beaucoup moins…

Croissance : recul aux Etats-Unis

Croissance : recul aux Etats-Unis

 

Très mauvais signe pour la croissance internationale avec la confirmation du recul du PIB des Etats Unis au premier trimestre (qui vient après la baisse de l’industrie en Chine ou encore les 0.3% seulement de croissance en Allemagne).De quoi en tout cas faire douter la FED sur la nécessité de remonter trop rapidement les taux, peut-être pas en septembre ni même d’ici la fin de l’année ( ce qui par parenthèse serait aussi uen bonne nouvelle pour l’Europe). De quoi aus si encourager les prises de bénéfices dans les semaines à venir pour les boursiers ! .  Au premier trimestre, le produit intérieur brut (PIB) américain a reculé de 0,7%, en rythme annualisé et en données corrigées des variations saisonnières.  D’un trimestre sur l’autre, par rapport au dernier trimestre de 2014 -présentation européenne-, le PIB a donc reculé de près de 0,2%. Les exportations ont lourdement chuté (-7,6% en rythme annuel), alors qu’elles s’inscrivaient en hausse au cours des trimestres précédents. Des grèves dans les ports ont pu contribuer à cette contre-performance, d’ailleurs souvent enregistrée au premier trimestre de chaque année. Mais la hausse du dollar a au aussi un impact. Toute la question est de savoir comment va évoluer la conjoncture américaine. Les optimistes soulignent que, déjà, le premier trimestre de 2014 avait été particulièrement faible. Il pourrait y avoir un artefact statistique. Ils soulignent les « bons » chiffres économiques récents (commandes de biens durables, ventes de logements neufs, confiance des consommateurs en hausse), concernant la mois d’avril, qui trancheraient avec ceux du premier trimestre. Les pessimistes mettent au contraire en avant la faiblesse de moteurs de la croissance américaine. La croissance sera sans doute plus faible que prévu en début d’année, disent-ils. Cette faiblesse est liée à plusieurs facteurs: hausse du dollar, impact de la baisse des cours pétroliers sur l’industrie du gaz de schiste… Cette faiblesse sera-t-elle durable? Comme le souligne l’économiste Philippe Waechter (Natixis AM), nul le sait, pas même les membres du comité de politique monétaire de la Fed, qui, selon les dernières minutes publiées, s’interrogent sur la solidité de la reprise américaine.

 

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