Archive mensuelle de mai 2017

Actu, infos, économie, social, politique : articles les plus lus

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Affaire Karachi: Balladur mis en examen

Affaire Karachi:  Balladur mis en examen 

 

 

L’affaire Karachi concerne le financement en 1995 de la campagne présidentielle de l’ancien Premier ministre, qui a été mis en examen pour complicité et recel d’abus de biens sociaux, précise-t-on de source judiciaire. Edouard Balladur, 88 ans, précise dans un communiqué transmis à Reuters par son entourage qu’il a été entendu par la commission d’instruction de la CJR avant sa mise en examen. Il souligne que cette mise en examen lui permettra de « prendre enfin connaissance d’un dossier de plus de 50.000 pages ». Il déplore que celui-ci ait été « patiemment constitué contre lui depuis huit ans sans que, en violation des droits de la défense, il ait jamais pu y avoir accès ». Au terme de leur enquête sur le volet financier de l’affaire Karachi, les juges d’instruction avaient décidé en juin 2014 de renvoyer six protagonistes présumés en correctionnelle. Ce sont Renaud Donnedieu de Vabres, conseiller spécial au cabinet du ministre de la Défense d’Edouard Balladur, François Léotard, entre 1993 et 1995 ; deux proches d’Edouard Balladur, Nicolas Bazire, qui fut son directeur de cabinet, et Thierry Gaubert ; Dominique Castellan, ancien PDG de la Direction des Constructions Navales, l’homme d’affaires franco-libanais Ziad Takieddine et un autre intermédiaire en armement. Les magistrats ont acquis la conviction que la campagne d’Edouard Balladur, devancé par Jacques Chirac, l’autre candidat de la droite en 1995, a été financée par des rétrocommissions illégales sur des contrats de sous-marins vendus au Pakistan et de frégates destinées à l’Arabie Saoudite. Une des hypothèses envisagées est que la fin du versement des commissions, ordonné par Jacques Chirac devenu président de la République, est à l’origine de l’attentat de Karachi qui a coûté la vie à 15 personnes, dont 11 ouvriers français de la Direction des Constructions Navales, en 2002.

Médecins généralistes : 25 % en moins

Médecins généralistes : 25 % en moins

Leur nombre a diminué de 8,4 % entre 2007 et 2016, selon les chiffres publiés jeudi 2 juin par le Conseil national de l’ordre des médecins (CNOM) dans son atlas de la démographie médicale. Liée au non-remplacement d’une partie des départs à la retraite, cette chute « inexorable » et « préoccupante » devrait même se poursuivre jusqu’en 2025 et se traduire par « la perte d’un médecin généraliste sur quatre sur la période 2007-2025 », estime l’ordre. La pénurie affecte aussi bien des territoires ruraux que des zones urbaines. Entre 2007 et 2016, tous les départements français – sauf la Savoie (+1 %) et la Loire-Atlantique (0 %) – ont enregistré une baisse de leur « densité médicale », c’est-à-dire du nombre de médecins rapporté à la populationParis et le département de la Nièvre ont chacun perdu un quart de leurs généralistes au cours de cette période. « Il n’y a pas un département, pas un canton qui ne rencontre pas de problèmes pour trouver un remplacement de médecin de campagne », a souligné, mardi 31 mai, François Baroin, le maire (Les Républicains) de Troyes et président de l’Association des maires de France (AMF). Il avait d’ailleurs choisi de faire de l’accès aux soins le thème « numéro un » du débat d’ouverture du 99e congrès de l’AMF. Car si un numerus clausus longtemps insuffisant explique en partie le phénomène, le manque de candidats est aussi en partie dû aux aspirations des jeunes générations de médecins à exercer leur métier autrement.  Du côté de l’ordre des médecins, on rappelle que les maisons médicales ne constituent pas la solution miracle. « Une page a été tournée, il n’y aura plus un médecin par commune », prévient Patrick Romestaing, l’un des vice-présidents du CNOM. Soulignant les « limites » et les « effets d’aubaine » que peuvent susciter les aides financières, il appelle à mettre fin aux « mesurettes » au profit d’une « vaste réforme » du système. Et notamment à une meilleure découverte du métier de généraliste par les étudiants en médecine. « On demande aujourd’hui aux étudiants de choisir un métier qu’ils ne connaissent pas », explique Emile Frelat, du SNJMG, qui demande que tous les étudiants de deuxième cycle effectuent un stage de six mois en dehors de l’hôpital.

Économie : du mieux

Économie : du mieux

 

Ce n’est pas encore le Pérou mais il y a du mieux pour la conjoncture économique française ce qui se traduit par une amélioration du moral des ménages qui a progressé au mois de mai après quatre mois de stabilité. Il atteint ainsi son plus haut niveau depuis août 2007. Cet indicateur, calculé sur la base de soldes d’opinion (différences entre proportion de réponses positives et négatives), s’établit à 102 points, soit deux points de plus que sa moyenne de longue période, selon l’organisme public de statistiques. En mai, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle future s’est nettement améliorée (+4 points) pour retrouver sa moyenne de longue période, un seuil auquel il était inférieur depuis septembre 2007, souligne l’Insee. L’Insee a ainsi révisé à la hausse la croissance pour le premier trimestre, relevant son chiffre de 0,1 point à +0,4%, dans sa deuxième estimation du Produit intérieur brut (PIB).Cette révision est due notamment à un investissement plus dynamique que constaté lors de la première estimation: il a progressé dans l’ensemble de 1,2%, alors que jusqu’alors sa hausse était estimée à +0,9%. En raison notamment de cette révision, l’acquis de croissance – c’est-à-dire le niveau que le PIB atteindrait si l’activité ne progressait pas sur les trois prochains trimestres – est revu à la hausse, à 0,9% contre 0,7% auparavant. Les dépenses de consommation des ménages français ont par ailleurs rebondi en avril, enregistrant une hausse de 0,5% après deux mois de recul. Cette dynamique s’explique par une hausse des dépenses en énergie, mais aussi par une nette accélération de la consommation de produits alimentaires, précise l’organisme public.

De plus en plus de pauvres (Observatoire des inégalités)

De plus en plus de pauvres (Observatoire des inégalités)

D’après l’Observatoire des inégalités, un organisme totalement privé ne bénéficiant d’aucune subvention publique les écarts se creusent même si la en France permet de limiter les effets négatif. Quelques chiffres: les 10% les plus fortunés détiennent 47% du patrimoine; un actif sur quatre est en situation de mal-emploi; 60% des élèves enfants d’ouvriers non-qualifiés sortent du système scolaire sans diplôme, contre 9% des enfants d’enseignants. Le rapport relativise toutefois ces inégalités : « Notre pays demeure l’un des pays où il fait le meilleur vivre sur la planète. Les autres pays sont loin de faire mieux que la France, y compris dans le domaine de l’emploi. Le chômage mine notre société mais les meilleurs « performances » de nos voisins ont le plus souvent été obtenues au prix d’une montée de la pauvreté laborieuse ou en sortant une partie des actifs du marché du travail. » En revanche, fait majeur, les auteurs soulignent une sorte de retournement historique qui s’est amorcé avec la crise de 2008: l’appauvrissement des plus pauvres: « La lente diminution du niveau de vie des 10% les moins favorisés constitue un retournement historique, un marqueur de notre histoire sociale. Que les riches s’enrichissent, c’est monnaie courante; que les pauvres s’appauvrissent, cela change la donne. Ce choc nourrit une haine envers ceux qui continuent à profiter. » Depuis 2003, le niveau de vie moyen des 10% les plus pauvres diminue, alors que, jusque dans les 2000, la tendance était plutôt à l’augmentation. Au total, le niveau de vie moyen mensuel a diminué d’une trentaine d’euros entre 2003 et 2014, compte tenu de la hausse des prix. A l’inverse, sur la même période, l’évolution du niveau de vie moyen mensuel des 10% les plus aisés a atteint 272 euros. Résultat, l’écart entre le niveau de vie mensuel moyen (après impôts et éventuelles prestations sociales) entre les 10% les plus riches et les 10% les plus pauvres s’est fortement accru, passant de 3.700 euros par mois en 2003 à 4.400 euros en 2011, pour redescendre à 4.000 euros en 2013. Une baisse due pour partie aux hausses d’impôts qui ont touché les plus aisés. Avec « l’appauvrissement des pauvres », le taux de pauvreté augmente. Ainsi, la France compte maintenant cinq millions de pauvres si l’on fixe le seuil de pauvreté à 50% du niveau de vie médian et 8,8 millions si l’on utilise le seuil à 60%. Dans le premier cas, le taux de pauvreté atteint 8,1% et dans le second 14,1%. En dix ans, le nombre de pauvres a augmenté de 950.000 pour le seuil à 50% et de 1,2 million pour le seuil à 60%. Quel que soit le seuil retenu, le taux de pauvreté s’est élevé de 1,2 point. Encore une fois, l’Observatoire des inégalités insiste sur « ce tournant de notre histoire sociale ». La pauvreté avait de fait fortement régressé des années 1970 au milieu des années 1990. Depuis, c’est l’inverse. On n’assiste pas, certes, à une explosion de la pauvreté mais c’est l’inversion de tendance qui est préoccupante.

*Le rapport a été soutenu par la Macif, le magazine Alternatives Economiques, le cabinet d’études Compas, la Fondation Un monde par tous et la Fondation Abbé Pierre.

 

Ordonnances sociales : pour la fin de l’été

Ordonnances sociales : pour la fin de l’été

 

Contrairement à ce que pense les organisations syndicales de salariés le calendrier concernant la réforme notamment du travail sera bien tenu, les décisions interviendront  pour la fin de l’été Le Premier ministre, Edouard Philippe, a déclaré mardi soir sur France 2 que les ordonnances relatives à la réforme du marché du travail seraient publiées « avant la fin de l’été » au terme « d’une discussion intense et complète » avec les partenaires sociaux. Il a précisé par ailleurs que l’exécutif n’entendait pas abroger le compte pénibilité mais qu’il se donnait jusqu’à la fin de l’année pour simplifier sa mise en oeuvre. « Nous donnerons en début de semaine prochaine un cadre à la discussion, c’est-à-dire le champ qui va être concerné par la négociation, nous présenterons au mois de juillet devant le Parlement qui sortira des urnes une loi d’habilitation (…) et nous publierons avant la fin de l’été des ordonnances qui intégreront le fruit de nos discussions », a dit le Premier ministre, qui reçoit depuis la semaine dernière les partenaires sociaux. « L’été, ça se termine le 21 septembre, (…) et ensuite il y aura une loi de ratification, mais cette loi de ratification, elle peut intervenir bien après, l’important, c’est la publication des ordonnances », a-t-il ajouté. Réaffirmant son « ouverture complète au dialogue » à l’adresse des organisations syndicales, qui s’inquiètent d’un passage en force, il a reconnu qu’il y aurait « des moments où on ne sera pas d’accord ». Face à la menace de grèves, Edouard Philippe a dit penser « que les Français veulent du mouvement et pas du blocage. » « Nous nous laisserons le temps d’une discussion intense et complète », a-t-il assuré. S’agissant du casse-tête du compte pénibilité, le Premier ministre a voulu couper court aux rumeurs sur sa suppression en affirmant qu’il s’agissait d’un droit « reconnu et (…) parfaitement justifié. »

Sondage législatives: majorité absolue pour « en Marche »

Sondage législatives: majorité absolue pour en marche 

Majorité absolue pour en marche à l’Assemblée nationale avec 320 à 350 sièges, devant les Républicains et l’UDI (140 à 155) et les socialistes alliés aux écologistes (40 à 50), selon des projections de Kantar Sofres-Onepoint pour LCI, Le Figaro et RTL. Dans ce sondage publié mardi en vue des élections législatives des 11 et 18 juin, LREM est créditée de 31% des voix au premier tour, LR-UDI de 18%, le Front national de 17%, La France insoumise de 12%. En projections de sièges, La France insoumise et le Parti communiste gagnerait 20 à 30 élus, le FN de 10 à 15 élus. L’enquête a été réalisée en ligne du 24 au 28 mai auprès d’un échantillon de 2.022 inscrites sur les listes électorales représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Législatives 2017 : les invectives et insultes grossières de Mélenchon plombent son mouvement

Législatives 2017 : les invectives et insultes grossières de Mélenchon plombent son mouvement

 

Jean-Luc Mélenchon, par ailleurs très cultivé et sans doute le meilleur de la période, ne peut s’empêcher de retomber dans ses travers et de nourrir sa dialectique d’invectives particulièrement vulgaires. Un populisme- qui ressemble à celui de Marine Le Pen. Des insultes qui plombent  le mouvement des Insoumis selon  l’entourage qui avoue :  »À chaque fois, on risque de prendre du plomb dans l’aile. Il faut qu’il se contrôle« , de nourrir sa dialectique d’invectives particulièrement vulgaires. Un populisme qui ressemble à celui de Marine peine considère un entourage de plus en plus gêné. Par ailleurs l’introspection et l’excuse ne caractérisent  pas Mélenchon qui a plutôt tendance à s’enfoncer quand il tente de s’expliquer. En avançant l’excuse de la fatigue en cette fin de campagne des législatives, pour lesquelles il est en lice à Marseille, l’intéressé a regretté à demi-mot ses propos envers l’ex-premier ministre. « Je n’aurais pas dû tenir compte de ce qu’il disait. À partir du moment où il a dit que je n’avais pas choisi entre Macron et Le Pen, j’ai été tellement indigné par cette façon, mensongère, de présenter ma position. (…) Je me suis senti piqué et ça m’a fait réagir ».  En conférence de presse, mardi 30 mai, l’Insoumis s’est à nouveau expliqué sur cette polémique, tout en montrant qu’il était toujours prêt à répliquer s’il venait à être attaqué. « Si dans un discours, un mot a paru excessif, je suis prêt à en utiliser un autre. (…) Je n’accuse pas M. Cazeneuve d’être venu lui-même assassiner quelqu’un. De grâce, vous ne savez pas ce qu’est un meeting, un discours qui dure trois quart d’heure, une réplique ? Je plaide donc ma bonne foi. Si M. Cazeneuve estime qu’il est juste de me faire un procès en diffamation, je l’invite à le faire. Et enfin, il y aura un procès sur les conditions dans lesquelles Rémi Fraisse est mort ».

Sondage : 73% pour la démission de Ferrand

Sondage : 73% pour la démission de Ferrand

Le cas Ferrand représente une  sérieuse épine dans le pied pour Macron. Pour deux raisons, la première est évidemment liée à la nature de l’affaire qui démontre que certains anciens socialistes n’ont pu s’empêcher de mettre les doigts dans le pot de confiture. Un phénomène classique de dérive  après 20 ou 30 ans d’exercice du pouvoir. La seconde raison, c’est que cette histoire affecte la promesse d’espérance d’une plus grande transparence de la vie politique faite par Macron lui-même. La vérité c’est que Macron et son premier ministre sont un peu coincés par le fait que Richard Ferrand a été le premier parlementaire socialiste à rejoindre le mouvement en marche et de ce point de vue qu’il a apportait  une contribution médiatique importante à la réussite de ce mouvement. L’immobilisme de Macron et de son premier ministre remet cependant en cause le caractère jupitérien que voulait donner le nouveau président de la république à son mandat. Certes il semble bien que juridiquement rien ne puisse être reproché à Ferrand en particulier concernant le local loué par sa compagne à la mutuelle dont il était le directeur. Pour autant moralement le procédé est très discutable car cette compagne s’est enrichie à bon compte. De toute évidence macro ne pourra pas garder longtemps Ferrand dans son gouvernement. Au plus tard il devra sans séparer sitôt après les législatives. Ce que pensent d’ailleurs les Français dans un sondage. Selon un sondage Harris Interactive pour RMC et Atlantico publié mercredi 30 mai.  D’après cette enquête, 73% des personnes interrogées jugent que les faits reprochés à Richard Ferrand sont graves, 27% étant d’un avis contraire. Pour 70%, le ministre de la Cohésion des territoires doit démissionner, contre 30% qui estiment qu’il peut rester en place. Le député du Finistère est dans la tempête depuis une semaine et les premières révélations du Canard enchaîné concernant une location immobilière des Mutuelles de Bretagne impliquant sa compagne. Le Premier ministre Edouard Philippe lui a une nouvelle fois apporté son soutien mardi soir sur France 2« malgré l’exaspération des Français » devant ce type de pratiques. Il a répété que tout ministre mis en examen devrait quitter le gouvernement. Enfin, 67% des sondés pensent que Philippe «souhaite vraiment moraliser la vie politique », contre 33% d’un avis contraire. Mais seuls 43% estiment qu’il y parviendra (57% pensant qu’il échouera).

Emploi : l’intérim toujours en hausse

Emploi : l’intérim toujours en hausse

 

Le rythme de croissance de l’emploi intérimaire, considéré comme un indicateur avancé de la situation générale de l’emploi, s’est stabilisé en avril, selon le barème Prism’emploi publié mardi. Le mois dernier, l’emploi intérimaire a enregistré une progression de 8,2% par rapport à avril 2015, comme le mois précédent.   »Sur les quatre premiers mois de l’année 2017, le travail temporaire progresse ainsi de 8,3% et continue de contribuer au dynamisme du marché de l’emploi », souligne Prism’emploi, qui regroupe plus de 600 entreprises de recrutement et d’intérim. Tous les grands secteurs ont contribué à alimenter la progression de l’intérim en avril.  Le mois dernier, la croissance de l’emploi intérimaire a ralenti dans le BTP (+7,6% contre +11,9% en mars) et dans les services (+6,3% après +7,7%). La progression des effectifs intérimaire s’est en revanche accentuée dans l’industrie (+7,1% après +6,7% en mars), dans le commerce (+7,3% après +5,0%) et dans les transports (+17% contre 14,7%). Avec une progression globale de 10%, « le secteur tertiaire se situe au-dessus de la tendance des autres grands secteurs », observe Prism’emploi.

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Réforme droit du travail : les Français pour…et contre

Réforme droit du travail : les Français pour…et contre

 

Sur les réformes sociales, les Français sont comme souvent relativement partagés. D’où sans doute la nécessité pour le gouvernement d’agir vite pour éviter l’enlisement gauchiste. En effet, 50% des Français font confiance à l’exécutif pour proposer une réforme qui « profite autant aux salariés qu’aux employeurs », alors que 49% n’ont pas confiance.  Selon un sondage Elabe* réalisé pour Les Echos, Radio Classique et l’Institut Montaigne, une forte minorité de 44% des Français sont favorables à une réforme « en profondeur » du code du travail, alors que 50% veulent « l’aménager sur quelques aspects seulement ». En revanche, Ils ne sont que 6% à désirer le statu quo.  Mais quand on rentre dans le détail des mesures, on s’aperçoit donc que 56% rejettent un plafonnement des indemnités prud’homales en cas de licenciement abusif. Actuellement, il existe déjà un barème d’indemnisation en fonction de l’ancienneté du salarié licencié abusivement mais il n’est qu’indicatif. Les conseillers prud’homaux ne sont donc pas obligés de s’y référer. D’autres mesures que le gouvernement veut mettre aussi sur la table semblent rencontrer l’assentiment d’une majorité de Français. Ainsi, Ils sont 72% à être favorable   à une fusion des instances représentatives du personnel ou à l’organisation par l’employeur de référendum en cas d’accord minoritaire (71%). Les Français sont en revanche moins nombreux (57%) à approuver qu’un accord d’entreprise déroge à un accord de branche pour fixer le seuil de déclenchement des heures supplémentaires.

*Ce sondage a été réalisé auprès d’un échantillon représentatif de la population française de 1.051 personnes (méthode des quotas), interrogées par internet les 23 et 24 mai.

 

 

Économie mondiale est « stagnation séculaire conjoncturelle « 

Économie mondiale est « stagnation séculaire conjoncturelle « 

 

R J Shiller, prix Nobel d’économie explique que la crise actuelle caractérisée par uen faible croissance serait séculaire et non conjoncturelle (La Tribune).

 

 

Depuis la « Grande Récession » de 2007-2009, les principales banques centrales de la planète maintiennent des taux d’intérêt proches de zéro. Aux États-Unis, bien que la Réserve fédérale ait récemment procédé à des hausses, les taux à court terme restent inférieurs à 1%, les taux d’intérêt sur les principales obligations d’État présentant un faible niveau comparable. Par ailleurs, les grandes banques centrales soutiennent les marchés dans une mesure sans précédent, en achetant et en détenant une importante quantité de dettes. Pourquoi un tel respirateur artificiel est-il nécessaire à l’économie, et pourquoi est-il maintenu depuis tant d’années ?

Tendance régulière à la baisse des taux d’intérêt

Il serait réducteur d’affirmer que la Grande Récession explique tout simplement cette situation. Les taux d’intérêt à long terme (ajustés à l’inflation) n’ont pas atteint des niveaux véritablement bas au cours de la période 2007-2009. Si l’on observe le rendement à dix ans des obligations du Trésor américain sur les 35 dernières années, on constate une tendance régulière à la baisse, sans phénomène particulièrement inhabituel pendant la Grande Récession. Ce rendement s’élevait à 3,5 % en 2009, à la fin de la récession. Il atteint actuellement un peu plus de 2 %.

Dans l’ensemble, ceci se vérifie également pour les taux d’intérêt réels. Au cours de la Grande Récession, le rendement à dix ans des titres du Trésor protégés contre l’inflation (les TIPS) a ponctuellement atteint presque 3 %, et s’élevait à près de 2 % en fin de récession. Depuis, le rendement à dix ans des TIPS a pour l’essentiel diminué et conservé un faible niveau, atteignant 0,5 % en mai 2017.

Tendance persistante au pessimisme

Le fait que beaucoup choisissent de bloquer de l’argent pour dix ans à des taux aussi faibles témoigne d’une persistante tendance au pessimisme, illustrée par la popularité récente du terme « stagnation séculaire », utilisé pour décrire une économie perpétuellement fragile. L’ancien secrétaire du Trésor américain Lawrence Summers a initialement utilisé cette expression dans un discours de novembre 2013 devant le Fonds monétaire international. Le chroniqueur du New York Times Paul Krugman l’a par la suite reprise. Depuis, elle est devenue virale.

La stagnation séculaire, on en parlait déjà en 1938

Bien que le terme de stagnation séculaire soit devenu à la mode cinq ans après la crise financière de 2008, il existe depuis bien longtemps. L’expression est apparue pour la première fois dans l’allocution présidentielle de l’économiste Alvin Hansen, de l’Université d’Harvard, devant l’American Economic Association en décembre 1938, puis dans son ouvrage publié la même année. Hansen y décrit l’« essence de la stagnation séculaire » comme autant de « reprises anémiques mort-nées et de récessions qui s’autoalimentent, accompagnées d’un chômage très élevé et manifestement persistant ». Lorsque Hansen prononce son discours, il s’attend à ce que la stagnation de l’économie américaine persiste indéfiniment. La dépression née du krach boursier de 1929 en arrive alors à sa dixième année, et la Seconde Guerre mondiale est encore à venir. C’est seulement au début de la guerre, en 1939, que cette stagnation prend fin. Hansen et sa théorie d’une stagnation séculaire caractéristique de l’époque de la Grande Dépression se fondent sur l’observation du taux de natalité américain, qui est inhabituellement faible dans les années 1930, après avoir déjà décliné considérablement à la fin des années 1920. Hansen présume alors que la diminution du nombre de naissance perpétue la stagnation, dans la mesure où les individus ont moins besoin de dépenser pour leurs enfants, et ressentent moins la nécessité d’investir dans l’avenir. De fait, d’après les statistiques de la Banque mondiale, le taux de natalité moyen à l’échelle mondial a bel et bien diminué depuis la crise financière de 2008. Mais la natalité ne peut expliquer cette crise en particulier, dans la mesure où le nombre de naissances diminuent régulièrement depuis près d’un siècle.

La crise de 2008 persisterait dans l’esprit de chacun

Une autre explication consiste à affirmer que la crise de 2008 persiste dans l’esprit de chacun, sous la forme d’une peur de voir se produire de manière imminente des événements dits « black swans », rares mais catastrophiques, malgré des indices de confiance des consommateurs relativement solides, et d’une volatilité des marchés financiers comparativement faible (à quelques exceptions près). De récents travaux publiés par Julian Kozlowski, Laura Veldkamp et Venky Venkateswaran de la New York University expliquent qu’il est rationnel de ressentir une telle crainte, puisque lorsqu’un événement auparavant impensable se produit, il est normal que chacun le garde en mémoire. J’ai personnellement pour théorie que la stagnation actuelle s’explique par une inquiétude grandissante des individus face à l’avancée rapide de technologies, susceptibles de remplacer beaucoup voire la plupart de nos métiers, et d’alimenter des inégalités économiques considérables. Si les individus hésitent à dépenser, c’est sans doute parce qu’ils craignent pour leur employabilité à long terme – une crainte qui n’est probablement pas présente dans leur esprit lorsqu’ils répondent aux sondages sur la confiance des consommateurs. Si tel est le cas, alors une relance sous forme de faibles taux d’intérêt est nécessaire pour les encourager à dépenser. Un torrent de bonnes nouvelles à l’issue d’une crise peut susciter une forme d’optimisme neutre, qui n’élimine pas réellement la crainte d’une nouvelle crise à venir. Les dirigeants et les médias alimentent ensuite cet optimisme en usant de réjouissants discours que le grand public n’est en capacité ni de démêler, ni de confirmer.

Un mauvais pressentiment

Depuis 2012 environ, le marché des actions et celui de l’immobilier ne cessent d’atteindre des records. Ce genre de phénomène s’est néanmoins également produit régulièrement au cours de la Grande Dépression : les médias d’actualité faisaient constamment état de nouveaux records sur le plan de tel ou tel indicateur économique. Une recherche « actualités et journaux » dans la base de données Proquest pour la période 1930-1939 fait apparaître pas moins de 10.315 articles dans lesquels figurent les termes « niveau record ». La plupart de ces articles traitent de variables économiques. En 1933, au plus fort de la dépression, des niveaux record sont atteints dans les domaines de la production pétrolière, dans les secteurs du blé et de l’or, en termes de prix des sièges en Bourse de marchandises, concernant la consommation de produits du tabac, le nombre de dépôts postaux, le chiffre d’affaires ou le bénéfice des entreprises individuelles, et la liste est encore longue. Cet optimisme dans les chiffres annoncés peut créer dans l’opinion une forme d’espoir d’amélioration globale, sans pour autant apaiser la crainte d’un possible événement catastrophique sur le plan économique. Sauf mesures de relance exceptionnellement fortes, ce mauvais pressentiment des individus peut les conduire à limiter leurs dépenses. La psychologie narrative nous enseigne qu’il n’existe pas ici de contradiction : l’être humain peut tenir simultanément des discours parallèles et contraires. Lorsque les individus s’imaginent des scénarios catastrophe, les dirigeants politiques doivent y répondre en conséquence.

Traduit de l’anglais par Martin Morel

Robert J. Shiller, prix Nobel d’économie en 2013, est professeur d’économie à l’Université de Yale. Il a co-écrit avec George Akerlof l’ouvrage intitulé Phishing for Phools: The Economics of Manipulation and Deception.

Brexit: Teresa May pourrait refuser tout accord

Brexit: Teresa May pourrait refuser tout accord

 

D’une certaine manière, Teresa May rejoint le camp des durs chez les conservateurs et déclare qu’elle pourrait tout simplement refuser tout accord avec l’union européenne si ce dernier lui paraît trop défavorable aux intérêts britanniques. Le différend porte surtout sur le calendrier. L’union économique veut d’abord négocier la rupture et ses conséquences financières. Bref l’Europe veut faire payer une facture de plusieurs dizaines de milliards au Royaume uni avant d’engager les conditions de la future négociation concernant les échanges commerciaux. Inversement La Première ministre britannique fait un préalable de cette négociation commerciale. C’est seulement si les conditions de cette négociation commerciale lui paraient satisfaisantes qu’elle acceptera ensuite de payer une facture.  pour l’instant, le bras-de-fer est entamée. En cause surtout les sélections tant au Royaume-Uni qu’en Allemagne qui ont tendance à favoriser les positions les plus radicales dans les deux camps. Notons que la position allemande est largement appuyée par la France ; Du coup,  La Première ministre britannique Theresa May a répété lundi qu’elle était prête à quitter la table des négociations sur le Brexit sans avoir obtenu d’accord avec l’Union européenne si les conditions d’un accord ne sont pas satisfaisantes pour la Grande-Bretagne. « Nous serons là pour négocier l’accord qui convient mais comme je l’ai dit aucun accord vaut mieux qu’un mauvais accord. Nous devons être prêts à nous désengager », a-t-elle déclaré lundi sur la chaîne de télévision Sky News.

 

 

Macron et Poutine d’accord pour un sommet sur l’Ukraine

Macron et Poutine d’accord pour un sommet sur l’Ukraine

Lors de la rencontre entre Macron  et Poutine on a surtout procédé à un échange de divergences sur différents sujets mais sans décision commune. La seule orientation concrète est le souhait des deux chefs d’État d’organiser rapidement un sommet intégrant l’Allemagne à propos de l’Ukraine. Il s’agit de la mise en œuvre des accords de Minsk de 2015, en vue d’une « désescalade » en Ukraine, a annoncé le président français. Les deux dirigeants, qui ont eu des entretiens lundi à Versailles, sont également tombés d’accord sur la création d’ »un forum franco-russe des sociétés civiles » afin d’approfondir le dialogue entre les deux pays et « surmonter les éventuelles incompréhensions. » « Notre souhait, je crois pouvoir le dire sous le contrôle du président Poutine, c’est que dans les meilleurs délais puisse se tenir à nouveau un échange sous le format dit ‘Normandie’, avec l’Allemagne et l’Ukraine, (…) et en particulier que nous puissions (…) avoir accès à un rapport détaillé de l’OSCE », a dit Emmanuel Macron lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue russe. « J’ai rappelé la volonté que nous puissions aboutir dans le cadre des engagements de Minsk à une désescalade de ce conflit », a-t-il ajouté. Sur la Syrie, le président français a souligné que les deux pays allaient travailler ensemble à la recherche d’une solution politique, ajoutant que la « ligne rouge », pour Paris, était l’utilisation d’armes chimiques « par qui que ce soit. »   »Toute utilisation d’armes chimiques fera l’objet de représailles et d’une riposte immédiate, en tout cas de la part des Français. En la matière, je souhaite que nous puissions échanger des informations utiles et travailler ensemble pour partager la lecture de la situation sur le terrain », a-t-il dit. La France, a-t-il rappelé sans plus de précisions, souhaite « trouver dans la durée une solution politique inclusive qui permettra au delà de l’éradication des terroristes, de ramener la paix en Syrie ».

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