Archive mensuelle de août 2014

Infos actualités, économie, politique , société: articles les plus lus

 

 

Coalition internationale contre l’Etat islamique

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La Rochelle : ça va chauffer pour Valls

La Rochelle : ça va chauffer pour Valls

 

En fait cela s’est très mal passé en réunion interne avec les responsables du PS, à tel point que Cambadélis a demandé qu’on ne siffle pas Valls lors de la réunion publique de dimanche «  contentez-vous de ne pas applaudir ». Un autre mauvais coup,  la présence très applaudie de Taubira chez les frondeurs, comme la présence auusi très applaudie des écolos ou des communistes. Dernier coup dur la montée en ligne d’Aubry contre l’annulation de l’encadrement des loyers. Là Valls a lâché immédiatement pour ne pas se faire une ennemi de plus et de poids ! Au-delà de ces péripéties on se demande effectivement ce que fait Valls au gouvernement. Sur le fond, il n’a apporté aucune touche personnelle (autre que ses  coups de menton)  se contentant de suivre le flou de Hollande.  Contrairement à ce qui est  affirmé ici ou là Valls comme Hollande n’a pas réellement de politique, on ne les jamais entendu ni l’un, ni l’autre faire une analyse approfondie de la crise. Ils naviguent  au gré des courants, on suit Bruxelles même en renâclant. Dans l’opposition, ils promettent tout et n’importe quoi, ensuite au pouvoir on patauge (« on gère » disent-ils !). Le vrai problème c’est qu’il n’y a pas véritablement d’analyse approfondie de la crise, pas de corpus idéologique et de projet autre que celui de la prise du pouvoir. C’était déjà vrai du temps de Mitterrand, c’est vrai pour Hollande un arriviste pur sucre de l’ENA, c’est vrai de Valls, l’apparatchik  qui a « fait carrière «  (en commençant comma assistant parlementaire), mais c’est auusi vrai de Montebourg (qui veut faire comme Mitterrand). Certains de temps en temps ont des éclairs de lucidité mais la plupart le plus souvent se calent sur la pensée uniques des élites coupées des réalités (administration, les cabinets, les experts qui vivent au crochet de l’Etat, les grands médias, les multinationales). Au-delà des querelles de personnes, la crise du PS est existentielle et l’absence d’ossature idéologique   permet à un Valls daller parader et se faire applaudir au Medef en pleine crise, alors qu’il y a 5 millions de chômeurs (en fait 7 à 8 millions), pas de croissance et des déficits abyssaux. Bref c’est la contradiction, l’incompréhension, la confusion. La Rochelle pourrait bien marquer le début de l’explosion d’un Ps politiquement incompatible avec Hollande et Valls. Il n’y a rien de choquant à se faire applaudir au MEDEF mais pas quand on se faiat siffler par l’opinion et par la gauche et par le PS, c’est une erreur de calendrier grave pour Valls.

Fin de la rétroactivité fiscale

Fin de la rétroactivité fiscale

 

Après »  j’aime l’entreprise » de Valls des preuves de cette affection nouvelle avec la décsion de supprimer la stressante rétroactivité fiscale qi dépendait en fait surtout de l’humeur des contrôleurs des impôts et pouvait mettre  en péril l’existence d’un entreprise qui par définition ne peut provisionner des impôts non prévus. . Le ministre des Finances Michel Sapin a promis jeudi devant les chefs d’entreprises du Medef de supprimer la rétroactivité qui prévaut encore en matière fiscale, dans une circulaire « qui comportera des engagements profonds des uns et des autres ». Annonçant en introduction de son discours qu’après « la déclaration d’amour » la veille du Premier ministre Manuel Valls, il lui appartenait de « donner quelques preuves d’amour ». »En matière fiscale, nous mettrons en œuvre le principe de non-rétroactivité fiscale » qui « comportera des engagements profonds des uns et des autres », a déclaré le ministre, invité pour la fermeture des Universités d’été de la puissante organisation patronale, sur le campus d’HEC à Jouy-en-Josas (Yvelines). Il a assuré que désormais « il ne doit plus y avoir de suppléments d’impôts applicables à des exercices déjà clos, pas de majorations après la fin de l’année d’imposition mais de la visibilité et la garantie que les règles du jeu sont connues suffisamment à l’avance ».  « Enfin! », a-t-on entendu dans l’assistance.

Sommet européen: Hollande veut de la « flexibilité » (laxisme) pour les déficits

Sommet européen: Hollande veut  « flexibilité » (laxisme) pour les déficits

 

 Bizarre, finalemenet Hollande réclame  la même chose que le trublion et fantaisiste  Montebourg, plus de laxisme (flexibilité en langage énarchique) ; la réponse ne s’est pas fait attendre, on verra cela plus tard a dit Schäuble (le puissant ministre des finances allemand), à la réunion prévu normalement pour le conseil des ministres ! Une réunion se tenait en effet  ce samedi matin à l’Elysée, entre dirigeants socio-démocrates européens: l’Italien Matteo Renzi, l’Autrichien Werner Faymann ou encore la Danoise Helle Thorning Schmidt. Au sortir de cette réunion, le président François Hollande a pris la parole pour expliquer quelle serait leur ligne commune au sommet européen de Bruxelles, qui commence à 16 heures le même jour. « Pour nous, le principal est de réorienter l’Europe et de faire qu’elle puisse répondre davantage aux préoccupations de nos concitoyens en matière d’emploi et de croissance », a déclaré François Hollande. Quitte à lâcher du lest sur les déficits.  »Oui aux réformes pour améliorer notre compétitivité (…) et réduire nos déficit », a dit le chef de l’Etat français. Mais en échange, il réclame de la « flexibilité » afin que « le rythme de réduction des déficits soit compatible avec les objectifs de croissance ».L’hôte de cette rencontre de la social-démocratie et ses « camarades » de centre-gauche réclament en outre la mise en œuvre rapide d’un plan européen d’investissement de 300 milliards d’euros. Ce plan sur lequel s’est engagé le prochain président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, « doit être engagé le plus vite possible, dès la fin de l’année ou le début de l’année prochaine », a déclaré le dirigeant français.  Les socio-démocrates ont néanmoins assez peu d’espoir d’être écoutés, puisqu’ils sont minoritaires face aux conservateurs a la table du conseil européen. En visite à Paris jeudi, le ministre allemand des Finances s’est charge de le rappeler.  Le chef de l’Etat français venait de demander la convocation d’un sommet extraordinaire de la zone euro, afin de définir une initiative de croissance. Wolfgang Schaüble a aussitôt renvoyé vers la simple instance traditionnelle du conseil des ministres, qui se réunit dans une quinzaine de jours.  Par ailleurs, le ministre conservateur a insisté, une fois encore, sur l’obligation de réduire « au plus vite » le déficit structurel. Ceci posé, l’Allemagne soutient la perspective du plan Juncker. Et puis, le vice-chancelier social-démocrate Sigmar Gabriel, qui sera à l’Elysée demain, vient d’installer une commission nationale destinée à doper l’investissement au sein de la 1ere puissance économique d’Europe.  Assureurs, banquiers, fonds de pension, économistes, syndicalistes doivent, d’ici au printemps prochain, trouver les moyens de mobiliser l’épargne privée pour financer des infrastructures publiques.  Une façon de ressusciter un projet qui date de l’époque du social-démocrate Gerhard Schröder. Mais si cette dynamique s’engage enfin, elle peut finir par convenir aussi aux gouvernements français et italiens.

 

Le « chômage est un échec du gouvernement » (Rebsamen, ministre du travail) … ah bon !

Le « chômage est un échec du gouvernement »  (Rebsamen, ministre du travail) … ah bon !

 

Etonnant,  avec Michel Sapin, il y a avait toujours des motifs de se réjouir et surtout d’espérer la fameuse inversion mais du coup avec le nouveau ministre Rebsamen, le constat est sans appel c’est l’échec ce qui ne l’empêche pas d’espérer toujours avec la même rengaine : le pacte de responsabilité ! Le martelage sur le retournement de la courbe du chômage fait bel et bien partie du passé. Ce samedi, François Rebsamen, le ministre du Travail, évoque « un échec » à propos de la lutte contre le chômage depuis le début du quinquennat de François Hollande. Pour autant, le ministre se dit convaincu que la politique choisie est « adaptée à la situation économique » et « portera ses fruits ».  Interrogé sur France Info sur les 500.000 chômeurs supplémentaires depuis l’élection à la présidence en 2012 de François Hollande, François Rebsamen, qui a succédé à Michel Sapin au Travail en avril, a dressé un constat sombre.    »C’est un échec, chaque mois j’en mesure la gravité. Derrière les chiffes ce sont des hommes et femmes qui souffrent, qui ont perdu leur travail souvent dans des zones industrielles anciennes où les entreprises n’avaient pas su évoluer, s’adapter à la production de produits innovants », a poursuivi le ministre du Travail. « Je reste persuadé que la politique que nous menons est adaptée à la situation économique; il faut être pragmatique, elle va porter ses fruits », a-t-il affirmé. « C’est long, c’est trop long….C’est vrai, le président de la République en est persuadé, c’est d’ailleurs pour ça qu’il nous demande de booster à travers le pacte de responsabilité et de solidarité », a-t-il fait valoir.  Les derniers chiffres, publiés mercredi 27 août, ont fait état d’une forte hausse du chômage pour le mois de juillet. Plus de 26.000 chômeurs supplémentaires se sont inscrits à Pôle emploi. Le nombre de chômeurs n’ayant pas du tout travaillé a atteint le niveau record de 3,424 millions de demandeurs d’emploi. C’est le neuvième mois consécutif de hausse du chômage.  François Rebsamen a plusieurs fois revu les objectifs du gouvernement dans sa lutte pour l’emploi à la baisse. En avril, il estimait que repasser sous les 3 millions de chômeurs en 2017, comme promis par François Hollande, était « un objectif ambitieux ». En juin, il avait indiqué n’espérer désormais qu’une « stabilisation » du taux de chômage sous le seuil des 10% de la population active d’ici la fin 2014.

 

Logement : Valls capitule devant Aubry

Logement :  Valls capitule devant Aubry

 

Inutile de tourner autour du pot le PS est au bord de l’éclatement et le gouvernement ne tiendra pas six mois. Le coup de mentions de Vals ne suffit plus à entretenir l’illusion. Hier Aubry a très sévèrement attaqué Valls sur sa politique du logement. Pour éviter de se faire encore un ennemi de plus, surtout à la veille de son discours devant les responsables du PS à La Rochelle où le Premier Ministre risque d’être sifflé), Valls a donc du capituler. Manuel Valls se dit d’accord, dans Le Journal du dimanche, pour que Lille et d’autres villes volontaires puissent, comme Paris, « expérimenter l’encadrement des loyers », en réponse à la demande formulée ce samedi en ce sens par la maire de Lille Martine Aubry. « Si en plus de Paris, d’autres villes comme Lille sont volontaires pour expérimenter l’encadrement des loyers, qu’elles le fassent », déclare le Premier ministre au JDD. La maire PS de Lille Martine Aubry a demandé ce samedi que sa ville, « reconnue comme la troisième ville la plus chère de France », et d’autres villes volontaires bénéficient aussi de l’encadrement des loyers que Manuel Valls avait souhaité limiter pour l’heure à Paris. « Sur le fond, elle a raison », a réagi de son côté le président de l’Assemblée nationale Claude Bartolone(PS) tout en regrettant le moment choisi – en pleine université d’été du PS à La Rochelle, où la tension est déjà forte entre le gouvernement et les frondeurs- par l’ancienne patronne du parti socialiste. Pour l’ancien ministre du Travail UMP Xavier Bertrand, Martine Aubry a fait cette demande « uniquement pour gêner Manuel Valls et François Hollande ».

 

Sondage : la disparition du PS pour 76% des Français

Sondage : la disparition du PS pour 76% des Français

 

 

La gauche peut mourir et surtout le PS, c’est ce que pensent les Français. A juste titre car le PS en faiat n’a jamais eu grand-chose de socialiste plutôt conglomérat d’ancien marxistes reconvertis au libéralisme (comme le premier secrétaire actuel, Jospin et d’autres), de fonctionnaires à la recherche d’une job plus rémunérateur, d’étatistes, de libéraux et surtout d’arrivistes. Le PS est sans doute le sel parti socialiste qui ne compte pas ouvriers, de paysan, de chef d’entreprise, de syndicaliste, d’employé du privé dans les rangs de sa direction. D’ailleurs au gouvernement on compte 13 ministre énarques, pas tout à faiat sociologiquement ce qu’on peut attendre d’un parti socialiste. il n’y a pas de ligne au PS. Dans l’opposition on promet tout et n’importe quoi et au pouvoir on gère-plutôt encore plus mal-que les autres. Et cela dure depuis Mitterrand ! Du coup  A la question posée par l’IFOP sur le risque d’éclatement du Parti socialiste d’ici 2017, ils répondent oui à 76%. Plus incroyable encore 64% des sympathisants socialistes jugent cette éventualité probable. Le pronostic d’une mort du PS tel qu’il existe depuis sa renaissance à Epinay sous la houlette de François Mitterrand est écrasant. Voilà qui devrait faire réfléchir les camarades socialistes réunis jusqu’à dimanche à La Rochelle où ils entendront le discours de Manuel Valls dans un climat de grande confusion. « Le PS d’Epinay est en voie d’implosion. Jamais le risque d’éclatement n’a été aussi grand dans un parti qui a connu de nombreuses secousses depuis les tensions Mitterrand/Rocard, le choc de 2002 après l’élimination de Lionel Jospin au premier tour de la présidentielle et la fraude au congrès de Reims », rappelle Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. Par ailleurs, toujours interrogés par l’Ifop pour le JDD, les Français sont sans surprise très sévères avec leurs partis politiques. Seuls 37% les jugent « utiles », 24% estiment qu’ils peuvent réformer, mais ils sont seulement 17% à penser qu’ils sont adaptés à la situation actuelle du pays et 14% à l’écoute des attentes des Français. L’impuissance et la déconnexion restent donc bien les deux mots qui caractérisent les partis politiques de l’Hexagone. Interrogés sur la cote des partis (PS, UMP et FN), les réponses des Français sont globalement peu variables. Certes, l’UMP s’en tire le mieux (31% de bonnes opinion mais 67% de mauvaises opinions). Mais sa mauvaise cote n’est pas si éloignée de celle du FN (25) et du PS (24). Les partis n’ont plus la cote. On remarquera quand même que le FN de Marine Le Pen, qui sort d’une victoire aux européennes, devance le PS qui est au pouvoir.

 

Aubry contre Valls sur l’encadrement des loyers

Aubry contre Valls  sur  l’encadrement des loyers

Martien Aubry a saisi la première opportunité pour contre Valls : sur l’encadrement des loyers ; promis par Hollande (engagement 22 a rappelé  Aubry) et annulé par Valls dans la loi Duflot. Encore un clou dans la chaussure de Valls, cette fois par un poids lourd du PS vis-à-vis duquel l’autoritarisme n’aura aucun effet, bien au contraire ! La maire de Lille demande que cette mesure emblématique de la loi Alur (pour l’Accès au logement et un urbanisme rénové), portée par Cécile Duflot à l’époque ministre du Logement, soit appliquée dans sa ville. « Lille a besoin d’une régulation de ses loyers. La loi Alur le permet », plaide la socialiste dans un communiqué. « Paris n’est pas la seule ville de France à avoir besoin d’une régulation de ses loyers », insiste-t-elle encore. Elle demande que Lille « malheureusement reconnue comme la troisième ville la plus chère de France » puisse également encadrer ses loyers. « Il  est bien sûr exact, pour reprendre les termes utilisés par le Premier Ministre, que ‘les conditions techniques ne sont pas partout réunies’ pour fixer dès maintenant dans les agglomérations les plus tendues de notre pays des loyers locaux de référence. Comment pourrait-il en être autrement quelques mois à peine après l’adoption de la loi Alur? », interroge-t-elle.  Martine Aubry précise encore que dans sa ville, un travail en anticipation des obligations légales est mené depuis plus d’un an. « Plus que jamais nous sommes déterminés à faire aboutir ce travail, car notre ville a cruellement besoin d’un dispositif national lui permettant de réguler localement ses loyers et de les rapprocher des capacités financières réelles de ses habitants, tout en préservant la rentabilité des investisseurs », défend-t-elle. Et la maire de Lille de demander que, comme Paris, « Lille et d’autres villes volontaires » puissent bénéficier de l’encadrement des loyers « dans le respect de l’engagement 22 de François Hollande ».  Claude Bartolone est favorable à la demande de Martine Aubry : « Ça ne me dérange pas qu’on prenne en compte ce qu’elle a dit. On peut laisser le pouvoir aux collectivités locales pour voir si elle l’applique ou pas. » Et le président de l’Assemblée nationale d’ajouter : « Dans une France décentralisée, c’est une manière moderne de gouverner. »

 

Ukraine: Poutine, la politique du pire ?

Ukraine:  Poutine, la politique du pire ?

 

Poutine joue une carte très dangereuse en menaçant d’abord l’Ukraine, au-delà l’économie européenne voire mondiale et en affaiblissant économiquement son propre pays. Il faut bien comprendre que l’inconnu du KGB n’a guère de culture et de finesse encore moins de scrupules ; Pour lui c’est la revanche après la désintégration du bloc des pays de l’est et de l’empire soviétique. Poutine est dangereux car personnellement li n’a jamais connu la défaite, ni sur le plan infranational, ni sur le plan intérieur. C’et homme des coups de main, des complots, de l’intox. Potine est devenu une sorte de dictateur populaire en écrasant toute opposition tout courant de pensée divergent. Il n’a pas oublié de devenir l’un des hommes les plus riches du mondes en pillant son pays (comme se copains de l’oligarchie, le anciens communistes notamment du KGB°). Cet homme est dangereux, brutal, sournois peu cultivé. Il porte sur son visage son manque absolu d’humanité.  Il pourrait risquer la politique du pire L’Europe doit évidemment régir mais en tenant compte du caractère tordu de Poutine qui n’est damier en France que par des gens auusi fous que lui ( Depardieu, De Villiers , Le Pen ! ). Pour preuve du danger russe en Ukraine, des blindés russes ont détruit une petite ville dans l’est de l’Ukraine où les séparatistes ont repris du terrain aux forces gouvernementales, indiquent les autorités ukrainiennes qui attendent que les dirigeants européens réunis samedi après-midi à Bruxelles accentuent les sanctions contre Moscou. S’exprimant avant l’ouverture du sommet des Vingt-Huit, le président Petro Porochenko a estimé qu’un espoir de paix demeurait malgré la présence de milliers de soldats et de centaines de blindés russes sur le territoire ukrainien. La Russie continue de démentir l’envoi de forces militaires dans l’est de l’Ukraine ou un quelconque soutien aux séparatistes en rébellion contre le pouvoir de Kiev depuis cinq mois. Andriy Lissenko, porte-parole de l’armée ukrainienne, a affirmé devant la presse que des chars russes ont pénétré dans la petite ville frontalière de Novosvitlivka et qu’ils faisaient feu sur toutes les habitations. « Quasiment toutes les maisons ont été détruites, selon les informations que nous avons », a-t-il ajouté sans préciser quand l’attaque s’était déroulée. « L’agression militaire menée par la Fédération de Russie dans l’est de l’Ukraine se poursuit. Les Russes continuent d’envoyer des équipements militaires et des ‘mercenaires’ », indique le Conseil ukrainien de défense et de sécurité dans un message sur Twitter. Les rebelles ont réussi à desserrer l’étau des forces gouvernementales puis à reprendre du terrain à l’est de la ville de Louhansk, l’un des principaux bastions séparatistes, a reconnu Andriy Lissenko.

 

Croissance: encore deux sommets européens pour rien

Croissance : encore deux sommets européens pour rien

 

A défaut d’obtenir un changement de cap de l’Europe, Hollande multiplie les réunions entre les membres de l’U.E. Depuis 2012, c’est bien une dizaine de réunions qui se sont penchées sur la question : sans résultat aucun. Ce sera sans doute le cas avec ces deux nouveaux sommets demandés par La France et l’Italie, deux pays en très mauvais posture. Comme d’habitude Merkel et les pays du nord vont refuser de s’engager dans la voie de la relance notamment budgétaire, comme habitude on va accoucher d’une souris, comme d’habitude Hollande fera semblant d’être content et dans six mois redemandera un nouveau sommet.   »Les statistiques des dernières semaines ont confirmé que la reprise, particulièrement dans la zone euro, est faible, l’inflation basse et le chômage inacceptablement haut », peut-on lire dans le projet de conclusions du Conseil européen à Bruxelles. Selon ce texte, les Vingt-Huit ont réservé un accueil favorable à la proposition du président du Conseil italien de tenir un sommet dans son pays début octobre. L’Italie, qui occupe la présidence tournante de l’UE ce semestre, est de nouveau entrée en récession au deuxième trimestre, en raison notamment de la baisse de l’investissement, et cherche comme la France des moyens pour stimuler l’activité.  Cette première réunion sera suivie par un sommet restreint aux pays membres de la zone euro, conformément aux vœux exprimés par le président français jeudi, devant la conférence des ambassadeurs.  Cette réunion des 18 pays partageant la monnaie unique doit permettre d’obtenir un assouplissement dans la mise en œuvre de leurs obligations budgétaires et faire face, ainsi, à la déflation et à l’absence de croissance qui menacent l’Europe. De manière plus générale, François Hollande cherche à obtenir un engagement de ses partenaires, particulièrement l’Allemagne, en faveur d’une politique budgétaire plus agressive afin de relancer la demande. Confronté au manque de résultats de sa politique économique, François Hollande a fait le choix d’accélérer le rythme des réformes structurelles tout en demandant des marges de manœuvre à ses partenaires européens et à la Banque centrale européenne. « (Les) réformes doivent conduire à la croissance mais elles ne peuvent pas réussir s’il n’y a pas de croissance », a dit devant la presse le chef de l’Etat, hôte d’une douzaine de dirigeants de la gauche européenne, invités à l’Elysée dans la matinée pour préparer le sommet européen.  

 

L’inflation au plus bas en zone euro mais la BCE attend toujours !

L’inflation au plus bas en zone euro mais  la BCE attend toujours !

 

La zone euro se rapproche de plus en plus de la déflation puisque les prix en août sont sur une tendance de 0.3% par an. En clair, inflation zéro très prochaine, comme la croissance. Pourtant la BCE ne bougera pas beaucoup parce que tout simplement les allemands ne veulent pas. La ligne sera donc maintenu : » on est prêt à agir » autant dire on attend ! L’inflation en zone euro a reculé comme attendu à un plus bas de cinq ans en août, mais ce nouveau ralentissement ne devrait pas inciter la Banque centrale européenne (BCE) à prendre de nouvelles mesures de relance dès la semaine prochaine. Les prix à la consommation dans les 18 pays utilisant la monnaie unique ont augmenté de 0,3% en août en rythme annuel, au plus bas depuis octobre 2009, selon la première estimation publiée vendredi par Eurostat. L’inflation, qui avait ralenti de manière inattendue à +0,4% en juillet, se maintient ainsi en territoire qualifié par le président de la BCE Mario Draghi de « zone de danger », sous les 1%. L’affaissement de l’inflation complique la tâche de la BCE, alors que la reprise est au point mort dans la zone euro et que les économies du bloc sont confrontées aux répercussions des sanctions économiques adoptées contre la Russie pour son rôle dans la crise en Ukraine. Des sources internes à la BCE ont indiqué jeudi à Reuters qu’une nouvelle initiative de politique monétaire était peu probable lors de la réunion du 4 septembre.  Le recul enregistré au mois d’août a été porté par la baisse de 2,0% des prix très volatils de l’énergie, tandis que les prix de l’alimentation, de l’alcool et du tabac ont reculé de 0,3%pour le deuxième mois consécutif. L’inflation de base, qui exclut l’énergie, l’alimentation, le tabac et l’alcool, a progressé à +0,9%, après +0,8% en juillet. La BCE a réduit en juin ses taux d’intérêts à de nouveaux plus bas historiques, allant jusqu’à tester le passage en territoire négatif de son taux de dépôt, et annoncé un nouveau programme de refinancement à long terme ciblé, qui sera lancé en septembre et dont l’objectif est de stimuler le crédit. Depuis lors, la BCE a adopté une position attentiste, souhaitant voir les effets de cette nouvelle injection de liquidité avant d’envisager de prendre de nouvelles mesures de relance. Mario Draghi a cependant répété à plusieurs reprises que la BCE se tenait prête à agir si nécessaire.  

 

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Oui à la dissolution + non à la cohabitation= départ de Hollande

Oui à la dissolution + non à la cohabitation= départ de Hollande

 

C’est l’équation incontournable de l’UMP et qui débouche sur une crise de régime. En fait désormais les grands leaders de droite et du centre réclament  la dissolution qui nécessairement interviendra avant 2017 mais ils ne veulent pas tomber dans le piège de la cohabitation qui serait susceptible de les décrédibiliser et de réhabiliter  la candidature de Hollande pour 2017. Dans ces conditions, le refus de cohabiter impose nécessairement le départ de Hollande. Une hypothèse d’ailleurs vraisemblable car le pays ne pourra supporter encore trois ans ce président incompétent, contradictoire et désinvolte. Ou alors on aura 500 00 chômeurs de plus. De toute manière la France est déjà engagée dans cette crise de régime tellement les organisations politiques sont discréditées. Il ne s’agira pas seulement d’un changement d’une personne  à la tête de l’Etat mais une refondation d’un système oligarchique et à une remise en cause d’une élite complément coupée des réalités économiques et sociales. Elite, qui ne connaît rien mais  en plus méprisante ;  qui pense avoir seule raison avec ses petits marquis des cabinets qui ne sont là que pour accéder plus rapidement aux plus hautes fonctions dans le privé comme dans le public.  Des  énarques en particulier qui dirigent l’administration (ce qui leur seule vocation) mais aussi si l’économie et la politique. Le pire c’est que cette culture énarchique fondé sur des  élucubrations scientistes a gagné presque toues les milieux de réflexion et de décision. Tout le monde doit parler ce langage confus, contradictoire, verbeux y compris dans les milieux patronaux, les médias, les milieux d’expertise. Voir à cet égard la confusion complète relative au concept d’austérité et à la politique qu’elle peut sous-tendre. En partant  Hollande aura peut-être été utile à la France pour enfin que le pays prenne conscience de la nécessité de mesures radicales pour sortir le pays du déclin qui affecte le système politique mais auusi l’ensemble de la société.

Marine Le Pen,:oui pour gouverner avec Hollande

Marine Le Pen,:oui pour gouverner avec François Hollande

Marine Lepen prend à contre-pied l’UMP qui ne veut pas de cohabitation et se dit prête à cohabiter avec Hollande ; une mélange sulfureux qui ne grandirait certainement pas la crédibilité du pays. Au point où il en est Hollande pourrait faire un nouveau virage, après le socialisme, la social démocratie, le social-libéralisme,l’ extrême droite ; En fait le même parcours que Mitterrand mais à l’envers !   »Je peux vous dire une chose très clairement : nous, si nous obtenons une majorité, nous assumerons les responsabilités que nous aurons confiées les Français », déclare Marine Le Pen. La dirigeante frontiste dit croire à une dissolution de l’Assemblée dans un délai assez rapide en raison de « la crise politique extrêmement lourde que nous vivons » et qui « ne peut qu’entraîner un retour aux urnes ».  Selon elle, le gouvernement Valls II, « dernière cartouche de François Hollande, est un gouvernement de pure provocation ». Soulignant qu’à l’inverse du Front national, la dissolution « n’est pas souhaitée à l’UMP, où la cohabitation semble exclue », elle critique cette attitude de la droite qui montre, selon elle, « son vrai visage, purement électoraliste ».   »Comment peuvent-ils refuser une cohabitation qu’ils ont eux-mêmes théorisée ? », « Comment expliqueront-ils aux électeurs qui votent pour eux qu’ils refuseront de prendre leurs responsabilités pour changer la situation dramatique dans laquelle est plongé le pays ? », lance la présidente du FN. Elle indique qu’ »au fil des prochaines semaines », elle va s’efforcer de « montrer à nos concitoyens…

 

PS-la Rochelle -Valls : des mesurettes sur le pouvoir achat pour éviter d’être sifflé

PS-la Rochelle -Valls :  des mesurettes sur le pouvoir achat pour éviter d’être sifflé

Et voilà après avoir été applaudi par le Medef, Valls doit éviter de se faire siffler à La Rochelle par les socialistes. Du coup il va utiliser les bonnes vielles méthodes des promesses chères à Hollande, cette fois sur le pouvoir d’achat en vue de calmer les grognards de gauche. Des mesurettes évidemment mais en politique le verbe surmédiatisé est plus important que l’action discrète et efficace.  Dimanche, son discours sera scruté par tous les socialistes et surtout ceux qui accusent le nouveau gouvernement de trop aimer les entreprises. Manuel Valls leur réserve un cadeau : face aux militants socialistes réunis à l’université d’été de La Rochelle, le Premier ministre devrait faire, selon nos informations, des annonces pour améliorer le pouvoir d’achat des Français. Ce discours, qu’il prononcera en clôture de l’université d’été, en milieu de journée dimanche, est important pour le Premier ministre. Ce vendredi, il travaille dessus et il le peaufinera samedi soir. « Ce ne sera pas un discours de politique général, mais il va donner de la cohérence et du sens à l’action du gouvernement », explique un visiteur de Matignon. « Il faut donner de la perspective, dire là où on va. » Alors que sa déclaration d’amour aux entreprises devant le Medef a été particulièrement mal perçue par une partie de la gauche – Cécile Duflot l’accusant dans Les Echos « d’imiter Thatcher » – Manuel Valls doit calmer les « frondeurs » qui menacent, notamment, de ne pas voter le prochain projet de loi de finances qui fixera le budget de l’Etat pour 2015. Plusieurs annonces ont déjà été faites par l’exécutif ces derniers jours. Le Revenu de Solidarité Active (RSA) « socle » va ainsi augmenter de 2% au 1er septembre, passant à 509,30 euros par mois pour une personne seule, a appris l’AFP auprès du Secrétariat d’Etat en charge de la lutte contre l’exclusion. Le président a pour sa part annoncé une refonte des premières tranches de l’impôt sur le revenu pour le rendre « plus juste et plus simple », ainsi qu’une fusion de la prime pour l’emploi et du RSA activité. Ces deux mesures, dont les modalités restent à trancher, doivent compenser la censure par le Conseil constitutionnel des 2,5 mds d’euros d’allègements de cotisations salariales pour les salariés modestes, l’essentiel du volet « solidarité » du Pacte.

 

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