Archive pour le Tag 'meurtre'

Justice-Meurtre de Philippine : le suspect « accepte » d’être extradé

Justice-Meurtre de Philippine : le suspect « accepte »  d’être extradé 

Taha O., Marocain âgé de 22 ans et principal suspect du meurtre de Philippine en septembre, « accepte « d’être extradé vers la France, a annoncé son avocate sur BFMTV. «Mon client a décidé d’accepter l’extradition pour être déféré aux juges français et s’exprimer sur le dossier (…). Les autorités suisses vont organiser le transfert du détenu de la Suisse vers la France», a déclaré Me Florence Yersin, son conseil en Suisse, précisant que le délai serait de «quelques jours»Taha O. a été arrêté à la gare principale de Genève le 24 septembre. La France a déposé une demande d’extradition le 9 octobre mais le suspect avait refusé dans un premier temps d’être extradé.  Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a « exhorté »  à faire évoluer notre arsenal juridique», le 25 septembre, au lendemain de l’arrestation du suspect en Suisse.

 

Nouveau meurtre d’un fanatique religieux à Bordeaux

Nouveau meurtre  d’un fanatique religieux à Bordeaux

 

Une nouvelle attaque d’un fanatique religieux qui ne peut être qualifiée de simple fait divers mais qui s’inscrit sur une toile de fond de contestation de la laïcité et de violence parfois même criminelle. Chaque jour ou presque on signale ici ou là des événements qui traduisent la volonté de substituer des valeurs religieuses au principe même de la laïcité.

À Bordeaux, L’assaillant, qui a poignardé ses victimes avec un couteau à cran d’arrêt, leur a reproché leur consommation d’alcool durant l’Aïd. La fête religieuse marque la fin du ramadan pour les musulmans pour qui la consommation d’alcool est proscrite par le Coran. Les deux hommes, de nationalité algérienne, buvaient en effet de la bière sur le quai Richelieu, situé à deux pas du très touristique Miroir d’eau. Quelques minutes avant d’être attaquées, les deux victimes avaient rétorqué à l’assaillant, vêtu d’un qamis et d’un keffieh dont il s’était couvert le visage et qu’elles ne connaissaient pas : «Ça ne te regarde pas.» Puis, les deux amis, originaires du même village de Kaous dans la commune de Wilaya de Jijel en Algérie, avaient jeté des canettes vides en sa direction, a reconnu Saleh K. qui est toujours en vie, auditionné sur son lit d’hôpital, jeudi. Rachid B., lui, est décédé des neuf coups de couteau qu’il a reçu et qui lui ont perforé le cœur et les poumons.

Un nouveau témoignage, reçu ce jeudi, a par ailleurs permis d’établir que l’individu s’en était pris à deux autres personnes sirotant du rosé sur les quais peu avant le drame.

Meurtre de Thomas à Crépol : trois individus ciblés par la justice

Meurtre de Thomas à Crépol : trois individus ciblés par la justice

 Trois individus  ont été déférés devant les magistrats ce jeudi après-midi, à l’issue de leur garde à vue, d’après  parquet de Valence. Le premier des trois suspects a été mis en examen dans la soirée pour «homicide volontaire et tentatives d’homicides volontaires en bande organisée» et placé sous contrôle judiciaire.

 

Le meurtre de l’adolescent, dernier fils d’un couple de restaurateurs de la Drôme, avait par la suite suscité une vive émotion des habitants des villages avoisinants et de Romans-sur-Isère, située à une quinzaine de kilomètres de Crépol, au point de prendre une ampleur nationale pendant plusieurs semaines. Le quartier sensible de la Monnaie, à Romans, avait ensuite été pointé comme le lieu de résidence de plusieurs des membres de cette bande d’adolescents hostiles lors de la soirée. Par la suite, 9 premiers individus – dont trois mineurs – avaient été interpellés puis mis en examen pour «meurtre en bande organisée», «tentatives de meurtre» ou «violences en réunion».

Politique: Meurtre de Thomas à Crépol: Les Français critiquent gouvernements, élites et médias

Politique: Meurtre de Thomas à Crépol: Les Français critiquent gouvernements, élites et médias

Alors que le gouvernement médias et élites ont tous adopté une attitude particulièrement hypocrite vis-à-vis du meurtre de Thomas à Crépol considérant qu’il s’agissait d’un fait divers ne pouvant justifier d’une généralisation sociétale, les Français pensent exactement le contraire.

Selon la dernière enquête d’Elabe, une majorité de Français estiment que le drame survenu Crépol « n’est ni un fait divers ni une simple rixe » (78%), il représente « la faillite générale » (75%) et « l’ensauvagement » (67%) d’une société qui « risque de basculer ».

Il est clair qu’il y a un divorce actuellement entre la société française et les élites qui perpétuent le déni de réalité concernant l’insécurité en particulier lié à la délinquance de certaines catégories marginales sur fond de radicalisation et de trafic de drogue.

Il faut dire que ces élites médiatiques politiques et même scientifiques habitent rarement les mêmes zones géographiques que ceux qui subissent la délinquance. L’exemple plus significatif étant sans doute celui de Marseille ville pratiquement coupée en deux avec ses quartiers hors contrôle éloignés et des zones embourgeoisées compris dans le centre.

De ce point de vue, Marseille offre les pires contradictions. Sans doute la plus belle ville de France mais en même temps où la criminalité fait partie du quotidien.

L a sauvagerie du meurtre de Thomas à Crépol marque sans doute une pierre dans l’évolution de la société française vis-à-vis des violences en général. Il faudra que la justice en particulier mais aussi le gouvernement en tiennent compte sinon un jour les citoyens feront leur justice et leur police eux-mêmes comme aux États-Unis.

Après le meurtre de Thomas à Crépol, la maire de Romans-sur-Isère menacée

Après le meurtre de Thomas à Crépol, la maire de Romans-sur-Isère menacée . Elle n’avait pas hésité de manière fort courageuse à soligner la gravité de la situation, les causes structurelles et les conséquences possibles dénonçant en même temps d’une certaine manière le laxisme de toute une société, institutions et politiques compris.

Le pire après la mort de Thomas c’est que les barbares continuent d’inquiéter la population et même les élus. Ainsi Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, dont sont originaires les principaux suspects de l’attaque sur le bal d’hiver de Crépol, a indiqué avoir reçu des menaces de mort, confirmant une information dans une interview au Figaro .

«J’ai reçu hier matin deux appels anonymes auprès du standard de la mairie, avec des messages relevant de l’intimidation, me demandant si je disposais d’une kalachnikov chez moi et si j’avais des gardes du corps», a-t-elle d’abord décrit. «C’est monté d’un cran dans l’après-midi, où j’ai reçu un message privé sur Instagram, précisant qu’on me prévoyait une décapitation (…) et que cette décapitation fait qu’on jonglerait avec mon crâne, et que ce serait fait d’ici un mois.»

La maire DVD Avait eu ce courage de dénoncer le déni de réalité notamment en considérant comme indécent le fait de n’avoir pas communiqué les prénoms des criminels dès le début de l’enquête. Elle a fortement critiqué le déni de réalité des pouvoirs publics en particulier de la justice.

Metz: le responsable d’un meurtre sauvage remis en liberté après un an de prison

Metz: le responsable d’un meurtre sauvage remis en liberté après un an de prison


Le suspect, âgé de 17 ans au moment des faits, avait été mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire le 10 octobre 2022.

Un peu plus d’un an après la mort d’un homme de 27 ans, tué de plusieurs dizaines de coups de couteau à Maizières-lès-Metz (Moselle), le suspect a été mis en liberté sous contrôle judiciaire, a-t-on appris mercredi 29 novembre du procureur de la République de Metz. La décision avait été frappée d’appel par le parquet, a précisé à l’AFP le magistrat Yves Badorc. Mais elle a été confirmée par la cour d’appel de Metz dans un arrêt du 16 novembre.

Les raisons de cette mise en liberté «sont qu’au sens des critères juridiques pour le maintenir en détention, (les juges) ont estimé que la détention provisoire ne se justifiait plus», a indiqué à l’AFP l’avocat de la famille de la victime, Me Alexandre Bernard. Le mis en examen a également proposé des éléments d’insertion, «un projet de logement notamment», a expliqué le conseil.

Le suspect, âgé de 17 ans au moment des faits, avait été interpellé dès le lendemain. Il a été mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire le 10 octobre 2022. Une source au sein de la gendarmerie avait à l’époque dénombré 26 blessures par arme blanche.

Meurtre de Thomas à Crépol: Encore des annonces de fermeté de façade

Meurtre de Thomas à Crépol: Encore des annonces de fermeté de façade

Comme à chaque événement de caractère tragique, le gouvernement délègue un porte-parole pour tenter d’apaiser la douleur en même temps que la colère. Et cette fois, c’est Olivier véran qui s’est déplacé. Et il a encore promis des réponses de la police et de la justice « rapides et fortes ».

La même rengaine chaque fois. Malheureusement la justice ne s’est pas être rapide; il faudra des mois et les mois voire davantage pour attendre un procès. Et tout cela se terminera par des peines de prison nullement proportionnée à l’ampleur de la violence et pour beaucoup des acteurs avec surtout du sursis. Mais la fermeté affichée d’Olivier Véran peine à calmer la colère des habitants

Notant qu’il aura fallu plus d’une semaine après le drame pour que le gouvernement se décide enfin à dépêcher un représentant sur place.

Du coup gouvernement qui pratique l’attentisme contente de détourner l’attention sur l’autre violence de l’extrême droite qui, elle, instrumentalise l’événement.

Et dans ce cas la justice a effectivement puni rapidement et justement les extrémistes de droite. Mais pour les auteurs des violences notamment du meurtre de Thomas il faudra encore attendre.

Il y a évidemment un déni de réalité dans la réponse politique du gouvernement à propos du meurtre de Thomas 16 ans. L’adolescent a été poignardé à mort lors d’une expédition punitive d’une violence inouïe menée par une dizaine de jeunes munis de couteaux à la sortie du bal d’hiver de cette petite commune drômoise dans la nuit de samedi 18 à dimanche 19 novembre.

Les pouvoirs publics et les médias on vous du réduire l’affaire un fait divers mais la vérité oublie à constater qu’il s’agit d’un fait national éminemment politique.

Les succès de l’extrême droite ne serait faire oublier la violence et le caractère raciste des sauvages qui ont agressé les participants du bal privé de Crépol.

Meurtre de Thomas : Interrogation sur le caractère raciste !

Meurtre de Thomas : Interrogation sur le caractère raciste !

La maire divers droite de Romans-sur-Isère Marie-Hélène Thoraval a affirmé ce mercredi 29 novembre que «les familles» des victimes de l’attaque du bal de village à Crépol dans la Drôme, il y a une dizaine de jours, ont demandé «que le caractère raciste» soit retenu par la justice.

Les pouvoirs publics s’interrogent encore pour savoir faut ou non reconnaître le caractère raciste ! un véritable déni de réalité. Sociologiquement, les auteurs de ces attaques immondes, délinquants eux-mêmes, sont issus de parents déjà délinquants d’après la mère de Romans élue depuis 2014.

Ces Français d’origine étrangère adhérents en fait à des principes sociétaux qui n’ont pas leur place en France. Ils ressortent d’une philosophie barbare et arriérée sur fond de radicalisation générale et de trafic de drogue.

Meurtre de Thomas à Crépol: Un choc sociétal pour les Français

Meurtre de Thomas à Crépol: Un choc sociétal pour les Français

Contrairement à certains politiques qui veulent rapidement fermer le dossier, le directeur de la tribune, Bruno jeudi estime dans son édito qu’il ne s’agit pas seulement d’un fait divers mais d’un véritable choc sociétal pour les Français.

La mort de Thomas, 16 ans, poignardé lors d’une rixe dans un bal de village, a choqué les Français. La salle des fêtes de Crépol est devenue la sale défaite d’une jeunesse souvent d’origine étrangère, mal intégrée, shootée à l’hyperviolence des réseaux sociaux et insuffisamment sanctionnée quand elle commet des délits.

Combien de temps avant qu’Emmanuel Macron traduise ses déclarations en actes d’autorité ? De la « décivilisation » (Macron) à l’« ensauvagement » (Darmanin) jusqu’à « tenez vos gosses ! » (Dupond-Moretti), la surenchère des mots contre les maux de la société bat son plein. Hélas, derrière, les bonnes réponses tardent. Celles promises par le chef de l’État après les émeutes urbaines n’ont toujours pas été concrétisées. « L’ordre ! L’ordre ! L’ordre ! », avait-il diagnostiqué à chaud. Depuis, l’attente s’est transformée en impuissance.

Celle-là même que le jeune candidat à la présidentielle n’avait cessé de pourfendre avec son « en même temps ». Confronté aux faits, le pouvoir semble débordé. Bien sûr, Emmanuel Macron a recréé des postes de policiers, de gendarmes et de magistrats par milliers. Bien sûr que l’action contre les dealers, qui pourrissent la vie des cités et maintenant de la ruralité, prend du temps. Dans un discours, mardi, passé inaperçu, Bruno Le Maire est sorti de son couloir économique devant les maires. Le ministre est revenu sur cette demande d’autorité en évoquant sa circonscription de l’Eure, passée de la Macronie au RN lors des dernières législatives. Nommant les choses, il a décrit les « deux plaies qui rongent la société : l’islam politique et le trafic de stupéfiants ». Sans dire comment y remédier.

Combien de temps avant que le gouvernement sorte des circonvolutions sur l’immigration irrégulière ? La question sera demain au cœur des discussions à l’Assemblée nationale avec l’examen du projet de loi du gouvernement. Gérald Darmanin joue gros. S’il a laissé les sénateurs de droite durcir son texte, le ministre de l’Intérieur espère trouver une majorité grâce à l’appoint d’une partie des voix LR. Ce sera le crash test politique de cette fin d’année. Face à la menace des extrêmes, le sursaut est indispensable.
Bruno Jeudy

Terrorisme : encore un tordu à Cannes qui tente un meurtre

Terrorisme : encore un tordu à Cannes qui tente un meurtre


Il ne va pas manquer en France de tordus , d’abrutis et de violents pour se laisser prendre par la propagande meurtrière de l’islamisme. Potentiellement, il y a sans doute des centaines de tarés et de pauvres types qui vont essayer de se donner un rôle sociétal après avoir tout raté. Une sorte d’acte de contrition barbare qui passe par la tuerie d’un individu au hasard pour se concilier la bienveillance de Dieu. Un individu «très dangereux» a encore été interpellé par des policiers de la Brigade anticriminalité (Bac) ce mercredi 18 octobre dans la soirée, à Cannes (Alpes-Maritimes), a annoncé le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin sur le réseau social X.

L’individu a été vu en train de prier sur un tapis de prière, dans un centre automobile, sur les coups de 19 heures, a appris Le Figaro auprès d’une source policière. Le «gérant» du centre l’aperçoit et lui signale que «ce n’est pas l’endroit pour prier», nous indique-t-on. L’individu aurait alors crié «Allah Akbar», en tentant de porter plusieurs coups de couteau au gérant, avant de prendre la fuite.

L’individu a ensuite été interpellé par la Bac, quelques minutes plus tard. Il était porteur d’un couteau à la ceinture. «Merci (aux policiers): ils ont évité le pire», a écrit Gérald Darmanin sur X. L’homme a été placé en garde à vue pour «apologie du terrorisme et violences avec arme». Il est «a priori» sans domicile fixe, toujours selon Damien Savarzeix.

Seulement huit ans et cinq ans de prison pour le meurtre d’un militant antifasciste !

Seulement huit ans et cinq ans de prison pour le meurtre d’un militant antifasciste !

La cour d’assises de l’Essonne a condamné vendredi en appel deux anciens skinheads à huit et cinq ans d’emprisonnement pour la mort du militant antifasciste Clément Méric, tué lors d’une rixe à Paris en 2013, des peines moins lourdes qu’en première instance.Conclusion avec les remises de peine, les coupables feront de leur de quatre à deux ans de prison pour un meurtre. Ne pas s’étonner dans ces conditions que le sentiment d’impunité participe de la montée de la violence dans le pays.

 

Esteban Morillo, 28 ans, et Samuel Dufour, 27 ans, tous deux vêtus d’une chemise, ont accueilli leur condamnation dans le calme. «Vous allez être reconduits à la maison d’arrêt», a indiqué le président de la cour d’assises Thierry Fusina, précisant que la feuille de motivation expliquant le choix de la cour sera communiquée lundi.

Encore un meurtre d’une jeune de 18 ans

Encore un meurtre d’une jeune de 18 ans

Encore un meurtre une fille de 18 ans qui confirme que la violence se banalise de plus en plus dans le pays. Anaïs Mechain, une jeune femme de 18 ans originaire de Dunkerque (Nord), où elle vivait chez sa mère avec son frère, a été retrouvée morte lundi 10 mai dans une rue de Pontault-Combault (Seine-et-Marne).

Selon les résultats de l’autopsie, la victime a été tuée par étranglement. Le corps présente également des traces de coups au visage et des brûlures dans le dos, d’après Le Parisien . L’enquête fait apparaître que la jeune femme a été tuée au Plessis-Trévise (Val-de-Marne) avant d’être transportée à Pontault-Combault.

. Un jeune homme âgé de 18 ans a été interpellé à son domicile familial, à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine), vendredi 14 mai.

Dimanche 16 mai, le suspect a été mis en examen pour «meurtre», indique à l’AFP le parquet de Créteil (Val-de-Marne), chargé de l’affaire. Le suspect est également placé en détention provisoire, précise le parquet.

Double meurtre à Cholet : un déséquilibré de plus !

Double meurtre à Cholet : un déséquilibré de plus !

D’une certaine façon, les actes barbares de  l’islamisme autorisent n’importent quel déséquilibré à commettre l’irréparable. Les actes criminels se banalisent puisque chaque jour maintenant il faut compter un drame supplémentaire soit avec l’assassinat de personnes innocentes, soit encore avec des agressions souvent mortelles contre les policiers. 48 heures après le drame qui a coûté la vie à deux personnes samedi 14 novembre à Cholet, l’émotion reste vive dans cette commune du Maine-et-Loire. De nombreuses questions subsistent, notamment sur la personnalité complexe du principal suspect, un homme de 35 ans aux multiples antécédents psychiatriques. Un individu qui a commis ces crimes « au nom de Dieu « qui se revendique catholique. En fait un cinglé, délinquant. Un marginal qui voulait donner un sens à sa vie lamentable.

Le mis en cause était connu des services de police pour des délits de droit commun, notamment pour port d’arme illégal. Il était également connu par ses voisins comme «étant quelqu’un d’un peu perturbé» rapporte le procureur. Il avait d’ailleurs été hospitalisé sous contrainte en 2018 dans un établissement psychiatrique sur demande d’un membre de sa famille.

Malheureusement deux personnes d’environ 80 ans ont été sauvagement tuées par un illuminé qui sollicite Dieu pour commettre son crime. Tous les auteurs d’actes aussi odieux ne sont pas psychiquement aussi atteints mais tous présentent des caractéristiques semblables à savoir des ratés, des délinquants qui tuent au nom de Dieu !

Etudiante condamnée pour approbation du meurtre de Conflans

Etudiante condamnée pour approbation du meurtre de Conflans

Une jeune femme de Besançon est accusée d’avoir écrit que l’assassinat par décapitation de Samuel Paty était «mérité», d’après L’Est républicain. Son propos est apparu sur Facebook, en commentaire d’une publication de ce quotidien régional, avant d’être supprimé. Ce post évoquait l’appel à un rassemblement national, le dimanche 18 octobre, en mémoire du professeur Samuel Paty, assassiné devant son collège par un terroriste.

Vendredi 23 octobre, la vice-procureur de la République de Besançon, a requis 6 mois d’emprisonnement avec sursis probatoire, ainsi que 180 heures de travail d’intérêt général, pour «dérapage». La jeune internaute a finalement été condamnée à quatre mois de prison avec sursis, après avoir admis devant le juge, ne pas comprendre ce qu’il l’avait amenée à écrire cela. Elle devra également effectuer un stage de citoyenneté, à ses frais.

Burkina : Compaoré officiellement accusé du meurtre de Sankara

Burkina : Compaoré officiellement accusé du meurtre de Sankara

 

Ce que tout le monde ou presque savait au Burkina a pris une tournure officielle  avec la mise en accusation de Compaoré pour le meurtre de l’ancien président Sankara alors considéré comme le Che africain. L’heure est aux règlements de comptes car Compaoré  à bénéficier d’une grande bienveillance en Afrique durant les 27 ans qu’il a occupés pouvoir. Il a même été considéré comme un sage notamment dans le conflit ivoirien. Le Burkina Faso a émis un mandat d’arrêt international à l’encontre du dirigeant déchu, Blaise Compaoré, pour l’assassinat de l’ancien président Thomas Sankara il y a près de 30 ans, ont annoncé lundi à Reuters des sources judiciaires. Le problème c’est que cette affaire risque de diviser encore davantage une population déjà très éclatée et qui se trouve de plus en plus sous la menace de dèche. Et ce n’est pas la présence de la force française arcane rassure, elle est même de plus en plus contestée.

L’assassinat du dirigeant populaire en 1987 est l’un des assassins les plus infâmes de la période agitée qui a suivi l’indépendance de l’Afrique, et le gouvernement intérimaire du Burkina Faso s’est engagé à le résoudre.

Un corps soupçonné d’être celui de Sankara a été exhumé plus tôt cette année et une autopsie a révélé qu’il était criblé de balles, renforçant ainsi les affirmations selon lesquelles il aurait été exécuté lors du coup d’État de 1987 qui avait porté Compaoré au pouvoir.

Compaoré lui-même a été chassé du pouvoir en octobre dernier par une foule s’opposant à sa tentative de changer la constitution du pays d’Afrique de l’Ouest et de prolonger son règne de 27 ans. Il s’est enfui en Côte d’Ivoire voisine, où il serait maintenant basé.

« Je confirme qu’un mandat d’arrêt international a été émis par le juge d’instruction contre (l’ex) président Blaise Compaoré », a déclaré à Reuters Prosper Farama, avocat de la famille de Sankara. Il a déclaré que les accusations étaient entre autres du meurtre et de la complicité d’assassinat.

Deux autres sources judiciaires qui ont requis l’anonymat ont confirmé le mandat, qui aurait été émis le 4 décembre. Un porte-parole du gouvernement burkinabé n’était pas disponible pour commenter.

Bruno Kone, porte-parole du gouvernement ivoirien, a déclaré: «Le gouvernement n’a pas été averti. Nous n’avons rien d’officiel et aucun commentaire à faire.  »

Les accusations contre Compaoré constituent une étape majeure dans cette affaire, les autorités par intérim se préparant à passer le pouvoir à l’ancien Premier ministre Roch Marc Kabore, vainqueur de l’élection présidentielle de novembre.

Sankara a pris le pouvoir lors d’un coup d’État en 1983 et a poursuivi une philosophie du marxisme et du panafricanisme qui l’a conduit à s’appeler «Che Guevara en Afrique». De nombreux intellectuels africains le considèrent comme un visionnaire.

Au moins 10 autres personnes ont déjà été accusées de meurtre. Parmi eux, le général Gilbert Diendere, qui a dirigé un coup d’Etat manqué en septembre.




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