Archive pour le Tag 'tassement'

Cours Pétrole : Légère baisse en raison d’un tassement de la croissance

Cours Pétrole : Légère baisse en raison d’un tassement de la croissance

Le tassement mondial de la croissance sortirent sur la demande de pétrole. En effet, les cours du pétrole ont terminé en légère baisse jeudi. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en février, a abandonné 0,15% à 73,41 dollars.

Les prévisions sur le marché du pétrole ne sont pas optimistes, le rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), publié jeudi, indique «un excédent d’offre de 950.000 barils par jour en 2025», et même de «1,4 million de barils par jour» si l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) réintroduit, comme prévu actuellement, une partie de ses barils sur le marché à partir d’avril. . L’Opep a revu à la baisse ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2024 et 2025, invoquant des difficultés persistantes dont  celles découlant de la situation en Syrie.

Croissance : tassement de la consommation

Croissance : tassement de la consommation

Ces dernières semaines, la consommation qui soutient la croissance a eu tendance à se tasser. Du coup la Banque de France annonce une croissance nulle au quatrième trimestre. Dans les grandes surfaces le ralentissement se fait sentir dès la deuxième partie du mois. Les consommateurs opèrent des arbitrages de plus en plus sévères concernant la nature et évidemment le prix. Par ailleurs l’épargne a tendance à monter sous l’effet des incertitudes économiques et politiques. 
Par ailleurs les ménages  prévoient de réduire le montant de l’enveloppe consacrée aux achats de Noël. Selon une étude réalisée par CSA Research pour Cofidis en octobre dernier – soit avant la motion de censure -,  le budget moyen prévu pour les fêtes de fin d’année s’élève à moins de 500 euros : 497 euros précisément, soit 52 euros de moins qu’en 2023.

Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes qui a insisté au micro de France Inter, ce mardi 10 décembre : « Nous ne sommes pas en récession, la prévision de croissance reste autour de 1% pour 2025. Mais, attention, l’incertitude économique , financière, politique a des incidences, notamment sur la consommation. Les consommateurs au lieu de dépenser, épargnent ! ». Et l’ancien ministre socialiste de l’Economie, de s’inquiéter que le premier moteur économique de la croissance française ne se grippe dans les prochaines semaines.

Automobiles États-Unis : Nouveau tassement des ventes

Automobile États-Unis : Nouveau tassement des ventes

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Ford est le seul des trois grands constructeurs historiques américains à afficher une hausse sur le trimestre, mais marginale (+0,7%, à 504.039 véhicules). Les ventes ont chuté de 20% sur un an chez Stellantis (305.294 véhicules) et de 2,2% chez General Motors (659.601 véhicules) qui a cependant fait mieux que les anticipations des analystes. «Nous continuons de prendre les mesures nécessaires pour attirer des ventes et pour préparer notre réseau de concessionnaires et nos clients à l’arrivée des modèles 2025», a commenté Matt Thompson, responsable aux États-Unis des ventes de Stellantis (Jeep, Ram, Chrysler, Dodge, Fiat, Alfa Romeo).
Les trois grands de Detroit (Michigan) ont pu néanmoins se féliciter des ventes de véhicules électriques et hybrides. «Les clients continuent d’avoir une préférence pour les motorisations hybrides pendant les mois d’été», a noté Ford, qui a écoulé 23.509 véhicules électriques (+12,2% sur un an) et 48.101 véhicules hybrides (+38%). D’après sa publication mardi, General Motors a vendu 32.000 véhicules électriques sur le trimestre (+46%). Devenant ainsi le second vendeur de véhicules électriques aux Etats-Unis sur le trimestre et depuis le début de l’année (70.750, contre 67.689 pour Ford), derrière le spécialiste Tesla.

baisse en France

La baisse du marché automobile français continue pour le cinquième mois de rang. Avec 11% de baisse, septembre fait passer l’année 2024 dans le rouge

Les chiffres AAA Data publiés par la Plateforme Automobile (PFA) indique qu’il y a eu au moins de septembre 2024 exactement 139 004 immatriculations. En données brutes, cela représente donc une baisse de 11,07% par rapport à ce même mois de septembre, en 2023. Pour dire, c’est même en dessous de septembre 2022 (141 142 immatriculations) alors que les usines subissaient des pénuries de composants et des trous de production. Par rapport à 2019, dernière année pré-covid, le marché est près de 20% plus faible !

 

Position Modèle Volume sept 2024
1 RENAULT CLIO V 8549
2 PEUGEOT 208 II 7254
3 DACIA SANDERO 3 4719
4 TESLA MODEL Y 4591
5 RENAULT CAPTUR II 3803
6 CITROEN Ë-C3 3626
7 PEUGEOT 2008 II 3478
8 PEUGEOT 3008 III 3477
9 VOLKSWAGEN POLO VI 3299
10 DACIA DUSTER 3 3104
11 TOYOTA YARIS CRO 2903
12 PEUGEOT 308 III 2796
13 TOYOTA YARIS 2589
14 RENAULT ARKANA 2168
15 RENAULT AUSTRAL 2038
16 OPEL CORSA 1548
17 FORD PUMA 1493
18 DACIA JOGGER 1444
19 CITROEN C3 III 1408
20 VOLKSWAGEN T-ROC 1323
21 B.M.W. X1 1317
22 HYUNDAI TUCSONIII 1219
23 TOYOTA C-HR II 1148
24 TOYOTA AYGO X 1117
25 RENAULT ESPACE VI 1042
26 CITROEN C4 III 1029
27 FORD KUGA 1023
28 SUZUKI SWIFT 994
29 KIA SPORTAGE5 981
30 CITROEN C5 AIRCR. 961
31 VOLKSWAGEN T-CROSS 956
32 SKODA FABIA IV 952
33 NISSAN QASHQAI 3 941
34 FIAT 500 940
35 RENAULT MEGANE-E 929
36 MERCEDES GLA II 924
37 VOLKSWAGEN GOLF VIII 896
38 HYUNDAI KONA II 847
39 TOYOTA COROLLA 837
40 RENAULT TWINGOIII 775
41 B.M.W. IX1 774
42 TESLA MODEL 3 758
43 CITROEN C3 AIRCR. 753
44 SEAT IBIZA V 714
45 OPEL MOKKA 698
46 B.M.W. SERIE 1 672
47 NISSAN JUKE II 608
48 CUPRA FORMENTOR 580
49 PEUGEOT 5008 II 557
50 M.G. MG4 444
51 DACIA DUSTER 2 224

Croissance Etats-Unis: tassement

Croissance Etats-Unis: tassement

La tendance au tassement de l’emploi semble se confirmer un affaiblissement de la croissance économique; un  passage obligé dans la lutte contre l’inflation pour la banque fédérale américaine ainsi elle veut baisser des taux d’intérêt encore très hauts.

 

En effet Le taux de chômage a grimpé à 4,3% en juillet. Celui d’août sera publié vendredi, et est attendu à 4,2%. La lutte contre la forte inflation passe par un ralentissement de l’activité économique, et, donc, une dégradation du marché de l’emploi, alors que les États-Unis ont connu trois années de pénurie de main-d’œuvre. «Les cas de licenciements restent rares», relève encore la Fed.

Elle s’apprête à commencer à abaisser des taux, et devrait lancer le mouvement lors de sa prochaine réunion, les 17 et 18 septembre. Pour contrer la flambée de l’inflation, qui a été en 2022 au plus haut depuis plus de 40 ans, elle a relevé ses taux. Ceux-ci se trouvent actuellement dans la fourchette de 5,25 à 5,50%.

Au deuxième trimestre 2024, la hausse du Produit intérieur brut (PIB) des Etats-Unis a atteint les 2,8 % par rapport à la même période de l’année précédente, au-delà des attentes et des prévisions. Une hausse attribuée par le département américain du commerce à « une reprise des investissements privé dans les stocks et à une accélération de la consommation ». Lors du premier trimestre 2024, la croissance n’avait été que de 1,4 %.

Ces bons chiffres confirment l’hypothèse d’un atterrissage en douceur de l’économie des Etats-Unis, un petit miracle tant l’opération semblait délicate à mener, à savoir ralentir la hausse des prix sans plonger l’économie dans la récession.

 

Transport routier : des faillites en hausse qui traduisent le tassement économique général

Transport routier : des faillites en hausse qui traduisent le tassement économique général

Traditionnellement le transport routier constitue une sorte d’indicateur avancé de la conjoncture. Or l’activité logistique se tasse déjà depuis des mois. C’est le révélateur d’une croissance indigente ( le PIB a progressé finalement de seulement 0,2 % pour le deuxième trimestre et on attendra difficilement maintenant 1 % en 2024). Par ailleurs comme d’autres secteurs l’activité de transport enregistre aussi des hausses de coûts difficiles à répercuter.  Selon l’Union des entreprises de transport et de logistique de France (Union TLF), les entreprises du secteur affronte une vague inédite de faillites d’entreprises, liée au ralentissement de l’économie. Ce vendredi, l’Union « tire la sonnette d’alarme » car « les trésoreries des transporteurs se sont tendues et les défaillances du secteur sont désormais historiquement élevées ».

 

Au total, 603 entreprises de transports de marchandises ont fait l’objet d’une procédure collective au 2e trimestre 2024, soit une hausse de 45% sur un an et de 73% sur deux ans, selon la société Ellisphere et le magazine L’Officiel des Transporteurs. Cette vague « excède largement le rattrapage post-Covid », analyse l’Union TLF.

Faute de demande, le climat des affaires du segment se situe sous sa moyenne de longue période, depuis 21 mois consécutifs, ajoute l’organisation. Parallèlement, les coûts de production des transporteurs restent en forte progression: +5,4% sur un an en juillet 2024 hors gazole, selon le Comité National Routier. « A cela s’ajoutent des crises régulières qui frappent durement le secteur: mouvements des retraites, crise des agriculteurs, intempéries, blocages des ports », soulignent les patrons.

 

Le tassement économique chinois pèse toute l’économie mondiale

Le tassement économique chinois  pèse toute l’économie mondiale

 

En dépit ou peut-être à cause des mesures protectionnistes de nombreux États vis-à-vis des importations notamment chinoises mais pas seulement, la croissance mondiale se trouve affectée par le net tassement de la croissance en Chine. Même les États-Unis sont concernés et l’Europe  bien entendu notamment l’Allemagne. À cela s’ajoute évidemment les risques géopolitiques avec les conflits en Ukraine et au Proche-Orient. 

La  Chine est en proie à une crise inédite de son vaste secteur immobilier, une confiance morose des ménages et des entreprises, ce qui pénalise la consommation, tandis que les tensions géopolitiques avec Washington et l’Union européenne menacent son commerce extérieur.

La croissance du géant asiatique a été plus faible que prévu au cours du trimestre terminé en juin (+4,7% sur un an). Et les dernières données vont aussi dans le sens d’un ralentissement au troisième trimestre.

La production industrielle s’est tassée en juillet (+5,1% sur un an), selon des chiffres publiés par le Bureau national des statistiques (BNS), soit son rythme le plus faible depuis mars. Elle avait progressé de +5,3% en juin et les analystes interrogés par Bloomberg s’attendaient en juillet à un ralentissement plus modéré (+5,2%).

Le taux de chômage a lui aussi augmenté (5,2%) par rapport à juin (5%). Ce chiffre dresse toutefois un tableau incomplet de la conjoncture, car il n’est calculé que pour les villes. Le taux de chômage chez les 16-24 ans était en juin de 13,2%, en se basant sur un nouveau critère qui exclut désormais les étudiants.

 

La croissance mondiale devrait se maintenir à 2,6 % en 2024 avant de remonter légèrement à 2,7 % en moyenne en 2025-2026, prévoyait e rapport de la Banque mondiale. Soit un niveau bien en deçà de la moyenne de 3,1 % enregistrée au cours de la décennie précédant la pandémie de COVID-19. D’après ces prévisions, dans 60 % des économies, qui représentent ensemble plus de 80 % de la population mondiale et du PIB mondial, la croissance sur la période 2024-2026 sera plus lente qu’au cours de la décennie pré-COVID.

Dans l’ensemble des économies en développement, la croissance devrait légèrement fléchir par rapport à 2023, pour s’établir en moyenne à 4 % en 2024-2025. Elle devrait s’accélérer dans les pays à faible revenu, pour atteindre 5 % en 2024, contre 3,8 % en 2023. Dans 75 % d’entre eux, toutefois, les perspectives de croissance pour 2024 ont été revues à la baisse par rapport aux prévisions établies en janvier. Dans les économies avancées, la croissance devrait rester stable à 1,5 % en 2024 .Ces prévisions devraient cependant être revues en baisse d’ici la fin de l’année

Croissance: Le tassement économique chinois pèse toute l’économie mondiale

Croissance: Le tassement économique chinois  pèse toute l’économie mondiale

 

En dépit ou peut-être à cause des mesures protectionnistes de nombreux États vis-à-vis des importations notamment chinoises mais pas seulement, la croissance mondiale se trouve affectée par le net tassement de la croissance en Chine. Même les États-Unis sont concernés et l’Europe  bien entendu notamment l’Allemagne. À cela s’ajoute évidemment les risques géopolitiques avec les conflits en Ukraine et au Proche-Orient. 

La  Chine est en proie à une crise inédite de son vaste secteur immobilier, une confiance morose des ménages et des entreprises, ce qui pénalise la consommation, tandis que les tensions géopolitiques avec Washington et l’Union européenne menacent son commerce extérieur.

La croissance du géant asiatique a été plus faible que prévu au cours du trimestre terminé en juin (+4,7% sur un an). Et les dernières données vont aussi dans le sens d’un ralentissement au troisième trimestre.

La production industrielle s’est tassée en juillet (+5,1% sur un an), selon des chiffres publiés par le Bureau national des statistiques (BNS), soit son rythme le plus faible depuis mars. Elle avait progressé de +5,3% en juin et les analystes interrogés par Bloomberg s’attendaient en juillet à un ralentissement plus modéré (+5,2%).

Le taux de chômage a lui aussi augmenté (5,2%) par rapport à juin (5%). Ce chiffre dresse toutefois un tableau incomplet de la conjoncture, car il n’est calculé que pour les villes. Le taux de chômage chez les 16-24 ans était en juin de 13,2%, en se basant sur un nouveau critère qui exclut désormais les étudiants.

 

La croissance mondiale devrait se maintenir à 2,6 % en 2024 avant de remonter légèrement à 2,7 % en moyenne en 2025-2026, prévoyait e rapport de la Banque mondiale. Soit un niveau bien en deçà de la moyenne de 3,1 % enregistrée au cours de la décennie précédant la pandémie de COVID-19. D’après ces prévisions, dans 60 % des économies, qui représentent ensemble plus de 80 % de la population mondiale et du PIB mondial, la croissance sur la période 2024-2026 sera plus lente qu’au cours de la décennie pré-COVID.

Dans l’ensemble des économies en développement, la croissance devrait légèrement fléchir par rapport à 2023, pour s’établir en moyenne à 4 % en 2024-2025. Elle devrait s’accélérer dans les pays à faible revenu, pour atteindre 5 % en 2024, contre 3,8 % en 2023. Dans 75 % d’entre eux, toutefois, les perspectives de croissance pour 2024 ont été revues à la baisse par rapport aux prévisions établies en janvier. Dans les économies avancées, la croissance devrait rester stable à 1,5 % en 2024 .Ces prévisions devraient cependant être revues en baisse d’ici la fin de l’année

Le tassement économique de la Chine pèse toute l’économie mondiale

Le tassement économique de la Chine pèse toute l’économie mondiale

 

En dépit ou peut-être à cause des mesures protectionnistes de nombreux États vis-à-vis des importations notamment chinoises mais pas seulement, la croissance mondiale se trouve affectée par le net tassement de la croissance en Chine. Même les États-Unis sont concernés et l’Europe  bien entendu notamment l’Allemagne. À cela s’ajoute évidemment les risques géopolitiques avec le conflit en Ukraine et au Proche-Orient. 

La  Chine est en proie à une crise inédite de son vaste secteur immobilier, une confiance morose des ménages et des entreprises, ce qui pénalise la consommation, tandis que les tensions géopolitiques avec Washington et l’Union européenne menacent son commerce extérieur.

La croissance du géant asiatique a été plus faible que prévu au cours du trimestre terminé en juin (+4,7% sur un an). Et les dernières données vont aussi dans le sens d’un ralentissement au troisième trimestre.

La production industrielle s’est tassée en juillet (+5,1% sur un an), selon des chiffres publiés par le Bureau national des statistiques (BNS), soit son rythme le plus faible depuis mars. Elle avait progressé de +5,3% en juin et les analystes interrogés par Bloomberg s’attendaient en juillet à un ralentissement plus modéré (+5,2%).

Le taux de chômage a lui aussi augmenté (5,2%) par rapport à juin (5%). Ce chiffre dresse toutefois un tableau incomplet de la conjoncture, car il n’est calculé que pour les villes. Le taux de chômage chez les 16-24 ans était en juin de 13,2%, en se basant sur un nouveau critère qui exclut désormais les étudiants.

 

La croissance mondiale devrait se maintenir à 2,6 % en 2024 avant de remonter légèrement à 2,7 % en moyenne en 2025-2026, prévoyait e rapport de la Banque mondiale. Soit un niveau bien en deçà de la moyenne de 3,1 % enregistrée au cours de la décennie précédant la pandémie de COVID-19. D’après ces prévisions, dans 60 % des économies, qui représentent ensemble plus de 80 % de la population mondiale et du PIB mondial, la croissance sur la période 2024-2026 sera plus lente qu’au cours de la décennie pré-COVID.

Dans l’ensemble des économies en développement, la croissance devrait légèrement fléchir par rapport à 2023, pour s’établir en moyenne à 4 % en 2024-2025. Elle devrait s’accélérer dans les pays à faible revenu, pour atteindre 5 % en 2024, contre 3,8 % en 2023. Dans 75 % d’entre eux, toutefois, les perspectives de croissance pour 2024 ont été revues à la baisse par rapport aux prévisions établies en janvier. Dans les économies avancées, la croissance devrait rester stable à 1,5 % en 2024 .Ces prévisions devraient cependant être revues en baisse d’ici la fin de l’année

Prix Pétrole: tassement

Prix Pétrole: tassement

 

 Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en septembre a perdu 1,31% à 83,73 dollars. 

En cause, un affaiblissement en Chine de la croissance de la deuxième économie mondiale et du premier importateur de brut. La Chine a vu son expansion économique se tasser au deuxième trimestre à 4,7% sur un an contre 5,3% au 1er trimestre, à un rythme bien inférieur aux attentes des analystes, le plus faible depuis deux ans.

Non seulement la hausse du PIB a marqué le pas, mais le secteur immobilier continue «d’être un poids»«le traitement de pétrole brut est tombé en juin au plus bas depuis six mois et la Chine a produit plus de charbon», ont souligné les analystes de Commerzbank Commodities Research. Globalement, le marché continue d’avoir «des capacités de production excessives», ce qui régule les cours et «réduit la volatilité», estime Bill O’Grady.

 

Economie- Etats-Unis : Net tassement de la croissance

Economie- Etats-Unis : Net tassement de la croissance

Selon la troisième estimation du département du Commerce, publiée ce jeudi, la croissance du PIB des États-Unis au premier trimestre 2024 a été révisée légèrement en hausse à 1,4% en rythme annualisé, contre +1,3% estimé précédemment. Une révision finale conforme aux prévisions des analystes. Elle confirme le net ralentissement de l’activité par rapport à la croissance de 3,4% enregistrée au 4e trimestre 2023.

A noter, les États-Unis publient leur croissance en rythme annualisé, qui compare le PIB à celui du trimestre précédent, puis projette l’évolution sur l’année entière à ce rythme. La somme des biens et services produits et échangés aux États-Unis atteint 28.269 milliards de dollars en rythme annualisé au premier trimestre.

De janvier à mars, les dépenses de consommation, moteur de la croissance, ont marqué le pas en ne progressant plus que de 1,5%, contre +3,4% fin 2023 et +2% lors de l’estimation précédente.

Cette décélération de l’activité économique pourrait convaincre la Réserve fédérale américaine de baisser ses taux directeurs prochainement. Pour rappel, lors de sa réunion du 13 juin, la banque centrale américaine (Fed) a laissé son principal taux directeur dans la fourchette de 5,25% à 5,50% dans laquelle il se trouve depuis juillet dernier, son plus haut niveau depuis plus de 20 ans.

Mais pour l’instant, l’institution monétaire est mitigée sur la dynamique des prix : elle voit l’indice d’inflation PCE finir l’année à +2,6% (en hausse par rapport aux +2,4% de ses dernières prévisions, publiées en mars), puis à +2,3% en 2025 (contre +2,2% auparavant prévus).

 

Etats-Unis : Net tassement de la croissance

Etats-Unis : Net tassement de la croissance

Selon la troisième estimation du département du Commerce, publiée ce jeudi, la croissance du PIB des États-Unis au premier trimestre 2024 a été révisée légèrement en hausse à 1,4% en rythme annualisé, contre +1,3% estimé précédemment. Une révision finale conforme aux prévisions des analystes. Elle confirme le net ralentissement de l’activité par rapport à la croissance de 3,4% enregistrée au 4e trimestre 2023.

A noter, les États-Unis publient leur croissance en rythme annualisé, qui compare le PIB à celui du trimestre précédent, puis projette l’évolution sur l’année entière à ce rythme. La somme des biens et services produits et échangés aux États-Unis atteint 28.269 milliards de dollars en rythme annualisé au premier trimestre.

De janvier à mars, les dépenses de consommation, moteur de la croissance, ont marqué le pas en ne progressant plus que de 1,5%, contre +3,4% fin 2023 et +2% lors de l’estimation précédente.

Cette décélération de l’activité économique pourrait convaincre la Réserve fédérale américaine de baisser ses taux directeurs prochainement. Pour rappel, lors de sa réunion du 13 juin, la banque centrale américaine (Fed) a laissé son principal taux directeur dans la fourchette de 5,25% à 5,50% dans laquelle il se trouve depuis juillet dernier, son plus haut niveau depuis plus de 20 ans.

Mais pour l’instant, l’institution monétaire est mitigée sur la dynamique des prix : elle voit l’indice d’inflation PCE finir l’année à +2,6% (en hausse par rapport aux +2,4% de ses dernières prévisions, publiées en mars), puis à +2,3% en 2025 (contre +2,2% auparavant prévus).

 

Economie-États-Unis : tassement de la croissance

Economie-États-Unis : tassement de la croissance
Mauvaises nouvelles aux États-Unis, la croissance  de janvier à mars, a crû, à un rythme annuel, à 1,6 %, alors que les économistes tablaient sur 2,5 %. La détérioration de la balance commerciale et une moindre vigueur de la consommation ont freiné l’expansion.

 
Dans le même temps, l’inflation sous-jacente, mesurée par l’indice des dépenses personnelles de consommation, excluant l’énergie et les produits alimentaires, s’élève à 3,7 %, et non pas de 3,4 % comme on l’anticipait. On est donc très loin du retour à 2 %, objectif de la banque centrale américaine, qui avait été brièvement atteint fin 2023.

Par ailleurs, les dépenses de services, notamment dans la santé, ont accéléré au rythme de 4 % entre janvier et mars, ce qui soutient l’activité. En revanche, la consommation de biens, en particulier dans l’automobile, cède 0,4 %. Dans ce contexte, la baisse de l’épargne, entamée au second trimestre 2023, continue. Le taux d’épargne des Américains tombe ainsi à 3,6 %, contre 4 % à la fin de l’année dernière.

La croissance plonge d’un rythme élevé de 3,4 % fin 2023, à un médiocre 1,6 % début 2024.

États-Unis : tassement de la croissance

États-Unis : tassement de la croissance

 
Mauvaises nouvelles aux États-Unis, la croissance  de janvier à mars, a crû, à un rythme annuel, à 1,6 %, alors que les économistes tablaient sur 2,5 %. La détérioration de la balance commerciale et une moindre vigueur de la consommation ont freiné l’expansion.
Dans le même temps, l’inflation sous-jacente, mesurée par l’indice des dépenses personnelles de consommation, excluant l’énergie et les produits alimentaires, s’élève à 3,7 %, et non pas de 3,4 % comme on l’anticipait. On est donc très loin du retour à 2 %, objectif de la banque centrale américaine, qui avait été brièvement atteint fin 2023.

Par ailleurs, les dépenses de services, notamment dans la santé, ont accéléré au rythme de 4 % entre janvier et mars, ce qui soutient l’activité. En revanche, la consommation de biens, en particulier dans l’automobile, cède 0,4 %. Dans ce contexte, la baisse de l’épargne, entamée au second trimestre 2023, continue. Le taux d’épargne des Américains tombe ainsi à 3,6 %, contre 4 % à la fin de l’année dernière.

La croissance plonge d’un rythme élevé de 3,4 % fin 2023, à un médiocre 1,6 % début 2024.

Economie-Croissance mondiale : tassement sauf aux USA

Economie-Croissance mondiale : tassement sauf aux USA

Deux éléments caractérisent la croissance mondiale , d’une part le tassement général,  d’autre part l’écart croissant entre l’Europe à plus 0,8%  en 2024 et les États-Unis à +2,7 %. La France, elle, devra se contenter de +0,7 %.

Les prévisions de croissance pour 2024 ont ainsi été révisées à la hausse par le FMI de 0,1% depuis les précédentes, publiées en janvier. Cela étant, l’activité mondiale s’établirait, sur cinq ans, à 3,1% soit «le niveau le plus faible enregistré depuis une dizaine d’années.» L’inflation, au niveau mondial, devrait passer d’une moyenne annuelle de 6,8% en 2023 à 5,9% en 2024 puis à 4,5% en 2025.

Dans le détail, pour les économies avancées, la croissance devrait passer de 1,6% en 2023 à 1,7% en 2024. La projection pour cette année a été revue à la hausse de 0,2% par rapport aux dernières prévisions de janvier. Cela s’explique par une correction positive de la croissance américaine : celle-ci s’établirait à 2,7% cette année soit 0,6 point de plus que précédemment estimé. Le FMI confirme ainsi le décrochage de l’Europe face aux États-Unis puisque les prévisions de croissance pour la zone euro ont, elles, été revues à la baisse de 0,1% par rapport à janvier. L’activité s’établirait cette année à 0,8%, puis 1,5% en 2025.

S’agissant de la France, l’institution de Washington table sur une progression du PIB de 0,7% seulement cette année, en recul de 0,3 point par rapport à janvier. Le gouvernement français reste plus optimiste quand il annonce, dans son programme de stabilité, qui sera officiellement présenté mercredi au Conseil des ministres, 1% alors que la Banque de France, plus prudente donne une estimation de 0,8%.

Croissance mondiale : tassement sauf aux USA

Croissance mondiale : tassement sauf aux USA 

Deux éléments caractérisent la croissance mondiale , d’une part le tassement général,  d’autre part l’écart croissant entre l’Europe à plus 0,8%  en 2024 et les États-Unis 2,7 %. La France, elle, devra se contenter de 0,7 %.

Les prévisions de croissance pour 2024 ont ainsi été révisées à la hausse par le FMI de 0,1% depuis les précédentes, publiées en janvier. Cela étant, l’activité mondiale s’établirait, sur cinq ans, à 3,1% soit «le niveau le plus faible enregistré depuis une dizaine d’années.» L’inflation, au niveau mondial, devrait passer d’une moyenne annuelle de 6,8% en 2023 à 5,9% en 2024 puis à 4,5% en 2025.

Dans le détail, pour les économies avancées, la croissance devrait passer de 1,6% en 2023 à 1,7% en 2024. La projection pour cette année a été revue à la hausse de 0,2% par rapport aux dernières prévisions de janvier. Cela s’explique par une correction positive de la croissance américaine : celle-ci s’établirait à 2,7% cette année soit 0,6 point de plus que précédemment estimé. Le FMI confirme ainsi le décrochage de l’Europe face aux États-Unis puisque les prévisions de croissance pour la zone euro ont, elles, été revues à la baisse de 0,1% par rapport à janvier. L’activité s’établirait cette année à 0,8%, puis 1,5% en 2025.

S’agissant de la France, l’institution de Washington table sur une progression du PIB de 0,7% seulement cette année, en recul de 0,3 point par rapport à janvier. Le gouvernement français reste plus optimiste quand il annonce, dans son programme de stabilité, qui sera officiellement présenté mercredi au Conseil des ministres, 1% alors que la Banque de France, plus prudente donne une estimation de 0,8%.

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