Archive pour le Tag 'taxe'

Impôt: Un retour discret de la taxe d’habitation !

Impôt: Un retour discret de la taxe d’habitation !


Le ministre de l’Aménagement du territoire veut «renouer le lien» entre les collectivités et les citoyens qui y résident ! et pour cela il propose une sorte de retour entre  » modeste  » d’une forme de taxe d’habitation pour contribuer au financement des services publics.

On connaît évidemment le mécanisme de progression des prélèvements obligatoires avec au début une taxe dite modeste et qui en ensuite chaque année progresse. Bref le ministre relance l’idée d’une forme d’une taxe d’ habitation. Curieux pour un gouvernement qui affirme ne pas augmenter les prélèvements obligatoires !

Le ministre de l’Aménagement du territoire François Rebsamen a exclu un retour de la taxe d’habitation, dans un entretien à Ouest-France. «On ne va pas recréer la taxe d’habitation , non. Sa suppression était une bonne décision, elle a créé un gain de pouvoir d’achat, on ne reviendra pas là-dessus», a affirmé le ministre. Mais la piste d’une «contribution modeste» pour le «financement des services publics de la commune» est à envisager afin de «renouer le lien» entre les collectivités et les citoyens qui y résident.

Un retour discret de la taxe d’habitation !

Un retour discret de la taxe d’habitation !


Le ministre de l’Aménagement du territoire veut «renouer le lien» entre les collectivités et les citoyens qui y résident et pour cela il propose une sorte de retour entre  » modeste  » d’une forme de taxe d’habitation pour contribuer au financement des services publics.

On connaît évidemment le mécanisme de progression des prélèvements obligatoires avec au début une taxe dite modeste et qui en ensuite chaque année progresse. Bref le ministre relance l’idée d’une forme d’une taxe d’ habitation. Curieux pour un gouvernement qui affirme ne pas augmenter les prélèvements obligatoires !

Le ministre de l’Aménagement du territoire François Rebsamen a exclu un retour de la taxe d’habitation, dans un entretien à Ouest-France. «On ne va pas recréer la taxe d’habitation , non. Sa suppression était une bonne décision, elle a créé un gain de pouvoir d’achat, on ne reviendra pas là-dessus», a affirmé le ministre. Mais la piste d’une «contribution modeste» pour le «financement des services publics de la commune» est à envisager afin de «renouer le lien» entre les collectivités et les citoyens qui y résident.

Trump taxe de 20% sur les importations européennes

Trump taxe de 20% sur les importations européennes


Finalement Trump Va frapper les importations américaines de taxes variant de 10 à près de 50 %. Un véritable séisme qui risque de faire plonger la croissance mondiale et sans doute d’abord celle des États-Unis. La conséquence immédiate sera le plongeon des bourses mondiales mais surtout la montée en flèche d’une inflation aux États-Unis qui va plomber le pouvoir d’achat et l’activité. Pour l’union européenne le taux retenu pour l’instant est de 20 %.

Le pire c’est que Trump aux connaissances économiques assez approximatives reconnaît que la faiblesse de la balance commerciale américaine n’est pas dûe aux droits de douane mais à la délocalisation effectuée par les États-Unis eux-mêmes. Une délocalisation sans doute freinée par les droits de douane mais qui va continuer car le phénomène est structurel. Il faudra des années voir des dizaines d’années pour redresser la barre de l’industrie américaine.

L’union européenne sera durement touchée avec des taxes autour de 20%. Et Trump de critiquer tous les pays avec lequel les États-Unis commercent «On importe aujourd’hui tous nos ordinateurs, nos téléphones, nos puces. La Chine produit toujours plus de puces. Alors que c’était un secteur que l’on dominait complètement auparavant!»

«Nous avons perdu 90.000 usines durant le mandat», assure Donald Trump qui veut œuvrer pour le pouvoir d’achat du peuple américain. Mais qui va pourtant plomber ce pouvoir d’achat avec l’inflation.

Trump veut nouveaux droits de douane contre la taxe GAFA

Le Parlement français a adopté en juillet 2019, soit lors du premier mandat présidentiel de Donald Trump, une loi prévoyant de taxer à 3% les revenus des sociétés qui réalisent un chiffre d’affaires sur leurs activités numériques d’au moins 750 millions d’euros au niveau mondial et de plus de 25 millions d’euros en France.

Une trentaine d’entreprises devaient être concernées, pour la plupart américaines, ce qui avait alors poussé Donald Trump à menacer la France de représailles

Automobile : taxe de 25 % pour les importations américaines

Automobile : taxe de 25 % pour les importations américaines

 

Le président américain Donald Trump a annoncé mardi qu’il prévoyait d’appliquer des droits de douane «d’environ» 25% sur les automobiles importées aux États-Unis, se donnant jusqu’au 2 avril pour décider s’il les imposerait ou non.

Interrogé sur le sujet en conférence de presse à Mar-a-Lago (Floride), Donald Trump a assuré que «ce sera d’environ 25%», ajoutant vouloir néanmoins «donner le temps» aux constructeurs automobiles «pour qu’ils aient des usines ici» et ainsi «qu’ils n’aient pas de droits de douane».

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Défense économique et UE: Pour une taxe carbone aux frontières ?

Défense économique et UE: Pour une taxe carbone aux frontières ?

La directrice du département Innovation et concurrence de l’OFCE, Sarah Guillou, en détaille pour « La Tribune » les potentielles conséquences sur l’économie européenne et les moyens de défense du Vieux Continent.

LA TRIBUNE – Quelles sont les mesures économiques promises par Donald Trump qui auront le plus de conséquences sur l’économie européenne et française ?

SARAH GUILLOU – À court terme, les décisions protectionnistes de hausse de 10% ou 20% des droits de douane sur tous les produits importés aux États-Unis auront un impact immédiat. Cela va clairement perturber les exportateurs européens.

Ces derniers vont devoir soit répercuter les droits sur leurs prix de vente, soit rogner sur leurs marges. Ceux qui ont des marges vont pouvoir maintenir leurs prix constants, mais nombre d’entreprises ne le pourront pas. Cela devrait donc engendrer une hausse des prix des biens européens pour les consommateurs américains. Le risque est que ces derniers se détournent de ces produits quand ils sont substituables par des biens américains.

Les entreprises dont la compétitivité vient surtout du prix. Mais l’Europe ne vend pas beaucoup de biens où seul le prix joue. Elle produit beaucoup de biens de haute qualité qui trouveront toujours des acheteurs, même avec une hausse de leur prix. C’est le cas du luxe, des avions, de la haute technologie ou encore des produits pharmaceutiques. Certains biens n’ont même pas de concurrents américains ! C’est le cas du cognac, par exemple et de certains équipements allemands. Pour ces produits, ce seront les consommateurs américains qui vont devoir payer plus cher dans un premier temps avant de trouver des substituts. Et ce n’est pas en quatre ans que les capacités de production américaines vont réussir à remplacer entièrement celles des autres pays.

Le 47ᵉ président pourra-t-il faire ce qu’il a promis sur les droits de douane ?

La question est de savoir s’il souhaite vraiment faire ce qu’il a dit ou si c’était juste pour plaire à ses électeurs. Mais s’il est déterminé, Donald Trump aura des pouvoirs plus étendus que lors de son premier mandat grâce à la victoire des républicains au Congrès et au Sénat. Dans le même temps, il sera entouré de moins de conseillers souhaitant le freiner qu’il y a quatre ans. Et sur la scène internationale, il n’est pas non plus ralenti par l’Organisation mondiale du commerce qui est très affaiblie.

Mais, s’ils sont très puissants, les États-Unis ne sont pas totalement indépendants du reste du monde. Nous pouvons donc nous demander si le futur président n’envisage pas de négocier rapidement avec ses partenaires commerciaux. Il a été très véhément contre la Chine, dans ses propos. Il va donc sûrement imposer les 60% de droits de douane promis dès son arrivée au pouvoir. Mais avec l’Europe, la Corée ou le Japon, il est plus difficile de savoir s’il va être aussi brutal. Il a justement besoin de ces partenaires pour sa stratégie contre la Chine.

Le prochain président a souhaité baisser les impôts des entreprises américaines et déréguler de nombreux secteurs. Cela pourrait-il amener les entreprises européennes à délocaliser leur production aux États-Unis ?

Pour que les baisses d’impôts soient très attractives, encore faut-il faire beaucoup de profit. Or ce n’est généralement pas le cas des entreprises qui s’installent dans un nouveau pays. Cela pourrait donc ne pas être si tentant que cela pour les sociétés françaises. En même temps, le marché américain est déjà attirant par sa taille et par les faibles prix de son énergie. Baisser les taxes sur les entreprises rajoutera alors un argument pour délocaliser son activité outre-Atlantique, mais cela ne sera pas si décisif.

Cela va être compliqué d’imposer des normes et des contraintes environnementales en Europe – et les coûts qu’elles représentent pour les industriels – si les États-Unis ne le font pas.

D’autant plus que produire aux États-Unis porte un risque lié au dollar que l’évolution de l’inflation et des taux d’intérêt risque de faire beaucoup bouger. Les mesures du futur président pourraient déprécier le billet vert, quand bien même Donald Trump prône l’inverse. Ce serait alors très mauvais pour les entreprises européennes qui généreraient des dollars aux États-Unis et devraient les rapatrier, en euros, dans leurs sièges en Europe. Le taux de change leur ferait, en effet, perdre une partie de leurs profits.

En revanche, je trouve plus problématique la promesse de dérégulation notamment en matière environnementale. Les normes et les contraintes environnementales en Europe, et donc le coût que cela représente pour les industriels vont encore creuser l’écart de compétitivité industrielle entre les deux continents si la bride est lâchée aux Etats-Unis.

En parlant d’écologie, Donald Trump va-t-il supprimer l’Inflation Reduction Act? Quelles en seraient, alors, les conséquences pour les Européens ?

Il a promis d’éliminer les subventions et les crédits d’impôts pour les producteurs d’énergie renouvelable. Il va donc concrètement stopper le financement de l’IRA. Or ce plan inquiète beaucoup les Européens en raison de l’incitation à délocaliser aux Etats-Unis. C’est donc, sur le papier, une bonne nouvelle pour nous.

Mais, même si l’intérêt fiscal de produire outre-Atlantique disparaît, cela reste toujours beaucoup plus compétitif de s’installer là-bas. Je ne pense pas que la fin de l’IRA changera grand-chose pour les Européens du point de vue des des flux d’investissements.

Existe-t-il des conséquences indirectes du programme de Donald Trump sur l’Europe?

Oui, il y aura tout d’abord un fort effet récessif au niveau mondial. Le Centre d’études prospectives et d’informations internationales (Cepii) anticipe une baisse de 2 point de pourcentage de PIB mondial entre aujourd’hui et 2029. Ce n’est pas énorme à première vue, mais il y a un fort risque d’effets en cascade dû aux réactions et aux contre-mesures des différents États face aux mesures de Trump. Et cela pourrait amener à une importante récession. Sans compter qu’il y a aussi un risque de désordre financier si la dette américaine s’envole ou si le dollar chute.

À noter aussi : si la Chine est fortement entravée dans ses échanges avec les États-Unis, elle va chercher d’autres clients pour écouler sa production. Or, l’Europe est son principal client. Donc les sociétés chinoises pourraient décider de baisser leurs prix, à court terme, pour séduire de nouveaux clients. Il y a quelques industries particulièrement menacées comme les constructeurs de voitures, de batteries, d’éoliennes. Mais de manière générale, c’est un vrai problème, car les industriels chinois sont montés en gamme et concurrencent de plus en plus nos propres industries, notamment dans la haute technologie.

Comment l’Europe va pouvoir se défendre face aux États-Unis et à la Chine ?

L’Europe a intérêt à anticiper et à s’unir. La politique commerciale se joue au niveau européen, et l’UE est une puissance commerciale donc nous avons les moyens de présenter une réponse à la hauteur.

Cela pourrait commencer par imposer des droits de douane équivalents à ceux imposés par les Américains à nos produits, ce qui nuirait aux entreprises exportatrices américaines. Cependant, si les Européens décident de mettre en place ce type de représailles, cela risque d’augmenter les coûts de production de nos biens fabriqués avec des pièces ou des matériaux américains.

Nous pourrions utiliser la guerre commerciale contre la Chine pour faire reculer Trump.

Concernant la dérégulation et l’arrêt des normes environnementales promises par Trump, l’Europe pourrait brandir la taxe carbone aux frontières. Le Mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (MACF) vise à soumettre les produits importés dans le territoire douanier de l’Union européenne à une tarification du carbone équivalente à celle appliquée aux industriels européens fabriquant ces produits. Ce serait donc un bon moyen de protéger les entreprises européennes et d’entrer en négociations commerciales avec les États-Unis.

D’ailleurs, l’un des plus importants leviers de l’Europe est celui de la négociation. Et pour cause, les États-Unis veulent emmener les Européens dans leur guerre commerciale contre la Chine. Donc, nous pourrions utiliser ce conflit pour faire reculer Trump sur certaines mesures. Le marché européen est un grand marché qui peut peser dans le monde.

Quels sont les freins qui pourraient empêcher l’Europe de se défendre ?

Le talon d’Achille du Vieux Continent, c’est le consensus européen. S’il y a des négociations entre les États-membres au sujet d’une réponse coordonnée aux États-Unis, les différents pays pourraient rencontrer des difficultés à s’entendre. Les États-membres ayant des industries de moins haute technologie, avec une compétitivité surtout en prix, ou dépendant des intrants américains, pourraient refuser d’empirer la situation en imposant des droits de douane. Mais l’amplitude et l’intensité de l’isolationnisme de Donald Trump pourraient cette fois-ci fédérer les Vingt-Sept.

Le deuxième problème de l’UE, c’est sa lenteur dans les prises de décision. L’Europe va probablement appliquer des mesures de rétorsion. Mais elles risqueraient d’arriver en retard, car les Vingt-Sept ne décident de droits de douane qu’après avoir mené des enquêtes et instruit des dossiers. Il faut que l’UE anticipe les actions des États-Unis et de la Chine et qu’elle soit très réactive et très active dans ses partenariats et ses négociations avec les autres pays.

Budget : une taxe sur le sucre ? Aussi sur le sel, sur la marche à pied et l’air que l’on respire ?

Budget : une taxe sur le sucre ? Aussi sur le sel, sur la marche à pied et l’air que l’on respire ?

 

« Je suis favorable à des taxes sur les sucres transformés », avait affirmé fermement la ministre de la Santé, Geneviève Darrieussecq, lors d’un entretien dans La Tribune Dimanche. Notons déjà que les produits en cause sont évidemment déjà taxés. Pourquoi pas aussi envisager le rétablissement de l’ancienne taxe sur le sel ( La gabelle, Impôt sur le sel créé par Charles d’Anjou, comte de Provence, en 1259). Dans le cadre  de cette foire fiscale on pourrait aussi imaginer une taxe sur la marche à pied. En effet les piétons à chaque pas détériorent les infrastructures. Et pour des raisons écologiques, on pourrait aussi imaginer un impôt sur l’air que l’on respire. Bref le champ des possibles en matière d’impôt est immense et la France se caractérise par des capacités d’ingénierie fiscale insondable. On peut sans doute davantage régulé l’utilisation des sucres mais il n’est pas forcément nécessaire de créer un nouvel impôt pour cela.

Pourtant, ce mardi, elle s’est contentée aujourd’hui d’évoquer des mesures sur les sodas, s’en remettant pour le reste au fait de « convaincre » l’industrie agroalimentaire. « Modifier la taxation sur les sodas, par exemple en faisant en sorte qu’elle soit plus simple et plus contraignante également pour les industriels, je souscris à cette proposition », a-t-elle déclaré à l’Assemblée nationale.

« Par contre, pour ce qui est de l’ensemble de l’industrie agroalimentaire, je crois que nous devons, plutôt que de vouloir systématiquement taxer, (les) convaincre qu’ils aillent vers des recettes utilisant beaucoup moins de sucres », a-t-elle poursuivi.

Un pas en arrière qui survient après un désaccord avec la ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, qui s’est, de son côté, opposée à l’idée de mettre « des boulets aux pieds » des industriels français.

 

Taxe d’habitation: la renaissance ?

Taxe d’habitation: la renaissance  ?

 

Plusieurs députés notamment à gauche mais aussi Copé à droite  veulent réinventer une sorte de taxe d’habitation. En cause évidemment le plan d’austérité pour les collectivités locales. Notons cependant que le transfert de l’ancienne taxe dans l’impôt foncier est déjà largement entamé. Rétablir la taxe d’habitation avec un haut niveau d’impôts fonciers constituerait une sorte de double peine. Même si le nouvel impôt s’intitule « taxe territoriale ».

 

En matière d’ingénierie fiscale les députés ne manquent pas d’imagination en évoquant la piste d’une contribution territoriale universelle pour « tenter de retisser le lien entre les citoyens et leurs communes. » Comme si ces liens n’existaient pas déjà à travers les innombrables impositions et taxes de toute nature. Le problème évidemment est que les collectivités locales ne veulent surtout pas qu’on touche à leur fromage qui ne cesse de s’agrandir en même temps que les étagères administratives et politiques inutiles avec leur cortège de fonctions politiques, de budget et de sureffectifs.

 

La renaissance de la taxe d’habitation ?

La renaissance de la taxe d’habitation ?

 

Plusieurs députés notamment à gauche veulent réinventer une sorte de taxe d’habitation. En cause évidemment le plan de stérilité pour les collectivités locales. Notons cependant que le transfert de l’ancienne taxe dans l’impôt foncier est déjà largement entamé. Rétablir la taxe d’habitation avec un haut niveau d’impôts fonciers constituerait une sorte de double peine.

 

En matière d’ingénierie fiscale les députés ne manquent pas d’imagination en évoquant la piste d’une contribution territoriale universelle pour « tenter de retisser le lien entre les citoyens et leurs communes. »Comme si ces liens n’existaient pas déjà à travers les innombrables impositions et taxes de toute nature. Le problème évidemment est que les collectivités locales ne veulent surtout pas qu’on touche à leur fromage qui ne cesse de s’agrandir en même temps que les étagères administratives et politiques inutiles avec leur cortège de fonctions politiques, de budget et de sureffectifs.

 

Taxe foncière : une hausse de près de 35% en 10 ans

Taxe foncière : une hausse de près de 35% en 10 ans 
 

Les montants de taxes foncières payées par les propriétaires ont bondi de 20% en moyenne en France entre 2018 et 2023, et de 32,9% depuis 2013, principalement à cause de l’inflation des valeurs locatives selon un rapport publié ce mardi.

 

Si cette envolée est liée à « la suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales », qui a poussé beaucoup de communes à augmenter les prélèvements de taxes foncières, et à « la multiplication des taxes additionnelles », elle est surtout due à la hausse des valeurs locatives, qui sert de base au calcul de la taxe foncière.

 

Pour l’UNPI, la progression de près de 33% de la taxe foncière en dix ans, comparée à une inflation de 19% et à une hausse de 7,7% de l’indice des loyers d’habitation de l’Insee, constitue « un traitement fiscal injuste ». En réponse, l’organisation émet cinq revendications visant à partager le coût de ces impôts locaux, à limiter leur hausse et à inciter les travaux de rénovation énergétique.

Taxe sur l’électricité : la ministre de l’écologie critique par avance

Taxe sur l’électricité : la ministre de l’écologie critique par avance

 

Invitée sur France 3 ce dimanche, Agnès Pannier-Runacher a mis en garde contre tout renchérissement. Certes la situation géopolitique fait qu’il est possible de « remettre la taxe que payaient les Français avant la crise de l’énergie au niveau d’avant-crise », soit à 32 euros le mégawattheure contre 22 actuellement, mais « simplement, il ne faut pas aller au-delà », a prévenu la ministre de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Prévention des risques.

 

Pour résumer les tarifs d’électricité pourraient subir une hausse des taxes qui viendraient annuler les 10 % de réduction qui avait été prévues ! il faudra être vigilant », a martelé Agnès Pannier-Runacher Qui s’adresse là surtout à Bercy et au Premier ministre avant les arbitrages qui seront effectuées à l’Assemblée nationale

 

Voitures chinoises : taxe aussi de 100 % par le Canada

Voitures chinoises : taxe aussi de 100 % par le Canada

Tandis que l’union européenne ergote sur le niveau de taxation des voitures chinoises avec un taux autour de 36 %, le Canada suit l’exemple des États-Unis et décide une surtaxe de 5 %. En cause vivement le fait que l’ensemble de l’économie chinoise est subventionné par l’État. Les distorsions de concurrence dans ce domaine stratégique offrent une opportunité exceptionnelle à la Chine d’envahir le marché mondial. À noter toutefois que les acheteurs potentiels de nouveaux véhicules électriques sont beaucoup moins enthousiasme vis-à-vis de cette technique en Europe en particulier. En cause l’autonomie, parfois la fiabilité et surtout le prix.

 

Un choix motivé par le fait que « la Chine ne respecte pas les mêmes règles que les autres pays », a affirmé, lundi, le Premier ministre canadien Justin Trudeau lors d’une conférence de presse à Halifax (est). « Nous devons défendre les emplois et les intérêts canadiens », a-t-il insisté.

« La Chine exprime son vif mécontentement et son opposition résolue » à cette décision, a fustigé ce mardi dans un communiqué son ambassade au Canada, assurant que le pays « prendra toutes les mesures nécessaires » pour protéger ses entreprises.

. La semaine dernière, l’Union européenne (UE) a ainsi confirmé sa volonté de surtaxer pendant cinq ans les voitures électriques provenant de Chine. Ces surtaxes, qui peuvent atteindre jusqu’à 36%, remplaceront des taxes provisoires décidées début juillet à l’encontre des véhicules électriques importés de Chine. La majeure partie des constructeurs chinois est concernée par ces nouveaux droits de douane européens. Bruxelles les imposera notamment à BYD (à hauteur de 17%), à Geely (19,3%), et à SAIC (36,3%), parmi les constructeurs les plus importants de Chine. Tout comme Ottawa, Bruxelles estime les prix des véhicules chinois artificiellement bas du fait de subventions d’Etat qui faussent le marché et nuisent à la compétitivité des constructeurs européens.

 

 

Taxe foncière : vers une nouvelle augmentation

Taxe foncière : vers une nouvelle augmentation

 

Depuis que la taxe d’habitation a été supprimée progressivement le montant de la taxe foncière s’envole. Il s’agit d’une fiscalité destinée aux collectivités locales qui justifient ces hausses par de nouvelles charges et une insuffisante compensation par l’État. En 2023, le montant de taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) s’élevait à 50,8 Md€, frais de gestion et taxes annexes inclus . Hors taxes annexes et frais de gestion, la TFPB s’élève à 39,8 Md€ en 2023. Ce montant a augmenté de 9,7 % en 2023. Cette année en moyenne on pourrait aussi être proche de l’ordre de 10 % et avec encore de très gros écarts autour de cette moyenne.

Alors qu’ils reçoivent les derniers avis d’impôt sur le revenu, les contribuables également propriétaires n’en ont pas encore fini avec la rentrée fiscale. Cette année, les avis de taxes foncières seront mis en ligne à partir de ce mercredi, le 28 août, pour les contribuables non mensualisés et à partir du vendredi 20 septembre pour ceux qui ont opté pour la mensualisation. Pour les contribuables qui reçoivent encore leur avis sous format papier, les documents seront adressés par la direction générale des finances publiques (DGFiP) à partir de ce mercredi. Pour la date limite de paiement, cette année, ce sera le 20 octobre pour les contribuables qui souhaitent payer en ligne et le 15 octobre pour les autres.

 

Cryptomonnaies: Une taxe sur le minage

 Cryptomonnaies: Une taxe sur le minage

 

 Le Fonds monétaire international (FMI) propose taxer le minage, soit la création de ces monnaies virtuelles, dans un article publié sur son blog le 15 août dernier. Une taxe qui «inciterait l’industrie du minage à réduire ses émissions conformément aux objectifs mondiaux», explique-t-il. Selon l’organisation, une transaction en cryptomonnaies nécessite la même quantité d’électricité qu’un Ghanéen ou un Pakistanais consomme en trois ans. 

Et le poids du minage de bitcoin ne cesse de grimper dans la consommation mondiale d’électricité. En 2022, les centres de données liées à l’intelligence artificielle (IA) et le minage de cryptomonnaies ont représenté 2% de la demande mondiale d’électricité. Selon les projections de l’Agence internationale de l’énergie et du FMI, ce chiffre va grimper à 3,5% en 2027. «Cela équivaudrait à la consommation actuelle du Japon, cinquième consommateur d’électricité au monde», décrypte le FMI. Ce dernier estime également que le minage de cryptomonnaies pourrait générer 0,7% des émissions mondiales de dioxyde de carbone d’ici à 2027.

 

Taxe sur les super riches : une promesse de coiffeur

Fiscalité: Taxe sur les super riches : une promesse de coiffeur

Le G20 finalement s’est opposé à la création d’une fiscalité obligatoire sur les super riches. À la place,  on se satisfait d’une promesse de coiffeur afin de coopérer pour une justice fiscale plus équitable. Une promesse dans la mise en œuvre dépendra de la responsabilité de chaque pays autant dire de personne car les supers fortunes ont l’art de surfer sur les pays les plus tolérants fiscalement.

Le G20 évoque seulement des échanges de bonnes pratiques et la conception de mécanismes de lutte contre l’évasion fiscale, afin de lancer la coopération internationale en matière fiscale.

« Dans le plein respect de la souveraineté fiscale, nous nous efforcerons de coopérer pour faire en sorte que les personnes très fortunées soient effectivement imposées », est-il indiqué dans une déclaration commune sur la « coopération fiscale internationale », publiée à l’issue des travaux.

 

Outre le Brésil, la France, l’Afrique du Sud, l’Espagne et l’Union africaine soutenaient une taxation internationale des super-riches. Mais les Etats-Unis ont rejeté des négociations internationales sur le sujet : s’ils souhaitent que les plus riches paient leur juste part, ils considèrent que la fiscalité est d’abord l’affaire de chaque pays. Une manière de renvoyer la question aux calendes grecques. À noter cependant que les écarts de richesse sont souvent les plus énormes et les plus scandaleuses dans les pays les plus pauvres.

 

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