Archive pour le Tag 'tentative'

Retraites : la tentative de capitalisation pointe son nez chez les assureurs

Retraites : la tentative de capitalisation pointe son nez chez les assureurs

Plusieurs leaders d’opinion avancent de manière masquée pour substituer au moins en partie un système de capitalisation dans la réforme de la retraite. Il s’agit financièrement d’un enjeu énorme puisque le système par répartition (les actifs payent pour les retraités) représente plus de 300 milliards. De quoi faire saliver les assureurs qui lancent des ballons d’essai via les hommes politiques. Exemple ,cette interview du maire de Cannes LR, David Lisnard, qu’on dit très proche de Macron et qui avec ses gros sabots compare le système actuel à la pyramide de Ponzy ( système crapuleux qui consiste à voler l’argent d’un tiers pour le rembourser avec un nouveau vol d’un autre tiers).

David Lisnard est très représentatif de la classe politique. Sortie d’un institut d’études politiques, il n’a pratiquement jamais travaillé et a suivi le cursus traditionnel des politiciens professionnels. NDLR

INTERVIEW de Lisnard dans le JDD

Vous défendez l’introduction d’une part de capitalisation dans le système des retraites. Pourquoi ?
C’est la meilleure solution pour garantir aux retraités un pouvoir d’achat supérieur à ce que permet le système par répartition, assainir les comptes publics et renforcer l’investissement dans les entreprises. Je pars d’un double constat : la capitalisation, ça existe déjà en France et à l’étranger, et ça marche ; et notre système par répartition est dans une impasse. Je le dis en particulier aux jeunes qui manifestent aux côtés des boomers : ils défendent un système qui, dans quarante ans, supposera que chaque actif verse plus de 1 000 euros par mois pour payer la pension des retraités. Parce qu’avec l’évolution démographique, on passe de six actifs pour un retraité à la Libération à 1,7 aujourd’hui, et 1,2 dans quinze ans. Notre système de retraites, c’est une pyramide de Ponzi.

Comment fonctionnerait un système par capitalisation ?
Je propose de mettre en place un système hybride : garder un système par répartition qui garantirait une pension minimale de 1 200 euros, avec un complément par capitalisation. Sur 100 euros de cotisation, 68 euros financeraient le système par répartition, le reste étant capitalisé, au moyen d’un véhicule financier qui serait contrôlé par l’État et géré de façon paritaire. L’État, qui garantit aujourd’hui le système par répartition, en serait là aussi le garant.

Soudan : encore une tentative de putsch en Afrique

Soudan : encore une tentative de putsch en Afrique

Encore une tentative de en Afrique mais cette fois qui semble contenue. Mais cette tentative illustre à nouveau la fragilité du Sahel. Le Premier ministre soudanais, Abdallah Hamdok, a dit avoir résisté à une tentative de coup d’État manquée contre son gouvernement de transition, ce mardi 21 septembre dans la matinée, rapporte Al-Jazeera. Selon les annonces officielles, le putsch serait “une extension des tentatives précédentes”. Il aurait été mené par des officiers militaires et des civils, soutiens de l’ancien président Omar Al-Bachir, déchu en 2019 à la suite d’un vaste mouvement de protestation.

Une source gouvernementale a déclaré à Al-Jazeera que des informations sur le projet de coup d’État étaient arrivées aux oreilles du gouvernement dans la soirée du lundi 20 septembre. Cet épisode s’inscrit dans une série de tentatives de putsch entrepris depuis un an dans la région du Sahel.

Les Etats-Unis ont condamné mardi 21 septembre cettetentative de coup d’Etat au Soudan, dénonçant les «actes anti-démocratiques» et mettant en garde contre «toute ingérence extérieure pour semer la désinformation ou saper la volonté des Soudanais».

Dans un communiqué, le porte-parole de la diplomatie américaine Ned Price a apporté son soutien à la «transition démocratique» en cours.

 

« Insurrection » et tentative de « coup d’État » à Washington ( Biden)

« Insurrection » et tentative de « coup d’État » à Washington ( Biden)

“Ce n’est pas une manifestation, c’est une insurrection”, a déclaré Biden après l’envahissement du capital par les supporters de 30 chauffés à blanc par Trump  qui refuse toujours de reconnaître sa défaite et accuse le monde entier d’en être responsable à commencer par les médias.

D’une certaine manière, Trump a joué  les pompiers pyromanes. Il a d’abord tenu un énorme meeting où il n’a cessé d’accuser la presse, les démocrates et les institutions. Il a mis sous pression le vice président pour lui demander d’annuler la victoire de Biden lors de la cérémonie du congrès au Capitole. Il a invité ses partisans à se rendre au Capitole. Lesquels ont pris son message au pied de la lettre en envahissant ce haut lieu de la démocratie. EnsuiteTrump  a fait marche arrière. Après avoir provoqué le pire des arts et connus les États-Unis, il a demandé à ses fans de se retirer .

“Je demande à cette foule de se retirer et de laisser la démocratie faire son oeuvre”, a ajouté Joe Biden, priant au passage le président en exercice de se présenter à la télévision pour que “cesse le siège ». Réagissant dans une vidéo publiée sur Twitter, Donald Trump a réaffirmé que sa victoire lui avait été volée tout en demandant à ses partisans de quitter les lieux.“Vous devez rentrer chez vous, nous avons besoin de paix”, a-t-il dit.

Réunis en Congrès, la Chambre des représentants et le Sénat américains avaient ouvert plus tôt la procédure visant à certifier le résultat du vote des grands électeurs qui a abouti en décembre à la désignation de Joe Biden comme vainqueur de la présidentielle de novembre.

Leurs travaux ont été interrompus lorsqu’une foule d’émeutiers s’est approchée du Capitole avant d’y pénétrer, conduisant des policiers acculés à sortir leurs armes à feu. Selon plusieurs médias américains des coups de feu ont été tirés et une personne, au moins, a été blessée.

Sur CNN, où peu de commentateurs cachent leur hostilité à l’encontre de Donald Trump, des journalistes médusés ont évoqué une “tentative de coup d’Etat” et accusé le président américain d’être responsable et d’avoir encouragé l’insurrection.

De fait, Donald Trump avait électrisé quelques heures plus tôt la foule réunie non loin de la Maison blanche en dénonçant les médias et Hillary Clinton, son adversaire de la présidentielle de 2016, ou en présentant les victoires électorales démocrates comme des “explosions de conneries”.

Parmi ces manifestants figuraient un certain nombre de membres de groupes d’extrême droite dont certains appartiennent au mouvement des “Proud Boys” dont le chef, Enrique Tarrio, a été mis à l’écart de la capitale américaine par les autorités locales.

Syndicats : après le mépris une tentative de séduction

Syndicats : après le mépris une tentative de séduction

 

Pendant près d’un an le gouvernement a manifesté le plus grand mépris à l’égard des syndicats. Non seulement il les a ignorés mais il a tenté d’écraser et d’humilier la CGT. Certes les syndicats ne sont pas sans défauts. Eux aussi ressemblent à des superstructures un peu coupé du réel tant du point de vue économique que sociale. Ils sont cependant indispensables comme outil de médiation à moins d’adhérer pour une démocratie monarchique qui privilégie les relations directes entre le pouvoir central et les salaries. Une pratique bien connue dans les dictatures mais sans doute peu adaptée aux usages et à la sociologie française. Du coup, le gouvernement doit maintenant faire avaler sa difficile réforme des retraites et celle aussi de l’assurance chômage. Pour faire passer la pilule fera sans doute quelques concessions aux syndicats notamment sur les contrats de travail court  L’objectif est d’arriver à un diagnostic commun sur le recours aux contrats de courte durée qui doit servir de base à la lettre de cadrage de la prochaine négociation sur la nouvelle convention de l’assurance chômage. Emmanuel Macron, qui a souhaité avancer ces négociations – elles étaient prévues pour fin 2019, début 2020 -, a fait savoir aux partenaires sociaux que la lutte contre la précarité (recours abusif aux contrats courts) et la “permittence” (cumul emploi-chômage) devait être une de leurs priorités. Au sein de l’exécutif, on se défend de changer de méthode. “Il y a toujours eu un fil de discussion extrêmement intense (avec les partenaires sociaux), que ce soit sur les réformes globales ou sectorielles”, a déclaré une source à l’Elysée. Mais on dit tout de même “entrer dans une nouvelle phase”. Le gouvernement, qui a voulu construire un modèle de “flexisécurité” à la française en cette première année du quinquennat, compte maintenant bâtir un “Etat-providence du 21e siècle”. Toujours le m^me décalage entre le 18ème et le 21è siècle ! Pour cela, il a besoin du soutien des corps intermédiaires. “On est à un moment où on doit mettre en oeuvre les réformes. On a besoin qu’il y ait la mobilisation de tous (…) partenaires sociaux, entreprises, territoires, associations”, dit cette source de l’Elysée. Pour l’équipe du cabinet de la ministre du Travail, ce soutien est d’autant plus important qu’il soit crucial pour permettre au pays de diminuer le taux de chômage. Emmanuel Macron s’est donné pour objectif durant la campagne de l’amener à 7% d’ici 2022. “Si on n’est pas capable de réduire le chômage au moment où il y a une forte croissance avec une forte demande de travail des entreprises, quand ça va redescendre, ça va être très compliqué. Il faut absolument être capable d’y répondre maintenant”, avait déclaré un proche de Muriel Pénicaud au moment de voter le projet de loi réformant la formation professionnelle et l’assurance chômage. Le problème c’est que contrairement à ce qu’affirment Muriel et Nico la ministre du travail dans une période de forte croissance. En effet cette croissance fixée par le gouvernement à 2 % va retomber de 1,5 %. C’est-à-dire à un niveau où il n’est plus possible de dégager un solde positif de création d’emplois

Télécom : nouvelle tentative de regroupement ?

Intox  ou réalité, c’est en tout cas ce que dit le patron d’Orange qui   »a évoqué la reprise de contacts entre les opérateurs sans qu’Orange soit moteur dans ces échanges » lors d’une rencontre avec des investisseurs à Londres le 13 septembre, a rapporté un porte-parole de l’ancien monopole public. Les concurrents d’Orange démentent cependant les perspectives de rapprochement. Un rapprochement qui paraît pourtant inévitable, il y a en effet un opérateur de trop sur le marché. Du coup la concurrence s’accroît dans des conditions excessives, la rentabilité se dégrade et on voit surtout mal comment autant d’opérateurs pourront financer les énormes investissements pour développer le très haut débit. Pour l’instant le consommateur profite de cette concurrence exacerbée par la présence de quatre opérateurs. Un de trop de toute évidence. Cependant « Le groupe Bouygues dément catégoriquement avoir repris des discussions avec des opérateurs télécoms en vue d’une consolidation du marché français », a réagi ce dernier dans un communiqué, un démenti aussi formulé par un porte-parole d’Altice. Un porte-parole d’Iliad a de son côté refusé de commenter cette information. Depuis deux ans, les opérateurs télécoms ont déjà tenté à de multiples reprises de trouver un accord pour ramener à trois le nombre d’acteurs sur un marché éprouvé par la bataille des prix consécutive à l’arrivée de Free dans le mobile en 2012. Dernière tentative en date, Bouygues et Orange avaient officialisé début janvier la reprise de discussions après avoir échoué une première fois à s’entendre en 2014. L’opération, évaluée à 10 milliards d’euros, était conditionnée à la revente d’actifs de Bouygues Telecom à Free et SFR pour obtenir le feu vert de l’Autorité de la concurrence. Les discussions ont été rompues début avril, les différents protagonistes se rejetant alors la responsabilité de cet échec. Bouygues, qui a depuis décidé de faire cavalier seul, avait précédemment refusé un chèque de 10 milliards d’euros de l’homme fort des télécoms Patrick Drahi, le fondateur d’Altice. En dépit de ces échecs répétés, certains investisseurs espèrent toujours une consolidation alors que la bataille des promotions continue de faire rage entre les opérateurs au moment même où ils doivent consentir de lourds investissements pour déployer leurs réseaux de très haut débit.

(Avec Reuters)

Un proche de Dassault accusé de tentative d’assassinat

Un proche de Dassault accusé de tentative d’assassinat

C’est pas la mafia mais ça y ressemble. Une  ramification de l’affaire des achats de voix à Corbeil-Essonnes, pour laquelle l’ancien maire de la ville Serge Dassault est mis en examen. Younès Bounouara, relais de Serge Dassault dans les quartiers, est soupçonné d’avoir tiré sur Fatah Hou en février 2013. Il affirme que ce dernier l’avait menacé.  Younès Bounouara est considéré comme le relais de Serge Dassault dans les quartiers de Corbeil-Essonnes. Ce chef d’entreprise quadragénaire est renvoyé devant les assises pour avoir tenté d’assassiner Fatah Hou, en février 2013. L’affaire est étroitement liée aux soupçons d’achats de voix qui pèsent sur Serge Dassault. Le milliardaire, ancien maire de Corbeil-Essonnes, est mis en examen dans ce dossier. Il aurait favorisé à coups de liasses de billets l’élection de son protégé, Jean-Pierre Bechter, à la tête de la ville en 2010. Mais cet argent aurait ensuite été mal réparti dans les quartiers. Fatah Hou, un boxeur de la cité des Tarterêts, estime avoir été lésé par Younès Bounouara, chargé selon lui de la distribution. Serge Dassault a été enregistré à son insu fin 2012. Dans l »enregistrement, l’homme d’affaires y évoquerait ouvertement le versement d’argent. Un document publié par Mediapart en septembre 2013. Aujourd’hui, Serge Dassault nie tout achat de voix, il assure que cet argent était destiné à financer des projets industriels en Algérie. C’est au sujet de ces versements que Younès Bounouara et Fatah Hou ont eu une altercation. Younès Bounouara est soupçonné d’avoir tiré le 19 février 2013 sur le véhicule de Fatah Hou. Le boxeur est alors grièvement blessé, il en garde des séquelles. Younès Bounouara est aussi renvoyé aux assises pour « violences volontaires avec arme »  à l’encore des trois personnes qui étaient dans le véhicule de Fatah Hou et qui n’ont pas été blessées. Après les faits, Younès Bounouara s’est enfui en Algérie, avant de se rendre en novembre 2013. Il affirme s’être défendu contre Fatah Hou qui le menaçait. Serge Dassault, 90 ans, n’est, lui, pas poursuivi dans cette affaire. ( France info)

 




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