Archive pour le Tag 'pas'

France Finances publiques : encore dégradée mais pas encore mortelle !

France Finances publiques : encore dégradée mais pas encore mortelle !

L’agence de notation Fitch a décidé d’une nouvelle dégradation de la dette publique de la France qui passe ainsi de A+ à A. Conséquence directe une augmentation des taux d’intérêt comme les taux à 10 ans par exemple. Ces taux d’intérêts tournent autour de 3,50 % et passent au-dessus de ceux de l’Italie pourtant davantage endettée mais en net redressement.

La conséquence directe pour les entreprises comme pour les consommateurs sera une évolution en hausse du coût de l’argent. Notons cependant que ces taux n’ont pas encore contaminé l’inflation et qu’il convient d’en relativiser les effets immédiats. L’inflation se maintient pour l’instant en dessous de 1 %. En cause, la modeste croissance de 0,8 % sur un an qui traduit en particulier le tassement de la consommation et des investissements. Cette dégradation n’est pas évidemment une bonne nouvelle pour la France, elle traduit la dérive de la gestion financière de l’État depuis 40 à 50 ans. La vérité sans doute c’est que la puissance publique -au plan national comme local -ne maîtrise plus grand-chose.

La banqueroute est encore lointaine mais sur la tendance elle pourrait bien venir avec notamment les déficits du budget de l’État et de la sécurité sociale mais aussi le gonflement des dépenses du millefeuille administratif local ( communes, communes regroupées, communauté de communes, départements, régions et bien sûres État). La situation n’est donc pas dramatique mais elle deviendra à échéance d’une vingtaine d’années. Pour l’instant les déséquilibres sont à relativiser compte tenu de la richesse réelle de la France. En effet l’épargne des Français est considérable et il convient aussi de la mettre en regard des déficits publics. L’épargne totale des Français est de 6300 milliards. Le taux d’épargne des Français est de 18,2 % de leurs revenus disponibles en moyenne selon l’INSEE. Un taux qui ne cesse d’augmenter ( pour ceux qui évidemment peuvent épargner, c’est-à-dire près de 50 % de la population) du fait des incertitudes actuelles.

Le plus grave dans cette affaire c’est le sentiment de déclassement de la France même s’il n’est pas toujours justifié. Ainsi le tassement des investissements de capacité mais surtout d’innovation constitue une hypothèque pour le devenir du pays. Cela d’autant plus que nous souffrons d’un déficit déjà de production et de compétitivité. Pour parler simple, on ne produit pas assez (notamment parce qu’on ne travaille pas assez) et la France est en retard technologique global) Elle doit parallèlement revoir son rapport au travail et le contenu de sa formation

Bayrou avait raison de tirer la sonnette d’alarme surtout sur les conséquences très néfastes pour les générations à venir. Cependant il a eu tort de dramatiser et surtout de faire tout seul sa petite tambouille personnelle avec quelques conseillers sachant que la stratégie impose d’impliquer dès le départ- y compris celui de l’analyse- les acteurs économiques et organisations intermédiaires. On ne peut mobiliser sans une analyse partagée. Mais l’objectif n’était pas là pour Bayrou, il s’agissait pour lui de tenter de partir dignement avant d’être mis à la porte. Une situation que pourrait bien connaître le nouveau premier ministre Lecornu s’il ne change pas réellement sur le fond et la forme et s’en tient à des éléments de langage flous.

Ukraine–Poutine: Trump prêt pour une rencontre hypothétique

Trump prêt pour une rencontre qui n’aura pas lieu


On continue évidemment de jouer au chat et à la souris côté américain sur le dossier ukrainien. Trump aurait sans doute pu envisager une rencontre avec Poutine mais il complique la situation en se montrant ouvert à une réunion avec Poutine mais aussi Zelinsky. Or on sait que Poutine refusera cette proposition de réunion avec le dirigeant ukrainien. L’objectif américain est sans doute de mettre un peu en difficulté sur le plan diplomatique un Poutine campé sur ses positions de défaite complète de l’Ukraine et qui réclame aussi le départ Zelinsky. Actuellement, même une réunion entre Trump et Poutine paraît hypothétique.

Pourtant Donald Trump est «ouvert à une rencontre à la fois avec le président (russe Vladimir) Poutine et avec le président Zelensky», a déclaré sa porte-parole, Karoline Leavitt, interrogée sur ces informations. Elle a précisé que «les Russes (avaient) fait part de leur désir de rencontrer» le président américain, dans un contexte qui s’est nettement tendu récemment entre Moscou et Washington.

Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a toutefois nuancé mercredi en affirmant qu’il y avait «encore beaucoup de travail» avant une éventuelle rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine.

Défense :  La stratégie n’est pas convaincante

Défense :  La stratégie n’est pas convaincante

François Cornut-Gentille, ex-député (Les Républicains) spécialiste des questions militaires, estime, dans une tribune au « Monde », que sur la perception des nouvelles menaces militaires et sur les efforts financiers à fournir, la France se berce d’illusions.

La France vient d’actualiser sa revue stratégique qui décrit pour les années à venir les risques auxquels notre pays se trouve confronté ainsi que les moyens d’y faire face. C’était par ailleurs le thème de l’intervention traditionnelle du président de la République à la veille du 14-Juillet. Au regard de leur importance, ces travaux et ce discours n’ont eu qu’un faible écho. Pourtant, ce qui a été énoncé aura des conséquences concrètes pour les Français dès le budget de 2026 et impliquera, sur le moyen terme, une véritable reconfiguration de l’Etat, bien au-delà de notre seul appareil militaire.

Le document ministériel analyse dans toutes ses composantes un véritable basculement dans un monde de plus en plus dangereux. La menace russe est placée au premier plan, peut-être trop, ce qui a pour effet de relativiser les autres risques qui pourtant ne sont pas négligeables. Le postulat est que la France doit être prête dès 2030 à affronter, dans le même temps, un conflit de haute intensité ainsi que des opérations de déstabilisation sur le sol national. Une sombre perspective à laquelle il faut hélas se préparer dans l’espoir de dissuader nos adversaires.

C’est là que les choses se compliquent. Car si l’on prend au sérieux le scénario envisagé – et il est malheureusement raisonnable de le faire –, il faut aussitôt dire que la revue stratégique n’est pas du tout convaincante sur notre capacité à être au niveau requis en temps voulu (2030). Certes, sur ce qu’il convient de faire, tout est vu et tout est dit ; toutefois, le passage à la réalisation est peu crédible. Les services ont édifié une sorte de ligne Maginot, qui ne tient que sur le papier. Les intentions et les fiches action sont déjà tenues pour des actes.

A l’abri de cette rassurante fiction, le chef de l’Etat peut mettre en scène sa lucidité et son volontarisme. Pour lui, l’essentiel étant acquis, il ne reste qu’à accélérer. Mais c’est ignorer quelques faits têtus qui indiquent que nous sommes encore très loin du compte.

 » Sans maths, pas de rigueur de pensée »

 » Sans maths, pas de rigueur de pensée »

Sans mathématiques, pas de rigueur de pensée. Sans compréhension des algorithmes, des données et des modèles, nous sommes dépendants des machines que nous pensons contrôler, écrit Jean-Eric Aubert, président de la Fondation 2100. dans la Tribune

En matière d’éducation, la France semble avoir pris goût au déclin. L’effondrement du niveau en mathématiques de ses élèves est avéré : nous chutons d’année en année aux classements internationaux et en 2023, 64 % des élèves de quatrième ne maîtrisaient pas les bases du calcul et du raisonnement logique. À ce rythme, c’est la cohérence même de notre modèle républicain, fondé sur l’égalité des chances et la méritocratie, qui vacille, comme le démontre la Note d’alerte « Éducation en mathématiques : une urgence nationale qui engage l’avenir » que vient de publier la Fondation 2100.

Mais l’enjeu dépasse largement le cadre scolaire. Car ce décrochage mathématique mine notre compétitivité économique, fragilise notre souveraineté technologique et réduit notre capacité à anticiper les grandes transitions à venir. Une nation qui ne forme plus ses jeunes à l’abstraction, au raisonnement rigoureux, aux outils quantitatifs, se prive de ses futurs ingénieurs, chercheurs, enseignants, mais aussi de citoyens capables de comprendre le monde complexe qui s’annonce.

Nous savons bien comment nous en sommes malheureusement arrivés là. Depuis quarante ans, les programmes ont été allégés, la formation des enseignants appauvrie, la pédagogie détournée de son exigence de fond. Et la récente réforme du lycée a aggravé les choses, en retirant les mathématiques du tronc commun. Résultats : un recul du niveau général, une chute des vocations scientifiques et un creusement des inégalités, les premières victimes de désastre étant les jeunes filles et les élèves issus de milieux modestes ou des zones rurales.

Ce n’est pas une fatalité, mais il faut une prise de conscience politique à la hauteur des enjeux. Car il ne s’agit pas seulement de réintroduire quelques heures de maths dans les programmes : il faut redonner du sens à l’apprentissage des mathématiques, revaloriser la discipline dans l’imaginaire collectif, recruter et former des enseignants solides, développer des parcours diversifiés adaptés à la pluralité des talents.

Réparer notre lien aux mathématiques pour reconstruire l’avenir

La France a tout pour réussir, car elle dispose d’une tradition scientifique de haut niveau, d’institutions reconnues, d’une jeunesse encore curieuse et inventive. Mais sans volonté claire, sans vision à long terme, nous continuerons à gérer le déclin au lieu de préparer l’avenir.

Il ne s’agit pas de tout prévoir, mais à tout le moins se donner les moyens d’anticiper, de se projeter, d’imaginer. C’est l’objet même de la prospective : éclairer les futurs possibles pour mieux agir au présent. À l’horizon 2100, le monde sera encore plus numérique, interconnecté, bouleversé par l’intelligence artificielle, les bio et nanotechnologies, ainsi que par les défis climatiques et les grandes mutations géopolitiques. Former dès aujourd’hui des générations à la pensée logique, à l’analyse des données, à la compréhension des systèmes, est un impératif stratégique. Et en réparant notre rapport aux mathématiques, nous commencerons à répondre à cette exigence.

La Fondation 2100 appelle à une mobilisation générale et urgente de toutes les parties prenantes : pouvoirs publics, établissements éducatifs, entreprises et citoyens. Elle préconise une réforme systémique, qui valorise les mathématiques à tous les niveaux de la société : renouvellement de la formation et revalorisation des salaires des enseignants, adaptation des méthodes pédagogiques, développement des mathématiques alternatives, formation continue tout au long de sa vie, etc.

Former aux mathématiques, c’est garantir notre souveraineté tout autant que notre libre arbitre à l’ère de l’IA. Il faut donner à chacun les clés de son futur.

______

(*) Jean-Eric Aubert est Président de la Fondation 2100, think tank dédié à la prospective de long terme. Ancien haut-fonctionnaire international (OCDE, Banque mondiale), il est expert en stratégies d’innovation et de développement économique auprès des gouvernements.

Déficits: La France ne travaille pas assez

Déficits: La France ne travaille pas assez


«Si notre production par habitant était dans la même gamme que celle de nos voisins européens ( 15% de moins que la moyenne européenne), nous n’aurions pas de déficit budgétaire» ne cesse de répéter Bayrou déplorant aussi «un taux d’emploi plus faible» chez les jeunes et les seniors.

Bayrou considère par ailleurs que la France est «le pays du monde qui dépense le plus d’argent public». Pourtant, «beaucoup de pays plus développés que nous du point de vue de l’épanouissement de leurs citoyens (…) ont fortement réduit leurs dépenses lorsqu’ils ont été menacés de déséquilibres», a-t-il assuré, pour qui donc «l’excès de dépenses publiques ne fait pas le bonheur».

Pour François Bayrou la dette est «un piège dangereux, potentiellement irréversible», «inacceptable parce que nous ne pourrons pas en supporter durablement la charge» qui pourrait «atteindre 100 milliards d’euros en 2029». «Ce risque est politiquement insoutenable, mais plus profondément encore est moralement inacceptable, car la responsabilité de toute femme ou de tout homme politique s’étend aux générations à venir», a-t-il déclaré.

Etat Palestinien immédiat : les Français pas favorables

Etat Palestinien immédiat : les Français pas favorables

Selon un sondage Ifop réalisé pour le Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France), et publié par Le Point, 78% des personnes interrogées s’opposent à une reconnaissance précipitée d’un État palestinien, «tout de suite et sans condition». Et ce, malgré le fort écho médiatique autour de la situation humanitaire dans la bande de Gaza, conséquence de l’offensive militaire d’Israël lancée en représailles des attaques terroristes du 7 octobre 2023.

Société-Emeutes et PSG: des sanctions pas à la hauteur

Société-Emeutes et PSG: des sanctions pas à la hauteur


Globalement les sanctions sont loin d’être à la hauteur des violences d’abrutis qui ont utilisé la victoire du PSG en coupe d’Europe pour laisser libre cours à leur sauvagerie. De toute évidence les sanctions ne sont pas la hauteur. Elles témoignent encore de l’inefficacité et du manque d’autorité dans un pays qui se délite

Au total, 21 personnes étaient jugées en comparution immédiate mardi «en lien avec les incidents au cours de la célébration de la finale de la Ligue des champions», a indiqué le parquet de Paris. Dans la nuit de samedi à dimanche, il y a eu 563 interpellations dont 491 à Paris, qui ont conduit à 307 gardes à vue. Le parquet de Paris a indiqué en avoir traité 254, dont 15 concernant des mineurs: 93 «ont donné lieu à un classement sans suite, la procédure ne permettant pas de caractériser les infractions soupçonnées». Après ces violences, le gouvernement a défendu mardi l’instauration dans la loi de «peines minimales» pour répondre à «l’exaspération» des Français devant ces scènes. Au lendemain des premières condamnations en comparution immédiate, tombées lundi, le ministre de la Justice Gérald Darmanin a estimé qu’«une partie» d’entre elles n’étaient «plus à la hauteur».

Société Emeutes et PSG: des sanctions pas à la hauteur

Emeutes et PSG: des sanctions pas à la hauteur


Globalement les sanctions sont loin d’être à la hauteur des violences d’abrutis qui ont utilisé la victoire du PSG en coupe d’Europe pour laisser libre cours à leur sauvagerie. De toute évidence les sanctions ne sont pas la hauteur. Elles témoignent encore de l’inefficacité et du manque d’autorité dans un pays qui se délite

Au total, 21 personnes étaient jugées en comparution immédiate mardi «en lien avec les incidents au cours de la célébration de la finale de la Ligue des champions», a indiqué le parquet de Paris. Dans la nuit de samedi à dimanche, il y a eu 563 interpellations dont 491 à Paris, qui ont conduit à 307 gardes à vue. Le parquet de Paris a indiqué en avoir traité 254, dont 15 concernant des mineurs: 93 «ont donné lieu à un classement sans suite, la procédure ne permettant pas de caractériser les infractions soupçonnées». Après ces violences, le gouvernement a défendu mardi l’instauration dans la loi de «peines minimales» pour répondre à «l’exaspération» des Français devant ces scènes. Au lendemain des premières condamnations en comparution immédiate, tombées lundi, le ministre de la Justice Gérald Darmanin a estimé qu’«une partie» d’entre elles n’étaient «plus à la hauteur».

Rugby- Top 14 : La Rochelle écrase Montpellier et fait un pas vers la qualification

Rugby- Top 14 : La Rochelle écrase Montpellier et fait un pas vers la qualification

Hier, le Stade Rochelais a largement battu Montpellier brouillonne (47-18) et prend la 5e place du classement.

Dans une course au Top 6 plus serrée que jamais, le point du bonus pourrait avoir une valeur déterminante. En attendant, le Stade Rochelais remonte à la 5e place du Top 14 et est plus que jamais en course pour les phases finales.

Finances et économie : les Français ne travaillent pas assez

Finances et économie : les Français ne travaillent pas assez


Le Premier ministre tourne autour du pot en considérant que le pays ne produit pas assez. Et il impute cette insuffisance à la faiblesse du taux d’emploi ( rapport actifs sur population). Une donnée indiscutable mais qui devrait être complétée par une autre à savoir que c’est tout le pays qui ne travaille pas assez tout au long de sa vie, dès le départ professionnel ( 35 % seulement des jeunes travaillent; en France pour 50 % en Allemagne), même rapport défavorable pour la retraite et la productivité . Sans parler de la valeur travail qui s’étiole d’année en année sous la pression de l’opinion et d’organisations gauchistes comme certains syndicats trop satisfaits ainsi de fabriquer des Français mécontents et des « révolutionnaires potentiels » !

Quant au discours sur la réduction des dépenses publiques, c’est toujours le même refrain avec la promesse d’être plus rigoureux mais une incapacité totale à dégraisser le mammouth technocratique, administratif et politique. Chacun y va de sa solution réductrice pour réduire les dépenses ici ou là. La vérité c’est qu’il faut les réduire absolument partout même dans les secteurs tendus car il y a d’autres manières d’assurer les tâches régaliennes avec qualité et rigueur. La vérité encore c’est que personne ne contrôle plus les dépenses en France ce sont des superstructures qui décident des investissements et de la dérive des frais de fonctionnement. Cela vaut pour l’État jusqu’aux plus petites communes.

Fiscalité stable: les Français n’y croient pas

Fiscalité stable: les Français n’y croient pas

Sans surprise les trois quarts des Français sont en faveur de la promesse de Bayrou de ne pas augmenter les impôts. Le problème, c’est qu’ils sont 80 % à douter de cette promesse

80 % de Français doutent de la capacité de Bayrou à réduire les dépenses de 40 milliards en 2026, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro.

Une large majorité d’entre eux (69%) ne croient pas aux principaux engagements énoncés par le chef du gouvernement lors de sa conférence de presse. Dans le détail, 83% des Français pensent que l’exécutif ne parviendra pas à ramener le déficit public sous la barre des 3% du PIB en 2029, alors que celui-ci a frôlé les 6% l’an dernier. Pas plus qu’ils ne croient (82%) aux 40 milliards d’euros de nouvelles économies à «trouver» .

Economie : les Français ne travaillent pas assez

Economie : les Français ne travaillent pas assez


Le Premier ministre tourne autour du pot en considérant que le pays ne produit pas assez. Et il impute cette insuffisance à la faiblesse du taux d’emploi ( rapport actifs sur population). Une donnée indiscutable mais qui devrait être complétée par une autre à savoir que c’est tout le pays qui ne travaille pas assez tout au long de sa vie, dès le départ professionnel ( 35 % seulement des jeunes travaillent; en France pour 50 % en Allemagne), même rapport défavorable pour la retraite et la productivité . Sans parler de la valeur travail qui s’étiole d’année en année sous la pression de l’opinion et d’organisations gauchistes comme certains syndicats trop satisfaits ainsi de fabriquer des Français mécontents et des « révolutionnaires potentiels » !

Quant au discours sur la réduction des dépenses publiques, c’est toujours le même refrain avec la promesse d’être plus rigoureux mais une incapacité totale à dégraisser le mammouth technocratique, administratif et politique. Chacun y va de sa solution réductrice pour réduire les dépenses ici ou là. La vérité c’est qu’il faut les réduire absolument partout même dans les secteurs tendus car il y a d’autres manières d’assurer les tâches régaliennes avec qualité et rigueur. La vérité encore c’est que personne ne contrôle plus les dépenses en France ce sont des superstructures qui décident des investissements et de la dérive des frais de fonctionnement. Cela vaut pour l’État jusqu’aux plus petites communes.

Sondage Impôts stables : les Français n’y croient pas

Sondage Impôts stables : les Français n’y croient pas

Sans surprise les trois quarts des Français sont en faveur de la promesse de Bayrou de ne pas augmenter les impôts. Le problème, c’est qu’ils sont 80 % à douter de cette promesse

80 % de Français doutent de la capacité de Bayrou à réduire les dépenses de 40 milliards en 2026, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro.

Une large majorité d’entre eux (69%) ne croient pas aux principaux engagements énoncés par le chef du gouvernement lors de sa conférence de presse. Dans le détail, 83% des Français pensent que l’exécutif ne parviendra pas à ramener le déficit public sous la barre des 3% du PIB en 2029, alors que celui-ci a frôlé les 6% l’an dernier. Pas plus qu’ils ne croient (82%) aux 40 milliards d’euros de nouvelles économies à «trouver» .

Guerre commerciale : Pas de récession……. cette année ?

Guerre commerciale :P as de récession cette année ?

Les droits de Trump vont affecter l’économie mondiale et provoquer un ralentissement cette année mais sans la faire basculer en récession, a estimé jeudi la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Kristalina Georgieva.

Le président américain Donald Trump a mis en place des droits de douane d’au moins 10% sur l’ensemble des produits entrant aux États-Unis, en vigueur depuis le 5 avril, et jusque 145% sur les produits chinois, au-delà des taxes existantes avant son retour à la Maison Blanche.

Les droits de douane appliqués désormais aux États-Unis se situent autour de 20%, en tenant compte des dernières exemptions annoncées vendredi sur les semi-conducteurs et produits électroniques, soit un niveau qui n’avait pas été atteint depuis près d’un siècle.

Endettement et économie : les Français ne travaillent pas assez

Endettement et économie : les Français ne travaillent pas assez


Le Premier ministre tourne autour du pot en considérant que le pays ne produit pas assez. Et il impute cette insuffisance à la faiblesse du taux d’emploi ( rapport actifs sur population). Une donnée indiscutable mais qui devrait être complétée par une autre à savoir que c’est tout le pays qui ne travaille pas assez tout au long de sa vie, dès le départ professionnel ( 35 % seulement des jeunes travaillent; en France pour 50 % en Allemagne), même rapport défavorable pour la retraite et la productivité . Sans parler de la valeur travail qui s’étiole d’année en année sous la pression de l’opinion et d’organisations gauchistes comme certains syndicats trop satisfaits ainsi de fabriquer des Français mécontents et des « révolutionnaires potentiels » !

Quant au discours sur la réduction des dépenses publiques, c’est toujours le même refrain avec la promesse d’être plus rigoureux mais une incapacité totale à dégraisser le mammouth technocratique, administratif et politique. Chacun y va de sa solution réductrice pour réduire les dépenses ici ou là. La vérité c’est qu’il faut les réduire absolument partout même dans les secteurs tendus car il y a d’autres manières d’assurer les tâches régaliennes avec qualité et rigueur. La vérité encore c’est que personne ne contrôle plus les dépenses en France ce sont des superstructures qui décident des investissements et de la dérive des frais de fonctionnement. Cela vaut pour l’État jusqu’aux plus petites communes.

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