Archive pour le Tag 'étrangers'

Les étrangers interdits à Harvard par Trump

Les étrangers interdits à Harvard par Trump

Donald Trump a annoncé mercredi 4 juin qu’il interdisait les visas des étudiants étrangers devant intégrer Harvard, une escalade supplémentaire dans son conflit contre les institutions universitaires américaines qu’il accuse notamment de promouvoir les idées de gauche trop progressistes. «Je suis arrivé à la conclusion qu’il est nécessaire de restreindre l’entrée aux ressortissants étrangers qui cherchent à venir aux États-Unis pour participer, exclusivement ou en grande partie, à un programme d’études de l’université Harvard (…)», a indiqué le président américain dans un communiqué.

Harvard a aussitôt dénoncé ce qu’elle qualifie de «représailles». «Il s’agit d’une nouvelle mesure de représailles illégale prise par l’administration en violation des droits au Premier amendement (de la Constitution américaine, qui protège la liberté d’expression) de Harvard.

Investissements étrangers: risques de perte de souveraineté

Investissements étrangers: risques de perte de souveraineté

François Jolivet (Horizons) et Hervé de Lépinau (RN) recommandent de renforcer les contrôles pour protéger nos entreprises stratégiques.(Le Figaro)

Les investissements étrangers ont leur côté lumineux, mais aussi leur côté obscur. Lumineux, les milliards annoncés lors du sommet Choose France à Versailles en début de semaine. Obscures, les stratégies étrangères de captation de savoir-faire et de technologies françaises au travers d’acquisitions d’entreprises fragilisées.

C’est pour se protéger contre ces dernières, « à une époque marquée par l’intensification massive des tensions géopolitiques et de la concurrence internationale », que les députés François Jolivet (Horizons et Indépendants) et Hervé de Lépinau (Rassemblement national) tirent la sonnette d’alarme dans un rapport rendu ce jeudi. Pointant une « croissance atone », l’élu RN fait remarquer que, contrairement à ce que les 40 milliards d’euros d’investissements étrangers brandis en début de semaine pourraient laisser penser, « la France est en situation d’affaiblissement structurel, de sorte que des prédateurs sont en mesure de venir faire leurs courses chez nous »

Investissements étrangers : la France encore attractive mais net tassement

Investissements étrangers : la France encore attractive mais net tassement

La France est le pays le plus attractif d’Europe pour les investisseurs internationaux. Dans son baromètre publié mercredi, le cabinet spécialisé EY a recensé au total 1 025 projets d’entreprises étrangères, soit une baisse de 14% par rapport à 2024.

Un investisseur étranger sur deux considère que l’attractivité de la France s’est dégradée depuis la dissolution de l’Assemblée nationale.

En 2024, il y a eu 29 000 créations de postes liées à des investissements directs étrangers, c’est 10 000 de moins qu’en 2023, selon le baromètre EY. Le cabinet spécialisé estime que cette baisse est liée notamment au coût du travail : certaines charges en France sont équivalentes à celles en Allemagne mais restent au-dessus de l’Espagne, du Portugal ou Royaume-Uni.

D’après EY, les secteurs de l’énergie ou de l’agroalimentaire s’en sortent bien alors que la chimie et l’automobile ont fortement souffert en 2024.

Investissements étrangers : l’Europe recule face aux États-Unis

Investissements étrangers : l’Europe recule face aux États-Unis

En Europe, le nombre d’investissements étrangers y a reculé l’an dernier de 5 %, selon le baromètre EY publié jeudi 15 mai. La chute est particulièrement marquée dans les secteurs de la chimie et de l’automobile, deux piliers historiques de l’industrie européenne.

Surtout, l’Europe ne parvient plus à séduire les investisseurs américains. En 2024, seulement 942 entreprises américaines ont choisi d’investir en Europe, soit « le niveau le plus bas observé depuis dix ans » par le cabinet EY. Ce désengagement des entreprises américaines d’Europe se traduit invariablement sur l’emploi. Alors que les entreprises américaines avaient généré 113 000 emplois en 2021 en Europe, elles en ont créé seulement 58 000 l’an dernier.

Cette régression s’inscrit dans le temps. Les investissements étrangers en Europe diminuent chaque année, avec une baisse de 11 % en 2023 et de 24 % en 2022. Ce recul reflète à la fois la méfiance croissante des entreprises américaines à l’égard du « Vieux Continent » et l’attrait renforcé pour leur propre économie.

Face à l’affaiblissement de l’Europe, les États-Unis s’imposent comme les grands gagnants de l’attractivité. En 2024, les investissements étrangers y ont bondi de 20 %, signe évident d’un regain d’attractivité du pays auprès des entreprises étrangères.

Cet élan de reconquête industrielle revient surtout à Joe Biden, l’ancien président démocrate. Le grand plan de soutien industriel qu’il a instauré en 2022, l’Inflation Reduction Act, qui offre des réductions fiscales très avantageuses aux entreprises et a contribué à réduire le coût de l’énergie aux États-Unis. Ces deux atouts expliquent en grande partie le regain des investissements étrangers en faveur du pays.

Economie-Investissements étrangers : l’Europe recule face aux États-Unis

Economie-Investissements étrangers : l’Europe recule face aux États-Unis

En Europe, le nombre d’investissements étrangers y a reculé l’an dernier de 5 %, selon le baromètre EY publié jeudi 15 mai. La chute est particulièrement marquée dans les secteurs de la chimie et de l’automobile, deux piliers historiques de l’industrie européenne.

Surtout, l’Europe ne parvient plus à séduire les investisseurs américains. En 2024, seulement 942 entreprises américaines ont choisi d’investir en Europe, soit « le niveau le plus bas observé depuis dix ans » par le cabinet EY. Ce désengagement des entreprises américaines d’Europe se traduit invariablement sur l’emploi. Alors que les entreprises américaines avaient généré 113 000 emplois en 2021 en Europe, elles en ont créé seulement 58 000 l’an dernier.

Cette régression s’inscrit dans le temps. Les investissements étrangers en Europe diminuent chaque année, avec une baisse de 11 % en 2023 et de 24 % en 2022. Ce recul reflète à la fois la méfiance croissante des entreprises américaines à l’égard du « Vieux Continent » et l’attrait renforcé pour leur propre économie.

Face à l’affaiblissement de l’Europe, les États-Unis s’imposent comme les grands gagnants de l’attractivité. En 2024, les investissements étrangers y ont bondi de 20 %, signe évident d’un regain d’attractivité du pays auprès des entreprises étrangères.

Cet élan de reconquête industrielle revient surtout à Joe Biden, l’ancien président démocrate. Le grand plan de soutien industriel qu’il a instauré en 2022, l’Inflation Reduction Act, qui offre des réductions fiscales très avantageuses aux entreprises et a contribué à réduire le coût de l’énergie aux États-Unis. Ces deux atouts expliquent en grande partie le regain des investissements étrangers en faveur du pays.

Investissements étrangers : l’Europe recule face aux États-Unis

Investissements étrangers : l’Europe recule face aux États-Unis

En Europe, le nombre d’investissements étrangers y a reculé l’an dernier de 5 %, selon le baromètre EY publié jeudi 15 mai. La chute est particulièrement marquée dans les secteurs de la chimie et de l’automobile, deux piliers historiques de l’industrie européenne.

Surtout, l’Europe ne parvient plus à séduire les investisseurs américains. En 2024, seulement 942 entreprises américaines ont choisi d’investir en Europe, soit « le niveau le plus bas observé depuis dix ans » par le cabinet EY. Ce désengagement des entreprises américaines d’Europe se traduit invariablement sur l’emploi. Alors que les entreprises américaines avaient généré 113 000 emplois en 2021 en Europe, elles en ont créé seulement 58 000 l’an dernier.

Cette régression s’inscrit dans le temps. Les investissements étrangers en Europe diminuent chaque année, avec une baisse de 11 % en 2023 et de 24 % en 2022. Ce recul reflète à la fois la méfiance croissante des entreprises américaines à l’égard du « Vieux Continent » et l’attrait renforcé pour leur propre économie.

Face à l’affaiblissement de l’Europe, les États-Unis s’imposent comme les grands gagnants de l’attractivité. En 2024, les investissements étrangers y ont bondi de 20 %, signe évident d’un regain d’attractivité du pays auprès des entreprises étrangères.

Cet élan de reconquête industrielle revient surtout à Joe Biden, l’ancien président démocrate. Le grand plan de soutien industriel qu’il a instauré en 2022, l’Inflation Reduction Act, qui offre des réductions fiscales très avantageuses aux entreprises et a contribué à réduire le coût de l’énergie aux États-Unis. Ces deux atouts expliquent en grande partie le regain des investissements étrangers en faveur du pays.

Investissements étrangers : la France encore attractive mais….

Investissements étrangers : la France encore attractive mais….

La France est le pays le plus attractif d’Europe pour les investisseurs internationaux. Dans son baromètre publié mercredi, le cabinet spécialisé EY a recensé au total 1 025 projets d’entreprises étrangères, soit une baisse de 14% par rapport à 2024.

Un investisseur étranger sur deux considère que l’attractivité de la France s’est dégradée depuis la dissolution de l’Assemblée nationale.

En 2024, il y a eu 29 000 créations de postes liées à des investissements directs étrangers, c’est 10 000 de moins qu’en 2023, selon le baromètre EY. Le cabinet spécialisé estime que cette baisse est liée notamment au coût du travail : certaines charges en France sont équivalentes à celles en Allemagne mais restent au-dessus de l’Espagne, du Portugal ou Royaume-Uni.

D’après EY, les secteurs de l’énergie ou de l’agroalimentaire s’en sortent bien alors que la chimie et l’automobile ont fortement souffert en 2024.

Sortir de la dépendance de technologies contrôlées par des géants étrangers

Sortir de la dépendance de technologies contrôlées par des géants étrangers


Les soupçons de corruption d’eurodéputés par le géant chinois de la tech Huawei rappelle que l’économie numérique n’est pas un secteur comme les autres, avertit l’élu écologiste dans une tribune au « Monde ». Son contrôle, même partiel, par des puissances étrangères constitue une attaque directe contre la sécurité des Européens.

La souveraineté numérique européenne est-elle à vendre ? Le 13 mars, un nouveau scandale a éclaté : Huawei, multinationale chinoise de la tech, est accusée de corruption au Parlement européen. Cette affaire n’est pas un cas isolé et soulève une question cruciale : quel est le prix de la souveraineté européenne ?

Ce « Huaweigate » est le symptôme d’un mal profond et systémique. A l’instar du « Qatargate », il nous confronte à une vérité inquiétante : les institutions européennes sont infiltrées, non seulement par des intérêts économiques liés à des lobbys aux pratiques bien connues, mais aussi par des puissances étrangères qui menacent directement notre souveraineté.

Si ces accusations se confirment, il faudra sanctionner durement cette entreprise, c’est-à-dire lui interdire l’accès au marché européen pour une durée indéterminée. Mais il faudra aussi remettre en question un système où l’influence extérieure n’est plus un accident conjoncturel, mais une stratégie systémique qui fragilise nos libertés, notre autonomie et, en fin de compte, nos valeurs fondamentales.

Haute trahison

Car la menace n’est pas seulement économique : elle est géopolitique et démocratique. Huawei, avec ses infrastructures 5G que la Commission européenne a voulu déployer à marche forcée, est désormais au cœur de notre économie numérique et donc de notre sécurité. Par ces réseaux transitent nos données et nos informations, dont nous ne pouvons plus garantir l’intégrité.

L’Europe a choisi de dépendre de ces technologies, et cette dépendance nous rend vulnérables. Que vaut notre autonomie si les infrastructures, les data centers et les moyens de traitement de nos données sont contrôlés par des géants étrangers, mus par leurs propres intérêts et non par ceux des citoyens européens ? Et qu’advient-il si les intérêts économiques de ces acteurs sont incompatibles avec le maintien de nos démocraties dans l’Union européenne (UE) ?

Le fait que certains groupes politiques – et certains partis – se mettent au service des multinationales étrangères, notamment du numérique, ne relève pas seulement de la corruption économique, mais bien de la haute trahison. Ce scandale éclate alors que l’UE traverse déjà une crise de légitimité après le « Qatargate ».

IA: Les 109 milliards de Macron surtout étrangers

IA: Les 109 milliards de Macron  surtout étrangers

Si on peut se réjouir des perspectives de développement- cependant un peu tardif–de l’intelligence artificielle en France, il faut toutefois noter que les 109 milliards annoncés par le président de la république viendront essentiellement de l’étranger. Pour l’instant seulement quelques milliards viendront de la France. En outre cette annonce de besoins de financement restent théoriques pour une bonne partie. À mettre au crédit de la France surtout ses compétences d’ingénieurs et de techniciens, la qualité de son réseau numérique et ses capacités de production électrique.

D’après France Info,une grande partie des 109 milliards d’euros d’investissements annoncés proviennent des Emirats arabes unis. La pétromonarchie va dépenser 50 milliards d’euros pour donner naissance à un « campus » axé sur l’intelligence artificielle. Il hébergera notamment un data center géant, un centre de données d’une capacité de calcul pouvant aller jusqu’à un gigawatt.

Le fonds canadien Brookfield va investir 20 milliards d’euros en France d’ici 2030, selon l’Elysée. Les trois quarts de cette somme seront consacrés à de nouveaux centre de données, dont l’un à Cambrai (Nord), comme l’avait révélé La Tribune Dimanche(Nouvelle fenêtre). Ces data centers verront le jour par l’intermédiaire de la société Data4, dont le siège est à Paris.

Le dernier quart de l’enveloppe canadienne sera consacré à des  »infrastructures associées », comme le transfert de données, des puces et de l’énergie, un enjeu crucial pour les centres de données, particulièrement énergivores.

Le géant américain Amazon entend investir 6 milliards d’euros pour créer des centres de données et développer l’« infrastructure cloud [d'informatique à distance] en France d’ici 2031″, rapporte l’Elysée. Le fonds Apollo prévoit, lui, « une première tranche » d’investissements à hauteur de 5 milliards de dollars (4,85 milliards d’euros) consacrés à de « nouveaux programmes énergétiques ».

Autre acteur venu des Etats-Unis, Digital Realty, déjà bien implanté en France, financera « 13 nouveaux sites » de data centers « à Marseille et en région parisienne », pour un total de 5 milliards d’euros (et peut-être 1 milliard supplémentaire « pour un autre data center à Paris »). S’y ajoutent 3,5 milliards d’euros de Prologis (un fonds d’investissement spécialisé dans la gestion de bâtiments logistiques) et 630 millions d’euros de la société Equinix (spécialisée dans les centres de données).

L’entreprise Fluidstack s’est engagée sur « un premier investissement de 10 milliards d’euros » pour « déployer en France le plus grand supercalculateur au monde pour l’IA », avec une capacité attendue d’un gigawatt, selon l’Elysée. Les Suédois d’Evroc, spécialistes du cloud, vont construire une usine avec un data center à Mougins (Alpes-Maritimes), un projet qui « pourrait attirer des investissements allant jusqu’à 4 milliards d’euros à pleine capacité », avance Paris. Un investissement de 400 millions d’euros du groupe japonais Telehouse, bien que connu depuis mai, est également cité dans le calcul effectué par l’Elysée.

Sans dévoiler les montants en jeu, Emmanuel Macron a cité le nom de plusieurs entreprises françaises prêtes à investir dans l’intelligence artificielle en France, dont Iliad, Orange et Thales. La première, fondée par Xavier Niel, « porte son investissement à plus de 3 milliards d’euros » pour des data centers, mais aussi pour offrir aux abonnés Free Mobile la version pro de l’assistant Le Chat du Français Mistral AI, précise l’Elysée.

Cette dernière entreprise, en pointe dans ce secteur, va, elle, investir  »plusieurs milliards d’euros dans un [site] qui sera installé en Essonne », a promis son PDG, Arthur Mensch, dans Le Parisien(Nouvelle fenêtre). Ce projet, baptisé Eclairion, se poursuivra avec « la mise en chantier d’un second » lieu à Bessé-sur-Braye (Sarthe). Enfin, l’entreprise Sesterce va dépenser 400 millions d’euros pour un centre de données dans la Drôme.

Hôpital : de plus en plus de médecins étrangers

Hôpital : de plus en plus de médecins étrangers

Le débat sur l’aide médicale d’Etat, dont la suppression renforcerait les recours spontanés aux urgences hospitalières, pourrait également faire apparaître la question des praticiens étrangers, qui doivent être mieux traités par notre système de santé, explique le médecin Pierre Micheletti dans une tribune au « Monde ».

 

Marie-Claire Carrère-Gée, ministre déléguée chargée de la coordination gouvernementale, ne va pas manquer de dossiers épineux à articuler entre les différents gestionnaires de portefeuille au sein du gouvernement de Michel Barnier.

La nomination de Bruno Retailleau à l’intérieur n’a pas tardé à donner des ailes aux défenseurs de lignes dures sur les questions migratoires. En la matière, les interfaces avec la ministre de la santé vont en particulier générer l’attention, voire la mobilisation des acteurs.

Deux dossiers concernent directement Geneviève Darrieussecq, ministre de la santé et de l’accès aux soins, et serviront d’utiles baromètres sur l’efficacité de la « coordination gouvernementale ». D’abord, l’avenir de l’aide médicale d’Etat (AME), objet de toutes les manipulations symboliques au service d’un discours martial sur le durcissement de l’accueil des étrangers. Une déclinaison plus subtile sera indubitablement à construire dans le discours politique – et dans la pratique – concernant la place incontournable occupée par des médecins détenteurs d’un diplôme délivré à l’étranger.

Sur l’épouvantail de l’AME, dont la suppression empêcherait des diagnostics à un stade précoce – aggravant le pronostic des pathologies – et renforcerait les recours spontanés aux urgences hospitalières coûteuses et à bout de souffle, beaucoup a déjà été dit, par les associations comme par les professionnels du champ médico-social. La formule de la Fédération hospitalière de France en résume l’argumentation, évoquant « un contresens moral, sanitaire et économique ».

Droits TV de la Ligue 1 de football : Encore attribués à des étrangers !

Droits TV de la Ligue 1 de football : Encore attribués à des étrangers !

Ce n’est forcément pas une victoire des fans de foot cette attribution des droits télévisés de la ligue 1à des sociétés étrangères. Une mauvaise nouvelle qui ne fera pas augmenter loin s’en faut le nombre de téléspectateurs ; d’autant que le spectacle de ce championnat est assez navrant le plus souvent en comparaison de la qualité des matchs offerts dans les pays voisins en Angleterre bien sûr mais aussi en Espagne, en Italie et en Allemagne. C’est aussi une mauvaise nouvelle pour Canal dont une grande partie des téléspectateurs sont surtout motivés par le football. Canal qui diffusera sans doute les matchs anglais !

La plateforme britannique DAZN a acquis la quasi-intégralité des droits TV de la Ligue 1 avec huit matchs sur neuf, pour un montant avoisinant les 400 millions d’euros, a appris la direction des sports de Radio France d’une source proche des négociations. BeIn sport a acquis de son côté une affiche du championnat de France pour 100 millions d’euros (la meilleure affiche pour chaque journée). Ce contrat court jusqu’en 2029.

La Ligue négocie avec DAZN une clause de sortie dans deux ans, pour 2026. BeIN Sports est déjà d’accord sur le principe. Le contrat porte théoriquement jusqu’en 2029. beIN Sports ne voulait pas s’immiscer dans les droits TV après avoir acquis les droits de la Ligue 2 pour 40 millions d’euros. Mais une grosse pression a été mise sur la chaine qatarienne pour  »aider le football français ». La situation s’est finalement décantée en toute fin de négociations avec l’obtention d’une affiche par journée, pour 100 millions d’euros.

Cette décision a été votée à l’unanimité par le conseil d’administration de la Ligue. Cette double acquisition va donc rapporter environ 500 millions d’euros par saison à la LFP, bien loin du milliard d’euros escompté en juin 2023.

Une partie des clubs de Ligue 1 étaient pourtant  favorables – notamment Lille, Monaco, Lyon et Lens – au lancement d’une chaîne 100% Ligue 1.

Investissements étrangers : encore un recul dans le monde en 2023

Investissements étrangers : encore un recul dans le monde en 2023

 
Les flux d’investissements directs étrangers ont reculé en 2023, pour la deuxième année consécutive, selon l’ONU Commerce et Développement (CNUCED). Une baisse de 2% due au triple effet d’un ralentissement économique couplé à l’augmentation des tensions commerciales et géopolitiques. Mais l’agence onusienne estime néanmoins « possible » une croissance cette année.

Cette baisse est due à « l’augmentation des tensions commerciales et géopolitiques dans un contexte de ralentissement de l’économie mondiale », selon la CNUCED (photo d’illustration). (Crédits : JON NAZCA)
Pour la deuxième année consécutive, les investissements directs étrangers (IDE) à l’échelle de la planète ont baissé. Ils ont en effet reculé de 2% en 2023 pour s’établir à 1.300 milliards de dollars, selon le dernier rapport sur ce sujet publié ce jeudi par l’organisme des Nations Unies « ONU Commerce et Développement » (CNUCED). Une faible baisse en apparence, contre -12% en 2022, qui cache en réalité un recul plus marqué de 10% en excluant du calcul « quelques situations exceptionnelles dans des pays européens », souligne l’agence onusienne.

Les experts de la CNUCED attribuent cette baisse à « l’augmentation des tensions commerciales et géopolitiques dans un contexte de ralentissement de l’économie mondiale ». Pour autant, ils affichent un certain optimiste pour cette année.

Dans le détail, les flux d’IDE vers les pays en développement ont diminué de 7% pour atteindre 867 milliards de dollars l’année dernière. Ceux situés en Asie ont enregistré une baisse du même ordre (-8%) mais celle-ci masque une forte augmentation des nouveaux projets (+44% en valeur).

Elle est moindre en Afrique (-3%, à 53 milliards de dollars), le continent ayant été tiré vers le bas par l’Egypte et l’Afrique du sud. La Cnuced note toutefois que l’Afrique « a attiré une part croissante des mégaprojets mondiaux entièrement nouveaux, six d’entre eux étant évalués à plus de 5 milliards de dollars ». En tête de liste figure un projet d’hydrogène vert en Mauritanie, pays moins avancé d’Afrique du nord-ouest. « Ce projet devrait générer 34 milliards de dollars d’investissements, un montant plusieurs fois supérieur au PIB du pays », note le rapport.

En Amérique latine et dans les Caraïbes, l’IDE a reculé de 1%.

Concernant les pays développés, la CNUCED note l’impact de la mise en place d’un taux d’imposition mondial sur les bénéfices des sociétés multinationales.

« Les flux vers les pays développés ont été fortement affectés par les transactions financières des entreprises multinationales, motivées en partie » par la mise en place de cette taxe. Les flux vers la plupart des régions d’Europe et d’Amérique du Nord ont diminué respectivement de 14% et de 5%.

Un autre baromètre, publié début mai par le cabinet EY, a révélé que, pour la cinquième année consécutive, la France a conservé sa couronne de pays le plus attractif pour les projets d’investissements étrangers. Ainsi, 1.194 projets d’implantation ou d’extension de sites ont été annoncés l’an dernier contre 985 pour le Royaume-Uni et 733 pour l’Allemagne.

 

Les médecins étrangers sans-grade font entendre leur voix

Les médecins étrangers sans-grade font entendre leur voix

 

 La situation des médecins diplômés hors de l’Union européenne, que l’Elysée a promis de « régulariser », reste « précaire » et « intolérable », ont dénoncé mardi 14 mai quelques dizaines de praticiens lors d’un rassemblement devant le ministère de la Santé. Une délégation (CGT, Jeunes médecins, Collectif Padhue et association Ipadecc) a été reçue au ministère à midi par la directrice générale de l’Offre de soins (DGOS). Une seconde réunion était prévue à 16 heures avec des syndicats hospitaliers.

Après avoir échoué aux EVC (épreuves de vérification des connaissances), un concours très sélectif organisé fin 2023, quelque 2 650 praticiens, en activité depuis des années dans les hôpitaux français, sont aujourd’hui dans les limbes statutaires, sans travail ou réembauchés sous un statut dégradé, ont rappelé les manifestants. En janvier, le président Emmanuel Macron a promis de les « régulariser ». Mais selon ces organisations, la solution imaginée par l’Etat, qui doit être officialisée prochainement par décret, va « renouveler cette précarité » et « dégrader » les conditions d’exercice.
Ce décret va selon eux créer un nouveau statut de « praticien associé contractuel temporaire », dit PACT, donné à titre provisoire pour un an, renouvelable une fois, dans l’attente de repasser les EVC. « Ce sera une petite bouffée d’oxygène pour ceux qui ont perdu leur poste », mais « ce n’est pas acceptable, car ça reste précaire et un statut dégradé, rémunéré 20% de moins que les praticiens associés [qui ont obtenu l'EVC], pour faire le même boulot ! », a déploré Paul Robel (CGT).

 

Investissements étrangers: tassement en 2023

Investissements étrangers: tassement en 2023

Les investissements directs étrangers (IDE) dans le monde ont légèrement progressé en 2023 mais restent faibles par rapport à leur niveau de 2021. En cumul mondial, ils ont atteint 1370 milliards de dollars (1260 milliards d’euros), soit une hausse de 3% sur un an, rapporte la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED).

Les investissements étrangers dans la plupart des économies développées ont également diminué, avec un recul de 3% aux États-Unis – première destination des investissements au monde -, notamment en raison d’une baisse des opérations de fusions et acquisitions. Les pays en développement font aussi les frais de cette tendance négative avec une diminution de 9% des investissements. Les montants ont baissé de 1 % en Afrique, de 6 % pour la Chine, de 22 % pour le Brésil, ou de 47 % pour l’Inde, même si le nombre de nouveaux projets s’y est maintenu, permettant au pays de Narendra Modi de demeurer dans le top 5 des destinations mondiales de créations d’entreprises. Seule l’Amérique centrale a inversé la tendance, avec une belle performance pour le Mexique (+21%), due à l’accélération de ses échanges avec les États-Unis.

À

Economie-Investissements étrangers: Ralentis par la hausse des taux d’intérêt en 2023

Economie-Investissements étrangers: Ralentis par la hausse des taux d’intérêt en 2023

Les investissements directs étrangers (IDE) dans le monde ont légèrement progressé en 2023 mais restent faibles par rapport à leur niveau de 2021. En cumul mondial, ils ont atteint 1370 milliards de dollars (1260 milliards d’euros), soit une hausse de 3% sur un an, rapporte la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED).

Les investissements étrangers dans la plupart des économies développées ont également diminué, avec un recul de 3% aux États-Unis – première destination des investissements au monde -, notamment en raison d’une baisse des opérations de fusions et acquisitions. Les pays en développement font aussi les frais de cette tendance négative avec une diminution de 9% des investissements. Les montants ont baissé de 1 % en Afrique, de 6 % pour la Chine, de 22 % pour le Brésil, ou de 47 % pour l’Inde, même si le nombre de nouveaux projets s’y est maintenu, permettant au pays de Narendra Modi de demeurer dans le top 5 des destinations mondiales de créations d’entreprises. Seule l’Amérique centrale a inversé la tendance, avec une belle performance pour le Mexique (+21%), due à l’accélération de ses échanges avec les États-Unis.

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