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France et travail: Les salariés à temps complet travaillent moins que les autres européens

France et travail : Les salariés à temps complet travaillent moins que les autres européens

L’actualité va évidemment se focaliser pendant des semaines autour de la question de l’éventuelle suppression de deux jours fériés qui affecterait gravement les conditions de travail en France d’après certains. Pour juger de manière pertinente de cette question, il faudrait cependant prendre en compte certes le nombre de jours fériés dans chaque pays mais aussi la durée de travail hebdomadaire mais surtout annuelle. Et de ce point de vue les salariés français à plein temps travail moins que leurs collègues européens. Ce que confirme une récente étude de Rexocode.

Les salariés à temps complet en France travaillent 1 673 heures par an, soit moins que dans tous les autres pays européens exceptés la Finlande et, depuis cette année, la Suède. L’écart est d’environ trois semaines
de travail avec l’Allemagne (1 790 heures), qui est à la moyenne européenne.

Pour établir une comparaison, il faut donc prendre en compte la durée réelle annuelle de travail. Mais il faut aussi intégrer le fait que la France compte proportionnellement moins d’actifs que les autres pays européens en situation d’emploi. ( Moins de jeunes notamment et moins de séniors). Le tout cumulé permet de mieux comprendre pourquoi la France produit moins de richesses que les autres pays environ 15 % de moins; ce qui explique finalement nos difficultés financières qui sans ce handicap seraient à peu près résolues. Pour résumer trop peu de travail pour trop peu de populations est donc trop peu de richesses mais des déficits abyssaux content tenu des dépenses publiques complètement incontrôlées.

Mali : un général président à vie !

Mali : un général président à vie

Les militaires ont réussi leur coup en rejetant la France afin de s’approprier le pouvoir au Mali. Ainsi le général Assimi Goïta sera reconduit par période de cinq ans autant de fois qu’il le faudra ! Bref une dictature de l’armée et un pays qui va s’enfoncer de plus en plus dans la misère et la répression.

Au Mali, le général Assimi Goïta promulgue une loi lui accordant un mandat illimité de président
Le chef de la junte au pouvoir au Mali a promulgué une loi, le 10 juillet, le maintenant au pouvoir jusqu’à 2030 au moins. Cette mesure s’inscrit dans une série de restrictions sévères aux libertés prises par les militaires pour consolider leur régime dans le pays sahélien. Exemple : la suppression des partis politiques.

« Il remplit les fonctions de chef de l’Etat (…) jusqu’à la pacification du pays, à compter de la promulgation de la présente charte », selon la loi. Arrivés au pouvoir au Mali à la suite de deux coups d’Etat en 2020 et 2021, les militaires s’étaient engagés à remettre le pouvoir aux civils au plus tard en mars 2024 !

L’armée malienne et ses alliés – les mercenaires russes d’Africa Corps – chargés de traquer les djihadistes, sont régulièrement accusés de commettre des exactions contre des civils. Le Mali et ses voisins du Niger et du Burkina Faso se sont réunis au sein d’une confédération, l’Alliance des Etats du Sahel.

Le roi Macron à Westminster !

Le roi Macron à Westminster !


Une visite d’État du président français chez nos voisins britanniques. Une visite qui ne sert pas grand chose puisque ni Charles III ni Macron n’ont le moindre pouvoir. Et Macron qui se verrait bien lui aussi couronné puisqu’il envisage de se représenter en 2032 et en 2039. Il rêve sans doute d’un sacre à Chartres qui lui éviterait les contingences pénibles d’une démocratie.

Faute de de vrais enjeux concernant cette rencontre coûteuses , Macon se réfugient dans les banalités : C’est « un moment important pour nos nations » et « c’est aussi un moment important pour notre Europe », a dit le président français en posant le pied sur le sol anglais. En estimant qu’il fallait « ouvrir de nouvelles voies de coopération respectueuses de nos intérêts réciproques ».

Guerre Iran: Le double objectif de Nétanyahou difficile à atteindre

Guerre Iran: Le double objectif de Nétanyahou difficile à atteindre

Israël intensifie ses frappes contre les installations nucléaires iraniennes, dans une offensive qui pourrait s’inscrire dans la durée. Les objectifs sont clairs : démanteler le programme nucléaire et affaiblir, voire faire chuter, le pouvoir en place à Téhéran. Cette escalade compromet les espoirs suscités par les récentes avancées diplomatiques, et son issue demeure incertaine.

par Ian Parmeter
Research Scholar, Middle East Studies, Australian National University dans The Conversation

Le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a déclaré que l’attaque d’Israël contre les installations nucléaires iraniennes pourrait durer au moins deux semaines.

Le timing de cette opération militaire ne doit rien au hasard. De toute évidence, l’armée et les agences de renseignement d’Israël ont élaboré une campagne méthodique, dont chaque étape a été méticuleusement pensée.

Les forces israéliennes se sont d’abord concentrées sur l’élimination de plusieurs hauts responsables militaires et scientifiques iraniens et, élément tout aussi important, sur la destruction de la quasi-totalité des défenses aériennes de l’Iran.

Désormais, les avions israéliens peuvent non seulement opérer librement dans l’espace aérien iranien, mais aussi se ravitailler en vol et déposer davantage de forces spéciales sur des sites clés afin de réaliser des bombardements ciblés et des attaques contre des installations nucléaires dissimulées ou fortement protégées.

Dans les déclarations publiques qu’il a faites depuis le début de la campagne, Nétanyahou a mis en avant deux objectifs clés : détruire le programme nucléaire iranien, et encourager le peuple iranien à renverser le régime. Ces deux objectifs en tête sont-ils réalisables ? Passage en revue des scénarios possibles.

Des centrifugeuses alignées dans l’usine d’enrichissement d’uranium de Natanz, qui a été endommagée par les frappes israéliennes. Islamic Republic Iran Broadcasting, IRIB/AP
Un retour aux négociations semble aujourd’hui difficile
L’envoyé spécial de Donald Trump pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, devait participer dimanche, avec ses homologues iraniens, à une sixième série de pourparlers, destinés à conclure un accord qui remplacerait le JCPOA, texte signé sous l’administration Obama en 2015 et dont Trump s’était retiré durant son premier mandat en 2018, alors même que l’Iran semblait jusqu’alors se conformer à ses termes.

Opposé à l’accord de 2015, Nétanyahou n’a cessé de répéter qu’il ne croyait pas que l’Iran souhaitait sincèrement parvenir à un nouvel accord.

Dès lors, accepter que la campagne actuelle de bombardements israéliens débouche sur un accord sur le nucléaire iranien, quels qu’en soient les termes, constituerait pour Nétanyahou un recul majeur. Ce qu’il veut, c’est neutraliser totalement l’Iran et, ce faisant, redorer son image de leader capable d’assurer la sécurité d’Israël, une image profondément écornée par le massacre commis par le Hamas le 7 octobre 2023.

Même si Trump continue de presser l’Iran de conclure un accord sur son programme nucléaire, la réalité est que les négociations sont aujourd’hui au point mort. Et rien n’indique que Trump soit capable de convaincre Nétanyahou à mettre fin à ses bombardements pour laisser une chance aux pourparlers.

La destruction du programme nucléaire iranien impliquerait la destruction de tous les sites connus, y compris l’installation d’enrichissement d’uranium de Fordo, située à environ 100 kilomètres au sud de Téhéran.

Selon Rafael Grossi, directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), cette installation se trouve à environ 800 mètres sous terre, au-dessous d’une montagne. Elle est probablement hors de portée même des « bombes anti-bunker » dont disposent les États-Unis.

Certes, les entrées et les conduits de ventilation de l’installation pourraient être obstrués en provoquant des glissements de terrain. Mais ce ne serait qu’une solution temporaire.

Détruire complètement Fordo nécessiterait une intervention au son des forces spéciales israéliennes. C’est certainement possible, au vu des succès enregistrés par Israël en matière d’infiltration d’agents en Iran. Toutefois, il est loin d’être certain que l’ampleur des dégâts causés à l’installation soit suffisante à la rendre définitivement inopérante et impossible à reconstruire.

La destruction des centrifugeuses nucléaires iraniennes, indispensables à l’enrichissement de l’uranium pour la fabrication d’une bombe, ne constituerait qu’une étape dans le démantèlement du programme nucléaire du pays. Israël devrait également éliminer les réserves d’uranium de l’Iran déjà enrichies à 60 %. Téhéran pourrait fabriquer jusqu’à dix bombes nucléaires s’il portait l’enrichissement à 90 %.

Mais les services de renseignement israéliens savent-ils où se trouvent ces réserves ?

L’effondrement du régime iranien est certainement possible, d’autant plus qu’Israël a éliminé plusieurs des plus hauts responsables militaires iraniens depuis le début de ses attaques vendredi, y compris les chefs des Gardiens de la révolution islamique et des forces armées iraniennes.

Les manifestations anti-régime qui se sont succédé au fil des années, plus récemment celles issues du mouvement « Femmes, Vie, Liberté » après la mort en garde à vue d’une jeune Iranienne, Mahsa Amini, en 2022, ont montré à quel point le régime est impopulaire.

Pour autant, le régime a survécu à de nombreux défis depuis son accession au pouvoir en 1979, notamment la guerre contre l’Irak dans les années 1980 et les sanctions massives qui lui ont été imposées par les pays occidentaux au cours de ces dernières décennies. Il a notamment développé des systèmes de sécurité remarquablement efficaces qui lui ont permis de rester en place.

Une autre incertitude à ce stade est de savoir si les attaques israéliennes contre des cibles civiles pourraient provoquer un effet de rassemblement patriotique (« ralliement autour du drapeau ») parmi les Iraniens.

Nétanyahou a déclaré ces derniers jours qu’Israël disposait d’indications selon lesquelles les derniers hauts responsables du régime étaient en train de « faire leurs valises » en vue de fuir le pays. Mais il n’a fourni aucune preuve à cet égard.

Des flammes et de la fumée s’élèvent d’un entrepôt de pétrole à Téhéran après une frappe israélienne. Abedin Taherkenareh/EPA
Les États-Unis, un acteur central du conflit
Les États-Unis pourraient-ils s’impliquer dans les combats ?

Cela ne peut être exclu. L’ambassadeur iranien auprès de l’ONU a directement accusé Washington de complicité dans les frappes israéliennes.

Cela est presque certainement vrai, compte tenu du partage étroit de renseignements qui existe entre les États-Unis et Israël. De plus, des républicains influents, comme le sénateur Lindsey Graham, ont exhorté Trump à ordonner aux forces américaines d’aider Israël à « terminer le travail ».

Trump serait probablement réticent à le faire, surtout compte tenu de ses critiques envers les « guerres sans fin » des administrations états-uniennes précédentes. Mais si l’Iran ou des forces pro-iraniennes devaient attaquer une base ou un site militaire américain dans la région, la pression sur Trump pour qu’il riposte s’intensifierait.

Un autre facteur est que Trump souhaite probablement que la guerre se termine le plus rapidement possible. Son administration sait que plus un conflit s’éternise, plus il devient probable que des éléments imprévus apparaissent.

La Russie pourrait-elle s’impliquer aux côtés de l’Iran ? À ce stade, c’est peu probable. La Russie n’est pas intervenue en Syrie à la fin de l’année dernière pour tenter de sauver le régime d’Assad en déliquescence. Par ailleurs, elle est déjà très occupée par la guerre en Ukraine.

Moscou a critiqué l’attaque israélienne au moment de son lancement, mais semble ne pas avoir pris de mesures pour aider l’Iran à se défendre.

Quant aux puissances régionales que sont l’Arabie saoudite ou les Émirats arabes unis, elles n’ont aucun intérêt à plonger dans ce conflit, bien qu’elles disposent d’un important arsenal d’équipements militaires américains. Ces dernières années, les monarchies arabes du Golfe ont engagé un rapprochement avec l’Iran, après des décennies d’hostilité ouverte. Personne ne voudrait mettre ce réchauffement en danger.

Incertitudes majeures
Nous ne connaissons pas l’étendue de l’arsenal de missiles et de roquettes dont dispose Téhéran. Dans sa riposte initiale aux frappes israéliennes, l’Iran a réussi à submerger partiellement le système de défense aérienne Dôme de fer, causant des pertes civiles.

Si cela continue et que le nombre de victimes civiles augmente rapidement, les Israéliens, déjà mécontents de Nétanyahou à cause de la guerre à Gaza, pourraient commencer à se demander s’il a eu raison de déclencher un nouveau conflit.

Mais nous n’en sommes pas encore là. Bien qu’il soit trop tôt pour disposer de sondages d’opinion fiables, la majorité des Israéliens applaudissent presque certainement l’action de Nétanyahou pour affaiblir le programme nucléaire iranien. De plus, ce dernier a menacé de « brûler » Téhéran si l’Iran cible délibérément des civils israéliens.

Nous pouvons être certains que l’Iran ne réserve aucune surprise. Israël a sérieusement affaibli ses alliés, le Hezbollah et le Hamas. Ils sont clairement dans l’incapacité d’aider l’Iran par des attaques de diversion.

La grande question est de savoir ce qui se passera après la guerre. L’Iran retirera presque certainement sa signature du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) et interdira toute nouvelle inspection de ses installations par l’Agence internationale de l’énergie atomique.

Israël pourra probablement détruire les installations nucléaires iraniennes existantes, mais la question n’est pas de savoir si l’Iran les reconstituera, mais quand cela se produira.

La probabilité que l’Iran tente d’obtenir une bombe nucléaire pour dissuader de futures attaques israéliennes sera beaucoup plus élevée. Et la région restera dans une situation précaire.

Couvre-feu à Los Angeles

Couvre-feu à Los Angeles

La maire de Los Angeles Karen Bass a décrété mardi 10 juin au soir un couvre-feu pour la nuit dans le centre-ville de la deuxième ville des États-Unis, après plusieurs nuits de troubles et de vandalisme.

Donald Trump de son coté a décidé d’envoyer environ 5000 militaires dans la ville est accusé de jouer la surenchère dans la deuxième ville américaine en alimentant le processus provocation, manifestation, répression. Trump en profite Pour discréditer la maire de Los Angeles et le gouverneur….démocrates !

Près de 5000 militaires envoyés par Trump à Los Angeles

Près de 5000 militaires envoyés par Trump à Los Angeles

Trump Poursuit ses provocations en envoyant près de 5000 militaires à Los Angeles pour mettre en difficulté le maire de la ville et le gouverneur de l’État tous les deux démocrates. Une sorte d’opération de diversion jugée illégale par le gouverneur démocrate qui dénonce la folie d’une action par ailleurs illégale.

Donald Trump «a tendance à utiliser les grands mots et à exagérer assez souvent», note William Banks, professeur de droit à l’université de Syracuse. Les Marines déployés lundi le sont «pour assurer la protection des fonctionnaires et bâtiments fédéraux», selon le Commandement militaire pour l’Amérique du Nord, et non pas expressément pour assurer une mission de maintien de l’ordre. Pour cela, Donald Trump devrait invoquer formellement la «Loi sur l’insurrection» ou «Insurrection Act», ce qui n’a été fait qu’une trentaine de fois depuis la création des États-Unis. Ce paraît évidemment démesuré concernant en réalité une opération de communication qui sert aussi à Trump pour dissimuler ses échecs dans d’autres domaines

États-Unis-Surenchère de taxes douanières sur l’acier : de 25 à 50 % de droits

États-Unis-Surenchère de taxes douanières sur l’acier : de 25 à 50 % de droits

Trump avec sa pluie de décrets sur les droits de douane continue de semer la pagaille économique mondiale. Le FMI a d’ailleurs annoncé un ralentissement de la croissance mondiale : « L’économie entre dans une nouvelle ère », selon son chef économiste. Le Fonds monétaire international révise à la baisse ses prévisions de croissance mondiale, à 2,8 % en 2025 et à 3 % en 2026

L e président américain Donald Trump a doublé la mise mercredi sur les importations d’acier et d’aluminium, en portant les droits de douane sectoriels à 50%, alors que les négociations avec plusieurs partenaires commerciaux sont en cours.

Trump a justifié cette hausse par la volonté de «s’assurer que [les importations] ne mettront pas en péril la sécurité nationale».

L’acier et l’aluminium ont été le premier secteur concerné par les droits de douane voulus par Donald Trump, avec l’entrée en vigueur d’une surtaxe de 25% le 12 mars, dans la volonté affichée d’inciter aux investissements dans le pays.

Et ces droits de douane sectoriels, appliqués également à l’automobile avant de s’étendre prochainement aux produits pharmaceutiques et aux semi-conducteurs, sont les seuls à ne pas avoir été bloqués par une récente décision de justice, qui a visé les droits de douane appliqués sans distinction.

Société-Emeutes et PSG: des sanctions pas à la hauteur

Société-Emeutes et PSG: des sanctions pas à la hauteur


Globalement les sanctions sont loin d’être à la hauteur des violences d’abrutis qui ont utilisé la victoire du PSG en coupe d’Europe pour laisser libre cours à leur sauvagerie. De toute évidence les sanctions ne sont pas la hauteur. Elles témoignent encore de l’inefficacité et du manque d’autorité dans un pays qui se délite

Au total, 21 personnes étaient jugées en comparution immédiate mardi «en lien avec les incidents au cours de la célébration de la finale de la Ligue des champions», a indiqué le parquet de Paris. Dans la nuit de samedi à dimanche, il y a eu 563 interpellations dont 491 à Paris, qui ont conduit à 307 gardes à vue. Le parquet de Paris a indiqué en avoir traité 254, dont 15 concernant des mineurs: 93 «ont donné lieu à un classement sans suite, la procédure ne permettant pas de caractériser les infractions soupçonnées». Après ces violences, le gouvernement a défendu mardi l’instauration dans la loi de «peines minimales» pour répondre à «l’exaspération» des Français devant ces scènes. Au lendemain des premières condamnations en comparution immédiate, tombées lundi, le ministre de la Justice Gérald Darmanin a estimé qu’«une partie» d’entre elles n’étaient «plus à la hauteur».

Automobile–En 15 ans, le prix d’une Clio a augmenté de 40 %

Automobile–En 15 ans, le prix d’une Clio a augmenté de 40 %

Trop lourdes, trop gourmandes, trop rapides et surtout trop onéreuse comme la Clio par exemple qui a augmenté de 40 % en 15 ans.Mois après mois, le marché automobile français confirme son état de crise profonde. Sur cinq mois, à fin mai 2025, il ne s’y est vendu que 820.764 véhicules légers (voitures particulières et petits utilitaires), soit 28,12 % de moins qu’en 2019, avant le Covid.

Les voitures neuves sont-elles devenues trop chères ? La baisse globale des ventes tend à montrer que le marché n’est plus accessible pour les acheteurs les plus modestes. La structure du marché confirme que les clients achètent de plus en plus de véhicules d’entrée de gamme (57 % des ventes selon les données de la Plateforme automobile), avec la Renault Clio, la Peugeot 208 et la Dacia Sandero sur le podium. Mais l’entrée de gamme s’est déplacée vers le segment B (citadines polyvalentes). Le segment A (mini-citadines) n’existe quasiment plus, sauf en version électrique.

Société Emeutes et PSG: des sanctions pas à la hauteur

Emeutes et PSG: des sanctions pas à la hauteur


Globalement les sanctions sont loin d’être à la hauteur des violences d’abrutis qui ont utilisé la victoire du PSG en coupe d’Europe pour laisser libre cours à leur sauvagerie. De toute évidence les sanctions ne sont pas la hauteur. Elles témoignent encore de l’inefficacité et du manque d’autorité dans un pays qui se délite

Au total, 21 personnes étaient jugées en comparution immédiate mardi «en lien avec les incidents au cours de la célébration de la finale de la Ligue des champions», a indiqué le parquet de Paris. Dans la nuit de samedi à dimanche, il y a eu 563 interpellations dont 491 à Paris, qui ont conduit à 307 gardes à vue. Le parquet de Paris a indiqué en avoir traité 254, dont 15 concernant des mineurs: 93 «ont donné lieu à un classement sans suite, la procédure ne permettant pas de caractériser les infractions soupçonnées». Après ces violences, le gouvernement a défendu mardi l’instauration dans la loi de «peines minimales» pour répondre à «l’exaspération» des Français devant ces scènes. Au lendemain des premières condamnations en comparution immédiate, tombées lundi, le ministre de la Justice Gérald Darmanin a estimé qu’«une partie» d’entre elles n’étaient «plus à la hauteur».

Les étrangers interdits à Harvard par Trump

Les étrangers interdits à Harvard par Trump

Donald Trump a annoncé mercredi 4 juin qu’il interdisait les visas des étudiants étrangers devant intégrer Harvard, une escalade supplémentaire dans son conflit contre les institutions universitaires américaines qu’il accuse notamment de promouvoir les idées de gauche trop progressistes. «Je suis arrivé à la conclusion qu’il est nécessaire de restreindre l’entrée aux ressortissants étrangers qui cherchent à venir aux États-Unis pour participer, exclusivement ou en grande partie, à un programme d’études de l’université Harvard (…)», a indiqué le président américain dans un communiqué.

Harvard a aussitôt dénoncé ce qu’elle qualifie de «représailles». «Il s’agit d’une nouvelle mesure de représailles illégale prise par l’administration en violation des droits au Premier amendement (de la Constitution américaine, qui protège la liberté d’expression) de Harvard.

Politique : une primaire à gauche ?

Politique : une primaire à gauche ?

Pour Rémi Lefebvre, politiste dans Le Monde  : « A gauche, une primaire ouverte est non seulement possible mais indispensable ». Pourtant rien n’est sûr en l’état des divergences et même des fractures idéologiques sans parler des personnalités politiques que tout oppose

Pour Rémi Lefebvre, ce processus de sélection obligerait à bâtir une base programmatique partagée et à produire un candidat sans humilier les perdants, explique le professeur de science politique dans une tribune au « Monde ».

La gauche est inaudible dans un débat public droitisé ; elle est faible politiquement, avec d’étroites bases militantes et un potentiel électoral plafonnant à 30 %. Le seul message qu’elle semble émettre est celle de ses divisions qui désespèrent le peuple de gauche. Peut-elle se permettre d’aborder aussi fracturée la prochaine échéance présidentielle, alors que la menace d’une victoire de l’extrême droite n’a jamais été aussi crédible en 2027 ?

Si aucune initiative de rassemblement n’est rapidement lancée, c’est une primaire sauvage par les sondages qui s’imposera. La logique des gauches irréconciliables s’exacerbera. Dans l’anticipation d’une défaite, chaque parti jouera la carte mortifère de l’affirmation identitaire.

Une candidature unique de la gauche apparaît à ce stade improbable – les prétendants Raphaël Glucksmann ou Jean-Luc Mélenchon cultivant leur espace resserré, social-démocratie chez l’un, gauche de rupture chez l’autre. Elle est pourtant la condition d’une victoire au second tour. Dans l’état de ses forces, la gauche est condamnée à se rassembler pour gagner. Mieux vaut qu’elle le fasse le plus tôt possible pour faire naître un espoir, enclencher une dynamique de mobilisation dans la société, renouer avec l’esprit du Nouveau Front populaire et faire arbitrer par les électeurs les différends que les dirigeants n’arrivent pas à trancher.

Pour produire cette candidature dans un cadre procédural réglé, une primaire de coalition ouverte est non seulement possible mais indispensable. Certes, d’autres options existent (conclave, convention citoyenne…), mais il est peu probable que les partis s’y rallient et elles ne produiraient pas la légitimité populaire pour propulser un candidat.

La primaire a des défauts. Elle dévalue l’engagement militant, enrôle plutôt des citoyens politisés et diplômés et produit donc des effets censitaires, accroît la centralité dommageable de l’élection présidentielle. Elle peut abîmer le camp qui y a recours en encourageant la négativité des échanges. Elle n’est pas une garantie de victoire et on lui impute parfois des défaites (François Fillon).

Guerre–L’Ukraine ira à Istanbul : mais sans conviction !

Guerre–L’Ukraine ira à Istanbul : mais sans conviction !

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé dimanche qu’une délégation ukrainienne, menée par son ministre de la Défense Roustem Oumerov, serait à Istanbul lundi pour des pourparlers attendus avec la Russie. Malheureusement sans grande conviction car la Russie a refusé d’indiquer le contenu de ces exigences. Des exigences vraisemblablement inacceptables qui visent à détruire totalement militairement et politiquement l’Ukraine. Bref encore une réunion de pure formes pour faire semblant de faire plaisir à Trump. Lequel est d’ailleurs toujours aussi ambigu.

«J’ai également défini nos positions avant la réunion de lundi à Istanbul», a-t-il écrit sur les réseaux sociaux, ajoutant que la délégation serait dirigée par M. Oumerov, comme c’était le cas pour le premier cycle de négociations en mai. Les priorités de l’Ukraine sont d’obtenir «un cessez-le-feu complet et inconditionnel», ainsi que le «retour des prisonniers» et des enfants ukrainiens que Kiev accuse Moscou d’avoir enlevés, a-t-il ajouté.

Une délégation russe s’est envolée de son côté vers Istanbul, ont indiqué les agences d’État russes en citant des sources anonymes. «L’équipe de négociation s’est envolée pour Istanbul», a indiqué une source à l’agence Tass.

Trump veut encore doubler la taxe sur l’acier importé, pour la passer à 50%

Trump veut encore doubler la taxe sur l’acier importé, pour la passer à 50%

Le président américain Donald Trump a annoncé vendredi 30 mai vouloir doubler la surtaxe sur l’acier importé, pour la passer à 50%.

En dépit de la pagaille créée en matière d’échanges internationaux mais aussi sur les marchés intérieurs, Trump continue sa folle politique d’augmentation invraisemblable des droits de douane. «Nous allons passer les droits de douane sur l’acier de 25% à 50%, ce qui va davantage protéger l’industrie de l’acier aux États-Unis», a déclaré le chef de l’État précisant que la mesure s’appliquerait dès la semaine prochaine.

Deux tribunaux de première instance ont considéré cette semaine que Trump n’avait pas le droit de décréter certains de ses droits de douane. Ceux-ci restent toutefois en vigueur tant que l’affaire n’est pas tranchée définitivement sur le fond, l’exécutif américain ayant décidé de se bagarrer sur le terrain judiciaire.

Nouvelle-Calédonie : Macron veut une nouvelle rencontre à Paris

Nouvelle-Calédonie : Macron veut une nouvelle rencontre à Paris

<strong>Suite à l’échec des négociations conduites par le ministre Manuel Valls, Macron veut une nouvelle rencontre à Paris

Le président Emmanuel Macron va inviter «les parties prenantes de la Nouvelle-Calédonie» à Paris à partir de la mi-juin, afin de «clarifier les sujets économiques, politiques et institutionnels en vue de parvenir à un accord partagé», après l’échec des récentes négociations, a indiqué mardi l’Élysée. En cause notamment les conditions de vote et les transferts de responsabilité, sans parler du développement économique.

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