Archive pour le Tag 'ministre'

Procès de favoritisme contre le ministre du travail

Procès de favoritisme contre le ministre du travail

Le ministre du travail Olivier Dussopt est poursuivi en faveur du groupe de fourniture et de traitement de l’eau Saur. Affaire finalement assez classique qui consiste à privilégier un fournisseur avec un retour d’ascenseur.

Olivier Dussopt, élu maire PS d’Annonay (Ardèche) en 2008, avait fin à la délégation de service public attribuée à cette entreprise depuis les années 1960, pour passer la gestion de l’eau en régie publique. Mais En réalité l’exploitation de l’eau potable et l’assainissement sont immédiatement sous-traités notamment à Saur.

Cest donc le procès d’un autre membre du gouvernement en exercice qui s’est ouvert lundi 27 novembre : celui d’Olivier Dussopt, qui a protesté de sa «bonne foi» face aux soupçons de favoritisme lors d’un marché public passé en 2009.

«Je souhaite que cette audience me permette d’établir ma bonne foi», a déclaré le ministre du Travail, 45 ans, devant le tribunal correctionnel de Paris, dans une déclaration calquée sur ses précédentes expressions publiques au sujet de ce procès.

Enquête ouverte en 2020
Il a ainsi répété sa satisfaction que sur les cinq griefs initialement visés par l’enquête préliminaire, ouverte en mai 2020 après un article de Mediapart, «le parquet (ait) fait le choix de classer quatre d’entre eux». «C’est un point très important pour moi, car ça signifie qu’il a écarté» toute notion «de corruption, d’enrichissement personnel», a insisté Olivier Dussopt, débit de mitraillette et mains jointes dans le dos.

Le ministre du travail Olivier Dussopt est poursuivi en faveur du groupe de fourniture et de traitement de l’eau Saur.

Élu maire PS d’Annonay (Ardèche) en 2008, il avait fin à la délégation de service public attribuée à cette entreprise depuis les années 1960, pour passer la gestion de l’eau en régie publique. Mais En réalité l’exploitation de l’eau potable et l’assainissement sont immédiatement sous-traités notamment à Saur.

Saur, troisième grande entreprise de l’eau en France, est poursuivie pour recel de favoritisme.

Ils contestent également les faits. La commune d’Annonay n’a pas souhaité se constituer partie civile dans ce dossier. Ce procès devrait s’achever mercredi.

Logement : face à la crise des promesses et du flou du ministre !

Logement : face à la crise promesses et flou du ministre !

Lors du congrès des maires, le ministre du logement encore répondu à côté de la plaque et a renvoyé l’examen des questions à plus tard notamment concernant la décentralisation; le ministre du Logement a notamment déclaré que « le modèle de développement territorial [était] à bout de souffle ».

« La ville fabriquée dans les années 1970 est obsolète, a éloigné les gens de leur emploi, a concentré les personnes en précarité dans les quartiers… Il faut refonder totalement ce modèle qui correspond à une ville du pétrole pas cher. Aujourd’hui, la réalité économique n’est plus la même : l’énergie, à commencer par l’essence, coûte cher désormais », a poursuivi Patrice Vergriete.

Devant les maires ce jeudi, le ministre du Logement a promis de « donner plus de moyens pour contrôler et réguler ». Précisément, tant des moyens de préemption que des moyens de déroger aux règles nationales, sauf aux règles environnementales. « Oui, il faut une ressource », a encore affirmé Patrice Vergriete, soulignant que la ville de demain coûtera plus chère. Transformer un actif immobilier existant est en effet plus onéreux qu’artificialiser une terre agricole.

Interrogé par les maires de la salle sur la politique de ZAN, qui renchérit les coûts des terrains disponibles, le ministre du Logement a refusé tout « retour en arrière ». « Si les établissements publics fonciers locaux [qui portent le coût du foncier pour les communes, Ndlr] ne sont pas suffisamment dotés et si les maires n’ont pas la possibilité de réguler le marché foncier, créons les outils », a assuré Patrice Vergriete.

Le ministre du logement s’est enfin montré favorable à l’augmentation des fiscalités locales

Crise du logement : devant les maires, des promesses et du flou du ministre !

Crise du logement : devant les maires, des promesses et du flou du ministre !

Lors du congrès des maires, le ministre du logement encore répondu à côté de la plaque et a renvoyé l’examen des questions à plus tard notamment concernant la décentralisation; le ministre du Logement a notamment déclaré que « le modèle de développement territorial [était] à bout de souffle ».

« La ville fabriquée dans les années 1970 est obsolète, a éloigné les gens de leur emploi, a concentré les personnes en précarité dans les quartiers… Il faut refonder totalement ce modèle qui correspond à une ville du pétrole pas cher. Aujourd’hui, la réalité économique n’est plus la même : l’énergie, à commencer par l’essence, coûte cher désormais », a poursuivi Patrice Vergriete.

Devant les maires ce jeudi, le ministre du Logement a promis de « donner plus de moyens pour contrôler et réguler ». Précisément, tant des moyens de préemption que des moyens de déroger aux règles nationales, sauf aux règles environnementales. « Oui, il faut une ressource », a encore affirmé Patrice Vergriete, soulignant que la ville de demain coûtera plus chère. Transformer un actif immobilier existant est en effet plus onéreux qu’artificialiser une terre agricole.

Interrogé par les maires de la salle sur la politique de ZAN, qui renchérit les coûts des terrains disponibles, le ministre du Logement a refusé tout « retour en arrière ». « Si les établissements publics fonciers locaux [qui portent le coût du foncier pour les communes, Ndlr] ne sont pas suffisamment dotés et si les maires n’ont pas la possibilité de réguler le marché foncier, créons les outils », a assuré Patrice Vergriete.

Le ministre du logement s’est enfin montré favorable à l’augmentation des fiscalités locales

Consommation et Baisse des prix : les mensonges du ministre de l’économie

Consommation et Baisse des prix : les mensonges du ministre de l’économie

Le ministre de l’économie est un peu comme la grenouille qui voudrait se faire plus grosse que le bœuf. Il y a des mois, il avait annoncé la baisse des prix pour le début de l’été; Puis reportée à la fin de l’été et maintenant qui serait réel depuis octobre. La vérité est différente. Certes en octobre l’inflation a reflué à 4 % sur un an soit effectivement un recul par rapport à septembre qui affichait plus 4,9 %. Mais contrairement à ce qu’affirme le ministre de l’économie les prix ne baissent nullement. Au contraire il continue d’augmenter car l’inflation de 4 % en octobre se cumule avec les inflations précédentes et les prix atteignent des sommets jamais atteints.

Les chiffres provisoires de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) situent la hausse des prix à 4% au mois d’octobre, marquant une baisse significative par rapport aux chiffres du mois de septembre (4,9%) mais cela ne provoque pas pour autant au contraire une diminution des prix. À noter par ailleurs que l’inflation diminue davantage en Europe qu’en France en moyenne.

Le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, Par ailleurs candidat à la candidature pour les présidentielles de 2027, s’est d’ailleurs encore montré très optimiste mardi matin, en réaction aux chiffres de la hausse des prix du mois d’octobre. «Nous sommes en train de sortir de la crise inflationniste», a-t-il déclaré. Il y a un an presque jour pour jour, le même Bruno Le Maire pariait en outre sur un rétablissement du thermomètre des prix autour de la barre des 2% «courant 2024».Mais il ne s’agit nullement d’un thermomètre des prix mais d’un thermomètre de l’inflation !

Baisse des prix : les mensonges du ministre de l’économie

Baisse des prix : les mensonges du ministre de l’économie

Le ministre de l’économie est un peu comme la grenouille qui voudrait se faire plus grosse que le bœuf. Il y a des mois il avait annoncé la baisse des prix pour le début de l’été; Puis reportée à la fin de l’été et maintenant qui serait réel depuis octobre. La vérité est différente. Certes en octobre l’inflation a reflué à 4 % sur un an soit effectivement un recul par rapport à septembre qui affichait plus 4,9 %. Mais contrairement à ce qu’affirme le ministre de l’économie les prix ne baissent nullement. Au contraire il continue d’augmenter car l’inflation de 4 % en octobre se cumule avec les inflations précédentes et les prix atteignent des sommets jamais atteints.

Les chiffres provisoires de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) situent la hausse des prix à 4% au mois d’octobre, marquant une baisse significative par rapport aux chiffres du mois de septembre (4,9%) mais cela ne provoque pas pour autant au contraire une diminution des prix. À noter par ailleurs que l’inflation diminue davantage en Europe qu’en France en moyenne.

Le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, Par ailleurs candidat à la candidature pour les présidentielles de 2027, s’est d’ailleurs encore montré très optimiste mardi matin, en réaction aux chiffres de la hausse des prix du mois d’octobre. «Nous sommes en train de sortir de la crise inflationniste», a-t-il déclaré. Il y a un an presque jour pour jour, le même Bruno Le Maire pariait en outre sur un rétablissement du thermomètre des prix autour de la barre des 2% «courant 2024».Mais il ne s’agit nullement d’un thermomètre des prix mais d’un thermomètre de l’inflation !

Grande distribution et industriels : appel dans le désert d’une ministre inutile

Grande distribution st industriels : appel dans le désert d’une ministre inutile

Une fois de plus la ministre chargée de la consommation prouve son inutilité totale. Elle n’a pas plus d’influence qu’une simple association en souhaitant simplement que distributeurs et industriels s’entendent enfin sur la renégociation. Elle affirme avec la même naïveté que les prix vont diminuer au motif que les matières premières seraient en baisse.

Première observation, la baisse de l’inflation ne signifie nullement la baisse des prix. L’inflation se cumule avec l’inflation. Le ralentissement de l’inflation ne signifie nullement une baisse des prix. Les prix vont se maintenir à un très haut niveau pour des motifs conjoncturels mais aussi structurels. En moyenne dans l’alimentaire depuis deux ans les prix ont augmenté de plus de 20 %. Parfois certains produits subissent une augmentation de 50 %. Il faut vraiment ne jamais faire ses courses dans les grandes surfaces pour ne pas s’apercevoir de l’incroyable hausse des prix.

De toute manière distributeurs et industriels ont déjà convenu qu’il n’y aurait pas de baisse générale de prix. Les uns et les autres se gavent aussi grâce à l’inflation. Les prévisions de la ministre sont aussi fiables en matière de prix que celle de Madame Soleil.

Question à la ministre: Distributeurs et industriels s’accordent à dire qu’il n’y aura pas de baisse générale des prix. Qu’en pensez-vous ?

Il y aura des baisses de prix, même si tous les prix ne baisseront pas. Les raisons qui ont poussé, l’an passé, industriels comme distributeurs à renégocier, c’était l’augmentation du cours de certaines matières premières agricoles. Or les prix de ces mêmes matières, qui entrent dans la composition de nombreux produits alimentaires, sont en baisse.

Hamas et conjoncture: de ministre de l’économie fait dans l’optimisme

Hamas et conjoncture: de ministre de l’économie fait dans l’optimisme !

Alors que personne ne peut prévoir quelles pourraient être les conséquences économiques du conflit déclenché par un Master vis-à-vis d’Israël, le ministre français de l’économie et des finances se veut rassurant et indique de façon très imprudente que les conséquences seront limitées.

Évidemment, il n’en sait strictement rien. En effet tout les prendra de l’hypothèse d’une régionalisation du conflit et de son influence notamment sur l’Arabie Saoudite l’un des principales producteurs de pétrole. En outre toute guerre crée une insécurité et alimente des réactions de prudence.

Le ministre ferait mieux d’étudier toutes les hypothèses possibles et non pas de faire dans l’optimisme béat. Rappelons par exemple qu’il a déjà adopté cette attitude vis-à-vis de l’inflation en général en indiquant au début de l’année que les prix devaient baisser.

On ne demande pas à un ministre de l’économie de se conduire comme Madame Soleil mais d’élaborer des scénarios pour s’adapter le plus tôt possible à un changement conjoncturel, en plus qui peut durer comme le conflit en Ukraine.amment sur le pétrole, changerait toutefois en cas d’«embrasement régional», a précisé le ministre de l’Économie.

À la crise politique, humaine et diplomatique ne devrait pas s’ajouter une crise économique. Interrogé sur Sud Radio ce lundi matin, le ministre de l’Économie et des Finances français est revenu sur les attaques qui ont frappé Israël ce week-end. Se voulant rassurant, Bruno Le Maire a indiqué s’attendre à des conséquences «limitées» du conflit sur l’activité et l’économie.

Populisme- Le ministre de l’économie soutient les influenceurs

Populisme- Le ministre de l’économie soutient les influenceurs !

En panne d’idées et surtout d’efficacité, le ministre de l’économie Bruno le maire déraille en soutenant les influenceurs.D’une certaine manière il reprend la posture de Macron qui lui sa coquine avec les vedettes des réseaux sociaux. À quand un ministre de l’économie ou un président déguisé en drag queen ?

Une flatterie vraiment mal placée lors de son intervention à l’assemblée du syndicat UMICC (Union des métiers de l’influence et des créateurs de contenus) .

«Vous êtes une force économique majeure de notre pays» a déclaré le ministre de l’économie qui oublie sans doute que la plupart des influenceurss sont des parasites qui se servent de leur look et de leur baratin pour vendre des produits le plus souvent inutiles voire même dangereux. Il n’y a d’ailleurs aucune règle pour ce type d’intervenants sur Internet.

Pour preuve, Nabilla( « allo, quoi ben allo quoi »), star de télé réalité qui donne des conseils pour les placements financiers!!!

Cette ode au secteur de l’influence et de la création de contenu était également émaillée de chiffres. Le ministre a par exemple rappelé le nombre «considérable» d’influenceurs en France – 150.000 selon lui – et les «milliards de vues, les millions d’euros de chiffre d’affaires, les milliers d’emplois» qu’ils génèrent grâce à leurs activités !!!
Le numéro 2 du gouvernement s’est même laissé aller à une petite boutade sur son avenir personnel en assurant qu’il n’excluait pas de devenir lui-même influenceur «dans les années à venir».

À en croire les rires et les applaudissements, l’opération séduction a plutôt bien fonctionné. Parce qu’il faut dire que le ministre de l’Économie et des Finances avait face à lui des professionnels très remontés. La loi dite «influenceurs» qui doit encadrer les activités du secteur est perçue d’un très mauvais œil par les premiers intéressés. Ils regrettent notamment que certaines dispositions stigmatisent leur métier.

Le ministre de l’économie mélange vraiment tout aussi bien les vendeurs d’illusions et de gadgets que les créateurs véritables d’information.

Et de créer encore une structure supplémentaire car Bruno Le Maire s’est engagé à la création d’un «groupe de travail permanent», où siégeront les représentants des créateurs de contenu sur Internet et les administrations de l’État.

Populisme- Le ministre de l’économie déraille en soutenant les influenceurs

Populisme- Le ministre de l’économie déraille en soutenant les influenceurs

En panne d’idées et surtout d’efficacité, le ministre de l’économie Bruno le maire déraille en soutenant les influenceurs.

Une flatterie vraiment mal placée lors de son intervention à l’assemblée du syndicat UMICC (Union des métiers de l’influence et des créateurs de contenus) .

«Vous êtes une force économique majeure de notre pays» a déclaré le ministre de l’économie qui oublie sans doute que la plupart des influenceurss sont des parasites qui se servent de leur look et de leur baratin pour vendre des produits le plus souvent inutiles voire même dangereux. Il n’y a d’ailleurs aucune règle pour ce type d’intervenants sur Internet.

Pour preuve, Nabilla( « allo, quoi ben allo quoi »), star de télé réalité qui donne des conseils pour les placements financiers!!!

Cette ode au secteur de l’influence et de la création de contenu était également émaillée de chiffres. Le ministre a par exemple rappelé le nombre «considérable» d’influenceurs en France – 150.000 selon lui – et les «milliards de vues, les millions d’euros de chiffre d’affaires, les milliers d’emplois» qu’ils génèrent grâce à leurs activités !!!
Le numéro 2 du gouvernement s’est même laissé aller à une petite boutade sur son avenir personnel en assurant qu’il n’excluait pas de devenir lui-même influenceur «dans les années à venir».

À en croire les rires et les applaudissements, l’opération séduction a plutôt bien fonctionné. Parce qu’il faut dire que le ministre de l’Économie et des Finances avait face à lui des professionnels très remontés. La loi dite «influenceurs» qui doit encadrer les activités du secteur est perçue d’un très mauvais œil par les premiers intéressés. Ils regrettent notamment que certaines dispositions stigmatisent leur métier.

Le ministre de l’économie mélange vraiment tout aussi bien les vendeurs d’illusions et de gadgets que les créateurs véritables d’information.

Et de créer encore une structure supplémentaire car Bruno Le Maire s’est engagé à la création d’un «groupe de travail permanent», où siégeront les représentants des créateurs de contenu sur Internet et les administrations de l’État.

Le ministre de l’économie déraille en soutenant les influenceurs

Le ministre de de l’économie déraille en soutenant les influenceurs

En panne d’idées et surtout d’efficacité, le ministre de l’économie Bruno le maire déraille en soutenant les influenceurs.

Une flatterie vraiment mal placée lors de son intervention à l’assemblée du syndicat UMICC (Union des métiers de l’influence et des créateurs de contenus) .

«Vous êtes une force économique majeure de notre pays» a déclaré le ministre de l’économie qui oublie sans doute que la plupart des influenceurss sont des parasites qui se servent de leur look et de leur baratin pour vendre des produits le plus souvent inutiles voire même dangereux. Il n’y a d’ailleurs aucune règle pour ce type d’intervenants sur Internet.

Pour preuve, Nabilla( « allo, quoi ben allo quoi »), star de télé réalité qui donne des conseils pour les placements financiers!!!

Cette ode au secteur de l’influence et de la création de contenu était également émaillée de chiffres. Le ministre a par exemple rappelé le nombre «considérable» d’influenceurs en France – 150.000 selon lui – et les «milliards de vues, les millions d’euros de chiffre d’affaires, les milliers d’emplois» qu’ils génèrent grâce à leurs activités !!!
Le numéro 2 du gouvernement s’est même laissé aller à une petite boutade sur son avenir personnel en assurant qu’il n’excluait pas de devenir lui-même influenceur «dans les années à venir».

À en croire les rires et les applaudissements, l’opération séduction a plutôt bien fonctionné. Parce qu’il faut dire que le ministre de l’Économie et des Finances avait face à lui des professionnels très remontés. La loi dite «influenceurs» qui doit encadrer les activités du secteur est perçue d’un très mauvais œil par les premiers intéressés. Ils regrettent notamment que certaines dispositions stigmatisent leur métier.

Le ministre de l’économie mélange vraiment tout aussi bien les vendeurs d’illusions et de gadgets que les créateurs véritables d’information.

Et de créer encore une structure supplémentaire car Bruno Le Maire s’est engagé à la création d’un «groupe de travail permanent», où siégeront les représentants des créateurs de contenu sur Internet et les administrations de l’État.

Prix du carburant : Bruno Lemaire, le ministre de l’économie, ment

Prix du carburant : Bruno Lemaire le ministre de l’économie ment

Hausse des prix des carburants : «il n’y a aucun pactole» pour l’État, a affirmé le ministre de l’économie à destination notamment Xavier Bertrand. Un mensonge grossier bien sûr quand on sait que les taxes représentent de l’ordre de 60 % du prix et que plus le prix de l’essence et du carburant général augmente et que plus les recettes fiscales progressent grâce en particulier à la TVA proportionnelle au prix. La vérité c’est que dans la hausse des prix du carburant tout le monde se gave. D’abord il y a les producteurs ensuite les pétroliers qui n’ont jamais dégagé autant de marges enfin l’État avec la fiscalité.

La question a provoqué une controverse ce jeudi, opposant Bercy au président de la région des Hauts-de-France. Après avoir exigé début septembre une ristourne de 10 à 20 centimes sur les prix à la pompe, qui tutoient deux euros le litre, Xavier Bertrand est revenu à la charge, jeudi matin. Invité de Cnews, l’ancien ministre a accusé l’État de «s’enrichir sur le dos des Français». Et de s’adresser directement au ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire : «Vous récoltez un pactole en ce moment !».Mais le ministre de l’économie parle-lui du passé et du coût aides accordées surtout en 2022.

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Conditions sociales femmes de ménage : La grande gueule de la ministre Aurore Bergé ne changera rien !

Conditions sociales femmes de ménage : La grande gueule de la ministre Aurore Bergé ne changera rien !

Aurore Bergé une des grandes gueules de la majorité excelle dans l’exercice qui consiste surtout à parler, à crier mais sans agir. C’est ainsi qu’elle vient de découvrir les tristes conditions de travail des femmes de ménage contraintes de se réveiller dans leur banlieue vers quatre heures du matin pour aller nettoyer les bureaux notamment. Et de proposer la journée continue ! Une mesure prise depuis longtemps quand c’est possible car certaines femmes de ménage ( et-ou hommes) sont aussi contraintes de revenir travailler le soir.

La journée continue n’est possible qu’en fonction de l’accessibilité des locaux et de la nature de l’activité.

Un papier de Libé revient sur cette question:

S’enflammer pour des problèmes que l’on redécouvre à intervalles réguliers ? En macronie, c’est presque ce qu’on sait faire de mieux. Dimanche 10 septembre, on a entendu une pointure du mouvement présidentiel, Aurore Bergé, se lancer dans un vibrant plaidoyer pour l’amélioration des conditions de travail des femmes de ménage. Car elle «voit bien, en tant que ministre des Familles et des Solidarités», combien les métiers dont on a tant vanté l’utilité au plus fort de la crise du Covid-19 sont à la fois majoritairement exercés par des femmes et «à des niveaux de rémunération qui ne sont pas suffisants». Ce qui n’a rien d’une nouveauté : ça a été parfaitement documenté en mars 2021, à la suite de l’épiphanie présidentielle qui avait vu Emmanuel Macron remercier quelque 5 millions de travailleurs de «la deuxième ligne» lors d’une allocution télévisée. Elle voit bien aussi, la ministre, combien il est anormal qu’«on demande à ces femmes de se lever souvent à 4h30 du matin pour venir dans nos bureaux les nettoyer à 6 heures du matin».

Forte de ces constats, Aurore Bergé pense qu’«on peut dire très clairement aux entreprises qui bénéficient du soutien de l’Etat […] qu’elles peuvent très concrètement changer la donne, par exemple en créant des journées continues.

Or la vraie question est celle de la passation des marché de nettoyage qui imposent ensuite des horaires et des cadences infernales.

Béchu, ministre de l’écologie ou de la météo ?

Déchu, ministre de l’écologie ou de la météo ?

Le ministre de l’écologie arrivé à ce poste un peu par hasard lui qui ne s’est pratiquement jamais intéressé à l’environnement par contre parle beaucoup pour ne rien dire par exemple quand il ne cesse de commenter la météo. Ainsi il annonce que l’été 2023 aura été le quatrième été le plus chaud en France depuis 1900.

Déchu a compris le système médiatico(politique il y a longtemps: parler pour donner l’impression d’exister politiquement. Ce qu’il faisait déjà quand il était responsable à Angers.

De plus en plus les ministres bien incompétents devant les crises qui s’additionnent se transforment en commentateurs de l’actualité. C’est vrai pour beaucoup de ministres et en particulier pour Béchu qui ne sert à peu près à rien.
Une sujétion pour la prochaine intervention de Béchu : « cet hiver il sera fera plus froid que cet été »

Clément Beaune : Ministre des transports et de la GPA !

Clément Beaune : Ministre des transports et de la GPA !


Ça devient une habitude dans le gouvernement, certains ministres sont plus volubiles sur des questions qui ne les regardent pas que sur le champ de leur portefeuille. Ainsi par exemple Clément Beaune qui se prononce pour la légalisation de la GPA. Un problème évidemment très complexe, délicat et souvent douloureux pour lequel le ministre des transports n’est pas spécialement qualifié.

Le ministre des transports serait mieux de s’inquiéter des dysfonctionnements dans son champ d’activité notamment les incidents récurrents dans certains transports collectifs, la hausse du prix du carburant, le développement des transports alternatifs et la recherche d’une plus grande complémentarité des modes.

« Aujourd’hui, la donne est claire : la GPA ne figure pas dans le contrat présidentiel et législatif que nous avons passé avec les Français au printemps 2022. Cette mesure n’est pas au programme, le président l’a dit aux Français. Est-ce que, néanmoins, à l’avenir, il faudrait aller plus loin et légaliser la GPA ? Je le pense, oui », déclare Clément Beaune .

« Ce n’est pas pour maintenant », insiste le ministre. Mais « il y a d’un côté tellement d’enfants en souffrance et de familles dysfonctionnelles, et de l’autre, tellement de couples qui portent dans leur coeur un projet d’enfants », fait-il valoir.

Le ministre de l’économie opposé à l’interdiction des chaudières à gaz

Le ministre de l’économie opposé à l’interdiction des chaudières à gaz

«Je suis très réservé vis-à-vis des interdictions, j’ai toujours parié sur l’intelligence de nos compatriotes, sur l’accompagnement», s’est justifié l’homme fort du gouvernement. «Je suis opposé à l’interdiction des chaudières à gaz. C’est une mauvaise idée, qui va susciter beaucoup d’inquiétudes chez nos compatriotes les plus modestes», a encore déclaré le ministre de l’économie.

À la place d’une interdiction punitive, Bruno Le Maire privilégierait les «incitations» pour convaincre les ménages de changer d’énergie. Le ministre a ainsi cité l’exemple des aides pour l’achat de véhicules électriques, qui marchent «très bien», selon lui. «On peut obtenir exactement le même résultat, avec des dispositifs incitatifs» qu’avec une interdiction qui pourrait braquer les particuliers. La fiscalité pourrait par exemple être plus avantageuse pour les foyers passant à d’autres moyens de chauffage, et des pénalités, a contrario, pèseraient sur ceux qui le gardent. «On vous laisse le choix, il y a des incitations, il y a aussi des pénalités [...], mais pas d’interdiction», a-t-il conclu.

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