Archive pour le Tag 'Trump !!!'

Trump condamné pour fraude fiscale

Trump condamné pour fraude fiscale

 

Une condamnation qui pourrait êter suivie d’autres ( l’imposition personnelle de Trump ) Trump n’aurait pas payé d’impôt pendant plusieurs années). L’entreprise familiale de l’ancien président américain Donald Trump, la Trump Organization, a été condamnée vendredi à New York à une amende maximale de 1,6 million de dollars pour fraudes financières et fiscales, a annoncé le procureur de Manhattan dans un communiqué.

Le groupe du milliardaire américain, candidat à l’investiture du parti républicain pour la présidentielle de 2024, était jugé pour fraude fiscale et falsifications de déclarations comptables, notamment dans le but de cacher aux services fiscaux des compensations financières de certains hauts dirigeants.

Trump n’a pas payé d’impôts !

Trump n’a pas payé d’impôts !

Il n’est pas étonnant que l’ancien président des États-Unis se soient très longuement opposés à la publication de sa feuille d’impôt. En effet il a profité de son mandat pour ne pas payer d’impôts pendant plusieurs années.

Le principe est assez classique aux États-Unis comme ailleurs. Il s’agit tout simplement de mettre des sociétés en déficit. Pour cela on internalise les coûts de société étrangère et inversement on externalisé les profits vers des filiales implantées dans des pays à faible taux de fiscalité ou sans fiscalité du tout. Ce qu’on appelle en général pudiquement l’optimisation fiscale pratiquée évidemment aux États-Unis mais aussi en Europe et en France. Ce qui a permis par exemple à Total de ne pas payer d’impôts pendant des années en FranceTrump a payé 1 million de dollars d’impôts pendant son mandat mais rien en 2020.
Donald Trump a payé 1,1 million en impôts fédéraux sur deux de ses quatre années à la tête des Etats-Unis, selon un rapport examiné par des élus mercredi, mais presque rien le reste du temps qu’il a passé à la Maison Blanche. Ces chiffres, rendus publics tard mardi dans le rapport d’une commission parlementaire, montrent que le milliardaire de 76 ans a fait état d’énormes déficits de 2015 à 2020.

Justice: La Société de Trump coupable de fraude fiscale

Justice: La Société de Trump coupable de fraude fiscale

L’ancien président n’en a pas fini avec la justice. Il y a toujours en cours cette affaire de déclaration d’impôts personnels, son rôle dans l’assaut du capital sans parler de documents confidentiels qui ont disparu de la Maison-Blanche. En attendant, c’est l’entreprise de Trump qui vient d’être sanctionnée pour fraude fiscale. La société immobilière de Donald Trump, la Trump Organization, a été reconnue coupable mardi à New York de fraude fiscale au terme de quatre semaines de procès.

La société, qui gère des hôtels, des golfs et d’autres propriétés immobilières à travers le monde, avait plaidé non coupable. Elle devrait se voir infliger d’importantes amendes, jusqu’à 1,6 million de dollars. Le montant des pénalités financières sera annoncé le 13 janvier.

La Trump Organization a été accusée en 2021 d’avoir payé les dépenses personnelles de certains cadres sans déclarer leurs revenus, et de les avoir rémunérés au titre d’entrepreneurs indépendants. Son directeur financier de longue date, Allen Weisselberg, a plaidé coupable et témoigné pour l’accusation.

Donald Trump n’était pas poursuivi en personne dans ce dossier. L’ancien président est lui-même visé par des enquêtes du département américain de la Justice pour avoir emporté des documents confidentiels de la Maison blanche après son départ en janvier 2021 et pour son rôle dans l’assaut du Capitole le même mois et sa tentative d’annulation du résultat de l’élection présidentielle de novembre 2020, remportée par Joe Biden.

Donald Trump, qui a annoncé le mois dernier être candidat à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle de 2024, dénonce des accusations politiques.

Le retour de Trump grâce à Elon Musk et à la démocratie populiste

Le retour de Trump grâce à Elon Musk et à la démocratie populiste

Une consultation invraisemblable auprès des utilisateurs de Twitter pour savoir s’il convenait ou non d’accepter le retour de trump sur le réseau. La démocratie populiste a tranché. Une démocratie particulière de type libertarienne sur fond d’intérêts capitalistes.

De toute évidence Elon Musk devient de plus en plus fou en s’investissant sur le terrain politique. Une erreur fondamentale de mélanger les deux activités. D’abord concernant Twitter l’opération pourrait se révéler une véritable catastrophe financière. En effet, le prix payé pour l’acquisition du réseau social est exorbitant : 44 milliards ! Ensuite le réseau Tweeter enregistre comme la plupart des autres grands réseaux une moindre fréquentation du faite de la concurrence; enfin et surtout, les publicitaires qui financent le réseau se retirent les uns après les autres d’un réseau à polémiques qui nuit à leur image de marque.

Elon Musk, nouveau patron de Twitter, a donc réhabilité samedi soir le compte de l’ancien président américain Donald Trump. Adepte des «faits alternatifs», le républicain avait été banni du réseau social après l’assaut du Capitole à Washington en janvier 2021. Ce retour intervient alors que le milliardaire a annoncé sa candidature à la présidentielle américaine de 2024.Une candidature soutenue par Elon Musk.

Twitter avait banni Donald Trump le 8 janvier 2021, deux jours après l’invasion du Capitole par ses partisans, face au « risque de nouvelles incitations à la violence ». Estimant que cette sanction constituait « une décision mauvaise moralement et insensée à l’extrême », Elon Musk avait évoqué dès mai un possible retour de l’ex-président républicain sur la plateforme.

Alors que de nombreuses associations, autorités et annonceurs craignent que les contenus ne soient plus suffisamment modérés sur le réseau social, laissant libre cours à la désinformation, au harcèlement et à d’autres abus, l’homme d’affaires était attendu au tournant sur le sujet. « Vous trahissez notre démocratie », a ainsi réagi, sur Twitter, le président de l’organisation de défense des droits civiques NAACP Derrick Johnson, affirmant que les abonnés d’Elon Musk « ne représentent pas l’Amérique ».

ELON MUSK , soutien de Trump devient-il fou

ELON MUSK , soutien de Trump devient-il fou ?

Indéniablement ELON MUSK est un grand ingénieur mais c’est aussi un grand manipulateur qui a permis à son groupe d’afficher une immense bulle financière qui un jour ou l’autre pourrait bien éclater avec les déclarations et décisions fantasques de l’intéressé.

Il y a d’abord cet achat du réseau tweete pour un prix irresponsable de 44 milliards qui va peser lourd sur la trésorerie du groupe. D’ailleurs immédiatement le libertarien a licencié la moitié du personnel. L’autre moitié est soumise à une pression considérable avec des méthodes d’un autre âge.

Le nouveau propriétaire et patron de la plateforme a envoyé un document à signer par mail à l’ensemble des équipes, dans la nuit du 15 au 16 novembre. Ces derniers sont invités à s’engager totalement dans sa stratégie, ou quitter le navire. “Si vous êtes certain de vouloir faire partie du nouveau Twitter, cliquez sur le lien ci-dessous” précise le mail qui renvoie vers un formulaire. Comme le rapporte le média américain, tout salarié de Twitter n’ayant pas signé avant jeudi 17 novembre à 14 heures (heure de San Francisco) seront licenciés. Ils bénéficieront d’une indemnité équivalente à trois mois de salaire.

Toujours d’après la même source, le message d’Elon Musk demande “une implication extrême”, ainsi que “du travail pendant de longues heures à une haute intensité”. “Seules des performances exceptionnelles seront suffisantes” ajoute le milliardaire.

Depuis sa reprise en main de Twitter, fin octobre, Elon Musk a pris des décisions radicales, tant au niveau des ressources humaines qu’au niveau de l’offre proposée aux utilisateurs. Malgré des mises en garde de ses équipes, le patron Tesla a tenté de générer des nouveaux revenus en permettant à chaque utilisateur de s’offrir un badge bleu de certification pour 8 dollars, sans la moindre vérification d’identité.

Un choix largement critiqué au sein de l’entreprise, qui s’est avéré être un fiasco: des utilisateurs ont utilisé cette certification à bas prix pour créer de faux comptes et diffuser de fausses informations. Avec des conséquences financières lourdes pour Twitter, qui fait face à une fuite sans précédent des annonceurs.

La dernière erreur qui pourrait être fatal au milliardaire c’est d’avoir publiquement pris position pour Trump lors des élections intermédiaires américaines. Ce dernier a en effet enregistré un échec assez marquant de son courant dans une tendance plutôt en hausse des républicains. Pourtant Elon Musk avait promis une plus grande neutralité du réseau social tweet. Un réseau par ailleurs de plus en plus concurrencé et de plus en plus discrédité notamment auprès des annonceurs et des personnages publics.

Trump: un retour très fragilisé

Trump: un retour très fragilisé

C’est officiel, Trump un peu dans la précipitation a annoncé sa prochaine candidature aux élections présidentielles américaines . Mais cette fois un retour très hypothétique car d’une part l’intéressé a perdu de sa superbe auprès de l’opinion et il est même très concurrencé au sein du camp des « Républicains ».

Le retour de Trump comme candidat aux présidentielles dans deux ans pourrait bien être assez hypothéqué par le relatif échec des « Républicains » aux élections intermédiaires. On attendait en effet une vague des candidats supportés par l’ancien président des États-Unis. Cette vague n’a pas eu lieu et les candidats soutenus par Trump ont particulièrement déçu.

Du coup, Trump lance prématurément sa campagne en se préparant à déclarer sa candidature. Il est en effet maintenant menacé notamment par le gouverneur de Floride largement élu.

«Le président Trump annoncera mardi qu’il est candidat à l’élection présidentielle. Et ce sera une annonce très professionnelle a déclaré son conseiller Jason Miller sur «War Room», le podcast de Steve Bannon, autre proche de Donald Trump. Le républicain de 76 ans juge que la question de sa candidature «ne se pose même pas», a expliqué M. Miller.

«Bien sûr que je me présente. Je vais le faire, et je veux m’assurer que les gens savent que je suis gonflé à bloc et que nous devons remettre le pays sur les rails», a assuré Donald Trump. «Tout le monde sait que je vais me présenter, donc allons-y», aurait-il ajouté.

La candidature de Donald Trump sera sa troisième à la Maison Blanche. Mais même si son influence sur le parti républicain reste indéniable, il sort fragilisé des élections de mi-mandat de mardi dernier, lors desquelles nombre de ses lieutenants ont déçu.Il est surtout menacé par la candidature probable du républicain gouverneur de Floride très charismatique.

Le gouverneur de Floride Ron DeSantis, réélu triomphalement, est auréolé de l’image de grand gagnant de cette saison électorale. La victoire de cette nouvelle star de la droite dure a conforté sa place de potentiel rival de l’ex-président pour l’investiture républicaine. Cela n’a pas échappé au milliardaire, qui a enchaîné cette semaine piques et moqueries contre celui qu’il surnomme «Ron-la-Morale».Il y a aussi la menace de Marc Spence son ancien vice-président qui avait retourné sa veste lors des événements du Capitole.

Le retour de Trump fragilisé

Le retour de Trump fragilisé

Le retour de Trump comme candidat aux présidentielles dans deux ans pourrait bien être assez hypothéqué par le relatif échec des « Républicains » aux élections intermédiaires. On attendait en effet une vague des candidats supportés par l’ancien président des États-Unis. Cette vague n’a pas eu lieu et les candidats soutenus par Trump ont particulièrement déçu.

Du coup, Trump lance prématurément sa campagne en se préparant à déclarer sa candidature. Il est en effet maintenant menacé notamment par le gouverneur de Floride largement élu.

«Le président Trump annoncera mardi qu’il est candidat à l’élection présidentielle. Et ce sera une annonce très professionnelle a déclaré son conseiller Jason Miller sur «War Room», le podcast de Steve Bannon, autre proche de Donald Trump. Le républicain de 76 ans juge que la question de sa candidature «ne se pose même pas», a expliqué M. Miller.

«Bien sûr que je me présente. Je vais le faire, et je veux m’assurer que les gens savent que je suis gonflé à bloc et que nous devons remettre le pays sur les rails», a assuré Donald Trump. «Tout le monde sait que je vais me présenter, donc allons-y», aurait-il ajouté.

La candidature de Donald Trump sera sa troisième à la Maison Blanche. Mais même si son influence sur le parti républicain reste indéniable, il sort fragilisé des élections de mi-mandat de mardi dernier, lors desquelles nombre de ses lieutenants ont déçu.Il est surtout menacé par la candidature probable du républicain gouverneur de Floride très charismatique.

Le gouverneur de Floride Ron DeSantis, réélu triomphalement, est auréolé de l’image de grand gagnant de cette saison électorale. La victoire de cette nouvelle star de la droite dure a conforté sa place de potentiel rival de l’ex-président pour l’investiture républicaine. Cela n’a pas échappé au milliardaire, qui a enchaîné cette semaine piques et moqueries contre celui qu’il surnomme «Ron-la-Morale».Il y a aussi la menace de Marc Spence son ancien vice-président qui avait retourné sa veste lors des événements du Capitole.

Élections américaines : Biden sauve les meubles, Trump s’enfonce

Élections américaines : Biden sauve les meubles, Trump s’enfonce

Victoire pour Biden mais comme on s’attendait à une vague républicaine on peut considérer que Biden a sauvé les meubles. Une bonne nouvelle toutefois pour la démocratie américaine: les candidats soutenus par Trump enregistrent une déconvenue surprise. Au sein du parti républicain, ce sont plutôt les anciens politiques qui réalisent les meilleurs scores et non des candidats trumpistes. Du coup cela porte un coup à l’hypothèse d’une candidature de Trump aux prochaines présidentielles. Il pourrait d’ailleurs être menacé par le gouverneur de Floride reconduit dans ses fonctions.

Reste un fragile équilibre politique car Biden sera quand même un peu handicapé avec la possible victoire des républicains à la chambre des représentants . Mais Trump 30 de son côté prend un sérieux coup sur la tête

Les cadres républicains assument donc à haute et intelligible voix: ces midterms remettent en cause le leadership de Donald Trump. L’épreuve est plus périlleuse encore pour ce dernier dans la mesure où son remplaçant hypothétique en vue de la présidentielle de 2024 semble tout trouvé: Ron DeSantis. Or, le gouverneur de la Floride a connu une fortune bien différente à l’élection. Après avoir été élu à l’arrachée en 2018, avec 49,6% des voix enregistrées, il en capte cette fois 59,40%.

États-Unis : prochaine annonce du retour du clown Trump

États-Unis : prochaine annonce du retour du clown Trump

Il faut que la démocratie américaine soit bien malade pour que soit envisagée le retour du clown Trump dont l’incompétence n’a d’égal que sa mauvaise foi et son idiotie.

En effet ce qui caractérise surtout Trump c’est son mépris de la démocratie puisque notamment il a toujours refusé sa défaite face à Biden. Il a apporté une grande contribution pour faire de la démocratie américaine un grand cirque pathétique d’une grande nullité.

Rarement on aura vu un président intellectuellement aussi faible, aussi vulgaire. Ce qui ne l’empêche pas de conserver de nombreux soutiens dans l’opinion qui soutient les républicains.

C’est un peu le même contexte mondial qui favorise la médiocrité, le populisme et la vulgarité dans beaucoup de pays où les électeurs sont un peu perdu face à l’ampleur et la complexité de la crise. Exemple en Russie, en Chine, en Turquie et aux États-Unis bien sûr.

Face à la complexité de la crise qui affecte en particulier les plus défavorisés et les couches moyennes, les électeurs se réfugient dans des discours simplistes et radicaux caractérisés par la haine de l’autre à l’intérieur ou à l’extérieur du pays.

L’ancien président Donald Trump se prépare à annoncer sa candidature pour reconquérir la Maison Blanche d’ici à la fin novembre, selon des sources proches des discussions en cours. Une situation qui le place au centre des attentions alors que les républicains vont tenter de traduire dans les urnes mardi leur actuelle dynamique lors des élections de mi-mandat.

Musk met tweeter au service de Trump

Musk met tweeter au service de Trump

Il n’aura pas fallu longtemps pour que celui qui s’affiche comme un libertarien montre son vrai visage de conservateur et même de complototiste réactionnaire en annonçant sur Twitter -le réseau qu’il vient d’acheter- son soutien à Trump . Rien d’étonnant de la part de celui qui affiche publiquement sa proximité avec l’extrême droite notamment de la mouvance complotiste QAnon; et de qualifier le New York Times qui relevait son erreur, de « site connu pour publier des fake news ».

Une attitude sans trop de surprise : ce genre de discours anti-médiatique, popularisé par Donald Trump, est devenu commun dans le bord de républicain.

Le milliardaire ne manque pas de qualités mais son ego démesuré et ses convictions politiques pourraient bien porter un coup à la santé financière de son groupe. D’abord le rachat de Twitter à 44 milliards constitue une stupidité qui va fragiliter la solidité financière globale de ses affaires. Twitter n’a jamais réussi à dégager de vrais bénéfices ; en outre nombre d’annonceurs qui financent le réseau social ont décidé de le quitter suite à la main-mise d’Elon Musk sur le réseau.

Ensuite le nombre de personnalités ont aussi décidé de ne plus utiliser Twitter pour diffuser leurs informations.

La folie du milliardaire c’est sans doute de mélanger business et politique. Une folie qui risque de lui coûter cher. Il est en effet prévisible que nombre de personnalités vont s’associer au boycott d’un réseau dans l’équilibre financier est déjà précaire sans préjudice d’un autre boycott concernant les affaires du milliardaire et notamment des voitures électriques Tesla.

« Aux électeurs à « l’esprit indép

Musk met tweeter au service de Trump

Musk met tweeter au service de Trump

Il n’aura pas fallu longtemps pour que celui qui s’affiche comme un libertarien montre son vrai visage de conservateur et même de complototiste réactionnaire en annonçant sur Twitter -le réseau qu’il vient d’acheter- son soutien à Trump . Rien d’étonnant de la part de celui qui affiche publiquement sa proximité avec l’extrême droite notamment de la mouvance complotiste QAnon; et de qualifier le New York Times qui relevait son erreur, de « site connu pour publier des fake news ».

Une attitude sans trop de surprise : ce genre de discours anti-médiatique, popularisé par Donald Trump, est devenu commun dans le bord de républicain.

Le milliardaire ne manque pas de qualités mais son ego démesuré et ses convictions politiques pourraient bien porter un coup à la santé financière de son groupe. D’abord le rachat de Twitter à 44 milliards constitue une stupidité qui va fragiliter la solidité financière globale de ses affaires. Twitter n’a jamais réussi à dégager de vrais bénéfices ; en outre nombre d’annonceurs qui financent le réseau social ont décidé de le quitter suite à la main-mise d’Elon Musk sur le réseau.

Ensuite le nombre de personnalités ont aussi décidé de ne plus utiliser Twitter pour diffuser leurs informations.

La folie du milliardaire c’est sans doute de mélanger business et politique. Une folie qui risque de lui coûter cher. Il est en effet prévisible que nombre de personnalités vont s’associer au boycott d’un réseau dans l’équilibre financier est déjà précaire sans préjudice d’un autre boycott concernant les affaires du milliardaire et notamment des voitures électriques Tesla.

« Aux électeurs à « l’esprit indépendant » : le partage du pouvoir gomme les pires excès de chaque parti, donc je recommande de voter pour un Congrès Républicain, car la Présidence est Démocrate. »
a tweeté Musk.

Twitter, en tant que réseau social crucial dans la sphère médiatique était déjà observé de près, par peur qu’il serve de relais à la désinformation d’un des deux bords ou bien de cible de tentative d’ingérence étrangère. Pour calmer les inquiétudes, Elon Musk venait d’affirmer qu’il était prêt à attendre la fin des midterms pour déployer les nombreux changements qu’il prévoit de faire sur Twitter.

Outre la volonté de répondre au grand public, le nouveau dirigeant doit rassurer les annonceurs -dont Twitter dépend pour la quasi-intégralité de ses revenus aujourd’hui- qui s’inquiètent de la modération. Avec sa prise de position publique, le milliardaire se tire certainement une balle dans le pied, et les annonceurs qui ont déjà quitté le réseau social pourraient être suivis par d’autres.

La désinformation en provenance des mouvances de l’extrême-droite américaine continue d’abonder à flot, alors que le président sortant Donald Trump continue de refuser sa défaite à l’élection présidentielle, et pourrait se présenter en 2024.La préférence politique d’Elon Musk va se refléter dans la nouvelle « modération » du réseau social. Autrement dit, si le milliardaire compte bien se servir de Twitter comme d’un outil de propagande pour ses idées.

Comprendre le phénomène Trump

Comprendre le phénomène Trump

Pour la plupart des français, incluant de nombreux observateurs politiques, l’élection de Donald Trump en 2016 s’est avérée non seulement inquiétante, mais surtout incompréhensible. Par André Yché, Président du conseil de surveillance chez CDC Habitat.(la Tribune)

 

Quatre décennies plus tôt, revêtu de mon uniforme d’élève-officier de l’Air français, je découvrais, pour un séjour semestriel, l’US Air Force Academy de Colorado Springs et, par la même occasion, les Etats-Unis d’Amérique, du moins cette région des hauts plateaux, au pied des Rocheuses.

C’était pendant l’été 1975, Gerald Ford terminait péniblement le difficile second mandat de Richard Nixon et déjà, les Etats-Unis se retiraient en catastrophe du Viêt-Nam. Les cadres de l’Academy, anciens pensionnaires du « Hanoï Hilton » pour certains d’entre eux, portaient encore l’odeur du napalm de « Rolling Thunder » et de « Linebacker I/II ». Parmi eux, la popularité de « Tricky Dicky », en dépit du « Watergate », n’avait pas fléchi.

Très vite, j’ai pu observer certaines strates conservatrices de la société américaine, au cours des dimanches en famille dans le Mesa Verde, débutés par la messe conclue par « America the beautiful », les pique-niques à base de « Kentucky Fried Chicken » et des « Home made Apple Pies », les rodéos de fin d’après-midi, entre deux concours de tir au Colt 45, sur des boites de « Budweiser » et de « Coors » vides.

Mais ce qui m’a surtout marqué, c’est la « Country Music », et notamment le répertoire traditionnel de « Blue Grass », dont il m’a paru, très vite, qu’il recélait la réalité la plus enracinée de l’âme américaine, avec ses mythes fondateurs et ses images d’Epinal.

Et d’abord, la figure iconique du genre, Johnny Cash, dont quelques titres emblématiques donnent le ton : « Folsom Prison Blues », confession d’un mauvais garçon ; « I walk the line », influence salvatrice de la compagne ; « Hey Porter ! » et « The rock island line » qui évoquent l’aventure du chemin de fer et la nostalgie du Sud et surtout « I saw the light », sur le chemin de Damas. Mais avec sa voix profonde, envoûtante, sa « gueule » de « dur à cuire » et son sourire chaleureux, Johnny Cash a abordé tout le répertoire « country », incluant des centaines de chansons et développant les thèmes patriotiques de la rédemption, du « bon grain » poussant sous l’ivraie, mais aussi du courage et, s’il le faut, de la force au service de la défense légitime du Bien.

Celui qui couvre parfaitement l’ensemble de ce registre, c’est Marty Robbins avec les grands classiques de la « Country » : « Big Iron », la scène du duel dans la rue principale d’  « Agua Fria », qui aurait pu être celle de « Laredo » ou de « Tombstone », entre un « Arizona Ranger », justicier taciturne, et un jeune « outlaw » de 24 ans, rappelant la scène finale de « Gunfight at OK Corral » ; « El Paso », drame de la passion amoureuse, « Roméo et Juliette » dans l’Ouest. Ainsi enchaîne-t-il « Gunfighter ballads » et « Trail Songs », abordant tous les thèmes sur un très large spectre : « Running Gun », ou le destin d’un « desperado » ; « Riders in the sky », version quasi-cinématographique de « Master Call »… A côté du train, le cheval occupe une place éminente dans la mythologie de l’Ouest américain : « The Tennessee Stud » interprété par Doc Watson.

Ce courant traditionnaliste et ultra-conservateur ne résume pas la « country » qui englobe également une critique de l’ordre établi et des injustices qu’il engendre. Illustrer cette tendance, très présente, fournit l’occasion de citer Tennessee Ernie Ford et son « tube » : « Sixteen tons », histoire d’un mineur de plus en plus endetté auprès du «general Store » de la compagnie minière qui l’exploite en lui faisant extraire, quotidiennement, seize tonnes de charbon (« nine-grades »), la meilleure qualité ; il libère sa haine en utilisant sa force herculéenne pour battre à mort quiconque croise sa route.

Parmi les plus éminents représentants du courant contestataire, viennent les frères Guthrie, Arlo (« City of New Orleans », encore un « Railroad Blues » emprunté à Steve Goodman) et Woody (« This land is your land », revendication de la citoyenneté américaine ; « House of Rising Sun », ou la défense des idéaux ; « Deportee » ou le drame des immigrés « latinos »). Mais le plus prolixe de cette génération exceptionnelle demeure Pete Seeger, à travers ses reprises des Guthrie autant que par son répertoire propre : « Where have all the flowers gone », le drame du Viêt-Nam ; « Which side are you on », le syndicalisme revendicatif ; « If I had a hammer », ou changer le monde ; « We shall overcome », chant d’appel et d’espoir ; « What did you learn in school today », critique des institutions…

Bien sûr, le conflit vietnamien pèse lourdement sur le climat et Bob Dylan se déporte de plus en plus vers le registre pacifiste protestataire : « John Brown » went to war, to fight on a foreign shore… et Cat Stevens lui donne la réplique : « How many times », how many deaths will it take us to know that too many people have died…

Mais Cat Stevens (« Morning has broken », « Lady d’Arbanville ») n’a jamais été membre de la « Country family » !

Pour autant, même si on tend à écarter de ce panel de « country songs » ceux de Joan Baez (« Here’s to you ») en dépit de l’influence sur sa composition de Bob Dylan et de la sienne sur Emmylou Harris (« Farewell Argentina », « Baby blue »…) la caractéristique fondamentale de la « Country » est le fond d’optimisme qui ressort de ces œuvres, qu’il s’agisse du recours aux valeurs traditionnelles (« The Erie Canal ») ou à la réconciliation nationale (« Johnny Reb ») et même le fort courant contestataire ne remet pas en cause, fondamentalement, le modèle américain, tout en dénonçant ses dérives et les abus qui en résultent.

In fine, deux titres résument l’esprit dominant de la Country : « Will the circle be unbroken » qui appelle à la transmission des valeurs que même Bob Dylan a interprété, et « America the beautiful », véritable hymne à la Nation.

Plus tard, la relève de Willie Nelson et autres a été assurée, pour un temps, par le célébrissime John Denver ; une nouvelle génération s’efforce désormais de suivre la « Desperado trail »…

Toute la question aujourd’hui est de savoir si cette Amérique traditionnelle est morte, ou du moins, dépassée par le mouvement contestataire radical. Les prochains scrutins nationaux apporteront un début de réponse à cette question essentielle, pour ne pas dire existentielle.

Fraude fiscale : Trump refuse de répondre à la justice !

Fraude fiscale : Trump refuse de répondre à la justice !

 

 

 

Trump  jusque-là a toujours refusé de s’expliquer sur les montages finaciers  frauduleux de ses entreprises et sur le non-paiement de ses propres impôts. Convoqué par un juge de New York Donald Trump n’a toujours pas voulu répondre. Il  invoqué mercredi 10 août, lors de son audition sous serment devant la procureure générale de New York, plus de 440 fois son droit de ne pas répondre aux questions, en vertu du 5e amendement de la Constitution américaine, rapportent jeudi des médias.

Dès son arrivée au bureau de Letitia James mercredi, le milliardaire républicain avait annoncé dans un communiqué qu’il invoquerait le fameux 5e amendement de la Constitution des États-Unis, qui permet à tout justiciable de ne pas témoigner contre soi-même. Letitia James, une procureure élue du parti démocrate, l’avait confirmé dans un très bref communiqué après son face-à-face avec l’homme d’affaires, assurant qu’elle «poursuivrai(t) (son) enquête» car «personne n’est au-dessus des lois» aux États-Unis.

États-Unis : Trump toujours très présent !

États-Unis : Trump toujours très présent !

 

Le sursaut politique créé par les auditions de la commission parlementaire sur les émeutes au Capitole du 6 janvier 2021 est menacé par un risque d’affaiblissement des démocrates aux élections de mi-mandat et par la révolution conservatrice de la Cour suprême, expliqueAlain Salles,  du « Monde ».

 

 

La mise en scène par le Congrès américain des auditions sur la tragédie du 6 janvier 2021, quand des émeutiers, chauffés à blanc par l’encore président Donald Trump, ont pris d’assaut le Capitole, est à la fois spectaculaire et surannée. Derrière ce rite solennel, on assiste à une survivance d’une espèce menacée : l’espace démocratique, où la raison essaie de saisir ce moment de folie qui a saisi l’Amérique, pour l’acmé des années Trump.

La Commission refait défiler ces moments et de ces images, cent fois montrées, mais en leur apportant un éclairage cru pour établir la responsabilité du milliardaire et l’impuissance (et l’aveuglement) de son entourage. La commission a enquêté pendant plus d’un an, prenant le temps de convaincre les témoins de parler, pour essayer d’établir une chronologie minutieuse de l’engrenage politique et meurtrier du 6 janvier. L’état d’esprit est très différent des deux procédures d’impeachment lancées sans succès contre l’ancien président, où les élus étaient pressés par le temps et davantage soucieux de l’affichage politique que du résultat.

Le premier procès en 2019 – éclairé d’une étrange lumière rétrospective depuis l’invasion de la Russie par l’Ukraine – concernait les pressions présumées de Donald Trump sur le tout nouveau président Volodymyr Zelensky pour mettre en cause le fils de Joe Biden, Hunter, qui avait fait des affaires dans la région. Mais la proximité des primaires démocrates, puis des élections de novembre, et la résistance des républicains empêchaient la sérénité des débats.

 

Ce fut encore plus flagrant avec la seconde procédure pour incitation à la rébellion, une semaine après le 6 janvier 2021, dont l’objectif était d’agir avant la fin officielle du mandat du président battu, pour l’empêcher de se représenter. La justice, même parlementaire, ne se rend pas dans l’immédiateté.

Ce qui apparaît aujourd’hui au Congrès, c’est précisément le lent travail de fourmi de la commission qui a pu interroger à l’abri des regards publics une grande partie des protagonistes. La grande force de la restitution des deux premiers jours, les 9 et 13 juin, tient à la variété de ces personnalités qui ont soutenu Donald Trump et accepté de témoigner.

Pendant quatre ans, ils ont avalé sans broncher de nombreuses couleuvres, mais ont calé devant celle qui faisait vaciller la démocratie américaine : la mise en cause du résultat des élections et l’organisation de ce qui est qualifié de « sédition », avec de fortes présomptions pour penser qu’elle était l’œuvre de celui qui avait juré, en 2017, de respecter la Constitution.

L’hypothèse Le Pen : comme Trump ou Johnson

L’hypothèse Le Pen : comme Trump ou Johnson

 

« Patriotes contre mondialistes », « gens ordinaires contre donneurs de leçons », l’affiche de notre présidentielle 2022 était déjà celle de la joute qui a eu lieu au Royaume-Uni il y a six ans. Un papier de Philippe Bernard dans le « Monde »

Chronique

 

« Est-ce que l’impensable peut arriver ? », s’interrogeait un éditorialiste de la New York Review of Books sept semaines avant que Donald Trump, contre toute attente, remporte la présidentielle américaine du 8 novembre 2016. Moins de cinq mois plus tôt, à la veille du référendum sur le Brexit, on pouvait honnêtement douter que nos pragmatiques voisins britanniques choisiraient de sauter dans le vide en votant pour quitter l’Union européenne (UE). Le 23 juin, ils en décidèrent pourtant ainsi à 51,89 %.

Si de tels scénarios inattendus, voire « impensables » méritent d’être rappelés à la veille du second tour de la présidentielle française, c’est qu’ils procèdent d’un contexte politique présentant de troublantes similitudes avec celui du nouveau duel Macron-Le Pen. Et que, aux Etats-Unis comme au Royaume-Uni, l’« impensable » est survenu alors que le camp censé incarner la « raison » était quasi certain de l’emporter.

« Patriotes contre mondialistes », « gens ordinaires contre donneurs de leçons », l’affiche de notre présidentielle 2022 était déjà celle de la joute où se sont affrontés partisans et adversaires du Brexit au Royaume-Uni il y a six ans. D’un côté, des nationalistes exploitant la nostalgie d’un grandiose passé mythifié et la nécessité de « reprendre le contrôle des frontières » pour justifier la rupture avec l’UE. De l’autre, des élites économiques et intellectuelles attachées à la coopération internationale.

Déjà le ressort de l’immigration était central. De même que la fermeture des frontières et la mise au ban des étrangers commandent la quasi-totalité du programme de Marine Le Pen, qui promet de « rendre aux Français leur pays », Nigel Farage, le leader britannique d’extrême droite, répétait « We want our country back ! » (« Rendez-nous notre pays ! »)Exultant à l’annonce du succès du Brexit, Farage avait salué « la victoire des gens ordinaires, des gens honnêtes ». Des expressions, qui, retrouvées dans la bouche de la leader du RN, excluent les étrangers ou ceux qu’elle perçoit comme tels.

A l’instar de Mme Le Pen, qui se fait fort de faire baisser la contribution budgétaire française à l’UE pour soulager les finances publiques, Boris Johnson promettait de financer le système de santé public avec l’argent « économisé » par la sortie de l’Union. Il n’hésitait pas à brandir la menace de listes d’attente dans les hôpitaux en cas de maintien dans l’UE. Des mensonges mis au jour pendant la crise due au Covid-19.

Et si Mme Le Pen masque aujourd’hui sa hargne contre l’UE derrière le projet d’une « alliance des nations européennes », le temps n’est pas si loin, au lendemain de la victoire du Brexit, où elle « vibrait avec les Britanniques qui ont saisi cette opportunité extraordinaire de sortir de la servitude ». Un enthousiasme qu’elle a depuis remisé : l’économie britannique pâtit de la sortie de l’UE et la prétendue « Global Britain » souffre d’isolement.

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