Archive pour le Tag 'encore'

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Allemagne : encore un attentat terroriste sur le marché

Allemagne : encore un attentat terroriste sur le marché

 Au moins 2 morts et  60 personnes blessées dans un attentat terroriste sur un marché en Allemagne. Un véhicule a foncé ce vendredi 20 décembre sur un marché de Noël dans la ville de Magdebourg, au nord de l’Allemagne.

L’attaque survient huit ans après un acte similaire commis sur un marché de Noël de Berlin, alors que l’Allemagne, en pleine campagne électorale, est en état d’alerte contre le risque d’attentats.

Les marchés de Noël sont une « cible idéologiquement appropriée pour les personnes motivées par l’islamisme », avaient mis en garde les services de renseignement allemands avant la période des fêtes.
Le chauffeur de la voiture qui a foncé sur la foule de ce marché de Noël a été interpellé, selon la police. Le suspect arrêté est âgé de 50 ans et d’origine saoudienne. « Nous avons arrêté l’auteur » de l’attentat et « il s’agit d’un homme originaire d’Arabie Saoudite qui exerce comme médecin ici » dans la région de Saxe-Anhalt, a indiqué le chef du gouvernement régional, Reiner Haseloff, précisant qu’il avait « agi seul ».

« Il s’agit d’un événement terrible, dans les jours précédant Noël », a-t-il encore déclaré à la chaîne de télévision publique MDR.
• Le chancelier allemand Olaf Scholz redoute « le pire »

Encore une menace de «shutdown» aux États-Unis

Encore une menace de «shutdown» aux États-Unis

Encore une fois les États-Unis se font peur avec la menace de blocage budgétaire. En outreElon Musk  est à la manœuvre pour semer un peu plus de pagaille et réclamer de façon prématurée des économies fédérales.

 
Les élus républicains, pourtant majoritaires à la chambre basse, avaient soumis au vote une nouvelle proposition au lendemain du torpillage par Donald Trump et Elon Musk d’un précédent accord négocié avec les démocrates qui aurait évité aux États-Unis un «shutdown», juste avant Noël.

Le texte n’a même pas atteint la majorité simple, avec 38 républicains se joignant au «non» des démocrates. La marche à suivre est désormais incertaine pour le président républicain de la Chambre des représentants, Mike Johnson, pressé d’un côté par les démocrates de revenir à l’accord préalablement négocié, et de l’autre par certains élus conservateurs qui refusent en bloc tout texte qui ne comprendrait pas de coupe budgétaire pour compenser les nouvelles aides.

Comme d’habitude on pourrait attendre le dernier dernier moment pour sortir de cette impasse habituelle aux États-Unis. Cela démontre aussi à l’évidence l’impatience d’Hélène Musk de peser sur à peu près tous les sujets quittes à marcher sans doute sur les pieds un jour du président.

Bayrou : encore une réunion pour rien à Matignon

Bayrou : encore une réunion pour rien à Matignon

Bayrou  perd encore du temps en proposant une réunion de consultations à toutes les forces politiques sans inviter d’ailleurs le Front National et LFI. Il s’agira de donner des orientations sur la composition du gouvernement et surtout sur les orientations. De toute manière Bayrou est coincé sur un socle minimum au Parlement qui se ratatine. On peut facilement imaginer que chaque partie répétera à la sortie de la réunion ses lignes rouges. Autant de temps perdu en attendant la déclaration de politique générale prévue le 14 février et surtout la mise en marche enfin de ce gouvernement qu’on attend comme Godot alors que la situation économique notamment à Mayotte évidemment ne cesse de se dégrader sans parler du moral des acteurs qui plonge.

La lettre de Matignon

«Avant de proposer au président de la République une composition de gouvernement, je veux vous rencontrer pour vous éclairer et vous entendre sur les orientations que nous devrons suivre», a écrit le premier ministre dans un courrier adressé aux partis, à l’issue de plusieurs consultations avec chacune des forces politiques. La présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet et son homologue au Sénat, Gérard Larcher, ont également été conviés à cette réunion.

Bayrou doit se libérer encore un peu plus de Macron

Bayrou doit se libérer encore un peu plus de Macron

 

Pour faire face aux crises, le nouveau premier ministre devra s’affranchir de la tutelle présidentielle et tenir compte des rapports de force à l’Assemblée nationale, estime le professeur de science politique ,Martial Foucault, Politiste

Pour faire face aux crises, le nouveau premier ministre devra s’affranchir de la tutelle présidentielle et tenir compte des rapports de force à l’Assemblée nationale, estime le professeur de science politique dans une tribune au « Monde ».

 

dans une tribune au « Monde ».

 

Sixième premier ministre d’Emmanuel Macron, François Bayrou parviendra-t-il à surmonter les quatre crises – budgétaire, politique, morale et sociale – dans lesquelles s’enfonce la France ? La réussite et la durée de son mandat, et par effet de ricochet une stabilisation institutionnelle, dépendent des réponses que le nouveau locataire de Matignon apportera à ces urgences.

A la différence de l’éphémère gouvernement dirigé par Michel Barnier, c’est désormais un gouvernement de coalition, et non pas de cohabitation, que François Bayrou devra conduire. En effet, la relation personnelle qu’il entretient avec le président de la République et le soutien décisif qu’il lui a apporté lors de la campagne de 2017 devraient donner à François Bayrou, contrairement à ses prédécesseurs sous Macron, quelques degrés supplémentaires de liberté pour s’affranchir de la tutelle présidentielle.

Premier défi, urgent : résoudre le dilemme entre l’exigence de rigueur budgétaire et la satisfaction des demandes redistributives de la gauche parlementaire. Est-ce que le centrisme, comme doctrine politique, consiste seulement à dégager en tout temps et en toutes circonstances une voie médiane ? La voie de passage pour François Bayrou est étroite, car l’échec du vote du budget aurait pour conséquence d’ébranler le système institutionnel et de déboucher sur une crise de régime.

Premier ministre–Bayrou encore plus fragile que Barnier ?

Premier ministre–Bayrou encore plus  fragile que Barnier ?

 

 Emmanuel Macron vient de nommer François Bayrou premier ministre, suite à la censure du gouvernement Barnier du 4 décembre. Mais François Bayrou peut-il « durer » plus longtemps que son prédécesseur à Matignon ? Quelle sera la position du PS, des écologistes et des communistes, désormais ouverts à la possibilité d’une négociation ? Entretien avec le politiste Rémi Lefebvre. (dans « The Conversation »).  

 

Quelle est votre réaction à la nomination de François Bayrou ?

Rémi Lefebvre : On a pu avoir qu’Emmanuel Macron avait amorcé un changement de méthode en convoquant les partis politiques à l’Élysée. C’était tout à fait inédit avec un président de la République qui animait directement la réunion. Or, finalement, Emmanuel Macron est revenu finalement à la méthode traditionnelle : il a nommé quelqu’un de son camp, François Bayrou.

Le MoDem de François Bayrou a un groupe parlementaire encore plus faible que les LR de Michel Barnier. Au fond, Emmanuel Macron réitère donc la formule d’un premier ministre issu d’une majorité largement battue aux législatives 2024 et censurée il y a quelques jours. On ne voit pas bien du tout l’issue, on ne voit pas en quoi cette solution pourrait amener plus de stabilité et plus d’ouverture.

La base de la légitimité de François Bayrou est encore plus fragile que celle de Michel Barnier. Ce dernier avait constitué son gouvernement avec l’accord implicite de non-censure, au moins provisoire, du Rassemblement National. C’est clairement, qui avait pesé sur les négociations. Bayrou lui, n’a aucun accord de non-censure pour l’instant, même s’il faut être prudent car les choses peuvent bouger.

Dans l’immédiat, on peut penser que les socialistes ne vont pas le censurer, mais que leur soutien sera négocié au cas par cas, de manière très sourcilleuse. Par ailleurs, les relations entre François Bayrou et Les Républicains sont exécrables – Nicolas Sarkozy a d’ailleurs tout fait pour saborder sa candidature. Cela veut dire qu’aujourd’hui, la base de légitimité de Bayrou, c’est en gros 150 députés, ce qui est extrêmement faible.

Finalement Emmanuel Macron n’a pas pris en compte le scrutin législatif, ni la censure, et en plus, il ne veut pas du tout remettre en cause de sa politique.

Avec Michel Barnier, Emmanuel Macron avait construit un attelage qui s’appuyait sur sur le RN et désormais, il propose une méthode qui exclut le RN et qui remet la barre un peu plus à plus à gauche. Quelle est la cohérence politique ?

R.L : Emmanuel Macron, fait penser à un bateau ivre. En fait, il est complètement aux abois, avec très peu de marges de manœuvre. Cette impasse stratégique est aussi liée à son erreur de ne pas nommer un premier ministre issu de la gauche. Ce choix aurait « purgé » l’hypothèse de gauche et lui aurait permis de retrouver de la légitimité en nommant dans un second temps un premier ministre de son camp. Désormais, il apparaît comme coincé dans la logique de son choix initial.

Du côté de la gauche, il y a eu un bougé important : le PS, les écologistes et les communistes ont accepté d’entrer dans le jeu de la négociation en participant à la réunion des partis « républicains » voulue par Emmanuel Macron. Ils ne sont donc plus sur une posture de censure a priori comme c’était le cas vis-à-vis de Michel Barnier. Que pensez-vous de ce choix ?

Ce « bougé » est important. Le PS ne veut pas apparaître comme responsable d’une crise qui s’approfondit. Il se détache aussi de la France Insoumise qui, elle, fait le choix de l’obstruction et de chaos avec l’objectif de précipiter une élection présidentielle. Ce choix est en phase avec l’identité politique du PS, qui a une culture de responsabilité et il répond aussi à une demande de l’opinion publique veut que les partis trouvent des solutions.

Par ailleurs, ce choix est habile de la part d’Olivier Faure. Rappelons qu’un congrès du Parti socialiste a lieu dans six mois. Tout le monde disait que Faure était fini mais il a réussi à créer du mouvement en désarçonnant ses opposants qui lui demandaient une prise de distance à l’égard de LFI. L’occasion était parfaite et si on regarde les enquêtes d’opinion, le PS en bénéficie.

Par ailleurs, les socialistes ont été prudents, ouvrant la porte aux compromis tout en posant des conditions. Ils gagnent sur les deux tableaux : donnant l’impression de l’ouverture et de la responsabilité, mais sans donner de blanc-seing à François Bayrou. Depuis ce choix, la gauche et du PS sont sortis de l’ombre, depuis quinze jours les médias ne parlent que d’eux. Le PS redevient un parti charnière qui joue un rôle stratégique, c’est nouveau.

Ensuite, évidemment, il ne faut pas croire que la position du PS sera facile. Si par exemple, François Bayrou accepte de « suspendre la loi sur les retraites », comment se positionneront les socialistes ? Accepteront-ils d’apparaître comme co-responsables des choix budgétaires du gouvernement ? Le point d’équilibre sera complexe à trouver.

LFI dénonce la traîtrise du PS, demande la démission de Macron, reste sur la logique de censure. Est-ce une stratégie gagnante pour Jean-Luc Mélenchon en vue d’une future présidentielle ou est-il cornérisé ?

R.L : Jean-Luc Mélenchon a une capacité à rebondir très surprenante, c’est un phénix qui renaît de ses cendres. Notons qu’il avait disparu, qu’il n’était plus candidat il y a quelques mois, et depuis peu, il est à nouveau au centre du jeu, incontournable pour les prochaines présidentielles. Son calcul est que les choses vont se dégrader, que Macron ne va pas tenir, que les socialistes vont s’abîmer en compromissions et que le reste de la gauche n’arrivera pas à mettre un candidat unique face à lui. Bref, son calcul, c’est que le duel se jouera entre Marine Le Pen et lui, puisqu’il y aura sans doute plusieurs candidats issus de la Macronie. Mélenchon est très abîmé dans les sondages d’opinion, mais la capacité de la gauche non mélenchoniste à ne pas se structurer est également très forte…

Est-ce que le spectacle de partis qui passent leur temps à poser des lignes rouges et à jouer leurs intérêts particuliers en vue des prochaines présidentielles contribue à approfondir la crise démocratique ?

R.L : Ce que nous vivons n’est pas une crise conjoncturelle : nous sommes au bout d’un processus de décomposition de la vie politique accumulé depuis des années. Il y a un profond discrédit de la parole politique et des partis. L’absence de majorité au parlement et la censure ne sont que la partie immergée de l’iceberg. L’accumulation de dysfonctionnements démocratiques, les logiques de fragmentation, de protestation, de populisme, de brutalisation, expliquent ce que nous vivons actuellement. Il ne faut pas croire qu’une négociation entre « partis de gouvernement » peut suffire à résoudre la crise. Cela peut même favoriser le vote RN qui parlera de collusion des élites et des partis.

Nous vivons la fin d’un cycle démocratique et institutionnel qui se soldera par un effondrement démocratique avec l’arrivée de l’extrême droite au pouvoir ou par une refondation démocratique. Pour cela, il faudrait beaucoup plus qu’une réforme instituant la proportionnelle, c’est bien mais pas suffisant. Il faudrait repenser complètement les règles du jeu, avec une constituante, comme a pu le faire l’Islande. Il faudrait aussi une recomposition partisane. Ce qui se passe à gauche avec quatre forces politiques n’a aucun sens.

Football ligue des champions : Encore un espoir pour le PSG ?

Football ligue des champions : Encore un espoir pour le PSG ?

Le PSG entretient encore l’espoir après sa victoire 3-0 en Autriche, avec des buts de Ramos, Mendes et Doué; Il monte  à la 24e place au classement avant d’affronter City et Stuttgart.

 

Burkina Faso: La dictature se renforce encore

Burkina Faso: La dictature se renforce encore

La dictature militaire se renforce encore au Burkina Faso avec la mise à l’écart du Premier ministre. Le chef de la junte au pouvoir au Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, a démis de ses fonctions le premier ministre et dissout le gouvernement vendredi 6 décembre, selon un décret présidentiel transmis à l’AFP. Nommé premier ministre en octobre 2022 à la suite d’un coup d’État porté par Ibrahim Traoré, Apollinaire Joachim Kyélem de Tambèla a dirigé trois gouvernements successifs à la tête desquels il a toujours été reconduit. Aucune précision n’a été fournie sur les raisons de cette décision.

Le Burkina Faso est plongé dans une instabilité politique depuis début 2022 où le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba s’était emparé du pouvoir par un coup d’État contre le président Roch Marc Christian Kaboré. Il a été évincé lors d’un second putsch huit mois plus tard, orchestré par le capitaine Ibrahim Traoré, toujours au pouvoir.

Foot PSG: encore un match nul

Foot PSG: encore un match nul

 

Encore une déconvenue pour le PSG cette fois dans le championnat de France face au modeste club d’Auxerre. Et comme d’habitude c’est l’inefficacité de l’attaque qui est en cause aussi  la bonne prestation du gardien adverse.

Macron: Encore une intervention pour rien

Macron: Encore une intervention pour rien

 

Encore une intervention pour rien pour macron. La problématique qu’il évoque est bien connue à savoir le blocage politique actuel. Par contre, il ne donne aucune piste sérieuse et concrète concernant l’avenir. À part sa volonté de ne pas démissionner, sous-entendu de ne pas non plus être démissionné sous la pression de l’opinion. Pour le reste concernant le budget, ce sera faute de vote de l’assemblée et comme prévu une reconduction du budget 2024.Visiblement en panne d’idées, Macron annonce un gouvernement « d’intérêt général »; Comme si ce n’était pas déjà l’objet premier des gouvernements !

De toute manière, il est en il y a longtemps que Macron a perdu tout pouvoir et tout a débuté après l’échec de sa majorité en 2022 lors des législatives, pour se poursuivre avec les européennes et le renouvellement récents de l’Assemblée nationale. Le problème de Macron c’est qu’il ne dispose pas de majorité, ni même de force d’appui significative puisqu’il est même contesté au sein de sa propre majorité. Ne parlons pas de l’opinion publique où sa cote de popularité est autour de 17 %. Le roi est nu et il cache sa nudité derrière toujours ce langage fumeux des instituts politiques et de l’ENA. L’avenir est pourtant prévisible. Le futur premier ministre faute de majorité comme Barnier sera condamné à disparaître au premier obstacle économique, financier, social voire sociétal.

 

La justice refuse encore les 56 milliards de rémunérations de Musk

La justice refuse encore les 56 milliards de rémunérations de Musk

 

Une juge du Delaware, dans l’est des États-Unis, a de nouveau rejeté, lundi 2 décembre, un énorme plan de rémunération de 55,8 milliards de dollars attribué par Tesla à son patron Elon Musk, bien que ce montant ait été approuvé par une majorité des actionnaires du constructeur automobile. La juge Kathaleen McCormick avait déjà retoqué cette enveloppe en janvier, dénonçant son attribution par un comité dont les membres étaient tous des proches d’Elon Musk. Elle avait ainsi accédé à la demande d’un actionnaire de la société, qui avait saisi la justice pour faire invalider cette rétribution.

 

PSG-Nantes: Encore un match « nul »

PSG-Nantes: Encore un match « nul »

PSG- Seulement un match nul contre Nantes ;pas de rédemption pour le PSG après la déconvenue contre le Bayern de Munich ( 1-0 pour le Bayern ). Comme souvent le PSG est stérile, il domine mais ne marque pas oubliant même de tirer devant les buts.  13 tirs, plus de 80% de possession  Mais un jeu ennuyeux et surtout inefficace. Encore un ou deux matchs de ce type et la crise n’est pas un grand pas le PSG. Nantes menacé de relégation repart heureux avec ce match nul inespéré

 

Encore un mort à Grenoble

Encore un mort à Grenoble

Sans doute encore sur fond de drogue, un homme de 36 ans a été tué vendredi 22 novembre soir à l’arme blanche au cours d’une altercation dans une épicerie de Grenoble, a-t-on appris auprès du parquet de la ville. Vers 20h30, les deux hommes se trouvaient dans le commerce et l’un a porté un coup de couteau au thorax à l’autre, a confirmé le procureur de Grenoble Eric Vaillant, après une information du Dauphiné Libéré, pour une raison encore inconnue. L’agresseur a pris la fuite et les secours n’ont pas pu réanimer la victime une fois arrivés sur place. L’enquête a été confiée au service local de police judiciaire.

Le Mali renforce encore sa dictature

Le Mali renforce encore sa dictature

Sans autre forme de procès ou de démocratie, le premier ministre malien est renvoyé à ses chères études. En cause des critiques pourtant très modérées de la part de l’intéressé. Mais il ne fait pas bon déplaire à la junte surtout si c’est pour faire allusion à sa légitimité.

Bref le Mali s’enfonce de plus en plus dans l’autoritarisme et même la dictature et copie de plus en plus le modèle russe.

 

M. Maïga est remercié quatre jours après s’être livré samedi en public à de rares critiques contre la junte. Il a déploré être tenu à l’écart de la prise de décision quant au maintien des généraux au pouvoir et a évoqué «le spectre de la confusion et de l’amalgame» qui planerait selon lui sur la période actuelle dite de transition.

En clair une critique indirecte de la main de Poutine sur le Mali.

 

Poutine utilise encore la terreur nucléaire nucléaire

 Poutine utilise encore la terreur nucléaire nucléaire

Une nouvelle fois les Russes utilisent la terreur nucléaire pour meubler une rhétorique qui n’impressionne plus grand monde. D’une certaine manière il s’agit de la manifestation d’une faiblesse un pays qui pensait avoir la meilleure armée du monde et qui depuis 1000 jours demeure aux portes de l’Ukraine. La stratégie de Poutine visant à envahir totalement l’Ukraine pour mettre une marionnette russe comme président a totalement échoué. Pire, cette stratégie agace sérieusement les Chinois surtout depuis l’alliance Russie–Corée-du-Nord. Une Chine davantage préoccupée de problèmes de croissance et d’endettement que d’affrontements guerriers.

 

Vladimir Poutine ente encore de faire peur avec, la signature du décret entérinant cette évolution doctrinale de l’utilisation du nucléaire. Une  nouvelle mise en garde, tandis que les États-Unis viennent d’autoriser le régime de Kiev à frapper le sol russe avec les missiles à longue portée qu’ils lui ont fournis.

Législatives Géorgie : encore la main de Poutine dans les urnes

législatives Géorgie : encore la main de Poutine dans les urnes

Sans surprise le gouvernement pro-russe grâce à la main de Poutine a remporté les élections Législatives de ce samedi. Et comme à chaque fois quand la Russie est impliquée, on signale des fraudes massives. L’objectif est forcément stratégique pour la Russie qui veut soustraire des ex pays de l’union soviétique à l’influence occidentale et à la démocratie.


Le parti pro-russe géorgien a donc remporté les élections législatives ce samedi. L’opposition dénonce des fraudes quand l’Occident s’inquiète d’un éloignement du pays à l’Union européenne. Plusieurs manifestations ont éclaté dans le pays.
Le parti au pouvoir Rêve géorgien, en place depuis 2012, a emporté 53.93% des voix contre 37.79% pour une alliance de partis d’opposition, selon les résultats finaux communiqués par la Commission. Un résultat qui fait polémique puisque ce dernier est accusé par ses détracteurs de dérive autoritaire pro-russe et de vouloir éloigner la Géorgie de l’Union européenne, ce qu’il réfute.

À l’issue des résultats, l’opposition a dénoncé un scrutin « volé » et a accusé, entre autres méthodes, le pouvoir d’avoir acheté des voix et soumis des électeurs à des pressions, en particulier dans des zones peu peuplées. La présidente géorgienne, Salomé Zourabichvili, en rupture avec le gouvernement, avait dénoncé un système sophistiqué de fraudes suivant une « méthodologie russe » avant de refuser de répondre à une convocation du parquet pour détailler ses accusations.

 

 

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