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Covid France 25 mars 2023 : hausse, avec 1839 cas supplémentaires en 24 heures et 15 morts

Covid France 25 mars 2023 : hausse, avec 1839 cas supplémentaires en 24 heures et 15 morts

On enregistre ce vendredi 24 mars 2023 : Une hausse avec avec 1839 cas supplémentaires en 24 heures et 15 morts soit au total 165.469 morts .

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.594 (0) et celui de décès en milieu hospitalier est de 135.875 (+15 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 1,24 le taux d’incidence à 74,49 et la tension hospitalière à 14,8 %.

La France compte actuellement 13.103 (+78) personnes hospitalisées et 751 (+12) malades en réanimation.


Bilan des régions
:

Ile-de-France : 4.562 (-19) hospitalisées, 317 (+4) en réanimation et +1 décès en 24h
Grand Est : 1.297 (+20) hospitalisés, 59 (-2) en réanimation et +3 décès en 24h
Hauts de France : 1.238 (+14) hospitalisés, 52 (-1) en réanimation et +3 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 889 (+13) hospitalisés, 40 (+4) en réanimation et 0 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 873 (-2) hospitalisé, 56 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
Bretagne: 329 (+17) hospitalisés, 15 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 532 (-2) hospitalisés, 14 (-1) en réanimation et +2 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.134 (-3) hospitalisés, 74 (-2) en réanimation et +1 décès en 24h
Pays de la Loire : 186 (-4) hospitalisés, 13 (+2) en réanimation et +1 décès en 24h
Occitanie: 760 (+6) hospitalisés, , 50 (+4) en réanimation et 0 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 634 (+12) hospitalisés, 25 (+1) en réanimation et +2 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 516 (+26) hospitalisés, 26 (+2) en réanimation et 0 décès en 24h

Covid France 24 mars 2023 :hausse avec 9 249 cas supplémentaires et 29 morts

Covid France 24 mars 2023 :hausse avec 9 249 cas supplémentaires et 29 morts

On enregistre jeudi 23 mars 2023 :une hausse avec 9 249 cas supplémentaires et 29 morts (165.454 morts au total)

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.594 (+4) et celui de décès en milieu hospitalier est de 135.860 (+25 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 1,24 le taux d’incidence à 71,98 et la tension hospitalière à 14,6 %.

La France compte actuellement 13.025 (-393) personnes hospitalisées et 739 (-22) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.581 (-14) hospitalisées, 313 (-3) en réanimation et +3 décès en 24h
Grand Est : 1.277 (-4) hospitalisés, 61 (+1) en réanimation et +6 décès en 24h
Hauts de France : 1.224 (-194) hospitalisés, 53 (-20) en réanimation et +4 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 876 (+16) hospitalisés, 36 (+2) en réanimation et +4 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 875 (+17) hospitalisé, 54 (+2) en réanimation et +2 décès en 24h
Bretagne: 312 (-6) hospitalisés, 16 (+1) en réanimation et 0 décès en 24h
Normandie : 534 (-233) hospitalisés, 15 (-6) en réanimation et 0 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.137 (+5) hospitalisés, 76 (+2) en réanimation et +2 décès en 24h
Pays de la Loire : 190 (+3) hospitalisés, 11 (-2) en réanimation et +2 décès en 24h
Occitanie: 754 (+4) hospitalisés, , 46 (+2) en réanimation et 0 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 622 (+11) hospitalisés, 24 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 490 (+4) hospitalisés, 24 (-1) en réanimation et +1 décès en 24h

Scandale Alstom-Les liens de Macron avec la finance

Scandale Alstom-Les liens de Macron avec la finance


L’entêtement de Macon se comprend d’autant mieux si l’on tient compte de ses liens avec la haute finance qui lui a permis contre toute logique politique de se présenter à l’élection présidentielle. Il y a le fameux dossier du financement de sa campagne toujours enterrée par la justice et l’affaire significative de son implication dans la vente de la branche énergie d’Alstom aux Américains de General Electric.

Rappel des faits dans Wikipédia.

Le 23 avril 2014, alors que Patrick Kron et Jeffrey Immelt, PDG de General Electric, discutent confidentiellement aux États-Unis les derniers détails de la vente de la branche énergie du groupe, l’agence Bloomberg publie une dépêche révélant les négociations entre les deux PDG.

Le rachat partiel d’Alstom par General Electric, est proposé pour un montant de 13 milliards de dollars.

Le 27 avril, une offre alternative est faite par Siemens, par laquelle ce dernier exprime son souhait d’acquérir les activités énergétiques d’Alstom, contre une partie des activités ferroviaires de Siemens.

Patrick Kron doit accepter l’offre de rachat de la branche énergie d’Alstom par le groupe américain General Electric (GE) face aux pressions du gouvernement américain (cf. infra) et à l’emprisonnement abusif d’employés stratégiques d’Alstom comme Frédéric Pierucci . La branche restante d’Alstom, c’est-à-dire les activités de transport qui ne représentent alors qu’un tiers du chiffre d’affaires du groupe, serait chargée du paiement de l’amende liée à un procès de corruption intenté aux États-Unis sur une base d’extraterritorialité des lois anticorruption .

Le 30 avril, le conseil d’administration d’Alstom accepte l’offre de 12,35 milliards d’euros de General Electric, pour ses activités énergétiques. Les actionnaires approuvent cette offre à 99,2 %. General Electric confirme son offre de 16,9 milliards de dollars.

Le 5 mai 2014, General Electric annonce son souhait d’acquérir 25 % de la filiale énergétique indienne d’Alstom pour environ 389 millions de dollars, si son offre globale réussit.

Le même jour, le gouvernement français s’oppose à l’offre de General Electric, s’inquiétant des activités turbine de la filière nucléaire française civile et militaire, des emplois et du futur de ses activités ferroviaires, invitant General Electric à regrouper ses activités ferroviaires avec celles d’Alstom.

L’état tente de renforcer son poids dans la négociation. Le 16 mai, Il promulgue le décret no 2014-479 qui étend à de nouveaux secteurs de l’énergie, de l’eau, des transports, des télécommunications et de la santé publique les pouvoirs du décret no 2005-1739, qui portent sur la possibilité donnée au gouvernement de mettre un veto sur des investissements étrangers qui portent atteintes aux intérêts stratégiques.

Le 16 juin, Siemens et Mitsubishi Heavy Industries émettent une nouvelle offre commune alternative à celle de General Electric. Siemens souhaite acquérir les activités d’Alstom dans les turbines à gaz pour 3,9 milliards de dollars et Mitsubishi Heavy Industries formerait des co-entreprises avec Alstom sur ses activités du nucléaire, de la distribution électrique et de l’hydroélectricité, pour 3,1 milliards de dollars5.

Le 19 juin 2014, General Electric annonce une variation de son offre initiale, sur la même valeur, mais avec davantage d’échanges d’actifs par la création d’une co-entreprise sur les activités électriques renouvelables, sur les réseaux de distributions d’énergies, sur les activités de turbines à vapeur et sur les activités nucléaires. General Electric s’engage également à vendre son activité dans la signalisation ferroviaire à Alstom5

Le 20 juin 2014, Siemens et Mitsubishi Heavy Industries modifient leur offre regroupant les co-entreprises proposées en une seule entre Alstom et Mitsubishi et augmentent la partie de l’offre en liquide de Siemens de 400 millions d’euros à 4,3 milliards d’euros.

Le même jour, le gouvernement français annonce soutenir dorénavant l’alliance entre Alstom et General Electricet vouloir prendre 20 % des actions d’Alstom (rachetés à Bouygues). Mais les tractations entre Bouygues et l’État semblent difficiles, les parties prenantes du dossier ne s’entendant pas sur le prix.

Le 4 novembre 2014, le ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique, Emmanuel Macron (successeur d’Arnaud Montebourg), autorise l’investissement de General Electric dans Alstom.

BS : le plus pathétique et le plus sulfureux dans l’histoire c’est que par suite d’un manque de rentabilité GE a revendu à EDF( qui n’en voulait pas) la branche Énergie sur l’ordre de Macron.

Scandale Alstom-Les liens de Macron avec la finance

Scandale Alstom-Les liens de Macron avec la finance

L’entêtement de Macon se comprend d’autant mieux si l’on tient compte de ses liens avec la haute finance qui lui a permis contre toute logique politique de se présenter à l’élection présidentielle. Il y a le fameux dossier du financement de sa campagne toujours enterrée par la justice et l’affaire significative de son implication dans la vente de la branche énergie d’Alstom aux Américains de General Electric.

Rappel des faits dans Wikipédia.

Le 23 avril 2014, alors que Patrick Kron et Jeffrey Immelt, PDG de General Electric, discutent confidentiellement aux États-Unis les derniers détails de la vente de la branche énergie du groupe, l’agence Bloomberg publie une dépêche révélant les négociations entre les deux PDG.

Le rachat partiel d’Alstom par General Electric, est proposé pour un montant de 13 milliards de dollars.

Le 27 avril, une offre alternative est faite par Siemens, par laquelle ce dernier exprime son souhait d’acquérir les activités énergétiques d’Alstom, contre une partie des activités ferroviaires de Siemens.

Patrick Kron doit accepter l’offre de rachat de la branche énergie d’Alstom par le groupe américain General Electric (GE) face aux pressions du gouvernement américain (cf. infra) et à l’emprisonnement abusif d’employés stratégiques d’Alstom comme Frédéric Pierucci . La branche restante d’Alstom, c’est-à-dire les activités de transport qui ne représentent alors qu’un tiers du chiffre d’affaires du groupe, serait chargée du paiement de l’amende liée à un procès de corruption intenté aux États-Unis sur une base d’extraterritorialité des lois anticorruption .

Le 30 avril, le conseil d’administration d’Alstom accepte l’offre de 12,35 milliards d’euros de General Electric, pour ses activités énergétiques. Les actionnaires approuvent cette offre à 99,2 %. General Electric confirme son offre de 16,9 milliards de dollars.

Le 5 mai 2014, General Electric annonce son souhait d’acquérir 25 % de la filiale énergétique indienne d’Alstom pour environ 389 millions de dollars, si son offre globale réussit.

Le même jour, le gouvernement français s’oppose à l’offre de General Electric, s’inquiétant des activités turbine de la filière nucléaire française civile et militaire, des emplois et du futur de ses activités ferroviaires, invitant General Electric à regrouper ses activités ferroviaires avec celles d’Alstom.

L’état tente de renforcer son poids dans la négociation. Le 16 mai, Il promulgue le décret no 2014-479 qui étend à de nouveaux secteurs de l’énergie, de l’eau, des transports, des télécommunications et de la santé publique les pouvoirs du décret no 2005-1739, qui portent sur la possibilité donnée au gouvernement de mettre un veto sur des investissements étrangers qui portent atteintes aux intérêts stratégiques.

Le 16 juin, Siemens et Mitsubishi Heavy Industries émettent une nouvelle offre commune alternative à celle de General Electric. Siemens souhaite acquérir les activités d’Alstom dans les turbines à gaz pour 3,9 milliards de dollars et Mitsubishi Heavy Industries formerait des co-entreprises avec Alstom sur ses activités du nucléaire, de la distribution électrique et de l’hydroélectricité, pour 3,1 milliards de dollars5.

Le 19 juin 2014, General Electric annonce une variation de son offre initiale, sur la même valeur, mais avec davantage d’échanges d’actifs par la création d’une co-entreprise sur les activités électriques renouvelables, sur les réseaux de distributions d’énergies, sur les activités de turbines à vapeur et sur les activités nucléaires. General Electric s’engage également à vendre son activité dans la signalisation ferroviaire à Alstom5

Le 20 juin 2014, Siemens et Mitsubishi Heavy Industries modifient leur offre regroupant les co-entreprises proposées en une seule entre Alstom et Mitsubishi et augmentent la partie de l’offre en liquide de Siemens de 400 millions d’euros à 4,3 milliards d’euros.

Le même jour, le gouvernement français annonce soutenir dorénavant l’alliance entre Alstom et General Electricet vouloir prendre 20 % des actions d’Alstom (rachetés à Bouygues). Mais les tractations entre Bouygues et l’État semblent difficiles, les parties prenantes du dossier ne s’entendant pas sur le prix.

Le 4 novembre 2014, le ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique, Emmanuel Macron (successeur d’Arnaud Montebourg), autorise l’investissement de General Electric dans Alstom.

BS : le plus pathétique et le plus sulfureux dans l’histoire c’est que par suite d’un manque de rentabilité GE a revendu à EDF( qui n’en voulait pas) la branche Énergie sur l’ordre de Macron.

Affaire Alstom-Les liens de Macron avec la finance

Affaire Alstom-Les liens de Macron avec la finance

L’entêtement de Macon se comprend d’autant mieux si l’on tient compte de ses liens avec la haute finance qui lui a permis contre toute logique politique de se présenter à l’élection présidentielle. Il y a le fameux dossier du financement de sa campagne toujours enterrée par la justice et l’affaire significative de son implication dans la vente de la branche énergie d’Alstom aux Américains de General Electric.

Rappel des faits dans Wikipédia.

Le 23 avril 2014, alors que Patrick Kron et Jeffrey Immelt, PDG de General Electric, discutent confidentiellement aux États-Unis les derniers détails de la vente de la branche énergie du groupe, l’agence Bloomberg publie une dépêche révélant les négociations entre les deux PDG.

Le rachat partiel d’Alstom par General Electric, est proposé pour un montant de 13 milliards de dollars.

Le 27 avril, une offre alternative est faite par Siemens, par laquelle ce dernier exprime son souhait d’acquérir les activités énergétiques d’Alstom, contre une partie des activités ferroviaires de Siemens.

Patrick Kron doit accepter l’offre de rachat de la branche énergie d’Alstom par le groupe américain General Electric (GE) face aux pressions du gouvernement américain (cf. infra) et à l’emprisonnement abusif d’employés stratégiques d’Alstom comme Frédéric Pierucci . La branche restante d’Alstom, c’est-à-dire les activités de transport qui ne représentent alors qu’un tiers du chiffre d’affaires du groupe, serait chargée du paiement de l’amende liée à un procès de corruption intenté aux États-Unis sur une base d’extraterritorialité des lois anticorruption .

Le 30 avril, le conseil d’administration d’Alstom accepte l’offre de 12,35 milliards d’euros de General Electric, pour ses activités énergétiques. Les actionnaires approuvent cette offre à 99,2 %. General Electric confirme son offre de 16,9 milliards de dollars.

Le 5 mai 2014, General Electric annonce son souhait d’acquérir 25 % de la filiale énergétique indienne d’Alstom pour environ 389 millions de dollars, si son offre globale réussit.

Le même jour, le gouvernement français s’oppose à l’offre de General Electric, s’inquiétant des activités turbine de la filière nucléaire française civile et militaire, des emplois et du futur de ses activités ferroviaires, invitant General Electric à regrouper ses activités ferroviaires avec celles d’Alstom.

L’état tente de renforcer son poids dans la négociation. Le 16 mai, Il promulgue le décret no 2014-479 qui étend à de nouveaux secteurs de l’énergie, de l’eau, des transports, des télécommunications et de la santé publique les pouvoirs du décret no 2005-1739, qui portent sur la possibilité donnée au gouvernement de mettre un veto sur des investissements étrangers qui portent atteintes aux intérêts stratégiques.

Le 16 juin, Siemens et Mitsubishi Heavy Industries émettent une nouvelle offre commune alternative à celle de General Electric. Siemens souhaite acquérir les activités d’Alstom dans les turbines à gaz pour 3,9 milliards de dollars et Mitsubishi Heavy Industries formerait des co-entreprises avec Alstom sur ses activités du nucléaire, de la distribution électrique et de l’hydroélectricité, pour 3,1 milliards de dollars5.

Le 19 juin 2014, General Electric annonce une variation de son offre initiale, sur la même valeur, mais avec davantage d’échanges d’actifs par la création d’une co-entreprise sur les activités électriques renouvelables, sur les réseaux de distributions d’énergies, sur les activités de turbines à vapeur et sur les activités nucléaires. General Electric s’engage également à vendre son activité dans la signalisation ferroviaire à Alstom5

Le 20 juin 2014, Siemens et Mitsubishi Heavy Industries modifient leur offre regroupant les co-entreprises proposées en une seule entre Alstom et Mitsubishi et augmentent la partie de l’offre en liquide de Siemens de 400 millions d’euros à 4,3 milliards d’euros.

Le même jour, le gouvernement français annonce soutenir dorénavant l’alliance entre Alstom et General Electricet vouloir prendre 20 % des actions d’Alstom (rachetés à Bouygues). Mais les tractations entre Bouygues et l’État semblent difficiles, les parties prenantes du dossier ne s’entendant pas sur le prix.

Le 4 novembre 2014, le ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique, Emmanuel Macron (successeur d’Arnaud Montebourg), autorise l’investissement de General Electric dans Alstom.

BS : le plus pathétique et le plus sulfureux dans l’histoire c’est que par suite d’un manque de rentabilité GE a revendu à EDF( qui n’en voulait pas) la branche Énergie sur l’ordre de Macron.

Covid France 15 mars 2023 : forte hausse avec 9937 cas supplémentaire en 24 heures

Covid France 15 mars 2023 : forte hausse avec 9937 cas supplémentaire en 24 heures

On enregistre mardi 14 mars 2023 : une forte hausse avec 9937 cas supplémentaires en 24 heures et 27 morts soit au total 165 240 morts.

Le nombre de décès en EHPAD et EMS est de 29.587 (0) et celui de décès en milieu hospitalier est de 135.653 (+27 depuis le dernier bilan).

Le taux de reproductivité R est de 1,27 le taux d’incidence à 54,34 et la tension hospitalière à 15,0 %.

La France compte actuellement 13.281 (-4) personnes hospitalisées et 760 (+2) malades en réanimation.

Bilan des régions :

Ile-de-France : 4.488 (+26) hospitalisées, 304 (-2) en réanimation et +7 décès en 24h
Grand Est : 1.216 (-7) hospitalisés, 64 (+2) en réanimation et +3 décès en 24h
Hauts de France : 1.359 (+20) hospitalisés, 70 (0) en réanimation et +2 décès en 24h
Auvergne Rhône Alpes : 970 (-34) hospitalisés, 56 (-5) en réanimation et +3 décès en 24h
Provence-Alpes Côte d’Azur : 816 (-4) hospitalisé, 45 (-1) en réanimation et +3 décès en 24h
Bretagne: 294 (0) hospitalisés, 11 (+1) en réanimation et +1 décès en 24h
Normandie : 843 (+13) hospitalisés, 22 (+1) en réanimation et +4 décès en 24h
Nouvelle-Aquitaine : 1.142 (+13) hospitalisés, 76 (+1) en réanimation et 0 décès en 24h
Pays de la Loire : 176 (+1) hospitalisés, 8 (+1) en réanimation et 0 décès en 24h
Occitanie: 750 (-13) hospitalisés, , 45 (+1) en réanimation et +3 décès en 24h
Centre-Val de Loire : 616 (-5) hospitalisés, 24 (+2) en réanimation et 0 décès en 24h
Bourgogne-Franche-Comté : 442 (-9) hospitalisés, 24 (0) en réanimation et +1 décès en 24h

Apprentissage :enfin ! avec plus de 800 000 contrats

Apprentissage :enfin ! avec plus de 800 000 contrats

Une évolution intéressante à souligner: la réorientation de certains s’élève vers la filière de l’apprentissage au lieu de la voie sans issue de bacs et de formations supérieures plus ou moins bidon.

811 500 contrats d’apprentissage ont été signés dans le privé en 2022, soit une hausse de 14% par rapport à 2021, selon un bilan du ministère du Travail rendu public jeudi 2 mars. En ajoutant ceux du secteur public, le total s’élève à 837 000 contrats conclus.
Si la hausse est moins spectaculaire que ces deux dernières années (+46% en 2020 et +38% en 2021), elle reste en ligne avec l’objectif du gouvernement d’atteindre un million de contrats signés par an d’ici 2027.

Comme les années précédentes, cette hausse reste portée par l’enseignement supérieur, qui représente 63% des contrats d’apprentissage. Mais « il y a une augmentation du nombre de contrats pour tous les niveaux de diplômes », souligne le ministère du Travail. Accessible aux jeunes de 16 à 29 ans, l’apprentissage repose sur le principe de l’alternance entre enseignement théorique et formation au métier chez
Une majorité de contrats dans le secteur des services

Deux tiers des contrats sont signés avec des entreprises de moins de 50 salariés. Les services (avec 73% des contrats signés) se taillent la part du lion, devant l’industrie (14%) et la construction (11%). Deux jeunes sur trois sont en emploi six mois après la fin de leur apprentissage. Ce chiffre grimpe à 73% dans le secteur énergie/chimie/métallurgie, en tête devant transport/manutention/magasinage (72%) et mécanique/structures métalliques (71%).

La hausse des contrats s’explique notamment par la réforme de 2018, qui a libéralisé l’apprentissage à la fois en termes de conditions d’entrée et d’offre de formation. La dynamique a aussi été boostée par les aides exceptionnelles décidées pendant la crise. Cette prime (5 000 euros pour un mineur, 8 000 pour un majeur) a rendu le coût de la première année quasi nul pour l’employeur. Et les formations du supérieur y sont éligibles, ce qui n’était pas le cas pour les aides existant avant la crise Covid.

Besançon : Grosse opération antidrogue avec 200 policiers

Besançon : Grosse opération antidrogue avec 200 policiers

Une grosse opération antidrogue à la hauteur de l’enjeu à Besançon et qui a nécessité l’engagement de 200 policiers et de CRS. Bilan plus de 20 arrestations. La drogue est en train de pénétrer toute la société française avec la bienveillance du pouvoir. Au moins la moitié la population aurait déjà touché la drogue. 5 millions seraient des occasionnels. 1 million seraient des consommateurs assez réguliers.

Pour preuve suite au drame de l’affaire Palmade , le seul ministre qui se soit exprimé est Darmanin et encore uniquement dans le champ de la sécurité routière où il prévoit la suspension du permis.
Cela alors que la problématique est beaucoup plus large et qu’ elle doit prendre en charge tous les aspects: sanitaires, sécuritaires, sociaux et sociétaux dont sont responsables les différents stupéfiants.

Plus de 4 milliards, selon les derniers calculs de l’Insee, le montant qu’ont dépensé les Français en 2020 pour s’approvisionner en cannabis, cocaïne, héroïne, crack et autres produits stupéfiants. C’est en tout cas 7% de plus que l’année précédente et surtout deux fois davantage qu’en 2009 (2,08 milliards).

Entre les importateurs, les grossistes, les logisticiens, les revendeurs, les « choufs » (guetteurs) et les « nourrices » (ceux qui cachent les produits chez eux), le marché de la came fait travailler beaucoup de monde en France. « Un nombre important d’intermédiaires dont le trafic de drogue n’est pas la principale source de revenus », précise l’Insee qui évalue cette activité à 21 000 équivalents temps plein. Soit 0,08% de la main d’oeuvre nationale. Mais sans déclaration à l’Ursaff, ni charges sociales. Il y a aussi l’aspect sociétal avec des banlieues en état de pourrissement et de ghettoïsation désormais hors la république.

En décembre 2020, le ministère de l’Intérieur dénombrait 4000 supermarchés de la drogue, ou « fours » dans le jargon des trafiquants. Les points de deal se concentrent dans les zones géographiques les plus densément peuplées, au coeur des métropoles régionales à forte population étudiante et dans les départements périurbains ou situés à proximité des grandes agglomérations. Mais le phénomène atteint maintenant les très petites villes.

Environ 1 million, c’est le nombre de personnes qui, chaque jour en France, vapotent, fument ou mangent du cannabis, sous l’une ou l’autre de ses différentes formes – herbe, résine ou huile. Selon l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives, le nombre d’amateurs réguliers, s’adonnant en moyenne dix fois par mois à leur goût du cannabis, s’élèverait à 1,4 million. Les adeptes plus occasionnels seraient, eux, 5 millions. Près de la moitié des adultes y aurait déjà goûté. Ces chiffres placent l’Hexagone en tête du classement européen des pays consommateurs, devant le Danemark et l’Espagne.

Plus de 200 agents de police ont donc été mobilisés, issus des rangs de la police judiciaire de Besançon et de Dijon, avec le renfort des services de Nancy, Metz, Reims, Mulhouse et Strasbourg, selon la direction zonale de la police judiciaire. Six brigades de recherche et d’intervention (BRI), venues de Paris, Versailles, Dijon, Metz ou Strasbourg ont également pris part à l’opération, appuyés par les antennes du Raid de Lyon et de Strasbourg ainsi que de cinq équipes cynophiles de la direction zonale de la sécurité publique Est, selon cette même source. «Une force CRS» a aussi été mobilisée pour assurer la sécurité de l’opération, a-t-on ajouté.

Un adolescent de 15 ans avait été abattu dans le quartier de Planoise en décembre et un homme «défavorablement connu» des autorités a été tué de plusieurs balles dans un autre quartier voisin de la ville samedi soir. Selon L’Est Républicain il s’agissait d’un «caïd de quartier» au «lourd passé de délinquance».

Fin 2022, une information judiciaire avait été ouverte après deux fusillades qui avaient fait un mort à Planoise. Et entre novembre 2019 et mars 2020, deux bandes rivales s’étaient affrontées pour le contrôle du trafic de stupéfiants dans ce quartier: 18 fusillades avaient alors fait un mort et 11 blessés.

Inflation: ça continue avec 7% sur un an en janvier

Inflation: ça continue avec 7% sur un an

En France, nouvelle forte hausse de l’inflation sur un an. L’INSEE mesure une inflation de 6 % à fin janvier sur un an; en fait, il s’agit de 7 % d’après l’indice européen harmonisé

D’après l’Insee, la hausse des prix à la consommation en France s’est établie en janvier à 6 % sur un an, alimentée par la hausse des prix de l’énergie et de l’alimentation qui pénalise le pouvoir d’achat. Après avoir atteint 5,9 % en décembre, cette très légère hausse s’explique par l’augmentation des prix des produits pétroliers avec la fin de la ristourne généralisée à la pompe, ainsi que celle des prix du gaz, dans la limite d’un plafond de 15 % décidé par le gouvernement pour les tarifs réglementés, a expliqué l’Institut.

Ainsi, en janvier, les prix de l’énergie ont bondi de 16,3 %, tandis que ceux de l’alimentation se sont envolés de 13,3 %, pesant sur la consommation des ménages. Pour l’alimentation, les hausses touchent autant les fruits, poissons frais, le pain, le lait, le fromage, les œufs, la viande, le sucre ou encore les boissons. À l’inverse, la hausse des prix des produits manufacturés et des services ralentit sur un an, à respectivement 4,5 % et 2,6 %.

L’inflation sous-jacente, qui permet ainsi de dégager une tendance de fond de l’évolution des prix, s’est élevée à 5,6 % sur un an en janvier, après 5,3 % en décembre. L’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), utilisé pour les comparaisons à l’échelle européenne, s’est établi à 7 % sur un an en janvier.

Début février, l’Insee avait estimé que la hausse des prix à la consommation demeurerait sur « un plateau » autour de 6 % sur un an en février, avant de refluer progressivement à 5 % en juin.

Politique-Vers une crise démocratique avec la réforme des retraites

Politique-Vers une crise démocratique avec la réforme des retraites ?

Dans l’épreuve de force engagée entre le président de la république face à une opinion complètement hostile à la réforme, le risque est d’engager la France dans une très grave crise démocratique.

Indéniablement, il y a nécessité d’une réforme des retraites pour tenir compte de l’évolution démographique mais évidemment une réforme juste et efficace telle qu’elle avait été envisagée avec la réforme universelle à points. C’est-à-dire une réforme concernant la totalité des salariés et en tenant compte de la pénibilité des tâches, des carrières courtes notamment des femmes et des métiers pénibles . Sûrement pas une réforme qui de fait pénalise encore les plus défavorisés dont la durée de vie est déjà diminuée de 13 ans par rapport à ceux qui sont plus avantagés.

Le problème fondamental sur le plan démocratique, c’est que Macron se croit légitimé pour cette réforme en s’appuyant sur les résultats de l’élection présidentielle de 2022. Or chacun sait que son élection n’a été permise que grâce à l’appui déterminant de ceux qui ne souhaitaient pas que Marine Le Pen accède au pouvoir. Donc un vote par défaut davantage qu’un vote par adhésion par ailleurs sur un programme assez ambigu.

Le président de la république ne dispose d’aucune légitimité pour forcer la réforme d’autant qu’il n’a pas la majorité au Parlement. Démocratiquement, il devrait aussi tenir compte d’une opposition globalement totalement opposée à ce projet pour 70 % des Français . Or Macron N’a eu de cesse de mépriser les cinq institutions et les organisations intermédiaires susceptibles de le contester ( parlements y compris).

La légitimité de Macron peut aussi être mise en discussion car l’intéressé en réalité n’a jamais exercé la moindre fonction politique et sa candidature est surtout le résultat de la volonté de quelques grands financiers qui l’ont poussé vers la magistrature suprême. Macron a bien entendu trahi François Hollande et les socialistes mais au-delà ceux qui pensaient voir en lui un véritable réformiste. En plus de son inexpérience totale, Macron a fait preuve de contradictions et d’erreurs majeures tant en politique intérieure qu’en politique internationale (exemple le plus criant celui de la politique énergétique en France, autre exemple celui de son échec total avec la force Barkhane en Afrique où la France est contrainte de faire un repli honteux sans parler de ses relations confuses avec Poutine)) .

Le différend avec Macron est d’ordre démocratique et idéologique. Macron de toute évidence sert les grands intérêts financiers ( voir par exemple la lamentable affaire d’Alstom bradé aux Américains ) et s’imagine dans une monarchie. Il ajoute à l’incompétence l’illégitimité.

Politique-Vers une crise démocratique avec la réforme des retraites ?

Politique-Vers une crise démocratique avec la réforme des retraites ?

Dans l’épreuve de force engagée entre le président de la république face à une opinion complètement hostile à la réforme, le risque est d’engager la France dans une très grave crise démocratique.

Indéniablement, il y a nécessité d’une réforme des retraites pour tenir compte de l’évolution démographique mais évidemment une réforme juste et efficace telle qu’elle avait été envisagée avec la réforme universelle à points. C’est-à-dire une réforme concernant la totalité des salariés et en tenant compte de la pénibilité des tâches, des carrières courtes notamment des femmes et des métiers pénibles . Sûrement pas une réforme qui de fait pénalise encore les plus défavorisés dont la durée de vie est déjà diminuée de 13 ans par rapport à ceux qui sont plus avantagés.

Le problème fondamental sur le plan démocratique c’est que Macon se croit légitimé pour cette réforme en s’appuyant sur les résultats de l’élection présidentielle de 2022. Or chacun sait que son élection n’a été permise que grâce à l’appui déterminant de tous ceux qui ne souhaitaient pas que Marine Le Pen accède au pouvoir. Donc un vote par défaut davantage qu’un vote par adhésion par ailleurs sur un programme assez ambigu.

Le président de la république ne dispose d’aucune légitimité pour forcer la réforme d’autant qu’il n’a pas la majorité au Parlement. Démocratiquement, il devrait aussi tenir compte d’une opposition globalement totalement opposée à ce projet pour 70 % des Français . Or Macron N’a eu de cesse de mépriser les cinq institutions et les organisations intermédiaires susceptibles de le contester ( parlements y compris).

La légitimité de Macron peut aussi être mise en discussion car l’intéressé en réalité n’a jamais exercé la moindre fonction politique et sa candidature est surtout le résultat de la volonté de quelques grands financiers qui l’ont poussé vers la magistrature suprême. Macron a bien entendu trahi François Hollande et les socialistes mais au-delà tout ceux qui pensait voir en lui un véritable réformiste. En plus de son inexpérience totale, Macron a fait preuve de contradictions et d’erreurs majeures tant en politique intérieure qu’en politique internationale (exemple le plus criant celui de la politique énergétique en France, autre exemple celui de son échec total avec la force Barkhane en Afrique où la France est contrainte de faire un repli honteux) .

Le différend avec Macron est d’ordre démocratique et idéologique. Macon de toute évidence sert les grands intérêts financiers ( voir par exemple la lamentable affaire d’Alstom bradé aux Américains ) et s’imagine dans une monarchie. Il ajoute à l’incompétence l’illégitimité.

Vers une crise démocratique avec la réforme des retraites ?

Vers une crise démocratique avec la réforme des retraites ?

Dans l’épreuve de force engagée entre le président de la république face à une opinion complètement hostile à la réforme, le risque est d’engager la France dans une très grave crise démocratique.

Indéniablement, il y a nécessité d’une réforme des retraites pour tenir compte de l’évolution démographique mais évidemment une réforme juste et efficace telle qu’elle avait été envisagée avec la réforme universelle à points. C’est-à-dire une réforme concernant la totalité des salariés et en tenant compte de la pénibilité des tâches, des carrières courtes notamment des femmes et des métiers pénibles . Sûrement pas une réforme qui de fait pénalise encore les plus défavorisés dont la durée de vie est déjà diminuée de 13 ans par rapport à ceux qui sont plus avantagés.

Le problème fondamental sur le plan démocratique c’est que Macon se croit légitimé pour cette réforme en s’appuyant sur les résultats de l’élection présidentielle de 2022. Or chacun sait que son élection n’a été permise que grâce à l’appui déterminant de tous ceux qui ne souhaitaient pas que Marine Le Pen accède au pouvoir. Donc un vote par défaut davantage qu’un vote par adhésion par ailleurs sur un programme assez ambigu.

Le président de la république ne dispose d’aucune légitimité pour forcer la réforme d’autant qu’il n’a pas la majorité au Parlement. Démocratiquement, il devrait aussi tenir compte d’une opposition globalement totalement opposée à ce projet pour 70 % des Français . Or Macron N’a eu de cesse de mépriser les cinq institutions et les organisations intermédiaires susceptibles de le contester ( parlements y compris).

La légitimité de Macron peut aussi être mise en discussion car l’intéressé en réalité n’a jamais exercé la moindre fonction politique et sa candidature est surtout le résultat de la volonté de quelques grands financiers qui l’ont poussé vers la magistrature suprême. Macron a bien entendu trahi François Hollande et les socialistes mais au-delà tout ceux qui pensait voir en lui un véritable réformiste. En plus de son inexpérience totale, Macron a fait preuve de contradictions et d’erreurs majeures tant en politique intérieure qu’en politique internationale (exemple le plus criant celui de la politique énergétique en France, autre exemple celui de son échec total avec la force Barkhane en Afrique où la France est contrainte de faire un repli honteux) .

Le différend avec Macron est d’ordre démocratique et idéologique. Macon de toute évidence sert les grands intérêts financiers ( voir par exemple la lamentable affaire d’Alstom bradé aux Américains ) et s’imagine dans une monarchie. Il ajoute à l’incompétence l’illégitimité.

Risque d’une guerre avec la Chine en 2025

Risque d’une guerre avec la Chine en 2025

Le général Michael Minihan met en garde contre le risque élevé d’une guerre avec la Chine en 2025 dans une info du Figaro.

Une information intéressante de la part d’un haut responsable militaire américain. Cependant,le risque d’une guerre à dimension internationale voire mondiale paraît encore plus vraisemblable avec la Russie prête à tout sacrifier non pas pour des motifs géopolitiques mais pour sauver le régime des criminels mafieux de Poutine. NDLR

«J’espère me tromper. Mon instinct me dit que nous combattrons en 2025», écrit Michael Minihan, général de l’armée de l’air, dans une note interne, dont l’authenticité a été confirmée vendredi 27 janvier par le Pentagone à l’AFP.

Le président Xi Jinping «dispose à la fois d’une équipe, d’un motif et d’une opportunité pour 2025», estime le militaire, assurant que les élections taïwanaises de 2024 donneront au dirigeant chinois une «raison» pour agir. La course pour la Maison Blanche, prévue la même année, offrira une «Amérique distraite» à la Chine, juge-t-il encore. Cette note appelle ses troupes à s’entraîner au combat en se rendant entre autres sur des stands pour tirer sur des cibles. Le général invite à «viser les têtes».

En août, la Chine avait procédé à de très importants exercices militaires autour de Taïwan, une démonstration de force sans précédent, en représailles à une visite sur l’île Nancy Pelosi, alors présidente de la Chambre américaine des représentants. La Chine estime que l’île, peuplée de 24 millions d’habitants, est l’une de ses provinces qu’elle n’a pas encore réussi à réunifier avec le reste de son territoire depuis la fin de la guerre civile chinoise en 1949. Elle voit avec mécontentement le rapprochement à l’œuvre ces dernières années entre les autorités taïwanaises et les États-Unis, qui fournissent à l’île un soutien militaire face à Pékin depuis plusieurs décennies.

Le scandale de l’indigence de relations téléphoniques avec les services publics

Le scandale de l’indigence de relations téléphoniques avec les services publics


60 Millions de consommateurs qui a effectué une enquête sur le sujet, précise qu’un appel est considéré comme inabouti après trois tentatives et 5 minutes d’attente à chaque fois. Dans les trois quarts des cas en moyenne l’administré ne peut obtenir aucune réponse satisfaisante.

« Il y a trop souvent des renvois vers le site Internet, alors même qu’on vient de dire qu’on n’a pas Internet », dénonce le chef de rubrique De 60 millions de consommateurs .
Des usagers renoncent donc à leurs droits.

« Les gens ont besoin d’avoir des échanges personnels avec les grandes administrations et malheureusement elles ne suivent pas », estime Lionel Maugain pour qui il n’y a « pas assez d’agents » téléphoniques.

La Défenseure des droits Claire Hédon estime que la tendance s’explique par une dématérialisation croissante des services publics. « La dématérialisation est une chance, cela permet de simplifier les démarches, mais parfois, ça complique aussi les personnes éloignées du numérique (…) et aussi des jeunes », reconnaît-elle ce jeudi sur RMC.

Une situation aux conséquences lourdes. « Quand vous n’arrivez pas à obtenir de réponse, en fait à ce moment vous abandonnez, c’est ce qu’on appelle le non recours », estime la Défenseure des droits.
Des appels en augmentation avec la crise sanitaire

60 Millions de consommateurs et la Défenseure des droits réclament une loi imposant plusieurs modes d’accès aux services publics ainsi que l’instauration d’un guichet de proximité rassemblant un représentant de chaque organisme.

Société-«La gare du Nord n’a plus grand-chose à voir avec la France»

Société-«La gare du Nord n’a plus grand-chose à voir avec la France»

Par Amine Elbahi, juriste dans le Figaro

 


Six de nos compatriotes ont été lâchement agressés sur le parvis de Gare du Nord. Collectivement, nous devons avoir une pensée pour les victimes et les témoins des faits sensiblement heurtés. Nous les savons bouleversés. Tous ont été pris en charge par nos forces de l’ordre, les secouristes et les soignant qui, une fois de plus, ont fait preuve d’une mobilisation exceptionnelle. Les images glaçantes de cette attaque ont été un instant diffusées sur les réseaux sociaux. Il faut saluer la lucidité et le courage d’un policier qui a fait usage de son arme administrative alors qu’il venait de quitter son service pour se rendre chez lui, pour retrouver sa famille et ses enfants. C’est l’occasion de prouver à Jean-Luc Mélenchon et à ses partisans que si l’État avait désarmé la police, comme il le réclamait lors de la campagne présidentielle de 2022, le nombre de victimes aurait indéniablement été beaucoup plus conséquent.

L’assaillant était un ressortissant Libyen, connu des services de police et de la justice, et ayant fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire français(OQTF), non-exécutée comme près de 90% des OQTF dans notre pays. La procureure de la République de Paris Laure Beccuau a aussitôt précisé que l’identification précise de l’assaillant, permettait de constater l’enregistrement sous plusieurs identités dans le fichier automatisé des empreintes digitales, alimenté par ses déclarations au cours de précédentes procédures dont il a déjà fait l’objet. Ce qui n’est pas dit aux Français c’est que la gestion des expulsions ne relève pas seulement d’une question de sécurité intérieure. Il en va d’abord et avant tout de notre souveraineté. Et pourtant, la France a perdu sa capacité diplomatique à se faire respecter face aux pays d’Afrique et d’Europe de l’Est pour exiger d’eux qu’ils récupèrent leurs clandestins.L’immigration d’aujourd’hui n’est en rien comparable avec l’immigration économique et ouvrière d’hier.

D’ailleurs, l’assaillant de la gare du Nord n’a pas pu être expulsé vers la Libye en raison de l’instabilité qui y règne. Les autorités françaises n’entretiennent pas de canal d’échanges diplomatique pour l’identification des ressortissants libyens. En d’autres termes, l’assaillant savait qu’il ne pourrait jamais être expulsé, en l’absence de relations avec son pays. C’est un bras de fer administratif 100% perdant pour la France. Exiger l’expulsion tout en la sachant ineffective relève de l’opportunisme absolu. Le gouvernement peut et doit exiger une politique de réciprocité en n’accordant aucun visa aux pays étrangers qui ne reprennent pas leurs clandestins.

Il faut dire la vérité aux Français : la gare du Nord n’est plus la France. Elle est minée par l’explosion de la violence et renvoie l’image d’un pays défié par une immigration incontrôlée. Refuser d’admettre le lien pourtant existentiel entre l’immigration incontrôlée d’aujourd’hui et l’explosion de la violence relève du déni. Je n’ai pas le sentiment de faire offense à l’histoire de mes parents et de mes grands-parents immigrés en m’insurgeant contre l’immigration d’aujourd’hui. L’immigration d’aujourd’hui n’est en rien comparable avec l’immigration économique et ouvrière d’hier. Les familles immigrées de la banlieue de Paris, celles qui empruntent tous les jours le REB B et D et, plus largement, la France qui se lève tôt et qui, désormais, peut avoir peur de risquer sa vie pour aller au travail, pour se rendre à Paris, pour accompagner ses enfants à l’école. C’est au-delà la cohésion républicaine de notre société qui est en danger, dans un contexte social particulièrement marqué.Le rôle du gouvernement doit d’abord et avant tout redevenir celui de protéger la France et les Français.

L’agresseur est connu et pour prévenir de l’imminence de son action, il faut le stopper. À la différence de l’espace public, les zones internationales que représentent les aéroports et les gares parisiennes permettent d’assurer le contrôle d’identité préventif de tout individu susceptible de représenter un trouble à l’ordre public, sans l’intervention de l’autorité judiciaire. Les visages ne sont pas inconnus. Ce sont bien souvent les mêmes profils : ressortissants clandestins, vendeurs à la sauvette, squatteurs, mineurs non accompagnés… Il conviendra de redonner espoir à nos policiers, lassés de voir le fruit de leurs efforts anéantis par des décisions administratives inexécutées. Un premier pas a été accompli en novembre 2022, l’Assemblée nationale a voté l’amendement porté par le président des Républicains Éric Ciotti : celui d’augmenter de 3 000 le nombre de place dans les centres de rétention pour faire exécuter les plus de 120.000 OQTF prononcées chaque année.

Le rôle du gouvernement doit d’abord et avant tout redevenir celui de protéger la France et les Français. Agir plutôt que réagir. Écouter plutôt que d’entendre. Les constats sans action ne font qu’alimenter le sentiment d’échec et, pire que tout, de renoncement. La menace pour la sécurité de nos concitoyens que pouvait représenter l’assaillant devait permettre à l’État de l’assigner à résidence, ne serait-ce que provisoirement dans la mesure où l’exécution de son expulsion est rendue impossible par son pays d’origine. La loi le permet déjà lorsqu’un étranger est susceptible de représenter une menace grave pour l’ordre public. Il faut une volonté politique d’agir fortement. La volonté de réoccuper l’espace républicain. Le bal des grandes déclarations ministérielles devient insupportable au même titre que les condamnations médiatiques inaudibles, jamais suivies d’effets. Elles sont devenues des prises de parole politiques opportunistes où les effets d’annonces ne font que cacher l’inexécution des décisions de l’État et, pire que tout, la peur et la résignation de ceux qui nous dirigent.

La gare du Nord est aussi le premier lieu d’accueil du Thalys et de l’Eurostar. Le gouvernement doit choisir : faire rayonner la France où accepter l’humiliation devant l’Europe.

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