Archive pour le Tag 'avec'

En réponse à l’ultimatum des alliés Poutine propose des négociations directes avec l’Ukraine le 15 mai

En réponse à l’ultimatum des alliés Poutine propose des négociations directes avec l’Ukraine le 15 mai

Le président russe Vladimir Poutine a proposé dimanche des négociations directes avec l’Ukraine le 15 mai à Istanbul. «Ce n’est pas la Russie qui a rompu les négociations en 2022. C’est Kiev. Néanmoins, nous proposons à Kiev de reprendre les négociations directes sans aucune condition préalable», a-t-il déclaré. Vladimir Poutine estime que les négociations avec l’Ukraine doivent porter sur «les racines du conflit». Autant dire sur la question même de l’existence ou non de l’Ukraine.

Visiblement le président russe a été sensible à l’ultimatum des les alliés qui exigent un cessez-le-feu de 30 jours dés lundi 12 mai.

On peut cependant s’attendre à ce que Poutine rende ces négociations à la fois longues et complexes. Il n’est pas certain non plus qu’il accepte un cessez-le-feu complet et immédiat même de 30 jours. Même les cessez-le-feu très partiel décidés par Poutine unilatéralement n’ont pas été respectés.

Kiev propose de discuter directement avec Moscou

Kiev propose de discuter directement avec Moscou

L’Ukraine «prête» à discuter directement avec Moscou après un cessez-le-feu mais le Kremlin met en garde contre toute précipitation dans les discussions .La vérité c’est que les négociations conduites par les États-Unis ont pour l’instant complètement échoué. Pour preuve aucune perspective de rencontre de responsables internationaux impliqués dans le conflit ukrainien n’est prévue pour l’instant du moins officiellement. Il se pourrait que les contacts soient pris à l’occasion des funérailles du pape François.

«Après un cessez-le-feu, nous sommes prêts à nous asseoir (pour des négociations, NDLR) sous n’importe quel format», a déclaré Volodymyr Zelensky lors d’une conférence de presse, alors qu’actuellement c’est Washington qui mène des pourparlers séparés avec Kiev et Moscou.

Le président Volodymyr Zelensky a déclaré mardi qu’il «voudrait» rencontrer son homologue américain Donald Trump au Vatican où les deux chefs d’État se rendront pour assister aux obsèques du pape prévues samedi.

Bourses: Tokyo, le yo-yo avec un rebond mardi

Bourses: Tokyo, le yo-yo avec un rebond mardi

Les bourses asiatiques semblent s’inscrire dans un mouvement de yo-yo qui se caractérise par la chute de lundi et le rebond de mardi. Les autres bourses mondiales pourraient bien suivre le même mouvement de yo-yo tant que la situation ne sera pas stabilisée au plan des taxes douanières américaines.

A Tokyo vers 00H40 GMT, l’indice vedette Nikkei progressait de 6,13% à 33.041, tandis que l’indice élargi Topix grimpait de 6,54% à 2.438 points.

L’indice Nikkei avait dégringolé de 7,82% lundi, à l’unisson d’une débâcle des Bourses asiatiques, paniquées par l’impact économique des droits de douane imposés par le président américain Donald Trump.

A la Bourse de Séoul, l’indice Kospi gagnait 1,72% mardi une demi-heure après l’ouverture. La Bourse de Sydney montait de 1,21%.

Notons que les risques liés à l’escalade d’une guerre commerciale tous azimuts persistent, Donald Trump menaçant de gonfler encore les droits sur les produits chinois si Pékin riposte à son offensive douanière.

République démocratique du Congo (RDC): Rencontre avec les rebelles du M23

République démocratique du Congo (RDC): Rencontre avec les rebelles du M23

Sous la très forte pression internationale, les acteurs du conflit entre le Rwanda et la république Démocratique du Congo ont accepté de ce rencontrer. Préalablement la même pression avait contraint les présidents respectifs des deux pays d’appeler enfin à la paix.

Le président de la RDC, Félix Tshisekedi, et son homologue rwandais, Paul Kagame, se sont rencontrés le 18 mars dernier à Doha à la surprise générale et ont appelé à un cessez-le-feu.

Les discussions entre la république du Congo le mouvement rebelle M23 auraient lieu le 9 avril .

Le Qatar a organisé une série de discussions indirectes entre les deux pays qui a commencé vendredi.

L’offensive du M23 est l’escalade la plus grave depuis plus d’une décennie d’un conflit qui remonte à la fuite en RDC de nombreux Hutus ayant participé au génocide des Tutsis au Rwanda en 1994, et qui a été aggravé par une lutte impitoyable pour le contrôle des riches ressources minérales de l’est de la RDC.

Retraites : système toujours déficitaire même avec un report à 66 ans

Retraites : système toujours déficitaire même avec un report à 66 ans

Une note de la caisse nationale d’assurance vieillesse montre que les régimes de pension replongeraient dans le rouge un peu après 2040, même si l’âge d’ouverture des droits était relevé de deux ans de 64 à 66ans.

Si l’âge légal de départ à la retraite était reporté à 65 ans ou à 66 ans, l’équilibre financier de notre système par répartition ne serait pas pour autant garanti sur le long terme. C’est ce qui ressort d’une des notes réalisées dans le cadre de la négociation entre partenaires sociaux sur les régimes de pension et que Le Monde a pu consulter. Elle confirme combien il est difficile de répondre aux besoins en crédit du dispositif pour assurer sa pérennité.

Les facteurs explicatifs sont bien connus. Il y a d’abord le déséquilibre démographique avec une insuffisance d’actifs par rapport aux retraités. Deuxièmement un allongement de la durée de la vie enfin une insuffisante présence au travail des Français tout au long de leur vie ( taux global d’activité).

Economie- L’industrie automobile mondiale dans la tourmente avec Trump

Economie- L’industrie automobile mondiale dans la tourmente avec Trump


Compte tenu de l’internationalisation des processus de production, l’industrie automobile mondiale va entrer dans une période très tourmentée. Une véritable secousse qui va toucher à peu près tous les pays producteurs du Japon, au Canada en Europe notamment et y compris aux États-Unis.

Une industrie déjà bousculée par la perspective de mutation de la motorisation qui ne se déroule pas au rythme prévu au point par exemple que la commission européenne recule sur le calendrier de substitution de l’électrique au thermique. Visiblement Trump ne connaît pas grand-chose de l’économie complexe et de l’internationalisation des échanges.

Sans parler du fait que le président américain semble ignorer que la balance globale bien plus services (tech notamment) est profitable aux Américains. La conséquence macro-économiques sera de renchérir parfois dans des conditions invraisemblables la compétitivité des constructeurs et d’amputer de manière significative le pouvoir d’achat des consommateurs avec le risque de plomber la croissance globale

Dès le 2 avril, ce nouveau prélèvement sera ajouté « de manière permanente » au tarif douanier de 2,5 % actuellement en vigueur. Il va non seulement frapper les véhicules finis, mais aussi les moteurs, transmissions, groupes motopropulseurs, et composants électroniques qui sont importés aux États-Unis, puis assemblés dans des usines américaines.

L’industrie automobile mondiale dans la tourmente avec Trump

L’industrie automobile mondiale dans la tourmente avec Trump


Compte tenu de l’internationalisation des processus de production, l’industrie automobile mondiale va entrer dans une période très tourmentée. Une véritable secousse qui va toucher à peu près tous les pays producteurs du Japon, au Canada en Europe notamment et y compris aux États-Unis.

Une industrie déjà bousculée par la perspective de mutation de la motorisation qui ne se déroule pas au rythme prévu au point par exemple que la commission européenne recule sur le calendrier de substitution de l’électrique au thermique. Visiblement Trump ne connaît pas grand-chose de l’économie complexe et de l’internationalisation des échanges.

Sans parler du fait que le président américain semble ignorer que la balance globale bien plus services (tech notamment) est profitable aux Américains. La conséquence macro-économiques sera de renchérir parfois dans des conditions invraisemblables la compétitivité des constructeurs et d’amputer de manière significative le pouvoir d’achat des consommateurs avec le risque de plomber la croissance globale

Dès le 2 avril, ce nouveau prélèvement sera ajouté « de manière permanente » au tarif douanier de 2,5 % actuellement en vigueur. Il va non seulement frapper les véhicules finis, mais aussi les moteurs, transmissions, groupes motopropulseurs, et composants électroniques qui sont importés aux États-Unis, puis assemblés dans des usines américaines.

Iran : L’erreur de Khamenei de ne pas négocier avec les États-Unis

Iran : L’erreur de Khamenei de ne pas négocier avec les États-Unis

Ali Khamenei, Guide suprême du régime iranien, a fermement rejeté l’idée de négociations avec les États-Unis. Cette position a suscité une réaction de l’ex-président Hassan Rouhani, qui a souligné la gravité de la situation et mis en lumière l’importance de distinguer les opinions personnelles de Khamenei des nécessités politiques. Par Hamid Enayat, politologue, spécialiste de l’Iran, collabore avec l’opposition démocratique iranienne (CNRI) dans La Tribune

En réponse à une lettre du président des États-Unis, le Guide suprême du régime iranien Ali Khamenei a déclaré le 12 mars :

«Certaines personnes à l’intérieur du pays soulèvent sans cesse la question des négociations et demandent : ‘Pourquoi ne négociez-vous pas avec les États-Unis ?’ Je veux être clair : si l’objectif des négociations est la levée des sanctions, cela n’arrivera pas. Au contraire, cela ne fera qu’aggraver la pression. »
Deux jours plus tard, l’ancien président du régime Hassan Rouhani, qui a exercé deux mandats entre 2013 et 2021, a réagi aux propos de Khamenei en avertissant :

« La situation est extrêmement critique et, à mesure que nous avançons, elle devient de plus en plus difficile et préoccupante. »
Il a ensuite souligné que la question des négociations ne devait pas être uniquement liée à l’opinion personnelle de Khamenei, affirmant :

« Nous débattons de savoir si nous devons négocier ou non. Mais quel genre de débat est-ce ? Ensuite, nous associons cela à l’idée que le Guide suprême est opposé aux négociations. La vérité est que le Guide suprême n’est pas fondamentalement contre les négociations. Compte tenu des circonstances actuelles, il peut être opposé aujourd’hui, mais dans quelques mois, dans un contexte différent, il pourrait les approuver. »
Bien que Rouhani tente en vain de persuader ou de contraindre Khamenei à accepter des négociations, sa plus grande crainte demeure la colère accumulée du peuple après quatre décennies de régime clérical. Une colère qui, telle une bombe à retardement, menace d’exploser sous les pieds du régime.

Khamenei est plus conscient que quiconque des menaces qui pèsent sur son régime. Il sait que l’effondrement économique et la faim, qui touchent désormais plus des deux tiers de la population iranienne, ont mis le pays au bord d’un soulèvement majeur. Il est pleinement conscient que cette fois, des milliers d’unités de résistance disséminées à travers l’Iran attendent la moindre étincelle pour déclencher une révolte à l’échelle nationale et précipiter la chute du régime.

Depuis dix ans, ces unités, créées par les Moudjahidines du peuple d’Iran (OMPI), l’ennemi juré du régime clérical, se sont implantées dans chaque quartier, ville et village. S’appuyant sur leur base sociale, elles ont réussi, malgré les innombrables caméras de surveillance et les forces de sécurité, à mener 60 opérations contre la répression à travers l’Iran au cours du seul mois de mars.

Khamenei sait également que cette fois, la communauté internationale — en particulier l’Europe et les États-Unis — est unie dans sa volonté de priver l’Iran de son programme nucléaire et de son influence régionale. Dans leur dernière déclaration, les membres du G7 ont affirmé :

« L’Iran est la principale source d’instabilité dans la région et ne doit jamais être autorisé à développer des armes nucléaires. L’Iran doit changer de cap, désamorcer les tensions et choisir la voie de la diplomatie. »
L’attaque contre les Houthis était un autre avertissement fort adressé directement à Khamenei pour le pousser à la table des négociations.

Cependant, Khamenei comprend parfaitement que toute négociation l’obligera à reculer étape par étape. Il devra d’abord renoncer à son programme nucléaire, et à partir de là, son autorité commencera inévitablement à s’effondrer, tel un bâtiment délabré. Cela exacerbera les conflits internes entre les factions du régime, les poussant à s’affronter plus violemment que jamais. Dans ces conditions, Et en raison de la présence d’une résistance organisée à l’intérieur de l’Iran, Ali Khamenei préfère éviter les négociations, même au prix de potentielles attaques contre ses centres nucléaires. La chute de Khamenei n’est plus une simple possibilité — c’est une fatalité.

Dans une société comparable à un baril de poudre, gouvernée par la répression et la violence depuis 45 ans, l’autorité de Khamenei — déjà contestée par de nombreux membres du régime après la chute du dictateur syrien — finit par s’effondrer. À ce moment-là, les « loups » du régime se retourneront les uns contre les autres, et dans cet état de faiblesse, l’émergence d’un soulèvement final et d’une révolution ne fera plus aucun doute.

Avec Algérie- Macron reprend le dialogue diplomatique

Avec Algérie- Macron reprend le dialogue diplomatique

Contrairement à Retailleau , Macron tente de régler par la diplomatie le différend concernant les OQTF refusés par l’Algérie. Le président algérien a de son côté confirmé que sur cette affaire seul le Président de la république française était son interlocuteur.

Dans un entretien avec des journalistes de médias publics, retransmis samedi soir à la télévision algérienne, le président Abdelmadjid Tebboune a qualifié la situation politique en France de « brouhaha », de « capharnaüm », et a tenu à l’isoler de sa relation avec Emmanuel Macron, « son unique point de repère » .

D’un certain point de vue le président algérien profite des contradictions internes du gouvernement.

Enfin il y a la question du Sud du Sahara occidental que le président algérien doit avaler après la prise de position de la France en faveur du Maroc.

Avec Trump, la crise de confiance économique

Avec Trump, la crise de confiance économique

À peine revenu à la Maison-Blanche, Donald Trump fait face à une crise de confiance généralisée, marquée par une instabilité économique, une chute des marchés et une inflation persistante. Son imprévisibilité inquiète autant les entreprises que les ménages, menaçant la croissance et creusant les fractures budgétaires.


par Lucie Robequain dans La Tribune

Donald Trump n’a pas passé cinquante jours à la Maison-Blanche que c’est déjà la douche froide. Élu sur la promesse de faire baisser les prix, de réduire les impôts, d’enrichir les Américains et de forer un maximum de pétrole, le président échoue sur tous les tableaux, du moins pour l’instant.

Les suppressions d’emplois ont plus que doublé en un mois. Les licenciements n’ont jamais autant augmenté depuis la crise financière de 2008. Ils sont nombreux dans la fonction publique, qu’Elon Musk souhaite réduire à la portion congrue. Ils le sont aussi dans les entreprises privées, paniquées par les décisions erratiques de la Maison-Blanche.

Guerre commerciale, humiliation de Zelensky, dissuasion nucléaire : le grand chamboule-tout de Donald Trump

Les économistes de la Réserve fédérale d’Atlanta, qui tablaient sur une croissance de presque 3 % au premier trimestre, ont complètement corrigé leur copie depuis : c’est désormais un recul de 2,8 % qui est anticipé !

Si Donald Trump fait autant de mal à son pays, c’est moins par sa radicalité que par son inconstance. Il l’a encore prouvé ce jeudi : il est capable de renoncer aux taxes douanières quand les industriels lui expliquent tout le mal à en attendre. Mais l’instabilité est un facteur de stress considérable, pour les patrons comme pour les marchés. La preuve : la Bourse de New York a continué à dégringoler jeudi après-midi, quand bien même le président américain a suspendu les surtaxes contre le Mexique et le Canada.

À force de souffler le chaud et le froid, Donald Trump a perdu la confiance des marchés. « C’est la faute des investisseurs mondialistes », a-t-il balayé dans la soirée, ajoutant qu’il « ne regard[ait] pas les marchés ».

Les familles américaines, qui boursicotent plus que les européennes, commencent elles-mêmes à paniquer.
Les baisses d’impôts promises aux entreprises paraissent elles-mêmes très illusoires. Les parlementaires républicains, qui n’ont que peu de leviers d’action face au président, sont tentés d’y faire barrage pour conserver un semblant de sérieux budgétaire – ils l’ont prouvé la semaine dernière en votant une résolution à rebours de ses promesses électorales. Un facteur qui risque de faire encore chuter la Bourse de New York.

Les familles américaines, qui boursicotent traditionnellement plus que les européennes, commencent elles-mêmes à paniquer en voyant fondre la valeur de leur portefeuille. Le moral des ménages chute, particulièrement chez les plus aisés. Les classes moyennes ne sont pas mieux loties. Les prix augmentent dans tous les domaines (+3 %), avant même que les surtaxes douanières n’aggravent la situation.

On se souvient que les démocrates avaient perdu l’élection sur cette fameuse question de l’inflation. Tout porte à croire que Donald Trump fera encore pire : loin de se normaliser, l’inflation risque de rester durablement supérieure à 3 %. Conséquence : la Réserve fédérale ne pourra pas réduire ses taux d’intérêt comme le réclame la Maison-Blanche.

L’Amérique va donc devoir financer ses largesses budgétaires au prix fort. Crise des marchés, crise des ménages, crise de la dette : drôle d’entame pour qui veut rendre son pays plus fort.

Conflits avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflits avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique. Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Quant à la position de ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent, soit ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

Chine: Réplique à TRUMP avec augmentation des droits de douane

Chine: Réplique à TRUMP avec augmentation des droits de douane

Des nouveaux droits de douane chinois doivent s’appliquer à partir de lundi sur tout un éventail de produits agricoles américains. Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, le président des États-Unis a annoncé une série de droits de douane à l’égard de ses principaux partenaires commerciaux, parmi lesquels la Chine, le Canada et le Mexique, pays selon lui inefficaces dans leur réponse à l’immigration illégale et aux flux de fentanyl. La Chine est par ailleurs le pays présentant le plus important excédent commercial avec les États-Unis pour les biens.Il est difficile de mesurer les conséquences de cette course aux taxes douanières mais il est probable que cela va impliquer la demande et la croissance dans les deux zones géographiques.

Après avoir imposé des droits de douane supplémentaires de 10% à l’encontre de tous les produits chinois, Donald Trump a décidé le 3 mars de les porter à 20%. «Fortement mécontente», la Chine a riposté dans la foulée, en annonçant des taxes du même type contre des produits issus de l’agriculture américaine, et ce à compter de lundi. Poulet, blé, maïs et coton entrant en Chine seront davantage taxés (15%) que sorgho, soja, porc, bœuf, produits de la mer, fruits, légumes et produits laitiers (10%).

Il est difficile de mesurer les conséquences de cette course aux taxes douanières mais il est probable que cela va impliquer la demande et la croissance dans les deux zones géographiques.

Conflits avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflits avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs
Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique.Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Quant à la position de ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent, soit ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

Conflit avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflit avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs
Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique.Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Quant à la position de ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent, soit ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

Conflit avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs

Conflit avec la Russie- Comme en 39–45 l’extrême gauche et l’extrême droite plutôt du côté des envahisseurs
Inutile de tourner autour du pot la situation en Ukraine révèle les pires ambiguïtés des extrêmes tant à gauche qu’à droite; les deux d’ailleurs se montrant plus proche de Poutine que de l’Ukraine. Les deux qui  s’opposent à des interventions militaires européennes. Une situation qui n’est pas sans rappeler celle de 39 45 quand l’extrême-gauche alors représenté par les communistes se sont alignés sur les soviétiques à travers le pacte germano soviétique.Et que l’extrême droit a pactisé avec les nazis. 

 

C’est extrême-gauche de l’époque est aujourd’hui représenté par les » insoumis ». À l’extrême droite le compromis avec les envahisseurs se reproduit également. Notons aussi la mollesse des positions de la presse de droite et surtout l’ambiguïté. Pour l’extrême droite c’est clair aucun soutien militaire dans le court terme, aucun concept de défense européenne y compris à moyen long terme. La position stratégique de Marine Le Pen, candidate actuellement nettement en tête pour les élections de 2027 pose un sérieux problème de crédibilité politique pour l’avenir du pays. Quant à la position de ceux qui à l’extrême droite ou aux franges minimisent, soit ridiculisent le risque d’une guerre avec la Russie, c’est une manière de dissimuler leur alliance objective avec Poutine.

Les mêmes qui considéraient  comme ridicule une possible invasion de la France quand Allemagne a envahi la Pologne: les mêmes « pacifistes »,  les mêmes défaitistes. Et la même indécence de mettre sur le même pied d’égalité la responsabilité de l’envahisseur russe et les victimes de l’Ukraine. Ou quand l’histoire recommence plus de 80 ans après  avec les mêmes lâchetés, les mêmes trahisons

 

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