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Hydrogène « vert » : En attendant Godot !

Hydrogène « vert » : En attendant Godot !

Il n’y aura encore pas un sou pour l’enveloppe constituée l’enveloppe de soutien au développement de l’hydrogène dans l’avenir semble aussi hypothéquer par la question de la compétitivité dans les conditions actuelles de production

Concrètement, l’idée était de ramener le prix de l’hydrogène décarboné, produit à partir d’électricité et d’eau, vers celui de l’hydrogène « gris » issu de gaz fossile. Tandis que le premier coûte en moyenne 5 à 12 euros le kilo (en fonction de la taille et de la nature des unités de production), le deuxième ne dépasse pas 1,50 à 2,50 euros. Difficile, dans ces conditions, de dégager un modèle à la fois vertueux et rentable. L’Etat devait ainsi combler l’écart pour certains énergéticiens sélectionnés, en signant des « contrats pour différence » (CfD) sur le modèle de ce qu’il fait déjà pour les exploitants d’éoliennes et de panneaux photovoltaïques.

La  France dispose d’un avantage considérable. Grâce à son parc nucléaire, l’Hexagone peut s’appuyer sur un mix largement décarboné. Et par là même, alimenter les électrolyseurs en continu, en les raccordant à son réseau national d’électricité – c’est-à-dire sans dépendre directement de champs d’éoliennes ou de panneaux solaires à la production trouve intermittente. Et àcondition, bien sûr, que ce mode de production soit considéré comme « vert » par la Commission européenne.

Cours Pétrole : Légère baisse en raison d’un tassement de la croissance

Cours Pétrole : Légère baisse en raison d’un tassement de la croissance

Le tassement mondial de la croissance sortirent sur la demande de pétrole. En effet, les cours du pétrole ont terminé en légère baisse jeudi. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour livraison en février, a abandonné 0,15% à 73,41 dollars.

Les prévisions sur le marché du pétrole ne sont pas optimistes, le rapport de l’Agence internationale de l’énergie (AIE), publié jeudi, indique «un excédent d’offre de 950.000 barils par jour en 2025», et même de «1,4 million de barils par jour» si l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) réintroduit, comme prévu actuellement, une partie de ses barils sur le marché à partir d’avril. . L’Opep a revu à la baisse ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2024 et 2025, invoquant des difficultés persistantes dont  celles découlant de la situation en Syrie.

Sondage présidentielles: Marine Le Pen largement en tête

Sondage  présidentielles: Marine Le Pen largement en tête

Un sondage Ifop pour Le Figaro Magazine et Sud Radio révèle que Marine Le Pen améliorerait son score au premier tour de l’élection présidentielle. En fonction des candidats face à elle à gauche et chez les macronistes, elle recueille entre 36 et 38 % des intentions de vote.

 

Selon l’enquête, réalisée auprès de 1 107 personnes entre le 6 et le 9 décembre, Marine Le Pen progresse ainsi de deux points dans les intentions de vote par rapport au mois de septembre dernier. Si l’élection présidentielle de 2027 avait lieu aujourd’hui, elle serait la première qualifiée au second tour avec entre 36 et 38 % des suffrages.

Après deux mandats, la question du candidat macroniste qui remplacera Emmanuel Macron lors de ce scrutin se pose. Le sondage teste ainsi les candidatures de deux anciens Premiers ministres, celle du nouveau secrétaire général du parti présidentiel Gabriel Attal et celle du président du parti Horizons Edouard Philippe. Tous deux se qualifieraient pour le second tour, Gabriel Attal avec 20 % des voix contre 38 % pour Marine Le Pen, Edouard Philippe avec 25 % contre 36 % pour la candidate RN. Un score en tout cas plus faible que les près de 28 % obtenus par Emmanuel Macron en 2022.

Parmi les personnalités testées face à la présidente des députés RN, on retrouve également toutes les forces politiques candidates à l’élection présidentielle de 2022. Le sondage considère ainsi que la gauche partira divisée au premier tour, avec une candidature de Jean-Luc Mélenchon, de Marine Tondelier, d’Olivier Faure et de Fabien Roussel. Dans ce scénario, aucun des candidats de gauche ne serait en position de se qualifier au second tour. C’est le chef de file de La France insoumise qui réaliserait le meilleur score, recueillant 12 % des intentions de vote au premier tour, contre près de 22 % en 2022.

À droite, c’est la candidature de Laurent Wauquiez qui est testée, sans grand succès. Le président du groupe Les Républicains à l’Assemblée nationale recueillerait entre 6 et 8 % des suffrages, le plaçant devant les candidats communiste, écologiste et socialiste, mais derrière Jean-Luc Mélenchon.

Enfin, le sondage envisage l’hypothèse selon laquelle Marine Le Pen serait déclarée inéligible au mois de mars, comme l’ont requis les procureurs dans le cadre du procès sur les assistants parlementaires européens du parti. Dans ce cas, elle devrait très probablement être remplacée par Jordan Bardella, qui a déjà mené la campagne des dernières élections législatives.

L’enquête d’Ifop teste ainsi une candidature du président du Rassemblement national, face à Edouard Philippe. Dans cette configuration, comme Marine Le Pen, Jordan Bardella se qualifierait au second tour en première position avec 34 % des voix, contre 26 % pour son adversaire.

Union européenne: appel contre la fin des voitures thermiques en 2035

Union européenne: appel contre la fin des voitures thermiques en 2035

Pour « sauver l’automobile »;  Dans un projet de document consulté par La Tribune, qui doit faire l’objet d’une communication officielle ce jeudi, le PPE appelle à « annuler » une mesure phare, à savoir « l’interdiction des moteurs à combustion interne prévue pour 2035 ».

. D’après le PPE, l’interdiction des voitures thermiques en 2035 bafoue « le principe de neutralité technologique », en privilégiant les seules voitures électriques pour décarboner l’automobile.

Le  PPE plaide pour « un mélange de technologies ». Parmi elles, il y a « les carburants alternatifs » comme les e-carburants et les biocarburants. Ceux-ci auraient notamment l’avantage, expliquent les députés, de permettre aux véhicules thermiques actuels de rouler sans polluer. Les parlementaires citent aussi les véhicules hybrides rechargeables, équipés d’un moteur thermique et d’une batterie. Lorsqu’ils sont rechargés régulièrement – ce qui est encore loin d’être toujours le cas -, ceux-ci permettent effectivement de réduire les émissions de CO2.

Le PPE a également repris à son compte la demande de l’ACEA, le lobby des constructeurs automobiles européens.

Normes CO2 automobile remises en cause par les industriels

Normes CO2 automobile remises en cause par les industriels

Contestation quasi générale des industriels contre les nouvelles normes européennes dans l’automobile qui prévoient dès 2025 des amendes pour les fabricants automobiles dont les parcs de voitures neuves vendues émettraient trop de CO2. Pour être dans les clous, les constructeurs, comme Renault et Stellantis en France, doivent vendre davantage de voitures électriques. Mais tous sont confrontés à une demande insuffisante pour leurs modèles à batteries, encore trop chers par rapport à leurs équivalents à motorisation thermique.

L’ACEA, le lobby des constructeurs européens, à une nouvelle fois donné de la voix. « Trouver une solution pour 2025 est très urgent », a insisté Luca de Meo, le patron de Renault, qui préside le lobby. « Si la Commission ne change pas de position, les entreprises comme les nôtres devront provisionner » des « milliards d’euros » pour se préparer à d’éventuelles amendes. A ses yeux, c’est autant « de ressources qui n’iront pas vers l’investissement », a-t-il averti devant la presse à Bruxelles. « Personne ne nie la nécessité de la décarbonation » du secteur automobile, mais il faut de la « flexibilité », a-t-il renchéri.

La part de marché des voitures électriques vendues en Europe végète à 13,5%. Or « il faut atteindre 22% l’année prochaine » pour éviter les amendes ! Face à la concurrence chinoise de pari paraît impossible. 

La conséquence pourrait générer de nouveaux plans sociaux dans le secteur.

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Hausse des retraites de 2,2% en janvier

Hausse des retraites  de 2,2% en janvier

Selon le  ministre chargé du Budget et des Comptes publics, la revalorisation des retraites de base se portera à 2,2% le 1er janvier prochain. En effet, après la chute du gouvernement Barnier, la règle par défaut s’appliquera en l’absence de Budget de la Sécurité social : les retraites seront donc bien indexées sur l’inflation. Concrètement, cette hausse de 2,2% représente une augmentation de 18 euros pour la pension moyenne de 814 euros mensuels bruts. Cette revalorisation prendra effet dès le versement des pensions de janvier, c’est-à-dire en réalité début février.

 

Transports : La concurrence dans les transports en cause ?

Transports : La concurrence dans les transports en cause ?

Ses adeptes le promettent : l’ouverture du marché bénéficie aux voyageurs. Les syndicats cheminots, en grève jeudi, sont convaincus qu’elle va au contraire dégrader le service et peser sur leurs conditions de travail.

 

par Sophie Fay dans le Monde (extrait)

 

Un papier intéressant mais qui ne traite pas la question centrale du financement des infrastructures ferroviaires. Alors que pour tous les autres modes l’État décide et finance. Pour le ferroviaire en général et en France en particulier, l’État ne gère pas les infrastructures et ne les financent que très partiellement ce qui au fil des années situe un boulet financier ingérable. Une problématique qui renvoie peut-être aussi notamment à la question des champs géographiques de l’action régalienne de l’État. (NDLR).

C’est une cause déjà perdue. Mais on ne pourra pas dire que les syndicats cheminots ont laissé faire l’ouverture à la concurrence des transports sans la combattre. Ils sont convaincus qu’elle va dégrader le service aux voyageurs, qu’elle va augmenter la facture finale et, bien sûr, peser sur leurs conditions de travail. Pour qu’on entende leurs arguments, la CGT Cheminots et SUD-Rail ont décidé de maintenir leur grève reconductible, quitte à ne pas être très suivis. Le mouvement perturbera le trafic le jeudi 12 décembre. La direction de la SNCF table sur un retour à la normale pour le week-end.La mécanique très complexe de l’ouverture à la concurrence dans les transports a été engagée par une directive européenne dès 2001. La France, où le monopole de la SNCF est solidement installé, tout comme celui de la RATP en Ile-de-France, est l’un des derniers pays à s’y soumettre. Les cheminots ne sont pas les seuls à s’en méfier. Arrivé à la tête de la RATP en novembre 2022, Jean Castex a découvert l’incroyable tuyauterie administrative et sociale qu’elle oblige à mettre en place. Pour chaque appel d’offres, il faut créer une société spécifique. Même si l’ancien monopole remporte le marché, il doit transférer ses salariés dans cette nouvelle entité.

Les adeptes de la concurrence le promettent : elle bénéficie aux voyageurs. Les syndicats en doutent. Ils mettent d’abord en avant l’expérience de nos voisins.

Pétrole: Hausse après les changements en Syrie

Pétrole : Hausse après les changements en Syrie

 

Pas vraiment de grosses modifications mais quelques évolutions à la hausse du fait des conséquences possibles de la situation en Syrie sur des pays producteurs comme l’Iran ou encore la Russie fragilisées par le départ d’Assad .

Les cours du pétrole ont progressé lundi, poussés par l’instabilité au Proche-Orient au lendemain de la chute de Bachar el-Assad en Syrie, et soutenus par le maintien des coupes de l’Opep+ jeudi dernier. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord, pour liaison en février, a gagné 1,43% à 72,14 dollars. Son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate (WTI), pour livraison en janvier, s’est octroyé 1,74% à 68,37 dollars.

. La chute d’Assad «soulève des questions sur les facteurs de risque géopolitiques», a observé dans une note Phil Flynn, de Price Futures Group. «Il n’y a pas de conséquences immédiates pour le pétrole, si ce n’est que la position de l’Iran et de la Russie dans la région est considérablement affaiblie», précise Bjarne Schieldrop, analyste chez SEB.

 

Démocratie en Algérie :l’avocat de Boualem Sansal interdit en Algérie

Démocratie en Algérie :l’avocat de Boualem Sansal   interdit en Algérie

Lors d’une audience prévue ce mercredi 11 décembre, l’avocat de Boualem Sansal, Me François Zimeray, prévoyait de demander la remise en liberté de l’écrivain franco-algérien. Il ne pourra finalement pas le faire, faute de visa valide pour entrer en Algérie. 

Selon l’avocat, mandaté par l’éditeur Gallimard, «ce refus de visa en temps utile, entrave l’exercice de la défense, sans laquelle il n’y a pas de procès équitable». Dans un communiqué, il déplore également qu’«aucune autorité n’ait cru utile d’informer ses défenseurs du changement de lieu de détention de M. Sansal, désormais incarcéré à la prison de Kolea.» 

L’écrivain aurait été transféré jeudi dernier dans cet établissement pénitentiaire, situé à 35km au sud d’Alger. Une façon pour les autorités algériennes de maintenir à distance le prévenu de sa défense.

 L’écrivain est poursuivi sur le fondement de l’article 87 bis du Code pénal algérien, notamment pour «atteinte à l’unité nationale et à l’intégrité territoriale du pays» et «complot contre la sûreté de l’État».

En Allemagne, la CDU veut renvoyer 1 million de réfugiés syriens

En Allemagne, la CDU veut renvoyer 1 million de réfugiés syriens

En Allemagne, la CDU  des veut renvoyer 1 million de réfugiés syriens et l’Office fédéral des migrations annonce la suspension de l’examen des demandeurs d’asile syriens. Le parti chrétien-démocrate (CDU) part favori des prochaines élections.

 

La France déjà en légère récession ?

La France  déjà  en légère récession ?

( MEDEF)

Ce n’est pas seulement un avertissement mais un constat de la dégradation de la croissance en France. Si l’on tient compte  en effet de la baisse de la demande, du tassement des investissements, des plans sociaux de certains secteurs et du moral des patrons, le pays pourrait déjà être entré en légère récession d’après Patrick Martin ( MEDEF).
Le président du Medef, Patrick Martin, estime que la France est « déjà entrée en légère récession » et appelle le futur Premier ministre à prendre en compte les réalités économiques difficiles, dans un entretien publié dimanche dans la presse.

Selon lui, certains indicateurs sont particulièrement préoccupants : la moitié des investisseurs étrangers qui envisageaient d’investir en France ont suspendu ou annulé leurs projets.

Autre signal d’alerte : 66.000 dépôts de bilan ont été enregistrés cette année, un record historique.

« Nous sommes à un moment décisif », affirme le président de la principale organisation patronale, appelant à « un sursaut » et à « une prise de conscience de nos responsables politiques ».

Il s’inquiète que beaucoup d’entre eux, « malgré nos échanges quotidiens, ne mesurent pas suffisamment la fragilité conjoncturelle et la rudesse de la compétition internationale ».

 

Rugby XV : Bonne prestation de La Rochelle en Champions Cup

Rugby XV : Bonne prestation de La Rochelle en Champions Cup

Le Stade Rochelais, en plein doute en Top 14 (quatre défaites sur les six derniers matches), a parfaitement redressé la tête en allant s’imposer ce vendredi sur la pelouse des Anglais de Bath (20-24), en ouverture de la Champions Cup.

1400 milliards: le coût de la dette pour les pays pauvres en 2023

1400 milliards: le coût de la dette pour les pays pauvres en 2023

Les pays en développement ont payé un montant record de 1.400 milliards de dollars pour le service de leur dette extérieure en 2023, en raison des taux d’intérêt très élevés, selon un rapport de la Banque mondiale publié mardi.

Parmi ces pays, « les plus pauvres et vulnérables » ont déboursé un montant record de 96,2 milliards de dollars pour le service de leur dette, dont près de 35 milliards pour les seuls coûts d’intérêt. Un record également. Ces pays sont ceux éligibles à un prêt de l’Association internationale de développement (IDA), l’agence de la Banque mondiale qui prête aux pays les plus pauvres.

La Banque mondiale  indique que le taux payé sur les prêts des créanciers officiels a doublé pour atteindre plus de 4%. Les taux appliqués par les créanciers privés ont été encore pires, atteignant 6%, au plus haut depuis 15 ans.

Motion de censure : dette française en hausse

Motion de censure :  dette française en hausse

L’écart (  «spread») entre les taux français et allemands s’agrandit et constitue est un signal d’alerte. Il reflète la confiance, ou plutôt la défiance, que les grands créanciers internationaux, notamment chinois ou américains, éprouvent envers notre économie. La France emprunte désormais plus cher que l’Espagne ou le Portugal, deux pays qui faisaient figure de maillon faible de l’Europe. Le coût d’emprunt de la France est désormais proche de celui de la Grèce, pays en quasi-faillite il y a une quinzaine d’années. Le «spread» entre les taux français et allemand est désormais proche de son niveau de 2012, lorsque la zone euro était menacée d’éclatement avec la quasi-faillite de la Grèce. 

La  dette «atteint désormais 3228 milliards d’euros» a rappelé le Premier ministre ces derniers jours. La hausse des taux va en effet finir par se répercuter sur la charge annuelle de la dette publique. On « va arriver à 60 milliards d’euros par an » rien que pour payer les intérêts de la dette, a ainsi averti le ministre du Budget, Laurent Saint-Martin, mercredi dernier. La situation de la France pèse même sur l’euro qui s’enfonçait ce lundi. Vers 17 heures, la monnaie européenne tombait de 1,00% face au billet vert, à 1,0470 dollar, et perdait 0,16% par rapport à la devise britannique, à 82,91 pence pour un euro.

 

Chômage : stabilité en Europe

Chômage : stabilité en Europe
Le chômage demeure  stable en octobre dans la zone euro, à 6,3% de la population active, selon Eurostat. Un taux inchangé depuis août et à son plus bas niveau.

L’emploi se maintient toujours en zone euro. Le taux de chômage est en effet resté stable en octobre, à 6,3% de la population active, selon les chiffres publiés ce lundi par Eurostat, l’office statistique de l’Union européenne. Un niveau même inchangé depuis le mois d’août. Et comparé à un an en arrière, le taux de personnes sans emploi s’inscrit en baisse de 0,3 point.

Malgré une faible croissance économique pour les 20 pays partageant la monnaie unique – +0,4% au troisième trimestre -, l’indicateur se maintient ainsi à son plus bas niveau depuis que l’organisme a commencé à compiler cette série, en avril 1998.

 

Dans le détail, le taux de chômage s’établit bien au-dessus de la moyenne pour la France. À 7,6% en octobre, il est même en légère hausse de 0,1 point par rapport à septembre. L’Hexagone s’affiche ainsi à la sixième place des pays présentant le taux de chômage le plus élevé.

La première place revient à l’Espagne, avec un niveau particulièrement haut (11,2%, stable par rapport à septembre mais en baisse de 0,7 point sur un an). Le pays ibérique est suivi par la Grèce (9,8%), la Finlande et la Suède (8,5% chacun) et l’Estonie (8,1%). A contrario, les taux les plus faibles de l’UE ont été enregistrés en République tchèque (2,6%), à Malte (3%) et en Pologne (3,1%).

De son côté, l’Allemagne, première puissance européenne, affiche un taux de chômage à 3,4% en octobre. C’est moins bien pour l’Italie (5,8%) mais quand même en dessous de la moyenne.

 

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