Archive pour le Tag 'Deux'

Drogue-Marseille : encore deux tués

Drogue-Marseille : encore deux tués

Deux victimes tuées encore à Marseille , âgées  d’un peu moins de 30 ans et connues pour des affaires liées aux trafics de stupéfiants, selon des sources proches de l’enquête. 

 

Début novembre, 17 narchomicides avaient été officiellement recensés par le parquet à Marseille, dont une victime collatérale. Si ces deux nouveaux décès étaient officiellement confirmés comme liés au trafic de drogue, ce bilan passerait donc à 19 morts à Marseille depuis le début de l’année.

 Marseille est l’épicentre des violences liées à la drogue en France, avec en 2023 un record de 49 morts. Après ce pic de violences, dû notamment selon la police et la justice à une rivalité entre deux bandes – la DZ Mafia et le clan Yoda – pour le contrôle des lucratifs points de deal de la ville, le nombre de ces narchomicides est toutefois en nette baisse cette année.

 

Gouvernement : encore deux ministres, soit 41 !

Gouvernement : encore deux ministres, soit 41 !

En dépit du nombre imposant de ministres, on a jugé bon d’en ajouter deux soit maintenant au total 41 . En cause le fait qu’on avait oubliée de couvrir le champ du handicap et des anciens combattants.

L’Élysée a annoncé vendredi 27 septembre la nomination de deux nouveaux ministres délégués au gouvernement, la députée Horizons Charlotte Parmentier-Lecocq aux Personnes en situation de handicap et le député Les Républicains Jean-Louis Thiériot auprès du ministre des Armées et des Anciens combattants Sébastien Lecornu.

Notons que tout le fonctionnement démocratique de la république (institutions, élus et autres représentent environ  1 milliard d’euros)

 

 

Le PS toujours le cul entre deux chaises vis-à-vis de Cazeneuve

Le PS toujours le cul entre deux chaises vis-à-vis de Cazeneuve

 

Nouvelle manœuvre de la direction du parti socialiste pour éviter d’avoir à voter vis-à-vis de l’attitude du parti concernant l’hypothèse de Bernard Cazeneuve comme Premier ministre. En évitant un vote sur la question, le PS fait semblant de maintenir son unité de façade. Non seulement évidemment les contradictions au sein du NFP sont importantes mais s’y rajoutent les oppositions au sein même du parti socialiste qui opposent  en gros marxistes et sociaux-démocrates.

 

La direction a préféré soumettre au vote une résolution présentant les 10 points sur lesquels le PS ne transigera pas et demandera au futur premier ministre de s’engager, comme l’abrogation de la réforme des retraites, de la réforme de l’assurance chômage et de la loi immigration, la hausse du Smic, l’ISF vert, la taxation des super-profits, des mesures pour l’école et la santé, le logement, etc. Un vote qui ne mange pas de pain mais qui n’éclaire pas la question quant à l’attitude à avoir vis-à-vis de Bernard Cazeneuve.

Les opposants internes à Olivier Faure avaient réclamé dans l’après-midi un vote du bureau national pour que le PS «annonce clairement qu’il ne censurera pas un gouvernement de cohabitation mené par Bernard Cazeneuve», si son programme s’appuie sur celui du Nouveau Front populaire.

 

Le déni des deux dettes

Le déni des deux dettes

 

Dette financière et climatique se cumulent, avec la même menace : la perte de contrôle. Le dérapage inédit du déficit à 5,5 % du PIB n’a pas fini de laisser des traces et l’ensemble de la trajectoire budgétaire d’ici à 2027 pourrait dérailler.(papier du « Monde »)

 

Si la situation politique demeure dans le brouillard après le choc de la dissolution de l’Assemblée nationale, une certitude est en train de s’imposer : le prochain gouvernement, quelle que soit la majorité sur laquelle il s’appuiera, devra s’atteler au contrôle des finances publiques. La Cour des comptes dénonce dans son rapport annuel, publié lundi 15 juillet, une situation « inquiétante ». Le message doit s’interpréter comme une mise garde à l’adresse de ceux qui aspirent à exercer le pouvoir dans les prochaines semaines.Le constat n’est pas nouveau, et les alertes se sont multipliées ces dernières années sans être entendues. Mais ce nouveau rapport prend une résonance particulière dans la perspective de l’élaboration à l’automne d’un budget 2025 qui s’annonce des plus périlleux, à la fois au regard de l’instabilité politique, mais aussi de la situation léguée par la majorité sortante.

La mauvaise appréciation par le gouvernement des recettes espérées en 2023, qui a eu pour conséquence un dérapage inédit du déficit à 5,5 % du PIB, n’a pas fini de laisser des traces. Non seulement l’exercice 2024 est jugé « à risques » par la Cour des comptes, mais c’est l’ensemble de la trajectoire budgétaire d’ici à 2027 qui pourrait dérailler et mettre le pays en porte-à-faux avec ses engagements européens.

Dans cette période où la constitution d’une coalition viable n’a rien d’évident, la chose la mieux partagée en France reste le déni face à la nécessité de rééquilibrer les comptes publics. Obnubilé par sa politique de l’offre, le pouvoir sortant a basé toute sa stratégie sur un rythme de croissance trop optimiste, et s’est privé de précieuses recettes fiscales en décrétant des baisses d’impôts à l’effet électoral limité et à l’efficacité macroéconomique contestée. Les pistes d’économies sont restées tardives et peu convaincantes. Pendant que le reste de l’UE fait des efforts pour se désendetter, il serait illusoire de penser que l’Hexagone puisse faire cavalier seul, tout en continuant à profiter de la protection de l’euro.

Les oppositions ne se sont pas privées de fustiger le manque de sérieux budgétaire d’Emmanuel Macron. Mais la débauche de propositions non financées faites pendant la campagne des élections législatives montre qu’elles n’en ont tiré aucune leçon. Le « quoi qu’il en coûte » est prêt à changer de nature, mais pas vraiment d’intensité.

La situation est d’autant plus préoccupante qu’elle n’a pas permis de résoudre l’insatisfaction légitime de millions de Français sur leurs salaires, bien au contraire. La France a dilapidé son crédit européen sans mettre fin au mécontentement sur lequel surfe le RN. Toujours plus d’argent public n’est pas forcément synonyme d’amélioration du fonctionnement de l’Etat et d’amélioration du niveau de vie.

Plutôt que de se contenter de slogans déconnectés de la situation budgétaire, le prochain gouvernement devra élaborer des politiques publiques mieux définies, ciblées sur ceux qui en ont le plus besoin, en s’attachant davantage à des critères d’efficacité et de performance. C’est la seule voie pour retrouver des marges de manœuvre. Le but n’est pas de sombrer dans l’austérité, mais de se concentrer sur les investissements indispensables, à commencer par la transition écologique.

Car deux dettes se cumulent. L’une financière, l’autre climatique, avec la même caractéristique : lorsqu’on les laisse filer, un effet boule de neige finit par se produire, jusqu’à la perte de contrôle. Dans un cas comme dans l’autre, le point de non-retour est proche.

Politique: RN et LFI, deux sociologies

Politique: RN et LFI, deux sociologies 

Marc Lazar, professeur émérite d’histoire et de sociologie politique à Sciences Po, analyse dans La Tribune les différences et ressemblances entre les deux partis aux extrêmes de l’échiquier politique français.

Selon les macroniens, deux extrémismes, d’un côté le Rassemblement national et de l’autre la gauche, qu’ils réduisent à l’une de ses composantes, La France insoumise, font courir un grand danger à la France. L’argumentaire suscite d’incessantes controverses. Pour autant, cette situation est-elle inédite dans notre histoire et ce parallèle entre extrémismes est-il fondé ou pas? Sous la IVe République, entre 1947 et 1951, les partis socialiste, démocrate-chrétien et radical ont constitué la Troisième Force pour s’opposer à deux extrémismes, le Parti communiste français (plus d’un électeur sur quatre) et le Rassemblement du peuple français du général de Gaulle. Toutefois, les institutions et le mode de scrutin différaient des nôtres. Le gaullisme, fût-il de guerre froide, ne saurait être assimilé au RN, qui revendique désormais son héritage, alors que la famille politique dont il est originaire était avec le maréchal Pétain et a toujours combattu le fondateur de la Ve République.

Quant à LFI, elle n’est pas assimilable au PCF. Par ailleurs, un sujet actuel de débat qui divise la gauche évoque l’un des dilemmes classiques qu’elle connut au XXe siècle, celui des alliances avec le Parti communiste. Le Front populaire était né en réaction aux événements du 6 février 1934 lorsque des ligues d’extrême droite tentèrent de marcher sur le Palais-Bourbon, ce qui avait été interprété comme une tentative de coup d’État fasciste. Il rassemblait le Parti radical, la SFIO (nom du Parti socialiste) et le PCF, qui jusqu’ici s’écharpaient. Celui-ci, minoritaire dans la coalition mais en pleine progression, profondément stalinien, avait, en accord avec Moscou, modéré sa stratégie politique nationale et cessé ses attaques contre les socialistes. Victorieux en mai 1936, le Front populaire ne résista pas à l’épreuve du pouvoir et aux désaccords sur la politique étrangère, notamment concernant la guerre civile espagnole.

En outre, les procès truqués de Moscou, voulus par Staline contre les dirigeants du parti, approuvés par le PCF, étaient dénoncés par la droite et l’extrême droite, de manière prudente par les socialistes désireux de sauver le Front populaire et clairement par quelques personnalités de gauche. L’union se rompit en 1938. Plus tard, le Parti socialiste refondé en 1971 par François Mitterrand rompit avec l’anticommunisme de la SFIO de Guy Mollet et forma l’union de la gauche avec le PCF. Il critiqua avec plus ou moins de vigueur les régimes communistes. Mais il valorisa la participation du PCF à la Résistance à partir de 1941, son engagement dans les luttes anticoloniales et ses combats en faveur de l’amélioration de la condition ouvrière, minorant souvent son alignement sur l’URSS. À gauche, l’antifascisme fait consensus, en revanche l’anticommunisme l’avait fait voler en éclats.

La nation pour le Rassemblement national est fermée sur elle-même alors qu’elle est ouverte chez LFI

De nos jours, LFI provoque un trouble assez semblable dans le reste de la gauche, qu’expriment publiquement Raphaël Glucksmann et nombre de socialistes. Lesquels pointent leurs désaccords avec le mouvement de Jean-Luc Mélenchon tout en s’alliant avec lui afin de barrer la route au RN Or, pour le bloc central, les LR et beaucoup d’électeurs, ces deux formations sont strictement équivalentes. Elles ont, en effet, des points communs. Soumises toutes deux à un dirigeant tout-puissant, elles critiquent l’Union européenne, sont réticentes à soutenir l’effort de guerre des Ukrainiens, se méfient des États-Unis et adoptent un style populiste antiélites.

Toutefois, si elles emploient les mêmes mots, elles leur donnent un sens opposé. Ainsi, la nation pour le RN est fermée sur elle-même alors qu’elle est ouverte chez LFI. Le peuple du RN se fonde sur une dimension ethnocentrée: il entend supprimer le droit du sol et instaurer la « préférence nationale », nouvelle formulation du vieux slogan de l’extrême droite « la France aux Français ». Malgré son opération de « dédiabolisation » qui a amené Marine Le Pen à ne pas reprendre l’antisémitisme de son père, l’héritage historique – xénophobe, raciste, provichyste, néofasciste, autoritaire – du Front national est loin d’avoir complètement disparu. Le peuple pour LFI est quant à lui bigarré, faisant une large place aux minorités, aux communautés, à la diversité culturelle, ce qui a conduit certains de ses responsables à tenir des propos antisémites, en rupture avec la tradition républicaine, universaliste et laïque de la gauche.

La sociologie des deux partis diffère profondément. Le RN dispose de solides bastions chez les ouvriers et les employés, dans les territoires ruraux, les petites et moyennes villes, mais il devient désormais un parti attrape-tout. LFI est présente dans les catégories sociales moyennes, les grandes métropoles et leurs banlieues, auprès des Français de confession musulmane et chez des électeurs disposant d’un niveau d’instruction supérieur à la moyenne de celui des votants. Enfin, le RN est seul, ne disposant que de rares alliés de droite dure, incarnée par Éric Ciotti et Marion Maréchal; LFI fait partie d’une coalition qu’elle ne domine plus exactement comme ce fut le cas de la Nupes en 2022 et qui inclut des partis et des personnalités démocrates. Rejeter les extrêmes des deux bords simplifie la compétition politique en soulignant les convergences entre le RN et LFI mais en occultant leurs différences.

Poutine et Kim Jong, deux dictateurs fous qui scellent leur amitié

Poutine et Kim  Jong,  deux dictateurs fous qui scellent leur amitié

 

Théoriquement Kim Jong  bénéficie de l’aile protectrice de la Chine face aux risques potentiels de l’Occident. L’intéressé se méfie cependant et tente de sortir de son isolement en se rapprochant de Poutine. Ou l’alliance de deux dictateurs fous qui se caractérisent par un régime de fer pour se maintenir au pouvoir et qui affame la population.

Kim Jong-un déroule le tapis rouge au «meilleur ami du peuple coréen». Le leader suprême nord-coréen accueille aujourd’hui en fanfare Vladimir Poutine, avec pour ambition d’approfondir le partenariat avec la Russie, en plein développement depuis la guerre en Ukraine, sous le regard inquiet de Washington. Le maître du Kremlin arrive aujourd’hui à Pyongyang pour sa première visite en Corée du Nord depuis près d’un quart de siècle, signalant le rapprochement spectaculaire entre les deux anciens alliés de l’ère soviétique, à l’heure d’une seconde guerre froide assumée face à l’Occident.

 

Politique- Déstabiliser les deux Etats voyous que sont la Russie et la Chine

Politique- Déstabiliser les deux Etats voyous que sont  la Russie et la Chine

Non contents d’imposer un régime de fer particulièrement antidémocratique, la Russie et la Chine ne cessent de développer leur influence au plan international par des méthodes de voyous (ingérence, corruption, conflits, assassinats, guerre etc.). Certes, il n’est pas dans la tradition des démocraties occidentales de s’immiscer dans le fonctionnement interne des dictatures. Pour autant, on ne peut rester sans réagir face aux actions de déstabilisation de la Russie et de la Chine. Le pire, c’est que l’intoxication parvient à renforcer l’esprit munichois qui gagne des élites occidentales résignées, usées et parfois complices.

Les démocraties occidentales n’ont sans doute pas répondre par des actions armées et des provocations sournoises. Par contre, elles peuvent saper le développement économique de ces deux pays criminels pour lesquels la vie n’a aucune valeur (des centaines de milliers de morts à leur actif parmi leurs populations);  sans parler des victimes étrangères bien entendu.

Il se trouve que les économies de ces deux pays sont sous la coupe de  clans qui paralysent  une partie du dynamisme économique et se répartissent les richesses du pays. Il est temps  les combattre en réduisant le plus possible nos relations commerciales. Par exemple au lieu de taxer à 15 % des importations chinoises on peut imposer un taux allant jusqu’à 100 % vis-à-vis des voitures électriques en particulier. Et de la même manière, il faut réduire et réduire encore les échanges avec la Russie. Il serait temps que les pays occidentaux sortent de leur posture de bisounours vis-à-vis de ces deux Etats criminels qui déstabilisent l’ensemble de la planète et au surplus veulent imposer leur conception totalitaire  et criminelle à l’ensemble du monde

Politique-Il faut déstabiliser les deux Etats voyous que sont la Russie et la Chine

Politique-Il faut déstabiliser les deux Etats voyous que sont  la Russie et la Chine

Non contents d’imposer un régime de fer particulièrement antidémocratique, la Russie mais aussi la Chine ne cessent de développer leur influence au plan international par des méthodes de voyous (ingérence, corruption, conflits, assassinats, guerre etc.). Certes, il n’est pas dans la tradition des démocraties occidentales de s’immiscer dans le fonctionnement interne des dictatures. Pour autant, on ne peut rester sans réagir face aux actions de déstabilisation de la Russie et de la Chine. Le pire, c’est que l’intoxication parvient à renforcer l’esprit munichois qui gagne des élites occidentales résignées, usées et parfois complices.

Les démocraties occidentales n’ont sans doute pas répondre par des actions armées et des provocations sournoises. Par contre, elles peuvent saper le développement économique de ces deux pays criminels pour lesquels la vie n’a aucune valeur (des centaines de milliers de morts à leur actif parmi leurs populations);  sans parler des victimes étrangères bien entendu.

Il se trouve que les économies de ces deux pays sont sous la coupe de  clans qui paralysent  une partie du dynamisme économique et se répartissent les richesses du pays. Il est temps  les combattre en réduisant le plus possible nos relations commerciales. Par exemple au lieu de taxer à 15 % des importations chinoises on peut imposer un taux allant jusqu’à 100 % vis-à-vis des voitures électriques en particulier. Et de la même manière, il faut réduire et réduire encore les échanges avec la Russie. Il serait temps que les pays occidentaux sortent de leur posture de bisounours vis-à-vis de ces deux Etats criminels qui déstabilisent l’ensemble de la planète et au surplus veulent imposer leur conception totalitaire  et criminelle à l’ensemble du monde

Il faut déstabiliser les deux Etats voyous que sont la Russie et la Chine

Il faut déstabiliser les deux Etats voyous que sont  la Russie et la Chine

Non contents d’imposer un régime de fer particulièrement antidémocratique, la Russie mais aussi la Chine ne cessent de développer leur influence au plan international par des méthodes de voyous (ingérence, corruption, conflits, assassinats, guerre etc.). Certes, il n’est pas dans la tradition des démocraties occidentales de s’immiscer dans le fonctionnement interne des dictatures. Pour autant, on ne peut rester sans réagir face aux actions de déstabilisation de la Russie et de la Chine. Le pire, c’est que l’intoxication parvient à renforcer l’esprit munichois qui gagnent des élites occidentales résignées, usées et parfois complices.

Les démocraties occidentales n’ont sans doute pas répondre par des actions armées et des provocations sournoises. Par contre, elles peuvent saper le développement économique de ces deux pays criminels pour lesquels la vie n’a aucune valeur (des centaines de milliers de morts à leur actif parmi leurs populations);  sans parler des victimes étrangères bien entendu.

Il se trouve que les économies de ces deux pays sont sous la coupe de  clans qui paralysent  une partie du dynamisme économique et se répartissent les richesses du pays. Il est temps  les combattre en réduisant le plus possible nos relations commerciales. Par exemple au lieu de taxer à 15 % des importations chinoises on peut imposer un taux allant jusqu’à 100 % vis-à-vis des voitures électriques en particulier. Et de la même manière, il faut réduire et réduire encore les échanges avec la Russie. Il serait temps que les pays occidentaux sortent de leur posture de bisounours vis-à-vis de ces deux Etats criminels qui déstabilisent l’ensemble de la planète et au surplus veulent imposer leur conception totalitaire  et criminelle à l’ensemble du monde

Déstabiliser les deux Etats voyous: la Russie et la Chine

Déstabiliser les deux Etats voyous: la Russie et la Chine

Non contents d’imposer un régime de fer particulièrement antidémocratique, la Russie mais aussi la Chine ne cessent de développer leur influence au plan international par des méthodes de voyous (ingérence, corruption, conflits, guerre etc.). Certes, il n’est pas dans la tradition des démocraties occidentales de s’immiscer dans le fonctionnement interne des dictatures. Pour autant, on ne peut rester sans réagir face aux actions de déstabilisation de la Russie et de la Chine. Le pire c’est que l’intoxication parvient à renforcer l’esprit munichois qui gagnent des élites occidentales usées et parfois complices.

Les démocraties occidentales n’ont sans doute pas répondre par des actions armées et des provocations sournoises. Par contre, elles peuvent saper le développement économique de ces deux pays criminels pour lesquels la vie n’a aucune valeur (des centaines de milliers de morts à leur actif parmi leurs populations);  sans parler des victimes étrangères bien entendu.

Il se trouve que les économies de ces deux pays sont sous la coupe de  clans qui paralysent  une partie du dynamisme économique et se répartissent les richesses du pays. Il est temps  les combattre en réduisant le plus possible nos relations commerciales. Par exemple au lieu de taxer à 15 % des importations chinoises on peut imposer un taux allant jusqu’à 100 % vis-à-vis des voitures électriques en particulier. Et de la même manière, il faut réduire et réduire encore les échanges avec la Russie. Il serait temps que les pays occidentaux sortent de leur posture de bisounours vis-à-vis de ces deux Etats criminels qui déstabilisent l’ensemble de la planète et au surplus veulent imposer leur conception totalitaire  et criminelle à l’ensemble du monde

 

Violences : barbarie et déficit culturel, deux facteurs explicatifs

Violences : barbarie et déficit culturel, deux facteurs explicatifs

La violence a toujours été consubstantiel à l’existence de sociétés mais au cours de l’histoire elle a évolué dans sa nature, sa forme et son intensité prenant parfois la forme de barbarie. C’est-à-dire une forme de violence qui ne respecte plus aucun principe.

Des violences qui se manifestent à l’occasion d’intérêts divergents de pays, de populations ou même à l’intérieur d’un même pays.

Ces violences diffèrent dans leur nature mais se ressemblent par leur négation totale de tout concept d’humanité. Bref, la vie ne compte pour rien.

Ce qui se confirme bien sûr dans certains conflits internationaux mais aussi à l’intérieur des frontières y compris de la France. On peut évidemment tenter d’inventorier certains facteurs explicatifs qui concernent plus spécifiquement le pays.

En France, ce qui caractérise la situation c’est la crise générale des autorités, celle de la famille assez souvent, celle des pouvoirs publics et plus généralement de la société. La médiocrité actuelle du personnel politique favorise tous les débordements puisque les repères et leur modèle de gestion explosent dans tous les sens.

La justice en particulier adapte une position hors-sol qui indique aux délinquants potentiels la disparition de ces repères.

Pour preuve de la crise de l’appareil d’État et des autorités, cette révolte des quartiers qui n’a même pas pu faire l’objet d’une analyse officielle de la part du gouvernement et en particulier du chef de l’État. Comme d’habitude, on a promis de la peinture sur les murs de la révolte.

Cette violence qui est une crise des repères et des valeurs est largement générée par un très grand affaiblissement du niveau moyen culturel. Témoin, cette enquête de l’éducation nationale qui montre que la moitié des élèves en quatrième sont tout juste capables de faire une lecture correcte. Bien entendu, il ne s’agit que d’une moyenne car cela n’est pas contradictoire avec une certaine élite étudiante.

Bref, le déclassement intellectuel et culturel de la France crée un terrain favorable aux violences et à la barbarie. Le facteur explicatifs dominant est en effet l’insuffisance de connaissances dans tous les domaines et l’adhésion à des principes sectaires, simplistes et sauvages. De ce point de vue, c’est aussi une crise de civilisation.

Société-Barbarie et faible niveau culturel : les deux facteurs explicatifs de la violence

 

La violence a toujours été consubstantiel à l’existence de sociétés mais au cours de l’histoire elle a évolué dans sa nature, sa forme et son intensité prenant parfois la forme de barbarie. C’est-à-dire une forme de violence qui ne respecte plus aucun principe.

Des violences qui se manifestent à l’occasion d’intérêts divergents de pays, de populations ou même à l’intérieur d’un même pays.

Ces violences diffèrent dans leur nature mais se ressemblent par leur négation totale de tout concept d’humanité. Bref, la vie ne compte pour rien.

Ce qui se confirme bien sûr dans certains conflits internationaux mais aussi à l’intérieur des frontières y compris de la France. On peut évidemment tenter d’inventorier certains facteurs explicatifs qui concernent plus spécifiquement le pays.

En France, ce qui caractérise la situation c’est la crise générale des autorités, celle de la famille assez souvent, celle des pouvoirs publics et plus généralement de la société. La médiocrité actuelle du personnel politique favorise tous les débordements puisque les repères et leur modèle de gestion explosent dans tous les sens.

La justice en particulier adapte une position hors-sol qui indique aux délinquants potentiels la disparition de ces repères.

Pour preuve de la crise de l’appareil d’État et des autorités, cette révolte des quartiers qui n’a même pas pu faire l’objet d’une analyse officielle de la part du gouvernement et en particulier du chef de l’État. Comme d’habitude, on a promis de la peinture sur les murs de la révolte.

Cette violence qui est une crise des repères et des valeurs est largement générée par un très grand affaiblissement du niveau moyen culturel. Témoin, cette enquête de l’éducation nationale qui montre que la moitié des élèves en quatrième sont tout juste capables de faire une lecture correcte. Bien entendu, il ne s’agit que d’une moyenne car cela n’est pas contradictoire avec une certaine élite étudiante.

Bref, le déclassement intellectuel et culturel de la France crée un terrain favorable aux violences et à la barbarie. Le facteur explicatifs dominant est en effet l’insuffisance de connaissances dans tous les domaines et l’adhésion à des principes sectaires, simplistes et sauvages. De ce point de vue, c’est aussi une crise de civilisation.

Société-Barbarie et faible niveau culturel : deux facteurs explicatifs de la violence

Barbarie et faible niveau culturel : les deux mamelles de la violence

La violence a toujours été consubstantiel à l’existence de sociétés mais au cours de l’histoire elle a évolué dans sa nature, sa forme et son intensité prenant parfois la forme de barbarie. C’est-à-dire une forme de violence qui ne respecte plus aucun principe.

Des violences qui se manifestent à l’occasion d’intérêts divergents de pays, de populations ou même à l’intérieur d’un même pays.

Ces violences diffèrent dans leur nature mais se ressemblent par leur négation totale de tout concept d’humanité. Bref, la vie ne compte pour rien.

Ce qui se confirme bien sûr dans certains conflits internationaux mais aussi à l’intérieur des frontières y compris de la France. On peut évidemment tenter d’inventorier certains facteurs explicatifs qui concernent plus spécifiquement le pays.

En France, ce qui caractérise la situation c’est la crise générale des autorités, celle de la famille assez souvent, celle des pouvoirs publics et plus généralement de la société. La médiocrité actuelle du personnel politique favorise tous les débordements puisque les repères et leur modèle de gestion explosent dans tous les sens.

La justice en particulier adapte une position hors-sol qui indique aux délinquants potentiels la disparition de ces repères.

Pour preuve de la crise de l’appareil d’État et des autorités, cette révolte des quartiers qui n’a même pas pu faire l’objet d’une analyse officielle de la part du gouvernement et en particulier du chef de l’État. Comme d’habitude, on a promis de la peinture sur les murs de la révolte.

Cette violence qui est une crise des repères et des valeurs est largement générée par un très grand affaiblissement du niveau moyen culturel. Témoin, cette enquête de l’éducation nationale qui montre que la moitié des élèves en quatrième sont tout juste capables de faire une lecture correcte. Bien entendu, il ne s’agit que d’une moyenne car cela n’est pas contradictoire avec une certaine élite étudiante.

Bref, le déclassement intellectuel et culturel de la France crée un terrain favorable aux violences et à la barbarie. Le facteur explicatifs dominant est en effet l’insuffisance de connaissances dans tous les domaines et l’adhésion à des principes sectaires, simplistes et sauvages. De ce point de vue, c’est aussi une crise de civilisation.

Société-Barbarie et faible niveau culturel : les deux raisons de la violence

Société-Barbarie et faible niveau culturel : les deux raisons de la violence

La violence a toujours été consubstantiel à l’existence de sociétés mais au cours de l’histoire elle a évolué dans sa nature, sa forme et son intensité prenant parfois la forme de barbarie. C’est-à-dire une forme de violence qui ne respecte plus aucun principe.

Des violences qui se manifestent à l’occasion d’intérêts divergents de pays, de populations ou même à l’intérieur d’un même pays.

Ces violences diffèrent dans leur nature mais se ressemblent par leur négation totale de tout concept d’humanité. Bref, la vie ne compte pour rien.

Ce qui se confirme bien sûr dans certains conflits internationaux mais aussi à l’intérieur des frontières y compris de la France. On peut évidemment tenter d’inventorier certains facteurs explicatifs qui concernent plus spécifiquement le pays.

En France, ce qui caractérise la situation c’est la crise générale des autorités, celle de la famille assez souvent, celle des pouvoirs publics et plus généralement de la société. La médiocrité actuelle du personnel politique favorise tous les débordements puisque les repères et leur modèle de gestion explosent dans tous les sens.

La justice en particulier adapte une position hors-sol qui indique aux délinquants potentiels la disparition de ces repères.

Pour preuve de la crise de l’appareil d’État et des autorités, cette révolte des quartiers qui n’a même pas pu faire l’objet d’une analyse officielle de la part du gouvernement et en particulier du chef de l’État. Comme d’habitude, on a promis de la peinture sur les murs de la révolte.

Cette violence qui est une crise des repères et des valeurs est largement générée par un très grand affaiblissement du niveau moyen culturel. Témoin, cette enquête de l’éducation nationale qui montre que la moitié des élèves en quatrième sont tout juste capables de faire une lecture correcte. Bien entendu, il ne s’agit que d’une moyenne car cela n’est pas contradictoire avec une certaine élite étudiante.

Bref, le déclassement intellectuel et culturel de la France crée un terrain favorable aux violences et à la barbarie. Le facteur explicatifs dominant est en effet l’insuffisance de connaissances dans tous les domaines et l’adhésion à des principes sectaires, simplistes et sauvages. De ce point de vue, c’est aussi une crise de civilisation.

Violences- deux ans de prison suite à l’agression d’un brancardier

Violences-  deux ans de prison suite à l’agression d’un brancardier

Enfin la justice se réveille à  Challans (Vendée) avec  quatre ans d’emprisonnement, dont deux fermes, par le tribunal judiciaire des Sables-d’Olonne. L’auteur  a été condamné pour «violence sur personnel de santé (avec une ITT supérieure à huit jours, ndlr) et dégradation de mobilier urbain».

Le  prévenu, un jeune homme musclé encadré de plusieurs policiers, reconnaît avoir frappé un brancardier car son père et son cousin, brûlés, n’étaient pas pris en charge assez vite à ses yeux. Ce que contredit l’image de la vidéo surveillance de l’hôpital diffusée à l’audience: trois minutes après l’entrée aux urgences des deux hommes, le personnel les conduit vers une salle de prise en charge.

On y voit ensuite le prévenu- très alcoolisé– effectuer des allers-retours entre l’intérieur et l’extérieur, puis frapper d’un violent coup de poing dans la nuque et par-derrière un brancardier qui sort déjeuner. Ce dernier gît au sol, inconscient un long moment pendant que des collègues lui viennent en aide. Ensuite, le prévenu défonce la porte d’entrée en verre des urgences avant de quitter les lieux avec ses proches.

 

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