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Archive mensuelle de novembre 2014

Ebola : 7000 morts ?

Ebola : 7000 morts ?

 

Des chiffres très approximatifs sur l’ampleur des victimes d’Ebola dans la mesure où il est impossible de distinguer avec précision les victimes de paludisme (700 000 morts par an en Afrique) de celle du virus Ebola. Ce serait près de 7.000 personnes qui seraient mortes du virus Ebola en Afrique de l’Ouest, selon le dernier bilan samedi de l’Organisation mondiale de la Santé mais  qui a compté plus de 1.200 morts supplémentaires depuis son précédent bilan datant de mercredi. Autant dire qu’il s’agit bien d’approximation.  Selon les chiffres publiés par l’OMS dans la nuit de vendredi à samedi, 16.169 personnes ont été contaminées par le virus Ebola dont 6.928 sont mortes dans les trois pays d’Afrique de l’Ouest les plus touchés, la Sierra Leone, la Guinée et le Liberia. Le précédent bilan publié mercredi pour ces trois pays, établi par l’OMS, faisait état de 5.674 morts. Selon Tarik Jasarevic, porte-parole de l’OMS, le bond du chiffre des morts semble être dû à une mise à jour « des données passées » et non pas à une hausse spectaculaire des morts ces derniers jours. L’organisation avait indiqué à plusieurs reprises que les chiffres publiés de morts étaient peut-être sous-estimés étant donné les difficultés rencontrées dans la collecte de données globales. De plus, le taux de mortalité pour les malades atteints du virus se situerait actuellement aux environs de 70%. L’épidémie la plus mortelle depuis l’apparition du virus de la fièvre hémorragique Ebola a frappé le plus durement le Liberia même si les observateurs indiquent que la progression du virus semble s’être considérablement ralentie ces dernières semaines. Quoiqu’il en soit, le Liberia arrive en tête des pays au plus fort bilan des victimes avec 4.181 morts sur 7.244 cas enregistrés. Dans le bilan précédent de l’OMS, le Liberia ne comptait que 3.016 morts sur 7.168 cas. La Sierra Leone, où l’épidémie d’Ebola s’étend toujours rapidement, selon l’OMS, dans de nombreuses régions totalise actuellement 1.461 morts sur 6.802 cas, contre 1.398 morts sur 6.599 cas comptabilisés jusqu’au 26 novembre. En Guinée, où l’épidémie s’est déclarée il y a près d’un an, 1.284 cas mortels ont été enregistrés sur 2.123 cas signalés, contre 1.260 cas mortels et 2.134 cas signalés deux jours plus tôt. L’OMS n’a pas fourni, dans son nouveau bilan, une mise à jour des chiffres pour les autres pays touchés.

 

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Dépenses publiques : trop de bureaucratie, trop de gaspillages

2017, 2017 : l’overdose !

2017, 2017 : l’overdose !

 

Alors que le pays est dans une situation de quasi faillite économique avec une croissance proche de zéro, un chômage qui bat des records chaque mois, des déficits publics abyssaux, les grands médias se consacrent essentiellement depuis des mois à 2017. A gauche pour savoir si Hollande va se représenter, si les primaires auront lieu à droite,  pour savoir si ce sera Sarkozy ou Juppé, au centre s’il y aura ou non un candidat. Bref pendant 3 ans l’actualité risque d’être destinée à épiloguer de manière assez surréaliste sur cette échéance encore lointaine. Alors qu’il y a urgence à redresser le pays. Que sans doute des élections ne changeraient pas grand chose, en tout cas ce que pensent une majorité Français  dans les sondages. On en a oublié cette semaine de donner la place qu’elle méritait à la conjoncture mondiale très déprimée en particulier en Europe mais pas seulement. Il faut dire que tant que les bourses se portent bien, l’  économie réelle a peu d’importance. En fait pour la France la croissance est à peu près à zéro et comme l’ont démontré les derniers chiffres de pôle emploi le chômage atteint de nouveaux records. Le pays ne pourra pas tenir dans ces conditions jusqu’en 2017. D’autant que la société est de plus éclatée, sans repère et  complément  déprimée. L’heure est moins aux échéances électorales de 2017 qu’à un sursaut républicain pour sauver une économie en pleine décomposition. C’est sans doute davantage d’union que de clivages par ailleurs assez artificiels dont a besoins le pays ; pas sûr même qu’une union soit suffisante compte tenu de la médiocrité du personnel politique. Il faudrait peut être passer pendant un temps  par un gouvernement d’experts uniquement centré sur la croissance et le chômage car il n’est pas certain que la France puisse  se payer le luxe d’une fantaisie électorale  de son cortège de balivernes et de promesses  illusoires.

La France et l’Allemagne contre Google

La France et l’Allemagne contre Google

 

 

Désormais c’est la guerre européenne contre les grands sociétés du net  comme Apple, Google, Amazon ou Microsoft , des sociétés accusées par la France et l’Allemagne de monopoliser les services de communication. À défaut d’être explicitement citées, ces dernières sont largement critiquées. «Les plateformes essentielles sont fondées sur des écosystèmes fermés qui peuvent étouffer certains marchés». Le couple franco-allemand ne saurait bénéficier d’un meilleur contexte. Après des années d’une lutte en pointillé, l’Europe organise méthodiquement sa résistance.  Jeudi, le Parlement européen a voté une motion symbolique réclamant, entre autres, la scission de Google. Le groupe américain est également sous le coup d’un arrêt de la Cour de justice européenne, qui lui impose depuis mai de respecter le droit à l’oubli de ses utilisateurs. Il fait enfin l’objet d’une enquête pour pratiques anticoncurrentielles, lancée par la Commission européenne en 2010. La nouvelle commissaire à la Concurrence, Margrethe Vestager, pourrait vite abandonner l’investigation pour passer directement aux sanctions. De quoi inquiéter jusqu’au Congrès américain, dont une dizaine d’élus a adressé une lettre d’avertissement aux eurodéputés. «Nous sommes troublés par cette action du Parlement, qui se ferait aux dépens des millions de citoyens européens», se sont-ils émus. Une fébrilité inhabituelle pour les Américains, généralement peu intéressés par le débat politique européen. . Il s’inquiétait déjà de la domination des géants américains, qui imposent leurs règles aux acteurs du Web européens.

 

Congrès FN : Marion Maréchal-Le Pen en tête

Congrès FN : Marion Maréchal-Le Pen en tête

D’une certaine manière c’est une victoire de Jean marie Lepen, c’est à dire la ligne dure du FN contre le technocrate Florian Philippot plus libéral sur les questions de société.  Deux lignes vont désormais s’affronter, la tendance FN canal historique de Jean Marie Lepen représentée maintenant par Marion Marechal Lepen et celle de Philippot qui a réussi à imposer la dédiabolisation du parti. Marien Lepen, devra naviguer entre ces deux orientations assez opposées. D’une certaine manière c’est le vieux clivage Maigret- J.M Lepen qui réapparait. Maréchal-Le Pen a en effet été élus nettement en tête au congrès du FN, deuxième est Louis Aliot, et Steeve Briois est troisième. Le reste du « top 10 » est composé par Bruno Gollnisch, eurodéputé et conseiller régional de Rhône-Alpes, David Rachline, sénateur du Var et maire de Fréjus, Wallerand de Saint-Just, trésorier du parti, Stéphane Ravier, maire du 7secteur de Marseille et sénateur des Bouches-du-Rhône, Marie-Christine Arnautu, proche de la famille Le Pen, et enfin Nicolas Bay, qui doit être nommé ce week-end secrétaire général du parti en remplacement de M. Briois. Ce résultat est un échec pour Florian Philippot. Numéro deux du parti, il a contribué à impulser le tournant « étatiste » du FN et le recentrage sur les questions économiques et sociales. Au Front national, certains le considèrent comme « trop à gauche ». Se revendiquant gaulliste, il a aussi heurté des sensibilités pro-Algérie française quand il est allé, le 9 novembre, déposer une gerbe à Colombey-les-Deux-Eglises (Haute-Marne), en mémoire du général, accompagné d’une centaine de jeunes militants.  L’élection au comité central du FN se fait par vote direct des adhérents par correspondance. Les militants doivent élire les membres de ce « parlement du parti » à partir d’une liste de 400 candidats. Celui ou celle qui arrive en tête est donc le plus populaire à la base. Aux 100 membres élus s’ajoutent 20 membres cooptés par la présidente du FN. Reste à savoir comment va agir Marine Le Pen. Elle ne devrait pas faire bouger M. Philippot de sa place de vice-président à la stratégie. En revanche, il sera difficile pour elle de ne pas promouvoir sa nièce à la direction du parti. Florian Philippot et Marion Maréchal-Le Pen incarnent deux lignes divergentes au sein du Front. Le premier se dit « national-républicain » et prône une sorte de post-chevènementisme avec pour principal cheval de bataille la sortie de l’euro et de l’Union européenne. Mme Maréchal-Le Pen, elle, est une « libérale-conservatrice ». Se revendiquant clairement de droite, la députée du Vaucluse cherche à lancer des ponts aussi bien vers l’UMP qu’en direction de mouvements radicaux de la sphère identitaire. Catholique revendiquée, elle n’hésite pas à participer, au contraire de Florian Philippot et de Marine Le Pen, aux rassemblements de La Manif pour tous

Foot- Comparé à l’OM le PSG manque de tout, surtout d’entraineur

Comparé à l’OM le PSG manque de tout, surtout d’entraineur

 

Ce n’est pas la crise au PSG mais ça pourrait venir tellement l’équipe est insipide depuis un an (sauf une fois devant Barcelone). Quelle différence avec l’OM qui montre envie, forme physique, adresse et surtout managée de main de maître par Biella ; A Paris au contraire c’est une addition de vedettes au talent incontestable mais sans condition physique et sans envie, une équipe  dirigée par Blanc  sans grade conviction. La différence est vraiment de taille, les matchs de l’OM plein de dynamisme, de rigueur, d’opportunisme sont agréables à regarder tandis qu’on s’ennuie en général au moins une mi-temps devant une prestation du PSG. La ritournelle de Blanc depuis le début de la saison  « ça ira mieux quand les joueurs auront retrouvé la forme ! ». Pas vraimenet une analyse pointue des défaillances individuelle comme collectives. La vérité c’est qu’il manque un grand entraineur au PSG. Blanc a vécu sur sa réputation mais n’impressionne plus des  stars qu’ils osent à peine critiquer. L’inverse de Biella qui cherche la perfection et qui à la moindre défaillance met un joueur sur le banc. De toute évidence Blanc na’ pas la taille psychologique pour diriger une telle équipe de superstars. Il manque d’autorité et de psychologie. Il n‘a sans doute pas le bagage culturel pour impose sa maîtrise sur les joueurs. A ce niveau de compétition, il n’ya strictement rien à apprendre sur la plan technique aux joueurs tout se passe dans la tête, c’est essentiellement un travail psychologique afin de tirer le meilleur parti physique et tactique de l’équipe. Il ne faut pas parler d’entraineur mais de manageur. Blanc set come de nombreux anciens grands joueurs trop  limité intellectuellement. Les meilleurs anciens joueurs font rarement de bons entraineurs quand ils n’ont pas le bagage intellectuel et psychologique. Ou Blanc se réveille rapidement ou il faudra envisager par son remplacement pat un manager de dimension internationale. Paris na pas le droit de s’autoriser des  prestations auusi médiocres. Comme les médias (y compris sportifs) sont légitimistes, il faudra encore plusieurs mois pour qu’ils parviennent à cette évidence : il faut un entraineur à la hauteur des joueurs.

Nucléaire- Fessenheim ; Ségolène ne sait plus s’il faut fermer !

Nucléaire- Fessenheim ; Ségolène ne sait plus s’il faut fermer !

 

 

 Nouvelle entourloupe du gouvernement qui ne sait plus s’il faut fermer Fessenheim. C’était pourtant la promesse de Hollande. Fermer Fessenheim la plus vieille centrale pour montrer aux écolos sa conversion environnementale. D’abord une promesse idiote car ce qui compte c’est une vraie transition de l’énergie avec progressivement une substitution d’autres sources au nucléaire. Ensuite évidemment un nouveau reniement, du type de celui de la loi «  Florange » pour la reprise des sites industriels fermés ( une loi , elle auusi, complètement vidée de son sens).  Enfin l’orientation réelle du gouvernement c’est le maintien de la production nucléaire puisque deux centrales ne seront fermées que lorsque deux autres seront mises en service. Renvoyer la responsabilité au nouveau patron de l’EDF constitue une argutie technique ; Ségolène patauge dans cette affaire en pleine contradiction. Pour résumer, le gouvernement est pour la transition énergétique mais sans toucher au nucléaire et sans toucher à la voiture (juste une augmentation du gasoil mais surtout pour de raisons  de rentrées fiscales°. Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, répond aux questions du JDD au lendemain de la clôture de la conférence environnementale.

Fermer la centrale de Fessenheim en 2016, une promesse du candidat Hollande, est-ce toujours possible?
Le plafonnement de la puissance nucléaire est inscrit dans la loi de transition : donc avec l’ouverture de deux nouveaux réacteurs, il faudra fermer deux réacteurs. Nous avons nommé une nouvelle gouvernance à la tête d’EDF qui doit s’impliquer dans la transition énergétique. L’entreprise va proposer des réacteurs à la fermeture. Si elle dit que des investissements ont été faits à Fessenheim et qu’il existe d’autres choix judicieux au regard de la sûreté nucléaire, nous les examinerons. Il n’y a pas d’idéologie en la matière, ce qui compte c’est la pertinence et l’intérêt général.

 

Sondage 2017 : Juppé toujours en tête devant Sarkozy

Sondage 2017 : Juppé toujours en tête devant Sarkozy

 

 

Une élection  finalement assez décevante de Sarkozy à l’UMP où il a gagné facilement mais en perdant 20% des voix en dix ans pose des interrogations, interrogations qui se confirment  dans un sondage comparant Sarkozy et Juppé. Au niveau national,  40% des sondés estiment qu’Alain Juppé dispose le plus de la «capacité à remporter l’élection présidentielle de 2017» contre 25% pour Nicolas Sarkozy. 35% estiment qu’aucun des deux n’a la capacité. Ils sont majoritaires à trouver Alain Juppé plus sérieux (53%) que Nicolas Sarkozy (16%), plus capables de rassembler les électeurs de droite et du centre (47% contre 21%), de représenter l’UMP pour l’élection présidentielle de 2017 (43% contre 27%), par contre chez les sympathisants de droite 43% des sympathisants de droite pensent que le nouveau patron de l’UMP est plus à même de gagner en 2017 qu’Alain Juppé.  On savait déjà – via plusieurs enquêtes d’opinion – que le maire de Bordeaux était le candidat de droite préféré des Français, Nicolas Sarkozy demeurant le favori de la droite. Selon le sondage du JDD, le constat reste le même lorsque l’on demande aux sondés non plus quel candidat ils souhaitent voire représenter la droite, mais quel candidat semble à leurs yeux le mieux placé pour remporter la course à l’Elysée. La bataille pour la primaire n’est pas gagnée pour Sarkozy et tout dépendra de ses modalités ; d’où justement cette volonté de Sarkozy de reprendre la direction de l’UMP pour « maitriser » l’organisation de cette primaire.

 

Congrès du FN : la Russie acclamée !

Congrès du FN : la Russie acclamée !

 

 

 A travers le vice président du parlement russe, c’est la Russie qui a été acclamée par le congrès du FN, sans doute reconnaissant du prêt de 13 millions consentis par les banques Russes ; au-delà de ces petits intérêts c’est le nationalisme de Poutine qui est salué et son opposition à l’union économique européenne que renie auusi le FN. Le vice-président de la Douma russe, également membre du parti de Vladimir Poutine, Russie unie,  Andrei Isaiev nie l’implication du pouvoir et des partis russes dans ces prêts d’argent au FN même s’il soutient ardemment Marine Le Pen qui est « pour les valeurs traditionnelles, la souveraineté, une Europe amicale. La position de Marine Le Pen vis-à-vis de la Russie est meilleure que celle de François Hollande« .  Le FN serait-il récompensé par la Russie pour ses positions sur la situation en Ukraine ou la vente des Mistral. « Ça n’a strictement aucun lien. Les convictions qui sont les nôtres et que nous défendons depuis de très nombreuses années sont liées exclusivement à l’intérêt de la France et à aucune autre considération » s’agace Marine Le Pen.  Après les neuf millions empruntés en septembre, l’association de financement des candidats du FN présidé par Jean-Marie Le Pen, vient de se faire prêter deux nouveaux millions par une banque russe. « Tout ça est passé par le canal des autorités françaises explique-t-il : « Je ne cherche pas quel est la couleur du slip  de la maîtresse du directeur de la banque« . Quant au vice-président de la Douma, il a été acclamé par les militants.

 

Le climat « grande cause nationale » Pour quoi faire ?

Le climat «  grande cause nationale »   Pour quoi faire ?

 

A quoi va vraiment servir de décaler le climat grande cause nationale «  en 2015 ? Sans doute pas à grand-chose sinon qu’à tenter pour le P¨S de séduire des écolos aujourd’hui en situation d’opposants. Pour le reste, i ne faut guère s’attendre à des mesures très significatives concernant les émions polluantes affectant notamment le climat. Pour 2015, la seule décsion concrète se limitera sans doute à l’augmentation du prix du gasoil. Alors que des études mettent en exergue les risques pour la santé que font courir les particules fines émises par les véhicules diesel, le Premier ministre a annoncé des mesures pour réduire la consommation de ce carburant.   »Ce moteur diesel longtemps privilégié, cela fut une erreur, il faut progressivement revenir dessus avec intelligence et pragmatisme », a-t-il dit, ajoutant que la fiscalité continuerait d’être revue en faveur de choix plus écologistes.   »Pour soutenir les initiatives de la société, pour mobiliser tous les acteurs publics, nous avons décidé que la lutte contre le dérèglement climatique serait déclarée grande cause nationale de l’année 2015″, a dit le Premier ministre lors de son discours de clôture de la conférence environnementale.  François Hollande, qui a fait du succès de la conférence de Paris un enjeu majeur pour la diplomatie française, a réaffirmé la veille devant les associations sa volonté d’arracher un accord « historique » pour freiner le réchauffement climatique. Cette conférence s’annonce sous des auspices plutôt favorables après que les Etats-Unis et la Chine ont annoncé leur intention de mener ensemble un projet de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) et que les Européens sont déjà parvenus à un accord en ce sens en octobre.  Pour l’heure, le Premier ministre a profité de son passage à la conférence environnementale pour donner des gages sur l’engagement écologiste de son gouvernement, décrié notamment pour avoir abandonné l’écotaxe poids lourds en raison de la fronde des routiers et des Bretons. Manuel Valls a promis que les régions comme l’Alsace, qui souffrent de l’afflux de camions étranger sur leurs routes, pourraient avoir leur propre dispositif d’écotaxe.

 

 

UMP- Sarkozy : une élection compliquée

UMP- Sarkozy : une élection compliquée

 

Certes l’élection de Sarkozy est large  avec 64,5% des voix exprimées mais il a perdu 20% des voix par rapport à 2004. Ce ne sont en faiat qu’environ 37% des adhérents qu’il recueillies si on tient compte des abstentions. La ras de marée annoncé par Sarkozy n’a pas eu lieu et Lemaire avec près de 30% risque de compliquer la tache de l’ancien président notamment dans sa volonté de dissoudre l’UMP dans un nouveau part qui s’appellera sans doute le « rassemblement ». Nicolas Sarkozy a été élu samedi président de l’UMP au premier tour de scrutin avec 64,5% des voix, un score bien en deçà de ses attentes qui devrait compliquer sa mission de « rassemblement » et brouille l’horizon élyséen de 2017. L’ancien ministre de l’Agriculture Bruno Le Maire, qui recueille 29,18% des suffrages, apparaît comme le véritable gagnant de cette élection interne qui, pour les responsables et les militants de l’UMP, est censée ouvrir une nouvelle ère après l’élection calamiteuse de 2012 et ses suites fratricides. « Troisième homme » du scrutin, le député de la Drôme Hervé Mariton, l’un des chefs de file des opposants au mariage homosexuel, obtient 6,32%, un score à même d’ancrer son courant libéral « Droit au cœur ». Le vote par internet, qui a duré 24 heures et a été perturbé par des attaques informatiques, a été marqué par une participation record de 58,1%. Au total, 268.341 adhérents étaient appelés à se prononcer : 155.851 d’entre eux ont voté, 434 bulletins blancs ont été comptabilisés. Les voix de 100.159 militants se sont portées sur Nicolas Sarkozy, 45.317 sur Bruno Le Maire et 9.809 sur Hervé Mariton. En 2004, Nicolas Sarkozy avait été élu président de l’UMP à l’issue d’un plébiscite de 85,04%. Dix ans après ce scrutin et deux ans et demi après sa défaite face à François Hollande, l’ancien chef de l’Etat voit son autorité contestée au sein de sa famille politique.

 

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Dépenses publiques : trop de bureaucratie, trop de gaspillages

Formation professionnelle : le scandale continue surtout pour les chômeurs

Formation professionnelle : le scandale continue surtout pour les chômeurs

 

Le vrai scandale c’est l’opacité et des gâchis énorme (souvent dénoncés par la Cour des comptes). Il s’agit de 30 à 35 milliards par an dont se gavent les structures de formation et les formations bidon. Par contre les chômeurs ne bénéficient qu’à la marge de cette énorme manne. Pourtant il est prouvé qu’un chômeur sur deux trouve un emploi après une formation. En fait le gouvernement ne veut pas s’attaquer à ce fromage et sa mini réforme ne change rein ;  Au lendemain de la publication d’une nouvelle hausse du chômage, Louis Gallois, président du comité de surveillance de PSA Peugeot Citroën déclare : « Il faut savoir qu’il n’y a qu’un chômeur sur cinq qui bénéficie d’une formation professionnelle. C’est beaucoup trop peu ».  Seuls 28% des demandeurs d’emploi ont déclaré avoir suivi une formation professionnelle en 2012, d’après les derniers chiffres de l’Insee. Ce qui fait donc trois chômeurs sur dix…. on est à peu près dans les mêmes eaux que le chiffre avancé par Louis Gallois.  Et 28% c’est effectivement peu surtout quand on compare aux 49%, près d’un sur deux, de salariés qui ont bénéficié d’une formation la même année. C’est d’abord une question d’argent. Sur les 32 milliards d’euros dépensés pour la formation professionnelle en 2012, seuls 12% étaient destinés aux demandeurs d’emploi. « Les employeurs ont un rôle important sur le marché de la formation des adultes, les entreprises concourant à plus de 40% des dépenses nationales dans ce domaine. Les personnes privées d’activité professionnelle sont donc évincées de la voie privilégiée pour se former« , explique l’Insee. Deuxième raison : suivre une formation est un vrai parcours du combattant pour les demandeurs d’emploi. Il faut savoir sur quoi on veut se former, être bien conseillé et surtout trouver l’argent pour faire des formations sachant que pour la moitié d’entre elles, le montant dépasse les 300 euros. Conséquence de toutes ces raisons, parmi les chômeurs qui aimeraient bien se former, un sur cinq jette l’éponge avant de commencer. Les chiffres de Pôle emploi sont très clairs sur ce point. Plus d’un chômeur sur deux qui a reçu une formation retrouve un emploi dans les six mois qui suivent. C’est beaucoup mieux que pour les demandeurs d’emploi qui n’ont pas eu de formation. Et surtout, il s’agit dans la grande majorité des cas d’un CDI ou d’un CDD de plus de six mois, d’après une enquête de Pôle emploi.

Environnement : la régulation par la seule fiscalité ? Une vision réductrice de la politique

Environnement : la régulation par la seule fiscalité ? Une vision réductrice de la politique

 

Entre les écolos politisés et Bercy c’est l’entente  cordiale depuis le Grenelle de l’environnement. Tous sont d’accord pour imposer des taxes en plus et  partout. Même les économistes qui veulent être à la mode s’y mettent. Pourtant la question est de savoir si la régulation peut se résumer à des impôts supplémentaires ; un exemple, la question du diesel dans l’automobile, on continue d’en fabriquer et d’en vendre (7 véhicules neufs sur deux en France). Pourquoi continuer cette politique en surtaxant le gasoil ? Il suffirait dans un délai raisonnable (une quinzaine d’années) d’interdire purement et simplement le diésel en autorisant l’usage des véhicules déjà contrits pendant un temps. Les économistes fiscalistes parlent de « signal-prix » comme si la politique environnementale pouvait uniquement dépendre des prix du marché.  En fait la politique des écolos est surtout punitive et non incitative et cela dans tous les domaines économiques, sociaux voire sociétaux. Pas étonnant la plupart sont des anciens gauchistes reconvertis dans l’écologie depuis l’écroulement de l’extrême gauche. Dans le transport par exemple (un des secteurs les plus polluant), il serait plus efficace d’imposer des nomes notamment en matière de motorisation (des voitures qui roulent à 200 kms heure pour quoi faire ?;), de poids, de dimension, ce qui aurait une incidence favorable sur le prix d’achat et sur les conditions d’utilisation.  Valls a sauté sur l’occasion lors de la conférence environnementale en annonçant un relèvement de la fiscalité sur le gasoil. Les récentes taxes sur l’environnement (énergie) ne changeront rien s’il n’ya pas d’alternative or ces alternatives dépendent de l’innovation, des normes et de la compétitivité des nouveaux équipements. (Transport, logement, chauffage, éclairage etc.). Réduire la lutte contre les nuisances et la pollution à des mesures défiscalisées, c’est réduire la politique à une approche de comptable .

Élection UMP : de cyber-attaques, de qui ?

Élection UMP : de cyber-attaques, de qui ?

Le site destiné à l’élection du président de l’UMP a été victime d’attaque et le vote a été interrompu pendant plusieurs heures. De quoi jeter une doute sur un vote à haute tension car si l’élection de Sarkozy au final ne fait pas de doute, Lemaire pourrait cependant créer la surprise avec un bon score ; reste à savoir quels peuvent être les auteurs de cette attaque du site. De la gauche peut-être qui veut ridiculiser ce vote, de bidouilleurs informatique qui testent leurs compétences en matière de nuisances ou encore même d’ un clan de l’UMP qui n’apprécie par le retour de Sarkozy. Un léger incident est en effet  intervenu vendredi soir. L’UMP a fait état vendredi soir d’une « attaque extérieure » sur le site qui a momentanément perturbé le scrutin : « Il s’agit de l’un des risques anticipés et les dispositions prévues ont été mises en œuvre. Cela a pu, cependant, avoir pour effet de ralentir l’accès au site du vote », a souligné l’UMP dans un communiqué. « Nous sommes victimes de cyber-attaques, nous avons porté plainte », a par ailleurs déclaré samedi matin au micro de France Info Luc Chatel, secrétaire général de l’UMP. La Haute Autorité chargée du bon déroulement du scrutin enregistrait 8 000 votants une demi-heure après le début du vote, 11 700 votants à 22 h 30. Samedi à 6 h 30, elle n’avait constaté « aucune attaque ou anomalie significative » nouvelle, recensant « plus de 35 000 votes ». C’est la première fois qu’un vote électronique à une si grande échelle est organisé en France. Trois candidats – outre l’ancien chef de l’État, les deux anciens ministres Bruno Le Maire et Hervé Mariton – seront départagés par plus de 268 000 adhérents UMP, à jour de cotisation au 30 juin dernier. . Pas question pour l’UMP de revivre le psychodrame de la bataille Copé/Fillon, qui avait failli la faire imploser fin 2012. Vendredi peu avant 18 heures, l’urne virtuelle électronique (l’ordinateur qui centralise tous les votes) a été scellée au siège de l’UMP, à l’aide d’un code secret. Le même code sera entré dans la machine samedi à 20 heures.

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