Archive pour le Tag 'Macron'

Politique et Hamas: Macron complètement inconséquent et contradictoire

Politique et Hamas: Macron complètement inconséquent et contradictoire

Il est difficile d’être plus inconséquent et contradictoire que Macron à propos de la guerre à Gaza. Dans un premier temps, il a en effet appelé à la constitution d’une force internationale pour combattre et éliminer le Hamas. Ensuite brusquement ,il s’est prononcé pour un cessez-le-feu qui a d’ailleurs provoqué la colère d’Israël. Et maintenant il déclare que la destruction du Hamas n’est pas la solution. En bref, il condamne la réplique d’Israël après l’avoir encouragé. Il n’y a sans doute rien d’étonnant à ce que les autres grandes puissances soient aussi indifférentes vis-à-vis des propositions aussi contradictoires du président français.

«La destruction totale du Hamas» entraînerait «dix ans» de guerre, alerte Macron . «Si c’est ça [l'objectif], la guerre durera dix ans», a-t-il poursuivi, demandant à ce que «cet objectif soit précisé» par «les autorités israéliennes», brandissant le spectre d’une «guerre sans fin».

Emmanuel Macron a affirmé qu’il en allait de la «sécurité durable» d’Israël, qui ne pourrait pas être garantie si elle «se fait au prix des vies palestiniennes, et donc du ressentiment de toutes les opinions publiques dans la région». Une manière assez hypocrite d’encourager aussi la révolte de dans la rue dans les pays arabes voisins.

Dans cette perspective, il a appelé à «redoubler d’efforts pour parvenir à un cessez-le-feu durable, pour obtenir la libération de tous les otages encore détenus par le Hamas et apporter à la population de Gaza l’aide dont elle a urgemment besoin».

«Quand on a une approche sécuritaire où le désespoir politique nourrit tous les ressentiments, on ne construit pas sa propre sécurité dans la durée», a encore dit de manière très floue le locataire de l’Élysée.

Concernant la libération des otages encore détenus par le Hamas, il a dit «avoir besoin de plusieurs jours de travail», évoquant «une négociation permanente qui se poursuit», alors que quatre ressortissants français sont considérés comme otages ou portés disparus depuis le 7 octobre. Dans ce but, le président français doit faire samedi soir escale au Qatar pour un dîner avec cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, l’émir de ce pays au cœur des négociations pour la trêve et la libération d’otages.

COP 28: À défaut du pétrole, Macron demande l’arrêt du charbon !

COP 28: À défaut du pétrole, Macron demande l’arrêt du charbon !


Macron qui ne réussit guère à s’imposer au plan international sort de sa poche un slogan pour demander qu’on fixe une date pour l’arrêt du charbon. Évidemment ce n’est pas tellement l’objectif central mais c’est mieux que rien. À défaut de grives on mange des merles ! La France peut s’honorer d’utiliser très peu de charbon ( une seule centrale qui va fermer) par contre elle utilise comme d’autres beaucoup d’énergie fossile en particulier du pétrole dans le transport et beaucoup de gaz.

Du coup, M acron a polarisé son discours autour du charbon. Histoire aussi d’ennuyer l’Allemagne qui a supprimé son nucléaire et qui est contrainte maintenant de relancer des centrales à charbon (et au gaz.)

Le président de la République a plus ou moins exhorté les pays développés à suivre l’exemple de la France à l’occasion de la COP 28

« Les pays les plus émetteurs doivent entrer dans cette logique de planification écologique et de transparence. » Et « si le G7 a une responsabilité majeure », « la Chine, qui est désormais le deuxième pays émetteur historique », doit aussi prendre sa part, a estimé le chef de l’État.

Si elle se permet de donner des leçons, c’est que la France n’a « pas à rougir de son bilan et de la crédibilité de son action », défend-on dans l’entourage du président, en rappelant que la planification écologique présentée en septembre dernier « permet de déterminer de manière précise, année après année par secteur, comment on va réduire notre dépendance aux fossiles ». Et le projet contesté de forages pétroliers en Gironde, qui vient de recevoir un avis favorable à l’issue d’une enquête publique, n’est pas un contre-exemple, assure-t-on à l’Élysée. « Il s’inscrit dans le respect du cadre légal adopté en 2017 » qui interdit de prolonger les concessions existantes au-delà de 2040.

La trouble affaire du rachat des turbines Arabelle de Macron

La trouble affaire du rachat des turbines Arabelle de Macron

La trouble affaire du rachat des turbines électrique continue de faire des remous à tel point que la signature du rachat par EDF a été reportée. Arabelle Solutions devait voir le jour le 1er décembre. Il n’en sera finalement rien. La grande cérémonie devait réunir des ministres, le patron d’EDF, le représentant de GE pour sceller la vente des turbines Arabelle, héritées d’Alstom, à EDF.

Le report de la signature de la vente des turbines Arabelle par EDF témoigne évidemment de ce dossier économique et politique très trouble. Ces turbines ont été soldées sur pression de Macron à l’américain General électric qui ensuite du fait d’une mauvaise gestion globale de son activité a souhaité les faire reprendre. Et Macron a imposé à EDF de les racheter.
Or la fabrication de turbines n’est pas la spécialité d’EDF dont le métier est de les faire tourner et non de les créer. En outre l’imposition politique crée des problèmes financiers supplémentaires à EDF qui n’a pas besoin de cette charge.

Dans la famille du nucléaire français, le rôle du sauveteur échoit toujours à EDF. Après avoir repris en 2017 l’activité industrielle d’Areva – aujourd’hui baptisé Framatome – l’électricien doit racheter cette semaine l’activité turbine de l’américain GE, basée à Belfort. Après moins de sept ans sous pavillon américain, «Arabelle», du nom de la turbine vapeur géante utilisée dans les centrales nucléaires, revient sous contrôle français. Le conseil d’administration d’EDF devrait valider l’opération lundi en fin de journée.

Cette affaire a une dimension politique et même politicienne du fait des liens particuliers entre l’entourage de Macron et des responsables de GE soupçonnée d’avoir contribué au financement de la campagne du président. Un dossier toujours enfoui dans les tiroirs de la justice.

Gaza et Hamas: Macron complètement inconséquent et contradictoire

Gaza et Hamas: Macron complètement inconséquent et contradictoire

Il est difficile d’être plus inconséquent et contradictoire que Macron à propos de la guerre à Gaza. Dans un premier temps, il a en effet appelé à la constitution d’une force internationale pour combattre et éliminer le Hamas. Ensuite brusquement ,il s’est prononcé pour un cessez-le-feu qui a d’ailleurs provoqué la colère d’Israël. Et maintenant il déclare que la destruction du Hamas n’est pas la solution. En bref, il condamne la réplique d’Israël après l’avoir encouragé. Il n’y a sans doute rien d’étonnant à ce que les autres grandes puissances soient aussi indifférentes vis-à-vis des propositions aussi contradictoires du président français.

«La destruction totale du Hamas» entraînerait «dix ans» de guerre, alerte Macron . «Si c’est ça [l'objectif], la guerre durera dix ans», a-t-il poursuivi, demandant à ce que «cet objectif soit précisé» par «les autorités israéliennes», brandissant le spectre d’une «guerre sans fin».

Emmanuel Macron a affirmé qu’il en allait de la «sécurité durable» d’Israël, qui ne pourrait pas être garantie si elle «se fait au prix des vies palestiniennes, et donc du ressentiment de toutes les opinions publiques dans la région». Une manière assez hypocrite d’encourager aussi la révolte de dans la rue dans les pays arabes voisins.

Dans cette perspective, il a appelé à «redoubler d’efforts pour parvenir à un cessez-le-feu durable, pour obtenir la libération de tous les otages encore détenus par le Hamas et apporter à la population de Gaza l’aide dont elle a urgemment besoin».

«Quand on a une approche sécuritaire où le désespoir politique nourrit tous les ressentiments, on ne construit pas sa propre sécurité dans la durée», a encore dit de manière très floue le locataire de l’Élysée.

Concernant la libération des otages encore détenus par le Hamas, il a dit «avoir besoin de plusieurs jours de travail», évoquant «une négociation permanente qui se poursuit», alors que quatre ressortissants français sont considérés comme otages ou portés disparus depuis le 7 octobre. Dans ce but, le président français doit faire samedi soir escale au Qatar pour un dîner avec cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, l’émir de ce pays au cœur des négociations pour la trêve et la libération d’otages.

À défaut du pétrole, Macron demande l’arrêt du charbon !

À défaut du pétrole, Macron demande l’arrêt du charbon !


Macron qui ne réussit guère à s’imposer au plan international sort de sa poche un slogan pour demander qu’on fixe une date pour l’arrêt du charbon. Évidemment ce n’est pas tellement l’objectif central mais c’est mieux que rien. À défaut de grives on mange des merles ! La France peut s’honorer d’utiliser très peu de charbon ( une seule centrale qui va fermer) par contre elle utilise comme d’autres beaucoup d’énergie fossile en particulier du pétrole dans le transport et beaucoup de gaz.

Du coup, M acron a polarisé son discours autour du charbon. Histoire aussi d’ennuyer l’Allemagne qui a supprimé son nucléaire et qui est contrainte maintenant de relancer des centrales à charbon (et au gaz.)

Le président de la République a plus ou moins exhorté les pays développés à suivre l’exemple de la France à l’occasion de la COP 28

« Les pays les plus émetteurs doivent entrer dans cette logique de planification écologique et de transparence. » Et « si le G7 a une responsabilité majeure », « la Chine, qui est désormais le deuxième pays émetteur historique », doit aussi prendre sa part, a estimé le chef de l’État.

Si elle se permet de donner des leçons, c’est que la France n’a « pas à rougir de son bilan et de la crédibilité de son action », défend-on dans l’entourage du président, en rappelant que la planification écologique présentée en septembre dernier « permet de déterminer de manière précise, année après année par secteur, comment on va réduire notre dépendance aux fossiles ». Et le projet contesté de forages pétroliers en Gironde, qui vient de recevoir un avis favorable à l’issue d’une enquête publique, n’est pas un contre-exemple, assure-t-on à l’Élysée. « Il s’inscrit dans le respect du cadre légal adopté en 2017 » qui interdit de prolonger les concessions existantes au-delà de 2040.

Société- Violences : Macron renvoie la balle aux maires

Société- Violences : Macron renvoie la balle aux maires

Il y a quelque chose de surréaliste dans le positionnement de Macron par rapport à la gestion de l’intérêt général. Le président a en effet été interpellé par les maires à propos des violences que subissent aussi les responsables locaux. Pour toute réponse, Macron demande aux maires de s’intéresser à cette violence leur renvoyant ainsi la balle.

D’une certaine manière le président apparaît sur nombre de questions comme paralysé et se constentant d’une posture d’observateur et de commentateur «Nous avons à affronter, de plus en plus, des épisodes de violence contre vous, élus de la République», a-t-il déploré, en appelant à «ne jamais s’habituer» face aux «violences qui se réinstallent, à ce que j’ai pu qualifier de décivilisation».

Et de tenir des propos démagogues de bistrot vis-à-vis des maires: «Vous avez des compatriotes qui pensent que vous êtes responsables de tout. C’est notre communauté de destin: moi, c’est pareil!», a-t-il ironisé, appelant à «désembrouiller les choses».

Le président a aussi promis «la clarté sur les moyens financiers» et renvoie aussi les perspectives à la responsabilité d’un groupe de travails de refonte de la DGF confiée au comité des finances locales, tout en assurant n’avoir «pas baissé les dotations» depuis qu’il est au pouvoir.
Le problème c’est qu’il a confié des taches nouvelles aux collectivités locales mais sans les moyens correspondants.

Emmanuel Macron a également lancé «un appel collectif à la simplification» face à la «culture jacobine». Il a notamment critiqué les effets de la nouvelle carte territoriale dessinée par François Hollande, en fustigeant «des grandes régions qui ont reconcentré au niveau des capitales de région beaucoup de la décision, et qui l’ont éloignée». Il a vanté la «déconcentration», c’est-à-dire la présence des services de l’État plus près du terrain, et fait une nouvelle fois l’éloge du «couple maire-préfet» qui, à ses yeux, a si bien fonctionné pendant le Covid.

Par rapport à la violence, le président a dit son souhait de rouvrir le sujet de «la responsabilité pénale des décideurs locaux» – une phrase également applaudie – sans donner beaucoup de précisions. Il a promis une loi pour un «vrai statut de l’élu» qui «doit être finalisé l’année prochaine».

Le problème c’est que la violence dépasse malheureusement les mères et concerne d’une façon générale tous ceux qui sont porteurs d’une mission d’intérêt public comme la police, les pompiers, les infirmiers, les médecins, les conducteurs de bus par exemple.

Antisémitisme : Macron critiqué par Valls pour ses absences et ses contradictions

Antisémitisme : Macron critiqué par Valls pour ses absences et ses contradictions


D’une certaine manière Valls a voulu se faire le porte-parole de l’opinion à propos du mécontentement concernant les hésitations et contradictions du président à propos du conflit Israël au palestinien. Notons effectivement qu’au départ Macon a clairement affiché sa totale solidarité avec Israël proposant même une alliance internationale contre le amasse. Une proposition qui a fait chou blanc ! Ensuite Macon a réclamé une pause pour des motifs sanitaires. Mais ensuite il a ensuite adhéré au principe d’un cessez-le-feu finalement total contradiction avec sa première posture. Surtout son interview à la BBC en Angleterre a beaucoup choqué.

L’ancien premier ministre trouve le président «un peu à côté de la plaque» dans son approche du conflit au Proche-Orient. Il lui reproche aussi son absence à la grande marche contre l’antisémitisme.

L’actualité internationale lui a permis de retrouver une place dans le débat public. Offensif dans son soutien à Israël depuis les attaques terroristes du Hamas le 7 octobre, et mobilisé contre l’explosion des actes antisémites en France, Manuel Valls a eu l’occasion d’aborder ces sujets entre les murs de l’Élysée. Selon nos informations, l’ancien premier ministre a été reçu mercredi par Frédéric Michel, patron de la communication et conseiller en stratégie d’Emmanuel Macron, qu’il connaît de longue date. L’occasion pour lui de faire passer quelques messages sur ses thèmes de prédilection, et de partager son jugement sur l’action du chef de l’État.

Reçu à l’Élysée, valse a très nettement critiqué le président sur ce dossier.
«Je lui ai évidemment dit ce que je pensais des propos tenus par le président sur la BBC (où il a appelé à un «cessez-le-feu» et «exhorté» Israël à stopper ses bombardements tuant «des bébés, des femmes et des personnes âgées», NDLR), ce que je pensais de ses zigzags en matière de diplomatie , et ce que je pensais de l’argument qu’il a invoqué…

Violences : Macron renvoie la balle aux maires

Violence : Macron renvoie la balle aux maires

Il y a quelque chose de surréaliste dans le positionnement de Macron par rapport à la gestion de l’intérêt général. Le président a en effet été interpellé par les maires à propos des violences que subissent aussi les responsables locaux. Pour toute réponse, Macron demande aux maires de s’intéresser à cette violence leur renvoyant ainsi la balle.

D’une certaine manière le président apparaît sur nombre de questions comme paralysé et se constentant d’une posture d’observateur et de commentateur «Nous avons à affronter, de plus en plus, des épisodes de violence contre vous, élus de la République», a-t-il déploré, en appelant à «ne jamais s’habituer» face aux «violences qui se réinstallent, à ce que j’ai pu qualifier de décivilisation».

Et de tenir des propos démagogues de bistrot vis-à-vis des maires: «Vous avez des compatriotes qui pensent que vous êtes responsables de tout. C’est notre communauté de destin: moi, c’est pareil!», a-t-il ironisé, appelant à «désembrouiller les choses».

Le président a aussi promis «la clarté sur les moyens financiers» et renvoie aussi les perspectives à la responsabilité d’un groupe de travails de refonte de la DGF confiée au comité des finances locales, tout en assurant n’avoir «pas baissé les dotations» depuis qu’il est au pouvoir.
Le problème c’est qu’il a confié des taches nouvelles aux collectivités locales mais sans les moyens correspondants.

Emmanuel Macron a également lancé «un appel collectif à la simplification» face à la «culture jacobine». Il a notamment critiqué les effets de la nouvelle carte territoriale dessinée par François Hollande, en fustigeant «des grandes régions qui ont reconcentré au niveau des capitales de région beaucoup de la décision, et qui l’ont éloignée». Il a vanté la «déconcentration», c’est-à-dire la présence des services de l’État plus près du terrain, et fait une nouvelle fois l’éloge du «couple maire-préfet» qui, à ses yeux, a si bien fonctionné pendant le Covid.

Par rapport à la violence, le président a dit son souhait de rouvrir le sujet de «la responsabilité pénale des décideurs locaux» – une phrase également applaudie – sans donner beaucoup de précisions. Il a promis une loi pour un «vrai statut de l’élu» qui «doit être finalisé l’année prochaine».

Le problème c’est que la violence dépasse malheureusement les mères et concerne d’une façon générale tous ceux qui sont porteurs d’une mission d’intérêt public comme la police, les pompiers, les infirmiers, les médecins, les conducteurs de bus par exemple.

Un plan de Macron pour muscler les PME ?

Un plan de Macron pour muscler les PME ?

Comme d’habitude, le président s’occupe de tout, des questions politiques, sociales, sociétales et même économiques au point qu’on se demande même si la France a besoin d’un gouvernement ! Cette fois le président va recevoir de manière solennelle une centaine de PME afin d’en faire de nouveaux acteurs dynamiques à l’international. L’analyse de la faiblesse des PME en France et juste, les objectifs louables mais évidemment comme souvent les moyens dérisoires.

Le vrai problème des PME en France, c’est qu’évidemment elles subissent d’abord la détérioration et même l’écoulement de l’ensemble de la production industrielle du pays délocalisé à l’étranger et notamment en Chine. On le voit bien à travers par exemple la question de l’automobile ou des éoliennes pratiquement toutes fabriquées et même parfois commercialisées par des entreprises chinoises et allemandes.

C’est la grande industrie qui tire le reste dans la mesure où les PME travaillent surtout en sous-traitance. Quand la grande industrie va mal, c’est toute la sociologie des entreprises qui est malade, les entreprises de taille intermédiaire (ETI) comme les PME. Voir par exemple en ce moment l’exemple d’Alstom affrontée à de nouvelles difficultés financières et pourtant un des premiers leaders mondiaux de la construction dans ce domaine ferroviaire.

L’objectif doit donc être en priorité de redynamiser la grande industrie. De ce point de vue, la construction de voitures électriques donne vraiment le mauvais exemple puisque toutes construites en totalité ou en partie en Chine notamment.

Contrairement à l’Allemagne les jeux les PME et les ETI ne sont pas suffisamment intégrées dans une forme de partenariat avec les grands donneurs d’ordres que sont les grandes entreprises. C’est sur ce terrain qu’il faut agir en priorité à fin de favoriser un véritable coopération entre les entreprises de différentes tailles.

L’idée de start-up développée par Macron relève de l’utopie cela concerne des secteurs très particuliers comme le développement informatique.

Il faudrait aussi et peut-être surtout veiller à la formation des futurs salariés et techniciens alors qu’en France on oriente la plupart des élèves vers des études supérieures sociales. Il faut Former aussi des chefs d’entreprise à une gestion plus rigoureuse et plus innovante justement en profitant de l’expérience acquise des grands groupes.

Les moyens proposés par Macon sont dérisoires à savoir se faire accompagner par quelques PME leur lors de ses visites ou leur permettent d’être présents dans les grands salons internationaux.

Il faudrait aussi envisager un véritable soutien financier de la réindustrialisation en France avec par exemple la création d’un livret A industrie durable.

La désindustrialisation criante en France et les délocalisations à marche forcée ont laissé des stigmates partout sur le territoire. La part de l’industrie dans le produit intérieur brut (PIB) a considérablement chuté durant les 50 dernières années. Et les récentes crises (pandémie, guerre en Ukraine) n’ont rien arrangé. Face à ce terrible constat, Emmanuel Macron a décidé de mettre l’accent sur les PME et la réindustrialisation tout au long de cette semaine.

En 2022, dans le contexte de l’éclatement de la guerre en Ukraine et de la crise énergétique, « la balance commerciale de la France a enregistré sa plus mauvaise année depuis plus de 70 ans », expliquent les économistes de l’OFCE dans leur dernier ouvrage consacré à l’économie française en 2024.

En seulement une année, la balance s’est dégradée de 70 milliards d’euros en raison notamment de la flambée des prix de l’énergie. Résultat, le déficit enregistré par les douanes s’est établi à 134 milliards d’euros. Sur ce total, 110 milliards d’euros sont imputables à la facture énergétique (4% du PIB), soit un niveau comparable au choc pétrolier de 1973. Cette année, les prix de l’énergie ont reflué en Europe. Mais le conflit au Proche-Orient entre le Hamas et Israël ont ravivé les craintes d’une nouvelle surchauffe sur les prix du pétrole. Ce contexte géopolitique particulièrement tendu ne risque pas de faciliter la tâche de l’exécutif.

Les petites et moyennes entreprises françaises sont clairement absentes des échanges internationaux.

Politique-Manifestations : Macron n’y participe pas …. c’est bien ça le problème

Politique-Manifestations : Macron n’y participe pas …. c’est bien ça le problème


«La place d’un président n’est pas d’aller à une marche» estime une nouvelle fois Macron qui précise par ailleurs qu’il n’a jamais participé à aucune manifestation. C’est bien là le problème majeur de ce président sorti de nulle part et qui n’a aucune expérience politique et même aucune légitimité réelle.

Ce président confond le statut présidentiel et le statut d’un monarque. Le fait d’affirmer que sa place n’est pas dans une manifestation traduit en effet positionnement hors sol. Notons par ailleurs que s’il n’a jamais participé à une manifestation il n’a pas davantage effectué son service militaire justifiant de son statut d’étudiant à l’époque.

Selon Emmanuel Macron, la «place d’un président de la République n’est pas d’aller à une marche». «Mon rôle est de travailler à la libération de nos otages, et de continuer à préserver dans cette période l’unité de notre pays, et de ne jamais renvoyer dos à dos les uns et les autres». Et de clamer: «Protéger les Français de confession juive, ce n’est pas mettre au pilori les Français de confession musulmane».

Le problème justement c’est que dans sa première explication il a renvoyé dos à dos la responsabilité des uns et des autres alors que l’objet de la manifestation n’était pas de se positionner sur les responsabilités en Israël et à Gaza, ni sur telle ou telle confession mais uniquement sur l’antisémitisme et la laïcité.

Cette valse hésitation des propos du chef de l’État témoigne d’abord de l’inconsistance politique et idéologique de l’intéressé et même pire de ses interrogations vis-à-vis de la participation possible. En effet dans les milieux de l’Élysée, on s’interrogeait aussi sérieusement sur le risque d’une manifestation relativement peu suivie. Encore un calcul politique perdu !

Macron: Un président sans boussole après son initiative politique ratée de Saint-Denis

Macron: Un président sans boussole après son initiative politique ratée de Saint-Denis

L’initiative politique d’ampleur annoncé par Macron qui doit se tenir à Saint-Denis finit en eau de boudin. Du coup lundi le chef de l’État a fait part de sa colère à la fois vis-à-vis du parti des « républicains » et du parti socialiste. La pseudo grande initiative annoncée par le chef de l’État va donc se réduire essentiellement à une confrontation entre les macronistes et le « front national ». Ce n’était pas vraiment l’objectif de départ ! Un papier des « écho »s qui n’est pas un journal spécialement gauchiste évoque le flou de la politique actuelle du président.

par Par Cécile Cornudet dans « les Echos »

Après LFI, ce sont le PS puis Les Républicains qui déclinent l’invitation de vendredi. Dire non à Macron pour paraître un opposant résolu. Je suis toujours à gauche, tente de signifier le parti d’Olivier Faure, malgré ses prises de distances avec Jean-Luc Mélenchon. Je suis toujours à droite, signifie en écho celui d’Eric Ciotti, alors que la droite sénatoriale vient d’approuver le projet de loi immigration. Qui est pris peut aussi prendre, tentent les deux anciens partis de gouvernement. Mais est-ce vraiment de leur intérêt ? Rien n’est moins sûr.

Outre l’échange promis sur l’actualité internationale, tout sauf mineure en ce moment, Emmanuel Macron veut mettre sur la table un élargissement du champ du référendum aux questions de société, soit une revendication de longue date des LR qui rêvent d’une consultation sur l’immigration. Si annonce il y a, ce sera donc sans eux.

Il se dit également ouvert à un accès facilité au référendum d’initiative partagée (RIP) comme le souhaite le Parti socialiste. Là encore, si la rencontre de vendredi progresse, les socialistes ne seront pas là pour dire « c’est grâce à nous ».

Qui reste-t-il dès lors à ces « rendez-vous » d’Emmanuel Macron ? Un cénacle rétréci à Jordan Bardella (RN), Fabien Roussel (PCF), Marine Tondelier (Les Ecologistes), Hervé Marseille (Union des démocrates et indépendants) et les têtes de la majorité Stéphane Séjourné, Edouard Philippe, François Bayrou, auxquels sont associés les présidents des deux assemblées. « L’initiative politique d’ampleur », comme l’avait appelée le chef de l’Etat, est devenue riquiqui.

« Les absents ont tort », balaye l’Elysée, en espérant qu’ils changeront d’avis d’ici à vendredi. Mais les absents jettent une lumière crue sur l’initiateur des agapes. Le moment est compliqué. Le « jus » de la fin août a disparu, s’inquiète une partie de la Macronie. Au début du premier quinquennat, le président inondait ses proches d’un SMS récurrent : « Comment tu sens les choses ? ». Désormais c’est entre eux qu’ils échangent cette question : « Tu comprends ce que fait Macron ? ».

Sur le conflit Israël-Hamas (Edouard Philippe), sur son absence dans la manifestation contre l’antisémitisme, sur la suite des réformes (Bruno Le Maire), sur le devenir de la loi fin de vie (l’aile gauche), sur sa ligne en matière d’immigration, une même interrogation : où va-t-il ?

Macron : En colère suite à son initiative « d’ampleur » ratée

Macron : En colère suite à son initiative « d’ampleur » ratée

par Par Cécile Cornudet dans « les Echos »

L’initiative politique d’ampleur annoncé par Macron qui doit se tenir à Saint-Denis finit en eau de boudin.Du coup lundi le chef de l’État a fait part de sa colère à la fois vis-à-vis du parti des « républicains » et du parti socialiste. La pseudo grande initiative annoncée par le chef de l’État va donc se réduire essentiellement à une confrontation entre les macronistes et le « front national ». Ce n’était pas vraiment l’objectif de départ !

Après LFI, ce sont le PS puis Les Républicains qui déclinent l’invitation de vendredi. Dire non à Macron pour paraître un opposant résolu. Je suis toujours à gauche, tente de signifier le parti d’Olivier Faure, malgré ses prises de distances avec Jean-Luc Mélenchon. Je suis toujours à droite, signifie en écho celui d’Eric Ciotti, alors que la droite sénatoriale vient d’approuver le projet de loi immigration. Qui est pris peut aussi prendre, tentent les deux anciens partis de gouvernement. Mais est-ce vraiment de leur intérêt ? Rien n’est moins sûr.

Outre l’échange promis sur l’actualité internationale, tout sauf mineure en ce moment, Emmanuel Macron veut mettre sur la table un élargissement du champ du référendum aux questions de société, soit une revendication de longue date des LR qui rêvent d’une consultation sur l’immigration. Si annonce il y a, ce sera donc sans eux.

Il se dit également ouvert à un accès facilité au référendum d’initiative partagée (RIP) comme le souhaite le Parti socialiste. Là encore, si la rencontre de vendredi progresse, les socialistes ne seront pas là pour dire « c’est grâce à nous ».

Qui reste-t-il dès lors à ces « rendez-vous » d’Emmanuel Macron ? Un cénacle rétréci à Jordan Bardella (RN), Fabien Roussel (PCF), Marine Tondelier (Les Ecologistes), Hervé Marseille (Union des démocrates et indépendants) et les têtes de la majorité Stéphane Séjourné, Edouard Philippe, François Bayrou, auxquels sont associés les présidents des deux assemblées. « L’initiative politique d’ampleur », comme l’avait appelée le chef de l’Etat, est devenue riquiqui.

« Les absents ont tort », balaye l’Elysée, en espérant qu’ils changeront d’avis d’ici à vendredi. Mais les absents jettent une lumière crue sur l’initiateur des agapes. Le moment est compliqué. Le « jus » de la fin août a disparu, s’inquiète une partie de la Macronie. Au début du premier quinquennat, le président inondait ses proches d’un SMS récurrent : « Comment tu sens les choses ? ». Désormais c’est entre eux qu’ils échangent cette question : « Tu comprends ce que fait Macron ? ».

Sur le conflit Israël-Hamas (Edouard Philippe), sur son absence dans la manifestation contre l’antisémitisme, sur la suite des réformes (Bruno Le Maire), sur le devenir de la loi fin de vie (l’aile gauche), sur sa ligne en matière d’immigration, une même interrogation : où va-t-il ?

Manifestations : Macon n’y participe pas …. c’est bien ça le problème

Manifestations : Macon n’y participe pas …. c’est bien ça le problème


«La place d’un président n’est pas d’aller à une marche» estime une nouvelle fois Macron qui précise par ailleurs qu’il n’a jamais participé à aucune manifestation. Ces biens là le problème majeur de ce président sorti de nulle part et qui n’a aucune expérience politique et même aucune légitimité réelle.

Ce président confond le statut présidentiel et le statut d’un monarque. Le faite d’affirmer que sa place n’est pas dans une manifestation traduite en effet positionnement or sol. Notons par ailleurs que s’il n’a jamais participé à une manifestation il n’a pas davantage effectué son service militaire justifiant de son statut d’étudiant à l’époque.

Selon Emmanuel Macron, la «place d’un président de la République n’est pas d’aller à une marche». «Mon rôle est de travailler à la libération de nos otages, et de continuer à préserver dans cette période l’unité de notre pays, et de ne jamais renvoyer dos à dos les uns et les autres». Et de clamer: «Protéger les Français de confession juive, ce n’est pas mettre au pilori les Français de confession musulmane».

Le problème justement c’est que dans sa première explication il a renvoyé dos à dos la responsabilité des uns et des autres alors que l’objet de la manifestation n’était pas de se positionner sur les responsabilités en Israël et à Gaza, ni sur telle ou telle confession mais uniquement sur l’antisémitisme et la laïcité.

Cette valse hésitation des propos du chef de l’État témoigne d’abord de l’inconsistance politique et idéologique de l’intéressé et même pire de ses interrogations vis-à-vis de la participation possible. En effet dans les milieux de l’Élysée, on s’interrogeait aussi sérieusement sur le risque d’une manifestation relativement peu suivie. Encore un calcul politique perdu !

Macron : Encore une initiative « d’ampleur » ratée

Macron : Encore une initiative « d’ampleur » ratée

par Par Cécile Cornudet dans « les Echos »

L’initiative politique d’ampleur annoncé par Macron qui doit se tenir à Saint-Denis finit en eau de boudin.

Après LFI, ce sont le PS puis Les Républicains qui déclinent l’invitation de vendredi. Dire non à Macron pour paraître un opposant résolu. Je suis toujours à gauche, tente de signifier le parti d’Olivier Faure, malgré ses prises de distances avec Jean-Luc Mélenchon. Je suis toujours à droite, signifie en écho celui d’Eric Ciotti, alors que la droite sénatoriale vient d’approuver le projet de loi immigration. Qui est pris peut aussi prendre, tentent les deux anciens partis de gouvernement. Mais est-ce vraiment de leur intérêt ? Rien n’est moins sûr.

Outre l’échange promis sur l’actualité internationale, tout sauf mineure en ce moment, Emmanuel Macron veut mettre sur la table un élargissement du champ du référendum aux questions de société, soit une revendication de longue date des LR qui rêvent d’une consultation sur l’immigration. Si annonce il y a, ce sera donc sans eux.

Il se dit également ouvert à un accès facilité au référendum d’initiative partagée (RIP) comme le souhaite le Parti socialiste. Là encore, si la rencontre de vendredi progresse, les socialistes ne seront pas là pour dire « c’est grâce à nous ».

Qui reste-t-il dès lors à ces « rendez-vous » d’Emmanuel Macron ? Un cénacle rétréci à Jordan Bardella (RN), Fabien Roussel (PCF), Marine Tondelier (Les Ecologistes), Hervé Marseille (Union des démocrates et indépendants) et les têtes de la majorité Stéphane Séjourné, Edouard Philippe, François Bayrou, auxquels sont associés les présidents des deux assemblées. « L’initiative politique d’ampleur », comme l’avait appelée le chef de l’Etat, est devenue riquiqui.

« Les absents ont tort », balaye l’Elysée, en espérant qu’ils changeront d’avis d’ici à vendredi. Mais les absents jettent une lumière crue sur l’initiateur des agapes. Le moment est compliqué. Le « jus » de la fin août a disparu, s’inquiète une partie de la Macronie. Au début du premier quinquennat, le président inondait ses proches d’un SMS récurrent : « Comment tu sens les choses ? ». Désormais c’est entre eux qu’ils échangent cette question : « Tu comprends ce que fait Macron ? ».

Sur le conflit Israël-Hamas (Edouard Philippe), sur son absence dans la manifestation contre l’antisémitisme, sur la suite des réformes (Bruno Le Maire), sur le devenir de la loi fin de vie (l’aile gauche), sur sa ligne en matière d’immigration, une même interrogation : où va-t-il ?

Politique et Antisémitisme : Macron absent a encore raté une marche !

Politique et Antisémitisme : Macron absent a encore raté une marche !


Le président de la république aura réfléchi bien longtemps avant de savoir si sa présence lors de la marche antisémitisme était politiquement utile ou pas. Force est de constater que là encore, il sera un peu à côté de la plaque puisqu’il a décidé d’être absent. Cette absence et ses faux pas récurrents caractérisent la politique de Macron notamment dans le domaine de la diplomatie. Faut-il rappeler ses positions contradictoires par exemple sur le conflit en Ukraine et ses ridicules conversations avec Poutine; Ou encore ses déconvenues en Afrique. Faut-il aussi rappeler que sa première réaction concernant le conflit à Gaza a été de proposer une alliance internationale contre le Hamas et progressivement pour évaluer vers la demande maintenant d’un cessez-le-feu. Bref toujours « le même temps ».

La présence d’un président de la république aurait sans doute donné un caractère très symbolique à la manifestation unitaire contre l’antisémitisme. Macron de ce point de vue aura encore raté la marche. Cependant cette présence aurait été à double tranchant car le président n’est guère populaire de popularité varie autour de 25 % et c’est un président qui suscite le rejet et même la haine. Et de ce point de vue, sa présence aurait peut-être porté préjudice à la manifestation.

Emmanuel Macron ne se rendra pas à la marche contre l’antisémitisme organisée ce dimanche 12 novembre à Paris. Il considère toutefois ces rassemblements comme « un motif d’espérance ».
Le président de la République ne se rendra pas à la marche contre l’antisémitisme ce dimanche 12 novembre à Paris, affirme l’entourage d’Emmanuel Macron à BFMTV. Le président de la République a toutefois salué ces rassemblements qu’il voit comme « un motif d’espérance ».

Pour s’excuser l’Élysée a sorti un communiqué « Le Président de la République combat sans relâche toutes les formes d’antisémitisme depuis le premier jour. Que des rassemblements viennent, partout en France, relayer ce combat est un motif d’espérance ».

Et ajoute: « Voilà pourquoi le Président salue avec respect celles et ceux qui, dimanche, marcheront pour la République, contre l’antisémitisme et pour la libération des otages ».

En raison de la participation du Rassemblement national à l’événement, La France insoumise a annoncé qu’elle n’y participerait pas. Renaissance, EELV ou le Parti socialiste ont exprimé leurs réserves mais seront tout de même présents.

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