Archive pour le Tag 'Macron'

Service militaire : une majorité de Français pour, Macron contre

Service militaire : une majorité de Français pour, Macron contre

Une large majorité de la population française se dit favorable à un retour du service militaire.

Une majorité de Français se dit globalement favorable au rétablissement du service militaire (86 %), et même au service obligatoire (53 %), d’après un sondage publié samedi 15 mars 2025 au moment où plusieurs pays européens s’interrogent sur le retour de la conscription dans un contexte géopolitique bouleversé.

Dans un entretien publié samedi par plusieurs journaux régionaux, Macron a présenté son intention d’annoncer « dans les prochaines semaines une grande refonte » du service national universel (SNU). Un service complètement bidon qui n’est ni universel, ni obligatoire et encore moins militaire. Bref une sorte de colonie de vacances.

Selon Macron , la France « n’a plus la base, plus la logistique » pour remettre en place une conscription. « À partir du moment où on est allé vers la professionnalisation de nos armées, focalisées sur l’opérationnel, les réemployer pour encadrer 800 000 jeunes […] n’est absolument pas un schéma opérant », a-t-il justifié.

Encore une erreur fondamentale de la part de macron. D’après les experts il s’agirait de mobiliser autour de 400 000 jeunes sur une classe d’âge en comprenant 800 000. Les équipements publics notamment de sport seraient suffisants pour participer à la formation. Il y avait longtemps que les militaires appelés ne résidaient plus dans les casernes et rentraient chaque jour chez eux. Notons que le chef de l’État n’a pas fait son service militaire ! Et il oublie l’aspect sociétal qui permet de brasser les populations et de rappeler les valeurs du pays.

Sondage popularité : Macron se refait une petite santé grâce à l’international

Sondage popularité : Macron se refait une petite santé grâce à l’international

Macron se refait une petite santé grâce à l’international où il n’est vraiment contesté que par les extrêmes sur la question de défense. Selon un sondage Ipsos pour La Tribune Dimanche, le chef de l’État gagne 5 points, à 27% d’opinions favorables, tandis que son premier ministre recule de 2 points à 25%.

Le chef d’État gagne notamment 9 points auprès des sympathisants écologistes, 8 points auprès des sympathisants du PS et 6 auprès de ceux des Républicains (LR) et de l’UDI. Il devance désormais son premier ministre: François Bayrou perd deux points à 25% d’opinions favorables, après en avoir gagné 7 en février. Le chef du gouvernement perd des points auprès des électorats Insoumis (-9), de droite (-10), du Rassemblement national (-3) et du bloc central (-5), mais en gagne auprès des écologistes et des socialistes (+5).

Les «crises internationales» au cœur des préoccupations
Parmi les principales préoccupations des Français, l’étude d’Ipsos montre par ailleurs une forte hausse (+16 points, en 3e position à 33%) des «crises internationales», derrière le pouvoir d’achat (46%, stable) et l’avenir du système social (37%, +2).

Par ailleurs, le Garde des sceaux Gérald Darmanin, en hausse d’un point (36%), occupe la tête du classement des membres du gouvernement les plus appréciés, devançant désormais d’un point le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau (35%, -1). Le ministre des Armées Sébastien Lecornu prend la troisième place avec une hausse de 5 points à 17%.

Le sondage a été réalisé du 12 au 14 mars auprès d’un échantillon de 1000 personnes représentatif de la population française, âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas), interrogé par internet. Marge d’erreur de 0,6 à 3,1 points.

Appel de Macron pour des garanties de sécurité

Ukraine -Appel international de Macron pour des garanties de sécurité

Parallèlement aux discussions entre les États-Unis et l’Ukraine qui ont abouti notamment à une proposition de cessez-le-feu de 30 jours et à la reprise de l’aide militaire américaine, avec une trentaine de pays Macron appelle à la mise en place d’un plan de garantie de sécurité à l’issue de l’arrêt des hostilités

Le président français Emmanuel Macron a appelé mardi les chefs militaires d’une trentaine de pays réunis à Paris à commencer à élaborer «un plan pour définir des garanties de sécurité crédibles» pour l’Ukraine en cas d’accord de paix avec la Russie, a indiqué l’Elysée.

«Face à l’accélération des négociations de paix», Emmanuel Macron a «précisé qu’il fallait aujourd’hui “passer du concept au plan” pour définir des garanties de sécurité crédibles, afin qu’une paix solide et durable soit possible en Ukraine», a fait savoir la présidence à l’issue de ce rendez-vous.

Selon la même source, les participants se sont accordés pour que que les garanties de sécurité «ne soient pas disjointes de l’Otan et de ses capacités», à l’heure où s’effectue pourtant un rapprochement entre Washington et Moscou.

Sondage popularité: Remontée de Macron

Sondage popularité: Remontée de Macron

 

Selon un sondage Odoxa pour le Figaro, les Français soutiennent massivement les mesures présentées par Emmanuel Macron en faveur de l’Ukraine (Environ 60 % des Français). 

 

En quelques jours, le chef de l’État a gagné quatre points de popularité (29 %) en tant que Président et 43 % des Français pensent « qu’il représente bien la France à l’étranger ». Mais il a chuté de six points en une semaine sur sa crédibilité à l’international après l’inefficacité de sa visite à Donald Trump.

Contrairement à ce que pense l’extrême gauche, l’extrême droite et nombre de personnalités de droite 75 % pensent que la guerre en Ukraine représente un risque important pour la France et même, à 59 % qu’elle constitue un risque important pour eux-mêmes à titre personnel… C’est deux fois plus qu’il y a trois ans, au début du conflit.
D’autre part, les solutions présentées par Emmanuel Macron sont toutes largement approuvées : 58 % des Français sont favorables à un renforcement de l’aide militaire à l’Ukraine, 67 % à l’augmentation du budget de la défense de la France et 62 % au « plan européen d’endettement commun pour la défense ».

64 % d’entre eux soutiennent l’extension du parapluie nucléaire français à d’autres pays et 65 % le déploiement de l’armée française en Ukraine afin de faire respecter un éventuel accord de paix entre la Russie et l’Ukraine.

En revanche, les Français sont beaucoup plus partagés à l’idée d’un « quoi qu’il en coûte » économique en faveur de Kiev.

 

 

Défense: Des investissements massifs pour Macron

Défense: Des investissements massifs pour Macron

 

Dans son discours sur la défense, le président a promis de faire des investissements massifs mais sans impôts supplémentaires. Autant dire qu’il faudra à la fois accroître l’endettement et faire de nouveaux choix budgétaires avec des arbitrages sans doute difficiles. Aujourd’hui la France consacre environ 2 pour cent de son PIB aux dépenses militaires l’objectif serait de les amener entre 3,5 et 5 % du PIB. Des chiffres toutefois insuffisants pour le plus rapidement possible combler les retards accumulés car  malheureusement l’armée française reste sur un modèle échantillonnaire. Une armée complète mais miniature qui ne tiendrait pas face aux grandes puissances impérialistes. L’Allemagne vient de le comprendre et comme d’habitude prend les moyens de sa politique en décrétant des investissements de l’ordre de 500 milliards et le retour du service militaire obligatoire. Une hypothèse que par lâcheté  en France personne n’aborde évidemment. Notons que Poutine, lui consacre actuellement 40 % de son budget à l’armée et 10 % du PIB.

« Ce seront de nouveaux investissements qui nécessitent de mobiliser des financements privés mais aussi publics sans que les impôts ne soient augmentés. Pour cela, il faudra des réformes, des choix, du courage. »
Le président de la République a également rappelé l’apport des deux dernières lois de programmation militaire qui doivent permettre de « doubler le budget de nos Armées en presque dix ans. » Outre le renforcement des armées, cette hausse des dépenses de défense doit également « accélèrer la réindustrialisation dans toutes nos régions » et Emmanuel Macron prévoit de réunir, avec les ministres compétents, les industriels du secteur dans les prochains jours.

Au-delà de la France, Emmanuel Macron souhaite que cet élan d’augmentation des dépenses militaires soit européen et se réjouit que l’Allemagne, la Pologne, le Danemark ou encore les Etats baltes aient récemment annoncé des efforts inédits en la matière. « L’Europe de la Défense que nous défendons depuis 8 ans devient une réalité, a-t-il estimé. Cela veut dire des pays européens davantage prêts à se défendre et à se protéger, qui produisent ensemble des équipements dont ils ont besoin sur leur sol, qui sont prêts à davantage coopérer, à réduire leur dépendance à l’égard du reste du monde. »
Le chef de l’Etat prévoit que « des pas décisifs » soient franchis à l’occasion du conseil européen qui se tient jeudi à Bruxelles. « Les Etats membres pourront accroitre leurs dépenses militaires sans que ce soit pris en compte dans leur déficit, a-t-il indiqué. Des financements communs massifs seront décidés pour acheter et produire sur le sol européen : des munitions, des chars, des armes, des équipements parmi les plus innovants. »

Politique de défense :Une certaine unité derrière l’alerte de Macron

Politique de défense :Une certaine unité derrière l’alerte de Macron

Avec quelques réserves l’ensemble de la classe politique souscrit à la perspective d’une nouvelle ère géopolitique suite à l’alignement des États-Unis sur la Russie.

Personne ne m’a vraiment voulu le contredire sur le danger que représente l’abandon des États-Unis face à Poutine et donc sur la nécessité d’un renforcement massif de la défense continentale. Même à l’extrême gauche et Alex droite où les positions sont pour le moins ambigu vis-à-vis de la Russie, on adhère à l’idée de la nécessité d’une défense renforcée

Le président a pourtant mis en garde contre la «menace russe» qui «nous touche» avec une «agressivité» qui ne «connaît pas de frontières». «Je veux croire que les États-Unis resteront à nos côtés. Mais il nous faut être prêts si tel n’était pas le cas», a-t-il ajouté d’un ton grave.

Du côté de la gauche, Jean-Luc Mélenchon a lâché de manière surprenante : «Macron dit vrai». Reconnaissant «un changement d’époque», le leader insoumis a plutôt accusé «ceux qui nous ont mis dans l’impasse et ont idéalisé les États-Unis ne doivent plus être suivis.» «Priorité absolue : la sécurité de nos propres frontières sur les cinq continents, sécurité écologique, militaire, et des besoins sociaux de la population. À bas la guerre !», a-t-il exigé dans une rhétorique presque conciliante à l’égard du chef de l’État.

Pour viser l’«autonomie stratégique» de l’UE en matière de défense, le patron des socialistes Olivier Faure ne veut pas, lui, demander de «nouveaux sacrifices pour les Français», mais préfère «saisir les avoirs russes» et «en appeler au patriotisme fiscal et faire contribuer les ultra-riches.» Des solutions qu’il appelle de ses vœux pour financer l’«économie de guerre». Une orientation cependant un peu démagogique voir populiste en tout cas peu courageuse.

Quant à l’eurodéputé PS-Place Publique Raphaël Glucksmann, il a apprécié sur BFMTV que «les dirigeants européens semblent prendre la mesure de la menace que représente la Russie de Poutine.» «Le président a eu raison de souligner à quel point ce moment était vertigineux et dangereux pour nos démocratiques, et a eu raison de rappeler que la menace russe ne vise pas que l’Ukraine, a développé l’essayiste. Ce sont des actions de subversion menées dans toutes les démocratiques européennes.»

Poutine-Guerre : » la Moldavie et la Roumanie menacées estime Macron « 

Poutine-Guerre : » la  Moldavie et la Roumanie menacées estime Macron  »

Si le président russe Vladimir Poutine, qui a envahi l’Ukraine depuis 2022, n’est pas freiné, « il ira à coup sûr sur la Moldavie et peut-être au-delà sur la Roumanie », prévient Emmanuel Macron dans un entretien à plusieurs titres de la presse dominicale, dont Le Parisien.(info BFM)

« Il y a, à nos frontières, une Russie surarmée et agressive. Elle mène des actions terroristes, des campagnes de désinformation massive chez nous et en Europe », assure le président français, pour qui il ne faut pas se tromper d’ennemi. « C’est notre sécurité qui est en jeu », alerte-t-il.

Le « désengagement » éventuel des États-Unis de l’Ukraine « n’est pas dans leur intérêt », estime le président français dans l’hebdomadaire La Tribune Dimanche, car « ce qu’ont fait les États-Unis depuis trois ans est tout à fait conforme à leur tradition diplomatique et militaire ».
 Si Washington acceptait de « signer un cessez-le-feu sans aucune garantie de sécurité pour l’Ukraine » alors sa « capacité de dissuasion géostratégique à l’égard de la Russie, de la Chine et d’autres, s’évanouirait le même jour », fait-il valoir.

L’entretien a été accordé à la Tribune Dimanche, au JDD, au Parisien et à Ouest-France.

Guerre : » la Moldavie et la Roumanie menacées estime Macron « 

Guerre : » la  Moldavie et la Roumanie menacées estime Macron « 

Si le président russe Vladimir Poutine, qui a envahi l’Ukraine depuis 2022, n’est pas freiné, « il ira à coup sûr sur la Moldavie et peut-être au-delà sur la Roumanie », prévient Emmanuel Macron dans un entretien à plusieurs titres de la presse dominicale, dont Le Parisien.(info BFM)

« Il y a, à nos frontières, une Russie surarmée et agressive. Elle mène des actions terroristes, des campagnes de désinformation massive chez nous et en Europe », assure le président français, pour qui il ne faut pas se tromper d’ennemi. « C’est notre sécurité qui est en jeu », alerte-t-il.

Le « désengagement » éventuel des États-Unis de l’Ukraine « n’est pas dans leur intérêt », estime le président français dans l’hebdomadaire La Tribune Dimanche, car « ce qu’ont fait les États-Unis depuis trois ans est tout à fait conforme à leur tradition diplomatique et militaire ».
 Si Washington acceptait de « signer un cessez-le-feu sans aucune garantie de sécurité pour l’Ukraine » alors sa « capacité de dissuasion géostratégique à l’égard de la Russie, de la Chine et d’autres, s’évanouirait le même jour », fait-il valoir.

L’entretien a été accordé à la Tribune Dimanche, au JDD, au Parisien et à Ouest-France.

Risque de vassalisation pour l’Europe d’après Macron

Risque de vassalisation pour l’Europe d’après Macron

En dépit d’une bonne relation personnelle avec Trump, Macron attire l’attention de l’Europe sur les risques de la vassalisation  par les États-Unis. Un  appel de sa part au renforcement de l’Europe sur le plan économique et de la défense aussi en faveur d’une attitude plus agressive.

En visite d’État pour deux jours au Portugal, Emmanuel Macron a appelé jeudi les Européens à se montrer «plus que jamais unis et forts » et à refuser la «vassalisation heureuse» vis-à-vis des États-Unis. «Je vois plein de gens dans notre Europe dire “on va devoir être gentil avec les Américains, ça va passer, il faut courber l’échine”», a-t-il déclaré en fin de journée lors d’une rencontre dans un incubateur de start-up sur le thème de l’innovation et de l’intelligence artificielle. Mais «la réponse n’est pas dans une soumission» et «je ne suis pas pour la vassalisation heureuse», a-t-il ajouté.
Au contraire, «les Européens peuvent être convaincus d’une chose: il leur faut plus que jamais être unis et forts», et pour cela «nous devons absolument faire des choix très profonds (…) en matière technologique, industrielle (et) de défense», avait-il affirmé un peu plus tôt depuis l’Assemblée de la République portugaise.

 

 

Droits de douane américains : Trump convaincu par Macron

Droits de douane américains : Trump convaincu par Macron

 

Il n’y a sans doute que Macon qui est convaincu que les américains vont  épargner l’Europe concernant les nouveaux droits de douane. D’ailleurs le chef d’État américain ne s’est pas engagé sur ce terrain mélangeant d’ailleurs à la fois les droits de douane européen avec la TVA !

 

«J’espère l’avoir convaincu»: le président français Emmanuel Macron, en visite lundi 24 février à Washington, a plaidé la cause de l’Union européenne face à la marée de nouveaux de droits de douane promis par Donald Trump. Depuis le début de son second mandat, le 20 janvier, le président américain annonce régulièrement de nouvelles taxes sur les produits entrant aux Etats-Unis, parfois déjà entrées en vigueur (avec la Chine), parfois repoussées à une date ultérieure pour les Canadiens, les Mexicains ou encore des produits spécifiques comme l’acier, l’aluminium, plus tard les médicaments, l’automobile… Il accuse notamment les pays de l’Union européenne – qui exporte plus vers les Etats-Unis que l’inverse – de se comporter de manière «injuste» avec son pays. Donald Trump critique notamment le niveau de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), payée par les consommateurs dans les pays européens, qu’il a assimilée à un droit de douane supplémentaire sur les produits américains !

 

Le retour du service militaire obligatoire : démagogie et flou de Macron !

Le retour du service militaire obligatoire : démagogie et flou de Macron !

Pour justifier son refus du service militaire obligatoire Macron a rappelé la création  du service national universel, un service bidon par ailleurs en train de mourir. Il argumente aussi de façon démagogique en recherchant une solution » qui fasse consensus dans la nation. Un curieux chef  de guerre qui par ailleurs a évité de faire le service militaire. Quand la lâcheté fait place au courage et l’incompétence à la pertinence. Faut-il rappeler qu’en Ukraine comme d’ailleurs à Gaza ce sont les troupes au sol qui gagnent ou qui perdent les batailles. Ainsi en Ukraine 600 000 tués et blessés côté russe et 400 000 côtés ukrainiens pour les seuls militaires.

Ukraine : Macron favorable à l’envoi de troupes plutôt après la paix

Ukraine : Macron favorable à l’envoi de troupes plutôt après la paix

 Macron favorable à l’envoi de troupes plutôt après la paix en Ukraine. . «Je n’ai pas décidé demain d’envoyer des troupes en Ukraine, non. Ce qu’on envisage plutôt, c’est d’envoyer des forces pour garantir la paix une fois qu’elle sera négociée»

Interrogé sur l’engagement en Ukraine au cours d’un live sur les réseaux sociaux, Emmanuel Macron a proposé de déployer des forces européennes après la fin du conflit pour prévenir une nouvelle attaque russe.  «C’est une discussion qu’on a entre Européens, prévient le chef de l’État. Nous voulons éviter que la Russie recommence, comme elle l’a toujours fait ces dernières années. Je ne vais pas décider d’envoyer des troupes dès à présent, mais plutôt des troupes pour garantir la paix (après la fin du conflit)».

Mercredi, le président de la République avait évoqué la possibilité «d’avoir, sous mandat des Nations unies, une opération de maintien de paix, qui elle se tiendrait le long de la ligne de front».

Ukraine et plan de paix américain : une capitulation pour Macron

Ukraine et plan de paix américain : une capitulation pour Macron

 

Le président Français a mis en garde en garde contre une paix qui reviendrait à une «capitulation» de l’Ukraine et s’est demandé si son homologue russe Vladimir Poutine était «sincèrement» prêt à un cessez-le-feu «durable» dans une interview au Financial Times parue vendredi.

«Une paix qui soit une capitulation, c’est une mauvaise nouvelle pour tout le monde», a-t-il lancé à l’attention du président américain Donald Trump. «La seule question à ce stade, c’est “est-ce que de manière sincère, durable, soutenable, le président Poutine est prêt à cessez-le-feu sur cette base-là”», a-t-il relevé, ajoutant que l’Europe aurait un «rôle à jouer» dans les discussions sur la sécurité régionale.

Emmanuel Macron a également souligné que «seule» l’Ukraine pouvait «négocier avec la Russie» ce qui relève de sa souveraineté et de son intégrité territoriale.

Le problème c’est que Macron ne pèse plus grand-chose en Europe et que la présidente de l’union européenne, Von der Layen  se fait particulièrement discrète sans parler des dissensions entre certains membres de l’Europe.

IA: Les 109 milliards de Macron surtout étrangers

IA: Les 109 milliards de Macron  surtout étrangers

Si on peut se réjouir des perspectives de développement- cependant un peu tardif–de l’intelligence artificielle en France, il faut toutefois noter que les 109 milliards annoncés par le président de la république viendront essentiellement de l’étranger. Pour l’instant seulement quelques milliards viendront de la France. En outre cette annonce de besoins de financement restent théoriques pour une bonne partie. À mettre au crédit de la France surtout ses compétences d’ingénieurs et de techniciens, la qualité de son réseau numérique et ses capacités de production électrique.

D’après France Info,une grande partie des 109 milliards d’euros d’investissements annoncés proviennent des Emirats arabes unis. La pétromonarchie va dépenser 50 milliards d’euros pour donner naissance à un « campus » axé sur l’intelligence artificielle. Il hébergera notamment un data center géant, un centre de données d’une capacité de calcul pouvant aller jusqu’à un gigawatt.

Le fonds canadien Brookfield va investir 20 milliards d’euros en France d’ici 2030, selon l’Elysée. Les trois quarts de cette somme seront consacrés à de nouveaux centre de données, dont l’un à Cambrai (Nord), comme l’avait révélé La Tribune Dimanche(Nouvelle fenêtre). Ces data centers verront le jour par l’intermédiaire de la société Data4, dont le siège est à Paris.

Le dernier quart de l’enveloppe canadienne sera consacré à des  »infrastructures associées », comme le transfert de données, des puces et de l’énergie, un enjeu crucial pour les centres de données, particulièrement énergivores.

Le géant américain Amazon entend investir 6 milliards d’euros pour créer des centres de données et développer l’« infrastructure cloud [d'informatique à distance] en France d’ici 2031″, rapporte l’Elysée. Le fonds Apollo prévoit, lui, « une première tranche » d’investissements à hauteur de 5 milliards de dollars (4,85 milliards d’euros) consacrés à de « nouveaux programmes énergétiques ».

Autre acteur venu des Etats-Unis, Digital Realty, déjà bien implanté en France, financera « 13 nouveaux sites » de data centers « à Marseille et en région parisienne », pour un total de 5 milliards d’euros (et peut-être 1 milliard supplémentaire « pour un autre data center à Paris »). S’y ajoutent 3,5 milliards d’euros de Prologis (un fonds d’investissement spécialisé dans la gestion de bâtiments logistiques) et 630 millions d’euros de la société Equinix (spécialisée dans les centres de données).

L’entreprise Fluidstack s’est engagée sur « un premier investissement de 10 milliards d’euros » pour « déployer en France le plus grand supercalculateur au monde pour l’IA », avec une capacité attendue d’un gigawatt, selon l’Elysée. Les Suédois d’Evroc, spécialistes du cloud, vont construire une usine avec un data center à Mougins (Alpes-Maritimes), un projet qui « pourrait attirer des investissements allant jusqu’à 4 milliards d’euros à pleine capacité », avance Paris. Un investissement de 400 millions d’euros du groupe japonais Telehouse, bien que connu depuis mai, est également cité dans le calcul effectué par l’Elysée.

Sans dévoiler les montants en jeu, Emmanuel Macron a cité le nom de plusieurs entreprises françaises prêtes à investir dans l’intelligence artificielle en France, dont Iliad, Orange et Thales. La première, fondée par Xavier Niel, « porte son investissement à plus de 3 milliards d’euros » pour des data centers, mais aussi pour offrir aux abonnés Free Mobile la version pro de l’assistant Le Chat du Français Mistral AI, précise l’Elysée.

Cette dernière entreprise, en pointe dans ce secteur, va, elle, investir  »plusieurs milliards d’euros dans un [site] qui sera installé en Essonne », a promis son PDG, Arthur Mensch, dans Le Parisien(Nouvelle fenêtre). Ce projet, baptisé Eclairion, se poursuivra avec « la mise en chantier d’un second » lieu à Bessé-sur-Braye (Sarthe). Enfin, l’entreprise Sesterce va dépenser 400 millions d’euros pour un centre de données dans la Drôme.

Politique-Macron : encore une intervention officielle dimanche à la télé !

Politique-Macron : encore une intervention officielle dimanche à la télé !

 

Après des interviews dans la presse régionale, Macron revient à la télé à propos de l’intelligence artificielle . Macron qui a de plus en plus de mal à exister va encore s’autoriser une intervention publique à la télé cette fois pour parler de l’intelligence artificielle qui serait bien utile au président et au pays tout entier pour sortir du bourbier politique et économique actuel.

En marge du sommet mondial sur l’intelligence artificielle (IA) à Paris, Emmanuel Macron va s’exprimer dans la foulée du journal télévisé de 20 heures de France 2 ce dimanche 9 février. Depuis le Grand Palais, le président de la République «répondra aux questions de Laurent Delahousse (France 2) et de Palki Sharma Upadhyay (Firstpost – Vantage)», le tout dans un dans un format inédit, précise un communiqué de la chaîne publié ce mercredi. «Emmanuel Macron s’exprimera sur les grands enjeux de l’IA pour la France et le monde», avance le média public.

 

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