Archive pour le Tag 'oligarque'

De Rugy l’archétype de l’oligarque arriviste

De Rugy l’archétype de l’oligarque arriviste

 

De Rugy est forcément en colère car c’est sa carrière d’oligarque  qui est en cause. L’intéressé n’a jamais pratiquement fait autre chose que de la politique. Il a commencé chez les verts en slalomant  pour se rapprocher des tendances majoritaires en espérant un poste ministériel à gauche ou à droite. Son parcours politique :

GE (1991-1994)
LV (1997-2010)
EELV (2010-2015)
PE (depuis 2015)
LREM (depuis 2017)

De Rugy n’a été élue député que grâce aux cadeaux électoraux du parti socialiste. Ce député s’est présenté à la primaire du PS, il s’est engagé à soutenir le candidat vainqueur. Il a aussitôt trahi sa propre parole. Au dernier moment, il rejoint la république en marche. Par un concours de circonstances,  il devient président de l’assemblée nationale en promettant la rigueur et de ne faire que la moitié du mandat. Une promesse qu’il oublie rapidement. Et le hasard le propulse à la place de Nicolas Hulot. De Rugy se caractérise alors  par son immobilisme, sa grande paresse et sa soumission totale à l’Élysée. Sans doute enivré par les parfums du pouvoir il se rend coupable de nombreuses frasques. Malheureusement pour lu, i il est peu soutenu au début de cette affaire. Pour tout dire,  il est même enfoncé par exemple par Griveaux  et bien d’autres. La majorité fait le service minimum depuis que de Rugy  s’estime blanchie. Il est cependant toujours aussi peu soutenu car en vérité de Rugy ne représente pas grand-chose politiquement et techniquement se révèle assez incompétent. De Rugy espère bien revenir au gouvernement mais les chances sont très minces. En revanche, on pourrait le nommer à la tête d’une institution de prestigieuse  qui ne sert pas grand-chose et où il pourra continuer de faire carrière.

LREM-Paris 2020: un scientifique créatif ou un oligarque terne

LREM-Paris 2020: un scientifique créatif ou un oligarque terne

 

Il est clair que le mode de désignation des candidats de la république en marche pour les municipales ne garantit ni la démocratie, ni la compétence. On sait en effet que c’est un comité central auto désigné qui choisit les candidats dans les grandes villes puisque la république en marche  demeure un parti virtuel dans lequel les organisations locales n’ont aucune responsabilité. À Paris par exemple le favori de Macron était  jusque là Benjamin Griveaux qui justement a démissionné du gouvernement pour devenir maire de Paris. Or un autre candidat commence à lui faire sérieusement de l’ombre à savoir le député et mathématicien Cédric Villani. En fait le choix est celui entre un scientifique créatif un peu marginal et un oligarque terne par ailleurs assez condescendant. Le député Cédric Villani, principal concurrent de Benjamin Griveaux au sein de La République en marche (LaREM) en vue des élections municipales de 2020 à Paris, a reçu samedi un nouveau soutien, celui d’Anne Lebreton, qui renonce à briguer l’investiture du parti présidentiel. Après Mounir Mahjoubi, l’adjointe au maire du IVe arrondissement est la deuxième candidate, en moins d’une semaine, à se désister au profit du mathématicien, arrivé en politique il y a deux ans. “Malgré mon très fort désir de porter une candidature féminine à la commission d’investiture de LREM, je souhaite aujourd’hui apporter tout mon soutien à celui dont je pense qu’il fera un maire exceptionnel pour Paris”, écrit-elle dans une tribune publiée sur le site du Journal du dimanche. Anne Lebreton vante la “personnalité atypique” du député de l’Essonne, son “énergie qui déplace les montagnes”, sa “bienveillance qui sait réunir au-delà de tous les camps” de même que sa “capacité de s’adresser à tous les Parisiens». Son ralliement n’est pas totalement une surprise dans la mesure où l’élue parisienne avait assisté jeudi à un meeting de Cédric Villani. Le candidat officiel doit être désigné par la Commission nationale d’investiture de LaREM au lendemain de grands oraux (la même méthode qu’à l’ENA !) convoqués pour le 9 juillet.

Castaner, l’oligarque dit « la castagne »

Castaner, l’oligarque dit «  la castagne »

 

Castaner dit la Castagne , est l’archétype de l’oligarque. La plus grande partie de son parcours a été effectuée au sein du parti socialiste dans l’appareil et dans les cabinets ministériels. Il n’a qu’un rapport approximatif avec les réalités économiques et sociales sauf peut-être dans sa jeunesse quand il fréquentait le milieu et gagnait sa vie au poker. Castaner n’a pas l’habitude de faire dans la dentelle. Témoin quand il était responsable du parti en marche-il su valorisait l’action d’une organisation politique qui pourtant en fait n’a jamais existé. Ensuite comme porte-voix du gouvernement, il en faisait des tonnes. Maintenant ministre de l’intérieur il confond ce poste avec celui d’un responsable de propagande d’un parti. En outre et surtout, il se monte incompétent pour maintenir l’ordre changeant presque chaque semaine de stratégie face aux casseurs. Il y a de quoi être inquiet quand ce type de personnage occupe une fonction régalienne aussi importante que celle du ministère de l’intérieur. Pour lui, la politique, c’est la bagarre, la lutte à l’ancienne. Tous les moyens sont bons pour discréditer l’adversaire. Exemple quand il affirme que les gilets jaunes manifestent pour tuer. Ne parlons pas de cette histoire d’attaque d’un hôpital par des terroristes en jaune. Castaner devrait aussi arrêter le whisky qui trouble sa vision autant que ses emballements  fachos. Castaner  est bien représentatif de ces oligarques socialistes ralliés à Macron qui font carrière dans la politique et sans doute demain prêts à se vendre à d’autres si la majorité devait changer. Castaner a gardé de sa jeunesse agitée les pratiques de magouilles, d’intoxications grossières. Il serait temps de le mettre dans un poste n’exigeant pas de compétences professionnelles réelles et n’ayant pas de réelle utilité. Il n’en manque pas dans ce gouvernement.

Territoires ruraux : un oligarque pour mener la réforme

Territoires ruraux : un oligarque pour mener la réforme

Le gouvernement a choisi un vrai rural pour s’occuper de la réforme des territoires en voie de désertification. C’est le député (LREM) de la 2e circonscription d’Indre-et-Loire, Daniel Labaronne, qui  a été choisi par le Premier ministre pour mettre en place «  l’agenda rural ». L’intéressé est effectivement maire d’une petite commune mais en réalité, ce fonctionnaire professeur d’université a déjà pas mal de kilomètres au compteur comme politicien. Voilà déjà presque 40 ans qu’il court après un mandat électoral à Tours  et dans  des petites localités. Plutôt de gauche il s’est maintenant converti au libéralisme macronien, une évolution classique avec l’âge et la crainte de voir s’éloigner toute perspective de destin national. On peut légitimement s’interroger sur ce concept d’agenda rural qui ne signifie pas grand-chose. Macron a parlé de ruralité, de décentralisation et de différenciation mais sans donner de contenu assez à ces définitions. La vérité c’est que dans ces zones rurales le tissu économique disparaît progressivement. D’abord Le tissu agricole qui génère de moins en moins d’emplois, ensuite le tissu industriel et artisanal qui justement permettait de fixer les populations. Et pour couronner le tout la disparition progressive des services publics à commencer par la poste ou les mairies elles-mêmes. À la fin, ce sont des commerces qui ferment leurs portes. C’est la grande logique de la concentration urbaine avec à son apogée : la métropole isolation. On voit donc mal ce que pourrait apporter un n’agenda rural. Pour porter sur quel champ d’activité économique, sur quel champ d’intérêt général. En outre on confond les territoires ruraux proches de grandes villes qui en fait sont les nouvelles banlieues avec les territoires ruraux éloignés de des grands centres urbains. Dans ces territoires, mêmes les médecins généralistes disparaissent et quand on construit une maison de santé cela n’augmente pas le nombre de praticiens. Déjà missionné par la ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales Jacqueline Gourault sur ce sujet, le parlementaire y travaille depuis fin mars avec les présidents des associations des maires ruraux de France (AMRF) Vanik Berberian et Nouvelles Ruralités Patrice Joly, ainsi qu’avec les maires (UDI) Pierre Jarlier et (LREM) Cécile Gallien.

Olivier Dussopt, nouveau ministre l’archétype de l’oligarque

Olivier Dussopt, nouveau ministre  l’archétype de l’oligarque

Le nouveau débauché du parti socialiste nommé ministre chargé du portefeuille de la fonction publique et l’archétype de l’oligarque. Après avoir traversé les différentes tendances du parti socialiste il opte pour les orientations de Macron affin de continuer sa carrière politique. Diplômé d’un institut d’études politiques il ne connaît pas grand-chose des réalités économiques et sociales mais connaît tous des arcanes politiciennes. né le 16 août 1978 à Annonay en France, a été membre  du Parti socialiste,  Après avoir occupé différents postes de chargé de mission, Olivier Dussopt est, de novembre 2002 à septembre 2006collaborateur parlementaire de Michel Teston, sénateur et président du Conseil général de l’Ardèche2. Adhérent du PS depuis 2000, il est secrétaire de la section d’Annonay de mai 2001 à janvier 2008. De 2001 à 2003, il est animateur fédéral du Mouvement des jeunes socialistes en Ardèche. Premier secrétaire fédéral délégué de 2003 à 2007, il est chargé de la coordination, de la communication, des études et des élections. Candidat aux élections régionales de 20043, il rejoint le Conseil régional de Rhône-Alpes en juillet 2006 en remplacement d’Hélène Mira, démissionnaire. Il siège au sein du groupe socialiste. Proche de la Nouvelle Gauche avec Benoît Hamon4, il est membre du Conseil national du Parti socialiste. Le 17 juin 2007, il est élu député de la deuxième circonscription de l’Ardèche, devenant le benjamin de l’Assemblée nationale4. Le 10 décembre 2007, il annonce officiellement sa candidature aux élections municipales de mars 2008 dans la ville d’Annonay. Le 9 mars 2008, la liste d’union de la gauche « Annonay avenir » avec Olivier Dussopt à sa tête l’emporte dès le premier tour avec 68,9 % des voix5. Le 15 mars, il est élu maire par le nouveau Conseil municipal et démissionne peu après du Conseil régional pour cause de cumul des mandats. En avril 2008, il devient président du Syndicat mixte de l’Ardèche verte jusqu’en 2014. En novembre 2008, il intègre la direction nationale du PS, auprès de Marylise Lebranchu, secrétaire nationale aux territoires. En avril 2010, il devient vice-président de l’Association des petites villes de France et en juin 2010 il devient vice-président de la Fédération nationale des élus socialistes et républicainsa auprès de Marylise Lebranchu de 2010 à 2012 puis Pierre Cohen comme 1er vice-président, puis comme vice-président aux questions d’organisation et de réforme territoriale auprès de Francois Rebsamen en avril 2016. Le 12 juillet 2011, il devient porte-parole de Martine Aubry, candidate à l’Élection présidentielle française de 2012. Après les primaires, il rejoint le conseil des élus de la campagne de François Hollande. Le 18 juillet 2012, il est nommé secrétaire national du PS auprès de la 1re secrétaire, Martine Aubry, chargé de la présidence du forum des territoires, en remplacement de Marylise Lebranchu, jusqu’au congrès de Toulouse. Il est alors très proche de Martine Aubry6. Il est proche d’entrer au gouvernement à deux reprises sous la présidence de François Hollande, soutenu à chaque fois par Manuel Valls, mais se voit recalé au dernier moment6. En 2016, il soutient Manuel Valls et devient l’un de ses huit porte parole de campagne pour la primaire citoyenne de 20178.Le 18 juin 2017, il est réélu député de la deuxième circonscription de l’Ardèche avec 56,30 % des suffrages exprimés face à la candidate de La République en marche !9. Il est l’un des rares députés PS à être réélus face à un candidat LREM6. A Annonay, ville dont il est maire, il réalise un score de 70,45%. Le 24 novembre 2017, il est nommé secrétaire d’État chargé de la Fonction publique, au sein du gouvernement Édouard Philippe (2). Trois jours auparavant, il avait voté contre le budget présenté par le gouvernementet, les mois précédents, s’était abstenu lors du vote de confiance au gouvernement, avait voté contre projet de loi de financement de la sécurité sociale ainsi que contre la loi Travail15.

Bref, ce qu’on appelle une bonne  dynamique de carrière !

 

Dupont-Aignan : « Trahison », « Indignité », »Collabo » ? Non, simplement la survie d’un oligarque

Dupont-Aignan : « Trahison », « Indignité », »Collabo » ? Non, simplement la survie d’un oligarque

 

Peu importe les condamnations, ce qui importe pour Dupont Aigan,  comme pour d’autres oligarques , cest de  continuer à exister en politique dont il a fait un métier. L’ancien énarque n’a pratiquement jamais travaillé et depuis 30 ans vit des ressources de cette politique et grassement si l’on en juge par son patrimoine immobilier forcément sous-estimé (comme les autres !). Le problème est essentiellement financier. Dupont Aigan  n’ayant pas franchi la fatidique barre des 5 % des électeurs au premier tour des présidentielles ne peut pas être remboursée par l’État des frais de campagne. Il se rapproche donc du Front essentiellement pour des raisons financières. Juppé a qualifié de « trahison » la décision du président de Debout la France dans un billet publié sur son blog. Il encourage les Français à rejeter le Front National et renouvelle son appel au vote pour Emmanuel Macron.   »Cette aventure personnelle et opportuniste le mène sur le chemin le plus sombre« , a réagi par communiqué le secrétaire général des Républicains, Bernard Accoyer. « Nicolas Dupont-Aignan montre son vrai visage, celui de la trahison« , déplore-t-il. « Récemment encore, il revendiquait sa filiation avec Philippe Séguin, je l’invite à relire les discours de ce grand gaulliste sur le Front national. Ils étaient sans ambiguïté et d’une grande clarté : un gaulliste ne peut se compromettre avec le FN, il en va de son honneur« , ajoute-t-il.  »Nicolas Dupont-Aignan vient de perdre le sien« , conclut le numéro un des Républicains. Le centriste François Bayrou, allié à Emmanuel Macron, a évoqué sur Twitter une « immense honte« , l’ex-ministre de droite Dominique Bussereau parle d’un « vrai collabo » et Valérie Pécresse, présidente du conseil régional d’Île-de-France, regrette « l’honneur perdu » du député de Debout la France. La décision de Nicolas Dupont-Aignan a également provoqué des remous dans son parti, dont le vice-président, l’ancien journaliste Dominique Jamet, a claqué la porte. Les habitants de la ville de Yerres (Essonne), dont Dupont-Aignan est maire depuis 1995, ont également organisé une manifestation impromptue pour protester contre ce ralliement, nombre d’entre eux ayant voulu se désolidariser de leur maire.

Dupont-Aignan : un oligarque pour rendre Le Pen présentable

Dupont-Aignan : un oligarque pour rendre Le Pen présentable

 

Il est clair que Marine Le Pen souffre d’un sérieux déficit de compétences et d’images. En outre son entourage est surtout composé de bras cassés, d’extrémistes illuminés et d’aventuriers ; uen exception,  Philippot, le vice-président, énarque dont la tonalité apaisée du propos tranche avec le délire verbal des autres ; ceci étend sur le fond Philippot partage les mêmes propositions folles de Marine Le Pen mais au moins il est plus présentable. La candidate du front national, elle, présente un profil plus proche de celle d’une marchande de poisson que d’une candidate à l’élection présidentielle (sans parler des affaires). Du coup elle a un énorme besoin de respectabilité. D’où le recrutement d’un autre énarque Dupont Aignan, en déshérence financière et qui va chercher au front national les soutiens qui lui permettront de continuer de faire de la politique. Dupont Aignan  n’est pas un perdreau de l’année, c’est un vrai produit du système, il a pratiquement toujours vécu de la politique depuis 30 ans. Comme candidats anti système on fait mieux ! Emmanuel Macron a qualifié samedi de « combine d’appareil » le soutien de Nicolas Dupont-Aignan à Marine Le Pen, son adversaire au second tour de l’élection présidentielle française, qui chercherait là à « régler (ses) problèmes de crédibilité ». Le député de l’Essonne, arrivé sixième du premier tour avec 4,70% des voix, a annoncé vendredi son ralliement à la candidate du Front national, qui lui a en retour promis le poste de Premier ministre en cas de victoire, le 7 mai. Ce soutien signe une « clarification de la vie politique française », a réagi Emmanuel Macron lors d’une visite d’une exploitation agricole à Usseau, dans la Vienne. « Ce à quoi on a assisté hier me semble être une combine d’appareil, qui a vocation à régler les problèmes de crédibilité de Mme Le Pen, qui (…) n’a pas d’équipe autour d’elle, et les problèmes de financement de M. Dupont-Aignan », a-t-il ajouté.

Jean-Pierre Masseret ex PS Grand Est sur France info : le charabia de l’oligarque !

Jean-Pierre Masseret  ex PS Grand Est sur France info : le charabia de l’oligarque !

 

Il était intéressant d’entendre ce matin Jean-Pierre Masseret sur France Info car son propos illustrait bien le charabia infâme des oligarques du PS. Une constatation d’abord, Pierre Masseret n’est pas un intello mais un politicien de carrière.  Il était inspecteur des impôts et cela fait 35 ans qu’il cumule les mandats électoraux. Il s’est montré complètement incapable de traiter avec un peu de profondeur la problématique socio économique qui justifie la colère de nombre d’électeurs qui votent FN. Certes il reconnaît les dommages du chômage mais en même temps évoque les « formidables »  actions du gouvernement « insuffisamment expliquées ». Pas étonnant comme la plupart de ses collègues socialistes, anciens fonctionnaires, Jean-Pierre Masseret ignore tout de l’économie et sans doute des réalités sociales même s’il en parle pour légitimer sa posture gauchisante. Ces explications étaient bien pathétiques et son propos était du niveau d’un conseiller général de la France profonde. Du bla-bla incompréhensible qui mélange des valeurs républicaines, des références gauchistes et  des propos de bistrot. L’intéressé affirme qu’il ne se bat pas pour des postes ; dès lors,  on se demande bien pourquoi à 71 ans il est encore sénateur et ambitionne en plus d’être président de la région du Grand Est. En outre il a l’outrecuidance d’affirmer qu’en dépit de son âge il est beaucoup plus jeune que d’autres. Pourtant la nullité de son argumentation ne peut l’exonérer de toute sénilité. Comme beaucoup d’autres responsables politiques Jean-Pierre Masseret a parlé de sa carrière politique comme si l’engagement au service de l’intérêt général pouvait se concevoir comme un métier dans lequel on fait une carrière. Encore un dévoiement de la fonction électorale. La  discours de Jean-Pierre Masseret illustre  bien ce qu’est devenu le PS : une congrégation d’apparatchiks  qui ne se rendent  même pas compte de l’incongruité de leurs propos

Jean-Pierre Masseret ex PS Grand Est : socialiste, fonctionnaire, oligarque, cumulard, franc maçon et gauchisant

Jean-Pierre Masseret  ex PS Grand Est : socialiste, fonctionnaire, oligarque, cumulard, franc maçon et gauchisant

 

Jean Pierre Masseret c’est l’archétype du responsable PS « ferme » sur les valeurs de gauche mais dont le comportement est celui d’un oligarque cumulard. Première observation,  pourquoi le PS a-t-il choisi comme tête de liste un oligarque de plus de 70 ans déjà sénateur ? On comprend que l’intéressé trouve son compte mais certainement pas la démocratie. Jean-Pierre Masseret comme nombre de responsables du PS est un fonctionnaire qui forcément n’a qu’une connaissance approximative des réalités économiques et sociales (ancien inspecteur des impôts !), Bref un vrai « socialiste ». En plus gauchisant puisqu’il a voté contre le traité constitutionnel de 2005, comme le FN d’ailleurs ou l’extrême gauche (deux extrêmes qui se rejoignent souvent, témoin le siphonage des voies de Mélenchon par le FN lors des régionales). Franc-maçon en plus, Jean-Pierre Masseret n’a pas honte de contribuer à faire élire le Front national. En dépit de toutes les pressions le « puriste » Masseret a  donc refusé d’obéir aux consignes nationales de retrait, malgré sa troisième place au premier tour, et décidé de maintenir sa liste, qu’il a déposée dès lundi. Cela alors qu’une majorité de colistiers s’est prononcée pour le retrait. Il est possible que la région du Grand Est soit la seule région gagnée par le FN car pour l’instant les sondages montrent que la droite pourrait devancer le Front National aussi bien dans le Nord  qu’en PACA. La porte-parole du PS, Corinne Narassiguin, avait pourtant  déclaré : « Une claire majorité absolue des colistiers socialistes sont candidats contre leur gré, ils refusent de participer de quelque manière que ce soit à une victoire du FN dans leur région. Il revient maintenant à Jean-Pierre Masseret de retrouver son sens des responsabilités dans la défense des valeurs de la République, en se retirant de la campagne du deuxième tour ».  Mais Jean-Pierre Masseret n’a pas tenu compte de cet appel. Il préfère échanger l’enjeu national contre quelques strapontins avec les indemnités financières qui l’accompagnent (autour de 2500 € par mois) qui viendront s’ajouter à la confortable rémunération du Sénat (autour de 10 000 euros par mois).C’  Est quand même mieux que le salaire d’un inspecteur des impôts qui tourne autour de 2500 euros ! (ou que le montant de la retraite) !  




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