Archive pour le Tag 'au'

Poutine pris au piège de la guerre

Poutine pris au piège de la guerre

D’une certaine manière, Poutine est pris au piège de la guerre qui constitue la colonne vertébrale pour maintenir son régime de dictature.

Depuis que le camp occidental- mais bien au-delà- soutient la proposition commune des Américains et des ukrainiens, Poutine va devoir se positionner. Son problème est d’habiller ce qui constitue en réalité sa défaite par rapport à son projet de guerre. L’objectif était en effet d’envahir au départ en quelques jours l’ensemble de l’Ukraine. Non seulement il n’a réussi (ce qui est déjà intolérable) à prendre qu’ environ 20 % du territoire ukrainien mais il a surtout montré ses limites militaires. Il pourra difficilement crier victoire mais comme au KGB en Russie on a l’habitude de proclamer le contraire de la réalité. Le pire pour lui c’est qu’il a réussi à réveiller l’instinct de défense de l’Europe et même davantage. Pour beaucoup de pays dans le monde, il devient l’agresseur potentiel avec notamment sa guerre hybride qui consiste à déstabiliser les pays démocratiques

Le président américain a également pressé son homologue russe d’accepter la proposition de cessez-le-feu négociée la veille à Djedda. « Nous attendons tous avec impatience la réponse de la Russie et nous lui demandons instamment d’envisager de mettre fin à toutes les hostilités », a déclaré pour sa part un peu plus tôt dans la journée Marco Rubio, le secrétaire d’État américain, lors d’une escale en Irlande sur le chemin du retour à Washington.

Droits de douane : Trump recule encore face au Canada

Droits de douane : Trump recule encore face au Canada

Sous la pression des acteurs économiques, Trump contraint de reculer sur les taxes douanières au Canada. Une nouvelle preuve que le président américain peut dire une chose et son contraire presque au même moment et dans la même phrase;Au Canada mais aussi aux États-Unis Beaucoup estiment que Trump mène l’économie vers la catastrophe en particulier avec sa perspective de folles augmentations des droits de douane.

Notamment du fait que dans les processus de production certaines marchandises avant d’être fini passe plusieurs fois la frontière et seront donc incapables d’être compétitive en raison du matraquage douanier. Trame avait annoncé des droits de douane de 25 % avant de déclarer qu’il allait les doubler à 50 %. Sans parler évidemment de son projet de faire du Canada un état rattaché aux États-Unis !

Cette stratégie de marchands de tapis désoriente complètement les acteurs économiques et bloque les perspectives de développement. Le résultat immédiat est le plongeon des bourses américaines. La conséquence suivante sera la détérioration de la croissance des États-Unis précédemment sur une tendance de hausse de 3 % et qui pourrait bien se retrouver avec une baisse de 3 % d’après des institutions américaines.

Alors qu’il avait annoncé son intention de doubler à 50% contre 25% auparavant les droits de douane sur l’acier et l’aluminium canadiens à compter de mercredi, Donald Trump est revenu sur sa décision mardi soir. Il a par ailleurs assuré que l’économie américaine n’entrera pas en récession cette année, alors que les marchés commencent à s’inquiéter de cette perspective, ajoutant qu’il n’était «pas inquiet» face à la chute des indices boursiers depuis un peu plus d’une semaine. Notons que le seul groupe d’Elon Musk a déjà perdu près de 100 milliards à la bourse.

Appel au boycott des produits américains

Appel au boycott des produits américains

Les chaînes d’information et le Monde ont souligné qu’un appel au boycott des produits américains avait été lancé par les pays européens du Nord en particulier en Norvège. Ce mouvement sans doute cependant pour l’instant symbolique mesure le décalage de pays  anciennement très atlantistes et désormais davantage européens. Le mouvement pourrait s’étendreau  reste de l’Europe pour marquer la réprobation de l’alignement de Trump sur Poutine.  

L mouvement appelant à boycotter les marques américaines prend de l’ampleur. Ces dernières semaines, plusieurs groupes ont vu le jour sur Facebook, listant les produits et services à mettre à l’index. Si l’impact de cette action est encore difficile à évaluer, les participants espèrent inspirer une mobilisation plus large, au niveau européen. Notamment concernant des produits ou des services américains comme McDo voire les grands du numérique.

Aide au développement : réduction de 90 % de la part des États-Unis

Aide au développement : réduction de 90 % de la part des États-Unis

Trump a annoncé mercredi 26 février  la suppression de 92% des financements de programmes à l’étranger par l’agence américaine de développement, l’USAID, se targuant de «faire économiser près de 60 milliards de dollars aux contribuables». Le président Donald Trump a signé un décret le 20 janvier, dès son retour à la Maison-Blanche, ordonnant un gel de l’aide étrangère américaine pour 90 jours, le temps d’un réexamen complet afin d’évaluer sa conformité avec la politique qu’il entend mener, notamment contre les programmes favorisant l’avortement, le planning familial ou encore prônant la diversité et l’inclusion.

 

Politique -Richard Ferrand, un margoulin au conseil constitutionnel

Politique -Richard Ferrand, un margoulin au conseil constitutionnel

Il est clair que le conseil constitutionnel sera complètement déconsidéré avec  Richard Ferrand un proche, même très proche du président de la république, nommé à la tête du conseil constitutionnel à la place de Fabius. Richard Ferrand n’a aucune compétence juridique, ni diplôme ni expérience en outre et surtout il a été mêlé à une magouille financière qui a été épongée par les autorités judiciaires au motif de prescription ! Rappel de l’affaire.

 

 

Il est clair que Richard Ferrand a largement utilisé son double statut de dirigeant des Mutuelles de Bretagne et d’élu pour directement et indirectement se remplir les poches. L’affaire la plus scandaleuse concerne un contrat de location d’un local par les Mutuelles de Bretagne à la compagne de Ferrand alors que cette dernière ne possédait pas encore ce local. Grâce à de généreuses conditions de location de ce local, la compagne de Ferrand a pu réaliser un petit profit de l’ordre de 800 000 €. Le détail de ces opérations est rappelé ci-après à partir d’une information tirée de Wikipédia. Toute la famille Ferrand a bénéficié des largesses mutuelles de Bretagne : son ancienne femme, ensuite sa compagne et lui-même. La justice de Brest avait enterré l’affaire considérant qu’il s’agissait d’une affaire privée et que les délais d’instruction étaient dépassés. Comme le dossier a été dépaysé à Lille, les nouveaux juges ont porté un autre regard sur ses affaires en mettant en examen Richard Ferrand. Ces nouveaux juges connaissent évidemment le contexte politique particulièrement délicat qui entoure cette affaire et s’ils ont mis en examen Richard Ferrand s’est qu’il dispose d’éléments nouveaux. Tout cela révèle que les bonnes vieilles pratiques provinciales de la IVe République ne sont pas mortes avec des relations plus ou moins sulfureuses entre les élus politiques, le monde économique et la justice. Bref le nouveau monde promis par Macron et bien mort-né surtout si on n’y ajoute les autres affaires concernant par exemple le MoDem et Bayrou, Benalla, de Rugy, le secrétaire de l’Élysée, Macron lui-même avec les conditions de financement de sa campagne. On pourrait ajouter les lenteurs de la justice concernant aussi bien les affaires de Sarkozy que celle de tapie vis-à-vis desquels le pouvoir semble manifester une grande bienveillance. Bref, il n’y a pas de Nouveau Monde dans la république en marche mais plutôt la résurgence de pratiques caractérisées par la confusion des intérêts entre le monde politique, le monde économique et l’État.

 

Le résumé de l’affaire dans Wikipédia :

 

En mai 2017, Le Canard enchaîné, Le Monde et Mediapart révèlent que les Mutuelles de Bretagne (MDB) ont été subventionnées à hauteur de 55 000 euros par de l’argent public99 lorsque Richard Ferrand les dirigeait dans les années 2010. Selon eux, son ex-femme Françoise Coustal, artiste plasticienne, a facturé aux Mutuelles de Bretagne des travaux d’aménagement d’un Ehpad, situé à Guilers, qui a bénéficié d’une subvention de 1,66 million d’euros100 du Conseil départemental du Finistère, dont Richard Ferrand était alors vice-président. Les Mutuelles de Bretagne ont ensuite fait effectuer d’autres travaux, pour 184 000 euros, dans un local appartenant à l’avocate Sandrine Doucen, sa compagne et mère de sa fille101, qui a par ailleurs facturé régulièrement aux Mutuelles de Bretagne des services de conseil juridique. Plus anecdotiquement, selon ces mêmes médias, Richard Ferrand a, une fois élu député en juin 2012, conservé un poste de chargé de mission des Mutuelles de Bretagne, rémunéré 1 250 euros102 par mois ou 1 547 euros par mois, selon les sources, et embauché comme assistant parlementaire Hervé Clabon, compagnon de son ex-adjointe puis son fils101. Ces révélations ont déclenché une polémique nationale, le Front national demandant sa démission du gouvernement, LR la saisie du Parquet national financier, et le 1er secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis à l’exécutif de s’exprimer103. Le 1er juin 2017, Éric Mathais, procureur de la République de Brest, ouvre une enquête préliminaire, confiée à la police judiciaire de Rennes104.

Richard Ferrand affirmera qu’il n’était « jamais intervenu pour qu’elle obtienne un quelconque contrat » et que « la première fois que les Mutuelles ont fait appel à ses prestations, c’était en 2002, donc 8 ans après notre divorce »105.

Appel d’offres attribué par les Mutuelles de Bretagne à sa compagne[modifier | modifier le code]

Le 23 décembre 2010106, Richard Ferrand signe un compromis de vente avec une clause suspensive en cas de non-location ultérieure par les Mutuelles de Bretagne107, pour un local de 379 m2108, 2 rue George-Sand à Brest109.

Le 25 janvier 2011, le conseil d’administration des Mutuelles de Bretagne choisit à l’unanimité la proposition de la Saca, une SCI qui « n’a pas encore d’existence légale » et « n’est même pas encore propriétaire des surfaces qu’elle propose » comme le rappelle Le Canard enchaîné110. Sur le procès-verbal de la réunion du conseil d’administration à aucun moment n’est mentionné le nom de Sandrine Doucen110.

Sandrine Doucen crée le 28 mars 2011 la Saca, une SCI, dont elle détient 99 % des parts111.

Le 1er juillet 2011110, la SCI la Saca achète 402 000 € frais de notaire inclus108, grâce à un crédit remboursable sur quinze ans du Crédit agricole qui finance intégralement l’achat, sans aucun apport, ayant selon Le Canard enchaîné un « traitement réservé aux acquéreurs qui disposent d’un locataire dont les revenus sont garantis ». Revenus garantis par les 42 000 € de loyers annuels versés par les Mutuelles de Bretagne, dont Richard Ferrand est le directeur général.

Les Mutuelles de Bretagne effectuent peu après, sans contrepartie, pour 184 000 euros de travaux dans le local acheté par Sandrine Doucen. Quelques années plus tard, la SCI de Sandrine Doucen est valorisée, lors d’une transaction, à 3 000 fois le montant du capital initial de 100 € soit 300 000 €112. Selon Le Canard enchaîné, l’avocate Sandrine Doucen a par ailleurs facturé des conseils juridiques aux Mutuelles de Bretagne en matière de gestion des ressources humaines.

Guerre au Congo : L’ONU condamne le Rwanda

Guerre au Congo : L’ONU condamne le Rwanda

La résolution de l’Onu condamne l’offensive du M23 au Nord-Kivu et au Sud-Kivu « avec le soutien des forces rwandaises » et exige que les rebelles cessent immédiatement leurs hostilités et se retirent.

Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté vendredi une résolution demandant au Rwanda de cesser de soutenir les rebelles du M23 et de retirer immédiatement et « sans conditions préalables » ses troupes de l’est de la République démocratique du Congo (RDC).

Les 15 membres du Conseil ont approuvé à l’unanimité le texte rédigé par la France, qui exhorte également Kinshasa et Kigali à reprendre les négociations diplomatiques pour trouver une solution pacifique au conflit.

Le Rwanda nie soutenir le M23, qui s’est emparé ces dernières semaines des deux plus grandes villes de l’est de la RDC, Goma et Bukavu, et affirme se défendre contre des miliciens hutus qui combattent aux côtés de l’armée congolaise.

La résolution de l’Onu condamne l’offensive du M23 au Nord-Kivu et au Sud-Kivu « avec le soutien des forces rwandaises » et exige que les rebelles cessent immédiatement leurs hostilités et se retirent.

Le Congo accuse le Rwanda d’utiliser le M23 pour faire main basse sur ses ressources minérales comme l’or et le coltan, ce que Kigalie nie.

La résolution condamne également le soutien apporté par l’armée congolaise aux Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), un groupe armé fondé par des Hutus qui ont fui le Rwanda après avoir participé au génocide de 1994.

 

Un homme poignardé au Mémorial de l’Holocauste à Berlin

Un homme poignardé  au Mémorial de l’Holocauste à Berlin

Un Espagnol de 30 ans a été grièvement blessé vendredi soir par un assaillant dans l’enceinte du Mémorial de l’Holocauste à Berlin, à deux jours d’élections législatives en Allemagne, et la police a arrêté un suspect.

Politique -Richard Ferrand, un margoulin au conseil constitutionnel

Politique -Richard Ferrand, un margoulin au conseil constitutionnel

Il est clair que le conseil constitutionnel sera complètement déconsidéré avec  Richard Ferrand un proche, même très proche du président de la république, nommé à la tête du conseil constitutionnel à la place de Fabius. Richard Ferrand n’a aucune compétence juridique, ni diplôme ni expérience en outre et surtout il a été mêlé à une magouille financière qui a été épongée par les autorités judiciaires au motif de prescription ! Rappel de l’affaire.

Affaire Ferrand : une grosse magouille financière

 

Il est clair que Richard Ferrand a largement utilisé son double statut de dirigeant des Mutuelles de Bretagne et d’élu pour directement et indirectement se remplir les poches. L’affaire la plus scandaleuse concerne un contrat de location d’un local par les Mutuelles de Bretagne à la compagne de Ferrand alors que cette dernière ne possédait pas encore ce local. Grâce à de généreuses conditions de location de ce local, la compagne de Ferrand a pu réaliser un petit profit de l’ordre de 800 000 €. Le détail de ces opérations est rappelé ci-après à partir d’une information tirée de Wikipédia. Toute la famille Ferrand a bénéficié des largesses mutuelles de Bretagne : son ancienne femme, ensuite sa compagne et lui-même. La justice de Brest avait enterré l’affaire considérant qu’il s’agissait d’une affaire privée et que les délais d’instruction étaient dépassés. Comme le dossier a été dépaysé à Lille, les nouveaux juges ont porté un autre regard sur ses affaires en mettant en examen Richard Ferrand. Ces nouveaux juges connaissent évidemment le contexte politique particulièrement délicat qui entoure cette affaire et s’ils ont mis en examen Richard Ferrand s’est qu’il dispose d’éléments nouveaux. Tout cela révèle que les bonnes vieilles pratiques provinciales de la IVe République ne sont pas mortes avec des relations plus ou moins sulfureuses entre les élus politiques, le monde économique et la justice. Bref le nouveau monde promis par Macron et bien mort-né surtout si on n’y ajoute les autres affaires concernant par exemple le MoDem et Bayrou, Benalla, de Rugy, le secrétaire de l’Élysée, Macron lui-même avec les conditions de financement de sa campagne. On pourrait ajouter les lenteurs de la justice concernant aussi bien les affaires de Sarkozy que celle de tapie vis-à-vis desquels le pouvoir semble manifester une grande bienveillance. Bref, il n’y a pas de Nouveau Monde dans la république en marche mais plutôt la résurgence de pratiques caractérisées par la confusion des intérêts entre le monde politique, le monde économique et l’État.

 

Le résumé de l’affaire dans Wikipédia :

 

En mai 2017, Le Canard enchaîné, Le Monde et Mediapart révèlent que les Mutuelles de Bretagne (MDB) ont été subventionnées à hauteur de 55 000 euros par de l’argent public99 lorsque Richard Ferrand les dirigeait dans les années 2010. Selon eux, son ex-femme Françoise Coustal, artiste plasticienne, a facturé aux Mutuelles de Bretagne des travaux d’aménagement d’un Ehpad, situé à Guilers, qui a bénéficié d’une subvention de 1,66 million d’euros100 du Conseil départemental du Finistère, dont Richard Ferrand était alors vice-président. Les Mutuelles de Bretagne ont ensuite fait effectuer d’autres travaux, pour 184 000 euros, dans un local appartenant à l’avocate Sandrine Doucen, sa compagne et mère de sa fille101, qui a par ailleurs facturé régulièrement aux Mutuelles de Bretagne des services de conseil juridique. Plus anecdotiquement, selon ces mêmes médias, Richard Ferrand a, une fois élu député en juin 2012, conservé un poste de chargé de mission des Mutuelles de Bretagne, rémunéré 1 250 euros102 par mois ou 1 547 euros par mois, selon les sources, et embauché comme assistant parlementaire Hervé Clabon, compagnon de son ex-adjointe puis son fils101. Ces révélations ont déclenché une polémique nationale, le Front national demandant sa démission du gouvernement, LR la saisie du Parquet national financier, et le 1er secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis à l’exécutif de s’exprimer103. Le 1er juin 2017, Éric Mathais, procureur de la République de Brest, ouvre une enquête préliminaire, confiée à la police judiciaire de Rennes104.

Richard Ferrand affirmera qu’il n’était « jamais intervenu pour qu’elle obtienne un quelconque contrat » et que « la première fois que les Mutuelles ont fait appel à ses prestations, c’était en 2002, donc 8 ans après notre divorce »105.

Appel d’offres attribué par les Mutuelles de Bretagne à sa compagne[modifier | modifier le code]

Le 23 décembre 2010106, Richard Ferrand signe un compromis de vente avec une clause suspensive en cas de non-location ultérieure par les Mutuelles de Bretagne107, pour un local de 379 m2108, 2 rue George-Sand à Brest109.

Le 25 janvier 2011, le conseil d’administration des Mutuelles de Bretagne choisit à l’unanimité la proposition de la Saca, une SCI qui « n’a pas encore d’existence légale » et « n’est même pas encore propriétaire des surfaces qu’elle propose » comme le rappelle Le Canard enchaîné110. Sur le procès-verbal de la réunion du conseil d’administration à aucun moment n’est mentionné le nom de Sandrine Doucen110.

Sandrine Doucen crée le 28 mars 2011 la Saca, une SCI, dont elle détient 99 % des parts111.

Le 1er juillet 2011110, la SCI la Saca achète 402 000 € frais de notaire inclus108, grâce à un crédit remboursable sur quinze ans du Crédit agricole qui finance intégralement l’achat, sans aucun apport, ayant selon Le Canard enchaîné un « traitement réservé aux acquéreurs qui disposent d’un locataire dont les revenus sont garantis ». Revenus garantis par les 42 000 € de loyers annuels versés par les Mutuelles de Bretagne, dont Richard Ferrand est le directeur général.

Les Mutuelles de Bretagne effectuent peu après, sans contrepartie, pour 184 000 euros de travaux dans le local acheté par Sandrine Doucen. Quelques années plus tard, la SCI de Sandrine Doucen est valorisée, lors d’une transaction, à 3 000 fois le montant du capital initial de 100 € soit 300 000 €112. Selon Le Canard enchaîné, l’avocate Sandrine Doucen a par ailleurs facturé des conseils juridiques aux Mutuelles de Bretagne en matière de gestion des ressources humaines.

Politique -Richard Ferrand au conseil constitutionnel : un incompétent et un voleur

 

Richard Ferrand au conseil constitutionnel : un incompétent et un voleur

Il est clair que le conseil constitutionnel sera complètement déconsidéré avec  Richard Ferrand un proche, même très proche du président de la république, nommé à la tête du conseil constitutionnel à la place de Fabius. Richard Ferrand n’a aucune compétence juridique, ni diplôme ni expérience en outre et surtout il a été mêlé à une magouille financière qui a été épongée par les autorités judiciaires au motif de prescription ! Rappel de l’affaire.

Affaire Ferrand : une grosse magouille financière

 

Il est clair que Richard Ferrand a largement utilisé son double statut de dirigeant des Mutuelles de Bretagne et d’élu pour directement et indirectement se remplir les poches. L’affaire la plus scandaleuse concerne un contrat de location d’un local par les Mutuelles de Bretagne à la compagne de Ferrand alors que cette dernière ne possédait pas encore ce local. Grâce à de généreuses conditions de location de ce local, la compagne de Ferrand a pu réaliser un petit profit de l’ordre de 800 000 €. Le détail de ces opérations est rappelé ci-après à partir d’une information tirée de Wikipédia. Toute la famille Ferrand a bénéficié des largesses mutuelles de Bretagne : son ancienne femme, ensuite sa compagne et lui-même. La justice de Brest avait enterré l’affaire considérant qu’il s’agissait d’une affaire privée et que les délais d’instruction étaient dépassés. Comme le dossier a été dépaysé à Lille, les nouveaux juges ont porté un autre regard sur ses affaires en mettant en examen Richard Ferrand. Ces nouveaux juges connaissent évidemment le contexte politique particulièrement délicat qui entoure cette affaire et s’ils ont mis en examen Richard Ferrand s’est qu’il dispose d’éléments nouveaux. Tout cela révèle que les bonnes vieilles pratiques provinciales de la IVe République ne sont pas mortes avec des relations plus ou moins sulfureuses entre les élus politiques, le monde économique et la justice. Bref le nouveau monde promis par Macron et bien mort-né surtout si on n’y ajoute les autres affaires concernant par exemple le MoDem et Bayrou, Benalla, de Rugy, le secrétaire de l’Élysée, Macron lui-même avec les conditions de financement de sa campagne. On pourrait ajouter les lenteurs de la justice concernant aussi bien les affaires de Sarkozy que celle de tapie vis-à-vis desquels le pouvoir semble manifester une grande bienveillance. Bref, il n’y a pas de Nouveau Monde dans la république en marche mais plutôt la résurgence de pratiques caractérisées par la confusion des intérêts entre le monde politique, le monde économique et l’État.

 

Le résumé de l’affaire dans Wikipédia :

 

En mai 2017, Le Canard enchaîné, Le Monde et Mediapart révèlent que les Mutuelles de Bretagne (MDB) ont été subventionnées à hauteur de 55 000 euros par de l’argent public99 lorsque Richard Ferrand les dirigeait dans les années 2010. Selon eux, son ex-femme Françoise Coustal, artiste plasticienne, a facturé aux Mutuelles de Bretagne des travaux d’aménagement d’un Ehpad, situé à Guilers, qui a bénéficié d’une subvention de 1,66 million d’euros100 du Conseil départemental du Finistère, dont Richard Ferrand était alors vice-président. Les Mutuelles de Bretagne ont ensuite fait effectuer d’autres travaux, pour 184 000 euros, dans un local appartenant à l’avocate Sandrine Doucen, sa compagne et mère de sa fille101, qui a par ailleurs facturé régulièrement aux Mutuelles de Bretagne des services de conseil juridique. Plus anecdotiquement, selon ces mêmes médias, Richard Ferrand a, une fois élu député en juin 2012, conservé un poste de chargé de mission des Mutuelles de Bretagne, rémunéré 1 250 euros102 par mois ou 1 547 euros par mois, selon les sources, et embauché comme assistant parlementaire Hervé Clabon, compagnon de son ex-adjointe puis son fils101. Ces révélations ont déclenché une polémique nationale, le Front national demandant sa démission du gouvernement, LR la saisie du Parquet national financier, et le 1er secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis à l’exécutif de s’exprimer103. Le 1er juin 2017, Éric Mathais, procureur de la République de Brest, ouvre une enquête préliminaire, confiée à la police judiciaire de Rennes104.

Richard Ferrand affirmera qu’il n’était « jamais intervenu pour qu’elle obtienne un quelconque contrat » et que « la première fois que les Mutuelles ont fait appel à ses prestations, c’était en 2002, donc 8 ans après notre divorce »105.

Appel d’offres attribué par les Mutuelles de Bretagne à sa compagne[modifier | modifier le code]

Le 23 décembre 2010106, Richard Ferrand signe un compromis de vente avec une clause suspensive en cas de non-location ultérieure par les Mutuelles de Bretagne107, pour un local de 379 m2108, 2 rue George-Sand à Brest109.

Le 25 janvier 2011, le conseil d’administration des Mutuelles de Bretagne choisit à l’unanimité la proposition de la Saca, une SCI qui « n’a pas encore d’existence légale » et « n’est même pas encore propriétaire des surfaces qu’elle propose » comme le rappelle Le Canard enchaîné110. Sur le procès-verbal de la réunion du conseil d’administration à aucun moment n’est mentionné le nom de Sandrine Doucen110.

Sandrine Doucen crée le 28 mars 2011 la Saca, une SCI, dont elle détient 99 % des parts111.

Le 1er juillet 2011110, la SCI la Saca achète 402 000 € frais de notaire inclus108, grâce à un crédit remboursable sur quinze ans du Crédit agricole qui finance intégralement l’achat, sans aucun apport, ayant selon Le Canard enchaîné un « traitement réservé aux acquéreurs qui disposent d’un locataire dont les revenus sont garantis ». Revenus garantis par les 42 000 € de loyers annuels versés par les Mutuelles de Bretagne, dont Richard Ferrand est le directeur général.

Les Mutuelles de Bretagne effectuent peu après, sans contrepartie, pour 184 000 euros de travaux dans le local acheté par Sandrine Doucen. Quelques années plus tard, la SCI de Sandrine Doucen est valorisée, lors d’une transaction, à 3 000 fois le montant du capital initial de 100 € soit 300 000 €112. Selon Le Canard enchaîné, l’avocate Sandrine Doucen a par ailleurs facturé des conseils juridiques aux Mutuelles de Bretagne en matière de gestion des ressources humaines.

 

Des civils tués par l’armée et Wagner au Mali

Des civils tués par l’armée et Wagner au Mali

 

L’armée malienne et des membres de la milice russe Wagner sont accusés d’avoir tué des civils dont des migrants clandestins en direction de l’Algérie.

 

Une vingtaine de civils, dont des personnes migrantes voyageant clandestinement vers l’Algérie, ont été tués lundi à l’aube dans le nord du Mali quand leurs véhicules ont été pris pour cibles, ont affirmé à l’AFP des sources locales, accusant des mercenaires du groupe russe Wagner et des militaires maliens. Un parent du chauffeur d’un des deux véhicules de transport routier, contacté par l’AFP à Gao, principale ville du nord du Mali, a confirmé cet incident meurtrier.

 

Depuis qu’ils ont pris le pouvoir lors de coups d’État en 2020 et 2021 au Mali, les militaires ont rompu la vieille alliance avec l’ancienne puissance coloniale française et se sont ensuite tournés militairement et politiquement vers la Russie. Le Mali est en proie depuis 2012 aux agissements de groupes affiliés à Al-Qaïda et au groupe État islamique (EI) et aux violences de groupes communautaires et crapuleux. L’ONG Human Rights Watch (HRW) avait dénoncé mi-décembre dernier les «atrocités» commises contre les civils par l’armée malienne et son allié russe Wagner, ainsi que par les groupes armés islamistes.

Autriche : Attaque au couteau, un mort et des blessés

Autriche : Attaque au couteau, un mort et des blessés

La police a interpellé le suspect, un Syrien de 24 ans en situation régulière.

Un Syrien de 23 ans a tué un adolescent de 14 ans dans une attaque au couteau à Villach, en Autriche, ce samedi selon la police. Il avait poignardé d’autres passants auparavant, blessant au moins cinq personnes. Un des blessés subit actuellement une intervention chirurgicale d’urgence, d’après le quotidien allemand BILD . L’assaillant serait en situation régulière et a été interpellé par la police, comme le montrent plusieurs images qui circulent sur les réseaux sociaux.


 

Croissance France : coup de mou au premier trimestre d’après la Banque de France

Croissance France : coup de mou au premier trimestre d’après la Banque de France

Après la quasi stagnation de la croissance au quatrième trimestre 2024, il ne fallait pas s’attendre à des miracles en matière d’activité économique pour ce début d’année 2025. La Banque de France prévoit seulement une hausse de 0,1% à 0,2% du PIB au premier trimestre. Du coup à peine adoptés les budgets publics sont déjà remis en cause.

La Banque de France a indiqué mardi prévoir une légère hausse de l’activité économique française au premier trimestre, par rapport au quatrième trimestre 2024, tirée par les services dans un contexte d’incertitudes budgétaire et commerciale. Selon une première estimation de l’institution, le produit intérieur brut (PIB) augmenterait de 0,1% à 0,2% entre janvier et mars, dans la continuité de la croissance observée fin 2024, si on exclut l’effet négatif du contrecoup des Jeux olympiques et paralympiques de Paris.

L’enquête mensuelle de conjoncture menée du 29 janvier au 5 février, soit la veille de l’adoption définitive du budget de l’État au Parlement, confirme la tendance d’«une activité en légère progression, même si elle évolue un peu en dents de scie d’un mois sur l’autre», a déclaré le chef économiste de la Banque de France, Olivier Garnier, à la presse. Selon l’Institut national de la statistique (Insee), le PIB s’est contracté de 0,1% au quatrième trimestre l’an dernier, en partie du fait du contrecoup des JO qui avaient nettement tiré la croissance les trois mois précédents.
Coup de mou
En janvier, les quelque 8500 entreprises interrogées dans le cadre de l’enquête ont mentionné une progression plus forte qu’attendu de l’activité dans l’industrie, les services marchands et le bâtiment. Le secteur automobile, notamment, a bénéficié d’un effet de rattrapage après des fermetures plus longues qu’habituellement en décembre. À l’inverse, la métallurgie est en repli.

Février serait en revanche marqué par un coup de mou.

Sur le front des prix, après la forte inflation de l’après-pandémie, la Banque de France a signalé une normalisation: la proportion d’entreprises ayant augmenté leurs prix en janvier est «proche ou inférieure» à celle de la période pré-Covid. Les difficultés de recrutement ont également baissé, citées par seulement 26% des entreprises (-4 points de pourcentage par rapport à décembre). Malgré des destructions d’emplois et une dégradation du marché du travail, le taux de chômage en France a très légèrement diminué de 0,1 point au dernier trimestre 2024, à 7,3% de la population active, selon l’Insee

Richard Ferrand au conseil constitutionnel : un incompétent et un voleur

Richard Ferrand au conseil constitutionnel : un incompétent et un voleur

Il est clair que le conseil constitutionnel serait complètement déconsidéré si finalement Richard Ferrand un proche, même très proche du président de la république, était nommé à la tête du conseil constitutionnel à la place de Fabius. Richard Ferrand n’a aucune compétence juridique, ni diplôme ni expérience en outre et surtout il a été mêlé à une magouille financière qui a été épongée par les autorités judiciaires au motif de prescription ! Rappel de l’affaire.

Affaire Ferrand : une grosse magouille financière

 

Il est clair que Richard Ferrand a largement utilisé son double statut de dirigeant des Mutuelles de Bretagne et d’élu pour directement et indirectement se remplir les poches. L’affaire la plus scandaleuse concerne un contrat de location d’un local par les Mutuelles de Bretagne à la compagne de Ferrand alors que cette dernière ne possédait pas encore ce local. Grâce à de généreuses conditions de location de ce local, la compagne de Ferrand a pu réaliser un petit profit de l’ordre de 800 000 €. Le détail de ces opérations est rappelé ci-après à partir d’une information tirée de Wikipédia. Toute la famille Ferrand a bénéficié des largesses mutuelles de Bretagne : son ancienne femme, ensuite sa compagne et lui-même. La justice de Brest avait enterré l’affaire considérant qu’il s’agissait d’une affaire privée et que les délais d’instruction étaient dépassés. Comme le dossier a été dépaysé à Lille, les nouveaux juges ont porté un autre regard sur ses affaires en mettant en examen Richard Ferrand. Ces nouveaux juges connaissent évidemment le contexte politique particulièrement délicat qui entoure cette affaire et s’ils ont mis en examen Richard Ferrand s’est qu’il dispose d’éléments nouveaux. Tout cela révèle que les bonnes vieilles pratiques provinciales de la IVe République ne sont pas mortes avec des relations plus ou moins sulfureuses entre les élus politiques, le monde économique et la justice. Bref le nouveau monde promis par macro et bien mort-né surtout si on n’y ajoute les autres affaires concernant par exemple le MoDem et Bayrou, Benalla, de Rugy, le secrétaire de l’Élysée, Macron lui-même avec les conditions de financement de sa campagne. On pourrait ajouter les lenteurs de la justice concernant aussi bien les affaires de Sarkozy que celle de tapie vis-à-vis desquels le pouvoir semble manifester une grande bienveillance. Bref, il n’y a pas de Nouveau Monde dans la république en marche mais plutôt la résurgence de pratiques caractérisées par la confusion des intérêts entre le monde politique, le monde économique et l’État.

 

Le résumé de l’affaire dans Wikipédia :

 

En mai 2017, Le Canard enchaîné, Le Monde et Mediapart révèlent que les Mutuelles de Bretagne (MDB) ont été subventionnées à hauteur de 55 000 euros par de l’argent public99 lorsque Richard Ferrand les dirigeait dans les années 2010. Selon eux, son ex-femme Françoise Coustal, artiste plasticienne, a facturé aux Mutuelles de Bretagne des travaux d’aménagement d’un Ehpad, situé à Guilers, qui a bénéficié d’une subvention de 1,66 million d’euros100 du Conseil départemental du Finistère, dont Richard Ferrand était alors vice-président. Les Mutuelles de Bretagne ont ensuite fait effectuer d’autres travaux, pour 184 000 euros, dans un local appartenant à l’avocate Sandrine Doucen, sa compagne et mère de sa fille101, qui a par ailleurs facturé régulièrement aux Mutuelles de Bretagne des services de conseil juridique. Plus anecdotiquement, selon ces mêmes médias, Richard Ferrand a, une fois élu député en juin 2012, conservé un poste de chargé de mission des Mutuelles de Bretagne, rémunéré 1 250 euros102 par mois ou 1 547 euros par mois, selon les sources, et embauché comme assistant parlementaire Hervé Clabon, compagnon de son ex-adjointe puis son fils101. Ces révélations ont déclenché une polémique nationale, le Front national demandant sa démission du gouvernement, LR la saisie du Parquet national financier, et le 1er secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis à l’exécutif de s’exprimer103. Le 1er juin 2017, Éric Mathais, procureur de la République de Brest, ouvre une enquête préliminaire, confiée à la police judiciaire de Rennes104.

Richard Ferrand affirmera qu’il n’était « jamais intervenu pour qu’elle obtienne un quelconque contrat » et que « la première fois que les Mutuelles ont fait appel à ses prestations, c’était en 2002, donc 8 ans après notre divorce »105.

Appel d’offres attribué par les Mutuelles de Bretagne à sa compagne[modifier | modifier le code]

Le 23 décembre 2010106, Richard Ferrand signe un compromis de vente avec une clause suspensive en cas de non-location ultérieure par les Mutuelles de Bretagne107, pour un local de 379 m2108, 2 rue George-Sand à Brest109.

Le 25 janvier 2011, le conseil d’administration des Mutuelles de Bretagne choisit à l’unanimité la proposition de la Saca, une SCI qui « n’a pas encore d’existence légale » et « n’est même pas encore propriétaire des surfaces qu’elle propose » comme le rappelle Le Canard enchaîné110. Sur le procès-verbal de la réunion du conseil d’administration à aucun moment n’est mentionné le nom de Sandrine Doucen110.

Sandrine Doucen crée le 28 mars 2011 la Saca, une SCI, dont elle détient 99 % des parts111.

Le 1er juillet 2011110, la SCI la Saca achète 402 000 € frais de notaire inclus108, grâce à un crédit remboursable sur quinze ans du Crédit agricole qui finance intégralement l’achat, sans aucun apport, ayant selon Le Canard enchaîné un « traitement réservé aux acquéreurs qui disposent d’un locataire dont les revenus sont garantis ». Revenus garantis par les 42 000 € de loyers annuels versés par les Mutuelles de Bretagne, dont Richard Ferrand est le directeur général.

Les Mutuelles de Bretagne effectuent peu après, sans contrepartie, pour 184 000 euros de travaux dans le local acheté par Sandrine Doucen. Quelques années plus tard, la SCI de Sandrine Doucen est valorisée, lors d’une transaction, à 3 000 fois le montant du capital initial de 100 € soit 300 000 €112. Selon Le Canard enchaîné, l’avocate Sandrine Doucen a par ailleurs facturé des conseils juridiques aux Mutuelles de Bretagne en matière de gestion des ressources humaines.

 

Politiciens :L’incompétence et le cynisme au pouvoir

Politiciens :L’incompétence et le cynisme au pouvoir  

Les postures de la plupart des responsables témoignent du niveau d’incompétence et de cynisme de la classe politique dont les discours sont en décalage complet avec la réalité et même ce qu’il pensent…. quand il pensent et ne se limite pas au bla-bla !

Il est évident que se pose un véritable problème de représentativité d’une part mais tout autant de compétences d’une classe politique complètement discréditée globalement auprès de l’opinion publique. Macron illustre évidemment un discrédit qui touche la plupart des responsables. S’il en veut faire une analyse typologique assez simpliste, on pourrait d’abord considérer qu’il y a la catégorie des politiques complètement incompétents arrivés en politique par hasard, par copinage et ou au gré des mouvements politiques, ce qui peut faire élire une chèvre à un poste de député ignorant tout de la circonscription.

Dans cette catégorie on trouve souvent ceux qui veulent tout bouleverser, tout changer du jour au lendemain en promettant la lune à tout le monde. La catégorie des braillards qui gesticulent et confondent démocratie et gesticulation.

On compte une catégorie non négligeable de députés complètement incompétents sur le plan économique. Ces derniers parlent de milliards en les confondant sans doute avec les anciens francs. De ce point de vue, ils illustrent la dépréciation du niveau de formation en France. Ce n’est sans doute pas un hasard si les Français en général -et leurs élus bien sûr- figurent parmi les cancres européens en matière de connaissances économiques. Globalement le discours est celui des années 50 quand on ne connaissait pas encore à ce point la complexification et l’internationalisation de l’économie. Les slogans politiques sont aussi ceux des années 50 avec un manichéisme désolant des analyses et des propositions pour entretenir le populisme.
Dans une autre catégorie on trouvera les cyniques qui comprennent parfaitement les enjeux économiques, politiques et sociétaux mais qui refusent de les affronter et même de les aborder.

La médiocrité de ce personnel politique conduit la France dans le mur avec des propositions de budget complètement incohérentes, malhonnêtes et même suicidaires. Que penser par exemple du travail de démolition d’Élisabeth Borne en matière d’éducation où elle remet en cause les mesures les plus signifiantes d’Attal pour ne pas fâcher les syndicats corpos de l’éducation. Le niveau de formation qui pourtant constitue sans doute le principal enjeu du pays .

Société–L’incompétence et le cynisme au pouvoir dans la classe politique

Société–L’incompétence et le cynisme au pouvoir dans la classe politique

Les postures de la plupart des responsables témoignent du niveau d’incompétence et de cynisme de la classe politique dont les discours sont en décalage complet avec la réalité et même ce qu’il pensent…. quand il pensent !

Il est évident que se pose un véritable problème de représentativité d’une part mais tout autant de compétences d’une classe politique complètement discréditée globalement auprès de l’opinion publique. Macron illustre évidemment un discrédit qui touche la plupart des responsables. S’il en veut faire une analyse typologique assez simpliste, on pourrait d’abord considérer qu’il y a la catégorie des politiques complètement incompétents arrivés en politique par hasard, par copinage et ou au gré des mouvements politiques, ce qui peut faire élire une chèvre à un poste de député ignorant tout de la circonscription.

Dans cette catégorie on trouve souvent ceux qui veulent tout bouleverser, tout changer du jour au lendemain en promettant la lune à tout le monde. La catégorie des braillards qui gesticulent et confondent démocratie et gesticulation.

On compte une catégorie non négligeable de députés complètement incompétents sur le plan économique. Ces derniers parlent de milliards en les confondant sans doute avec les anciens francs. De ce point de vue, ils illustrent la dépréciation du niveau de formation en France. Ce n’est sans doute pas un hasard si les Français en général -et leurs élus bien sûr- figurent parmi les cancres européens en matière de connaissances économiques. Globalement le discours est celui des années 50 quand on ne connaissait pas encore à ce point la complexification et l’internationalisation de l’économie. Les slogans politiques sont aussi ceux des années 50 avec un manichéisme désolant des analyses et des propositions pour entretenir le populisme.
Dans une autre catégorie on trouvera les cyniques qui comprennent parfaitement les enjeux économiques, politiques et sociétaux mais qui refusent de les affronter et même de les aborder.

La médiocrité de ce personnel politique conduit la France dans le mur avec des propositions de budget complètement incohérentes, malhonnêtes et même suicidaires. Que penser par exemple du travail de démolition d’Élisabeth Borne en matière d’éducation où elle remet en cause les mesures les plus signifiantes d’Attal pour ne pas fâcher les syndicats corpos de l’éducation. Le niveau de formation qui pourtant constitue sans doute le principal enjeu du pays .

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