Archive pour le Tag 'Greve'

Énergie : Grève aussi le 5 décembre

Énergie : Grève aussi le 5 décembre

Le 5 décembre sera une journée de grève pour les fonctionnaires mais aussi dans le secteur énergétique dont EDF. De quoi renforcer l’expression du mécontentement concernant en particulier les salaires.

L’ intersyndicale de l’énergie a appelé à la grève pour les salaires jeudi 5 décembre dans «l’ensemble des entreprises du secteur électrique et gazier», a-t-on appris vendredi de sources syndicales. Cet appel intervient alors que les négociations salariales ont débuté dans les entreprises et ne sont «pas au niveau» des revendications de l’intersyndicale (CGT/CFE-CGC/CFDT/FO), a indiqué une source syndicale.

Dans le secteur des industries électriques et gazières, les augmentations générales sont décidées au niveau de la branche et s’appliquent dans l’ensemble des entreprises, qui négocient ensuite une enveloppe d’augmentations individuelles, l’addition des deux donnant l’augmentation globale des salariés. «En augmentation générale, on est à +0,8% (…). En entreprises, l’ensemble des quatre organisations syndicales représentatives de la branche ont demandé 2,3% en mesures individuelles», a déclaré à l’AFP Laurent Koessler, chargé du dialogue social à la CFE-Energies, deuxième organisation du secteur, qui compte un peu moins de 140.000 salariés. Or, «les négociations en entreprises ont commencé et on n’est pas à ce niveau», a-t-il ajouté.

PUBLICITÉ

SNCF : confirmation de la grève reconductible à partir du 11 décembre

SNCF : confirmation de la grève reconductible à partir du 11 décembre

 

Tous les syndicats de la SNCF ont appelé lundi 25 novembre les cheminots à se mettre en grève à partir du 11 décembre à 19 heures principalement pour réclamer un moratoire sur le démantèlement de Fret SNCF, mais aussi notamment pour protester contre les modalités de l’ouverture à la concurrence des lignes régionales.

«L’exigence d’un moratoire sur le processus de discontinuité [de Fret SNCF] est plus que jamais d’actualité», écrivent les fédérations de la CGT-Cheminots, l’Unsa-Ferroviaire, Sud-Rail et la CFDT-Cheminots dans un communiqué commun. «Il est impensable et irresponsable de liquider un acteur public majeur et indispensable à la décarbonation des transports», déplorent-ils alors que Fret SNCF, leader français du transport de marchandise sur rail, doit disparaître le 1er janvier au profit de deux nouvelles filiales, moyennant une cure d’amaigrissement et du transfert au privé des trains complets

SNCF  : une proposition pour encadrer le droit de grève ( Sénat)

SNCF  : une proposition pour encadrer le droit de grève ( Sénat)

Pour s’opposer à la vente de Fret SNCF et l’ouverture des lignes régionales à la concurrence, les syndicats de la SNCF pourraient déposer un préavis de grève pour les vacances de Noël. L’occasion pour le sénateur des Alpes-Maritimes, Philippe Tabarot (LR), d’interpeller le ministre des transports, François Durovray, sur la reprise d’une proposition de loi sénatoriale sur l’encadrement du droit de grève dans les transports. Un texte dont il était le rapporteur. Hier, lors de la séance des questions d’actualité au gouvernement, le chef de file de LR sur les questions ferroviaires a dénoncé le « traditionnel chantage à la grève de noël à la SNCF ».  
Lors de son examen dans l’hémicycle du Palais du Luxembourg, les sénateurs de gauche avaient vivement critiqué une proposition jugée dogmatique et portant des atteintes disproportionnées au droit de grève. Ainsi, la constitutionnalité du texte avait été mise en doute. A l’époque le gouvernement avait également fait part de ses réserves et le texte n’avait pas été examiné par l’Assemblée nationale.

Dans l’hémicycle, François Durovray a habilement évité de répondre à la question de Philippe Tabarot et s’est contenté d’affirmer qu’il était « également attaché à chacun de ces deux principes [constitutionnels] ». Le ministre des transports a surtout évoqué les raisons de la grève de la SNCF et déclaré avoir « confiance dans la responsabilité et la capacité de dialogue de l’entreprise et des organisations syndicales ». Malgré la participation de LR au gouvernement, le texte sénatorial ne devrait pas être inscrit à l’Assemblée nationale

Social: Grève aussi des fonctionnaires le 5 décembre

Social: Grève aussi des fonctionnaires le 5 décembre
Les annonces d’actions revendicatives et de grèves d’ici la fin d’année s’accumulent dans les différents secteurs économiques et sociaux. Les plus spectaculaires devraient concerner le secteur agricole et les cheminots. Le mécontentement social monde partout en raison de la dégradation de la conjoncture, d’évolutions structurelles et de problèmes spécifiques. Reste à savoir s’il ira ou non convergence des luttes d’ici la fin de l’année…. ou après.

 

Plusieurs syndicats ont appelé ce jeudi à une journée nationale « d’action » et de « grève » dans la fonction publique le 5 décembre. Objectif affiché : dénoncer des coupes budgétaires dans l’administration à hauteur de 1,2 milliard d’euros, selon un communiqué signé par sept des huit organisations.

Seul le syndicat Force ouvrière ne s’est pas joint à cette déclaration et a maintenu un appel à la grève de trois jours reconductible « au même moment que la grève des cheminots, à partir du 10 ou du 11 décembre », a précisé à l’AFP le secrétaire général de l’UIAFP-FO, Christian Grolier.

Social : florilège d’annonces de grève d’ici la fin de l’année

Social : florilège d’annonces de grève d’ici la fin de l’année

 

Il est probable que sur le plan socioéconomique, la conjoncture sera marquée d’une part par l’annonce de vague de licenciements nouveaux dans plusieurs secteurs en prise notamment avec le tassement de la croissance, des investissements et des carnets de commandes. Parallèlement différentes catégories de personnel devraient annoncer via leurs syndicats leur intention d’appeler à la mobilisation d’ici la fin de l’année. Une mobilisation qui touchera bien entendu certains secteurs publics mais également des secteurs privés fragilisés.

 

Les syndicats de plusieurs secteurs ont lancé des appels à la grève et à la mobilisation pour les prochaines semaines pour protester contre des plans sociaux et contre les conséquences d’un projet de budget – encore en discussion au Parlement – qui prévoit 60 milliards d’euros d’effort budgétaire pour redresser des comptes publics dans le rouge.

Le syndicat national des pilotes de ligne (SNPL) appelle à une grève et à un rassemblement jeudi en fin de matinée devant l’Assemblée nationale après le vote par les députés d’un alourdissement de la fiscalité sur le transport aérien, a-t-il indiqué dimanche. « Contre la volonté du gouvernement de prélever un milliard supplémentaire par an sur le secteur aérien, nous appelons les pilotes mais aussi tous les salariés du secteur aérien à se mobiliser le 14 novembre », a déclaré un porte-parole du syndicat ultra-majoritaire chez les pilotes.

Dans un communiqué commun envoyé dimanche en fin de journée, plusieurs autres syndicats du secteur – l’UNSA transport, l’UNSA PNC, la CFE-CGC FNEMA, l’UNAC, le SNPNC-FO et FEETS-FO – ont annoncé qu’ils appelaient « tous les salariés du secteur aérien à venir manifester leur désaccord avec cette taxation mortifère pour les emplois devant l’Assemblée nationale le 14 novembre ».
Du côté des agriculteurs, la colère gronde à nouveau, moins d’un an après un mouvement qui avait en partie paralysé les grands axes routiers en France. Les actions symboliques ont repris ces dernières semaines et devraient s’amplifier après la mi-novembre, notamment à l’appel des syndicats majoritaires FNSEA et Jeunes Agriculteurs (JA).

Les agriculteurs, durement frappés cette année par de mauvaises récoltes de blé et un regain de crise sanitaire dans les élevages, réclament de pouvoir vivre de leur métier : ils attendent de la clarté sur les prêts garantis par l’Etat. Et ils refusent catégoriquement la signature d’un accord de libre-échange négocié entre l’UE et les pays latino-américains, le Mercosur.

Tous les syndicats de la SNCF ont appelé mardi dernier à une grève jeudi 21 novembre, à l’issue d’une rencontre avec la direction du groupe ferroviaire pour évoquer le démantèlement de Fret SNCF et l’ouverture à la concurrence : celle-ci s’étendra du mercredi 20 novembre 19 heures au vendredi 22 novembre à 8 heures. Dans un communiqué intitulé « l’heure est au conflit à la SNCF », la CGT-Cheminots, l’Unsa-Ferroviaire, Sud-Rail et la CFDT-Cheminots ont prévenu que cette journée de grève est « un ultimatum » avant « un mouvement de grève plus long et plus fort en décembre » si le gouvernement et la SNCF ne répondent pas à leurs revendications.

Samedi, tous les syndicats de la SNCF ont ainsi appelé à une grève illimitée à partir du mercredi 11 décembre pour réclamer un moratoire contre le démantèlement annoncé de Fret SNCF et protester contre les modalités de l’ouverture à la concurrence des lignes régionales. Dans un communiqué commun, la CGT-Cheminots, l’Unsa-Ferroviaire, Sud-Rail et la CFDT-Cheminots expliquent que face au manque « d’inflexion » de la direction du groupe, la grève sera illimitée et reconductible par période de 24 heures à compter du mercredi 11 décembre à 19 heures.

 

Nouvelle taxation du transport aérien: Grève jeudi

 Nouvelle taxation du transport aérien: Grève jeudi

 

Le trafic aérien risque d’être perturbé jeudi prochain. Ce dimanche, le syndicat national des pilotes de ligne (SNPL) a appelé à une grève et à un rassemblement, le 14 novembre devant l’Assemblée nationale, a-t-il indiqué dimanche à l’AFP.

« Contre la volonté du gouvernement de prélever un milliard supplémentaire par an sur le secteur aérien, nous appelons les pilotes mais aussi tous les salariés du secteur aérien à se mobiliser le 14 novembre », a déclaré un porte-parole du syndicat ultra-majoritaire chez les pilotes.

« Nous appelons à un rassemblement près de l’Assemblée nationale en fin de matinée », a ajouté le syndicat.

Le dispositif va relever les tarifs de la taxe sur les billets d’avion pour les vols en classe économique de 2,60 euros par passager à 9,50 euros, pour une destination européenne, de 7,50 euros à 15 euros pour les destinations intermédiaires, et de 7,50 euros à 40 euros pour les destinations lointaines, a expliqué le rapporteur général du Budget, Charles de Courson (Liot).

« En limitant à un an cette augmentation de la taxation et en excluant les Outre-mer et la Corse, les députés ont reconnu » les risques qu’une telle mesure pouvait faire peser « sur la compétitivité des compagnies françaises, qui sont déjà dans une situation économique fragile », a réagi Benjamin Smith, directeur général du groupe aérien Air France-KLM, à l’issue du vote des députés.

«

Budget de la Sécu : Une première grève à l’hôpital le 29 octobre

Budget de la Sécu : Une première grève à l’hôpital le 29 octobre 

Quatre syndicats de la fonction publique hospitalière appellent vendredi les agents à se mettre en grève le 29 octobre pour protester contre le budget de la Sécurité sociale pour 2025«en deçà des besoins». Le gouvernement a présenté jeudi soir un budget 2025 très contraint, qui vise à contenir le déficit de la Sécurité sociale à 16 milliards d’euros en 2025, après 18 milliards en 2024.

Pour faire plusieurs milliards d’économies, le gouvernement prévoit notamment de transférer aux complémentaires santé une part plus grande du remboursement des consultations médicales, d’abaisser le plafond des indemnités perçues en cas d’arrêt maladie, ou encore de décaler de six mois la revalorisation annuelle des retraites. 

Syndicats -Grève du 1er octobre : encore une action ratée des syndicats gauchistes

Syndicats -Grève du 1er octobre : encore une action ratée des syndicats gauchistes

Une participation complètement insignifiants concernant les grévistes et quelques manifestations clairsemées qui auront réuni moins de 100 000 personnes dans toute la France voilà le résultat de l’action prématurée et fourre-tout des syndicats gauchistes dont la CGT. La plupart des médias n’en ont d’ailleurs pas dit un mot d’autant que l’actualité était occupée par le discours de politique générale du Premier ministre à l’Assemblée nationale. Une action qui en tout cas ne grandit pas le syndicalisme et qui entretient des rapports sulfureux avec l’agenda politique.

Notons que les syndicats majoritaires en France (notamment la CFDT, la CFTC, la CGC et FO n’appelaient pas à cette manifestation à caractère davantage politique ue syndical. La question se pose pour certains syndicats gauchistes de savoir s’ils ne sont pas en train de se transformer en  organisations  groupusculaires sous tutelle des  » Insoumis ».

Grève du 1er octobre : encore une action ratée des syndicats gauchistes

Grève du 1er octobre : encore une action ratée des syndicats gauchistes

Une participation complètement insignifiants concernant les grévistes et quelques manifestations clairsemées qui auront réuni moins de 100 000 personnes dans toute la France voilà le résultat de l’action prématurée et fourre-tout des syndicats gauchistes dont la CGT. La plupart des médias n’en ont d’ailleurs pas dit un mot d’autant que l’actualité était occupée par le discours de politique générale du Premier ministre à l’Assemblée nationale. Une action qui en tout cas ne grandit pas le syndicalisme et qui entretient des rapports sulfureux avec l’agenda politique

 

 

Social -Grève SNCF du 1er octobre : le rituel

Social -Grève SNCF du 1er octobre : le rituel

 

 

Comme chaque année ou presque une grève de rentrer est prévue à la SNCF le 1er octobre. Elle sera surtout soutenue par les syndicats gauchistes avec très peu de participants et de perturbations. De quoi discréditer un peu plus l’entreprise et le syndicalisme avec aussi sans doute quelques arrière-pensées politiques pour aider Mélenchon à pourrir le climat social en France

. La CGT cheminot et SUD-Rail ont déposé un préavis commun de grève nationale qui débutera ce lundi 30 septembre à 19 heures et s’achèvera le mercredi 2 octobre à 8 heures.

«La circulation des trains sera légèrement perturbée sur le réseau SNCF ce mardi 1er octobre 2024», prévient la compagnie ferroviaire. Si les prévisions ligne par ligne ne sont communiquées que lundi 30 septembre, la SNCF assure déjà que le trafic «sera normal sur les liaisons TGV» et précise que «quelques circulations pourraient être légèrement perturbées sur certains trains régionaux (TER, Transilien) ainsi que certaines liaisons Intercités.»
Les revendications sont multiples : la réforme des retraites, les salaires, les conditions de travail, les services publics

Grève SNCF du 1er octobre : le rituel

Grève SNCF du 1er octobre : le rituel

 

 

Comme chaque année ou presque une grève de rentrer est prévue à la SNCF le 1er octobre. Elle sera surtout soutenue par les syndicats gauchistes avec très peu de participants et de perturbations. De quoi discréditer un peu plus l’entreprise et le syndicalisme avec aussi sans doute quelques arrière-pensées politiques pour aider Mélenchon à pourrir le climat social en France

. La CGT cheminot et SUD-Rail ont déposé un préavis commun de grève nationale qui débutera ce lundi 30 septembre à 19 heures et s’achèvera le mercredi 2 octobre à 8 heures.

«La circulation des trains sera légèrement perturbée sur le réseau SNCF ce mardi 1er octobre 2024», prévient la compagnie ferroviaire. Si les prévisions ligne par ligne ne sont communiquées que lundi 30 septembre, la SNCF assure déjà que le trafic «sera normal sur les liaisons TGV» et précise que «quelques circulations pourraient être légèrement perturbées sur certains trains régionaux (TER, Transilien) ainsi que certaines liaisons Intercités.»
Les revendications sont multiples : la réforme des retraites, les salaires, les conditions de travail, les services publics

Boeing toujours en grève

Boeing toujours en grève

La  grève se poursuit ce lundi dans les usines de Boeing, dans la région de Seattle. Entamé jeudi dernier à minuit, le mouvement lancé par l’Association internationale des machinistes et des ouvriers de l’aérospatial (IAM) – l’une des principales organisations syndicales aux Etats-Unis avec 600.000 membres et majoritaire chez le constructeur -, le mouvement est entré dans son quatrième jour. Les négociations doivent reprendre demain, afin de trouver un accord sur une nouvelle convention collective, après le rejet massif du précédent projet la semaine dernière. Les dirigeants vont devoir se montrer très convaincants pour sortir du conflit.

 

Les représentants des quelque 33.000 salariés de Boeing dans la région affichent ainsi leur détermination avant de rencontrer la direction pour la première fois depuis le début du mouvement, en présence des médiateurs fédéraux désignés par le Service fédéral de médiation et de conciliation (SFMC). En attendant, ils appellent les travailleurs à tenir les piquets de grève 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.

Le syndicat IAM a pointé à plusieurs reprises le fait que « la voix des travailleurs a souvent été ignorée lorsque des problèmes de qualité, comme le retrait des inspections, ont été mis en lumière », estimant que le groupe s’était mis lui-même en difficulté, en raison « des nombreux faux-pas qu’il s’est lui-même infligé ». Il demande d’ailleurs à « avoir un siège à la table où sont prises les décisions critiques en matière de qualité, de sécurité et de développement de nouveaux produits ».

 

Ses marges de manœuvre de Boeing sont très limitées pour satisfaire les attentes des travailleurs. Boeing a encore vu ses résultats se dégrader au premier semestre 2024 par rapport à 2023. Il a accusé près de 1,2 milliard de dollars de pertes opérationnelles et 1,8 milliard de pertes nettes. Surtout, il a brûlé plus de 8 milliards de cash en l’espace de six mois, devant composer avec les problèmes de qualité, les incidents à répétition, les restrictions imposées par le régulateur américain, le rachat de Spirit Aerosystems…

En Bourse, le titre a perdu 5% depuis jeudi, et plus de 40% depuis le début de l’année.

Il faudra aussi régler les questions salariales.  La direction avait notamment accepté au dernier moment de rehausser fortement sa proposition de revalorisation salariale, à 25% sur la durée de l’accord, à savoir quatre ans. Cela venait s’ajouter à une hausse de 23% à 42% des salaires minimaux en fonction de la catégorie de main-d’œuvre, à la garantie d’avoir le prochain programme d’avions commerciaux dans les usines de l’état de Washington en plus du maintien des 737 MAX, 767 et 777X, ou encore à l’obtention « d’une voix dans la sécurité et la qualité du système de production », ainsi qu’à diverses améliorations sur la qualité de vie, le niveau de cotisation pour les retraites ou encore la couverture santé.

 

 

À lire aussi
Un design avant-gardiste et des technologies de pointe
KIA
|
Sponsorisé
Jeep® Avenger, le nouveau SUV à partir de 199 €/mois*.
Nouveau SUV Jeep® Avenger
|
Sponsorisé
Newsletter – Industrie & Services
Du lundi au vendredi, à 13h, recevez l’essentiel de l’actualité des
secteurs de l’industrie et des services

S’inscrire à la newsletter
La Redoute Intérieurs fête ses 10 ans !
La Redoute Intérieurs
|
Sponsorisé
Gouvernement : Michel Barnier entre dans le dur
Nouveau SUV sportif Tonale Hybride
Alfa Romeo Tonale Hybride
|
Sponsorisé
Profitez du WiFi n°1 (selon nPerf en 2023) avec la fibre Bouygues Telecom
Bouygues Telecom
|
Sponsorisé
KIA Picanto : compacte, stylée et personnalisée
KIA
|
Sponsorisé
Offre Forfait B&You + fibre à partir de 35€98/mois
Bouygues Telecom
|
Sponsorisé
Pourquoi le secteur du luxe ralentit
Contrats Auto au kilomètre : 3 formules dès 19€/mois* (Trouvez la vôtre !)
Allianz Auto
|
Sponsorisé
Sur le même sujet

 

1

Vitesse sur le périphérique parisien : la préfecture de police met en garde la Ville

2

revue TAvec l’iPhone 16, Apple sépare l’Europe du reste du monde

3

revue TLa « taxe EDF », ou comment le gouvernement sortant veut discrètement récupérer quelques milliards auprès des Français

4

revue TCaroline Fourest : la femme qui dérangeait les femmes

5

revue TRéouverture de Notre-Dame : le pape attendu à Paris

Commentaire
0
Il n’y a actuellement aucun commentaire concernant cet article.
Soyez le premier à donner votre avis !

Rédiger un commentaire
DERNIÈRE MINUTE
20:49La directrice de X (ex-Twitter) se réjouit de la démission de…
20:05Impôt sur le revenu : le RN persiste sur l’exonération des moins…
18:41Départ de Thierry Breton, le commissaire qui malmène la tech
18:38Boeing va devoir se montrer convaincant pour sortir de la grève
18:38SUV : la mairie de Paris réajuste la hausse du prix du stationnement…
< 1 / 5 >voir tous les articles

La Tribune Dimanche

Inscrivez-vous
Contre-courant

La Tribune : l’édition du jour

À lire aussi
Offre Forfait B&You + fibre à partir de 35€98/mois
Bouygues Telecom
|
Sponsorisé
KIA Picanto : compacte, stylée et personnalisée
KIA
|
Sponsorisé
SUIVRE LA TRIBUNE
Votre email
Avec
La Tribune.fr,
prenez les bonnes décisions

S’abonner
Journal économique et financier
Nous contacter
Charte d’indépendance et de déontologie
Mentions Légales
CGU
CGU Pro
Gestion des cookies
Politique de confidentialité
Consentement
LaTribune.fr | Tous droits réservés
La Tribune + Services La Tribune Events éditions régionales FacebookTwitterInstagramLinkedInWhatsAppSite Mobile Rechercher Se connecterS’abonner

Laboratoires d’analyses médicales: Menace de grève

Laboratoires d’analyses médicales: Menace de grève

Conséquence de la diminution des tarifs des laboratoires par l’assurance maladie, Les syndicats de biologistes appellent à une grève reconductible et à la « fermeture des laboratoires » d’analyses du 20 au 23 septembre inclus.

« En l’absence de réponse de la Cnam (Caisse nationale d’Assurance maladie) aux cris d’alerte des biologistes médicaux, suite à l’annonce d’une nouvelle baisse drastique de près de 10% des tarifs des actes », sept syndicats ont décidé de « durcir le ton », déclarent-ils, dans un communiqué commun.

Le conflit entre la Cnam et les syndicats résulte d’une demande d’analyses biologiques nettement plus forte qu’attendu sur les premiers mois de 2024 (+5,5% en volume). La Cnam entend maintenir l’enveloppe budgétaire prévue pour l’année (3,784 milliards d’euros en 2024, hors Covid, et certaines dépenses spécifiques) dans son dernier accord triennal avec les syndicats de médecins biologistes. Ce qui implique de réduire certains tarifs.

Les syndicats gauchistes appellent à la grève contre l’évaluation des élèves

Les syndicats gauchistes appellent  à la grève contre l’évaluation des élèves

D’après les syndicats gauchistes qui appellent à la grève dans les maternelles et les cours élémentaires , l’évaluation prévue des élèves à la rentrée serait traumatisante ! Ils appellent donc à la grève de 10 septembre. On comprend que certains soient opposés à tout concept d’évaluation quand on sait que le niveau scolaire français est au plus bas des pays développés voire d’autres. On est évidemment désarmé devant l’argumentation des syndicats gauchistes qui participent largement au délabrement du niveau scolaire en France.

«On n’a pas besoin de ces évaluations pour connaître le niveau de nos élèves, les enseignants sont en capacité eux-mêmes de travailler ces évaluations», a expliqué Guislaine David, secrétaire générale de la FSU-Snuipp, premier syndicat du primaire (maternelle et élémentaire), lors d’une conférence de presse. Ces évaluations «n’ont pas d’effet sur la réussite des élèves et elles ne concernent pas tous les champs de l’éducation, car elles sont très centrées sur le français, les maths, et en lecture, on évalue la fluence et pas la compréhension», a ajouté Guislaine David, regrettant qu’«on retire la liberté pédagogique aux enseignants».

Les syndicats FSU-Snuipp, CGT éducation et Sud éducation appellent donc  les professeurs des écoles à ne pas faire passer ces évaluations qui démarrent une semaine après la rentrée «pour faire blocage».

Un syndicat FO irresponsable dépose un préavis de grève pour les JO

Un syndicat FO irresponsable dépose un préavis de grève pour les JO

 
Un syndicat minoritaire du gestionnaire des aéroports parisiens a déposé un préavis de grève pour vendredi, jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, exigeant davantage de concessions salariales que celles prévues par un récent accord, a-t-on appris ce lundi 22 juillet.

Force Ouvrière (11,57% des voix aux dernières élections professionnelles) a estimé que l’accord signé le 16 juillet entre la direction du Groupe ADP et une majorité des syndicats n’avait abouti qu’à « des avancées partielles et modestes » et avait « généré un sentiment de mécontentement » parmi des salariés, selon un communiqué.
Le préavis de grève courra « du vendredi 26 juillet 2024 (à partir de 05H00) au samedi 27 juillet 2024 (à 07H00) », selon FO, soit au début des Jeux olympiques de Paris. FO réclame notamment que la prime de 300 euros qui sera versée à tous les employés d’ADP aux termes de l’accord signé le 16 juillet soit portée à 1.000 euros, ainsi que d’autres mesures salariales. L’accord du 16 avait permis la levée d’un préavis de grève pour le lendemain, déposé par l’ensemble des syndicats représentatifs.

 

12345...23



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol