Archive pour le Tag 'retour'

Société-La charte des Frères musulmans : retour au Moyen Âge

Société-La charte des Frères musulmans : retour au Moyen Âge

Les Frères musulmans en toujours pour objet de détruire la démocratie, les libertés et le progrès humain pour y substituer leur charte qui renvoie au Moyen Âge en particulier sur le droit des femmes. La référence idéologique de base reste d’actualité comme le confirme le rapport choc du gouvernement sur des rapports entre frères musulmans et islamistes politiques ( à distinguer évidemment des musulmans français qui ont intégré les valeurs républicaines).

Rappel du texte de base :« Nous, les Frères musulmans, sommes comme un immense hall dans lequel n’importe quel musulman peut entrer par n’importe quelle porte pour partager ce qu’il souhaite. Rechercherait-il le soufisme, il le trouverait. Rechercherait-il la compréhension de la jurisprudence islamique, il la trouverait. Rechercherait-il du sport et du scoutisme, cela est ici. Rechercherait-il le combat et la lutte armée, il les trouverait. (…) Vous êtes venus à nous avec la préoccupation pour la “ nation ”. Ainsi je vous accueille. » Cette harangue a été proférée en 1928 par Hassan-Banna, fondateur des Frères musulmans à Ismalia, dans la banlieue du Caire.

Ce virulent prosélytisme, jamais démenti depuis lors, n’avait qu’un dessein : recruter pour instaurer à terme un état islamique et le joug de la charia. Près d’un siècle plus tard, force est de constater que la France est devenue une porte d’entrée, ouverte, béante. Le rapport choc du gouvernement intitulé « Les Frères musulmans et islamisme politique en France. Et cela d’autant plus que l’organisation « des Frères musulmans » a été chassée de la plupart des pays arabes.

Le document du gouvernement fait état d’une « menace pour la cohésion nationale » avec le développement d’un islamisme « par le bas » de la part des Frères musulmans.

Il pointe notamment la responsabilité des réseaux sociaux, « vecteur pour les islamistes qui surfent sur des éléments d’actualité et remettent en cause ce que la République défend en matière de laïcité, notamment pour essayer de démontrer que l’État est islamophobe ».

Crise économique et culturelle : pour un retour de la philosophie

Crise économique et culturelle : pour un retour de la philosophie

Dans un monde ébranlé par les limites planétaires et les ruptures technologiques, les modèles économiques vacillent. Entre vieillissement des dirigeants, essoufflement productiviste et quête de sens, l’entreprise française est sommée de se réinventer. Clara Schisler (*) et Sébastien Rouichi-Gallot (*) appellent à inviter des philosophes à la table des décisions.
(dans La Tribune)

Dans un monde incertain, les priorités des organisations, comme celles des individus qui les composent, changent. Le capitalisme moderne prend des traits futiles quand il est mis à mal par le repli identitaire d’un côté, par les limites aux ressources planétaires de l’autre, à l’heure où la prospective de l’intelligence artificielle remet en cause la valeur associée à la notion de travail.

Les angoisses existentielles des salariés et des consommateurs, comme des dirigeants et des gouvernants, rejaillissent sur les modèles économiques. Alors même que nous observons un point de bascule civilisationnel, comment nos fleurons français pourraient-ils répondre aux grands enjeux de l’époque ?

Repenser le productivisme à l’aune de l’intelligence artificielle

Treize des patrons du CAC 40 ont plus de 60 ans. Le vieillissement des dirigeants de PME s’accentue également avec un quart des patrons concernés. Sans rejet de l’expérience des patrons français, une nouvelle génération d’apports stratégiques et intellectuels, mais aussi de méthode, se fait urgente.

Alors que la croissance est en berne, pour ne pas dire récessive, nous touchons du doigt les limites des ressources planétaires. Ces ressources ont permis 70 ans de prospérité, quand une quatrième révolution industrielle, celle de l’intelligence artificielle générative, rebat les cartes de l’économie mondiale. Comme toute révolution industrielle, c’est aussi une évolution darwinienne, qui laissera de côté nombre d’organisations qui n’auront pas su s’adapter à temps.

Charge à nos champions tricolores, avec leurs procédures éprouvées, de se transformer, comme ils ont su le faire pour survivre à l’économie numérique. Le scénario d’une vague d’extinction d’entreprises, des TPE aux multinationales, est encore à éviter. Quand les géants du numérique ont recruté des poètes pour entraîner leurs intelligences artificielles, quelles disciplines les entreprises françaises peuvent-elles encore mobiliser ?

Changer d’époque : de la raison d’être à la raison de continuer

Les historiens contemporains amènent à penser que la civilisation qui nous a vu naître était un bis repetita de l’antiquité et de son idéal démocratique. Sa démarche était scientifique, ses organisations étaient mythologiques.

C’est pourquoi les raisons d’être des entreprises relevaient tant d’un religieux païen, sur l’autel de la consommation. Mais, désormais à un point de bascule, la civilisation que nous voyons éclore et sa prospective semblent quant à elles répondre à un autre corps. La démarche, pour anticiper et agir en conséquence, est celle de la philosophie. Il semble dès lors nécessaire de repartir non plus simplement du pourquoi les entreprises et organisations existent, mais aussi du comment elles s’adapteront.

De la raison d’être à la raison de continuer, leur unicité actuelle survivra -t-elle à un monde en mouvement ? Et si nous revenions aux fonctions de la nature et de l’environnement, et de l’être humain en son sein : ses besoins primaires et aspirations sincères ? Se nourrir, se déplacer, se chauffer, se soigner, communiquer avec ses semblables : c’est en partant des fondements de la pyramide que la démonstration d’une raison d’être légitimera sa continuité dans un monde incertain comme celui qui s’annonce.

Réintroduire la pensée philosophique au cœur de l’économiefrançaise

Le capitalisme moderne vit sa crise de la cinquantaine, et c’est la responsabilité des dirigeants et des actionnaires de permettre à toutes et tous, des salariés aux cadres, des ouvriers aux donneurs d’ordre, une introspection qui aboutira sur de nouvelles solutions pour faire société en entreprise.

Et si, au sein de nos conseils d’administration, des philosophes répondaient aux spécialistes de l’intelligence artificielle générative ? Pour ne plus plonger dans un mal-être latent des millions de salariés inquiets, pris en étaux entre leur appréhension et incompréhension des mutations technologiques, et la perte de sens dans un monde qui court à sa fin, l’entreprise doit se réinventer.

Beaucoup questionnent la notion même de travail et de sa valeur associée, notamment sous le prisme de l’intelligence artificielle. Il ne s’agit pas de prêter à la philosophie une idéologie ou un courant choisi, mais de laisser aux philosophes le soin de contribuer à la stratégie des organisations avec une intention, une démarche : celle de la maïeutique. Les dirigeants et gouvernants feraient ainsi durer l’exception française et son « soft power » par d’autres attributs.

Invités à la table des décisions, les philosophes, en échangeant sur les notions de vérité, de morale, d’égalité, de liberté, permettraient à la société de redonner du sens et de l’adhésion en entreprise, au service de l’économie et de l’humanité.

________

(*) Clara Schisler, Investisseur, Trust Consultant auprès de fonds de private equity et investisseur.
Sébastien Rouichi-Gallot, Entrepreneur et fondateur de l’agence de communication @Citizens.

La charte des Frères musulmans : retour au Moyen Âge

La charte des Frères musulmans : retour au Moyen Âge

Les Frères musulmans en toujours pour objet de détruire la démocratie, les libertés et le progrès humain pour y substituer leur charte qui renvoie au Moyen Âge en particulier sur le droit des femmes. La référence idéologique de base reste d’actualité comme le confirme le rapport choc du gouvernement sur des rapports entre frères musulmans et islamistes politiques ( à distinguer évidemment des musulmans français qui ont intégré les valeurs républicaines).

Rappel du texte de base :« Nous, les Frères musulmans, sommes comme un immense hall dans lequel n’importe quel musulman peut entrer par n’importe quelle porte pour partager ce qu’il souhaite. Rechercherait-il le soufisme, il le trouverait. Rechercherait-il la compréhension de la jurisprudence islamique, il la trouverait. Rechercherait-il du sport et du scoutisme, cela est ici. Rechercherait-il le combat et la lutte armée, il les trouverait. (…) Vous êtes venus à nous avec la préoccupation pour la “ nation ”. Ainsi je vous accueille. » Cette harangue a été proférée en 1928 par Hassan-Banna, fondateur des Frères musulmans à Ismalia, dans la banlieue du Caire.

Ce virulent prosélytisme, jamais démenti depuis lors, n’avait qu’un dessein : recruter pour instaurer à terme un état islamique et le joug de la charia. Près d’un siècle plus tard, force est de constater que la France est devenue une porte d’entrée, ouverte, béante. Le rapport choc du gouvernement intitulé « Les Frères musulmans et islamisme politique en France. Et cela d’autant plus que l’organisation « des Frères musulmans » a été chassée de la plupart des pays arabes.

Le document du gouvernement fait état d’une « menace pour la cohésion nationale » avec le développement d’un islamisme « par le bas » de la part des Frères musulmans.

Il pointe notamment la responsabilité des réseaux sociaux, « vecteur pour les islamistes qui surfent sur des éléments d’actualité et remettent en cause ce que la République défend en matière de laïcité, notamment pour essayer de démontrer que l’État est islamophobe ».

La charte des Frères musulmans : retour au Moyen Âge

La charte des Frères musulmans : retour au Moyen Âge

Les Frères musulmans en toujours pour objet de détruire la démocratie, les libertés et le progrès humain pour y substituer leur charte qui renvoie au Moyen Âge en particulier sur le droit des femmes. La référence idéologique de base reste d’actualité comme le confirme le rapport choc du gouvernement sur des rapports entre frères musulmans et islamistes politiques ( à distinguer évidemment des musulmans français qui ont intégré les valeurs républicaines).

Rappel du texte de base :« Nous, les Frères musulmans, sommes comme un immense hall dans lequel n’importe quel musulman peut entrer par n’importe quelle porte pour partager ce qu’il souhaite. Rechercherait-il le soufisme, il le trouverait. Rechercherait-il la compréhension de la jurisprudence islamique, il la trouverait. Rechercherait-il du sport et du scoutisme, cela est ici. Rechercherait-il le combat et la lutte armée, il les trouverait. (…) Vous êtes venus à nous avec la préoccupation pour la “ nation ”. Ainsi je vous accueille. » Cette harangue a été proférée en 1928 par Hassan-Banna, fondateur des Frères musulmans à Ismalia, dans la banlieue du Caire.

Ce virulent prosélytisme, jamais démenti depuis lors, n’avait qu’un dessein : recruter pour instaurer à terme un état islamique et le joug de la charia. Près d’un siècle plus tard, force est de constater que la France est devenue une porte d’entrée, ouverte, béante. Le rapport choc du gouvernement intitulé « Les Frères musulmans et islamisme politique en France. Et cela d’autant plus que l’organisation « des Frères musulmans » a été chassée de la plupart des pays arabes.

Le document du gouvernement fait état d’une « menace pour la cohésion nationale » avec le développement d’un islamisme « par le bas » de la part des Frères musulmans.

Il pointe notamment la responsabilité des réseaux sociaux, « vecteur pour les islamistes qui surfent sur des éléments d’actualité et remettent en cause ce que la République défend en matière de laïcité, notamment pour essayer de démontrer que l’État est islamophobe ».

Retour du service militaire: Des Français favorables

Retour du service militaire: Des Français favorables

Une majorité de Français (86 %) se dit ainsi globalement favorable au rétablissement du service militaire, d’après un sondage Ipsos-CESI École d’ingénieurs paru mi-mars. Et même 53 % au service obligatoire.

Ainsi, à la question « êtes-vous favorable ou non au retour du service militaire en France ? », 32 % ont répondu « oui » à un service obligatoire pour les femmes et les hommes, 21 % à un service obligatoire uniquement pour les hommes et 33 % sur la base du volontariat. Ces résultats varient, sans surprise, selon la tranche d’âge. Le service obligatoire recueille l’adhésion de 63 % chez les 60 ans et plus, contre 41 % des moins de 35 ans.

Cette hypothèse a été analysée et chiffrée par le Haut-Commissariat au Plan et France Stratégie, dans le cadre de la refonte du service national universel (SNU) souhaitée par Emmanuel Macron, dans une note publiée ce lundi et consultée par Franceinfo.

Il en ressort que la facture serait de 14,5 milliards d’euros chaque année s’il est mixte, c’est-à-dire s’il concernait 600 000 jeunes hommes et femmes. S’il n’est obligatoire que pour les hommes, soit 300 000 personnes, son coût total tomberait à 7,2 milliards d’euros par an.

Une option que le chef de l’État ne trouvait en tout cas pas « réaliste » à la mi-mars, dans une interview à plusieurs journaux régionaux. Selon lui, la France « n’a plus la base, plus la logistique » pour remettre en place une conscription. « À partir du moment où on est allé vers la professionnalisation de nos armées, focalisées sur l’opérationnel, les réemployer pour encadrer 800 000 jeunes (…) n’est absolument pas un schéma opérant », avait-il justifié.Notons que Macron a évité de faire son service militaire !

Le Haut-Commissariat au Plan et France Stratégie se sont penchés sur d’autres scénarios que le retour du service militaire obligatoire. Et tous se révèlent moins onéreux.

Impôt: Un retour discret de la taxe d’habitation !

Impôt: Un retour discret de la taxe d’habitation !


Le ministre de l’Aménagement du territoire veut «renouer le lien» entre les collectivités et les citoyens qui y résident ! et pour cela il propose une sorte de retour entre  » modeste  » d’une forme de taxe d’habitation pour contribuer au financement des services publics.

On connaît évidemment le mécanisme de progression des prélèvements obligatoires avec au début une taxe dite modeste et qui en ensuite chaque année progresse. Bref le ministre relance l’idée d’une forme d’une taxe d’ habitation. Curieux pour un gouvernement qui affirme ne pas augmenter les prélèvements obligatoires !

Le ministre de l’Aménagement du territoire François Rebsamen a exclu un retour de la taxe d’habitation, dans un entretien à Ouest-France. «On ne va pas recréer la taxe d’habitation , non. Sa suppression était une bonne décision, elle a créé un gain de pouvoir d’achat, on ne reviendra pas là-dessus», a affirmé le ministre. Mais la piste d’une «contribution modeste» pour le «financement des services publics de la commune» est à envisager afin de «renouer le lien» entre les collectivités et les citoyens qui y résident.

Un retour discret de la taxe d’habitation !

Un retour discret de la taxe d’habitation !


Le ministre de l’Aménagement du territoire veut «renouer le lien» entre les collectivités et les citoyens qui y résident et pour cela il propose une sorte de retour entre  » modeste  » d’une forme de taxe d’habitation pour contribuer au financement des services publics.

On connaît évidemment le mécanisme de progression des prélèvements obligatoires avec au début une taxe dite modeste et qui en ensuite chaque année progresse. Bref le ministre relance l’idée d’une forme d’une taxe d’ habitation. Curieux pour un gouvernement qui affirme ne pas augmenter les prélèvements obligatoires !

Le ministre de l’Aménagement du territoire François Rebsamen a exclu un retour de la taxe d’habitation, dans un entretien à Ouest-France. «On ne va pas recréer la taxe d’habitation , non. Sa suppression était une bonne décision, elle a créé un gain de pouvoir d’achat, on ne reviendra pas là-dessus», a affirmé le ministre. Mais la piste d’une «contribution modeste» pour le «financement des services publics de la commune» est à envisager afin de «renouer le lien» entre les collectivités et les citoyens qui y résident.

Le coût des voitures électriques: Retour de la rareté

Le coût des voitures électriques: Retour de la rareté

Alors que le prix des automobiles n’a cessé de diminuer tout au long du XXᵉ siècle, la voiture électrique a brisé cet élan. Pis, pour les foyers modestes, elle redevient quasi un objet de luxe, alors qu’elle est aussi vécue comme un accès à la liberté, observe, dans une tribune au « Monde », l’économiste David Le Bris.

La généralisation de la voiture individuelle fut un progrès majeur du XXe siècle. Hors des hypercentres, elle est indispensable pour accéder aux formations, aux soins, à l’emploi, sans parler des loisirs ou des liens sociaux et familiaux.

Abaisser le coût du déplacement en voiture individuelle est une telle panacée que cela devrait constituer un objectif public prioritaire. Pourtant, depuis quelque temps, c’est l’inverse qui semble poursuivi, avec des taxes toujours plus lourdes sur le carburant et, surtout, l’interdiction de la vente des voitures thermiques programmée pour 2035.

Politique -Face au risque de guerre: le retour du service militaire

Politique -Face au risque de guerre: le retour du service militaire


Experts militaires et politiques se sont finalement entendus pour supprimer le service militaire. La principale raison avancée étant la sophistication des équipements de l’armée et des technologies remplaçant les hommes. Le problème , c’est que dans des conflits récents on s’aperçoit que la place des hommes est essentielle à côté des armes plus sophistiquées. C’est évidemment le cas en Ukraine où la question des forces humaines est fondamentale. C’est encore le cas en Israël. C’était encore le cas en Afrique où nous sommes partis surtout par suite de manques d’effectifs pour laisser la place aux amis dictateurs de Poutine.

En dernier ressort après utilisation des nouveaux équipements, l’infanterie termine le plus souvent le travail. En France, on a même supprimé le service militaire qui par ailleurs était un outil facilitant l’appropriation des valeurs républicaines et de la discipline. La France dispose d’une armée très complète dans tous les domaines mais c’est une miniature d’armée. Elle dispose seulement 160 000 hommes. En une semaine, elle serait balayée par les forces extérieures russes ou autres. Il faudrait disposer d’au moins 600 000 de soldats disponibles et formés.

Le pays est confronté à deux types de risques. Le risque extérieur avec les menaces réitérées notamment de la Russie qui envahit pays par pays aux portes de l’union européenne. Aussi un risque intérieur avec le développement du terrorisme islamique.

Un service de l’ordre de six mois minimum est indispensable pour former des soldats. Pour assurer la sécurité intérieure mais y compris pour intervenir sur le théâtre des opérations extérieures si nécessaire. On mesure bien en effet toutes les limites de la guerre dite technologique. La principale menace aujourd’hui, c’est le terrorisme qui sévit dans le monde entier ; de ce point de vue les armes sophistiquées notamment aériennes sont insuffisantes pour lutter avec efficacité contre ce périple.

Au plan intérieur, ces armes sophistiquées sont à peu près inopérantes et la stratégie doit reposer sur la présence physique de forces de surveillance et de protection.

La problématique n’est pas seulement sécuritaire elle est aussi sociétale pour permettre le brassage des populations et une meilleure appropriation des valeurs citoyennes.

Face à l’explosion de la menace terroriste en 2015, l’idée de rétablir un service militaire ou un dispositif similaire était revenue dans l’actualité . Certains réclamaient un service obligatoire de 6 mois.

Défense: Pour  le retour du service militaire, comme en Allemagne, en Pologne

Défense: Pour  le retour du service militaire, comme en Allemagne, en Pologne


Experts militaires et politiques se sont finalement entendus pour supprimer le service militaire. La principale raison avancée étant la sophistication des équipements de l’armée et des technologies remplaçant les hommes. Le problème , c’est que dans des conflits récents on s’aperçoit que la place des hommes est essentielle à côté des armes plus sophistiquées. C’est évidemment le cas en Ukraine où la question des forces humaines est fondamentale. C’est encore le cas en Israël. C’était encore le cas en Afrique où nous sommes partis surtout par suite de manques d’effectifs pour laisser la place aux amis dictateurs de Poutine. Les Allemands rompant  totalement avec leur ancienne doctrine vont décider le retour du service militaire obligatoire ( orientation du nouveau chancelier), idem pour la Pologne, bientôt d’autres .Comment la France pourrait-elle s’opposer aux millions d’hommes de la Russie et à ceux de ses affidés avec sa capacité de mobilisation de 50 000 soldats immédiatement ? À noter que le coût d’une formation de l’ordre de six mois pour environ 400 000 militaires du contingent serait seulement de 5 à 6 milliards d’après l’institut IFRAP. Faute de formation à temps en cas de conflit, la France expédierait sur le front des hommes destinés à la boucherie.

En dernier ressort après utilisation des nouveaux équipements, l’infanterie termine le plus souvent le travail. En France, on a même supprimé le service militaire qui par ailleurs était un outil facilitant l’appropriation des valeurs républicaines et de la discipline. La France dispose d’une armée très complète dans tous les domaines mais c’est une miniature d’armée. Elle dispose seulement 160 000 hommes. En une semaine, elle serait balayée par les forces extérieures russes ou autres. Il faudrait disposer de 5à 10 fois plus de soldats disponibles et formés.

Le pays est confronté à deux types de risques. Le risque extérieur avec les menaces réitérées notamment de la Russie qui envahit pays par pays aux portes de l’union européenne. Aussi un risque intérieur avec le développement du terrorisme islamique.

Un service de l’ordre de six mois minimum est indispensable pour former des soldats. Pour assurer la sécurité intérieure mais y compris pour intervenir sur le théâtre des opérations extérieures si nécessaire. On mesure bien en effet toutes les limites de la guerre dite technologique. La principale menace aujourd’hui, c’est le terrorisme qui sévit dans le monde entier ; de ce point de vue les armes sophistiquées notamment aériennes sont insuffisantes pour lutter avec efficacité contre ce périple.

Au plan intérieur, ces armes sophistiquées sont à peu près inopérante et la stratégie doit reposer sur la présence physique de forces de surveillance et de protection.

La problématique n’est pas seulement sécuritaire elle est aussi sociétale pour permettre le brassage des populations et une meilleure appropriation des valeurs citoyennes.

Face à l’explosion de la menace terroriste en 2015, l’idée de rétablir un service militaire ou un dispositif similaire était revenue dans l’actualité . Certains réclamaient un service obligatoire de 6 mois.

Défense: Pour le retour du service militaire, comme en Allemagne

Défense: Pour  le retour du service militaire, comme en Allemagne


Experts militaires et politiques se sont finalement entendus pour supprimer le service militaire. La principale raison avancée étant la sophistication des équipements de l’armée et des technologies remplaçant les hommes. Le problème , c’est que dans des conflits récents on s’aperçoit que la place des hommes est essentielle à côté des armes plus sophistiquées. C’est évidemment le cas en Ukraine où la question des forces humaines est fondamentale. C’est encore le cas en Israël. C’était encore le cas en Afrique où nous sommes partis surtout par suite de manques d’effectifs pour laisser la place aux amis dictateurs de Poutine. Les Allemands rompant  totalement avec leur ancienne doctrine vont décider le retour du service militaire obligatoire ( orientation du nouveau chancelier).Comment la France pourrait-elle s’opposer aux millions d’hommes de la Russie et à ceux de ses affidés avec sa capacité de mobilisation de 50 000 soldats immédiatement ? À noter que le coût d’une formation de l’ordre de six mois pour environ 400 000 militaires du contingent serait seulement de 5 à 6 milliards d’après l’institut IFRAP. Faute de formation à temps en cas de conflit, la France expédierait sur le front des hommes destinés à la boucherie.

En dernier ressort après utilisation des nouveaux équipements, l’infanterie termine le plus souvent le travail. En France, on a même supprimé le service militaire qui par ailleurs était un outil facilitant l’appropriation des valeurs républicaines et de la discipline. La France dispose d’une armée très complète dans tous les domaines mais c’est une miniature d’armée. Elle dispose seulement 160 000 hommes. En une semaine, elle serait balayée par les forces extérieures russes ou autres. Il faudrait disposer de 5à 10 fois plus de soldats disponibles et formés.

Le pays est confronté à deux types de risques. Le risque extérieur avec les menaces réitérées notamment de la Russie qui envahit pays par pays aux portes de l’union européenne. Aussi un risque intérieur avec le développement du terrorisme islamique.

Un service de l’ordre de six mois minimum est indispensable pour former des soldats. Pour assurer la sécurité intérieure mais y compris pour intervenir sur le théâtre des opérations extérieures si nécessaire. On mesure bien en effet toutes les limites de la guerre dite technologique. La principale menace aujourd’hui, c’est le terrorisme qui sévit dans le monde entier ; de ce point de vue les armes sophistiquées notamment aériennes sont insuffisantes pour lutter avec efficacité contre ce périple.

Au plan intérieur, ces armes sophistiquées sont à peu près inopérante et la stratégie doit reposer sur la présence physique de forces de surveillance et de protection.

La problématique n’est pas seulement sécuritaire elle est aussi sociétale pour permettre le brassage des populations et une meilleure appropriation des valeurs citoyennes.

Face à l’explosion de la menace terroriste en 2015, l’idée de rétablir un service militaire ou un dispositif similaire était revenue dans l’actualité . Certains réclamaient un service obligatoire de 6 mois.

Pour le retour du service militaire, comme en Allemagne

Pour  le retour du service militaire, comme en Allemagne


Experts militaires et politiques se sont finalement entendus pour supprimer le service militaire. La principale raison avancée étant la sophistication des équipements de l’armée et des technologies remplaçant les hommes. Le problème , c’est que dans des conflits récents on s’aperçoit que la place des hommes est essentielle à côté des armes plus sophistiquées. C’est évidemment le cas en Ukraine où la question des forces humaines est fondamentale. C’est encore le cas en Israël. C’était encore le cas en Afrique où nous sommes partis surtout par suite de manques d’effectifs pour laisser la place aux amis dictateurs de Poutine. Les Allemands rompant  totalement avec leur ancienne doctrine vont décider le retour du service militaire obligatoire ( orientation du nouveau chancelier).Comment la France pourrait-elle s’opposer aux millions d’hommes de la Russie et à ceux de ses affidés avec sa capacité de mobilisation de 50 000 soldats immédiatement ? À noter que le coût d’une formation de l’ordre de six mois pour environ 400 000 militaires du contingent serait seulement de 5à 6 milliards d’après l’institut IFRAP. Faute de formation à temps en cas de conflit, la France expédierait sur le front des hommes destinés à la boucherie.

En dernier ressort après utilisation des nouveaux équipements, l’infanterie termine le plus souvent le travail. En France, on a même supprimé le service militaire qui par ailleurs était un outil facilitant l’appropriation des valeurs républicaines et de la discipline. La France dispose d’une armée très complète dans tous les domaines mais c’est une miniature d’armée. Elle dispose seulement 160 000 hommes. En une semaine, elle serait balayée par les forces extérieures russes ou autres. Il faudrait disposer de 5à 10 fois plus de soldats disponibles et formés.

Le pays est confronté à deux types de risques. Le risque extérieur avec les menaces réitérées notamment de la Russie qui envahit pays par pays aux portes de l’union européenne. Aussi un risque intérieur avec le développement du terrorisme islamique.

Un service de l’ordre de six mois minimum est indispensable pour former des soldats. Pour assurer la sécurité intérieure mais y compris pour intervenir sur le théâtre des opérations extérieures si nécessaire. On mesure bien en effet toutes les limites de la guerre dite technologique. La principale menace aujourd’hui, c’est le terrorisme qui sévit dans le monde entier ; de ce point de vue les armes sophistiquées notamment aériennes sont insuffisantes pour lutter avec efficacité contre ce périple.

Au plan intérieur, ces armes sophistiquées sont à peu près inopérante et la stratégie doit reposer sur la présence physique de forces de surveillance et de protection.

La problématique n’est pas seulement sécuritaire elle est aussi sociétale pour permettre le brassage des populations et une meilleure appropriation des valeurs citoyennes.

Face à l’explosion de la menace terroriste en 2015, l’idée de rétablir un service militaire ou un dispositif similaire était revenue dans l’actualité . Certains réclamaient un service obligatoire de 6 mois.

Comme en Allemagne, pour le retour du service militaire

Comme en Allemagne, pour  le retour du service militaire


Experts militaires et politiques se sont finalement entendus pour supprimer le service militaire. La principale raison avancée étant la sophistication des équipements de l’armée et des technologies remplaçant les hommes. Le problème , c’est que dans des conflits récents on s’aperçoit que la place des hommes est essentielle à côté des armes plus sophistiquées. C’est évidemment le cas en Ukraine où la question des forces humaines est fondamentale. C’est encore le cas en Israël. C’était encore le cas en Afrique où nous sommes partis surtout par suite de manques d’effectifs pour laisser la place aux amis dictateurs de Poutine. Les Allemands rompant  totalement avec leur ancienne doctrine vont décider le retour du service militaire obligatoire ( orientation du nouveau chancelier).Comment la France pourrait-elle s’opposer aux millions d’hommes de la Russie et à ceux de ses affidés avec sa capacité de mobilisation de 50 000 soldats immédiatement ? À noter que le coût d’une formation de l’ordre de six mois pour environ 400 000 militaires du contingent serait seulement de 5à 6 milliards d’après l’institut IFRAP. Faute de formation à temps en cas de conflit, la France expédierait sur le front des hommes destinés à la boucherie.

En dernier ressort après utilisation des nouveaux équipements, l’infanterie termine le plus souvent le travail. En France, on a même supprimé le service militaire qui par ailleurs était un outil facilitant l’appropriation des valeurs républicaines et de la discipline. La France dispose d’une armée très complète dans tous les domaines mais c’est une miniature d’armée. Elle dispose seulement 160 000 hommes. En une semaine, elle serait balayée par les forces extérieures russes ou autres. Il faudrait disposer de 5à 10 fois plus de soldats disponibles et formés.

Le pays est confronté à deux types de risques. Le risque extérieur avec les menaces réitérées notamment de la Russie qui envahit pays par pays aux portes de l’union européenne. Aussi un risque intérieur avec le développement du terrorisme islamique.

Un service de l’ordre de six mois minimum est indispensable pour former des soldats. Pour assurer la sécurité intérieure mais y compris pour intervenir sur le théâtre des opérations extérieures si nécessaire. On mesure bien en effet toutes les limites de la guerre dite technologique. La principale menace aujourd’hui, c’est le terrorisme qui sévit dans le monde entier ; de ce point de vue les armes sophistiquées notamment aériennes sont insuffisantes pour lutter avec efficacité contre ce périple.

Au plan intérieur, ces armes sophistiquées sont à peu près inopérante et la stratégie doit reposer sur la présence physique de forces de surveillance et de protection.

La problématique n’est pas seulement sécuritaire elle est aussi sociétale pour permettre le brassage des populations et une meilleure appropriation des valeurs citoyennes.

Face à l’explosion de la menace terroriste en 2015, l’idée de rétablir un service militaire ou un dispositif similaire était revenue dans l’actualité . Certains réclamaient un service obligatoire de 6 mois.

Politique-Retour des dictatures ? (ONU)

Politique-Retour des dictatures ?  (ONU)

À l’occasion du Conseil des droits de l’Homme qui se tient actuellement, les Nations unies ont tenu à mettre en garde contre les risques liés au retour des « dictateurs » et « autocrates ».

L’ère des « dictateurs » qui ont commis des crimes atroces « peut se reproduire », a mis en garde, ce lundi 24 février, le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits humains, Volker Türk, appelant à un sursaut pour éviter une situation « très dangereuse ».

« Au cours des siècles précédents, l’usage effréné de la force par les puissants, les attaques aveugles contre les civils, les transferts de population, et le travail des enfants étaient monnaie courante. Les dictateurs pouvaient ordonner des crimes atroces qui envoyaient à la mort un grand nombre de personnes.

Attention: cela peut se reproduire », a averti le Haut-Commissaire, dans son discours général d’ouverture de la 58e session du Conseil des droits de l’homme (CDH).

« Un tiers de l’économie mondiale » contrôlée par des autocraties
Volker Türk a également souligné que « l’édifice des droits humains que nous avons construits si péniblement au fil des décennies n’a jamais été autant mis à l’épreuve ».

« Le consensus mondial sur les droits humains s’effondre sous le poids des (dirigeants) autoritaires, des hommes forts et des oligarques », a-t-il mis en garde peu après que le chef de l’ONU, Antonio Guterres, a lui aussi dénoncé de la même tribune ceux qui asphyxient les droits humains.
« Selon certaines estimations, les autocrates contrôlent aujourd’hui environ un tiers de l’économie mondiale, soit plus du double qu’il y a 30 ans », a insisté Volker Türk.
Le haut responsable onusien appelle tout le monde à se ressaisir pour que « les droits humains et l’État de droit restent les fondements des communautés, des sociétés et des relations internationales » car « sans quoi, la situation est très dangereuse ».

Retour des dictatures ? (ONU)

Retour des dictatures ?  (ONU)

À l’occasion du Conseil des droits de l’Homme qui se tient actuellement, les Nations unies ont tenu à mettre en garde contre les risques liés au retour des « dictateurs » et « autocrates ».

L’ère des « dictateurs » qui ont commis des crimes atroces « peut se reproduire », a mis en garde, ce lundi 24 février, le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits humains, Volker Türk, appelant à un sursaut pour éviter une situation « très dangereuse ».

« Au cours des siècles précédents, l’usage effréné de la force par les puissants, les attaques aveugles contre les civils, les transferts de population, et le travail des enfants étaient monnaie courante. Les dictateurs pouvaient ordonner des crimes atroces qui envoyaient à la mort un grand nombre de personnes.

Attention: cela peut se reproduire », a averti le Haut-Commissaire, dans son discours général d’ouverture de la 58e session du Conseil des droits de l’homme (CDH).

« Un tiers de l’économie mondiale » contrôlée par des autocraties
Volker Türk a également souligné que « l’édifice des droits humains que nous avons construits si péniblement au fil des décennies n’a jamais été autant mis à l’épreuve ».

« Le consensus mondial sur les droits humains s’effondre sous le poids des (dirigeants) autoritaires, des hommes forts et des oligarques », a-t-il mis en garde peu après que le chef de l’ONU, Antonio Guterres, a lui aussi dénoncé de la même tribune ceux qui asphyxient les droits humains.
« Selon certaines estimations, les autocrates contrôlent aujourd’hui environ un tiers de l’économie mondiale, soit plus du double qu’il y a 30 ans », a insisté Volker Türk.
Le haut responsable onusien appelle tout le monde à se ressaisir pour que « les droits humains et l’État de droit restent les fondements des communautés, des sociétés et des relations internationales » car « sans quoi, la situation est très dangereuse ».

 

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