Archive pour le Tag 'Hollande'

Politique-Le retour de François Hollande en 2027 ! ! !

Politique-Le retour de François Hollande en 2027 ! ! !

 

Visiblement François Hollande remet les deux pieds dans  la politique et fait le pari que l’union de la gauche future à l’occasion des élections présidentielles fera le choix d’un social-démocrate comme lui ; c’est en tout cas ce que laisse entendre  l’ancien président socialiste (2012-2017), qui publie aux Éditions Perrin Le Défi de gouverner. François Hollande laisse entendre qu’il serait préférable que la gauche présente plusieurs candidats ( dont lui sans doute) au plus premier tour des présidentielles. Vraisemblablement pour contourner l’épouvantail Mélenchon.

Le problème évidemment c’est que François Hollande a surtout développé une politique déjà largement inspirée par Macron. Dans les campagnes électorales , Hollande gauchit effectivement son discours « la finance, c’est l’ennemi » ! Ensuite finalement il poursuit la politique conduite précédemment. En outre l’homme est largement usé dans l’opinion publique. Le problème c’est que le parti socialiste n’a encore pas réussi à imposer un leader suffisamment charismatique pour créer une dynamique propre et préfère encore l’ambiguïté dans le cadre du nouveau front populaire à une ligne politique claire.

Le retour de François Hollande en 2027 ! ! !

Le retour de François Hollande en 2027 ! ! !

 

Visiblement François Hollande remet les deux pieds dans  la politique et fait le pari que l’union de la gauche future à l’occasion des élections présidentielles fera le choix d’un social-démocrate comme lui ; c’est en tout cas ce que laisse entendre  l’ancien président socialiste (2012-2017), qui publie aux Éditions Perrin Le Défi de gouverner. 

Le problème évidemment c’est que François Hollande a surtout développé une politique déjà largement inspirée par Macron. Dans les campagnes électorales , Hollande gauchit effectivement son discours « la finance, c’est l’ennemi » ! Ensuite finalement il poursuit la politique conduite précédemment. En outre l’homme est largement usé dans l’opinion publique. Le problème c’est que le parti socialiste n’a encore pas réussi à imposer un leader suffisamment charismatique pour créer une dynamique propre et préfère encore l’ambiguïté dans le cadre du nouveau front populaire à une ligne politique claire.

 

Présidentielles: « moi aussi » (Hollande) !

Présidentielles: « moi aussi » (Hollande) !

 

Après Édouard Philippe qui s’est sans doute trompé  calendrier en affirmant qu’il était prêt pour les présidentielles y compris avant 2027, on va voir défiler une liste de candidats à la candidature suprême. Et François Hollande, toujours là d’affirmer « moi aussi ». Bref le retour des caciques. Ne manque plus que l’annonce de Sarkozy !Et bien sûr de Ségolène Royal !
Cela démontre à l’évidence le décalage énorme entre l’intérêt personnel des candidats et l’intérêt général. Un intérêt général qui plaide en priorité pour la nomination d’un gouvernement afin surtout que la France dispose d’un budget et répondre aux questions les plus urgentes du moment.La crise politique actuelle se nourrit bien sûre de l’invraisemblable dissolution de l’assemblée mais aussi de l’attitude irresponsable de la plupart des grands leaders politiques qui pensent surtout à l’élection présidentielle et non à la crise économique et sociale qui va s’ajouter à la crise politique.

L’élu de Corrèze a  été interrogé sur une éventuelle nouvelle candidature personnelle pour l’Élysée. Ce à quoi il a répondu: « Non, je ne l’envisage pas aujourd’hui. » Avant de préciser: « Je ne l’écarte pas non plus. ». Encore du « en même temps » mais à la sauce Hollande.

Les boulets politiques : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau, Hollande …et les autres

Les boulets  politiques : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau, Hollande  …et les autres

D’après des sondages d’opinion près de la moitié de la population ont exprimé lors   premier tour des législatives leur ras-le-bol vis-à-vis de la politique et des  élites. Des élites souvent composées de professionnels de la politique et-ou de technocrates coupés des réalités. S’ajoute à cela la personnalité de certains leaders qui constituent de véritables repoussoirs.

Au sein de la majorité présidentielle actuelle,  Macron occupe est de loin la première place de repoussoirs. Il faut dire que sa posture de monarque républicain type bonapartiste condescendant constitue la cause principale du déclin de « Renaissance et de ses alliés ». Le parti des républicains porte aussi sa croix avec la désertion de son propre président Éric passé au RN pour sauver sa place de député. Et en plus un responsable d’une indigence intellectuelle qui désarme. Et le pire c’est qu’on parlait de lui comme ministre de la défense lui qui s’est débrouillé pour ne pas faire son service militaire ! À gauche évidemment Mélenchon tient le pompon comme repoussoirs numéro un. L’homme ne manque pas de culture mais son radicalisme fait peur y comprise à son propre camp où d’ailleurs il n’hésite pas à faire régner la terreur.

Chez les écolos, on peut facilement placer en tête Sandrine Rousseau davantage préoccupée des questions sociétales que d’écologie, plus proche d’ailleurs de Mélenchon que d’Europe écologie les Verts. Une sorte de Ségolène Royal en pire et encore plus bavarde. Au parti socialiste, il y a l’éternel François Hollande toujours prêt à intervenir sur tout, à exister et même envisager un retour présidentiel ou pourtant son bilan a été catastrophique.

Enfin au RN le boulet pourrait bien être Marine Le Pen elle-même. Elle confirme chaque fois qu’elle s’exprime son manque de consistance voir son indigence politique à la différence d’un Bardella qui donne l’impression d’être plus sérieux et plus construit. La liste des repoussoirs est sans doute plus nombreuse car en réalité, c’est une grande partie du système et des hommes qui est en cause. Trop de démagogie, trop d’incompétence, trop de coupures avec le réel, trop d’idéologues,  trop d’intérêts personnels. Bref un déficit démocratique et un manque d’efficacité.

Démocratie-Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau, Hollande …et les autres

Démocratie-Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau, Hollande  …et les autres

D’après des sondages d’opinion près de la moitié de la population ont exprimé lors   premier tour des législatives leur ras-le-bol vis-à-vis de la politique et des  élites. Des élites souvent composées de professionnels de la politique et-ou de technocrates coupés des réalités. S’ajoute à cela la personnalité de certains leaders qui constituent de véritables repoussoirs.

Au sein de la majorité présidentielle actuelle,  Macron occupe est de loin la première place de repoussoirs. Il faut dire que sa posture de monarque républicain type bonapartiste condescendant constitue la cause principale du déclin de « Renaissance et de ses alliés ». Le parti des républicains porte aussi sa croix avec la désertion de son propre président Éric passé au RN pour sauver sa place de député. Et en plus un responsable d’une indigence intellectuelle qui désarme. Et le pire c’est qu’on parlait de lui comme ministre de la défense lui qui s’est débrouillé pour ne pas faire son service militaire ! À gauche évidemment Mélenchon tient le pompon comme repoussoirs numéro un. L’homme ne manque pas de culture mais son radicalisme fait peur y comprise à son propre camp où d’ailleurs il n’hésite pas à faire régner la terreur.

Chez les écolos, on peut facilement placer en tête Sandrine Rousseau davantage préoccupée des questions sociétales que d’écologie, plus proche d’ailleurs de Mélenchon que d’Europe écologie les Verts. Une sorte de Ségolène Royal en pire et encore plus bavarde. Au parti socialiste, il y a l’éternel François Hollande toujours prêt à intervenir sur tout, à exister et même envisager un retour présidentiel ou pourtant son bilan a été catastrophique.

Enfin au RN le boulet pourrait bien être Marine Le Pen elle-même. Elle confirme chaque fois qu’elle s’exprime son manque de consistance voir son indigence politique à la différence d’un Bardella qui donne l’impression d’être plus sérieux et plus construit. La liste des repoussoirs est sans doute plus nombreuse car en réalité, c’est une grande partie du système et des hommes qui est en cause. Trop de démagogie, trop d’incompétence, trop de coupures avec le réel, trop d’idéologues,  trop d’intérêts personnels. Bref un déficit démocratique et un manque d’efficacité.

Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau …et les autres

Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau, Hollande  …et les autres

D’après des sondages d’opinion près de la moitié de la population ont exprimé lors   premier tour des législatives leur ras-le-bol vis-à-vis de la politique et des  élites. Des élites souvent composées de professionnels de la politique et-ou de technocrates coupés des réalités. S’ajoute à cela la personnalité de certains leaders qui constituent de véritables repoussoirs.

Au sein de la majorité présidentielle actuelle,  Macron occupe est de loin la première place de repoussoirs. Il faut dire que sa posture de monarque républicain type bonapartiste condescendant constitue la cause principale du déclin de « Renaissance et de ses alliés ». Le parti des républicains porte aussi sa croix avec la désertion de son propre président Éric passé au RN pour sauver sa place de député. Et en plus un responsable d’une indigence intellectuelle qui désarme. Et le pire c’est qu’on parlait de lui comme ministre de la défense lui qui s’est débrouillé pour ne pas faire son service militaire ! À gauche évidemment Mélenchon tient le pompon comme repoussoirs numéro un. L’homme ne manque pas de culture mais son radicalisme fait peur y comprise à son propre camp où d’ailleurs il n’hésite pas à faire régner la terreur.

Chez les écolos, on peut facilement placer en tête Sandrine Rousseau davantage préoccupée des questions sociétales que d’écologie, plus proche d’ailleurs de Mélenchon que d’Europe écologie les Verts. Une sorte de Ségolène Royal en pire et encore plus bavarde. Au parti socialiste, il y a l’éternel François Hollande toujours prêt à intervenir sur tout, à exister et même envisager un retour présidentiel ou pourtant son bilan a été catastrophique.

Enfin au RN le boulet pourrait bien être Marine Le Pen elle-même. Elle confirme chaque fois qu’elle s’exprime son manque de consistance voir son indigence politique à la différence d’un Bardella qui donne l’impression d’être plus sérieux et plus construit. La liste des repoussoirs est sans doute plus nombreuse car en réalité, c’est une grande partie du système et des hommes qui est en cause. Trop de démagogie, trop d’incompétence, trop de coupures avec le réel, trop d’idéologues,  trop d’intérêts personnels. Bref un déficit démocratique et un manque d’efficacité.

Législatives : François Hollande a besoin des voix des » Républicains »

Législatives : François Hollande a besoin des voix des » Républicains »

L’ex-président François Hollande,  en tête du premier tour des législatives dans son fief de Corrèze avec 37,65% des voix, selon des résultats quasi définitifs avec 99% des bulletins dépouillés.

Le candidat du Nouveau Front populaire a devancé la candidate Rassemblement national Maïtey Pougey, deuxième avec 30,86% des voix. Il toutefois pourrait faire face à une triangulaire en cas de maintien du député sortant Francis Dubois (Les Républicains), arrivé troisième avec 28,63% des voix.

Retour de Hollande, atout ou handicap ?

Retour de Hollande, atout ou handicap ?

 

 

 

Le retour de Hollande est évidemment une surprise comme candidat aux législatives. En fait, l’intéressé n’a jamais lâché la politique et l’espérance d’un nouveau mandat y compris aux présidentielles. Il va même bénéficier d’une situation particulière pour sa candidature en Corrèze puisqu’il n’y aura pas de candidats de la majorité macroniste en face de lui.

Hollande peut être un atout à l’Assemblée nationale compte tenu de son expérience politique. Par contre, il n’a pas laissé un grand souvenir comme président et ce retour peut susciter des interrogations voir des critiques y compris au sein du nouveau Front populaire.

Pour faciliter sans doute cette élection, le  parti présidentiel a décidé de ne pas investir de candidat face à lui. L’entourage de l’ancien chef de l’État indique que ce dernier a en effet «constaté» l’absence de concurrent Renaissance, tout en affirmant ne pas avoir été concerté par la majorité pour cette décision.

 

 

Politique: l’héritage de François Hollande : son scooter !

Politique: l’héritage de François Hollande : son scooter !

 

 

On aurait bien du mal à évoquer ce qui caractérise l’héritage politique de François Hollande dont le pouvoir a fini en eau de  boudin à tel point qu’il n’a même pas pu se représenter.

On apprend cependant que l’ancien scooter de François Hollande sera mis en vente au château Darty ni en Touraine lors d’une vente aux enchères

 

Le 1er janvier 2014, l’ancien président de la République a été photographié en scooter par la presse people devant l’immeuble de l’actrice Julie Gayet alors qu’il était officiellement en couple avec la journaliste Valérie Trierweiler. Le scoop, révélé par le magazine Closer, a déclenché un vaudeville médiatique dont l’épilogue fut la séparation du chef de l’État avec sa compagne. Dix ans après, la monture reste ancrée dans l’histoire du quinquennat de François Hollande.

Le pire c’est que François Hollande a dédicacé son scooter !

L’héritage politique de François Hollande : son scooter !

L’héritage politique de François Hollande : son scooter !

 

 

On aurait bien du mal à évoquer ce qui caractérise l’héritage politique de François Hollande dont le pouvoir a fini en eau de  boudin à tel point qu’il n’a même pas pu se représenter.

On apprend cependant que l’ancien scooter de François Hollande sera mis en vente au château Darty ni en Touraine lors d’une vente aux enchères

 

Le 1er janvier 2014, l’ancien président de la République a été photographié en scooter par la presse people devant l’immeuble de l’actrice Julie Gayet alors qu’il était officiellement en couple avec la journaliste Valérie Trierweiler. Le scoop, révélé par le magazine Closer, a déclenché un vaudeville médiatique dont l’épilogue fut la séparation du chef de l’État avec sa compagne. Dix ans après, la monture reste ancrée dans l’histoire du quinquennat de François Hollande.

Le pire c’est que François Hollande a dédicacé son scooter !

Hollande, symbole de la gauche bobo

Hollande, symbole de la gauche bobo

Les propos de François Hollande dans le journal « Le Monde » caractérise le décalage de la gauche bobo avec la réalité de la très grosse majorité des Français en matière de gestion de l’immigration.

François Hollande : « Le président Macron et le gouvernement n’ont pas pris les voix du Front national. Ils ont pris ses idées »

L’ancien chef de l’Etat analyse, dans un entretien au « Monde », la dérive opérée par la majorité présidentielle avec l’adoption de la loi sur l’immigration.

L’ancien président de la République socialiste (2012-2017), qui avait annoncé en 2015 l’extension de la déchéance de nationalité aux binationaux coupables de crime terroriste, avant d’y renoncer face à la fracturation du pays, estime qu’« avec cette loi, nous rentrons insidieusement dans la préférence nationale ».

Le projet de loi « immigration » a été voté mardi soir. Emmanuel Macron, qui redoutait la paralysie de son mandat, peut-il crier victoire ?
C’est une défaite pour la République. Quand un texte est voté avec des mesures contraires à la Constitution, il ne peut pas être regardé comme un progrès. Quand, sur des principes fondamentaux, la famille Le Pen considère avoir remporté une victoire idéologique, cela ne peut pas être une victoire. Quand une majorité se fracture, et quand un gouvernement est traversé par des haut-le-cœur, cette conclusion ne peut pas être un triomphe pour le président de la République. Enfin, et c’est le plus grave, quand des électeurs de bonne foi – et j’en ai fait partie – ont voté pour Emmanuel Macron afin d’écarter le Rassemblement national [RN] au second tour de l’élection présidentielle et constatent que des propositions de ce parti sont maintenant des lois de la République, c’est une humiliation.

Impôt : Hollande regrette de n’avoir pas suffisamment augmenté la fiscalité locale

Impôt : Hollande regrette de n’avoir pas suffisamment augmenté la fiscalité locale

En tant qu’ancien président de la république, Hollande ne regrette nullement la hausse de fiscalité. Pas davantage que ses prédécesseurs ou ses successeurs d’ailleurs. Pire, il regrette de n’avoir pas augmenté suffisamment la fiscalité locale. Il est vrai que Hollande a rajouté des couches aux couches administratives avec la nouvelle organisation territoriale qui permet de cumuler les étagères inutiles. D’abord celle des communes. Ensuite celle des communes regroupées. Ensuite celle des communautés de communes puis celle des départements et enfin des régions. Autant de structures qui n’agissent que dans des champs très limités mais perçoivent toutes le fruit de fiscalité.

Et l’ancien président de se féliciter régions « qui ont pris confiance en elles-mêmes et ont été capables de monter des projets et de faire entendre leur voix ». « C’est le conseil régional qui est devenue la collectivité territoriale qui met en œuvre les politiques publiques avec une taille et des moyens assurant leur développement », a-t-il ajouté amis

« Nous n’avons jamais été jusqu’au bout du transfert des moyens, des ressources et des compétences », a aussitôt concédé, et de manière surprenante, François Hollande. « J’ai sans doute commis les mêmes péchés que mes prédécesseurs et mon successeur avec toujours l’idée que l’Etat doit être le premier et que les régions doivent suivre », a-t-il poursuivi.

Et de regretter le manque de fiscalité en France en constatant « un Etat central aussi puissant et aussi pauvre en moyens et en ressources, qui crée une insatisfaction qui pèse sur la démocratie. Autant la centralisation constitue un « système efficace » pour les questions régaliennes (police, justice, défense, Ndlr) ; pour autant, « ce qui devient insupportable, c’est d’être entravé dans sa liberté par une tutelle technique, permanente ». « Il faut plus de liberté dans l’application des règles », a exhorté l’ex-locataire de l’Elysée.

Et de réduire la politique à la question de la fiscalité ou la philosophie classique d’un technocrate sorti de l’ENA:

« Le problème, c’est de ne plus disposer de ressources propres. Il n’y a pas d’organisation démocratique sans l’autorité d’émettre une dépense et, en contrepartie, de voter une recette. Quand une partie des citoyens ne paient plus d’impôts, il s’opère une distinction entre ces mêmes citoyens et une distance entre les citoyens et les responsables politiques », a enchaîné l’ex-président.

Un « regret » face à une situation « archaïque »et « injuste »
Il s’agit même de « l’un de [ses] regrets » : « nous avons laissé notre fiscalité locale dans un état archaïque et injuste. Il a été commode ensuite d’en supprimer un certain nombre d’éléments (taxe d’habitation, CVAE… Ndlr), mais il y a sûrement une refonte générale à mener qu’aucun gouvernement n’a menée car il y a des transferts de prélèvements qui sont extrêmement préjudiciables pour ceux qui en décident ».

Et d’asséner encore : « Qu’il n’y ait pas eu d’impôt sur le revenu additionnel et qu’il n’y ait jamais eu d’impôt économique pour les collectivités locale, quand vous ne disposez plus de la possibilité de lever l’impôt sur tous les citoyens et quand vous n’avez même plus intérêt à accueillir des habitants ou des installations économiques sur votre territoire, ça pose quand même un problème. La grande réforme à faire, c’est celle de la fiscalité locale ».

Politique- Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat; Ouf !

Politique- Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat, Ouf !

Voilà la France rassurée d’un danger supplémentaire écarté: Hollande ne sera pas Candidat pour les européennes en 2024. Un non-événement évidemment mais qui donne l’occasion à l’ancien président de faire encore parler de lui même pour rien. Et de croire qu’il a toujours une influence avec des propos toujours aussi bizarres et ambigus .

François Hollande assure dans un entretien accordé ce samedi 2 décembre à Ouest-France que «non, pas candidat, mais je jouerai un rôle». Sans doute un rôle de figurant !

«J’appuierai la liste socialiste si elle s’élargit à toutes les composantes du PS et à des mouvements extérieurs, comme celui de Bernard Cazeneuve (son ancien premier ministre et ministre de l’Intérieur, qui a quitté le PS et créé son propre mouvement, NDLR), et les radicaux…» du Parti radical de gauche (PRG), deux opposants à la Nupes.

L’ancien président de la République (2012-2017) estime que «seul cet élargissement peut donner une nouvelle force à l’idée sociale-démocrate», notamment en vue de la présidentielle de 2027.

«La direction du Parti socialiste n’a pas le choix. Elle doit accepter d’ouvrir largement sa liste», insiste l’ancien président, alors que le patron du PS Olivier Faure n’entend pas inviter Bernard Cazeneuve ou le PRG. «Le PS a besoin que Bernard Cazeneuve s’investisse personnellement dans cette campagne. Pour bien le connaître je le considère comme un atout», assure François Hollande.

Le PRG, opposé à toute alliance avec LFI, a annoncé fin novembre qu’il voulait présenter sa propre liste aux élections européennes, appelant le PS à sortir de «l’ambiguïté» et invitant Raphaël Glucksmann à ne pas être «le chef de file d’une liste du moratoire».

Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat, Ouf !

Élections européennes : Hollande ne sera pas candidat, Ouf !

Voilà la France rassurée d’un danger supplémentaire écarté: Hollande ne sera pas Candidat pour les européennes en 2024. Un non-événement évidemment mais qui donne l’occasion à l’ancien président de faire encore parler de lui même pour rien. Et de croire qu’il a toujours une influence avec des propos toujours aussi bizarres et ambigus .

François Hollande assure dans un entretien accordé ce samedi 2 décembre à Ouest-France que «non, pas candidat, mais je jouerai un rôle». Sans doute un rôle de figurant !

«J’appuierai la liste socialiste si elle s’élargit à toutes les composantes du PS et à des mouvements extérieurs, comme celui de Bernard Cazeneuve (son ancien premier ministre et ministre de l’Intérieur, qui a quitté le PS et créé son propre mouvement, NDLR), et les radicaux…» du Parti radical de gauche (PRG), deux opposants à la Nupes.

L’ancien président de la République (2012-2017) estime que «seul cet élargissement peut donner une nouvelle force à l’idée sociale-démocrate», notamment en vue de la présidentielle de 2027.

«La direction du Parti socialiste n’a pas le choix. Elle doit accepter d’ouvrir largement sa liste», insiste l’ancien président, alors que le patron du PS Olivier Faure n’entend pas inviter Bernard Cazeneuve ou le PRG. «Le PS a besoin que Bernard Cazeneuve s’investisse personnellement dans cette campagne. Pour bien le connaître je le considère comme un atout», assure François Hollande.

Le PRG, opposé à toute alliance avec LFI, a annoncé fin novembre qu’il voulait présenter sa propre liste aux élections européennes, appelant le PS à sortir de «l’ambiguïté» et invitant Raphaël Glucksmann à ne pas être «le chef de file d’une liste du moratoire».

Évolution du Chômage : Hollande a menti (Cahuzac)

Évolution du Chômage : Hollande a menti (Cahuzac)

Jérôme Cahuzac, ancien député du Lot-et-Garonne et ministre du délégué au Budget sous François Hollande, a accusé lundi 27 novembre sur France Inter l’ancien président socialiste d’avoir menti aux Français sur la courbe du chômage. ( Franceinfo)

En Lot-et-Garonne, Jérôme Cahuzac fait sa première sortie publique depuis dix ans
« En 2013, Hollande annonce le retournement de la courbe du chômage, sachant parfaitement que c’était impossible. Aucune note de la direction de la prévision de la Banque de France, de la direction du Budget, de la direction du Trésor ne lui permettait d’annoncer cela. Bien au contraire même », a accusé l’ancien ministre. « Il l’annonce en 2013 en sachant que ce n’est pas vrai, en 2014 en sachant que ce n’est pas possible, et ce jusqu’à la fin de son mandat. En vain toujours, puisque c’est au début du mandat d’Emmanuel Macron que cette courbe du chômage s’est inversée. D’ailleurs, en partie grâce aux mesures que François Hollande a pu décider. Il savait que ça prendrait ce temps-là », a-t-il poursuivi.

« Quand il l’annonce des années avant, il ment », affirme-t-il. Selon Jérôme Cahuzac, François Hollande « a lui aussi une part de responsabilité à cet égard » dans la défiance des Français vis-à-vis des politiques. « J’ai ma part de responsabilité que j’assume. Il faudrait peut-être que les autres reconnaissent la leur et l’assument. On en est loin », dit-il.

L’élection de François Hollande par les Français en 2012, « s’est avéré un choix malencontreux et même douloureux à la fin », a-t-il estimé. « Un président sortant qui n’a même pas la possibilité de se représenter, cela en dit long sur la façon dont il a précisément exercé ce mandat », a-t-il chargé.

Toute le monde en prend pour son grade. Jérôme Cahuzac a également dénoncé l’attitude les dirigeants socialistes dans la vie politique d’aujourd’hui : « Ils ont signé un accord qui n’est qu’un accord de soumission à l’égard de La France insoumise et de son leader Jean-Luc Mélenchon. Un accord de soumission avec comme seule contrepartie le sauvetage de leurs sièges à eux », a-t-il critiqué. « Ils ont vendu toute la gouvernance, tout l’esprit de responsabilité, tout le bilan du Parti socialiste de ces 40 dernières années pour sauver dix, quinze ou 20 sièges des dirigeants », a-t-il souligné

Jérôme Cahuzac fait son grand retour dans les médias après avoir été condamné à de la prison ferme à cinq ans d’inéligibilité et à 300 000 euros d’amende pour fraude fiscale.

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