Archive pour le Tag 'moi'

Déficits publics et dettes: « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal , élus locaux etc)

Déficits publics et dettes: « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal , élus locaux etc)

Élisabeth Borne ancienne première ministre, a été particulièrement secouée lors de son audition au Sénat sur la responsabilité relative à la dérive du déficit du budget. Comme Bruno Le Maire, Attal et d’autres, elle a affirmé qu’elle n’était pas responsable et que la question des recettes ne relevait pas de la responsabilité du gouvernement ! Le même raisonnement que Bruno Le Maire ou une drôle de conception de la gestion ! Un peu comme si dans une entreprise ou un ménage on décidait d’ignorer les ressources pour décider des dépenses. La vérité sans doute c’est que plus personne ne contrôle vraiment la dérive suicidaire des déficits et de la dette. En cause un nombre incalculable de superstructures qui s’auto-développent d’autant plus facilement que les élus n’y comprennent pas grand-chose. Et le plus souvent, c’est la technostructure- (et les cabinets de conseil) qui décide de tout aussi bien au plan national qu’ au plan local. Résultat alors qu’on affirme partout être à l’euro près ( dixit Bruno Le Maire et autres élus y compris locaux), on a perdu de l’ordre de 50 milliards de recettes fiscales ! En clair on a dépensé 50 milliards supplémentaires sans les ressources correspondantes.

« Je n’ai pas eu d’alerte avant décembre 2023. Il est inhabituel de piloter des incertitudes sur les recettes. Cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement d’anticiper d’hypothétiques risques sur les recettes calculées par les services », a-t-elle déclaré devant les sénateurs.

Interrogée sur les notes d’alerte envoyées par Bercy, la désormais députée à l’Assemblée nationale a balayé d’un revers de main les arguments du duo de choc du palais du Luxembourg. « Les alertes de la mi-décembre ont porté sur les objectifs de recettes. Ce n’est pas habituel d’avoir des écarts de cet ordre là. Jusqu’à mi-décembre, je n’ai pas eu d’alerte pour mesurer l’ampleur du montant », a déclaré Elisabeth Borne.

S’agissant des prévisions de croissance du projet de loi de finances 2024 (1,4%) jugées optimistes par beaucoup d’économistes à l’époque, elle a estimé que « ce n’est pas le rôle du Premier ministre de challenger les hypothèses de croissance de son ministre de l’Economie. Il n’y a pas de services auprès du Premier ministre en mesure de challenger le ministre de l’Economie. Si le budget avait été construit sur des hypothèses erronées, le Haut conseil des finances publiques (HCFP) l’aurait signalé ».

Là encore, la défense de l’élue semble bien fragile. Le HCFP présidé par Pierre Moscovici, dans son avis remis au moment de la présentation du budget 2024 montre que, « les recettes semblent un peu surestimées. Elles sont tirées vers le haut par la prévision de croissance élevée de l’activité et, au-delà, par des hypothèses favorables sur le rendement de certains impôt».

Politique: Crise financière : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal , élus locaux etc)

Politique:  Crise financière   : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal , élus locaux etc)

Élisabeth Borne ancienne première ministre, a été particulièrement secouée lors de son audition au Sénat sur la responsabilité relative à la dérive du déficit du budget. Comme Bruno Le Maire, Attal et d’autres, elle a affirmé qu’elle n’était pas responsable et que la question des recettes ne relevait pas de la responsabilité du gouvernement ! Le même raisonnement que Bruno Le Maire ou une drôle de conception de la gestion ! Un peu comme si dans une entreprise ou un ménage on décidait d’ignorer les ressources pour décider des dépenses. La vérité sans doute c’est que plus personne ne contrôle vraiment la dérive suicidaire des déficits et de la dette. En cause un nombre incalculable de superstructures qui s’auto-développent  d’autant plus facilement que les élus n’y comprennent pas grand-chose. Et le plus souvent, c’est la technostructure- (et les cabinets de conseil) qui décide de tout aussi bien au plan national qu’  au plan local.  Résultat alors qu’on affirme partout être à l’euro près ( dixit Bruno Le Maire et autres élus y compris locaux), on a perdu de l’ordre de 50 milliards de recettes fiscales !En clair on a dépensé 50 milliards supplémentaires sans les ressources correspondantes.

« Je n’ai pas eu d’alerte avant décembre 2023. Il est inhabituel de piloter des incertitudes sur les recettes. Cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement d’anticiper d’hypothétiques risques sur les recettes calculées par les services », a-t-elle déclaré devant les sénateurs.

Interrogée sur les notes d’alerte envoyées par Bercy, la désormais députée à l’Assemblée nationale a balayé d’un revers de main les arguments du duo de choc du palais du Luxembourg. « Les alertes de la mi-décembre ont porté sur les objectifs de recettes. Ce n’est pas habituel d’avoir des écarts de cet ordre là. Jusqu’à mi-décembre, je n’ai pas eu d’alerte pour mesurer l’ampleur du montant », a déclaré Elisabeth Borne.

S’agissant des prévisions de croissance du projet de loi de finances 2024 (1,4%) jugées optimistes par beaucoup d’économistes à l’époque, elle a estimé que « ce n’est pas le rôle du Premier ministre de challenger les hypothèses de croissance de son ministre de l’Economie. Il n’y a pas de services auprès du Premier ministre en mesure de challenger le ministre de l’Economie. Si le budget avait été construit sur des hypothèses erronées, le Haut conseil des finances publiques (HCFP) l’aurait signalé ».

Là encore, la défense de l’élue semble bien fragile. Le HCFP présidé par Pierre Moscovici, dans son avis remis au moment de la présentation du budget 2024 montre que, « les recettes semblent un peu surestimées. Elles sont tirées vers le haut par la prévision de croissance élevée de l’activité et, au-delà, par des hypothèses favorables sur le rendement de certains impôt».

Crise financière : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)

Crise financière   : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)

Élisabeth Borne ancienne première ministre, a été particulièrement secouée lors de son audition au Sénat sur la responsabilité relative à la dérive du déficit du budget. Comme Bruno Le Maire, Attal et d’autres, elle a affirmé qu’elle n’était pas responsable et que la question des recettes ne relevait pas de la responsabilité du gouvernement ! Le même raisonnement que Bruno Le Maire ou une drôle de conception de la gestion ! Un peu comme si dans une entreprise ou un ménage on décidait d’ignorer les ressources pour décider des dépenses. La vérité sans doute c’est que plus personne ne contrôle vraiment la dérive suicidaire des déficits et de la dette. En cause un nombre incalculable de superstructures qui s’auto-développent  d’autant plus facilement que les élus n’y comprennent pas grand-chose.Et le plus souvent c’est la technostructure qui décide de tout aussi bien au plan national au plan local .

« . Je n’ai pas eu d’alerte avant décembre 2023. Il est inhabituel de piloter des incertitudes sur les recettes. Cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement d’anticiper d’hypothétiques risques sur les recettes calculées par les services », a-t-elle déclaré devant les sénateurs.

Interrogée sur les notes d’alerte envoyées par Bercy, la désormais députée à l’Assemblée nationale a balayé d’un revers de main les arguments du duo de choc du palais du Luxembourg. « Les alertes de la mi-décembre ont porté sur les objectifs de recettes. Ce n’est pas habituel d’avoir des écarts de cet ordre là. Jusqu’à mi-décembre, je n’ai pas eu d’alerte pour mesurer l’ampleur du montant », a déclaré Elisabeth Borne.

S’agissant des prévisions de croissance du projet de loi de finances 2024 (1,4%) jugées optimistes par beaucoup d’économistes à l’époque, elle a estimé que « ce n’est pas le rôle du Premier ministre de challenger les hypothèses de croissance de son ministre de l’Economie. Il n’y a pas de services auprès du Premier ministre en mesure de challenger le ministre de l’Economie. Si le budget avait été construit sur des hypothèses erronées, le Haut conseil des finances publiques (HCFP) l’aurait signalé ».

Là encore, la défense de l’élue semble bien fragile. Le HCFP présidé par Pierre Moscovici, dans son avis remis au moment de la présentation du budget 2024 montre que, « les recettes semblent un peu surestimées. Elles sont tirées vers le haut par la prévision de croissance élevée de l’activité et, au-delà, par des hypothèses favorables sur le rendement de certains impôt».

Dérapage du déficit : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)

Dérapage du déficit : « c’est pas moi », (Le Maire, Borne, Attal etc)

Élisabeth Borne ancienne première ministre, a été particulièrement secouée lors de son audition au Sénat sur la responsabilité relative à la dérive du déficit du budget. Comme Bruno Le Maire, Attal et d’autres, elle a affirmé qu’elle n’était pas responsable et que la question des recettes ne relevait pas de la responsabilité du gouvernement ! Le même raisonnement que Bruno Le Maire ou une drôle de conception de la gestion ! Un peu comme si dans une entreprise ou un ménage on décidait d’ignorer les ressources  pour décider des dépenses.

 

« . Je n’ai pas eu d’alerte avant décembre 2023. Il est inhabituel de piloter des incertitudes sur les recettes. Cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement d’anticiper d’hypothétiques risques sur les recettes calculées par les services », a-t-elle déclaré devant les sénateurs.

Interrogée sur les notes d’alerte envoyées par Bercy, la désormais députée à l’Assemblée nationale a balayé d’un revers de main les arguments du duo de choc du palais du Luxembourg. « Les alertes de la mi-décembre ont porté sur les objectifs de recettes. Ce n’est pas habituel d’avoir des écarts de cet ordre là. Jusqu’à mi-décembre, je n’ai pas eu d’alerte pour mesurer l’ampleur du montant », a déclaré Elisabeth Borne.

S’agissant des prévisions de croissance du projet de loi de finances 2024 (1,4%) jugées optimistes par beaucoup d’économistes à l’époque, elle a estimé que « ce n’est pas le rôle du Premier ministre de challenger les hypothèses de croissance de son ministre de l’Economie. Il n’y a pas de services auprès du Premier ministre en mesure de challenger le ministre de l’Economie. Si le budget avait été construit sur des hypothèses erronées, le Haut conseil des finances publiques (HCFP) l’aurait signalé ».

Là encore, la défense de l’élue semble bien fragile. Le HCFP présidé par Pierre Moscovici, dans son avis remis au moment de la présentation du budget 2024 montre que, « les recettes semblent un peu surestimées. Elles sont tirées vers le haut par la prévision de croissance élevée de l’activité et, au-delà, par des hypothèses favorables sur le rendement de certains impôt».

 

Premier ministre:  » et moi et moi et moi  » (Ségolène)

Premier ministre:  » et moi et moi et moi  » (Ségolène)

 

Il y a bien une semaine que Ségolène Royal n’avait pas sortie une énormité. Le vide est comblé avec cette déclaration de l’ancienne candidate battue aux présidentielles :  » moi aussi je suis candidate comme première ministre ».

Le seul problème pourra laisser qu’on ne lui a rien demandé ni du côté de la gauche marxiste ni de la gauche social-démocrate. En outre elle ne remplit sans doute pas les conditions nécessaires pour le consensus. Au contraire c’est plutôt une spécialiste des déclarations à l’emporte-pièce qui divise. En tout cas le casting se meuble de jour en jour pour Matignon. À se demander si Moreno ou Sandrine Rousseau ne vont pas rapidement se positionner aussi en raison de leur capacité également à faire le buzz.

Pour le programme, c’est le même qu’ il y a 17 ans.«Trois priorités : l’ordre juste dans les domaines économique, social, écologique et sécuritaire ; l’avenir des jeunes ; et le rétablissement des comptes publics», a développé Ségolène Royal.

 Et pour donner du crédit à sa candidature elle enfonce celle de Bernard Cazeneuve
  «Il s’est déjà positionné pour l’élection présidentielle. Tout candidat à Matignon ne doit pas être candidat parce que ça fait faire des erreurs. Parce qu’on passe du “je” au “nous” (à Matignon), alors que l’élection présidentielle, c’est le “je”», a-t-elle rétorqué. Et de prendre l’engagement, si elle arrive rue de Varenne, de ne pas briguer l’Élysée en 2027 «parce que c’est souvent cela qui nourrit les confrontations dans les partis politiques.»

 

Politique-Autonomie Corse : et moi et moi et moi ! (autres régions)

Politique-Autonomie Corse : et moi et moi et moi ! (autres régions)

Encore une belle idiotie de Macron avec l’annonce d’une fumeuse autonomie Corse qui est bien illusoire car cela supposerait un changement de la constitution française. Évidemment Macron a ouvert aussi la boîte de pandore car immédiatement la Bretagne réclame aussi la même autonomie que la Corse. Et il y en aura d’autres ! Le paradoxe de cette perspective de l’autonomie, c’est que sans doute elle recevrait un soutien des Français. Des Français qui seraient aussi pour une indépendance afin de se débarrasser des éternelles revendications et problèmes de la Corse. Par contre les Corses eux-mêmes seraient sans doute contre l’indépendance qui les priverait des subsides de l’État français ! Macron aurait été plus inspirer d’évoquer un pas plus significatif vers une véritable décentralisation concernant la totalité des territoires du pays au lieu de bricoler des autonomies incohérentes.

« Il n’y a pas des élus matures et responsables d’un côté qui peuvent avoir des droits d’agir au quotidien pour leurs habitants et d’autres élus qui vont rester dans un centralisme passéiste », a déclaré Loïg Chesnais-Giarard lors d’un point presse.

L’ouverture d’Emmanuel Macron jeudi pour « bâtir une autonomie à la Corse » a été aussitôt saluée par les présidents de régions, en particulier le breton Loïg Chesnais-Girard qui a réclamé « la même chose » pour s’affranchir d’un « centralisme passéiste ».

« J’entends que le président de la République parle de plus de liberté, d’autonomie pour la Corse, pour agir dans des domaines importants comme le logement, les langues ou d’autres sujets, eh bien nous demandons la même chose », a-t-il déclaré lors d’un point presse en clôture du congrès des Régions de France.

« Il n’y a pas des élus matures et responsables d’un côté qui peuvent avoir des droits d’agir au quotidien pour leurs habitants et d’autres élus qui vont rester dans un centralisme passéiste », a insisté Loïg Chesnais-Girard, qui a profité de la venue de la Première ministre Élisabeth Borne pour lui remettre un rapport détaillant ses souhaits pour « une plus forte décentralisation ».

Autonomie Corse : et moi et moi et moi ! (autres régions)

Autonomie Corse : et moi et moi et moi ! (autres régions)

Encore une belle idiotie de Macron avec l’annonce d’une fumeuse autonomie Corse qui est bien illusoire car cela supposerait un changement de la constitution française. Évidemment Macron a ouvert aussi la boîte de pandore car immédiatement la Bretagne réclame aussi la même autonomie que la Corse. Et il y en aura d’autres ! Le paradoxe de cette perspective de l’autonomie, c’est que sans doute elle recevrait un soutien des Français. Des Français qui seraient aussi pour une indépendance afin de se débarrasser des éternelles revendications et problèmes de la Corse. Par contre les Corses eux-mêmes seraient sans doute contre l’indépendance qui les priverait des subsides de l’État français ! Macron aurait été plus inspirer d’évoquer un pas plus significatif vers une véritable décentralisation concernant la totalité des territoires du pays au lieu de bricoler des autonomies incohérentes.

« Il n’y a pas des élus matures et responsables d’un côté qui peuvent avoir des droits d’agir au quotidien pour leurs habitants et d’autres élus qui vont rester dans un centralisme passéiste », a déclaré Loïg Chesnais-Giarard lors d’un point presse.

L’ouverture d’Emmanuel Macron jeudi pour « bâtir une autonomie à la Corse » a été aussitôt saluée par les présidents de régions, en particulier le breton Loïg Chesnais-Girard qui a réclamé « la même chose » pour s’affranchir d’un « centralisme passéiste ».

« J’entends que le président de la République parle de plus de liberté, d’autonomie pour la Corse, pour agir dans des domaines importants comme le logement, les langues ou d’autres sujets, eh bien nous demandons la même chose », a-t-il déclaré lors d’un point presse en clôture du congrès des Régions de France.

« Il n’y a pas des élus matures et responsables d’un côté qui peuvent avoir des droits d’agir au quotidien pour leurs habitants et d’autres élus qui vont rester dans un centralisme passéiste », a insisté Loïg Chesnais-Girard, qui a profité de la venue de la Première ministre Élisabeth Borne pour lui remettre un rapport détaillant ses souhaits pour « une plus forte décentralisation ».

Coopération franco-allemande: je t’aime, moi non plus !

Coopération franco-allemande: je t’aime, moi non plus !

La coopération dans le domaine de la défense notamment apparaît en effet très chaotique. En cause, le faite que la France entend conserver son autonomie stratégique et que l’Allemagne est très protectrices pour les juteuses exportations de matériel militaire. Bref, des positions politiques souvent opposées et qui se nourrissent d’intérêts stratégiques et économiques ( l’Allemagne voudrait bien bénéficier seule travail de recherche en commun sur le matériel militaire ).

L’Allemagne fait toujours autant de réserves concernant le programme du futur avion de combat SCAF est encore récemment commandé des allures américains. Pourtant l’avoir semblé dégageait après l’accord entre Dassault Aviation et Airbus.

Même réticence pour le char du futur*, le deuxième grand programme en coopération entre les deux pays, Berlin patauge depuis de longs mois dans un imbroglio industriel allemand et le le français Nexter. Tout semble encore possible malgré les difficultés de ce programme….. mais rien n’est certain.

Reste enfin le drone MALE, seul programme véritablement lancé et qui avait été décidé parmi d’autres lors du conseil ministériel franco-allemand de juillet 2017. Mais il ne convainc pas vraiment, notamment en France, en raison de ses spécifications.

Progressivement Berlin a détricoté cette coopération en abandonnant sans aucun état d’âme plusieurs programmes communs lancés : missile tactique air-sol (2018), système de patrouille maritime (2021), modernisation de l’hélicoptère Tigre (2022). « Les Allemands ont fait l’annonce il y a quelque temps de l’achat de Boeing P-8 américains pour assurer la fonction de patrouille maritime », constate-t-on à l’Élysée.
Mêmes incertitudes concernant le bouclier antimissile allemand (European Skyshield Initiative), dont l’idée a été lancée fin août 2022 par le chancelier Scholz à Prague, a tendu à la fin de l’été les relations entre la France et l’Allemagne. Il semblerait qu’actuellement, le point de vue de la France commence à être enfin entendu à Berlin. « C’est un sujet qui est très sensible et très stratégique », reconnaît-on à l’Élysée.

Mais au-delà de ce volet stratégique, la France ne fait pas mystère que l’Europe doit privilégier « son autonomie stratégique, donc son autonomie aussi dans ses achats d’équipements, avec un souhait de préférence européenne ». De son côté, l’Allemagne préférait se satisfaire du bouclier de défense américain.

Je connais le nom du prochain premier ministre….c’est moi (Macron)

Je connais le nom du prochain premier ministre….c’est moi (Macron)

 

La France avait sans doute oublié qu’elle avait un premier ministre dont la démission est annoncée pour jeudi ou samedi. La démission de Jean Castex devrait avoir lieu jeudi ou samedi et son successeur devrait être annoncé dans la foulée.  Plusieurs fois interrogées sur le nom du successeur de Castex, Macron entretient un faux mystère. Il a déclaré » je connais son nom mais le moment n’est pas venu de le donner ». La vérité c’est que le premier ministre sera Macron lui-même et le Premier ministre jouera les utilités….comme Castex.

Société- France-Corse : je t’aime moi non plus !

Société-  France-Corse : je t’aime moi non plus !

 

 

Il y a évidemment quelque chose d’ambigu dans les relations entre la France et la Corse, des régions et des populations tellement proches mais qui paraissent aussi tellement éloignées au point que certains envisagent jusqu’à l’indépendance de l’île.

 

La Corse est admirée pour sa beauté en même temps que pour la douceur de vivre de ses  habitants. Elle est cependant détestée du fait de l’extrémisme d’indépendantistes irresponsables et de mafieux.

 

Le dossier corse pourrit les relations depuis des dizaines et des dizaines d’années au point que les Français de l’Hexagone ont montré dans différents sondages qu’ils seraient prêts a accordé l’indépendance à cette île toujours en état de révolution infantile.

 

S’il y a effectivement un mouvement de revendication d’indépendance en Corse, il reste cependant très minoritaire dans la population. Et plusieurs sondages ont démontré qu’en cas de référendum par exemple une majorité de Corses seraient contre ce concept d’indépendance ( à distinguer de l’autonomie qui, elle ,d’ailleurs pourrait s’appliquer à d’autres régions d’outre-mer voir même à toutes les régions françaises comme en Allemagne).

 

C’est le paradoxe, une minorité agissante qui instrumentalise la mauvaise humeur des Corses pour donner une légitimité à la revendication d’indépendance mais des Corses qui globalement n’en veulent pas car économiquement et même culturellement attachés à la France. Et inversement le ras-le-bol des Français vis-à-vis d’un territoire aux représentants versatiles, démagogiques et souvent irresponsables.

Politique-France-Corse : je t’aime moi non plus !

Politique-France-Corse : je t’aime moi non plus !

 

 

Il y a évidemment quelque chose d’ambigu dans les relations entre la France et la Corse, des régions et des populations tellement proches mais qui paraissent aussi tellement éloignées au point que certains envisagent jusqu’à l’indépendance de l’île.

 

La Corse est admirée pour sa beauté en même temps que pour la douceur de vivre de ses  habitants. Elle est cependant détestée du fait de l’extrémisme d’indépendantistes irresponsables et de mafieux.

 

Le dossier corse pourrit les relations depuis des dizaines et des dizaines d’années au point que les Français de l’Hexagone ont montré dans différents sondages qu’ils seraient prêts a accordé l’indépendance à cette île toujours en état de révolution infantile.

 

S’il y a effectivement un mouvement de revendication d’indépendance en Corse, il reste cependant très minoritaire dans la population. Et plusieurs sondages ont démontré qu’en cas de référendum par exemple une majorité de Corses seraient contre ce concept d’indépendance ( à distinguer de l’autonomie qui, elle ,d’ailleurs pourrait s’appliquer à d’autres régions d’outre-mer voir même à toutes les régions françaises comme en Allemagne).

 

C’est le paradoxe, une minorité agissante qui instrumentalise la mauvaise humeur des Corses pour donner une légitimité à la revendication d’indépendance mais des Corses qui globalement n’en veulent pas car économiquement et même culturellement attachés à la France. Et inversement le ras-le-bol des Français vis-à-vis d’un territoire aux représentants versatiles, démagogiques et souvent irresponsables.

France-Corse : je t’aime moi non plus !

France-Corse : je t’aime moi non plus !

 

 

Il y a évidemment quelque chose d’ambigu dans les relations entre la France et la Corse, des régions et des populations tellement proches mais qui paraissent aussi tellement éloignées au point que certains envisagent jusqu’à l’indépendance de l’île.

 

La Corse est admirée pour sa beauté en même temps que pour la douceur de vivre de ses  habitants. Elle est cependant détestée du fait de l’extrémisme d’indépendantistes irresponsables et de mafieux.

 

Le dossier corse pourrit les relations depuis des dizaines et des dizaines d’années au point que les Français de l’Hexagone ont montré dans différents sondages qu’ils seraient prêts a accordé l’indépendance à cette île toujours en état de révolution infantile.

 

S’il y a effectivement un mouvement de revendication d’indépendance en Corse, il reste cependant très minoritaire dans la population. Et plusieurs sondages ont démontré qu’en cas de référendum par exemple une majorité de Corses seraient contre ce concept d’indépendance ( à distinguer de l’autonomie qui, elle ,d’ailleurs pourrait s’appliquer à d’autres régions d’outre-mer voir même à toutes les régions françaises comme en Allemagne).

 

C’est le paradoxe, une minorité agissante qui instrumentalise la mauvaise humeur des Corses pour donner une légitimité à la revendication d’indépendance mais des Corses qui globalement n’en veulent pas car économiquement et même culturellement attachés à la France. Et inversement le ras-le-bol des Français vis-à-vis d’un territoire aux représentants versatiles, démagogiques et souvent irresponsables.

Nouveau parti d’Édouard Philippe : « Horizons…. moi »

Nouveau parti d’Édouard Philippe : « Horizons…. moi »

 

Un drôle de parti, une drôle de date et un drôle de programme.

Le moins que l’on puisse dire est que l’initiative d’Édouard Philippe de créer son propre parti politique surprend beaucoup de monde y compris les partisans de Macron. Drôle de parti d’abord car en fait il s’agit d’une sorte de club puisque les adhérents auront quand même la possibilité d’adhérer aussi à d’autres formations politiques ( les républicains, la république en marche etc.).

 

Bref il s’agit davantage d’un cercle de partisans opportunistes que d’un véritable parti. . Une drôle de date, en effet à écouter Édouard Philippe il s’agit d’un horizon lointain : 2050. En réalité ,Édouard Philippe vise surtout de 2027 et se place déjà pour récupérer les oripeaux du parti en marche après le départ de Macron en 2022 ou en 2027.

 

Un drôle de programme aussi sorte de cocktails des préoccupations et des peurs avec la question du défi démographique , forme élégante pour parler de l’immigration sans fâcher personne. Ensuite le défi environnemental. La Édouard Philippe récupère tout simplement les peurs du mouvement écolo. On y ajoute le défi technologique qui ne fait que constituer une esquisse face à la désindustrialisation de la France.

 

Dans l’entourage d’Édouard Philippe ont compte surtout des opportunistes notoires comme Christophe Bechu, l’élu d’Angers , Laurent Saint-Martin ou encore des proches de Christian Estrosi qui change de parti comme de chemise. Ce dernier vient d’affirmer qu’ils ne voterait pas pour les républicains mais pour Macron et sans doute pour Édouard Philippe si les circonstances l’exigent !

À leurs côtés se trouvaient également Delphine Bürkli, maire du 9e arrondissement de Paris et conseillère régionale de Paris Île-de-France. L’élue parisienne a quitté LR en 2019 et est désormais membre La France audacieuse, le mouvement politique fondé par Christian Estrosi.

 

Protection vaccins Covid : les anticorps persistent: pendant 13 moi

Protection vaccins Covid : les anticorps persistent: pendant 13 mois

 

Une étude du CHU de Strasbourg souligne que la vaccination, même à dose unique, «renforce la protection contre les variants.» .  Les anticorps dirigés contre la protéine spike du virus du Covid-19 persistent «jusqu’à 13 mois après l’infection», selon une étude du CHU de Strasbourg dévoilée jeudi 20 mai, qui n’a pas encore été publiée dans une revue scientifique.

 

Une étude italienne publiée début mai avait annoncé que les anticorps neutralisant le Covid-19 restaient dans le sang pendant au moins huit mois après une infection. L’étude strasbourgeoise, conduite notamment par la biologiste Floriane Gallais et pilotée par la professeure Samira Fafi-Kremer, a suivi pendant plus d’un an 1309 personnes, dont 393 avaient déjà contracté le Covid-19.

 

Affaire Rugy : « moi, je mange des nouilles » (Marlène Schiappa)

Affaire Rugy :  « moi, je mange des nouilles »  (Marlène Schiappa)

 

 

On ne peut pas dire que de Rugy bénéficie réellement d’un grand soutien dans la majorité et au gouvernement. Nombre de responsables ont en effet enfoncé le ministre de l’écologie et continuent  même de le faire. Griveaux  par exemple, déjà e, campagne électorale à Paris, avait déclaré que de Rugy donnait  une terrible image de la politique. Il y en a certains plus ambigus qui condamnent et soutiennent en même temps. C’est le cas de Barbara Pompili qui a d’abord nettement critiqué l’utilisation de l’indemnisation parlementaire pour payer le parti puis qui s’est ravisée quand elle a appris que les sommes avaient été remboursées. Ce serait une affaire de trésorerie d’après de Rugy. En fait, c’est un peu comme si un voleur avait piqué dans la caisse d’un magasin et était revenu quelques semaines ou quelques mois plus tard pour rembourser en pensant effacer complètement le délit. Dans une entreprise, cela s’appelle un abus de biens sociaux ; c’est tout simplement du vol. Il y a les réalités  qui justifient les condamnations de de Russie mais aussi le fait que de Russie politiquement ne représente strictement rien pour la majorité. C’est un oligarque qui  fait de la politique depuis 25 ans mais ne doit sa carrière qu’à ses retournements de veste. D’où la distance et les condamnations de membres de la majorité C’est le cas, notamment, de Marlène Schiappa. Ce mercredi, au micro de RTL, la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les Femmes et les Hommes s’est pour le moins désolidarisée de l’ex-ministre. «Je comprends très bien que François de Rugy se sente harcelé et dénonce, de son point de vue, une tentative de démolition», a-t-elle affirmé. «Mais je pense qu’il faut prendre de la hauteur, et prendre le point de vue du journaliste d’enquête qui fait son travail. Je crois qu’on ne peut pas plaider pour la transparence d’un côté et fustiger cette transparence de l’autre», a-t-elle ajouté. Poursuivant sur la question de la transparence, la secrétaire d’État a regretté que la vie des membres du gouvernement «fasse l’objet de beaucoup de mythes», et a tenu à mettre en avant son propre mode de vie, qu’elle veut éloigner des clichés véhiculés par ces affaires. «La vérité, c’est que lorsque nous faisons un dîner de travail, le soir, nous buvons des carafes d’eau et mangeons des nouilles chinoises instantanées, qui coûtent 1,73€ en supermarché. Dans mon appartement de fonction, j’ai un portant à vêtement Ikea à 9€, que j’ai payé moi-même», a soutenu Marlène Schiappa. Affirmant qu’elle ne portait «aucun jugement» sur les travaux réalisés par François de Rugy, elle a ajouté: «Il ne faut pas s’imaginer qu’on a un compte ouvert avec lequel on peut réaliser toutes les dépenses qu’on souhaite réaliser».

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