Économie, politique, société : Les, plus, lus, 19 avril 2025

Économie, politique, société : Les, plus, lus, 19 avril 2025

Finances et économie : les Français ne travaillent pas assez
Comment lutter contre l’incompétence managériale
Sport- Foot et DAZN – Risque de crise financière grave dans le foot professionnel
Guerre Ukraine : les divergences européennes compliquent la situation
Guerre Ukraine : des réunions à Paris très floues
Fiscalité stable: les Français n’y croient pas
Démographie: Société : Musk veut repeupler la planète lui-même !
Immobilier : Risque d’un nouveau ralentissement
Politique : la propagande en gros sabots de la Russie
Ukraine : l’hypocrisie des États-Unis

États-Unis : la Californie conteste juridiquement la politique douanière de Trump
Endettement et économie : les Français ne travaillent pas assez
Turquie: Une dictature fréquentable au plan international !
Ukraine : les divergences européennes compliquent la situation
Guerre droits de douane : baisse du dollar
Nouvel abaissement des taux d’intérêt par la BCE
Foot et DAZN – Risque de crise financière grave dans le foot professionnel
Musk veut repeupler la planète lui-même !
Recul prévisible du commerce international d’après l’OMC
Foot ligue des champions: le Real battu par Arsenal

Trump et le goupillon
Finances publiques : le pays ne produit pas assez mais surtout ne travaille pas assez
Ukraine : Trump objectivement complice de Poutine
Foot–ligue des champions : le PSG de justesse face à Aston Villa
Soudan: la guerre oubliée
Taxes douane: Hong Kong arrête l’envoi de colis vers les États-Unis
OMS : un plan contre les futures pandémies
La Chine refuse les avions Boeing
Neuf prisons pris pour cible par les organisations mafieuses !
Algérie: la France réplique mollement

Santé : la résilience des cellules menacée par la pollution
Trump piégé par la Chine ?
Politique-Expulsion de 12 membres l’ambassade de France en Algérie
Guerre Ukraine : Trump complice de Poutine
Social-SNCF : Encore une grève des syndicats gauchistes le 8 mai
Foot- Risque de crise financière grave dans le foot professionnel
Marchés et bourses: Le yo-yo pendant des mois
Politique: Pour qui roule Trump ?
Carburants : les prix chutent en France
Bouleversement climatique en 2024 et manque de soleil en France

Finances et bourses: Le yo-yo pendant des mois
Social-SNCF : Encore une grève des syndicats gauchistes le 8 mai
Guerre Ukraine : pas d’avancée de Trump
Croissance France : révision à la baisse
Gabon : le putschiste élu président pour 7 ans
Semi-conducteurs, smartphones, ordinateurs: des droits de douane « dans un mois ou deux » ?
L’impôt supplémentaire sur hauts revenus pérennisé
Budget 2026 : Économies supplémentaires de 40 milliards d’euros ( Éric Lombard)
L’industrie automobile européenne à la dérive
L’Ukraine : pendant les fausses négociations les massacres continuent

Economie-Croissance France : révision à la baisse
Trump: Responsable du désordre économique mondial
Droits de douane et Bourses : Trump accusé de manipulation
Social-Conclave retraites : les discussions continuent
Ukraine : pas d’avancée de Trump
Les marchés financiers font reculer Trump
Marchés financiers et bourses: Le yo-yo pendant des mois
SNCF : Encore une grève des syndicats gauchistes le 8 mai
État de droit : très faible participation aux manifestations gauchisantes
Guerre commerciale : Le danger de l’instabilité de Trump

Marchés financiers et bourses: Le yo-yo pendant des mois
Croissance Allemagne : Prévisions encore en baisse
Droits de douane : des conséquences dramatiques pour les pays en développement
Les marchés financiers font plier Trump
La Chine porte à 125% les droits de douane sur les importations américaines
Croissance Chine : ralentissement
Moody’s: La France conserve sa note
Le dollar toujours en baisse
Guerre en Ukraine : pas d’avancée de Trump
Énergie : l’Académie des sciences contre la nouvelle programmation (PPE)

Diabète et additifs alimentaires
Allemagne : Prévisions de croissance encore en baisse
Afrique- Guerre en RDC et Union Européenne
Effet boomerang pour les patrons de la tech qui ont soutenu Trump
Droits de douane supprimés contre l’achat de 350 milliards de dollars d’hydrocarbures
Conclave retraites : les discussions continuent
Droits de douane : l’union européenne heureuse de suspendre aussi sa réplique
OR: Signe de crise, nouveau record à 3170 dollars
Foot- Ligue Europa : L’OL encore en course
Bourses : Trump accusé de manipulation

« Ils me lèchent le cul »: La vulgarité témoigne de la fébrilité de Trump
Sondage– taxes Trump, 84 % des Français inquiets
Bayrou : l’immobilisme pour durer ?
« Face à Trump ? Agir plutôt que subir ! «
Trump: Responsable du désordre économique mondial
L’eau Perrier menacée
Inflation prix alimentaire : 1,4 % en moyenne en 2025
Foot–ligue des champions : succès aller du PSG sur Aston Villa
Croissance France : révision à la baisse
Droits de douane: Trump suspend sauf pour la Chine

Trump: une vision impériale et autoritaire
Droits de douane. « Taxer les produits américains stratégiques »
Après la guerre douanière, la guerre monétaire
Représentativité syndicale : la CFDT reste la première organisation
Droits de douane:La Chine gagnante
Foot- Le real écrasé par Arsenal
Vers la fin rapide de Bayrou ?
Taxes-États-Unis–Chine des droits jusqu’à 104 %
Finances et bourses: Le yo-yo pendant des mois
Prix du pétrole : tendances à la baisse

Taxes Trump: La Chine gagnante ?
Bourses: Le yo-yo pendant des mois
Délires de Trump: une chance pour l’Europe ?
« Les « tariffs » vaudous de Trump » (Michel Santi)
Taxes Trump: Baisse de croissance et inflation pour JP Morgan
Les taxes Trump sont mauvaises pour l’économie française
États-Unis–Chine des droits de douane jusqu’à 104 %
Finances: Le Bitcoin aussi dans la tourmente
Trump refuse les propositions de l’Union économique européenne
Bourses: Tokyo, le yo-yo avec un rebond mardi

Droits de douane de Trump : vers un nouvel échec
Équilibre commercial : Trump oublie les services
La fusion de « Renaissance » et du MoDem
Bourses: nouvelle chutes
Droits douaniers américains. Ils vont assommer l’économie mondiale
Bourses et finances: Vers un krach ?
Des manifestations concurrentes dimanche à la participation très moyenne
Élections législatives: Marie-Christine Dalloz (LR) élue dans le Jura
Gaza: Macron en Égypte pour relancer le cessez-le-feu
Effet Trump : la baisse se poursuit sur les marchés financiers

Des manifestations concurrentes dimanche à la participation indécise
Finances: Vers un krach boursier ?
Politique-Trump: Les fantasmes d’un fou
Droits de douane américains :ils vont assommer économie mondiale
Politique- Trump : vers la crise économique et la guerre
Coût des Droits de douane américains : 0,5% de PIB » à la France ?
Football–PSG : champion en …. France
Sondage Présidentielle : RN nettement en tête
Wokisme : la Belgique propose des cartes d’identité… sans mention de sexe
États-Unis : premières manifestations contre Trump et Musk

Politique- Trump : vers la crise économique et la guerre
Environnement–Exploitation minière : Trump veut exploiter 50 % des fonds marins internationaux
Société- L’internationale réactionnaire en guerre culturelle mondiale
Les droits de douane de Trump qui vont assommer économie mondiale
Politique énergétique : un débat au Parlement mais après la décision du gouvernement
La perspective d’une crise de régime aux USA
Politique-Les États-Unis proposent d’annexer l’économie de l’Ukraine !
Politique-Trump: Les fantasmes d’un déséquilibré
Vers un krach boursier ?
Bourses : deuxième jour noir Wall Street

États-Unis : premier échec électoral pour Trump
Vers un choc boursier ?
Pour l’Allemagne, l’Europe doit mettre fin à sa dépendance vis-à-vis des Etats-Unis
Trump: Les fantasmes d’un déséquilibré
États-Unis : des sénateurs tentent de s’opposer aux taxes douanières de Trump
Après des calculs de coins de table, Trump la guerre économique mondiale
Les États-Unis proposent d’annexer l’économie de l’Ukraine !
Cadres : recrutement en baisse
Deux manifestations concurrentes dimanche à la participation indécise
Marchés financiers: fortes baisses

L’hypothèse d’une crise de régime aux USA
Drogue- Mohamed Amra porte plainte contre l’administration pénitentiaire !
Guerre commerciale US: Trump pourrait bien encore changer
Quelle stratégie de coopération économique en Europe
Musk va quitter ses fonctions au gouvernement US
Foot–coupe de France: Reims face au PSG en finale
Politique énergétique : un débat au Parlement mais après la décision du gouvernement
Trump taxe de 20% sur les importations européennes
Taxes douanières de Trump: tout est bon pour les justifier
Trump décide de droits de douane qui vont assommer économie mondiale

L’hubris de Musk qui menace la démocratie
La justice aussi dans la tourmente
L’internationale réactionnaire en guerre culturelle mondiale
Intelligence artificielle : pour des synergies européennes à la hauteur de l’enjeu
République démocratique du Congo (RDC): Rencontre avec les rebelles du M23
États-Unis : Industrie manufacturière en recul
Automobile émissions de CO2 : recul de la commission européenne
Exploitation minière : Trump veut exploiter 50 % des fonds marins internationaux
Le Pen: Décision en appel en été 2026
Foot–Coupe de France : le PSG gagne péniblement face à Dunkerque

À qui profite la rhétorique du gouvernement des juges ?
La question des déserts médicaux
Renault et Nissan réduisent encore leur coopération
Trump : vers la crise économique et la guerre
Politique-Ukraine et la tentation munichoise
Et le financement de la campagne électorale de Macron en 2017 ?
Sondage politique : Bayrou encore en baisse
Retraites : système toujours déficitaire même avec un report à 66 ans
De drôles de champions de la démocratie qui soutiennent Le Pen
Condamnation Le Pen-RN : pas un handicap pour 60 % des Français

Trump ou l’économie « has been »
Ukraine et la tentation munichoise
Furieux ou comédien, Trump et des nouvelles taxes sur la Russie
Rattacher les États-Unis à la Belgique ?
Economie-Inflation :0,8 % sur un an en mars
Société-Narcotrafic : un chiffre d’affaires de plus de 3 milliards
Politique-Turquie : de l’autocratie vers la guerre civile
Politique-Trump et sa bande de tarés : vers la crise économique et la guerre

Finances et économie : les Français ne travaillent pas assez

Finances et économie : les Français ne travaillent pas assez


Le Premier ministre tourne autour du pot en considérant que le pays ne produit pas assez. Et il impute cette insuffisance à la faiblesse du taux d’emploi ( rapport actifs sur population). Une donnée indiscutable mais qui devrait être complétée par une autre à savoir que c’est tout le pays qui ne travaille pas assez tout au long de sa vie, dès le départ professionnel ( 35 % seulement des jeunes travaillent; en France pour 50 % en Allemagne), même rapport défavorable pour la retraite et la productivité . Sans parler de la valeur travail qui s’étiole d’année en année sous la pression de l’opinion et d’organisations gauchistes comme certains syndicats trop satisfaits ainsi de fabriquer des Français mécontents et des « révolutionnaires potentiels » !

Quant au discours sur la réduction des dépenses publiques, c’est toujours le même refrain avec la promesse d’être plus rigoureux mais une incapacité totale à dégraisser le mammouth technocratique, administratif et politique. Chacun y va de sa solution réductrice pour réduire les dépenses ici ou là. La vérité c’est qu’il faut les réduire absolument partout même dans les secteurs tendus car il y a d’autres manières d’assurer les tâches régaliennes avec qualité et rigueur. La vérité encore c’est que personne ne contrôle plus les dépenses en France ce sont des superstructures qui décident des investissements et de la dérive des frais de fonctionnement. Cela vaut pour l’État jusqu’aux plus petites communes.

Comment lutter contre l’incompétence managériale

Comment lutter contre l’incompétence managériale

Devoir travailler pour (ou être dirigé par) des incompétents, c’est le cauchemar de nombreux salariés ! Ça n’arrive pas qu’aux autres. Et quand cette incompétence se propage dans toute l’organisation, on bascule dans la kakistocratie. S’il n’existe pas de solution magique pour en sortir, des actions concrètes sont possibles pour la prévenir ou en limiter les effets. La kakistocratie au travail ? C’est la direction par des incompétents ! Et si toutes les organisations ne sont pas des kakistocraties (heureusement !), la kakistocratie se retrouve dans tous les secteurs d’activités. Spontanément, elle est souvent associée aux grosses structures, à l’administration, au secteur public. En réalité, la taille ne joue aucun rôle et on retrouve aussi des personnes incompétentes à la tête de PME, d’ETI et même de start-up. C’est dire que tout le monde peut être, un jour ou l’autre, concerné. Or la kakistocratie nous interpelle vivement, car elle constitue l’inverse exact de ce qui nous est enseigné dès le plus jeune âge, cette idée selon laquelle « il faut être compétent pour réussir » !

par Isabelle Barth
Secrétaire général, The Conversation France, Université de Strasbourg dans The Conversation

Mon enquête sur le sujet montre que cette situation produit de nombreux effets, tous négatifs. Parmi ceux cités, citons la perte de performance, la dégradation de l’image de l’entreprise, l’absentéisme, un climat délétère, voire de la souffrance au travail…

Or, voir des incompétents recrutés, puis obtenir des promotions, pallier l’incompétence de son manager au prix de son temps et de son énergie, comprendre qu’un dirigeant notoirement incompétent restera en poste pour de nombreuses années, constituent des pertes de repères et produisent de la souffrance. Comment sortir de cette situation ?

Face à une kakistocratie, de nombreuses personnes adoptent le comportement qui leur semble le plus adapté de leur point de vue : le désengagement. Cela peut prendre différentes formes, allant de la démission à l’absence. Sans oublier le « quiet quitting » qui consiste à faire le minimum demandé. Certains individus vont plus loin, jusqu’à dénoncer la situation, mais être un lanceur d’alerte est loin d’être simple ! D’autres encore adoptent la posture consistant à affronter la question de l’incompétence. Comment ?

Il faut tout d’abord distinguer l’incompétence métier de l’incompétence managériale. La première concerne les hard skills. Si elle est bien repérée, une formation ad hoc permet d’y remédier assez rapidement en général. L’incompétence managériale est plus complexe à gérer. D’abord, parce qu’elle est moins facile à objectiver et souvent diffuse dans l’organisation. En outre, ce type d’incompétence concerne… les dirigeants, ce qui rend plus difficile sa remise en cause. Pourtant, des actions concrètes et mobilisables pour éviter la propagation de ces insuffisances professionnelles sont possibles.

Commençons par les méthodes les plus évidentes pour éviter que l’incompétence prenne sa place dans l’organisation et se développe au point de devenir une kakistocratie, et ce, dès le recrutement. Les concours qui confondent bagage de connaissances et passeport de compétences doivent être proscrits à tout prix. On le sait, une tête peut être bien remplie et bien faite, mais complètement à côté des attentes inhérentes au poste.

De même, il ne faut pas confondre les compétences d’expertise et de management. Pas plus que le meilleur joueur de football ne fait, le plus souvent, un bon entraîneur, le meilleur vendeur ne sera pas mécaniquement un bon chef des ventes. Ni le meilleur ouvrier un bon chef d’atelier… Éviter ce biais assez courant suppose de ne pas faire du management la seule voie de promotion. Car cette attitude amène des personnes à accepter un poste de manager pour des raisons aussi mauvaises que compréhensibles (l’augmentation de salaire, les avantages, la capacité à prendre des décisions, le pouvoir de faire…).

La lutte contre toutes les formes de clanisme a aussi un rôle central à jouer, au moment du recrutement ou d’une promotion. Le critère pour l’un ou l’autre doit être les compétences du candidat, et non un lien familial, ou une proximité de formation – un candidat n’est pas bon parce qu’il a fait les mêmes études. Le fameux syndrome du « fils du patron » et toutes les formes de corporatisme doivent être combattus avec une volonté affirmée.

La lutte contre l’incompétence passe aussi par des actions de formation, à commencer par l’évaluation de la vraie compétence. Trop souvent apparences et compétences sont confondues, attribuant des qualités et un potentiel à des personnes sûres d’elles et sachant se mettre en avant. Prendre conscience de ces biais cognitifs pour mieux les combattre est une nécessité.

De même, une formation au management responsable a un rôle majeur. Dans cette optique, un salarié compétent apte à progresser dans l’entreprise ne doit pas être appréhendé comme un futur concurrent, auquel il convient de barrer la route. Au contraire, un bon manager sait faire grandir ses équipes et accepter que certains deviennent meilleurs que lui !

Par ailleurs, l’action contre la kakistocratie ne peut pas faire l’économie d’une réflexion sur l’organisation et sur les usages. Quatre voies principales sont à privilégier.

Mieux vaut privilégier les compétences internes que de recourir à des consultants externes. Chaque fois qu’une entreprise fait appel à des expertises extérieures (qui peuvent avoir leur utilité), elle envoie aussi un signal négatif à ses équipes qui ne chercheront plus à monter en compétences.

Une seconde voie à privilégier consiste à ralentir sur les changements d’organisation, la mobilité des personnes. Trop fréquentes, ces réorganisations permanentes ou presque font perdre toute possibilité de capitaliser sur ses compétences. La compétence a toujours un « coût d’entrée » et le retour sur investissement de cette acquisition n’est jamais instantané.

Il importe aussi de donner des marges de manœuvre aux personnes, sans les contraindre à suivre des scripts et des procédures rigides. Les premiers et les seconds ont pour effet de faire perdre toute initiative.

Enfin, être vigilant sur les routines qui s’installent et qui sont le nid des « compétences spécialisées » est essentiel. Il faut avoir en tête qu’il existe un moment critique dans le parcours des individus. Le moment où la remise en cause d’un diagnostic ou d’une marche à suivre n’est plus possible, car le salarié est persuadé de son hypercompétence, est critique.

Faire de l’incompétence un atout ! Un oxymore ? Non, mais il faut accepter de passer par plusieurs étapes. Ainsi, l’incompétence est à la fois une obsession managériale et un impensé. L’incompétence n’est vue que comme le contraire de la compétence. Dans la réalité, les choses sont plus complexes : la compétence et l’incompétence sont indéniablement liées.

Il faut rappeler quelques définitions. L’incompétence (comme la compétence) n’existe qu’en « action » et elle se définit par l’adéquation avec un poste, une fonction, une mission à un moment donné dans un contexte donné. On peut être un manager évalué très compétent dans une entreprise et ne plus l’être dans une autre.

On n’est jamais compétent ou incompétent « en soi ». Ce point est très important : trop souvent, l’incompétence dans un poste débouche sur un diagnostic d’incompétence d’une personne en général.

Nous sommes tous des incompétents

Accepter (en commençant par soi) qu’on soit tous incompétents en quelque chose ou pour quelqu’un. Ce qui amène à :

avoir une posture d’apprentissage permanent, aussi bien pour les hard skills que pour les soft skills ;

accepter de se faire aider, aller vers les autres (et pas seulement les sachants) et sortir de son silo professionnel pour apprendre ;

voir dans ses collaborateurs (et éventuellement son manager) un potentiel qui peut évoluer ;

accepter les erreurs et les voir comme des occasions d’apprendre (à condition qu’elles ne se répètent pas à l’identique), de façon à permettre des initiatives qui ne voient le jour qu’avec la confiance en soi. C’est d’ailleurs une des compétences managériales les plus importantes : savoir instaurer la « sécurité psychologique ». Il s’agit de remettre les personnes dans leur zone de compétences et de leur faire confiance.

Une ouverture plus disruptive est de regarder faire ceux et celles qu’on a enfermés dans leur statut d’incompétents, car leurs « bricolages » (au sens de Lévi-Strauss) peuvent être des sources d’inspiration. Ils proposent d’autres chemins, d’autres façons de faire qui peuvent être inspirantes, et performantes !

L’incompétence, pensée, acceptée, peut alors devenir une source d’innovation et de créativité. Sortir de la kakistocratie passe donc par le management de l’incompétence. Pour cela, il faut l’apprivoiser afin qu’elle ne reste pas une obsession ni, encore moins, une condamnation.

Sport- Foot et DAZN – Risque de crise financière grave dans le foot professionnel

Sport- Foot et DAZN – Risque de crise financière grave dans le foot professionnel

Nombre de clubs pourraient bien se retrouver en faillite si aucun accord n’intervient dans le différend financier entre le diffuseur télé et la ligue de football professionnel. L’enjeu est considérable autour de 400 millions qui étaient attendus de l’accord entre DAZN et la ligue de football. Le diffuseur considère qu’il y a eu tromperie sur la marchandise ( pas assez de connexions). DAZN refuse d’honorer ses engagements. La rupture devrait intervenir avec la ligue de football à la fin de l’année. Cela d’autant plus que des DAZN propose seulement de payer 100 millions sur les 400 promis. Beaucoup de petits clubs professionnels pourraient courir le risque de disparaître faute de recettes des diffuseurs.

Si DAZN ne versait pas le montant dû, la Ligue devrait alors puiser, à nouveau, dans son fond de réserve pour assurer le versement aux clubs à très court terme. Et dans un deuxième temps, elle serait contrainte d’activer la garantie de l’actionnaire, sans aucune visibilité sur les délais de résultat d’une telle procédure. Dans ce scénario sombre, les trésoreries de beaucoup de clubs seraient alors en grand danger dans les toutes prochaines semaines.

Guerre Ukraine : les divergences européennes compliquent la situation

Guerre Ukraine : les divergences européennes compliquent la situation


Près de deux mois après le lancement officiel par Donald Trump des négociations de paix entre Russes et Américains autour du sort de l’Ukraine, l’enchaînement de sommets et réunions à tous les niveaux entre les alliés occidentaux de Kiev ressemble de plus en plus à un long couloir sans fin. La cause majeure de cette paralysie est connue : l’absence totale de visibilité sur les discussions entre Moscou et Washington dont ils demeurent exclus.

Par Elise Vincent dans le Monde

Des discussions elles-mêmes plus vastes qu’il n’y paraît, puisque, pour la Russie, il s’agit de revoir l’ensemble de l’architecture de sécurité du continent européen. De nombreux autres facteurs de blocage, du côté des alliés, existent cependant, au risque de placer l’ensemble des soutiens de Kiev dans un périlleux exercice de « diplomatie-fiction », comme s’en désole en coulisse un nombre croissant de sources militaires et diplomatiques.

Les divergences sur le dossier de l’envoi de troupes en Ukraine après un cessez-le-feu en sont l’une des illustrations. Malgré le souci de Paris et de Londres d’unir leurs forces pour être en mesure d’y parvenir, leurs états-majors ne sont pas totalement alignés sur les moyens nécessaires. Les Français sont plus favorables à une option terrestre. La présence de troupes en Roumanie depuis 2022 (autour de 1 000 soldats) et la structuration, depuis, de tout un circuit de soutien logistique depuis l’Hexagone rendraient cette option plus facile.

Les Britanniques, de leur côté, préféreraient un scénario moins frontal, mêlant moyens aériens et navals, alors que leur armée de terre dispose d’effectifs très limités. A Londres comme dans d’autres capitales, un envoi de troupes conventionnelles au sol – hors forces spéciales – est aussi jugé périlleux politiquement.

Guerre Ukraine : des réunions à Paris très floues

Guerre Ukraine : des réunions à Paris très floues

Le gouvernement français se félicite de la série de réunions qui s’est déroulé à Paris entre Américains, ukrainiens et européens. Des réunions qui serviraient la cause d’une paix durable. Rien de très précis n’est cependant sorti sur le contenu et le calendrier d’un éventuel cessez-le-feu et encore moins sur un accord de paix.

Paris cependant salue un «excellent échange» qui a «permis de converger» en faveur d’une «paix solide»

La France a salué un «excellent échange» sur l’Ukraine jeudi à Paris dans un format «inédit» entre Américains, Ukrainiens, Français, Britanniques et Allemands, qui a «permis de converger» sur l’objectif d’une «paix solide» entre Kiev et Moscou.

«Nous avons déclenché aujourd’hui à Paris un processus qui est positif et auquel les Européens sont associés», s’est félicitée la présidence française à l’issue d’une série de réunions notamment autour d’Emmanuel Macron, du secrétaire d’État américain Marco Rubio et de Steve Witkoff, l’envoyé spécial de Donald Trump. Une nouvelle réunion des émissaires de ces cinq pays est prévue la semaine prochaine à Londres, alors que les Européens craignent depuis des semaines d’être mis à l’écart des négociations entre les États-Unis et la Russie.

Fiscalité stable: les Français n’y croient pas

Fiscalité stable: les Français n’y croient pas

Sans surprise les trois quarts des Français sont en faveur de la promesse de Bayrou de ne pas augmenter les impôts. Le problème, c’est qu’ils sont 80 % à douter de cette promesse

80 % de Français doutent de la capacité de Bayrou à réduire les dépenses de 40 milliards en 2026, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro.

Une large majorité d’entre eux (69%) ne croient pas aux principaux engagements énoncés par le chef du gouvernement lors de sa conférence de presse. Dans le détail, 83% des Français pensent que l’exécutif ne parviendra pas à ramener le déficit public sous la barre des 3% du PIB en 2029, alors que celui-ci a frôlé les 6% l’an dernier. Pas plus qu’ils ne croient (82%) aux 40 milliards d’euros de nouvelles économies à «trouver» .

Démographie: Société : Musk veut repeupler la planète lui-même !

Démographie: Société : Musk veut repeupler la planète lui-même !

On sait qu’Elon Musk fait un usage habituel de cocaïne qui sans doute influence sans projet fou de repeupler lui-même la planète voirr même mars. Ainsi l’homme le plus riche du monde et père de 14 enfants avec plusieurs femmes. Son obsession est la natalité. Il craint le dépeuplement de la planète et dans une vision eugéniste veut sélectionner la nouvelle race humaine. À cette fin il sélectionne aussi les mères de ces enfants pour leur qualité intellectuelle. Ce projet ajouté au salut nazi rappelle la période noire Italie hitlérienne en même temps que la folie même des plus riches et les plus intelligents

Selon Ashley Saint-Clair, une influenceuse de droite qui entend prouver qu’Elon Musk est le père de son nouveau-né, le patron de SpaceX use notamment de sa richesse pour acheter le silence de certaines femmes qui ont porté ses enfants. Car si certaines des mères sont connues (la chanteuse Grimes, l’employée de Neuralink Shivon Zilis…), d’autres sont condamnées par l’entrepreneur à rester dans l’ombre.

Elon Musk a par exemple offert quinze millions de dollars et cent mille dollars par mois à Ashley Saint-Clair pour qu’elle garde le silence sur l’enfant, prénommé Romulus. Un nom évocateur, à dessein : le multimilliardaire n’hésite pas à qualifier sa progéniture de « légion », en référence aux unités militaires qui ont participé à l’extension de l’Empire romain.

Pour le chef d’entreprise, la civilisation est menacée par le déclin démographique. Et il entend bien corriger ce tournant en contribuant à l’éclosion de davantage d’êtres humains dotés d’une intelligence supérieure, « pour atteindre le niveau légionnaire avant l’Apocalypse ». Vaste programme. Les mères porteuses sont, à ce titre, d’une grande aide.

Immobilier : Risque d’un nouveau ralentissement

Immobilier : Risque d’un nouveau ralentissement


Alors que les lobbys du secteur ne cesse de souligner la reprise, l’Observatoire du Crédit Logement/CSA, souligne des signes de ralentissement du marché et s’attend à une légère remontée des taux moyens en avril, mai et juin. En cause l’attentisme et le manque de sa solvabilité notamment des primo accédant; Sans parler de la folie des prix dans les grandes villes

La décision de la Banque centrale européenne de baisser, pour la sixième fois consécutive, ses taux directeurs de 25 points de base, avec un taux de refinancement ramené à 2,5 %, devrait offrir un répit sur un marché du crédit immobilier encore balbutiant. D’autant que le discours de la banque centrale est plutôt accommodant, laissant entrevoir de nouvelles baisses. Cette décision intervient à un moment où les taux de crédit immobilier affichent un léger mouvement haussier, après une baisse presque continue d’un an, et ce, avant le printemps, une période généralement propice aux achats immobiliers.

Car si les taux courts sont orientés à la baisse, ce n’est pas le cas des taux longs, notamment celui de l’obligation d’État (OAT) à dix ans, qui sert en partie de référence pour les banques dans le calcul de leurs barèmes.

Le contexte de grande incertitude générée par la politique tarifaire des États-Unis, mais aussi l’instabilité budgétaire et politique en France ou la brusque hausse du taux souverain allemand à l’annonce d’un plan d’investissement dans la défense en Allemagne sont autant d’éléments qui mettent les emprunts d’État sous pression.

Politique : la propagande en gros sabots de la Russie

Politique : la propagande en gros sabots de la Russie


La Russie a décidé depuis longtemps de faire de la France sa cible privilégiée pour développer sa propagande. Avec des mensonges éhontés, de grossières fausses nouvelles et des attaques personnelles de personnalités, la Russie espère peser ainsi sur l’opinion publique française. Le problème est que cette propagande mord très peu sur les Français. Il s’agit en effet d’une propagande type 1950, typique du parti politique russe ou en gros on l’habitude de dire le contraire de la vérité. En Russie ce principe marche car le pays a malheureusement toujours ignoré la démocratie et les russes sont complètement à la fois exploités économiquement et sous-informés politiquement. Sans parler évidemment de l’oppression du FSB et autre polices voire des emprisonnements et des meurtres.

Poutine est évidemment ridicule de s’attaquer à un pays aussi développé que la France en matière de démocratie. Il agit en fait comme un tsar vis à vis d’ un pays où pourtant il y a longtemps que la monarchie a disparu. La vérité, c’est que la Russie n’apprécie pas le positionnement français vis-à-vis de l’Ukraine et son influence au sein de l’union européenne. La vérité c’est que la Russie s’apprête à développer de grandes offensives en Ukraine voire ailleurs et que la France -avec ses alliés- met en place les synergies pour organiser la défense de l’Europe.

DFRLAb et CheckFirst, organisations spécialistes dans les manipulations en ligne, décrivent dans des rapports parus jeudi et vendredi comment la galaxie «Pravda» mène une campagne d’influence numérique pour déstabiliser le soutien français à l’Ukraine.

Exemple : un sondage disant que les Français préféreraient Vladimir Poutine à Emmanuel Macron, articles évoquant des «humiliations» du président français, mais aussi des centaines de contenus sur des sujets clivants (violences sexuelles, migrations…) : le réseau de sites «Pravda», identifié par les chercheurs et les autorités comme relais de propagande prorusse, inonde internet de sujets concernant la France.

Pour les chercheurs, il n’est guère étonnant que la France soit particulièrement visée, comme le soulignait récemment le premier ministre François Bayrou, selon lequel la France est, après l’Ukraine, «le pays le plus visé en Europe par les tentatives de manipulation venant de l’étranger». DFRLab et CheckFirst relèvent d’ailleurs des «pics» de publications visant la France à certains moments-clés comme les déclarations d’Emmanuel Macron évoquant des troupes au sol en Ukraine (février 2024) ou bien le discours de Volodymyr Zelensky à l’Assemblée nationale (juin 2024).

«Polariser le débat public»
Mais les sujets portés par les sites «Pravda» -qui se présentent comme des «sites d’information»- ne sont pas nécessairement liés à l’Ukraine ou à la politique. «Pour la France, on a dernièrement eu énormément d’articles publiés après le procès de Mazan», illustre Valentin Châtelet, chercheur associé au DFRLab et co-auteur de l’étude, à l’AFP. Pravda avait été identifié en 2024 par Viginum, le service officiel qui traque les ingérences numériques étrangères, indiquant que ces «narratifs manifestement inexacts ou trompeurs (…) participent directement à polariser le débat public numérique francophone».

Autre illustration, l’organisation Newsguard a relevé une amplification notable de contenus visant la France et rattachés à une campagne de désinformation attribuée à la Russie -baptisée «Storm-1516»- déjà active aux Etats-Unis. L’organisation de lutte contre la désinformation a identifié cinq infox, apparues dans 38.877 publications sur notamment X, Facebook, Instagram ou Reddit, générant 55,8 millions de vues entre décembre 2024 et mars 2025. Parmi elles, une vidéo selon laquelle une banque privée française aurait été achetée par le président ukrainien, sur laquelle le service d’investigation numérique de l’AFP a enquêté, ou encore une vidéo générée par IA accusant Brigitte Macron d’agression sexuelle.

Ukraine : l’hypocrisie des États-Unis


Il est de plus en plus clair que les États-Unis ont décidé de laisser Poutine gagner la guerre en Ukraine. Pour preuve notamment le refus de vendre des systèmes de défense à l’Ukraine même contre paiement.

Le pire, c’est l’hypocrisie de la bande qui entoure Trump et qui maintenant s’impatiente de l’immobilisme des négociations dont ils sont en grande partie responsable. Les États-Unis estiment qu’il faut passer à autre chose. En clair laisser les Européens maintenant se dépatouiller avec le dossier pourri de l’Ukraine dont par parenthèse le président américain et son équipe d’amateurs ont complètement sous-estimé les complexités dont les roueries de Poutine. Sans parler évidemment des complicités de Trump lui-même avec Poutine.

En outre pour faire avaler la pilule de leur hypocrisie les États-Unis ne cessent de souffler le chaud et le froid sur le conflit ukrainien. Ainsi
le vice-président américain JD Vance s’est dit vendredi à Rome «optimiste» sur les négociations en cours visant à mettre fin au conflit en Ukraine, au cours d’une rencontre avec la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni.

«Je veux informer la première ministre sur les négociations entre la Russie, l’Ukraine et aussi sur certaines choses intervenues au cours des dernières 24 heures», a-t-il déclaré avant de s’entretenir avec Girgia Meloni au Palais Chigi, sa résidence officielle.

«Je crois que nous avons des choses intéressantes à rapporter sur certaines négociations, en privé bien sûr», a-t-il ajouté. «Je ne veux préjuger de rien mais nous sommes vraiment optimistes sur la possibilité de mettre fin à cette guerre très brutale», a conclu JD Vance, sans donner d’autres précisions.

«Nous devons déterminer dans les prochains jours» si la paix est «faisable», affirme Rubio de son coté !

Économie, politique, société : Les, plus, lus, 18 avril 2025

Économie, politique, société : Les, plus, lus, 18 avril 2025

États-Unis : la Californie conteste juridiquement la politique douanière de Trump
Endettement et économie : les Français ne travaillent pas assez
Turquie: Une dictature fréquentable au plan international !
Ukraine : les divergences européennes compliquent la situation
Guerre droits de douane : baisse du dollar
Nouvel abaissement des taux d’intérêt par la BCE
Foot et DAZN – Risque de crise financière grave dans le foot professionnel
Musk veut repeupler la planète lui-même !
Recul prévisible du commerce international d’après l’OMC
Foot ligue des champions: le Real battu par Arsenal

Trump et le goupillon
Finances publiques : le pays ne produit pas assez mais surtout ne travaille pas assez
Ukraine : Trump objectivement complice de Poutine
Foot–ligue des champions : le PSG de justesse face à Aston Villa
Soudan: la guerre oubliée
Taxes douane: Hong Kong arrête l’envoi de colis vers les États-Unis
OMS : un plan contre les futures pandémies
La Chine refuse les avions Boeing
Neuf prisons pris pour cible par les organisations mafieuses !
Algérie: la France réplique mollement

Santé : la résilience des cellules menacée par la pollution
Trump piégé par la Chine ?
Politique-Expulsion de 12 membres l’ambassade de France en Algérie
Guerre Ukraine : Trump complice de Poutine
Social-SNCF : Encore une grève des syndicats gauchistes le 8 mai
Foot- Risque de crise financière grave dans le foot professionnel
Marchés et bourses: Le yo-yo pendant des mois
Politique: Pour qui roule Trump ?
Carburants : les prix chutent en France
Bouleversement climatique en 2024 et manque de soleil en France

Finances et bourses: Le yo-yo pendant des mois
Social-SNCF : Encore une grève des syndicats gauchistes le 8 mai
Guerre Ukraine : pas d’avancée de Trump
Croissance France : révision à la baisse
Gabon : le putschiste élu président pour 7 ans
Semi-conducteurs, smartphones, ordinateurs: des droits de douane « dans un mois ou deux » ?
L’impôt supplémentaire sur hauts revenus pérennisé
Budget 2026 : Économies supplémentaires de 40 milliards d’euros ( Éric Lombard)
L’industrie automobile européenne à la dérive
L’Ukraine : pendant les fausses négociations les massacres continuent

Economie-Croissance France : révision à la baisse
Trump: Responsable du désordre économique mondial
Droits de douane et Bourses : Trump accusé de manipulation
Social-Conclave retraites : les discussions continuent
Ukraine : pas d’avancée de Trump
Les marchés financiers font reculer Trump
Marchés financiers et bourses: Le yo-yo pendant des mois
SNCF : Encore une grève des syndicats gauchistes le 8 mai
État de droit : très faible participation aux manifestations gauchisantes
Guerre commerciale : Le danger de l’instabilité de Trump

Marchés financiers et bourses: Le yo-yo pendant des mois
Croissance Allemagne : Prévisions encore en baisse
Droits de douane : des conséquences dramatiques pour les pays en développement
Les marchés financiers font plier Trump
La Chine porte à 125% les droits de douane sur les importations américaines
Croissance Chine : ralentissement
Moody’s: La France conserve sa note
Le dollar toujours en baisse
Guerre en Ukraine : pas d’avancée de Trump
Énergie : l’Académie des sciences contre la nouvelle programmation (PPE)

Diabète et additifs alimentaires
Allemagne : Prévisions de croissance encore en baisse
Afrique- Guerre en RDC et Union Européenne
Effet boomerang pour les patrons de la tech qui ont soutenu Trump
Droits de douane supprimés contre l’achat de 350 milliards de dollars d’hydrocarbures
Conclave retraites : les discussions continuent
Droits de douane : l’union européenne heureuse de suspendre aussi sa réplique
OR: Signe de crise, nouveau record à 3170 dollars
Foot- Ligue Europa : L’OL encore en course
Bourses : Trump accusé de manipulation

« Ils me lèchent le cul »: La vulgarité témoigne de la fébrilité de Trump
Sondage– taxes Trump, 84 % des Français inquiets
Bayrou : l’immobilisme pour durer ?
« Face à Trump ? Agir plutôt que subir ! «
Trump: Responsable du désordre économique mondial
L’eau Perrier menacée
Inflation prix alimentaire : 1,4 % en moyenne en 2025
Foot–ligue des champions : succès aller du PSG sur Aston Villa
Croissance France : révision à la baisse
Droits de douane: Trump suspend sauf pour la Chine

Trump: une vision impériale et autoritaire
Droits de douane. « Taxer les produits américains stratégiques »
Après la guerre douanière, la guerre monétaire
Représentativité syndicale : la CFDT reste la première organisation
Droits de douane:La Chine gagnante
Foot- Le real écrasé par Arsenal
Vers la fin rapide de Bayrou ?
Taxes-États-Unis–Chine des droits jusqu’à 104 %
Finances et bourses: Le yo-yo pendant des mois
Prix du pétrole : tendances à la baisse

Taxes Trump: La Chine gagnante ?
Bourses: Le yo-yo pendant des mois
Délires de Trump: une chance pour l’Europe ?
« Les « tariffs » vaudous de Trump » (Michel Santi)
Taxes Trump: Baisse de croissance et inflation pour JP Morgan
Les taxes Trump sont mauvaises pour l’économie française
États-Unis–Chine des droits de douane jusqu’à 104 %
Finances: Le Bitcoin aussi dans la tourmente
Trump refuse les propositions de l’Union économique européenne
Bourses: Tokyo, le yo-yo avec un rebond mardi

Droits de douane de Trump : vers un nouvel échec
Équilibre commercial : Trump oublie les services
La fusion de « Renaissance » et du MoDem
Bourses: nouvelle chutes
Droits douaniers américains. Ils vont assommer l’économie mondiale
Bourses et finances: Vers un krach ?
Des manifestations concurrentes dimanche à la participation très moyenne
Élections législatives: Marie-Christine Dalloz (LR) élue dans le Jura
Gaza: Macron en Égypte pour relancer le cessez-le-feu
Effet Trump : la baisse se poursuit sur les marchés financiers

Des manifestations concurrentes dimanche à la participation indécise
Finances: Vers un krach boursier ?
Politique-Trump: Les fantasmes d’un fou
Droits de douane américains :ils vont assommer économie mondiale
Politique- Trump : vers la crise économique et la guerre
Coût des Droits de douane américains : 0,5% de PIB » à la France ?
Football–PSG : champion en …. France
Sondage Présidentielle : RN nettement en tête
Wokisme : la Belgique propose des cartes d’identité… sans mention de sexe
États-Unis : premières manifestations contre Trump et Musk

Politique- Trump : vers la crise économique et la guerre
Environnement–Exploitation minière : Trump veut exploiter 50 % des fonds marins internationaux
Société- L’internationale réactionnaire en guerre culturelle mondiale
Les droits de douane de Trump qui vont assommer économie mondiale
Politique énergétique : un débat au Parlement mais après la décision du gouvernement
La perspective d’une crise de régime aux USA
Politique-Les États-Unis proposent d’annexer l’économie de l’Ukraine !
Politique-Trump: Les fantasmes d’un déséquilibré
Vers un krach boursier ?
Bourses : deuxième jour noir Wall Street

États-Unis : premier échec électoral pour Trump
Vers un choc boursier ?
Pour l’Allemagne, l’Europe doit mettre fin à sa dépendance vis-à-vis des Etats-Unis
Trump: Les fantasmes d’un déséquilibré
États-Unis : des sénateurs tentent de s’opposer aux taxes douanières de Trump
Après des calculs de coins de table, Trump la guerre économique mondiale
Les États-Unis proposent d’annexer l’économie de l’Ukraine !
Cadres : recrutement en baisse
Deux manifestations concurrentes dimanche à la participation indécise
Marchés financiers: fortes baisses

L’hypothèse d’une crise de régime aux USA
Drogue- Mohamed Amra porte plainte contre l’administration pénitentiaire !
Guerre commerciale US: Trump pourrait bien encore changer
Quelle stratégie de coopération économique en Europe
Musk va quitter ses fonctions au gouvernement US
Foot–coupe de France: Reims face au PSG en finale
Politique énergétique : un débat au Parlement mais après la décision du gouvernement
Trump taxe de 20% sur les importations européennes
Taxes douanières de Trump: tout est bon pour les justifier
Trump décide de droits de douane qui vont assommer économie mondiale

L’hubris de Musk qui menace la démocratie
La justice aussi dans la tourmente
L’internationale réactionnaire en guerre culturelle mondiale
Intelligence artificielle : pour des synergies européennes à la hauteur de l’enjeu
République démocratique du Congo (RDC): Rencontre avec les rebelles du M23
États-Unis : Industrie manufacturière en recul
Automobile émissions de CO2 : recul de la commission européenne
Exploitation minière : Trump veut exploiter 50 % des fonds marins internationaux
Le Pen: Décision en appel en été 2026
Foot–Coupe de France : le PSG gagne péniblement face à Dunkerque

À qui profite la rhétorique du gouvernement des juges ?
La question des déserts médicaux
Renault et Nissan réduisent encore leur coopération
Trump : vers la crise économique et la guerre
Politique-Ukraine et la tentation munichoise
Et le financement de la campagne électorale de Macron en 2017 ?
Sondage politique : Bayrou encore en baisse
Retraites : système toujours déficitaire même avec un report à 66 ans
De drôles de champions de la démocratie qui soutiennent Le Pen
Condamnation Le Pen-RN : pas un handicap pour 60 % des Français

Trump ou l’économie « has been »
Ukraine et la tentation munichoise
Furieux ou comédien, Trump et des nouvelles taxes sur la Russie
Rattacher les États-Unis à la Belgique ?
Economie-Inflation :0,8 % sur un an en mars
Société-Narcotrafic : un chiffre d’affaires de plus de 3 milliards
Politique-Turquie : de l’autocratie vers la guerre civile
Politique-Trump et sa bande de tarés : vers la crise économique et la guerre

Economie : les Français ne travaillent pas assez

Economie : les Français ne travaillent pas assez


Le Premier ministre tourne autour du pot en considérant que le pays ne produit pas assez. Et il impute cette insuffisance à la faiblesse du taux d’emploi ( rapport actifs sur population). Une donnée indiscutable mais qui devrait être complétée par une autre à savoir que c’est tout le pays qui ne travaille pas assez tout au long de sa vie, dès le départ professionnel ( 35 % seulement des jeunes travaillent; en France pour 50 % en Allemagne), même rapport défavorable pour la retraite et la productivité . Sans parler de la valeur travail qui s’étiole d’année en année sous la pression de l’opinion et d’organisations gauchistes comme certains syndicats trop satisfaits ainsi de fabriquer des Français mécontents et des « révolutionnaires potentiels » !

Quant au discours sur la réduction des dépenses publiques, c’est toujours le même refrain avec la promesse d’être plus rigoureux mais une incapacité totale à dégraisser le mammouth technocratique, administratif et politique. Chacun y va de sa solution réductrice pour réduire les dépenses ici ou là. La vérité c’est qu’il faut les réduire absolument partout même dans les secteurs tendus car il y a d’autres manières d’assurer les tâches régaliennes avec qualité et rigueur. La vérité encore c’est que personne ne contrôle plus les dépenses en France ce sont des superstructures qui décident des investissements et de la dérive des frais de fonctionnement. Cela vaut pour l’État jusqu’aux plus petites communes.

Bourses: Toujours le yo-yo sur tendance baissière

Bourses: Toujours le yo-yo sur tendance baissière

Un jour à la hausse, le lendemain la baisse cependant sur une tendance globale baissière. C’est le résultat des incertitudes qui planent sur l’économie suite aux ahurissants droits de douane de Trump qui en outre change de stratégie presque chaque jour.

Les marchés boursiers européens ont ainsi majoritairement terminé en recul ce jeudi, freinés par l’incertitude provoquée par les tensions commerciales mondiales. Et ce, malgré une nouvelle baisse des taux annoncée par la Banque centrale européenne. Paris a cédé 0,60 %, Milan 0,24 % et Francfort 0,49 %. Londres a terminé à l’équilibre (+0,00 %).

Crise : partager les risques

Crise : partager les risques

Nous vivons dans un « temps de la polycrise », un monde où les menaces s’entrelacent et les catastrophes deviennent systémiques. Dans ce contexte, l’individualisme n’est plus une option : il est essentiel de repenser notre organisation collective pour affronter ces défis. La mutualisation, un principe souvent moral, apparaît désormais comme une nécessité pragmatique face aux dérives du capitalisme. Par Jean-Philippe Dogneton, Directeur général de la Macif
Jean-Philippe Dogneton dans la Tribune.

Comment réagir en cas d’événement climatique grave, de cyberattaque ou d’épidémie ? Le gouvernement prépare actuellement un livret à destination de la population sur les pratiques à adopter pour réagir en cas de crise. Nous sommes entrés dans ce qu’Edgar Morin appelle le « temps de la polycrise », un monde où chaque menace en alimente une autre, où les catastrophes ne sont plus isolées mais systémiques. Dans cette nouvelle réalité, l’individualisme et le chacun-pour-soi ne sont plus des options viables. L’heure n’est plus au simple repli, mais à une refondation collective de nos mécanismes de protection. Or, face à ces défis, une idée souvent pensée comme morale et solidaire refait surface : la mutualisation. Non pas comme une valeur, mais comme une nécessité citoyenne et pragmatique face à l’extension des dérives du capitalisme. Parce que le chaos ne se combat pas seul, et que nous devons redécouvrir ce qui a fait la force des sociétés les plus résilientes : la mise en commun des ressources, le partage des risques et la construction de filets de sécurité collectifs capables d’amortir les chocs.

Historiquement, la mutualisation est née d’une évidence : dans un monde d’incertitudes, mieux vaut s’allier pour affronter les coups du sort plutôt que de les subir seul. C’est sur ce principe qu’ont été bâties les premières sociétés de secours mutuels, les systèmes d’assurance collective, la Sécurité sociale, ou encore les grandes infrastructures publiques qui garantissent aujourd’hui notre quotidien. Son essence ? Répartir équitablement les risques, non pas sur un mode caritatif, mais sur une logique de solidarité active : aujourd’hui pour toi, demain pour moi. Elle fonctionne parce que l’aléa frappe indistinctement et à des moments différents. Ce qui semble abstrait lorsqu’on est en bonne santé ou à l’abri des tempêtes devient une évidence lorsque l’accident survient.

Ce modèle, qui a permis à nos sociétés de traverser les siècles, est aujourd’hui vigoureusement testé par des crises inédites par leur ampleur et leur simultanéité. Le dérèglement climatique en est l’illustration la plus flagrante. Les phénomènes extrêmes se multiplient et s’intensifient : sécheresses, inondations, incendies, tempêtes… Dans ce contexte, la mutualisation prend tout son sens. La France a déjà mis en place un système d’indemnisation spécifique pour les catastrophes naturelles, mais demain, c’est toute l’organisation de la solidarité hydrique qui devra être repensée à l’échelle du territoire.

La mutualisation dépasse largement le cadre de l’assurance et se révèle être une clé pour réinventer nos modèles de société. Dans le domaine du logement, la crise immobilière et l’étalement urbain imposent de repenser notre manière d’habiter. Plutôt que de céder à la fragmentation et à l’individualisme, il devient essentiel de favoriser des espaces partagés, où la mise en commun des équipements et des services améliorent à la fois la qualité de vie et l’empreinte écologique. De la même manière, la question de la mobilité doit s’adapter aux nouvelles contraintes environnementales et énergétiques. Développer des transports collectifs, encourager le covoiturage ou la mutualisation des véhicules permettrait d’optimiser les infrastructures existantes et de réduire notre dépendance aux énergies fossiles. Enfin, face au vieillissement de la population, la solidarité intergénérationnelle doit être renforcée : en développant des habitats partagés, en favorisant la transmission des savoirs entre générations ou en adaptant notre système de soins pour répondre aux défis démographiques. La mutualisation s’impose ainsi comme un levier incontournable, non seulement pour répondre aux crises actuelles, mais surtout pour bâtir une société plus durable, plus équilibrée et plus résiliente.

Si la mutualisation est une réponse efficace aux polycrises, encore faut-il la préserver de toute dérive marchande. Elle est un pacte de solidarité, pas un produit à vendre au plus offrant. Le risque serait de voir ce principe dévoyé par des logiques financières qui en feraient un privilège réservé à ceux qui en ont les moyens, transformant la protection collective en un marché à plusieurs vitesses. Nous devons défendre une mutualisation qui reste fidèle à ses fondements : une organisation collective au service du bien commun, capable d’allier équité et efficacité, de garantir un filet de sécurité sans pour autant brider l’innovation ou la responsabilité individuelle.

Certains y verront une valeur morale, une forme d’altruisme. Mais la mutualisation n’est pas une affaire de charité. C’est un calcul pragmatique. Une assurance face à l’avenir. Un bouclier qui protège non seulement la société, mais aussi chaque individu qui la compose. Chacun y trouve son compte, non par bonté d’âme, mais parce qu’il est plus avantageux de partager les risques que de les affronter seul. Le mutualisme réconcilie ainsi morale et performance. Il nous rappelle que la coopération est souvent plus efficace que la compétition aveugle. Que dans un monde où les crises s’enchaînent et se renforcent mutuellement, la seule réponse viable est collective et systémique. Il est temps de le comprendre et d’en faire un levier de transformation. Car si nous n’organisons pas nous-mêmes notre résilience, nous en paierons le prix fort.

______

(*) Jean-Philippe Dogneton est Directeur général de la Macif et Directeur général délégué IARD et Vie d’Aéma Groupe. Il a contribué au cahier de tendances Pour de futures mutualisations, publié en 2025 aux éditions Le Bord de l’eau, à l’initiative de la Macif et en collaboration avec la Fondation Jean-Jaurès.

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