Archive pour le Tag '20%'

Allocations familiales : « 20 % de fraude en plus »

Allocations familiales : « 20 % de fraude en plus »

Il y aurait 20 % de fraudes en plus d’après d Nicolas Grivel, directeur de la caisse nationale des allocations familiales.( dans la Tribune)


Vous nous livrez en exclusivité votre bilan annuel de lutte contre la fraude. Quel est‑il ?

NICOLAS GRIVEL — Au total, nous avons effectué 30 millions de contrôles l’an dernier et enregistré près de 450 millions d’euros de fraudes détectées. Soit 20 % de plus par rapport à l’année précédente, qui était déjà record… Cela ne signifie pas que les allocataires fraudent plus qu’avant, mais que nous avons amélioré notre capacité de contrôle. Nous ciblons mieux la fraude, nous croisons les données avec les organismes des impôts, avec France Travail, les Urssaf, etc.

Vous avez une équipe attitrée d’enquêteurs…

Nous avons 700 contrôleurs très efficaces dans chacune des CAF. Nous avons également créé il y a trois ans un service spécifique de lutte nationale contre la fraude à enjeux avec 40 enquêteurs aux profils variés  : des banquiers, des gendarmes, des data scientists, des analystes, des douaniers, etc. Des juristes aussi, pour améliorer notre capacité à poursuivre les fraudeurs y compris pénalement.

Trump taxe de 20% sur les importations européennes

Trump taxe de 20% sur les importations européennes


Finalement Trump Va frapper les importations américaines de taxes variant de 10 à près de 50 %. Un véritable séisme qui risque de faire plonger la croissance mondiale et sans doute d’abord celle des États-Unis. La conséquence immédiate sera le plongeon des bourses mondiales mais surtout la montée en flèche d’une inflation aux États-Unis qui va plomber le pouvoir d’achat et l’activité. Pour l’union européenne le taux retenu pour l’instant est de 20 %.

Le pire c’est que Trump aux connaissances économiques assez approximatives reconnaît que la faiblesse de la balance commerciale américaine n’est pas dûe aux droits de douane mais à la délocalisation effectuée par les États-Unis eux-mêmes. Une délocalisation sans doute freinée par les droits de douane mais qui va continuer car le phénomène est structurel. Il faudra des années voir des dizaines d’années pour redresser la barre de l’industrie américaine.

L’union européenne sera durement touchée avec des taxes autour de 20%. Et Trump de critiquer tous les pays avec lequel les États-Unis commercent «On importe aujourd’hui tous nos ordinateurs, nos téléphones, nos puces. La Chine produit toujours plus de puces. Alors que c’était un secteur que l’on dominait complètement auparavant!»

«Nous avons perdu 90.000 usines durant le mandat», assure Donald Trump qui veut œuvrer pour le pouvoir d’achat du peuple américain. Mais qui va pourtant plomber ce pouvoir d’achat avec l’inflation.

Economie, politique, société: les plus lus 20 février 2025

La TVA sur l’eau en bouteille passe de 5,5 à 20 %

La TVA sur l’eau en bouteille passe de 5,5 à 20 %

 

Conséquence inattendue des interrogations sur la qualité des eaux, le Sénat a voté une augmentation de la TVA qui passerait ainsi de 5,5 % à 20 %. L’idée est aussi de favoriser un plus grand usage de l’eau du robinet.

Des millions de bouteilles en plastique pour une eau pas toujours très «naturelle»… Le Sénat a voté dans la nuit du mercredi 27 au jeudi 28 novembre une augmentation de la TVA sur l’eau en bouteille, une mesure censée inciter les consommateurs à privilégier l’eau du robinet sur fond de scandale sur les pratiques des industriels de l’eau minérale. La chambre haute a voté à main levée ce dispositif dans le projet de budget pour 2025, contre l’avis du gouvernement. Le ministre des Comptes publics Laurent Saint-Martin s’y est opposé, arguant que la TVA n’était «pas un outil fiscal incitatif».

 

Budget Sécu : 20 milliards d’euros de déficit ?

Budget Sécu :  20 milliards d’euros de déficit ?

Le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) avait pour objectif de réduire à 16 milliards d’euros de déficit, contre 18,5 milliards d’euros cette année, en faisant 12,3 milliards d’euros d’économies. En fait avec les différents amendements plus ou moins contradictoires on pourrait se diriger vers un déficit de 20 milliards d’après Frédéric Valletoux, député Horizons et président de la commission des Affaires sociales à l’Assemblée nationale.

 

Les es baisses de dépenses sont relativement stables à l’issue de la commission mixte paritaire (4,9 et 4,7 milliards) tandis que les recettes ont été fortement réduites (de 8,6 milliards d’euros à 5,8 milliards d’euros), selon le député. S’il y a bien un freinage du déficit, évalué à 28,4 milliards d’euros pour 2025 sans aucune mesure selon la Cour des comptes, force est de constater que le bilan est très mitigé.

« À l’arrivée, c’est un projet de budget peu flamboyant. Ce texte n’exprime aucune ambition politique forte, il n’y a aucune réforme de structure », résume Frédéric Valletoux.

La principale interrogation concerne la hausse du ticket modérateur, où la part non prise en charge par la Sécurité sociale des consultations médicales. Pour l’heure, le dernier texte du Projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) indique une baisse de 5% du remboursement des consultations, de même que pour les médicaments. Or, la mesure du ticket modérateur est appliquée par décret et, de fait, n’est pas dans la loi. Elle peut donc être changée à tout moment lorsque le gouvernement l’aura décidé, et les chiffres avancés sont pour l’instant purement indicatifs. Car initialement, le PLFSS prévoyait une baisse de 10% de la prise en charge des consultations médicales, vite modifié par la Ministre de la Santé, Geneviève Darrieussecq.

 

Automobiles Stellantis : Une baisse de production de 20 %

Automobiles Stellantis : Une baisse de production 20 %

 

Une baisse très significative de production prélude sans doute à des restructurations à venir chez Stellantis. Stellantis a annoncé, ce mercredi, une baisse de 20%, à près de 1,15 millions d’unités, de ses volumes de véhicules livrés au réseau et aux ventes de flottes d’entreprises au titre du troisième trimestre. Sur le marché américain, la baisse atteint 36%, à 299.000 unités. En Europe, les volumes ont également plongé de 17%, à 496.000 unités.

 

Le groupe dirigé par Carlos Tavares traverse aujourd’hui une passe difficile. Le constructeur a annoncé, le mois dernier, une sévère révision de son objectif de marge opérationnelle. Celle-ci est désormais estimée entre 5,5% et 7%. Cette annonce a surpris les investisseurs, alors que Carlos Tavares campait, jusqu’alors, sur une marge à deux chiffres. Dans la foulée de cette annonce, le groupe a chamboulé sa direction, poussant notamment vers la sortie Natalie Knight, sa directrice financière.

Politique- Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33 %

Politique- Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33 %

 Dans le baromètre mensuel réalisé par l’institut Ipsos pour  » la Tribune », , Barnier compte 46% d’avis défavorables parmi les Français sondés les 9 et 10 octobre. Cela fait 13 points de plus que son lot d’avis favorables, évalué à 33%. Macron , lui ,tombe à 20 %
 Le phénomène touche aussi bien François Ruffin que Marine Le Pen, Édouard Philippe ou Raphaël Glucksmann. La palme de la baisse revient à Gabriel Attal et Bernard Cazeneuve. Le premier est passé de 31 à 23% de satisfaits, le second de 19 à 11%.

 Quant à Emmanuel Macron, sa dégringolade ne fait que se poursuivre. Seuls 25% des Français interrogés le soutiennent. Un niveau proche de son plancher de 20%, atteint à l’époque des Gilets jaunes. Plus alarmant pour lui, c’est dans son propre camp que le soutien s’effrite : chez les sympathisants de Renaissance, du MoDem et d’Horizons, il perd 13 points. Pour eux, l’après-Macron a bel et bien commencé. « Globalement, les Français estiment que leurs représentants ont failli, sans pour autant préserver les divers opposants, développe Brice Teinturier. Ce qui se passe autour du budget sonne, dans l’opinion, comme un désaveu massif de la politique menée par Emmanuel Macron. C’est comme si on réalisait que dans son bilan, il y a un énorme trou, à savoir la dette, qu’on va devoir régler dans la douleur parce que ça n’a pas été traité avant. »

 

Le pessimisme général des citoyens a, en conséquence, fait un bond spectaculaire. D’abord, s’agissant des hausses d’impôts annoncées, 62% des Français sondés pressentent qu’elles ne toucheront pas uniquement les plus fortunés et les grandes entreprises, contrairement aux engagements pris par l’exécutif.

Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33

Sondage Popularité : les politiques s’écroulent Macron à 20 % et Barnier à 33 

 Dans le baromètre mensuel réalisé par l’institut Ipsos pour  » la Tribune », , Barnier compte 46% d’avis défavorables parmi les Français sondés les 9 et 10 octobre. Cela fait 13 points de plus que son lot d’avis favorables, évalué à 33%. Macron , lui ,tombe à 20 %
 Le phénomène touche aussi bien François Ruffin que Marine Le Pen, Édouard Philippe ou Raphaël Glucksmann. La palme de la baisse revient à Gabriel Attal et Bernard Cazeneuve. Le premier est passé de 31 à 23% de satisfaits, le second de 19 à 11%.

 Quant à Emmanuel Macron, sa dégringolade ne fait que se poursuivre. Seuls 25% des Français interrogés le soutiennent. Un niveau proche de son plancher de 20%, atteint à l’époque des Gilets jaunes. Plus alarmant pour lui, c’est dans son propre camp que le soutien s’effrite : chez les sympathisants de Renaissance, du MoDem et d’Horizons, il perd 13 points. Pour eux, l’après-Macron a bel et bien commencé. « Globalement, les Français estiment que leurs représentants ont failli, sans pour autant préserver les divers opposants, développe Brice Teinturier. Ce qui se passe autour du budget sonne, dans l’opinion, comme un désaveu massif de la politique menée par Emmanuel Macron. C’est comme si on réalisait que dans son bilan, il y a un énorme trou, à savoir la dette, qu’on va devoir régler dans la douleur parce que ça n’a pas été traité avant. »

 

Le pessimisme général des citoyens a, en conséquence, fait un bond spectaculaire. D’abord, s’agissant des hausses d’impôts annoncées, 62% des Français sondés pressentent qu’elles ne toucheront pas uniquement les plus fortunés et les grandes entreprises, contrairement aux engagements pris par l’exécutif.

Défaillance d’entreprises: Nette accélération de 20 %

Défaillance d’entreprises: Nette accélération de 20 %

Selon l’Observatoire économique du Conseil national des administrateurs et des mandataires judiciaires (CNAJMJ), le nombre de procédures collectives -sauvegarde, redressements ou liquidations – a déjà dépassé de 18% le chiffre de 2023. Mais il est surtout supérieur de 20% à ceux des deux années d’avant la pandémie considérées comme des « standards ». En cause une croissance atone ( dans le rouge en Allemagne et autour de 1 % en France. S’ajoutent à cela des bouleversements politiques dans les deux pays donc des incertitudes.

Dans le détail, la hausse est particulièrement préoccupante s’agissant des sauvegardes qui bondissent de plus de 56% en comparaison des mêmes semestres de 2018 et de 2019. Les redressements judiciaires accusent eux une hausse de 35%. Tous secteurs confondus, le CNAJMJ estime à près de 102.500 le nombre d’emplois menacés. Soit un niveau très légèrement en deça de celui de l’an dernier… mais supérieur d’un tiers à celui des années 2018 et 2019.

 

Certaines branches subissent des coupes claires. Citons en tête – et sans surprise – le secteur des activités immobilières plus que jamais dans la tourmente (+ 54% de défaillances au premier semestre).

Les défaillances progressent aussi fortement dans le domaine du transport et de l’entreposage (+ 33%). Dans le secteur manufacturier, les digues ont mieux tenu (+7%). Pour autant, les nuages qui s’amoncellent sur la sous-traitance automobile font redouter des plans sociaux de grande ampleur.

 

Economie, politique, société: les plus lus 20 août 2024

Economie, politique, société: les plus lus 20 août   2024

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Automobile :La voiture électrique s’écroule en Allemagne
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Déficit Échanges extérieurs : près de 20 milliards sur un an

Déficit  Échanges extérieurs : près de 20 milliards sur un an

La Banque de France a Annoncé un déficit de 19,4 milliards d’euros sur les douze derniers mois. Ce déficit des échanges extérieurs comprend la balance des biens mais aussi des services. Des services en excédent d’environ 40 milliards mais plombés par les 60 milliards de déficits d’échange de biens.  Un indicateur essentiel de la compétitivité du pays et de la situation financière qui s’ajoute au déficit chronique du budget public et de la dette qui en découle (autour de 3100 milliards aujourd’hui soient 110 % du PIB)

Environnement-Climat–20 % seulement PME ont l’intention de se décarboner

Environnement-Climat–20 % seulement PME ont l’intention de se décarboner

 Preuve encore que les mesures venues uniquement d’en haut  sont insuffisantes pour décarboner l’économie. Faute de concertation avec les secteurs économiques, la décarbonation avance au pas d’escargot. En 2023, une PME-PMI ont engagé des efforts pour se décarboner constate ce jeudi la deuxième édition du baromètre du fonds européen Argos Wityu et du cabinet de conseil BCG.

D’après ce sondage réalisé sur 700 petites et moyennes entreprises (PME) et entreprises de taille intermédiaire (ETI), 17% d’entre elles déclarent avoir « fortement investi financièrement », selon « un plan de décarbonation structuré », et ont mesuré leurs émissions en 2023. Au niveau européen : 57% des entreprises interrogées n’ont pas fortement investi dans leur transition écologique en 2023.

Autre statistique intéressante de l’étude : c’est dans le transport et la logistique que les entreprises européennes sont les plus nombreuses à investir pour verdir leur activité (58%), deux fois plus que dans les industries impliquant des fortes températures (29%). A noter aussi : si deux sociétés sur trois estiment que la transition climatique est une opportunité, les entreprises françaises sont en revanche moins optimistes qu’en 2022. Une tendance inverse à celle de l’Allemagne ou du Benelux.

 

Comme avantages économiques permis par la décarbonation, les PME-ETI citent les éléments suivants : l’efficacité énergétique et la réduction des coûts associés (58 %, +4 points par rapport à 2023), la possibilité de remporter des parts de marché (54 %, +3 points) et d’attirer de nouveaux talents (40%, +15 points).

Autour seulement de 10 %  des dirigeants interrogés avaient une approche structurée en matière de décarbonation.

L’étude avait aussi pointé le fait suivant : parmi les principaux freins évoqués par les PME et ETI pour se verdir, figuraient en premier lieu la montagne d’investissements et les difficultés à obtenir des fonds (57%). Viennent ensuite la complexité réglementaire (55%) pour mettre en place des panneaux photovoltaïques par exemple ou d’autres installations afin de réduire l’empreinte carbone de l’énergie utilisée pour fonctionner.

D’après un rapport de l’ONG Carbon Disclosure Project (CDP) et du cabinet de conseil Oliver Wyman, paru en mars, en Europe, quatre entreprises sur cinq n’arrivent pas à réduire leur empreinte carbone au rythme nécessaire pour atteindre les objectifs climatiques du continent.

 

Immobilier-Crise du logement : Chute de 20 % des permis de construire

 

Immobilier-Crise du logement : Chute de 20 % des permis de construire 

La situation catastrophique du secteur immobilier se confirme.  Entre mai 2023 et avril 2024, le nombre de permis de construire délivrés par les pouvoirs publics a chuté de près de 18% dans l’Hexagone, selon le ministère de la Transition écologique. 

En cause notamment des taux d’intérêt particulièrement élevés, mais aussi des coups de construction qui ne sont pas compatibles avec la solvabilité des candidats à l’accession. De plus en plus de couches moyennes sont écartés du projet d’achat d’un logement neuf ou ancien surtout après la hausse continue depuis une vingtaine d’années.

D’après les chiffres publiés jeudi par le ministère de la Transition écologique, le nombre de permis de construire délivrés par les pouvoirs publics continue de baisser dans l’Hexagone. Entre mai 2023 et avril 2024, 358.200 logements ont été autorisés à la construction, soit 17,7% de moins que lors des douze mois précédents.

Dans le détail, les maisons individuelles ont fait l’objet de 129.200 autorisations (-19,7%) entre mai 2023 et avril 2024, tandis que les logements collectifs en ont obtenu 229.000 (-16,6%). Au sein des logements collectifs, les résidences (étudiantes, seniors…) ont réussi à sensiblement limiter leur recul, qui s’établit à -11,1%.

Crise du logement : Chute de 20 % des permis de construire

 

Crise du logement : Chute de 20 % des permis de construire 

La situation catastrophique du secteur immobilier se confirme.  Entre mai 2023 et avril 2024, le nombre de permis de construire délivrés par les pouvoirs publics a chuté de près de 18% dans l’Hexagone, selon le ministère de la Transition écologique. 

En cause notamment des taux d’intérêt particulièrement élevés, mais aussi des coups de construction qui ne sont pas compatibles avec la solvabilité des candidats à l’accession. De plus en plus de couches moyennes sont écartés du projet d’achat d’un logement neuf ou ancien surtout après la hausse continue depuis une vingtaine d’années.

D’après les chiffres publiés jeudi par le ministère de la Transition écologique, le nombre de permis de construire délivrés par les pouvoirs publics continue de baisser dans l’Hexagone. Entre mai 2023 et avril 2024, 358.200 logements ont été autorisés à la construction, soit 17,7% de moins que lors des douze mois précédents.

Dans le détail, les maisons individuelles ont fait l’objet de 129.200 autorisations (-19,7%) entre mai 2023 et avril 2024, tandis que les logements collectifs en ont obtenu 229.000 (-16,6%). Au sein des logements collectifs, les résidences (étudiantes, seniors…) ont réussi à sensiblement limiter leur recul, qui s’établit à -11,1%.

Climat–20 % seulement PME ont l’intention de se décarboner

Climat–20 % seulement PME ont l’intention de se décarboner

 En 2023, une PME-PMI ont engagé des efforts pour se décarboner constate ce jeudi la deuxième édition du baromètre du fonds européen Argos Wityu et du cabinet de conseil BCG.

D’après ce sondage réalisé sur 700 petites et moyennes entreprises (PME) et entreprises de taille intermédiaire (ETI), 17% d’entre elles déclarent avoir « fortement investi financièrement », selon « un plan de décarbonation structuré », et ont mesuré leurs émissions en 2023. Au niveau européen : 57% des entreprises interrogées n’ont pas fortement investi dans leur transition écologique en 2023.

Autre statistique intéressante de l’étude : c’est dans le transport et la logistique que les entreprises européennes sont les plus nombreuses à investir pour verdir leur activité (58%), deux fois plus que dans les industries impliquant des fortes températures (29%). A noter aussi : si deux sociétés sur trois estiment que la transition climatique est une opportunité, les entreprises françaises sont en revanche moins optimistes qu’en 2022. Une tendance inverse à celle de l’Allemagne ou du Benelux.

 

Comme avantages économiques permis par la décarbonation, les PME-ETI citent les éléments suivants : l’efficacité énergétique et la réduction des coûts associés (58 %, +4 points par rapport à 2023), la possibilité de remporter des parts de marché (54 %, +3 points) et d’attirer de nouveaux talents (40%, +15 points).

Autour seulement de 10 %  des dirigeants interrogés avaient une approche structurée en matière de décarbonation.

L’étude avait aussi pointé le fait suivant : parmi les principaux freins évoqués par les PME et ETI pour se verdir, figuraient en premier lieu la montagne d’investissements et les difficultés à obtenir des fonds (57%). Viennent ensuite la complexité réglementaire (55%) pour mettre en place des panneaux photovoltaïques par exemple ou d’autres installations afin de réduire l’empreinte carbone de l’énergie utilisée pour fonctionner.

D’après un rapport de l’ONG Carbon Disclosure Project (CDP) et du cabinet de conseil Oliver Wyman, paru en mars, en Europe, quatre entreprises sur cinq n’arrivent pas à réduire leur empreinte carbone au rythme nécessaire pour atteindre les objectifs climatiques du continent.

 

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