Archive pour le Tag 'deuxième'

Contre la réforme des retraites : Deuxième jour des manifestations spontanées

Contre la réforme des retraites : Deuxième jour des manifestations spontanées

On a assisté hier au deuxième jour de manifestations spontanées dans de nombreuses villes en France afin de protester contre la réforme des retraites et en particulier l’utilisation par le pouvoir de l’article 49. Trois qui constituent un passage en force.

Le danger, c’est que le pays s’installe après cette crise politique dans une sorte de chienlit général affectant non seulement le domaine politique mais aussi social voire sociétal.

Jusque-là les syndicats ont réussi à manifester de façon très massive très organisée et très pacifique. Ils n’ont reçu en retour que le mépris pouvoir. Il se pourrait bien qu’à leur ce substitut à cette protestation démocratique des mouvements violents et anarchiques types gilet jaunes qui viendraient à leur très difficile à maîtriser.

À Paris, 4 000 personnes ont manifesté ce vendredi soir sur la place de la Concorde. Un incendie a été allumé sur la place dans la soirée. Les militants ont été dispersés par les forces de l’ordre, après de nombreux face-à-face et des jets de grenades lacrymogènes. À 23h30, 68 personnes avaient été interpellées.

À Lyon (Rhône), une « manifestation sauvage » s’est improvisée dans le centre-ville avec plusieurs centaines de personnes vendredi soir. La mairie du 4e arrondissement (Croix-Rousse) a été attaquée vers 22h45 : caillassages de vitres et porte fracturée. La préfecture confirme l’intrusion et le saccage des locaux. Quatre personnes ont été interpellées. France 3 Rhône-Alpes rapporte aussi des affrontements avec la police, des dégradations de mobiliers urbains et des feux de poubelles dans le centre-ville. La police a tiré des gaz lacrymogènes sur les manifestants autour de l’Hôtel de ville vers 20h30, selon France 3.

À Saint-Étienne (Loire), une centaine de manifestants s’est rassemblée spontanément vendredi soir. La police tentait de les disperser place de l’Hôtel de ville vers 20 heures, rapporte France Bleu Saint-Etienne Loire.

Entre 2 600 personnes, selon la préfecture, et 5 000 selon les syndicats, ont défilé à Rennes (Ille-et-Vilaine) vendredi dans la journée, indique France Bleu Armorique. Vers 23h, les manifestants étaient moins nombreux que les forces de l’ordre dans le centre-ville de Rennes. La soirée s’est déroulée dans le calme.

Montbéliard
Une petite centaine de manifestants a prolongé le rassemblement à Montbéliard (Doubs) vers 19h30, selon France Bleu Belfort Montbéliard.

Bordeaux
À Bordeaux (Gironde), après l’occupation de la gare vendredi midi, plusieurs centaines de manifestants ont défilé dans les rues de la ville pendant la soirée, rapporte France 3 Nouvelle-Aquitaine. Ils étaient 500 selon la police et 1 500 selon les syndicats. Aux alentours de 19h30, une partie du cortège s’est détachée pour une manifestation sauvage, en remontant vers Tauzia, le long des rails du tramway.

Lille
Plusieurs centaines de manifestants se sont mobilisés vendredi soir place de la République à Lille, selon France Bleu Nord. Vers 20 heures, 1 500 opposants à la réforme des retraites se sont rassemblés dans le quartier Porte des Postes, pour protester contre le 49.3. Certains manifestants ont crié des slogans hostiles à la police, selon France 3 Hauts-de-France.

Marseille
À Marseille, 200 personnes se sont rassemblées devant la préfecture, selon la préfecture de police, vendredi en début de soirée. Quelques poubelles ont été renversées et les forces de l’ordre ont reçu des projectiles, avant de disperser les manifestants vers 20 heures.

Dante de nombreuses villes on a constaté des protestations y compris dans des très petites villes.

Revenu: un recul plus important en France qu’ailleurs au deuxième trimestre

Revenu: un recul plus important en France qu’ailleurs au deuxième trimestre

D’une certaine manière, l’OCDE confirme le recul du pouvoir d’achat en France. Un constat facilement compréhensible puisque l’inflation sera de l’ordre de 6 % et que l’augmentation des salaires va tourner autour de 3 %. Soit une perte de 3 % sur l’année.

Le revenu réel (c’est-à-dire en tenant compte de l’inflation) des ménages français, par personne, a reculé au deuxième trimestre, selon l’OCDE. L’organisation internationale chiffre cette baisse à 1,2 % par rapport au trimestre précédent. Soit une perte plus de deux fois plus importante que la moyenne des 38 pays de l’OCDE (sauf le Japon dont les données ne sont pas encore ¬disponibles). En Allemagne, le revenu réel a augmenté de 0,4 %.

Dans l’Hexagone, il avait déjà reculé, de 1,6 %, au premier trimestre, mais sur les trois derniers mois de 2021, il était en progression de 1,2 %. L’ensemble des pays de l’OCDE, en moyenne, a en¬registré son troisième recul trimestriel consécutif.

Recul du revenu plus important en France qu’ailleurs au deuxième trimestre

Recul du revenu plus important en France qu’ailleurs au deuxième trimestre

D’une certaine manière, l’OCDE confirme le recul du pouvoir d’achat en France. Un constat facilement compréhensible puisque l’inflation sera de l’ordre de 6 % et que l’augmentation des salaires va tourner autour de 3 %. Soit une perte de 3 % sur l’année.

Le revenu réel (c’est-à-dire en tenant compte de l’inflation) des ménages français, par personne, a reculé au deuxième trimestre, selon l’OCDE. L’organisation internationale chiffre cette baisse à 1,2 % par rapport au trimestre précédent. Soit une perte plus de deux fois plus importante que la moyenne des 38 pays de l’OCDE (sauf le Japon dont les données ne sont pas encore ¬disponibles). En Allemagne, le revenu réel a augmenté de 0,4 %.

Dans l’Hexagone, il avait déjà reculé, de 1,6 %, au premier trimestre, mais sur les trois derniers mois de 2021, il était en progression de 1,2 %. L’ensemble des pays de l’OCDE, en moyenne, a en¬registré son troisième recul trimestriel consécutif.

Politique-Le deuxième quinquennat de Macron déjà fini ?

Politique-Le deuxième quinquennat de Macron déjà fini ?

 

Plusieurs experts s’interrogent déjà depuis des semaines sur la possibilité pour Macron de terminer son nouveau quinquennat. Cette interrogation trouve une légitimité dans les résultats des législatives. Des résultats qui constituent une véritable catastrophe pour la majorité.

Il est clair que politiquement le pays sera difficilement gouvernable. En effet la seule possibilité de légiférer pour Macron sera de s’allier aux républicains qui vont tirer la politique de la majorité encore davantage à droite. De quoi nourrir l’opposition de l’alliance électorale de Mélenchon. Quant au front national il profitera de la plupart des occasions pour bloquer la politique au risque même d’être en contradiction avec ses propres orientations.

 Les électeurs ont infligé un sérieux revers à Macron en raison notamment de la confusion de ce dernier entre le régime démocratique et le  régime monarchique. Ce résultat est surtout un vote sanction à l’égard d’un président largement détesté dans le pays. On objectera qu’il a été juridiquement élu pour la seconde fois. La raison principale est due à l’absence d’offre politique et de candidats sérieux à droite comme à gauche. Bref, une page du macronisme  se tourne . Macronisme qui par ailleurs pourrait bien disparaître de l’histoire politique compte tenu de ses contradictions, de son flou et de sa réduction finalement à un seul personnage trop immature pour gouverner longtemps le pays. 

Le deuxième quinquennat de Macron déjà fini ?

Le deuxième quinquennat de Macron déjà fini ?

 

Plusieurs experts s’interrogent déjà depuis des semaines sur la possibilité pour Macron de terminer son nouveau quinquennat. Cette interrogation trouve une légitimité dans les résultats des législatives. Des résultats qui constituent une véritable catastrophe pour la majorité.

Il est clair que politiquement le pays sera difficilement gouvernable. En effet la seule possibilité de légiférer pour Macron sera de s’allier aux républicains qui vont tirer la politique de la majorité encore davantage à droite. De quoi nourrir l’opposition de l’alliance électorale de Mélenchon. Quant au front national il profitera de la plupart des occasions pour bloquer la politique au risque même d’être en contradiction avec ses propres orientations.

 Les électeurs ont infligé un sérieux revers à Macron en raison notamment de la confusion de ce dernier entre le régime démocratique et le  régime monarchique. Ce résultat est surtout un vote sanction à l’égard d’un président largement détesté dans le pays. On objectera qu’il a été juridiquement élu pour la seconde fois. La raison principale est due à l’absence d’offre politique et de candidats sérieux à droite comme à gauche. Bref, une page du macronisme  se tourne . Macronisme qui par ailleurs pourrait bien disparaître de l’histoire politique compte tenu de ses contradictions, de son flou et de sa réduction finalement à un seul personnage trop immature pour gouverner longtemps le pays. 

Le deuxième quinquennat de Macron déjà fini

Le deuxième quinquennat de Macron déjà fini

 

Plusieurs experts s’interrogent déjà depuis des semaines sur la possibilité pour Macron de terminer son nouveau quinquennat. Cette interrogation trouve une légitimité dans les résultats des législatives. Des résultats qui constituent une véritable catastrophe pour la majorité.

Il est clair que politiquement le pays sera difficilement gouvernable. En effet la seule possibilité de légiférer pour Macron sera de s’allier aux républicains qui vont tirer la politique de la majorité encore davantage à droite. De quoi nourrir l’opposition de l’alliance électorale de Mélenchon. Quant au front national il profitera de la plupart des occasions pour bloquer la politique au risque même d’être en contradiction avec ses propres orientations.

 Les électeurs ont infligé un sérieux revers à Macron en raison notamment de la confusion de ce dernier entre le régime démocratique et le  régime monarchique. Ce résultat est surtout un vote sanction à l’égard d’un président largement détesté dans le pays. On objectera qu’il a été juridiquement élu pour la seconde fois. La raison principale est due à l’absence d’offre politique et de candidats sérieux à droite comme à gauche. Bref, une page du macronisme  se tourne . Macronisme qui par ailleurs pourrait bien disparaître de l’histoire politique compte tenu de ses contradictions, de son flou et de sa réduction finalement à un seul personnage trop immature pour gouverner longtemps le pays. 

Présidentielle : un deuxième tour plus serré que prévu

Présidentielle : un deuxième tour plus serré que prévu

 

Si Emmanuel Macron reste largement en tête des intentions de votes au premier tour (28%), l’écart se réduit de sept points au second tour entre le président sortant et Marine Le Pen, donnés respectivement à 52,5% et 47,5%, selon un sondage Elabe pour BFMTV et l’Express.

En cause, des résultats d’une politique assez contradictoire de Macron sans parler de certaines affaires qui remontent comme l’affaire McKinsey
.Une somme astronomique, 1 milliard d’euros. Un cabinet de conseil américain. Des accusations d’optimisation fiscale. Des soupçons de collusion. Un «scandale d’État», selon les mots des opposants d’Emmanuel Macron. À dix jours du premier tour de l’élection présidentielle, le candidat redoute l’impact de la polémique sur son image.Et le score au second tour ne paraît pas aussi assuré que précédemment.

 

 

 

Sondage société: la guerre, deuxième préoccupation chez les Français

Sondage société: la guerre, deuxième préoccupation chez les Français

 

Selon un sondage de l’institut Ipsos Sopra Steyria,  si le pouvoir d’achat reste la préoccupation principale des Français (52%), la guerre en Ukraine, déclenchée le 24 février, arrive désormais en deuxième position (33%) devant l’environnement (28%) et le système de santé (26%).

90% des sondés sont «plutôt» ou «très inquiets» de l’impact de la guerre en Ukraine (+ 2 points en une semaine), et 76% le sont face à «un possible conflit nucléaire».

Le président sortant, désormais candidat à sa réélection, est crédité de 30,5% des intentions de vote au premier tour, gagnant quatre points par rapport à la précédente enquête du même institut Ipsos-Sopra-Steria fin février, devant les candidats d’extrême droite Marine Le Pen (14,5%, -1) et Eric Zemmour (13%, -2). Valérie Pécresse poursuit sa chute (11,5, -1), passant derrière le candidat de gauche radicale Jean-Luc Mélenchon (12%, +0,5).

Sondage: la guerre, deuxième préoccupation chez les Français

Sondage: la guerre, deuxième préoccupation chez les Français

 

Selon un sondage de l’institut Ipsos Sopra Steyria,  si le pouvoir d’achat reste la préoccupation principale des Français (52%), la guerre en Ukraine, déclenchée le 24 février, arrive désormais en deuxième position (33%) devant l’environnement (28%) et le système de santé (26%).

90% des sondés sont «plutôt» ou «très inquiets» de l’impact de la guerre en Ukraine (+ 2 points en une semaine), et 76% le sont face à «un possible conflit nucléaire».

Le président sortant, désormais candidat à sa réélection, est crédité de 30,5% des intentions de vote au premier tour, gagnant quatre points par rapport à la précédente enquête du même institut Ipsos-Sopra-Steria fin février, devant les candidats d’extrême droite Marine Le Pen (14,5%, -1) et Eric Zemmour (13%, -2). Valérie Pécresse poursuit sa chute (11,5, -1), passant derrière le candidat de gauche radicale Jean-Luc Mélenchon (12%, +0,5).

Politique – Taubira : pour tuer une deuxième fois la gauche

Politique – Taubira :  pour tuer une deuxième fois la gauche

 

L’histoire politique retiendra en particulier que Christiane Taubira aura tué deux fois la gauche. Une première fois quand elle a  maintenu sa candidature, ce qui a fait perdre Jospin aux  présidentielles . Une seconde fois sans doute en 2022 pour enterrer définitivement la gauche. Avec un score de l’ordre de 5 % recueillis au nom de la « gauche populaire », on pourra alors considérer que Taubira a enterré une seconde fois ce courant politique. On ne peut pas dire réellement que Taubira défend le moindre programme politique si l’on se fie à son   bla-bla classique complètement obsolète. Le bla-bla habituel des bobos de gauche, radicaux quand ils sont dans l’opposition et qui font l’inverse ou presque une fois au pouvoir .Rien d’étonnant à cela car la sociologie des bobos n’est pas tout à fait en cohérence avec la sociologie des couches moyennes et populaires qu’ils sont supposés représenter.  Taubira n’a pas grand-chose à proposer ou à défendre sinon cette espèce de concept d’union qui ne repose sur aucune base programmatique commune.

Visiblement la mayonnaise de la candidature unique de la gauche a du mal à prendre. Dans les récents sondages on attribue autour de 5  % pris surtout à gauche à Christiane Taubira. De quoi marginaliser encore davantage le parti socialiste qui pourrait ne jamais s’en remettre et les écolos d’Europe écologie les Verts. Pas étonnant si  les insoumis, les écolos et le parti communiste ne veulent pas entendre parler de cette candidature. Par ailleurs Taubira n’a jamais eu le moindre programme politique, témoin le bla-bla classique d’une récente intervention de l’intéressée.

 Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou .

 

Tribune.  

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faireNous savons comment faire ! Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

« Primaire populaire »-Taubira : pour tuer une deuxième fois la gauche

« Primaire populaire »-Taubira :  pour tuer une deuxième fois la gauche

 

L’histoire politique retiendra en particulier que Christiane Taubira aura tué deux fois la gauche. Une première fois quand elle a  maintenu sa candidature, ce qui a fait perdre Jospin aux  présidentielles . Une seconde fois sans doute en 2022 pour enterrer définitivement la gauche. Avec un score de l’ordre de 3 % recueillis au nom de la « gauche populaire », on pourra alors considérer que Taubira a enterré une seconde fois ce courant politique. On ne peut pas dire réellement que Taubira défend le moindre programme politique si l’on se fie à son   bla-bla classique complètement obsolète. Le bla-bla habituel des bobos de gauche, radicaux quand ils sont dans l’opposition et qui font l’inverse ou presque une fois au pouvoir .Rien d’étonnant à cela car la sociologie des bobos n’est pas tout à fait en cohérence avec la sociologie des couches moyennes et populaires qu’ils sont supposés représenter.  Taubira n’a pas grand-chose à proposer ou à défendre sinon cette espèce de concept d’union qui ne repose sur aucune base programmatique commune.

Visiblement la mayonnaise de la candidature unique de la gauche a du mal à prendre. Dans les récents sondages on attribue autour de 3 % à Christiane Taubira. Pas étonnant, les insoumis, les écolos et le parti communiste ne veulent pas entendre parler de cette candidature. Par ailleurs Taubira n’a jamais eu le moindre programme politique, témoin le bla-bla classique d’une récente intervention de l’intéressée.

L’ex-ministre de la justice a annoncé qu’elle rendrait, d’ici à la mi-janvier, sa décision sur son éventuelle candidature à la présidentielle. Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou .

 

Tribune.  

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faireNous savons comment faire. Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

Une politique fiscale juste

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

Politique -Taubira : pour tuer une deuxième fois la gauche

Politique -Taubira :  pour tuer une deuxième fois la gauche

 

L’histoire politique retiendra en particulier que Christiane Taubira aura tué deux fois la gauche. Une première fois quand elle a  maintenu sa candidature, ce qui a fait perdre Jospin aux  présidentielles . Une seconde fois sans doute en 2022 pour enterrer définitivement la gauche. Avec un score de l’ordre de 3 % recueillis au nom de la « gauche populaire », on pourra alors considérer que Taubira a enterré une seconde fois ce courant politique. On ne peut pas dire réellement que Taubira défend le moindre programme politique si l’on se fie à son   bla-bla classique complètement obsolète. Le bla-bla habituel des bobos de gauche, radicaux quand ils sont dans l’opposition et qui font l’inverse ou presque une fois au pouvoir .Rien d’étonnant à cela car la sociologie des bobos n’est pas tout à fait en cohérence avec la sociologie des couches moyennes et populaires qu’ils sont supposés représenter.  Taubira n’a pas grand-chose à proposer ou à défendre sinon cette espèce de concept d’union qui ne repose sur aucune base programmatique commune.

Visiblement la mayonnaise de la candidature unique de la gauche a du mal à prendre. Dans les récents sondages on attribue autour de 3 % à Christiane Taubira. Pas étonnant, les insoumis, les écolos et le parti communiste ne veulent pas entendre parler de cette candidature. Par ailleurs Taubira n’a jamais eu le moindre programme politique, témoin le bla-bla classique d’une récente intervention de l’intéressée.

L’ex-ministre de la justice a annoncé qu’elle rendrait, d’ici à la mi-janvier, sa décision sur son éventuelle candidature à la présidentielle. Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou .

 

Tribune.  

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faireNous savons comment faire. Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

Une politique fiscale juste

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

Candidature Taubira : le bla-bla classique pour tuer une deuxième fois la gauche

 

Candidature Taubira : le bla-bla classique pour tuer une deuxième fois la gauche

 

L’histoire politique retiendra en particulier que Christiane Taubira aura tué deux fois la gauche. Une première fois quand elle a  maintenu sa candidature, ce qui a fait perdre Jospin aux  présidentielles . Une seconde fois sans doute en 2022 pour enterrer définitivement la gauche. Avec un score de l’ordre de 3 % recueillis au nom de la « gauche populaire », on pourra alors considérer que Taubira a enterré une seconde fois c ecourant politique. On ne peut pas dire réellement que Taubira défend le moindre programme politique si l’on se fie à son   bla-bla classique complètement obsolète. Le bla-bla habituel des bobos de gauche, radicaux quand ils sont dans l’opposition et qui font l’inverse ou presque une fois au pouvoir.Rien d’étonnant à cela car la sociologie des bobos n’est pas tout à fait en cohérence avec la sociologie des couches moyennes et populaires qu’ils sont supposés représenter.  Taubira n’a pas grand-chose à proposer ou à défendre sinon cette espèce de concept d’union qui ne repose sur aucune base programmatique commune.

Visiblement la mayonnaise de la candidature unique de la gauche a du mal à prendre. Dans les récents sondages on attribue autour de 3 % à Christiane Taubira. Pas étonnant, les insoumis, les écolos et le parti communiste ne veulent pas entendre parler de cette candidature. Par ailleurs Taubira n’a jamais eu le moindre programme politique, témoin le bla-bla classique d’une récente intervention de l’intéressée.

L’ex-ministre de la justice a annoncé qu’elle rendrait, d’ici à la mi-janvier, sa décision sur son éventuelle candidature à la présidentielle. Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou .

 

Tribune.  

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faireNous savons comment faire. Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

Une politique fiscale juste

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

Sondage Présidentielle 2022 : rien n’est joué pour la qualification au deuxième tour

Sondage Présidentielle 2022 : rien n’est joué pour la qualification au deuxième tour

Selon le dernier sondage Ifop Fiducial pour Le Figaro et LCI réalisé auprès d’un échantillon de 5000 personnes, rien n’est joué pour la qualification au deuxième tour ou la bataille fait rage entre Le Pen, Zemmour et Bertrand. Pour l’instant, macro domine avec autour de 25 % et ses trois autres principaux concurrents totalisent chacun 15 à 18 %.

Des certitudes toutefois, la gauche semble définitivement hors-jeu avec un total à peine de 25 % et en plus complètement divisée.

C’est une véritable victoire idéologique de la droite et de la droite extrême», juge Frédéric Dabi, directeur général Opinion de l’Ifop qui constate la dynamique Zemmour

 » La dynamique est clairement de son côté, il est en train de devenir l’attrape-tout de la droite et de la droite extrême.

Présidentielle 2022 : Zemmour à 18 % en deuxième position

Présidentielle 2022 : Zemmour à 18 % en deuxième position

 

De toute évidence médias et experts politiques sont déboussolés par la montée de Zemmour qui selon la dernière enquête serait maintenant deuxième position et atteindrait entre 17 et 18 pour cent.

 

Les experts, les médias et les partis politiques sont complètement désarçonnées par ce phénomène. Pour se rassurer, il ne cesse d’accumuler les faux arguments. Ainsi au début on a considéré que le phénomène Zemmour constituait une bulle médiatique qui allait rapidement éclater. Ensuite que la montée dans les sondages serait contredite dès que Zemmour passerait à autre chose que son obsession sur les questions migratoires. Enfin que Zemmour était incapable de faire la moindre proposition dans d’autres champs que l’immigration notamment en matière économique.

Le problème c’est que Zemmour n’est pas plus mauvais que d’autres dans ce domaine. Par exemple concernant la politique énergétique,  il a plutôt remis les pendules à l’heure face aux  élucubrations de certains écolos bobos. Dans beaucoup d’autres domaines économiques notamment en matière de réindustrialisation, il propose de développer des politiques garantissant une meilleure souveraineté et soutenant l’emploi.

 

Certes certaines propositions peuvent paraître encore floues voire contradictoires  ( quelles conséquences par exemple sur la quasi sortie de l’Europe en matière de monnaie, de pouvoir d’achat et de dette).  Le problèm, e c’est que les adversaires de Zemmour ne sont guère plus clairs sur ces questions et pour l’instant aucun des candidats n’a été capable de faire une analyse à la hauteur des faiblesses structurelles de la France et encore moins de dégager une vision pour le redressement du pays dans les domaines économiques.

 

Pour l’essentiel, les candidats se limitent à faire des promesses à toutes les catégories sociales se comportant ainsi davantage ensyndicaliste qu’en gérant des intérêts supérieurs de la nation. C’est sur la grande nullité des candidats à la présidentielle que prospère Zemmour. En outre et peut-être surtout Zemmour rompt avec le discours stéréotypé de type ENA adopté par toute la classe politique. Un discours abscons, scientiste qui masque une double incompétence technique et culturelle.

 

Zemmour n’obtiendra peut-être pas le Nobel de l’économie mais ses concurrents sont d’une nullité crasse qui offre  un chemin royal au polémiste. Zemmour n’est sans doute pas un canon de beauté politique, loin s’en faut, mais il soutient la comparaison dans ce domaine avec les autres leaders politiques tellement peu sexy.

 

Harris Interactive, dans une enquête exclusive pour le magazine Challenges*, estime qu’il arriverait deuxième du premier tour. Éric Zemmour obtiendrait en effet 17% des suffrages (18 si le candidat de la droite est Michel Barnier), derrière Emmanuel Macron (entre 24 et 27% selon le candidat de droite) mais devant Marine Le Pen (entre 15 et 16%).

Vient ensuite Marine Le Pen, puis Xavier Bertrand, dans l’hypothèse où il serait le candidat de la droite (là aussi, LR n’ayant pas encore désigné son candidat officiel, il ne s’agit que de suppositions).

Jean-Luc Mélenchon recueillerait 11% des voix, contre 6% pour Anne Hidalgo (PS) et Yannick Jadot (EELV). Dans l’hypothèse où le candidat de la droite serait Valérie Pécresse ou Michel Barnier, il ou elle arriverait au même niveau ou derrière Jean-Luc Mélenchon. Dans l’hypothèse où Eric Zemmour se hisserait au second tour, Emmanuel Macron l’emporterait à 55% des suffrages.

Si on s’intéresse au profil des sondés qui répondent voter pour Éric Zemmour, 30% d’entre eux avaient voté Marine Le Pen au premier tour en 2017, 31% François Fillon, 6% Emmanuel Macron et 3% Jean-Luc Mélenchon. Les hommes sont sur-représentés dans l’électorat potentiel du polémiste à la droite de la droite (21%), tout comme les plus de 50 ans (20%), les catégories aisées (18%) et les inactifs (18%). Par ailleurs, les sondés qui penchent pour Éric Zemmour sont 75% à se dire « sûrs » de leur choix.

*Enquête réalisée en ligne du 1er au 4 octobre 2021, sur un échantillon de 1.310 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, dont 1.062 personnes inscrites sur les listes électorales. La méthode des quotas et le redressement ont été appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, catégorie socioprofessionnelle, région et comportement électoral antérieur

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