Archive pour le Tag 'croissance'

Ukraine : une croissance supérieure à 3 %

Ukraine : une croissance supérieure à 3 %

Trois ans après le début de l’invasion russe, l’économie de l’Ukraine continue d’étonner par sa capacité de résistance. Après un effondrement de 30 % du PIB la première année de « guerre à grande échelle » selon l’expression consacrée par Kiev, la croissance avait rebondi à 5,3 % en 2023 puis de 2,9 % en 2024. Elle progressera encore de 3,3 % cette année selon les prévisions de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) publiée mardi.

Pourtant près d’un tiers des 11 millions d’actifs recensés avant-guerre ne travaille plus, entre mobilisation, décès et exil, selon le ministère de la Politique sociale.

Économie–croissance américaine menacée

Économie–croissance américaine menacée

Si les bourses reprennent des couleurs après la suspension des plus grosses parties de taxes douanières américaines et chinoises par contre les perspectives économiques voire financières ne sont guère optimistes concernant l’avenir de la croissance notamment américaine.

Les marchés financiers ont salué avec enthousiasme l’accord commercial conclu la semaine dernière entre les États-Unis et le Royaume-Uni, qualifié « d’historique » par Donald Trump. À Paris, le CAC 40 a aligné deux séances de hausse, jeudi (+0,89 %) et vendredi (+0,64 %) tandis qu’à Francfort, le Dax s’est hissé à près de 23.500 points, inscrivant un nouveau record, dépassant ainsi son précédent pic du mois de mars dernier, juste avant l’offensive commerciale de Donald Trump.

Ce week-end, les tractations entre la Chine et les États-Unis se poursuivaient à Genève, pour tenter de résoudre la guerre commerciale entre les deux pays .

Au plan économique la tendance est à l’affaiblissement significatif de la croissance ce que devraient confirmer d’ailleurs les indices économiques cette semaine.

Mardi, l’indice des prix à la consommation pour le mois d’avril, donnera un aperçu de l’inflation, et jeudi, les ventes au détail (toujours pour le mois d’avril) donneront la tendance en matière de consommation. Bon nombre d’observateurs redoutent que les taxes à l’importation déjà en place aux États-Unis (10 %) se ressentent sur les prix et la consommation et pèsent ainsi sur la croissance américaine.

Croissance Japon en baisse

Croissance Japon en baisse


En raison du tassement économique internationale notamment en Chine, la banque du Japon a révisé à la baisse ses prévisions de croissance, elle prévoit désormais une croissance du PIB japonais de 0,5% sur l’année budgétaire 2025 entamée début avril, contre 1,1% prévus précédemment. Elle a également abaissé sa prévision pour la croissance économique de l’année suivante (année fiscale 2026), à 0,7% contre 1,1% attendu jusqu’alors.

La hausse des prix à la consommation au Japon (hors produits frais) a encore accéléré à 3,2% sur un an en mars, avec notamment une envolée record de 92,5% des prix du riz.

Economie mondiale -Net ralentissement de la croissance d’après le FMI

Economie mondiale -Net ralentissement de la croissance d’après le FMI


Le fonds monétaire international prévoit un net ralentissement de la croissance au plan mondial. Le Fonds monétaire international (FMI) a abaissé sa prévision de croissance pour la France à 0,6 % cette année, en recul de 0,2 point par rapport aux dernières prévisions de janvier. L’institution s’attend à une croissance de 1% en 2026, en recul de 0,1 point par rapport à ses précédentes estimations.

Pour la zone euro, sa prévision est révisée à 0,8 % cette année, soit un recul de 0,2 point. Les principales économies de la zone euro voient leurs perspectives diminuées : le FMI anticipe une croissance nulle en Allemagne et de 0,4 % en Italie, en baisse de 0,2 à 0,3 point par rapport aux estimations de janvier.

L’économie des États-Unis devrait progresser de 1,8 % cette année, soit une baisse de 0,9 point par rapport à sa précédente estimation de janvier. Le Canada pourrait s’attendre à une croissance de 1,4 % (-0,6 point). Le Mexique, dont l’économie dépend fortement des importations vers son voisin américain, pourrait même se retrouver en récession, avec une contraction de 0,3 % (-1,7 point). Le FMI a également abaissé à 4 % sa prévision de croissance pour la Chine en 2025, s’éloignant de l’objectif officiel de 5 % fixé par Pékin et de la projection initiale du FMI de 4,6%.

Economie-Net ralentissement de la croissance d’après le FMI

Economie-Net ralentissement de la croissance d’après le FMI


Le fonds monétaire international prévoit un net ralentissement de la croissance au plan mondial. Le Fonds monétaire international (FMI) a abaissé sa prévision de croissance pour la France à 0,6 % cette année, en recul de 0,2 point par rapport aux dernières prévisions de janvier. L’institution s’attend à une croissance de 1% en 2026, en recul de 0,1 point par rapport à ses précédentes estimations.

Pour la zone euro, sa prévision est révisée à 0,8 % cette année, soit un recul de 0,2 point. Les principales économies de la zone euro voient leurs perspectives diminuées : le FMI anticipe une croissance nulle en Allemagne et de 0,4 % en Italie, en baisse de 0,2 à 0,3 point par rapport aux estimations de janvier.

L’économie des États-Unis devrait progresser de 1,8 % cette année, soit une baisse de 0,9 point par rapport à sa précédente estimation de janvier. Le Canada pourrait s’attendre à une croissance de 1,4 % (-0,6 point). Le Mexique, dont l’économie dépend fortement des importations vers son voisin américain, pourrait même se retrouver en récession, avec une contraction de 0,3 % (-1,7 point). Le FMI a également abaissé à 4 % sa prévision de croissance pour la Chine en 2025, s’éloignant de l’objectif officiel de 5 % fixé par Pékin et de la projection initiale du FMI de 4,6%.

Net ralentissement de la croissance d’après le FMI

Net ralentissement de la croissance d’après le FMI


Le fonds monétaire international prévoit un net ralentissement de la croissance au plan mondial. Le Fonds monétaire international (FMI) a abaissé sa prévision de croissance pour la France à 0,6 % cette année, en recul de 0,2 point par rapport aux dernières prévisions de janvier. L’institution s’attend à une croissance de 1% en 2026, en recul de 0,1 point par rapport à ses précédentes estimations.

Pour la zone euro, sa prévision est révisée à 0,8 % cette année, soit un recul de 0,2 point. Les principales économies de la zone euro voient leurs perspectives diminuées : le FMI anticipe une croissance nulle en Allemagne et de 0,4 % en Italie, en baisse de 0,2 à 0,3 point par rapport aux estimations de janvier.

L’économie des États-Unis devrait progresser de 1,8 % cette année, soit une baisse de 0,9 point par rapport à sa précédente estimation de janvier. Le Canada pourrait s’attendre à une croissance de 1,4 % (-0,6 point). Le Mexique, dont l’économie dépend fortement des importations vers son voisin américain, pourrait même se retrouver en récession, avec une contraction de 0,3 % (-1,7 point). Le FMI a également abaissé à 4 % sa prévision de croissance pour la Chine en 2025, s’éloignant de l’objectif officiel de 5 % fixé par Pékin et de la projection initiale du FMI de 4,6%.

Croissance France : révision à la baisse

Croissance France : révision à la baisse

Le gouvernement à travers la voix d’Éric Lombard ministre de l’économie « profite » sans doute de la crise des taxes douanières pour réviser à la baisse la croissance nationale. Une révision qui serait justifiée par les incertitudes qui caractérisent la période. Le gouvernement se rapproche ainsi des prévisions des instituts internationaux en ramenant les perspectives d’activité de 0,9 % à 0,7 %. La plupart des instituts internationaux prévoient eux seulement 0,5 % pour la France. La vérité sans doute ce que la croissance française risque d’être assez proche de la stagnation en 2025.

Quelques minutes avant l’interview d’Eric Lombard, le président américain a annoncé qu’il suspendait pendant trois mois des surtaxes imposées à tous les pays, sauf pour la Chine, reconnaissant que ces mesures «effrayaient un peu».

Mercredi soir, le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau a lui salué sur France 2 un «début de retour à la raison économique», après le revirement de Trump, tout en mettant en garde contre la «grande imprévisibilité» de la politique américaine. Une imprévisibilité qui «joue contre la confiance et contre la croissance, d’abord aux Etats-Unis», selon le gouverneur.

Economie-Croissance France : révision à la baisse

Economie-Croissance France : révision à la baisse

Le gouvernement à travers la voix d’Éric Lombard ministre de l’économie « profite » sans doute de la crise des taxes douanières pour réviser à la baisse la croissance nationale. Une révision qui serait justifiée par les incertitudes qui caractérisent la période. Le gouvernement se rapproche ainsi des prévisions des instituts internationaux en ramenant les perspectives d’activité de 0,9 % à 0,7 %. La plupart des instituts internationaux prévoient eux seulement 0,5 % pour la France. La vérité sans doute ce que la croissance française risque d’être assez proche de la stagnation en 2025.

Quelques minutes avant l’interview d’Eric Lombard, le président américain a annoncé qu’il suspendait pendant trois mois des surtaxes imposées à tous les pays, sauf pour la Chine, reconnaissant que ces mesures «effrayaient un peu».

Mercredi soir, le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau a lui salué sur France 2 un «début de retour à la raison économique», après le revirement de Trump, tout en mettant en garde contre la «grande imprévisibilité» de la politique américaine. Une imprévisibilité qui «joue contre la confiance et contre la croissance, d’abord aux Etats-Unis», selon le gouverneur.

Croissance Allemagne : Prévisions encore en baisse

Croissance Allemagne : Prévisions encore en baisse

Les instituts économiques allemands ont abaissé leurs prévisions de croissance à 0,1% pour cette année contre 0,8% attendu en septembre.

L’Allemagne, qui compte beaucoup sur ses exportations, est la seule économie du G7 à s’être contractée au cours des deux dernières années. Selon les instituts, les droits de douane supplémentaires « réciproques » annoncés par le président américain Donald Trump le 2 avril et suspendus mercredi pourraient encore avoir un impact majeur à la plus grande économie d’Europe, avec un risque de « doubler les effets négatifs ».

L’Allemagne pourrait ainsi, pour la première fois depuis l’après-guerre, connaître une troisième année de récession.

Croissance Chine : ralentissement

Croissance Chine : ralentissement

L’économie chinoise a probablement ralenti au premier trimestre 2025 et sa croissance devrait être inférieure sur l’ensemble de l’année à celle de 2024, selon une enquête de Reuters auprès d’économistes, renforçant la pression en faveur de mesures de relance sur fond d’escalade des tensions commerciales avec les Etats-Unis.

La croissance du produit intérieur brut (PIB) au premier trimestre 2025 devrait s’établir à 5,1% en glissement annuel, contre 5,4% au cours du quatrième trimestre 2024, selon un sondage Reuters réalisé auprès de 57 économistes.

La croissance du PIB devrait encore ralentir pour atteindre 4,5% en 2025 selon la prévision médiane du sondage, alors que Pékin s’est fixé un objectif officiel de croissance identique à celle de 2024, d’environ 5,0%.

Les économistes interrogés tablent sur une croissance de 4,7% au deuxième trimestre et prévoient que celle-ci pourrait tomber à 4,2% en 2026.

L’inflation des prix à la consommation devraient probablement augmenter pour atteindre 0,4% en 2025, contre 0,2% en 2024, restant bien inférieur à l’objectif d’environ 2% fixé par le gouvernement.

Allemagne : Prévisions de croissance encore en baisse

Allemagne : Prévisions de croissance encore en baisse

Les instituts économiques allemands ont abaissé leurs prévisions de croissance à 0,1% pour cette année contre 0,8% attendu en septembre.

L’Allemagne, qui compte beaucoup sur ses exportations, est la seule économie du G7 à s’être contractée au cours des deux dernières années. Selon les instituts, les droits de douane supplémentaires « réciproques » annoncés par le président américain Donald Trump le 2 avril et suspendus mercredi pourraient encore avoir un impact majeur à la plus grande économie d’Europe, avec un risque de « doubler les effets négatifs ».

L’Allemagne pourrait ainsi, pour la première fois depuis l’après-guerre, connaître une troisième année de récession.

Croissance France : révision à la baisse

Croissance France : révision à la baisse

Le gouvernement à travers la voix d’Éric Lombard ministre de l’économie « profite » sans doute de la crise des taxes douanières pour réviser à la baisse la croissance nationale. Une révision qui serait justifiée par les incertitudes qui caractérisent la période. Le gouvernement se rapproche ainsi des prévisions des instituts internationaux en ramenant les perspectives d’activité de 0,9 % à 0,7 %. La plupart des instituts internationaux prévoient eux seulement 0,5 % pour la France. La vérité sans doute ce que la croissance française risque d’être assez proche de la stagnation en 2025.

Quelques minutes avant l’interview d’Eric Lombard, le président américain a annoncé qu’il suspendait pendant trois mois des surtaxes imposées à tous les pays, sauf pour la Chine, reconnaissant que ces mesures «effrayaient un peu».

Mercredi soir, le gouverneur de la Banque de France François Villeroy de Galhau a lui salué sur France 2 un «début de retour à la raison économique», après le revirement de Trump, tout en mettant en garde contre la «grande imprévisibilité» de la politique américaine. Une imprévisibilité qui «joue contre la confiance et contre la croissance, d’abord aux Etats-Unis», selon le gouverneur.

Taxes Trump: Baisse de croissance et inflation pour JP Morgan

Taxes Trump: Baisse de croissance et inflation pour JP Morgan

Jamie Dimon, président-directeur général de JPMorgan Chase, a prévenu lundi les investisseurs que le désordre causé par les droits de douane américains pourrait peser sur la croissance de la plus grande économie du monde, stimuler l’inflation et avoir un impact négatif au long terme.

« L’économie fait face à des turbulences considérables (y compris géopolitiques), avec les aspects potentiellement positifs de la réforme fiscale et de la déréglementation et les aspects potentiellement négatifs des tarifs douaniers et des ‘guerres commerciales’, une inflation persistante, des déficits budgétaires élevés et des prix des actifs et une volatilité encore assez élevés », a déclaré le dirigeant.

« Nous sommes susceptibles de voir des résultats inflationnistes (…) La question de savoir si le menu des tarifs causera une récession reste en suspens, mais cela ralentira la croissance », a-t-il averti.

Les économistes de JPMorgan ont par ailleurs relevé à 60% le risque que les États-Unis connaissent une récession cette année, contre 40% il y a un mois, après que Donald Trump a annoncé la semaine dernière la mise en place de nouveaux droits de douane dits « réciproques » incluant des taux de 20% pour les produits importés de l’Union européenne et de 34% pour ceux provenant de Chine.

Jamie Dillon a souligné le risque de représailles de la part d’autres pays et a déclaré que les droits de douane pourraient affecter la confiance économique, les investissements, les flux de capitaux, les bénéfices des entreprises et le dollar.

Les tarifs douaniers soulèvent également des questions sur la direction des taux d’intérêt.

Jamie Dimon a noté que, malgré la baisse récente des taux due à la faiblesse du dollar, une croissance plus lente et une diminution de l’appétit pour le risque pourraient faire augmenter les taux, rappelant la « stagflation » des années 1970.

Économie–Effet Trump : la croissance française se tasse déjà

Économie–Effet Trump : la croissance française se tasse déjà

Dans sa dernière note de conjoncture intitulée « Désordre mondial, croissance en berne », l’Insee a révisé légèrement à la baisse sa prévision de croissance du PIB pour le premier semestre 2025.

L’offensive commerciale de Donald Trump a amené l’Insee à réviser légèrement à la baisse (-0,1 point) ses prévisions de croissance française jusqu’en juin (0,1 % au T1 et 0,2 % au T2).

La politique commerciale de Trump plonge en effet l’économie européenne et française dans l’incertitude. La crise probable aux États-Unis va nécessairement se transmettre en Europe compte tenu de l’ampleur des échanges

L’institut table désormais sur une lente accélération de l’activité à 0,1 % au 1er trimestre et 0,2 % au deuxième contre 0,2 % en moyenne pour les deux premiers trimestres pronostiqués en décembre.

Effet Trump : la croissance française se tasse déjà

Effet Trump : la croissance française se tasse déjà

Dans sa dernière note de conjoncture intitulée « Désordre mondial, croissance en berne », l’Insee a révisé légèrement à la baisse sa prévision de croissance du PIB pour le premier semestre 2025.

L’offensive commerciale de Donald Trump a amené l’Insee à réviser légèrement à la baisse (-0,1 point) ses prévisions de croissance française jusqu’en juin (0,1 % au T1 et 0,2 % au T2).

La politique commerciale de Trump plonge en effet l’économie européenne et française dans l’incertitude.

L’institut table désormais sur une lente accélération de l’activité à 0,1 % au 1er trimestre et 0,2 % au deuxième contre 0,2 % en moyenne pour les deux premiers trimestres pronostiqués en décembre.

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