Archive pour le Tag 'Bayrou'

Sondage popularité : Bayrou encore encore en baisse

Sondage popularité : Bayrou encore encore en baisse


Dans le dernier baromètre réalisé par l’institut de sondages et l’école d’ingénieurs Cesi pour La Tribune Dimanche, le Premier ministre s’enfonce un peu plus dans l’impopularité avec seulement 24 % d’avis favorables.

Parmi les personnes interrogées, 67 % expriment un avis défavorable à son endroit, soit 3 points de plus qu’en mars, et seuls 24 % un avis favorable. Phénomène plus alarmant encore pour le centriste : il chute essentiellement chez les sympathisants de son fragile socle parlementaire, à savoir ceux de Renaissance, du MoDem, d’Horizons et des Républicains.

Bayrou : l’immobilisme pour durer ?

Bayrou : l’immobilisme pour durer ?

En dépassant les 100 jours à Matignon, François Bayrou a brisé la malédiction qui pesait sur les premiers ministres d’Emmanuel Macron, dont chaque chef de gouvernement restait en poste moins de temps que le précédent. S’il a d’ores et déjà tenu plus longtemps que Michel Barnier et survécu à l’adoption du budget, François Bayrou reste dans une position précaire : faute d’un contrat de gouvernement dans sa coalition et d’un vrai accord de non-censure avec une partie de l’opposition, la seule façon – temporaire – d’échapper à l’instabilité semble l’immobilisme. La formule politique adaptée à l’absence de majorité n’est pas encore née.

par Damien Lecomte
Docteur en sciences politiques, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne dans The Conversation

François Bayrou a surmonté l’épreuve budgétaire avec succès : les motions de censure n’ont été votées ni par le RN, incontournable pour renverser le gouvernement, ni par les socialistes, fracturant le NFP. Et celle déposée par le PS pour exprimer son désaccord sur la « submersion migratoire » n’avait aucune chance d’être votée par les députés d’extrême droite. Le plus dur de l’affaire Bétharram semble, pour l’instant, derrière lui. Néanmoins, l’Assemblée nationale paraît désormais tourner à vide et le gouvernement piégé dans une cacophonie paralysante.

Le régime politique français est coincé dans un entre-deux. La vieille Ve République est en train de mourir, la nouvelle tarde à naître, et dans ce clair-obscur… on s’ennuie ferme.

Un calendrier parlementaire dévitalisé
Le gouvernement use de sa maîtrise de l’agenda pour éviter les sujets politiques les plus clivants, susceptibles de réunir les groupes d’opposition contre lui. Résultat : un calendrier parlementaire occupé par de nombreux textes modestes et sectoriels : interdire la discrimination des salariés engagés dans un projet d’adoption ou de PMA, affirmer l’importance du parcours inclusif des élèves handicapés, créer la notion d’homicide routier pour lutter contre les violences routières, préserver les droits des victimes dépositaires de plaintes classées sans suite.

D’où l’impression tenace de « flottement » qui pèse sur le Parlement et sur le gouvernement, dans une conjoncture internationale qui redonne, en revanche, de la visibilité au président de la République. Le « programme de travail » dégainé par le premier ministre, pour démentir les accusations d’inaction, peine à sortir du flou.

Renvoyer aux partenaires sociaux le dossier si sensible des retraites permet à François Bayrou, en valorisant la démocratie sociale, de se délester en partie d’une décision forcément risquée. Mais dès lors que le premier ministre s’avance un tant soit peu sur les prochaines conclusions du « conclave », il prend le risque de donner, tant au PS qu’au RN, des raisons de le censurer.

Faute d’un accord solide de non-censure avec l’un ou l’autre, le gouvernement est contraint de naviguer à vue. Il ne peut cependant repousser indéfiniment le moment de vérité que seront les discussions budgétaires pour 2026. Il n’aura pas cette fois-ci l’avantage de l’urgence créée par une précédente censure, et ses talents de négociateurs seront mis à l’épreuve.

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Le premier ministre peut encore placer ses espoirs dans les intérêts des uns et des autres à éviter une crise politique à court terme, surtout une fois que le droit de dissolution sera de nouveau disponible à partir de juillet prochain. Le PS est pour l’heure occupé par son propre congrès, et ses relations distendues avec le NFP peuvent l’inciter à traiter le risque de dissolution avec une certaine prudence. Le RN reste en quête de respectabilité et si Marine Le Pen place ses maigres espoirs de retrouver son éligibilité dans une décision rapide de la Cour d’appel, des élections anticipées la desserviraient.

François Bayrou continue néanmoins de ménager les susceptibilités du parti d’extrême droite et de sa cheffe. D’où sa position d’équilibriste sur la condamnation judiciaire de Marine Le Pen, critiquée jusqu’au sein de sa propre base parlementaire.

Un gouvernement indiscipliné et une coalition désorientée
La situation de François Bayrou est d’autant plus précaire que sa propre coalition reste fragile et dissonante. Le « socle commun » inventé par Michel Barnier n’a jamais pris le temps de mettre au clair ce qu’il avait en commun, en dehors de sa volonté d’empêcher le NFP et le RN de prendre le pouvoir. Cette « coalition des perdants » ne s’appuie pas sur un contrat formalisé de gouvernement ; ses contradictions internes limitent d’autant plus ses capacités à trouver des accords avec les groupes d’opposition.

Au sein même du « bloc central », le premier ministre, président du MoDem, fait face à la rivalité des chefs des deux autres partis qui le composent, candidats potentiels à la succession d’Emmanuel Macron : Gabriel Attal, désormais secrétaire général de Renaissance, et Édouard Philippe, fondateur du parti Horizons, qui a ouvertement exprimé son scepticisme quant à la capacité du gouvernement de sortir de l’inaction.

Mais la principale difficulté reste le mariage de raison avec Les Républicains, eux-mêmes déchirés par la rivalité entre leur principal ministre, Bruno Retailleau, et le président du groupe à l’Assemblée nationale Laurent Wauquiez. Les différences d’approche entre les centristes et les conservateurs sont susceptibles de bloquer certains dossiers, et d’abord la réforme du mode de scrutin. L’adoption d’une représentation proportionnelle est voulue par François Bayrou, mais la droite y est très hostile. Les atermoiements et les ambivalences du premier ministre sur l’interdiction du voile dans le sport illustrent cette tension entre l’aile conservatrice et l’aile plus libérale de la coalition gouvernementale.

Lors de la constitution du gouvernement Bayrou, l’entrée ou le maintien de « poids lourds » de la vie politique était un choix affirmé du premier ministre. Mais celui-ci se retrouve débordé par les fortes personnalités qui composent son équipe et qui suivent leurs propres agendas ; il peine à déterminer le bon équilibre entre la liberté de parole inédite concédée à ses ministres et le minimum de solidarité gouvernementale à exiger. La question du voile révèle notamment une ligne de facture entre la numéro deux du gouvernement, Élisabeth Borne, plus modérée, et les trois ministres suivants dans l’ordre protocolaire, le trio Valls-Retailleau-Darmanin, sur une ligne plus dure.

La nouvelle République n’est pas encore née
Après soixante années de domination du fait majoritaire (1962-2022), le plus souvent autour du président, notre régime connaît la plus grande fragmentation parlementaire de son histoire. L’absence de majorité n’est-elle qu’une parenthèse que refermeront les prochaines élections ? ou la Ve République est-elle entrée dans une phase nouvelle et durable ? Dans cette hypothèse, d’autres pratiques seraient nécessaires pour ne pas osciller en permanence de l’instabilité à l’immobilisme. De vraies discussions de fond entre les forces politiques parlementaires, au sein du « Front républicain » sorti vainqueur des législatives, pour un contrat de législature même minimal, aurait été la condition pour éviter la paralysie.

La plupart des régimes parlementaires européens ont l’habitude des négociations entre partis et des coalitions post-électorales. La centralité de l’élection présidentielle et le scrutin majoritaire des législatives freinent l’adaptation de la France à la culture du compromis et de la délibération parlementaire. Le régime semble piégé dans une phase de transition, où les passages en force du gouvernement ne sont plus aussi faciles – comme l’a montré la censure de Michel Barnier –, mais où les discussions interpartisanes peinent à être productives. D’où un gouvernement qui paraît condamné à faire le dos rond en évitant les sujets qui fâchent. La stratégie d’évitement ne peut toutefois fonctionner que pendant un temps. Si le morcellement politique devait devenir la norme, l’adaptation à la délibération parlementaire deviendrait indispensable.

Vers la fin rapide de Bayrou ?

Vers la fin rapide de Bayrou ?

Près de quatre mois après sa nomination à Matignon, le premier ministre inquiète à force de pratiquer le refus d’obstacle. Revenu de tout et ne se faisant d’illusions sur personne, il dispose cependant de quelques cartes pour trouver un chemin, estime dans sa chronique Françoise Fressoz, éditorialiste au « Monde ».

Mal-aimé, mal compris, de moins en moins respecté. Cette accumulation de « mal » et de « moins » à propos de François Bayrou, qui a une haute conscience de sa valeur et réfléchit depuis des années au destin du pays, interpelle. Les Français, de plus en plus critiques, ne comprennent pas ce que le premier ministre a en tête ni où il veut les conduire. Son parti, le MoDem, a du mal à le suivre, notamment quand, à rebours de la réserve attendue, il émet, en tant que citoyen, des doutes sur l’inéligibilité immédiate qui a frappé Marine Le Pen dans le cadre du procès en première instance des assistants du Front national (devenu Rassemblement national) au Parlement européen.

Au sein du couple exécutif, l’Elysée a repris l’ascendant et exerce une pression visible sur celui qui est soupçonné de procrastiner, alors que la foudre trumpiste s’est abattue sur la France et l’Europe. Financement des dépenses militaires, consolidation du modèle social, reconstruction de la souveraineté…, tout est à repenser, alors que le pays, surendetté, doit honorer des remboursements de plus en plus lourds qui obèrent ses marges de manœuvre. Or, rien de substantiel n’est encore sorti des cartons de Matignon ni de l’ordre du jour du Parlement.

Tous ceux qui, dans le bloc central, rêvent d’un destin présidentiel le soulignent en moquant l’enlisement qui menace Matignon. Tous actionnent, par contraste, la figure du sauveur bonapartiste qui, le moment venu, n’aura pas la main qui tremble. Ainsi d’Edouard Philippe, qui, lors d’un congrès de son parti Horizons, a annoncé, le 16 mars, que s’il remportait l’élection présidentielle, il organiserait dans la foulée deux référendums, pour modifier le système des retraites et réorganiser administrativement le pays, et utiliserait les ordonnances pour réformer la justice, l’éducation et la santé.

Indifférent à la pression, François Bayrou fait du François Bayrou. Il ne parle que pour s’acheter du temps, comme il l’a encore fait, le 6 avril, dans Le Parisien Dimanche : trois longues pages d’explications et de justifications, dans lesquelles il met notamment en avant le choc économique induit par le relèvement des droits de douane, alerte sur l’effet récessif que le coup de force de Donald Trump risque de produire, mais sans les assortir d’annonce particulière. A l’entendre, les Français ont à peine pris conscience de l’effort qu’ils vont devoir consentir face à l’ampleur de la catastrophe mondiale en train de se produire.

Sondage politique : Bayrou encore en baisse

Sondage politique : Bayrou encore en baisse

D’après un sondage Odoxa pour la chaîne Public Sénat et la presse quotidienne régionale François Bayrou a perdu sept points depuis sa nomination en décembre.

Emmanuel Macron est un bon président pour 29% des Français, une hausse de 4 points en un mois, tandis que François Bayrou recule à nouveau (23%, -4) et que Marine Le Pen devance Édouard Philippe dans le classement des cotes d’adhésion d’un sondage Odoxa publié lundi.

Par ailleurs, dans le classement des cotes d’adhésion, Marine Le Pen (37%), en hausse de 4 points en février, dépasse «symboliquement» l’ancien Premier ministre Édouard Philippe (36%), qui occupait la tête depuis son départ de Matignon en 2020.

Le président du Rassemblement national Jordan Bardella est troisième (35%) devant l’ancien Premier ministre Gabriel Attal (34%) et le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau (33%).

Par ailleurs, à la question: «entre Jordan Bardella et Marine Le Pen qui appréciez-vous le plus, ou, à défaut, qui rejetez-vous le moins ?», 31% des Français optent pour le président du RN contre 16% pour la triple candidate à l’élection présidentielle. Proportion identique parmi les sympathisants du RN (60% pour M. Bardella contre 32% pour Mme Le Pen).

Sondage réalisé par internet les 26 et 27 mars auprès d’un échantillon de 1.005 Français représentatif de la population âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur entre 2,5 et 3 points.

Sondage François Bayrou: Près de 80 % des Français mécontents

Sondage François Bayrou: Près de 80 % des Français mécontents


Près de 80 % des Français sont mécontents du premier ministre. Il est clair que François Bayrou n’a pas accédé à la responsabilité de premier ministre dans les meilleures conditions faute de majorité à l’Assemblée nationale. Mais force est de constater qu’après trois mois de pouvoir il n’a guère donné des raisons d’espérer à l’opinion publique du fait de ses différentes contradictions, de ses hésitations voire de son immobilisme.

Tout semble indiquer maintenant que le sort de François Bayrou pourrait être scellé par une prochaine motion de censure au plus tard au moment de la dissolution de l’assemblée. Sans doute même avant si François Bayrou se montre toujours aussi ambigu et inefficace. Voir notamment à cet égard l’affaire de la réforme des retraites qui mécontente une large majorité de Français

Selon la dernière enquête Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro, 81% des Français expriment leur déception face au bilan du premier ministre et 57% se disent favorables à une censure.

«Jamais un chef de gouvernement n’aura été aussi fragilisé aussi rapidement», avance Céline Bracq, directrice générale d’Odoxa. Laquelle pointe un premier ministre à la fois «majoritairement rejeté dans l’opinion» et «marginalisé au sein même de la majorité présidentielle», où…

Censure : François Bayrou de plus en plus menacé

Censure : François Bayrou de plus en plus menacé

À la suite de plusieurs contradictions, d’hésitationw et de gaffes le premier ministre trouve de plus en plus menacé par une motion de censure non seulement de la gauche mais aussi en provenance du Rassemblement national. Après les retraites, le motif de mécontentement concerne cette fois la programmation annuelle de l’énergie enjeu centrale sur le plan de l’indépendance du pays mais déterminé non pas dans la loi mais dans un décret (PPE, ou programmation pluriannuelle de l’énergie).

Une programmation relativement floue par ailleurs qui certes envisage une augmentation de la part de l’électricité nucléaire mais prévoit aussi une croissance des énergies renouvelables à la fois fantaisiste et coûteuse.

. Alors que le gouvernement doit présenter en avril sa feuille de route pour dix ans, la présidente des députés du Rassemblement national (RN) multiplie les avertissements à ce sujet. « Je vais me fâcher », a-t-elle récemment prévenu dans Le Figaro Magazine.

Notons dans la consommation finale énergétique, une baisse de la part des énergies fossiles de type gaz ou pétrole (de 58 % en 2023 à 30 % dans dix ans). En contrepartie, la part de l’électricité doit augmenter, grâce à une hausse de la production nucléaire et des énergies renouvelables.

Popularité politique : Grosse baisse de Bayrou qui paye ses gaffes

Popularité politique : Grosse baisse de Bayrou qui paye ses gaffes

Le Premier ministre François Bayrou enregistre une lourde baisse de sa cote de popularité en mars, dévissant de 11 points par rapport à février, selon un baromètre mensuel de l’Ifop pour le Journal du dimanche.

Le chef du gouvernement s’est retrouvé englué dans plusieurs polémiques dont sa gestion du dossier des retraites qu’il a pourtant lui-même souhaité rouvrir.

27% de Français satisfaits de son action, au plus bas depuis sa nomination en décembre.

Politique-Réforme des Retraites : la grosse gaffe de Bayrou désormais en sursis

Politique-Réforme des Retraites : la grosse gaffe de Bayrou désormais en sursis

On peut se demander ce qui soudain a pris le premier ministre d’intervenir directement dans la négociation entre les partenaires sociaux concernant la réforme des retraites. D’une certaine manière, Bayrou s’est tiré une balle dans le pied avec maintenant le risque d’une motion de censure ! Rappelons que c’est lui-même qui avait proposé cette concertation et sans tabou.

Le résultat de cette malheureuse intervention sera le retrait des syndicats gauchistes et-ou corpos. Certes ces syndicats auraient manifesté sans doute de toute manière leur opposition à un éventuel accord. Mais cela n’aurait pas empêché les syndicats réformistes aujourd’hui majoritaires en France d’essayer de sortir par le haut. Notamment en tenant compte de la pénibilité et des années de versement. Au lieu de se focaliser uniquement sur le drapeau des 64 ans, bannière politique de toute la droite réac. Une droite qui souhaite l’échec de la concertation entre partenaires sociaux non seulement pour les questions propres à la réforme des retraites mais aussi pour enfoncer la crédibilité des syndicats. Comme si les politiques étaient plus crédibles !

Réforme des Retraites : la grosse gaffe de Bayrou désormais en sursis

Réforme des Retraites : la grosse gaffe de Bayrou désormais en sursis

On peut se demander ce qui soudain a pris le premier ministre d’intervenir directement dans la négociation entre les partenaires sociaux concernant la réforme des retraites. D’une certaine manière, Bayrou s’est tiré une balle dans le pied avec maintenant le risque d’une motion de censure ! Rappelons que c’est lui-même qui avait proposé cette concertation et sans tabou.

Le résultat de cette malheureuse intervention sera le retrait des syndicats gauchistes et-ou corpos. Certes ces syndicats auraient manifesté sans doute de toute manière leur opposition à un éventuel accord. Mais cela n’aurait pas empêché les syndicats réformistes aujourd’hui majoritaires en France d’essayer de sortir par le haut. Notamment en tenant compte de la pénibilité et des années de versement. Au lieu de se focaliser uniquement sur le drapeau des 64 ans, bannière politique de toute la droite réac. Une droite qui souhaite l’échec de la concertation entre partenaires sociaux non seulement pour les questions propres à la réforme des retraites mais aussi pour enfoncer la crédibilité des syndicats. Comme si les politiques étaient plus crédibles !

Popularité : Grosse baisse de Bayrou qui paye ses gaffes

Popularité : Grosse baisse de Bayrou qui paye ses gaffes

Le Premier ministre François Bayrou enregistre une lourde baisse de sa cote de popularité en mars, dévissant de 11 points par rapport à février, selon un baromètre mensuel de l’Ifop pour le Journal du dimanche.

Le chef du gouvernement s’est retrouvé englué dans plusieurs polémiques dont sa gestion du dossier des retraites qu’il a pourtant lui-même souhaité rouvrir.

27% de Français satisfaits de son action, au plus bas depuis sa nomination en décembre.

Réforme des Retraites : la grosse gaffe de Bayrou désormais politiquement en sursis

Réforme des Retraites : la grosse gaffe de Bayrou désormais politiquement en sursis

On peut se demander ce qui soudain a pris le premier ministre d’intervenir directement dans la négociation entre les partenaires sociaux concernant la réforme des retraites. D’une certaine manière, Bayrou s’est tiré une balle dans le pied avec maintenant le risque d’une motion de censure ! Rappelons que c’est lui-même qui avait proposé cette concertation et sans tabou.

Le résultat de cette malheureuse intervention sera le retrait des syndicats gauchistes et-ou corpos. Certes ces syndicats auraient manifesté sans doute de toute manière leur opposition à un éventuel accord. Mais cela n’aurait pas empêché les syndicats réformistes aujourd’hui majoritaires en France d’essayer de sortir par le haut. Notamment en tenant compte de la pénibilité et des années de versement. Au lieu de se focaliser uniquement sur le drapeau des 64 ans, bannière politique de toute la droite réac. Une droite qui souhaite l’échec de la concertation entre partenaires sociaux non seulement pour les questions propres à la réforme des retraites mais aussi pour enfoncer la crédibilité des syndicats. Comme si les politiques étaient plus crédibles !

Retraites : la grosse gaffe de Bayrou désormais politiquement en sursis

Retraites : la grosse gaffe de Bayrou désormais politiquement en sursis

On peut se demander ce qui soudain a pris le premier ministre d’intervenir directement dans la négociation entre les partenaires sociaux concernant la réforme des retraites. D’une certaine manière, Bayrou s’est tiré une balle dans le pied avec maintenant le risque d’une motion de censure ! Rappelons que c’est lui-même qui avait proposé cette concertation et sans tabou.

Le résultat de cette malheureuse intervention sera le retrait des syndicats gauchistes et-ou corpos. Certes ces syndicats auraient manifesté sans doute de toute manière leur opposition à un éventuel accord. Mais cela n’aurait pas empêché les syndicats réformistes aujourd’hui majoritaires en France d’essayer de sortir par le haut. Notamment en tenant compte de la pénibilité et des années de versement. Au lieu de se focaliser uniquement sur le drapeau des 64 ans, bannière politique de toute la droite réac. Une droite qui souhaite l’échec de la concertation entre partenaires sociaux non seulement pour les questions propres à la réforme des retraites mais aussi pour enfoncer la crédibilité des syndicats. Comme si les politiques étaient plus crédibles !

Politique-Politique et Retraites : la grosse gaffe de Bayrou

Politique et Retraites : la grosse gaffe de Bayrou

On peut se demander ce qui soudain a pris le premier ministre d’intervenir directement dans la négociation entre les partenaires sociaux concernant la réforme des retraites. D’une certaine manière, Bayrou s’est tiré une balle dans le pied avec maintenant le risque d’une motion de censure ! Rappelons que c’est lui-même qui avait proposé cette concertation et sans tabou.

Le résultat de cette malheureuse intervention sera le retrait des syndicats gauchistes et-ou corpos. Certes ces syndicats auraient manifesté sans doute de toute manière leur opposition à un éventuel accord. Mais cela n’aurait pas empêché les syndicats réformistes aujourd’hui majoritaires en France d’essayer de sortir par le haut. Notamment en tenant compte de la pénibilité et des années de versement. Au lieu de se focaliser uniquement sur le drapeau des 64 ans, bannière politique de toute la droite réac. Une droite qui souhaite l’échec de la concertation entre partenaires sociaux non seulement pour les questions propres à la réforme des retraites mais aussi pour enfoncer la crédibilité des syndicats. Comme si les politiques étaient plus crédibles !

Retraites : la grosse gaffe de Bayrou

Retraites : la grosse gaffe de Bayrou

On peut se demander ce qui soudain a prix le premier ministre d’intervenir directement dans la négociation entre les partenaires sociaux concernant la réforme des retraites. D’une certaine manière Bayrou s’est tirée une balle dans le pied avec maintenant le risque d’une motion de censure ! Rappelons que c’est lui-même qui avait proposé cette concertation et sans tabou.

Le résultat de cette malheureuse intervention sera le retrait des syndicats gauchistes et corpos. Certes ces syndicats auraient manifesté sans doute de toute manière leur opposition à un éventuel accord. Mais cela n’aurait pas empêché les syndicats réformistes aujourd’hui majoritaires en France d’essayer de sortir par le haut. Notamment en tenant compte de la pénibilité et des années de versement. Au lieu de se focaliser uniquement sur le drapeau des 64 ans, bannière politique de toute la droite réac. Une droite qui souhaite l’échec de la concertation entre partenaires sociaux non seulement pour les questions propres à la réforme des retraites mais aussi pour enfoncer la crédibilité des syndicats. Comme si les politiques étaient plus crédibles !

Ukraine: Intervention ferme et de haut niveau de Bayrou à l’assemblée

Ukraine:  Intervention ferme et de haut niveau de Bayrou à l’assemblée

De l’avis de la plupart des experts un peu objectifs, le Premier ministre a effectué un exercice de haut niveau devant l’Assemblée nationale à propos en particulier du conflit de l’Ukraine. Un discours qui part parenthèses dépasse sans doute aussi les compétences d’un premier ministre et qui touche largement à la zone de responsabilité du président lui-même. Dommage qu’une partie des extrêmes notamment à gauche n’est pas jugée bon d’être en nombre à l’assemblée. Encore une attitude irresponsable d’autant que le risque de conflit menace de plus en plus en Europe.

 

Pour preuve d’ailleurs dès lundi soir cette décision encore invraisemblable de Trump de suspendre immédiatement toute aide militaire à l’Ukraine. Comme une sorte d’invitation à Poutine d’en profiter pour enfoncer le clou de la défense ukrainienne et en profiter pour éjecter hélas Zelinsky. La donne s’est encore nettement durci avec un aliment complet des États-Unis sur la politique de Poutine. Les Européens vont être contraints de réagir encore effort ou bien d’accepter les risques de vassalisition y compris par la contrainte militaire.

François Bayrou parfaitement eut raison raison de signaler et de souligner avec force et pertinence la responsabilité de Poutine est désormais le basculement des équilibres du monde. Ce qui impose évidemment de garantir autrement la sécurité et la défense de l’Europe.

 

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