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Retraites : Bayrou voulait du temps pour expliquer

>Retraites : Bayrou voulait du temps pour expliquer !

Bayrou, le leader centriste, ministre de la planification, demandait depuis longtemps du temps pour expliquer la réforme des retraites aux Français. Macron reprend cette demande et décale d’un mois la présentation du projet .

C’est à reculons que Bayrou fait sortir un papier à la demande de Macron. Bayrou en principe responsable de la planification en France se réveille donc tardivement pour évoquer les enjeux d’une réforme des retraites alors que le gouvernement devait déposer son projet dans les jours qui viennent. On aurait évidemment souhaité que le plan se réveille plutôt car en général la problématique doit être évoquée de manière approfondie et large avant la décision.Conséquence, Macron décale d’un mois la présentation du projet.

Le problème, c’est que ce réveil tardif est aussi plein de contradictions puisque Bayrou souligne que l’État contribue largement à l’équilibre des régimes spéciaux et au système de retraite des fonctionnaires alors que ces derniers seront largement épargnés par la réforme. La vérité c’est que Bayrou était très sceptique vis-à-vis du projet prochainement annoncé. Il a dû être mis en demeure par Macron de dramatiser un peu la problématique. Le pouvoir commence en effet à être inquiet par le climat de tension dans l’opinion et même au sein de sa propre majorité. D’où cette injonction à Bayrou de se positionner de manière claire y compris sur le symbole très politique des 65 ans

« Notre système de retraites risque de se voir de plus en plus fragilisé dans son équilibre financier et […] de peser de plus en plus sur la capacité économique du pays et sur son indépendance », prévient donc le président du Modem, François Bayrou, dans une note publiée jeudi par le Haut-Commissariat au Plan qu’il pilote.

L’alerte intervient opportunément à quelques jours de la présentation par le gouvernement d’une réforme de retraites longtemps promise. Celle-ci devrait chercher à relever l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 65 ans. La mesure fait cependant l’unanimité contre elle dans le camp des syndicats, où la nécessité même de faire une réforme de ce type pour maintenir le système à l’équilibre est contestée.

Dans sa note, le Haut-Commissariat au Plan se défend de vouloir « interférer avec les concertations et les débats en cours ».Pourtant c’est bien ce qu’il fait tardivement. L’objectif est d’apporter « à l’opinion civique des éléments précis sur la situation actuelle et les perspectives du système de retraites », explique François Bayrou qui s’est opposé en septembre à un passage en force de la réforme dans le budget de la Sécurité sociale.

La note met surtout un constat en avant : les cotisations « sont bien loin de financer la totalité du montant des pensions versées ». Une bonne part du financement des retraites est à la charge du contribuable puisque l’Etat équilibre le système des régimes publics en particulier.

François Bayrou insiste ainsi sur le fait que l’Etat et les collectivités publiques « contribuent substantiellement à l’équilibre des régimes de retraite de la fonction publique d’Etat, des régimes spéciaux, des régimes agricoles, de la fonction publique territoriale et hospitalière ».

Cette addition « substantielle » est estimée à 30 milliards d’euros. Elle s’ajoute aux contributions publiques qui s’imposent logiquement au secteur public (cotisations, financement des exonérations destinées à soutenir l’économie et des mesures de solidarité pour les familles, les pensions minimum etc.). « Globalement notre protection vieillesse est en fait en déficit structurel important », insiste François Bayrou.

Retraites : le réveil tardif de Bayrou !

Retraites : le réveil tardif de Bayrou !

Bayrou, le leader centriste, ministre de la planification, demande depuis longtemps du temps pour expliquer la réforme des retraites aux Français. C’est à reculons qu’il fait sortir un papier à la demande de Macon. Bayrou en principe responsable de la planification en France se réveille donc tardivement pour évoquer les enjeux d’une réforme des retraites alors que le gouvernement va déposer son projet dans les jours qui viennent. On aurait évidemment souhaité que le plan se réveille plutôt car en général la problématique doit être évoquée de manière approfondie et large avant la décision.

Le problème, c’est que ce réveil tardif est aussi plein de contradictions puisque Bayrou souligne que l’État contribue largement à l’équilibre des régimes spéciaux et au système de retraite des fonctionnaires alors que ces derniers seront largement épargnés par la réforme. La vérité c’est que Bayrou était très sceptique vis-à-vis du projet prochainement annoncé. Il a dû être mis en demeure par Macron de dramatiser un peu la problématique. Le pouvoir commence en effet à être inquiet par le climat de tension dans l’opinion et même au sein de sa propre majorité. D’où cette injonction à Bayrou de se positionner de manière claire y compris sur le symbole très politique des 65 ans

« Notre système de retraites risque de se voir de plus en plus fragilisé dans son équilibre financier et […] de peser de plus en plus sur la capacité économique du pays et sur son indépendance », prévient donc le président du Modem, François Bayrou, dans une note publiée jeudi par le Haut-Commissariat au Plan qu’il pilote.

L’alerte intervient opportunément à quelques jours de la présentation par le gouvernement d’une réforme de retraites longtemps promise. Celle-ci devrait chercher à relever l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 65 ans. La mesure fait cependant l’unanimité contre elle dans le camp des syndicats, où la nécessité même de faire une réforme de ce type pour maintenir le système à l’équilibre est contestée.

Dans sa note, le Haut-Commissariat au Plan se défend de vouloir « interférer avec les concertations et les débats en cours ».Pourtant c’est bien ce qu’il fait tardivement. L’objectif est d’apporter « à l’opinion civique des éléments précis sur la situation actuelle et les perspectives du système de retraites », explique François Bayrou qui s’est opposé en septembre à un passage en force de la réforme dans le budget de la Sécurité sociale.

La note met surtout un constat en avant : les cotisations « sont bien loin de financer la totalité du montant des pensions versées ». Une bonne part du financement des retraites est à la charge du contribuable puisque l’Etat équilibre le système des régimes publics en particulier.

François Bayrou insiste ainsi sur le fait que l’Etat et les collectivités publiques « contribuent substantiellement à l’équilibre des régimes de retraite de la fonction publique d’Etat, des régimes spéciaux, des régimes agricoles, de la fonction publique territoriale et hospitalière ».

Cette addition « substantielle » est estimée à 30 milliards d’euros. Elle s’ajoute aux contributions publiques qui s’imposent logiquement au secteur public (cotisations, financement des exonérations destinées à soutenir l’économie et des mesures de solidarité pour les familles, les pensions minimum etc.). « Globalement notre protection vieillesse est en fait en déficit structurel important », insiste François Bayrou.

Au final, le Haut-Commissariat met en avant un déficit moyen annuel de 2,1 % du PIB dans les prochaines années (plus de 50 milliards d’euros) sans perspective de réforme, au lieu des 0,7 % évoqués jusque-là. Un chiffrage qui risque de faire un peu plus tiquer les syndicats.

Réforme des retraites : le réveil de Bayrou !

Réforme des retraites : le réveil de Bayrou !

Bayrou en principe responsable de la planification en France se réveille tardivement pour évoquer les enjeux d’une réforme des retraites alors que le gouvernement va déposer son projet dans les jours qui viennent. On aurait évidemment souhaité que le plan se réveille plutôt car en général la problématique doit être évoquée de manière approfondie et large avant la décision.

Le problème, c’est que ce réveil tardif est aussi plein de contradictions puisque Bayrou souligne que l’État contribue largement à l’équilibre des régimes spéciaux et au système de retraite des fonctionnaires alors que ces derniers seront largement épargnés par la réforme. La vérité c’est que Bayrou était très sceptique vis-à-vis du projet prochainement annoncé. Il a dû être mis en demeure par Macron de dramatiser un peu la problématique. Le pouvoir commence en effet à être inquiet par le climat de tension dans l’opinion et même au sein de sa propre majorité. D’où cette injonction à Bayrou de se positionner de manière claire y compris sur le symbole très politique des 65 ans

« Notre système de retraites risque de se voir de plus en plus fragilisé dans son équilibre financier et […] de peser de plus en plus sur la capacité économique du pays et sur son indépendance », prévient donc le président du Modem, François Bayrou, dans une note publiée jeudi par le Haut-Commissariat au Plan qu’il pilote.

L’alerte intervient opportunément à quelques jours de la présentation par le gouvernement d’une réforme de retraites longtemps promise. Celle-ci devrait chercher à relever l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 65 ans. La mesure fait cependant l’unanimité contre elle dans le camp des syndicats, où la nécessité même de faire une réforme de ce type pour maintenir le système à l’équilibre est contestée.

Dans sa note, le Haut-Commissariat au Plan se défend de vouloir « interférer avec les concertations et les débats en cours ».Pourtant c’est bien ce qu’il fait tardivement. L’objectif est d’apporter « à l’opinion civique des éléments précis sur la situation actuelle et les perspectives du système de retraites », explique François Bayrou qui s’est opposé en septembre à un passage en force de la réforme dans le budget de la Sécurité sociale.

La note met surtout un constat en avant : les cotisations « sont bien loin de financer la totalité du montant des pensions versées ». Une bonne part du financement des retraites est à la charge du contribuable puisque l’Etat équilibre le système des régimes publics en particulier.

François Bayrou insiste ainsi sur le fait que l’Etat et les collectivités publiques « contribuent substantiellement à l’équilibre des régimes de retraite de la fonction publique d’Etat, des régimes spéciaux, des régimes agricoles, de la fonction publique territoriale et hospitalière ».

Cette addition « substantielle » est estimée à 30 milliards d’euros. Elle s’ajoute aux contributions publiques qui s’imposent logiquement au secteur public (cotisations, financement des exonérations destinées à soutenir l’économie et des mesures de solidarité pour les familles, les pensions minimum etc.). « Globalement notre protection vieillesse est en fait en déficit structurel important », insiste François Bayrou.

Au final, le Haut-Commissariat met en avant un déficit moyen annuel de 2,1 % du PIB dans les prochaines années (plus de 50 milliards d’euros) sans perspective de réforme, au lieu des 0,7 % évoqués jusque-là. Un chiffrage qui risque de faire un peu plus tiquer les syndicats.

Abandon progressif des maths au lycée : Bayrou responsable (en 1993)

Abandon progressif des maths au lycée : Bayrou responsable 

 

La désaffection des jeunes pour les sciences a commencé il y a près de trente ans avec une décision du ministre de l’éducation nationale François Bayrou, rappelle Dominique Raulin, agrégé de mathématiques et docteur en sciences de l’éducation, dans une tribune au « Monde ».

 

Le printemps a mis en évidence une réalité inquiétante : le manque de candidats aux concours de recrutement dans les disciplines scientifiques. Différentes raisons peuvent l’expliquer, notamment la désaffection des jeunes pour les sciences – qui n’est pas une spécificité française –, mais aussi une suite de décisions politiques prises au cours des trente dernières années qui ont explicitement eu pour but de réduire l’importance des mathématiques dans l’enseignement secondaire.

Après la seconde guerre mondiale, plusieurs générations ont cru que l’avenir du monde se trouvait dans la science. Il suffit pour s’en persuader d’observer le désarroi, en 2020, des adultes de plus de 50 ans devant l’incapacité de la médecine à maîtriser le développement de la pandémie de Covid-19 – même si, en revanche, peu d’observateurs ont apprécié la performance scientifique qu’a représentée la mise au point d’un vaccin.

Ainsi, les sociétés à travers le monde qui jusque-là étaient persuadées que la science pourrait apporter une réponse à toutes les questions se sont retrouvées démunies, perdues, orphelines. C’est d’autant plus étonnant que les alertes sur les méfaits de la science se sont multipliées depuis la fin du XXe siècle : des pesticides aux gaz à effet de serre, en passant par le traitement des déchets nucléaires… Mais beaucoup d’adultes ont longtemps considéré les risques induits comme largement exagérés.

Les plus jeunes, quant à eux, inquiets pour leur avenir en raison des dangers environnementaux, se sont progressivement détournés des sciences. Cette attitude est pour le moins paradoxale parce que ce sont également des travaux scientifiques qui ont mis en évidence ces risques inconnus il y a quelques décennies.

Par ailleurs, les jeunes oublient souvent que les mêmes sciences qu’ils détestent et rejettent leur permettent de profiter d’une multitude d’objets technologiques (ordinateur, téléphone portable, Internet, ou, plus anciennement, four à micro-ondes…) qui rendent leur vie au quotidien plus confortable que celle de leurs aînés au même âge.

Enfin, ils oublient que le plaisir qu’ils ont à fréquenter leurs grands-parents est la conséquence de l’augmentation de la durée de vie, qu’on doit à une meilleure hygiène de vie, à des suivis médicaux plus fréquents, plus précis, mieux adaptés… qui n’existent que grâce au travail des scientifiques.

l’IVG dans la Constitution: Bayrou contre

 l’IVG dans la Constitution: Bayrou contre 

En mal existentiel, la majorité propose d’inscrire le droit à l’IVG dans la constitution. Une curieuse proposition qui fait suite à ce qui se passe au États-Unis. Avec toutefois une différence de taille le droit à l’IVG n’est contesté par personne en France. le président du MoDem François Bayrou, conteste donc cette proposition très politicienne de la république en marche. «Je ne suis pas pour», affirme le maire de Pau ce dimanche sur BFMTV. Pour lui, «c’est surprenant que ce qui se passe aux États-Unis entraîne des réactions effervescentes dans la vie politique française».

«Je ne suis pas pour qu’on décalque la vie politique sur celle des États-Unis», met donc en garde François Bayrou. Et il n’est pas le seul à le penser. «Aucun mouvement politique sérieux ne remet en cause en France la loi Veil, acquis à protéger», ironise quant à lui le président du RN, Jordan Bardella. «Pour masquer son incapacité à régler les vrais problèmes du pays, la majorité s’en invente des fictifs», dénonce également le sénateur LR Bruno Retailleau.

Cette dissonance entre François Bayrou et la présidente du groupe LREM serait par ailleurs une façon, pour ce proche soutien du président de la République, de rappeler que le MoDem est un allié du parti présidentiel, mais avec ses spécificités. Et de raviver ses critiques envers la locataire de Matignon. François Bayrou affirmait en effet ce mercredi que «les temps exigent que le premier ministre soit politique », ciblant directement Élisabeth Borne.

Risque d’ une troisième guerre mondiale ( Bayrou)

Risque d’ une troisième guerre mondiale ( Bayrou)

 

 

Pour Bayrou,  , une troisième guerre mondiale est désormais «une vraie menace», car «ce que Poutine a fait dénote un déséquilibre personnel, une dérive profonde d’un homme qui décide qu’après tout, il va abandonner tous les accords». La «guerre nucléaire» est elle aussi une possibilité réelle, alimentée par les «arsenaux nucléaires de première importance» que possèdent la Russie et les États-Unis.

Il ne s’agit pas pour autant de «tomber dans le piège» tendu par le Kremlin. «Le piège, c’est de dire, ou bien vous appuyez sur le bouton pour déclencher la bombe atomique, ou bien vous abandonnez l’Ukraine. La solution alternative, c’est le rapport de force avec d’autres armes que la bombe nucléaire. Et c’est ce qu’on est en train de faire avec les sanctions financières, avec des livraisons d’armes», a ainsi développé le Haut-commissaire au plan. Lequel a également salué le «bel exemple d’honneur» donné par le président ukrainien Volodymyr Zelensky, qui va «peut-être y perdre la vie» mais «a choisi» le sacrifice pour être «au service de son pays et de son peuple».

Bayrou a aussi dénoncé des «complices actifs» et «propagateurs de la propagande du dictateur russe».

Dans son viseur : Jean-Luc MélenchonÉric Zemmour et Marine Le Pen. Mais aussi l’ancien premier ministre et candidat en 2017, François Fillon, qui vient tout juste de démissionner de ses fonctions auprès d’un groupe privé russe. «Il y a cinq ans, François Fillon aurait pu être élu président de la République. Dans quelle serions-nous aujourd’hui ?», a fait mine de s’interroger François Bayrou.

 

2022 : Bayrou pour une banque de parrainages

2022 : Bayrou pour une banque de parrainages

 

À juste titre François Bayrou -comme d’autres- s’inquiète du caractère obsolète du parrainage par les maires. Du coup, certains candidats mêmes importants crédités  d’environ 10 % d’intentions de voix pourraient ne pas recueillir le nombre de signatures.

Du coup, François Bayrou propose une mutualisation des signatures pour en faire bénéficier des candidats injustement évincés e u égard à leur réelle représentativité

Je ne peux pas supporter l’idée que la démocratie soit ainsi déséquilibrée, déstabilisée », a plaidé l’ancien ministre centriste. Avant d’ajouter : « Je ne suis pas de l’avis politique de Jean-Luc Mélenchon, de Marine Le Pen, d’Eric Zemmour (…) mais je trouverais anormal, et même scandaleux, qu’ils ne puissent pas se présenter. »

Le système des parrainages existe depuis la première élection présidentielle au suffrage direct. La « présentation » de cent élus était d’abord exigée pour empêcher une multiplication des candidatures, avant une réforme de 1976, régulièrement critiquée, portant ce nombre à 500.

2022 et augmentations des salaires : des électeurs pas dupes ( François Bayrou)

2022 et augmentations des salaires : des électeurs pas dupes ( François Bayrou)

 

 

À juste titre ,François Bayrou, commissaire au plan et à la productivité dénonce le concours de démagogie de nombre de candidats qui proposent de très fortes hausses de salaires. La vérité sans doute, c’est que la campagne manque sérieusement de contenu et que les candidats cachent le vide en se transformant en syndicalistes.

 

Interview de Bayrou dans le JDD (extrait)

 

Tous les candidats à la présidentielle font assaut de mesures pour augmenter les salaires. Que pensez-vous de cette débauche de propositions?
Les promesses mirobolantes, c’est la maladie infantile des campagnes électorales. Et de ce point de vue, cette campagne est partie sur les chapeaux de roues! Mais quelle crédibilité? Quand Mme Hidalgo propose le doublement « au moins » du salaire des enseignants, donc de tous les salaires et des retraites de la fonction publique, sans en financer un seul euro, et en annonçant en même temps une baisse des taxes, c’est croire que les électeurs sont débiles. Et toute annonce d’augmentation générale des salaires, décidée d’en haut par le seul pouvoir politique, dans un pays en déficit du commerce extérieur et en déficit budgétaire, se heurtera au mur du réel. La hausse des salaires est naturelle et bienvenue quand elle correspond à une augmentation de la productivité.

 

Lesquelles?
Les hausses justes et bienvenues, secteur par secteur, sont celles qui sont liées au besoin des entreprises d’embaucher des professionnels qualifiés, dans les secteurs qui ont du mal à recruter, et aussi l’amélioration du revenu par l’association des salariés aux bonnes performances de leur entreprise.

 

Les propositions d’augmentation générale avancées par les différents candidats ne vous semblent donc ni réalistes ni tenables?
Les promesses d’augmentation massives et générales sont des tentatives d’abus de confiance, sans crédibilité, et dont les citoyens ne sont pas dupes une seule seconde.

 

Mais pourquoi n’est-ce pas crédible?
Dans l’immense majorité des entreprises privées, il n’y a pas de hausse des salaires solide sans hausse de la productivité et des résultats réels de l’entreprise. Dans la fonction publique, la limite, ce sont évidemment les ressources publiques, les impôts et les taxes qui permettent de financer ces augmentations. La voie de la baisse des charges a souvent été explorée, mais a atteint sa limite : les charges sur les bas salaires, au niveau du smic, ont quasiment été réduites à zéro. Ce qui crée des trappes à bas salaires : les employeurs répugnent donc à sortir du smic car ils augmenteraient considérablement leurs charges. En d’autres temps, c’était facile : en 1968, en 1981, on a vécu de fortes augmentations de façade, gommées quelques mois plus tard par une dévaluation. En réalité, ces augmentations apparentes avaient été payées en monnaie de singe. Aujourd’hui, avec la monnaie unique pour les pays européens, cette manipulation n’est plus possible.

 Que préconisez-vous, donc, pour parvenir à des hausses de salaires significatives?
En premier lieu, et de façon immédiate : la progression de la participation et de l’intéressement. Il faut que, dans l’esprit des chefs d’entreprise et des salariés, il y ait une liaison quasi automatique entre performance de l’entreprise et amélioration des revenus des salariés. C’est la clé la plus accessible. Dans nombre d’entreprises, cela peut faire un treizième ou un quatorzième mois. Il y a un deuxième moyen de faire monter les salaires, c’est de partir à la reconquête du secteur productif du pays : il y aura davantage de besoins en emploi, davantage d’offres d’emploi, nécessaires pour suivre les carnets de commandes. Ce qui s’accompagnera d’une hausse des salaires. Ça, c’est la stratégie de fond que nous devons suivre.

 

Avez-vous d’autres pistes?
Il existe aussi une troisième voie : réfléchir au reste à charge, à maîtriser et à baisser les charges obligatoires qui pèsent sur les familles et les salariés. Regardez l’énergie : si nous en restons à l’énergie traditionnelle, le pétrole ou le gaz, alors elle coûtera de plus en plus cher, et d’abord pour des raisons liées au climat. Mais si nous prenons les renouvelables au sérieux et investissons sérieusement dans la production d’énergie nucléaire, avec zéro émissions de gaz à effet de serre et des coûts garantis sur le long terme, nous empêcherons les prix de l’énergie d’exploser. Et cela évite d’assommer le consommateur en augmentant constamment le prix de l’énergie et les taxes.

Les thèmes de l’immigration et de la sécurité occupent une place centrale dans ce début de campagne. Mais la question des salaires et, au-delà, du pouvoir d’achat ne constitue-t-elle pas une priorité pour les Français?
Si vous regardez les sondages pendant les précédentes campagnes, le pouvoir d’achat arrive très souvent en tête des préoccupations. Et cette fois encore, les questions du salaire, du travail, du nombre d’emplois offerts, de la productivité et de la qualité des services publics, ce sont les principales questions qui se posent aujourd’hui à la société française. Évidemment, celles qui tiennent à l’identité sont réelles et très importantes : avant de savoir ce que vous voulez, vous devez savoir qui vous êtes. Ces questions-là doivent donc être prises en charge. Mais avec équilibre, pas avec excès et obsessionnellement, comme c’est le cas actuellement.

 

Aujourd’hui, les indicateurs économiques sont au vert, mais beaucoup s’inquiètent d’une dégradation, en pleine campagne présidentielle, du pouvoir d’achat des Français. N’est-ce pas un problème politique pour Emmanuel Macron?
La formulation de votre question est intéressante. Après de telles crises, les Gilets jaunes et la crise incroyable du Covid, qui aurait pu imaginer qu’une question d’un grand journal commence par le fait que les indicateurs économiques sont « au vert »? Ce n’est pas un hasard : c’est parce que des décisions ont été prises. Amélioration des conditions de travail des entreprises, climat de confiance, État présent dans les crises et (un peu) plus efficace, fiscalité mieux adaptée, pour l’entreprise et pour les ménages avec la suppression de la taxe d’habitation, augmentation des revenus des salariés, des plus basses retraites, de l’allocation adulte handicapé : ce sont des coups de pouce massifs en dépit des crises et dont l’efficacité est manifeste. Et donc, oui, quand l’économie va mieux, la question du pouvoir d’achat vient naturellement. Mais les électeurs ne se laissent plus prendre au piège des promesses du Père Noël et des baguettes magiques. Ils jugent en même temps la qualité des propositions et la crédibilité de ceux qui les formulent. Propositions mirobolantes et crédibilité zéro égalent un haussement d’épaules de la part de l’opinion.

 

La question du pouvoir d’achat sera-t-elle le talon d’Achille du bilan de

Craignez-vous un retour de la grogne sociale, une éruption semblable à celle des Gilets jaunes en 2018?
Le phénomène des Gilets jaunes révélait deux exaspérations : l’une qui tient à la situation économique et sociale et aux difficultés de fin de mois, notamment en raison de l’augmentation continue et non compensée du gasoil, indispensable pour rouler et se chauffer ; l’autre au sentiment d’humiliation de ceux qui ne se sentent pas pris en compte. Ce mélange est détonant et dangereux. C’est pourquoi, outre le sujet du pouvoir d’achat, il faut traiter celui des mécanismes démocratiques de reconnaissance de tous ceux qui sont en bas de la pyramide, recréer le lien entre leur citoyenneté émoussée et les pouvoirs, réinventer une pleine citoyenneté. Le Président avait identifié ces problèmes en 2017. Ont-ils été résolus en cinq ans? Non. Il y a eu des réticences considérables, des blocages dans l’appareil d’État, des inerties dans les administrations. Cela sera l’un des enjeux du quinquennat qui vient : réussir à faire bouger ce qui est congelé dans l’organisation de la société française. Sinon, l’inquiétude et la colère ne passeront pas.

Bayrou veut regrouper MoDem et L R.E.M., Macron dit non!

Bayrou veut regrouper MoDem et L R.E.M., Macron  dit non!

 

 

Politiquement Bayrou a sans doute raison de vouloir créer une sorte de parti unique entre le MoDem et la république en marche dans la mesure où le parti LREM pourrait bien disparaître en même temps que Macron soit en 2022 soit en 2027. Or le MoDem, lui possède une implantation sur le terrain et des élus qui lui permettraient sans doute de prendre la main sur le parti unifié. Macron en effet ne laissera pas un grand souvenir de son parti qui n’a jamais réussi à exister réellement ni à dégager des leaders crédibles autres que lui. C’était d’ailleurs la volonté de Macron : ne pas être ligoté par un parti pouvoir gouverner seul et sans partage avec qui que ce soit y compris d’ailleurs le Parlement. 

 

Bayrou a donc réaffirmé sa volonté de fonder une nouvelle structure politique avec le mouvement fondé par Emmanuel Macron. «Nous avons éprouvé le fait que l’organisation de la majorité ne suffisait pas, que nous pouvons faire mieux», a indiqué le président du MoDem, convaincu qu’elle «ne permet pas l’élan de conquête» pour l’élection présidentielle d’avril 2022. «C’est le moment de faire un pas en avant», a-t-il insisté. Notons enfin que Bayrou craint que la droite en particulier autour d’Édouard Philippe ne constitue un courant susceptible d’absorber aussi la république en marche.De son côté Macron a dit non à cette perspective de regroupement. Il craint toujours d’être ligoté par un groupe parlementaire fort.

Politique–Bayrou veut le regroupement avec la « République en march »e avant la disparition de Macron !

Politique–Bayrou  veut le regroupement avec la « République en march »e avant la disparition de Macron !

 

 

Politiquement Bayrou a sans doute raison de vouloir créer une sorte de parti unique entre le MoDem et la république en marche dans la mesure où le parti LREM pourrait bien disparaître en même temps que Macron soit en 2022 soit en 2027. Or le MoDem, lui possède une implantation sur le terrain et des élus qui lui permettraient sans doute de prendre la main sur le parti unifié. Macron en effet ne laissera pas un grand souvenir de son parti qui n’a jamais réussi à exister réellement ni à dégager des leaders crédibles autres que lui. C’était d’ailleurs la volonté de Macron : ne pas être ligoté par un parti pouvoir gouverner seul et sans partage avec qui que ce soit y compris d’ailleurs le Parlement

 

Bayrou a donc réaffirmé sa volonté de fonder une nouvelle structure politique avec le mouvement fondé par Emmanuel Macron. «Nous avons éprouvé le fait que l’organisation de la majorité ne suffisait pas, que nous pouvons faire mieux», a indiqué le président du MoDem, convaincu qu’elle «ne permet pas l’élan de conquête» pour l’élection présidentielle d’avril 2022. «C’est le moment de faire un pas en avant», a-t-il insisté. Notons enfin que Bayrou craint que la droite en particulier autour d’Édouard Philippe ne constitue un courant susceptible d’absorber aussi la république en marche.

Bayrou veut le regroupement avec la république en marche avant la disparition de Macron !

Bayrou  veut le regroupement avec la république en marche avant la disparition de Macron !

 

 

Politiquement Bayrou a sans doute raison de vouloir créer une sorte de parti unique entre le MoDem et la république en marche dans la mesure où le parti LREM pourrait bien disparaître en même temps que Macron soit en 2022 soit en 2027. Or le MoDem, lui possède une implantation sur le terrain et des élus qui lui permettraient sans doute de prendre la main sur le parti unifié. Macron en effet ne laissera pas un grand souvenir de son parti qui n’a jamais réussi à exister réellement ni à dégager des leaders crédibles autres que lui. C’était d’ailleurs la volonté de Macron : ne pas être ligoté par un parti pouvoir gouverner seul et sans partage avec qui que ce soit y compris d’ailleurs le Parlement

 

Bayrou a donc réaffirmé sa volonté de fonder une nouvelle structure politique avec le mouvement fondé par Emmanuel Macron. «Nous avons éprouvé le fait que l’organisation de la majorité ne suffisait pas, que nous pouvons faire mieux», a indiqué le président du MoDem, convaincu qu’elle «ne permet pas l’élan de conquête» pour l’élection présidentielle d’avril 2022. «C’est le moment de faire un pas en avant», a-t-il insisté. Notons enfin que Bayrou craint que la droite en particulier autour d’Édouard Philippe ne constitue un courant susceptible d’absorber aussi la république en marche.

Agriculture française: les orientations de Bayrou

Agriculture française: les orientations de Bayrou

 

 

François Bayrou fait une analyse sans concession des atouts mais aussi les faiblesses de l’agriculture française. Il note par exemple que l’excédent commercial souvent avancé de cette cette branche était à  relativiser compte tenu des imports nécessaires à la production.

.Selon ce rapport, résumé notamment sur le site réussir , cinq crises sont à dominer : la baisse de la population active agricole, le recul des exportations agroalimentaires, les évolutions des régimes alimentaires, l’adaptation au dérèglement climatique et le malaise sociologique des agriculteurs.

Le rapport de François Bayrou souligne l’importance des céréales et des vins et spiritueux dans l’excédent commercial. ‘ « À côté de ces étendards bien identifiés se trouvent une myriade de déficits plus ou moins importants, révélant la faiblesse sectorielle ou le déficit de compétitivité de pans entiers de l’agriculture française ». Sans la filière viticole, le déficit se serait établi à – 4,6 milliards d’euros en 2019. Parmi les secteurs en tension figurent, par exemple, les fruits et légumes avec un déficit de 5,9 milliards d’euros en 2019. La note s’inquiète aussi de la dépendance protéinique du pays. Reste à connaître l’effet du plan protéines 2021/2022.

Parallèlement, les importations représentent 20 % de l’alimentation nationale. Elles ont doublé entre 2000 et 2019, passant de 28 à 56 milliards

Pour expliquer cette perte de compétitivité, la note du haut-commissaire évoque notamment la fiscalité française. Cette dernière atteint « 3,2 % du PIB en France contre 1,6 % en moyenne dans les autres pays de l’UE en 2017, 1 % en Espagne et aux Pays Bas et 0,4 % en Allemagne ». Le coût du travail est également évoqué. Dans l’industrie agroalimentaire, il aurait « augmenté plus vite (+ 58 % sur la période 2000-2017) qu’en Allemagne par exemple (+ 34 % sur la même période) ». Un chiffre à relativiser, puisque l’Allemagne affiche un solde commercial agricole et agroalimentaire « plus dégradé qu’en France ». Soit – 17,7 milliards d’euros en 2018, avec une chute de 6 milliards en 10 ans.

Le haut-commissariat au plan constate que la France ne compte plus que 436 000 exploitations en 2016. Dans le même temps, la « concentration des exploitations agricoles bien est réelle mais moins marquée en France qu’en Espagne, en Allemagne ou aux Pays Bas ». La taille favorisant les gains de productivité, selon la note de François Bayrou.

Les normes environnementales sont citées comme plus contraignantes en France. Et si François Bayrou estime que « l’exigence environnementale ne va pas rester longtemps circonscrite à l’Europe occidentale ». L’agriculture française ne devra cependant pas être « morte quand viendra le rééquilibrage ». Le haut commissaire haut plan ne veut plus des aliments dont les modes de productions sont interdites en Europe. Les exploitants agricoles sauront néanmoins rappeler que les distorsions de concurrence environnementales sont également

VACCINATION OBLIGATOIRE POUR TOUS ( Bayrou)

VACCINATION OBLIGATOIRE POUR TOUS ( Bayrou)

 

Interrogé sur BFM, Bayrou juste avant l’intervention du président de la république marque son territoire politique en tout cas sur le plan sanitaire en réitérant que la vaccination doit devenir obligatoire pour tous. Justement un terrain sur lequel le président de la république ne va pas s’engager !.

 

« Ma position à moi, c’est qu’il n’y a pas d’autre issue dans cette situation épidémique que la vaccination obligatoire, pour tout le monde », estime le Haut-commissaire au plan. « On présente ça comme si c’était attentoire aux libertés, alors que chacun des bébés qui né en France reçoit onze vaccinations. Vous voyez bien qu’il n’y a aucun effet négatif ou secondaire. »

« Le jour où vous aurez des enfants qui mourront du virus, ce jour-là, la société explosera. Parce que seront mis en accusation tous ceux qui n’ont pas pris les décisions nécessaires ». a-t-il expliqué, en soulignant que la vaccination était la meilleure solution pour « retourner à une vie normale. »

Démographie : Bayrou propose un plan

Démographie : Bayrou propose un plan

Un plan démographique a été proposé par François Bayrou pour remédier à la baisse inquiétante de natalité en France.

  1. Évolution récente (2005 à 2016) du taux de fécondité par groupe d’âge.
    1. L’âge moyen des mères a augmenté de 0,8 ans, passant de 29,6 ans en 2005 à 30,4 ans en 2015.
    2. Diminution du taux pour les jeunes femmes : 100 femmes de 15 à 24 ans mettaient au monde 3,2 enfants en 2005 et 2,7 en 2015.
    3. Diminution également du taux pour les femmes ayant entre 25 et 29 ans : pour 100 femmes le nombre de naissances passe de 12,8 à 11,9 par an.
    4. À l’inverse, le taux augmente pour les trois autres groupes d’âge : pour celui de 30 à 34 ans, il passe de 12,3 à 12,9 ; pour les 35-39 ans de 5,7 à 7,9 et pour les 40-50 ans de 0,6 à 0,8.
    5. Au total l’indicateur conjoncturel de fécondité est assez stable, passant, pour 100 femmes, de 193,8 à 196,1.

L’INSEE estime en conséquence que « la fécondité française se maintient à un niveau élevé par rapport aux autres pays européens, même si l’indicateur conjoncturel de fécondité passe sous la barre des 2 enfants par femme. Il s’établit à 1,96 en 2015, retrouvant à peu près son niveau de 2005 ». En 2016, l’indicateur conjoncturel de fécondité diminue à nouveau et s’établit à 1,93 enfant par femme. En 2017, il continue de baisser pour atteindre 1,88 enfant par femme. En 2019, il atteint seulement un 1,83.

Le seuil de renouvellement (ou de remplacement) des générations, c’est-à-dire le nombre moyen d’enfants par femme nécessaire pour que chaque génération en engendre une suivante de même effectif, est au minimum de 2,05 enfants par femme, soit 205 enfants pour 100 femmes, parce que pour 105 garçons il naît 100 filles.

Le haut-commissaire au Plan, François Bayrou, plaide donc dans une note transmise à l’AFP pour un «pacte national pour la démographie», afin de sauver le modèle social français. «Assurer notre avenir démographique» passe par «deux voies: avoir plus d’enfants ou accueillir des personnes d’autres pays», écrit l’ancien ministre, pour qui «la France devra jouer des deux leviers dans des proportions raisonnables qui garantissent le maintien de la cohésion nationale».

 

 «La France a sans doute plus besoin encore que ses voisins d’une démographie dynamique car son modèle social repose, pour beaucoup, sur la solidarité entre les générations», notamment à travers le système de financement par répartition des retraites. Alors que la France connaissait depuis plusieurs années «une réelle dynamique démographique», des signes «très préoccupants» d’un «dérèglement de cette dynamique» apparaissent.

 

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«Pour 2020, le solde migratoire est estimé de manière provisoire (à) +87.000 personnes», un chiffre à comparer avec le solde naturel (les naissances moins les décès) qui était de 149.000 en 2018 et 140.000 en 2019. En 2020, année marquée par le Covid-19, le solde naturel est estimé à 67.000.

Proportionnelle : un référendum en juin ? (François Bayrou)

Proportionnelle : un référendum en juin ?  (François Bayrou)

 

François Bayrou qui a permis à Macron de franchir le cap nécessaire pour devenir président de la république se retrouve d’une certaine manière cocufié par le président qui lui refuse l’engagement qu’il avait promis concernant la proportionnelle.

 

Le chef du MoDem François Bayrou, allié d’Emmanuel Macron, est clairement trahi par celui auquel il a apporté l’appui déterminant pour la conquête de l’Élysée. François Bayrou ne cesse de multiplier les interventions pour rappeler au chef de l’État sa promesse. Mais pour l’instant Macon reste complètement sourd car surtout préoccupé de son propre avenir bien davantage que la représentation de ses alliés au Parlement.

Du coup Bayrou sort l’artillerie lourde en proposant un référendum sur la proportionnelle lors des élections départementales et régionales de juin.

« ce serait pas mal de le faire en même temps que les régionales » et donc « dès juin si elles ont lieu en juin ». Il répète qu’il n’a « jamais cru qu’on pouvait y arriver par la voie parlementaire ».

Car, selon lui, « ce à quoi nous sommes confrontés, c’est le conservatisme éternel des forces politiques qui veulent garder le pouvoir pour elles, des forces politiques majoritaires qui croient qu’elles vont le rester ». « J’ai proposé un référendum le jour du 2e tour des élections législatives pour que ça soit réglé, on m’a dit ‘c’est trop tôt’, et maintenant ‘c’est trop tard’. »

 

Visiblement c’est effectivement trop tard car les responsables du parti de Macron renvoient la question après les des présidentielles avec une réforme visant aussi réduire le nombre d’élus. Bref aux calendes grecques !

 

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